(✰) message posté Mer 22 Avr 2015 - 23:53 par Edwin Turner
Silent Jealousy
ft. Lucy K. Curtis && Daniel J. Smith-Delarco && Rika Alvarez
Mercredi 15.04.2015 • Central London • Westminster • Trafalgar quare • The National Gallery
Près de trois semaines que j'expose... à la National Gallery. LA NATIONAL GALLERY. Outre le stress initial - sérieux, je peux pas exposer ça, c'est trop mauvais - et les longues discussions avec Mat', et Lucy, sur ce que je pouvais présenter ou non - si j'avais retenu que les miennes y aurait peut-être eu trois toiles, max - chaque jour est un calvaire. Je viens à la galerie, le plus souvent accompagné de Lucy, parce que j'ai besoin de savoir ce que les gens en pensent, et parce que souvent, le soir, il faut que je sois là pour faire genre, même si c'est Lucy qui parle, devant les quelques personnes qui font mine d'être intéressées. Mais je me passerais des commentaire des intellectuels bourgeois--bohème qui croient tout savoir et extrapolent des heures sur la signification d'une toile.
La vérité, c'est que je serais mieux dans mon atelier, loin des gens, loin de leurs critiques que j'ai toutes les peines du monde à encaisser, loin des regards de bas en haut vers le type bizarre qui arpente la salle sans regarder les toiles, mais que personne connaît. Les toiles je les connais par coeur. Y en a pas une sur laquelle j'aie pas passé des heures à retoucher le moindre détail, jamais content du résultat. Les commentaires de tout un chacun, je les ai déjà entendu des dizaines de fois, et je sais jamais quoi y répondre. A part "Arrêtez". Arrêtez de vouloir tout décortiquer, de vouloir tout analyser, de chercher des symboles là où il y en a pas et de dénaturer certaines toiles par le sens que vous voulez leur donner et qui n'a, souvent, rien à voir avec ce que j'ai voulu faire ressentir. J'ai l'impression d'avoir tout fait de travers. Si ces gens interprètent ça de travers, c'est que j'ai pas été capable de transcrire ce que j'avais dans la tête et dans le coeur quand j'ai peint. S'il leur donne un sens complètement erroné, c'est que mes propres sentiments ne transparaissent pas dans ma peinture. Autant dire que c'est raté.
Je crois que ce soir, ça fait quarante fois que je refais l'aller-retour dans les allées, avant de revenir à l'accueil. Lucy ne devrait pas tarder à arriver, et il semblerait que quelques acheteurs doivent nous rejoindre. Mais à vrai dire, je n'ai aucune envie de les rencontrer, je voudrais juste aller m'enterrer, dans mon atelier ou chez ma chère et tendre, ou aller prendre un pot avec mon best et oublier tout ce que j'ai pu entendre tout au long de la journée. Les doigts noués, je me suis assis sur un banc un peu en retrait, en attendant l'arrivée de mon attachée de presse. Et j'espère franchement qu'elle sera là quand on demandera "à rencontrer l'artiste" ce soir, parce que je ne me sens clairement pas d'attaque à faire la conversation. C'est déjà pas le cas d'ordinaire, mais c'est pire encore ce soir que les autres je crois... Et quand ce grand et bel homme s'approche de l'hôtesse, je flippe plus encore et fait le tour du hall des yeux, paniqué, priant très fort pour que ma chère et tendre débarque le plus rapidement possible...
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(✰) message posté Dim 26 Avr 2015 - 0:52 par Invité
Silent Jealousy
Rika, Daniel & Lucy
Voilà bien des années que le Manoir Delarco était dans cet état, il faut dire que je n'ai jamais pris le temps de le décorer selon mes goûts et franchement faut dire, il me plaisait comme il était. Le seul vrai souci était que malgré tout il manquait quelque touche de modernité à cet endroit si vieillot et bien que je sois quelqu'un de très conservateur, j'aime tout de même la modernité donc j'avais eu dans l'idée de trouver une idée pour rendre mon manoir un peu plus moderne. Peu de temps mon idée d'aménager mon manoir, c'était vite volatilisé, aillant trop de travail entre le NightJar et Delarco entreprise, je ne savais plus où donner de la tête. Audric me trouvant à son goût bien trop stressé décidait de me trouver une occupation pour calme, pour ça, je dois dire qu'Audric est un chic type même si je ne lui en demande pas tant. Quand il me montra ce qu'il avait prévu pour moi, j'éclatais de rire, une exposition de toile ? Ok j'aimais me cultiver voir et connaitre toutes les choses à savoir dans se bas monde, mais de là à m'entraîner dans une galerie pour voir des toiles, c'est aller un peu loin. Ne renonçant tout de même pas à cette idée, je décidais tout de même de m'y rendre, j'avais un peu de temps devant moi, autant dire l'après-midi, tout d'abord, je décidais de ne pas m'y rendre tout de suite, je voulais prendre ce temps précieux pour aller à la salle de sport. Je suis un grand sportif, j'aime entretenir mon corps pour n'importer quelle situation, c'est sur je ne pratique pas un métier d'ordre de protection de l'homme, mais je pense qu'avec les jeux dangereux que je me risque à faire, j'ai besoin d'entretenir mon corps, sinon depuis le temps, je serais déjà un légume. Je suis un homme qui est dans l'excès, je n'arrive pas dosé ce que je fais, je bois trop, dés que j'entreprends quelque chose, je veux tout savoir sur le sujet. C'est positif mais aussi très négatif, je pourris mon existence, mais j'apprends beaucoup de choses aussi. Si je tiens à changer l'homme que je suis, je ne pense pas, peut être limité l'alcool, mais pour le moment, c'est bien loin de ce que je pense. Je crois en le pouvoir du sport jusqu'à maintenant ça mon permis de tenir bon, je me laisse vite submerger et en ce moment avec l'entreprise, je ne vois plus les journées passer et les femmes dans mon lit se font assez rare, ça commence à devenir assez pesant, car je n'ai jamais personne dans mon lit plus de trois jours max. Aujourd'hui galerie ou pas, il fallait que je trouve une cible, je ne devais pas passer une semaine de plus sans personne dans mon lit.
Après une matinée plutôt banale, je me présentais comme prévu aux portes de la National Gallery, un nouveau peintre en vogue apparemment et bien voyons ce qu'il a dans le ventre le petit. Entrant, je donnais le billet que m'avait fourni Audric, je ne savais pas qu'on devait aussi avoir ce genre de chose pour voir des croûtes sur toile. Je ravisai mon jugement dans que je tombais sur les premières toiles qui tombaient sous mon nez, Bordel que ce mec avait du talent. Je n'y connaissais pas grand chose en art, je connaissais bien évidemment la base, Picasso et tout la clique, mais là, c'était tout autre chose. Je n'avais jamais ressenti ça, c'était comme si je me voyais à travers, pourtant ce n'était que des couleurs, mais à travers ça, je pouvais sentir une mélancolie profonde quelque chose de pas totalement sur, mais si bien exécuté. Je ne cherchais pas à faire de la philosophie, car je m'en fichais de savoir ce que le peintre voulait exprimer s'il voulait réellement exprimer quelque chose derrière des couleurs superposer. Ça me fasciner et me m'étais en même temps mal à l'aise, je voulais voir des toiles dans les tons légèrement plus ,, et en continuant mon , je me me sentais bizarrement toucher par ce que je voyais et je ne pensais pas ressentir ça pour des simples tableaux. Après avoir vu tout ça, je décidais de présenter mes respects au peintre, être autant bluffé par ce genre de chose mérité d'être mis en avant. Je me dirigeais alors vers une jeune femme à qui je demandais gentiment qui étais le peintre, elle me le désignait avec une telle fierté que je sentis qu'elle était soit de sa famille où soit une fervente admiratrice. Je ne relevais pas plus, car elle me lançait de grand discourt sur son parcours, car c'était sans intérêt et je me dirigeais à grand pas vers le peintre, à choisir, je préférais que celui-ci me raconte lui-même sa vie. Il était bien plus à même de me parler de lui qu'une nana sortis de nul par, et de toute façon, sa vie ne m'intéressais gérer ce que je désirais, c'étais parler de ses toiles pour qu'il puisse m'en vendre pour mon manoir. Le jeune homme avait totalement le look d'un artiste, un look déglingue et surtout, il affichait un air peu sur de lui qui me faisait presque pitié. Plus je m'approchais plus je sentais qu'il rétrécissait sur place, avait-il peur de moi ? Je n'allais pourtant pas le manger, j'avais déjà dévoré une assiette de chili à midi, c'étais suffisant. Il est vrai que j'étais homme à impressionner, je porte toujours une tenue impeccable, si ce n'est pas un costard, c'est un jean et un T-shirt, mais toujours de bon goût et surtout venant de grande marque, c'est pour cela que je pouvais paraitre impressionnant mais vue mon statut, je me devais d'être toujours impeccable, je devais redorer le blason de Delarco qui avais une très mauvaise réputation depuis mon père qui avais arnaqué la moitié de la ville à lui seul. Face au jeune homme, je lui tendis ma main et je me présentais en gardant mon air solennel, car c'était toujours dans mon habitude de rester très droit, ce n'était pas pour autant que je ne savais pas rigoler, bien au contraire.
"- Bonjour, je me présente Daniel Del... Smith. Vous êtes donc l'artiste, je tenais à vous féliciter, vous avez réussi à toucher un homme qui ne trouve peu grand intérêt à l'art. J'aimerais si vous me le permettez parler affaires avec vous. "
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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(✰) message posté Mer 29 Avr 2015 - 18:51 par Invité
Cela faisait maintenant un peu plus de quatre mois que j’avais offert à mon cher et tendre son cadeau de Noël : une exposition à la National Gallery ! Je n’étais pas peu fière de ce que j’avais réussi à élaborer. Il faut dire que j’avais du jouer des pieds et des mains pour lui obtenir cette place de rêve ! J’avais du faire appel à de nombreux contacts, et surtout être assez convaincante pour qu’ils acceptent de lui réserver cet espace. Les dirigeants étaient au départ un peu réticents, mais j’ai su leur vendre les mérites de Rafael. Et ça, c’était pour la simple et bonne raison que je lui faisais une confiance totale, et que j’aimais profondément ce qu’il faisait. Tous ses tableaux arrivent à raconter quelque chose, et ils sont tous magnifiques. Bon, ok, je suis peut-être pas très objective étant donné que je suis folle amoureuse de l’artiste, mais tout de même.
Cela faisait trois semaines que nous exposions, et Rafael était toujours d’une qualité irréprochable. Malgré son stress, il parvenait à se maîtriser et à être présent, pour ses admirateurs, pour des potentiels acheteurs, et pour simplement parler de ses oeuvres. Grâce à lui, je ne craignais en rien pour ma réputation. En effet, il pourrait me mettre dans une situation délicate, et me faire perdre toute crédibilité, mais je lui fais une confiance aveugle, et je sais qu’il ne me décevra pas.
Exceptionnellement aujourd’hui, je n’étais pas à ses côtés, puisque je discutais avec les dirigeants de la galerie, alors qu’un homme, d’apparence plutôt riche, est venu me demander qui était le peintre. Je lui ai répondu, sans vraiment porter attention à ce que cela signifiait. Puis je l’ai vu se diriger vers Rafael, et j’ai vu le visage de mon bien-aimé se décomposer devant moi. J’ai donc fait en sorte de terminer ma conversation avec les dirigeants, rapidement, pour le rejoindre et le soutenir.
Je suis arrivée derrière cet homme, face à Rafael, juste à temps pour entendre ce qu’il lui disait.
« Bonjour, je me présente, Daniel Del… Smith. Vous êtes donc l’artiste, je tenais à vous féliciter, vous avez réussi à toucher un homme qui ne trouve peu grand intérêt à l’art. J’aimerais si vous me le permettez parler affaires avec vous. »
Je passais devant lui, et me plaçais tout à côté de Rafael, pour lui prendre la main et lui montrer que j’étais là. Je mourrais d’envie de l’embrasser, ne serait-ce que pour lui dire un petit bonjour, mais je me devais de rester professionnelle devant un inconnu, et encore plus devant quelqu’un qui apparemment, serait un acheteur potentiel ! Je me suis donc retenue, bien que mourant d’envie de poser mes lèvres sur les siennes.
Pour éviter que Rafael ait à se dépatouiller seul de cet homme, j’ai moi-même répondu, pour engager une conversation.
« Bonjour, Lucy Curtis, attachée de presse de Rika. »
Je prenais bien soin de ne pas l’appeler Rafael devant d’autres personnes, mais utilisais son nom d’artiste, et je serrais la main de ce jeune homme, accompagné d’un sourire.
(✰) message posté Mar 5 Mai 2015 - 0:56 par Edwin Turner
Silent Jealousy
ft. Lucy K. Curtis && Daniel J. Smith-Delarco && Rika Alvarez
Mercredi 15.04.2015 • Central London • Westminster • Trafalgar quare • The National Gallery
Cette expo a l'air de fonctionner, et globalement, c'est ce que Lucy s'efforce de me répéter. Je sais juste pas trop bien si c'est la vérité, ou si c'est juste pour me rassurer. Ce que je sais en revanche, c'est que si je viens régulièrement parce qu'il "faut que je me fasse connaître", je suis franchement pas à l'aise. Je serais tellement mieux au fond de l'atelier avec mes pinceaux, mes toiles et ma palette... Je sais bien que ça fait partie de ce boulot, aussi, et c'est la partie la moins sympathique à mes yeux. Et l'organisatrice en cheville avec Lucy s'empresse à chaque fois de parler de moi et de déballer tout ce qu'elle a réussi à apprendre sur ma vie, ce qui m'évite de devoir répondre à trop de questions, mais me désespère un peu aussi : elle ne peut pas ne pas tout raconter à tout le monde ? Là en l'occurrence, après que ma chère et tendre m'a désigné, elle recommence, jusqu'à me vendre presque littéralement auprès d'un jeune homme manifestement sûr de son charme, et à l'assurance rayonnante. Exactement le genre à côté duquel je fais super tache. Il n'y a bien qu'à côté de Tyler que j'ai cette sensation, et pourtant, face au reste du monde, il se pose là aussi dans le genre assurance rayonnante. Je me suis pourtant redressé à son approche, mais... Non, je ne suis pas à l'aise, donc, et je suis sûr que c'est le genre de mec qui le ressent dans l'instant. Ca m'empêche pas de lui serrer fermement la main, cherchant à rester si ce n'est aussi solennel que lui, au moins un minimum... Mondain. Même si, donc, c'est pas mon truc.
« Bonjour, je me présente Daniel Del... Smith. Vous êtes donc l'artiste, je tenais à vous féliciter, vous avez réussi à toucher un homme qui ne trouve pas grand intérêt à l'art. J'aimerais si vous me le permettez parler affaires avec vous. »
Premier froncement de sourcils à sa présentation. Euh... Pourquoi il se reprend sur son propre nom ? Je peux pas m'empêcher de me demander ce qu'il cherche à dissimuler, et si je suis assez mal placé pour parler au vu de mon propre pseudonyme, ça reste étrange quand on donne un nom... qu'est pas un nom d'artiste. Et puis... Euh... Parler affaires ? Je l'ai dévisagé un instant, d'abord flatté si j'ai vraiment réussi à le toucher avec mes toiles, mais... Non mais par contre, la vente ça sera vraiment pas mon truc, et là, je bloque complètement, en sachant absolument pas quoi lui dire. Et je suis plus que soulagé de sentir la main de Lucy dans la mienne
« Bonjour, Lucy Curtis, attachée de presse de Rika. - Enchanté également M. Smith... Je vous avouerais que la partie commerciale, c'est pas vraiment ma partie... »
Et j'en suis un peu embarrassé, mais je sais franchement pas quoi lui répondre - et faut dire ce qui est, il m'intimide un peu ce type... - à part que...
« Je suis ravi que mes toiles vous plaisent, en tout cas. Flatté, même. »
Et c'est parfaitement sincère, même si on pourrait croire que je dis ça à tout le monde pour faire genre, flatter leur ego. En réalité, je suis réellement flatté quand mes toiles touchent quelqu'un, ça n'a rien d'un genre que je veux donner, c'est juste... ben un peu le but, et y a rien qui pourrait me faire plus plaisir que le fait que ça fonctionne.
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(✰) message posté Mer 13 Mai 2015 - 20:41 par Invité
Silent Jealousy
Rika, Daniel & Lucy
Je me trouvais en face à l'artiste, je ne saurais dire pourquoi je me sentis d'un seul coup mal à l'aise. Ce jeune homme faisait des choses vraiment fabuleuses, mais il semblait tout sauf sur de lui, mais ça ne me surprenait pas, j'avais ressenti cette fragilité dans ses toiles. Quand je lui posais mes questions avec aplomb, j'avais l'impression que le jeune homme allait tomber par terre. Pour lui sauver la vie, j'imagine une jeune femme se rapprochais de nous pour se présenter en tant qu'attachée de presse. Je lui tendis ma main pour la lui serrer avec un petit sourire en coin, elle était vraiment sexy, cela devait être un bonheur de bosser avec une telle beauté. Donc l'artiste se nommer alors Rika, j'étais surpris de constater que j'avais pu lui faire décrocher quelque mots, pour m'annoncer qu'il ne gérer pas la vente de ses tableaux. D'un côté si c'était avec la jolie Lucy que je devais gérer ça, je n'étais pas du tout dégouté bien au contraire. Je serrais là main par politesse au jeune Rika et je me tournais donc vers la jolie Lucy pour lui demander combien je pourrais en avoir pour deux tableaux ici présents. J'étais intéressé par les tableaux qui représenter des femmes, je trouvais que les couleurs étaient parfaites pour mon manoir. Je décidais alors d'être cache et de dire ce que je désirais avant qu'il me passe au-dessus ce qui me serait intolérable.
"- Je vais être honnête Lucy je suis intéressé par deux tableaux en particulier pour mon manoir et j'aimerais vraiment pouvoir les acquérir le plus vite possible, j'organise une réception bientôt chez moi et j'aimerais qu'il s'y soit, vous comprenez j'espère. J'aimerais avant qu'on parle business, combien ça me reviendrait de prendre deux tableaux, pour être pour précis, j'aimerais beaucoup acquérir le tableau de la femme au tatouage et le tableau de la femme brune mélancolique, après ça, je pense avoir quelque commande à faire passer à votre poulain. "
Je lui fis un clin d'œil et je me dirigeais vers le premier tableau qui avait touché la femme au cheveu rouge et au tatouage. Après ça, je me tournais vers Lucy, d'un seul coup l'artiste devenais presque invisible, ce n'était pas ma faute s'il dégager ce genre de chose, ce truc où l'on pourrait ne pas le remarquer, presque invisible. À, c'est une qualité, en tout cas ce n'est pas mon truc de passer inaperçu, ce qui était le cas aussi de la jolie brune. Un corps sublime avec des courbes parfait, un visage doux avec des lèvres pulpeuse qui donne envie de les caresser ou bien plus encore. Si avec deux toiles, je peux aussi repartir avec elle, c'était un bonus à ne pas négliger, comme on dit qui ne tente rien n'a rien.
"- En tout cas je dois dire qu'il n'y a pas que les toiles qui met toucher aujourd'hui. Si nous pouvions trouver un jour pour parler d'art, j'en serais ravi, je boirais chaqu'une de vos paroles. Cela ne vous dérange pas mon cher ? Je demande au cas où parfois que je sais que ça peut mettre mal à l'aise."
En vérité, je m'en fichais que ça le dérange ou pas, mais j'avais besoin de lui alors autant ne pas le froisser avant d'avoir eu ce que je désire non ? En tout cas, je ne passerais pas à côté de cette beauté ses lèvres me faisais déjà rêver, j'imaginé tout un tas de choses avec cette bouche magnifique, d'ailleurs sans m'en rendre vraiment compte, je me mordillais la lèvre inférieure rien que dis penser.
"- En tout cas j'aimerais vous engagez pour que vous fassiez des toiles pour mon bureau et mon bar le NightJar. Cela vous intéresse? "
FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.
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(✰) message posté Sam 16 Mai 2015 - 20:54 par Invité
Mon cher et tendre s’était présenté auprès de cet acheteur potentiel, et ce dernier semblait réellement intéressé par les toiles présentées… Mais pas seulement… Et le premier indice était qu’il m’appelait pas mon prénom, ce que je trouvais un peu déplacé, étant donné que nous étions sensés parler affaire…
« Je vais être honnête Lucy je suis intéressé par deux tableaux en particulier pour mon manoir et j'aimerais vraiment pouvoir les acquérir le plus vite possible, j'organise une réception bientôt chez moi et j'aimerais qu’ils y soient, vous comprenez j'espère. J'aimerais avant qu'on parle business, combien ça me reviendrait de prendre deux tableaux, pour être pour précis, j'aimerais beaucoup acquérir le tableau de la femme au tatouage et le tableau de la femme brune mélancolique, après ça, je pense avoir quelque commande à faire passer à votre poulain. »
Deux tableaux l’intéressaient particulièrement, et représentaient tout deux des femmes… Ce qui montrait encore une fois le goût prononcé de cet homme pour les femmes et leurs corps. Il me demandait le prix de ces tableaux, évidemment, sauf que ça n’était ni l’endroit, ni le moment pour parler de ça. Evidemment, s’il devait acheter ces toiles, nous devrions organiser un rendez-vous, professionnel. Sauf qu’il avait l’air tout sauf professionnel, surtout avec le clin d’oeil qu’il me lançait, tout en se dirigeant vers ces tableaux.
« En tout cas je dois dire qu'il n'y a pas que les toiles qui m’aient touché aujourd'hui. Si nous pouvions trouver un jour pour parler d'art, j'en serais ravi, je boirais chacune de vos paroles. Cela ne vous dérange pas mon cher ? Je demande au cas où parfois que je sais que ça peut mettre mal à l’aise. »
Il était si méprisant avec Rafael que cela me mettait dans une colère inimaginable. Et puis, en gros, il me proposait un rancard quoi… Hors de question.
« Je vous arrête tout de suite monsieur Smith. Je peux organiser un rendez-vous professionnel avec vous pour la vente de ces toiles, mais je ne peux accepter plus. »
J’avais bien envie de lui dire que j’étais déjà folle amoureuse, et de préciser qu’il s’agissait de l’artiste peintre qu’il méprisait tant, mais j’avais quand même envie de voir la réaction de mon petit ami. Donc je me taisais, mais je restais très froide, et ne souriais plus.
« En tout cas j'aimerais vous engager pour que vous fassiez des toiles pour mon bureau et mon bar le NightJar. Cela vous intéresse ? »
Cette fois-ci, ça n’était pas à moi de répondre, et je tournais la tête vers Rafael, tout en le regardant amoureusement. Ce mec ne m’inspirait pas confiance, il était bizarre, et il avait l’air des plus méprisables. Mais je me devais de rester le plus pro possible, donc je m’abstenais de tout commentaire.
(✰) message posté Sam 13 Juin 2015 - 15:53 par Edwin Turner
Silent Jealousy
ft. Lucy K. Curtis && Daniel J. Smith-Delarco && Rika Alvarez
Mercredi 15.04.2015 • Central London • Westminster • Trafalgar quare • The National Gallery
Il est sûr de lui, ça transpire de chaque pore de sa peau et disons que moi en face, j'ai encore plus de mal à être serein que d'ordinaire. Déjà que les contacts sociaux et moi... Hum... Je m'en tiens au minimum, soulagé de voir Lucy me rejoindre. Et assez vite de nouveau perturbé parce que je vois bien comme il regarde ma petite amie. Et autant je suis fier qu'on la trouve jolie et désirable - je risque pas de dire le contraire - autant le voir aussi confiant dans sa capacité à la séduire ne me fait absolument pas plaisir. D'autant moins que je deviens aussitôt invisible - et si d'ordinaire ça m'arrange, là, exceptionnellement, c'est tout le contraire.
« Je vais être honnête Lucy je suis intéressé par deux tableaux en particulier pour mon manoir et j'aimerais vraiment pouvoir les acquérir le plus vite possible, j'organise une réception bientôt chez moi et j'aimerais qu'il s'y soit, vous comprenez j'espère. J'aimerais avant qu'on parle business, combien ça me reviendrait de prendre deux tableaux, pour être pour précis, j'aimerais beaucoup acquérir le tableau de la femme au tatouage et le tableau de la femme brune mélancolique, après ça, je pense avoir quelque commande à faire passer à votre poulain. »
Je tique un peu. Pas sur le fait qu'il préfère les deux tableaux féminins, je les aime beaucoup aussi, et ça va avec le personnage dirons-nous. D'ailleurs, je songe à reprendre celui du temps, et de lourdes boucles blondes s'imposent de plus en plus à mon esprit. Mais là, c'est surtout que le tableau de la femme brune mélancolique, comme il dit, ma Selene, c'est Lucy. Et s'il y a bien une toile que j'ai pas envie de vendre, c'est celle-ci. Bon, et celle que personne connaît qui se trouve chez Tyler, mais y a pas de risque.
« En tout cas je dois dire qu'il n'y a pas que les toiles qui m'aient touché aujourd'hui. Si nous pouvions trouver un jour pour parler d'art, j'en serais ravi, je boirais chacune de vos paroles. Cela ne vous dérange pas mon cher ? Je demande au cas où parfois que je sais que ça peut mettre mal à l'aise. - Je vous arrête tout de suite monsieur Smith. Je peux organiser un rendez-vous professionnel avec vous pour la vente de ces toiles, mais je ne peux accepter plus. »
J'arque un sourcil à la façon dont il s'adresse à moi. Euh... Tu me prends pour ton larbin ou... ? Mais la façon dont réagit Lucy me rassure pas mal en revanche, et un petit sourire fleurit sur mes lèvres à sa façon de le rembarrer. Ce qui ne l'arrête pas, et quelque part tant mieux parce qu'autant sa façon de draguer ma copine me déplaît, autant le fait qu'il souhaite m'embaucher, c'est plutôt, non même très, positif.
« En tout cas j'aimerais vous engager pour que vous fassiez des toiles pour mon bureau et mon bar le NightJar. Cela vous intéresse ? - Ben c'est à dire que si vous me demandez de peindre, a priori, oui, ça m'intéresse. Plus que de vous voir tourner autour de ma copine, en tous les cas. Après tout dépend des conditions en fait, vous avez une idée de ce que vous souhaitez ?... »
Parce que si je suis trop engoncé dans son cahier des charges trop précis, je sais bien que je serai jamais content du résultat. Tout va dépendre de ce qu'il souhaite mettre en place, de la liberté que je vais avoir. Après pour ce qui est de l'aspect financier... on va pas se mentir, ça me passe un peu au-dessus. Pour le reste... Faudra juste qu'il fiche la paix à ma petite-amie, et ça devrait pouvoir bien se passer.
« Hum... La galerie ferme dans une demi-heure. On peut peut-être en discuter autour d'un verre à ce moment-là ? Si ça te va... »
Je me suis tourné vers Lucy sur cette dernière phrase. C'est surtout elle qui va négocier, alors autant que le lieu et le moment lui conviennent... A lui aussi, évidemment, mais ma première inquiétude est pas vraiment dirigée vers lui, étrangement... D'ailleurs, ça aurait pas eu lieu d'être, parce qu'il a accepté d'emblée, manifestement ravi à l'idée que l'on envisage de répondre favorablement à sa requête. Et après la fermeture, on est partis tous les trois, discuter de ce qu'il voulait et des conditions de son offre aussi. Enfin Lucy a parlé avec lui, surtout, me demandant parfois mon avis. J'ai surtout émis quelques objections, en réalité, notamment pour ma Princesse de la Nuit qu'il était hors de question que je vende. Je suis pas étonné que mes tableaux représentant des femmes lui plaisent plus que les autres, mais je le suis cependant qu'il ait l'air sincèrement réceptif à mon art. Et si l'homme en lui-même ne me plaît pas beaucoup - et sa façon de regarde Lucy surtout - l'amateur d'art a tout mon respect, d'autant que cette commande fait clairement décoller ma carrière - et du bien à mon compte en banque. Il faudra quelques longues semaines pour que je vienne à bout de l'ensemble des toiles demandées en plus de celles qu'il a acheté sur place, mais clairement, je m'en sors avec un cumul suffisamment confortable pour le reste de l'année. Plus qu'à espérer qu'il fasse des émules, donc...