"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici romelias ✻ can't keep my hands off you. (hot) - Page 2 2979874845 romelias ✻ can't keep my hands off you. (hot) - Page 2 1973890357
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() message posté Ven 3 Juil 2015 - 20:48 par Invité

can't keep my hands off you
ROMEO DAVENPORT & ELIAS HANWELL

you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ « J’ai envie de toi… » Je souris contre ses lèvres avant d'en mordre l'inférieure en m’éloignant, fier de moi. Le jour ou il n'aura pas envie de moi, je pourrai sérieusement m'inquiéter pour notre couple. Le pire, c'est que ça marche à chaque fois... Le chauffer pour en revenir à un sujet sérieux. C'est mal, je le sais, mais j'adore jouer et le voir frustré. Faire monter son désir petit à petit jusqu'à ce que je n'ai plus mon mot à dire - mais là, on en est encore loin. J'ai beau avoir envie de lui, je tiens à ce qu'on termine cette conversation. « T’es horrible avec moi, tu le sais ça hein ? » Je me mords la lèvre et me place à califourchon, étant dans une position assez inconfortable. C'est beaucoup plus facile de l'empêcher de se redresser comme ça. « Jamais. J'oserais pas. » Je prends un air outré et souris, amusé. On sait tous les deux qu'il gagnera ce petit jeu en fin de compte, la patience est une vertu Davenport. « Septembre me semble bien. Et pour la famille, t’as carte blanche. Je veux dire, c’est ta famille Elias. Peu importe que t’en invite cinquante ou cinq… tout ce que je veux moi, c’est que tu sois heureux. » Je souris, même si j'aimerais qu'on prenne cette décision ensembles. Pas qui j'invite et qui je " sacrifie " car Romeo ne peut savoir de qui je suis ou non proche... Mais s'il ne veut pas d'un grand mariage, je ne veux pas aller à l’encontre de son idée. Puis la date... Même si j'approuve, j'ai du mal à imaginer le mariage dans trois petits mois. Je n'ai pas peur, ce n'est pas nous le problème, mais plutôt l'organisation... Et une famille éparpillée sur 3 continents à rassembler en si peu de temps. Ne reste qu'à espérer que leurs patrons respectifs seront assez sympas pour leur filer plusieurs jour de congé, qu'ils puissent tous avoir le temps de se remettre du décalage dans les deux sens. Romeo tante de se redresser et je l'en empêche, pressant mes cuisses contre le sienne pour ne pas lui laisser la moindre chance d'utiliser la force de ses jambes pour se redresser. « Et non, je n’ai rien contre une mère porteuse. En fait, j’en ai rien à faire que le gosse soit de moi ou pas. Tout ce que je veux, c’est un gosse, voire deux voire une dizaine. J’aime les gosses, je t’aime toi, je ferais n’importe quoi pour nous offrir la vie dont on rêve… Au pire, on aura qu’à alterner les deux… c’est possible et comme ça tout le monde il est content. » Je perds ma concentration un quart de seconde pour réfléchir à tout ça et il en profite pour me voler un baiser, sale gosse. Je me retiens de rire et encercle sa tête de mes mains, perdant toute ma volonté à le garder concentré sur cette conversation. Même si j'ai hâte d'agrandir notre famille - qu'on en forme une officiellement déjà -, nous ne somme pas pressés. Personne ne va mourir si on ne décide pas ce soir du nombre d'enfants qui rempliront notre vie ni du moyen auquel on aura recourt. J'ai l'impression qu'autant les enfants que le mariage ne l’intéresse qu'à moitié ce soir, qu'il est prêt à me dire oui à tout alors je n’insiste plus. Je frissonne quand ses doigts se baladent sur mes hanches et plante mon regard dans le sien. « Par contre, pour la nuit de noce… Je veux la totale. » Je me mords la lèvre inférieure et tente d'ignorer le feu qui se ranime dans région sud de mon anatomie. « Pourquoi ? » Je demande, en me penchant en avant pour lui mordre l'épaule, embrassant ensuite la marque ça lui a laisser et ainsi de suite au fur et à mesure que je descends mes baisers. « T'es pas satisfait les autres jours? » Je murmure et remonte jusqu'à sa mâchoire à laquelle je m'attaque en prenant soin de me plaquer contre lui pour qu'il n'ignore rien de mon désir pour lui. Adieu mariage et enfant, du moins pour l'instant.  Je le veux, piégé à mon propre jeu comme d'habitude. Dire que je dormais juste avant qu'il ne rentre et frôlait l'épuisement... Je fini par me redresser et sortir de la baignoire en tentant tant bien que mal de ne pas tomber ou lui marcher dessus (note si on déménage une nouvelle fois : baignoire XXL de préférence). Là ce n'est pas pratique, c'est petit (et pour rappel je suis épuisé!) et l'eau dans laquelle on baigne m'ennuie plus qu'elle ne me donne envie. Je lui tends la main dés que je suis sorti de la baignoire pour l'aider à se redresser lui aussi et en sortir, et surtout ne pas le laisser penser que j'abandonne en cours de route. J'ai beau aimé le chauffer, je ne suis pas sadique à ce point... Pas aujourd'hui en tout cas. Dés que nos 4 pieds sont en équilibre sur le carrelage, je me cambre contre lui en laissant mes bras entourer sa taille pour le serrer contre moi et récupérer plein pouvoir sur ses lèvres. « Je te veux. » Je murmure, le souffle saccadé par l'excitation, avant d'embrasser le lobe de son oreille. « Pour le meilleur. Et pour le pire. » J'entrecoupe mes mots de baisers, souriant contre sa peau, fier de mentionner ni vu ni connu le sujet initial. « Et là. Tout de suite. » Surtout. Je suis totalement à sa merci, attendant qu'il s'occupe de moi jusqu'à épuisement - ce qui ne sera pas bien difficile à atteindre. Je le veux tellement que c'en est presque douloureux, mais c'est là la meilleure sensation qui puisse exister. Ma pression sanguine augmente et me fait délicieusement souffrir, mon corps me supplie de le soulage mais je choisi de l'ignorer laissant mon corps glisser et descendre contre Romeo jusqu'à ce que je me retrouve à genoux. Je plante mon regard dans le sien une fraction de seconde, juste assez pour y déceler son désir, et ne perd pas un moment de plus avant de m'atteler à la tâche. Je veux être certain que personne ne pourra jamais lui donner autant de plaisir, l'aimer et le désirer comme je le fais chaque minute... et j'ai paraît-il eut un bon professeur pour le lui prouver.
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() message posté Dim 5 Juil 2015 - 13:18 par Invité

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ROMEO DAVENPORT & ELIAS HANWELL

you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ Je souris et me laisse tomber contre Elias qui s’évertue, malgré la fatigue, à m’embrasser la nuque. Ses bras autour de ma taille, je profite du moment pour reprendre pleine possession de mon esprit qui m’a lâché au moment même où Elias s’est agenouillé face à moi. Avec un sourire, je repense au carnage qu’on a laissé derrière nous et vient presque à prier pour que rien ne soit cassé. Vu la violence de la chose, je doute que tout soit intact. Personnellement, je suis loin de l’être. Meurtri par Elias et sa soudaine envie de domination, j’essaie de faire abstraction de la douleur que je ne regrette absolument pas. Je lui ai fait subir bien pire le jour de son anniversaire et je dois bien avouer en être plutôt fier. Avec un dernier baiser, Elias retire ses mains avant de quitter la cabine de douche dans laquelle on s’est réfugiés une fois notre petite aventure terminée. Personnellement, je préfère rester. Ne serait-ce que quelques minutes de plus. J’ai besoin de reprendre mes esprits, besoin de revenir sur terre. Toujours souriant, je regarde Elias enfiler son boxer et ne peut m’empêcher de me mordre les lèvres tant son corps est parfait. J’ai beau être destiné à être recouvert de bleus, j’avoue ne pas être contre un deuxième round. Ca serait l’occasion parfaite pour lui rendre l’appareil, l’occasion parfaite de compléter son éducation sexuelle. Malheureusement pour moi, l’envie de suffit pas et mon niveau d’énergie étant au plus bas, je doute être capable de faire quoi que ce soit de bien intéressant. Je prends donc sur moi et baisse les yeux, profitant de l’eau qui roule sur mon pauvre petit corps endolori. Petit corps souillé jusqu’à l’os mais petit corps qui en redemandera surement demain. Fatigué et à bout de nerf, j’éclate de rire, me traite mentalement de trainée avant de couper l’eau. Hors de la douche, je m’essuie à la va-vite et enfile un des boxers qu’on a pris soin de préparer avant de se glisser sous la douche. Devant le miroir, je constate l’étendu des dégâts et souris de plus bel. Mes épaules portent les marques de la mâchoire d’Elias me donnant l’impression d’avoir été victime d’un viol. Ce qui, bizarrement, ne me dégoute pas plus que ça. Laissant mes mains glisser sur mon entre jambe, je serre les dents. Ouip, j’aurais surement des bleus. Ca m’apprendra à le chercher… ! Enfin bref, je ne vais pas me plaindre, autant Elias que moi avons pris notre pied et comme déjà dit : ce n’est que justice. Arrivé dans la chambre, je me penche sur le lit avant de m’y mettre à quatre pattes. Fatigué, mais toujours moi même, je vais jusque à lui, pose sur la table de chevet le téléphone avec lequel il semblait s’occuper et me place à califourchon au dessus de lui. Position pas forcément des plus agréable pour moi mais autant combattre le mal par le mal. Les deux mains sur sa poitrine, je me penche au-dessus de lui et l’embrasse avant de sourire contre ses lèvres. « Je crois que tu m’as cassé. » Je lui vole un baiser et me redresse, tout sourire. « Je vais avoir l’air d’un con demain au boulot à marcher comme un canard. » Moi au moins, j’avais eu la décence de faire ça un soir de week-end, lui laissant le temps de s’en remettre. Certes il portait toujours certes marques mais lui avait eu le temps de se débarrasser de la douleur avant d’aller bosser. J’en viens presque à me demander si son élan de sauvagerie n’aurait pas un rapport avec ce que j’ai pu dire concernant notre future nuit de noce. « T'es pas satisfait les autres jours? » Ses mots résonnent dans ma tête et je souris, laissant mes doigts faire des va-et-vient sur son torse. Satisfait, je le suis depuis le premier jour. Je ne dis pas que je serais toujours avec Elias si monsieur c’était révélé être un piètre amant mais ce n’est pas ce qui m’intéresse le plus chez lui, plus aujourd’hui du moins. Car je dois bien avouer que l’amour n’avait jamais été l’une de mes priorités avant lui. Heureusement pour moi, Elias a su faire chavirer cette petite chose qui me sert de cœur… Je ne serais surement pas là sans lui. Le sourire aux lèvres, je laisse plusieurs secondes de silence s’écouler avant de baisser les yeux vers le tatouage qui recouvre l’une de ses hanches, prenant un malin plaisir à en détourer les contours du bout des doigts. « Je veux que tu portes mon nom. » Je souris un peu plus tout en gardant les yeux rivés sur ses hanches. Je connais son avis sur la question et je sais que je ne le ferai pas changer d’avis. Mais je refuse d’abandonner. Et je lutterai jusqu’à notre mariage s’il le faut. « Je veux qu’on célébère ça chez ma grand-mère. » Je relève les yeux, conscient de ne pas lui avoir laisser le temps de répondre à ma première requête. Avec un peu de chance ma liste de souhait lui fera oublier ce petit égarement. « Je veux que tout ceux à qui tu tiens soient là. Peu importe le nombre. Je veux te voir en costume trois pièces. Je veux voir Noam avec les alliances. Je veux que tu danses avec ta mère. Je veux un groupe, pas un DJ – sérieusement, les DJ c’est débile. » Je ris doucement avant de reprendre. « Je veux des enfants, je veux… je veux t’offrir un enfant de moi puis en adopter un autre, puis un autre, puis un autre. » Je me baisse vers lui et l’embrasse, tout à fait conscient que la première de mes petites demandes risques d’entacher tout le reste. Mes deux mains contre sa poitrine, je reste contre lui. « Je veux que tout soit à ton image, parfait. » Je souris et l’embrasse une nouvelle fois. Jamais je ne m’aurais cru aussi pointilleux. Jusqu’ici, la seule chose qui m’intéressait était de me marier et de fonder une famille. Je ne me suis jamais arrêté aux détails. Détails qui ne sont pas à négliger et qui semble le préoccuper. Je ne veux pas le laisser seul à prendre les décisions. Je ne veux pas lui donner l’impression que tout ça n’est qu’une façon de plus d’avoir ce que je veux. Je tiens à lui, je tiens à Noam. C’est à moi de faire l’effort de m’intéresser un peu plus. Quitte à devenir fou. Le manque d’organisation étant le premier de mes défauts.
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() message posté Mer 8 Juil 2015 - 21:18 par Invité

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ROMEO DAVENPORT & ELIAS HANWELL

you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ Si je tiens debout, c'est uniquement grâce à la paroi de la douche d'un côté et le poids de Romeo appuyé contre mon corps de l'autre. Mes jambes sont en cotons, j'ignore comment elles parviennent encore à me porter... Mes lèvres sont enflées mais je les laisse prendre possession de son cou une énième fois. Même à bout, épuisé aussi bien physiquement que mentalement, je pourrai continuer à embrasser sa peau pendant des heures. Je fini pourtant par me détacher de lui quand j'estime que l'eau a assez apaisé ma peau brûlante et me presse - dans une dernière poussée d’énergie - à me sécher et enfiler mon caleçon. Je parviens à la chambre même si mon corps menace de me lâcher à tout moment et m'écroule sur le lit dés que j'en suis assez proche. Je pourrais garder cette position d'étoile de mère toute la nuit, je sais que si je ferme les yeux, je sombrerai comme si l'on venait d'éteindre un interrupteur. Je me glisse lamentablement jusqu'à ma place et fini par me redresser contre la tête de lit : je tiens à lui souhaiter une bonne nuit avant de passer de ses bras à ceux de Morphée. Le traître que je suis. Je ne sais pas s'il traîne ou si je suis juste KO mais le temps me semble tellement long que je fini par me perdre sur instagram pour garder les yeux ouverts. Quand on dit que le sexe joue sur le bien-être d'une personne, ce n'est pas de la luxure. Chacun de mes muscles et complètement relaxé - bien que douloureux -, j'ai l'impression de flotter et ce sans toucher aux petits gâteaux magique du cousin Davenport. Je souris en voyant sa tête d'abrutis sur une photo qu'il vient de publier en compagnie de son "meilleur ami"... Ils ont l'air encore bien défoncés. La porte de la chambre s'ouvre et se referme derrière Romeo et je n'ai pas le temps d'abandonner mon portable à son profit qu'il me le retire des mains. Je l'observe et laisse mes maison trouver naturellement leurs places sur ses cuisses quand il se positionne sur moi. Pas de deuxième round aujourd'hui bébé, il y a des gens qui bossent tôt demain. Genre moi. . « Je crois que tu m’as cassé. » Je souris contre ses lèvres et caresse ses cuisses du bout des doigts, comme si cela pouvait apaiser sa douleur. « Je vais avoir l’air d’un con demain au boulot à marcher comme un canard. » Je ne peux m'empêcher de rire. Combien de fois, surtout au début de notre relation, ai-je cru ne jamais être capable de me relever le lendemain? De marcher? « Je te pensais plus solide que ça... Tu veux un bisous magique? » Je souris d'un air moqueur et pince doucement sa peau en prenant soin de ne pas lui faire de mal. Puis il la mérité pour avoir fais de moi une loque il y deux jours. J'ai presque cru que je n'en remettrais pas... Je devrais peut-être commencer à m’inquiéter pour la nuit de noce... Si ça ce n'est que l'échauffement, je ne suis pas certain de survivre au prochain niveau. Je savoure le silence qui règne dans la chambre et observe ses doigts sur ma peau, l'esprit vide. Je ne pense à rien ni personne, me contentant de savourer ce moment de calme et les caresses de l'homme de ma vie. « Je veux que tu portes mon nom. » Je sors de ma léthargie pour relever les yeux vers lui, même s'il regarde lui ailleurs. On en a déjà vaguement parlé et je lui ai fais comprendre, le plus poliment possible, que mon nom me tenait à cœur et comptait surtout beaucoup pour mon père. C'est plus ou moins la seule chose qu'il lui reste depuis mon coming-out, l'espoir de voir son nom continuer sur les générations. « Je veux qu’on célèbre ça chez ma grand-mère. » Je souris, sans commentaire. J'essaye d'imaginer les lieux transformés pour notre mariage... Je n'ai pas vraiment pu découvrir le jardin puisque notre dernière visite remonte à cet hiver. Mais si ça lui fait plaisir, et surtout que sa grand-mère est d'accord, ça me va aussi. « Je veux que tout ceux à qui tu tiens soient là. Peu importe le nombre. Je veux te voir en costume trois pièces. Je veux voir Noam avec les alliances. Je veux que tu danses avec ta mère. Je veux un groupe, pas un DJ – sérieusement, les DJ c’est débile. »  Peu importe le nombre? Parce qu'on est vraiment beaucoup chez les Ioannis. Un peu moins chez les Hanwell mais quand même. Je ne le coupe pas et écoute chacune de ses demandes sans broncher, rassuré qu'il aie des exigences sur notre union. « Je veux des enfants, je veux… je veux t’offrir un enfant de moi puis en adopter un autre, puis un autre, puis un autre. » Je me pince les lèvres. Ne pas pouvoir lui donner un enfant qui sera à la fois de lui comme de moi est sans aucun doute l'élément de mon homosexualité qui me gêne le plus. Malheureusement, il ne s'agit pas de quelque chose qui risque d'être possible un jour et j'ai appris à me faire à cette idée. Je veux juste qu'il aie la chance de retrouver ses traits chez un de nos enfants - même si je cherche toujours les miens chez Noam, en soit. Et pourtant il est de moi, promis, juré, craché. Toujours est-il que même si les liens du sang ne font pas tout, je veux qu'il vive la paternité à 100% . Qu'on adopte un, deux ou trois enfants, qu'il adopte Noam avant tout mais qu'on aie recourt à une mère porteuse. Je compte les aimer de la même façon tous autant qu'ils soient, mais j'y tiens... Peut-être aussi pour avoir la chance d'avoir un bébé dés le jour 1 - Celui qu'on retient, celui qui s’efface - ce qui arrive rarement avec l'adoption. « Je veux que tout soit à ton image, parfait. » Je lui rends son baiser et attrape sa main pour l'embrasser quand il s'éloigne.  « Je suis loin d'être parfait. » C'est qu'il m'angoisse plus qu'il ne me rassure avec ça. « Tu te ferais chier si je l'étais. » Je souris et croise mes bras derrière son dos pour le garder contre moi. J'essaye de réfléchir à tout ce qu'il a mentionné pour ne rien laissé aux oubliettes mais la fatigue n'aide pas ma concentration qui s'est fait la malle avec mon énergie. « Pas de mariage en shorts et tongs? Tu ruines mes rêves. Même un training ça passe pas? » Je souris et me mords le coin de la lèvre. Oui de tout ce qu'il vient de me dire, je commence par le moins important, car le plus logique. Je compte bien essayé d'être le plus beau le jour J pour qu'il n'aie aucun remord de dernière minute. « On le fera chez ta grand-mère, si elle est d'accord bien sûr. » C'est pas tout, mais même si mamy est une de nos plus grande supportrice sur le plan familiale, elle n'en reste pas moins âgée et rien ne nous dit qu'elle aie envie de recevoir un tas d'inconnus. « Pour le nombre d'invités, je ferai la liste samedi. J'essaye toujours de me décidé si je veux qu'ils soient tous là, ou si je me contente des plus proches. Ça dépend de la taille du jardin de ta grand-mère j'imagine. En priant pour qu'il ne pleuve pas, accessoirement. » Grande nouvelle : non Elizabeth II n'est pas sa grand-mère, nous n'avons donc pas un château à disposition. Ça dépend aussi de la date et vu ce qui a été annoncé précédemment, ça risque d'arriver très rapidement, laissant des délais très courts pou la famille " éloignée " faire le voyage, prendre congé etc. « Je veux qu'on se renseigne pour l'adoption et la mère-porteuse rapidement après le mariage. Les procédures prennent du temps et même si on a encore toute la vie devant nous, je veux que Noam soit élevé avec ses frères et sœurs, pas qu'il aie déjà bien grandi à l'arrivée du reste de la tribu. » Les Ioannis sont encore plus nombreux que les Hanwell, j'ai grandi entourés de mes sœurs et de tous mes cousins - pour ceux qui étaient à New York du moins - et même si ça gueulait souvent pour des broutilles, c'est ce que je veux. Le nombre d'enfants que Romeo énumère ne me fait pas peur, pas du tout. Tant que nous sommes capables de leur accorder du temps et de les assumer financièrement, le nombre n'a aucune importance. « Et pour le reste de l'organisation, tout me va. Je transmettrai les exigences de monsieur à Loys et Lyla. » Je souris. En fait inutile de débattre sur tout ce qu'il a énoncé concernant le mariage, ça me va. Les détails de la fête m'importe peu : la couleurs des nappes, le repas, le gâteau, dj ou groupe... Ce qu'il veut, ce que les filles veulent, c'est ce que je veux - tant que ça reste raisonnable. « Pour ton nom... » Je me mords la lèvre et plante mon regard dans le sien. J'aurais préféré ne pas en parler pour ne pas casser l'ambiance de cette soirée parfaite... Mais je préfère être honnête que l'ignorer. « Mon père ne survivrais pas si je perdais son nom... Il y tient beaucoup. Et moi aussi... C'est ma famille, mon héritage. » Et Dieu sait à quel point c'est une fierté chez les Hanwell. Je suis le seul enfant capable de faire perdurer celui-ci, mon père ne s'en remettrait pas si je décidais de l'abandonner. « Mais c'est aussi le tient, celui de ton père... » Je m'humecte les lèvres et inspire en l'observant. Enfant unique, Romeo est le seul à voir cette chance également et surtout à pouvoir rendre hommage à son père, ce pourquoi je ne lui ai jamais demandé de prendre le nom Hanwell. « Les enfants auront nos deux noms. » Je force un sourire, tout en sachant qu'il en veut plus, que ce n'est pas la réponse qu'il attend de moi. Je garde le silence quelque secondes et laisse mes doigts se dénouer dans son dos pour pouvoir entremêler nos doigts et jouer avec son anneau. « Nous aussi. » J'ai l'estomac noué, conscient que je ne pourrai jamais revenir sur ces paroles et qu'elles risquent fortement de provoquer une nouvelle crise avec mon père. « Si ça te convient... Si tu ne me demandes pas de renoncer au nom Hanwell, je prendrai ton nom. Toi le mien, j'espère. » Je force un sourire mais suis beaucoup trop nerveux pour cela. J'ai peur qu'il veuille que je prenne son nom en renonçant au mien, comme une femme, ce que je n'accepterai jamais. Tant par soucis d'égalité dans notre couple que par respect pour mon père.
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() message posté Sam 11 Juil 2015 - 10:34 par Invité

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you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ Ses doigts qui glissent sur mes cuisses m’électrisent et m’arrache un sourire satisfait. On a beau être ensemble depuis bientôt un an, je ne suis pas sûr de pouvoir un jour m’y habituer. « Je te pensais plus solide que ça... Tu veux un bisou magique? » Je souris un peu plus et laisse mes mains glisser sur son torse que j’aurais bien envie de griffer tant sa proposition me semble indécente. Je suis suffisamment frustré par ma fatigue pour que monsieur en remette une couche. Et puis faut dire que je n’ai pas forcément la tête à ça, là, tout de suite. Sans trop savoir pourquoi, j’ai la tête remplie de détails à la con concernant le mariage, concernant notre avenir. Tout en énumérant mes préférences, je me laisse aller à imaginer tout ce que le jardin de ma grand-mère pourrait nous offrir. Je finalement ma longue liste par un baiser et souris un peu plus en le voyant attraper l’une de mes mains. J’en viens presque à craindre qu’un jour monsieur me les coupe ; Juste histoire de pouvoir les garder près de lui. « Je suis loin d'être parfait. Tu te ferais chier si je l'étais. » Sentant ses bras s’attaquer à mon dos, je me laisse aller contre lui. Sa chaleur étant le meilleur moyen de m’anesthésier l’esprit. Parfait, il l’est à mes yeux. Aussi bien physiquement que psychologiquement. Il est mon âme sœur et plus je passe de temps contre lui plus j’en suis persuadé. Il est le seul que j’aime, le seul qui serait capable de m’exciter à longueur de journée. J’embrasse sa mâchoire en souriant. « Tu l’es à mes yeux. »  Peu importe le bordel qu’il laisse derrière lui quand il s’occupe de Noam. Peu importe ses petites remarques concernant ma façon d’élever notre fils. Il est parfait pour moi, pour ma personne. Il est fait pour moi et personne ne me surprendra un jour dire le contraire. A moins que je sois en colère… j’ai tendance à devenir con quand je suis en colère. « Pas de mariage en shorts et tongs? Tu ruines mes rêves. Même un training ça  passe pas? »  J’éclate de rire contre lui. C’est que monsieur se fout de ma gueule en plus ! Bon ok le coup des costumes était assez logique mais je tenais juste à signaler combien monsieur allait me faire perdre les pédales le jour où je le verrais zapper comme le prince australo-grec qu’il est. Avec un sourire, je passe mes bras autour de son cou. « T’es con. » Je le dis avec autant d’amour que j’ai en réserve et laisse mes mains glisser dans ses cheveux. « On le fera chez ta grand-mère, si elle est d'accord bien sûr. » Je garde mon sourire et hausse les épaules. Ma grand-mère ne dira jamais non à l’idée de recevoir une centaine de personne chez elle. Elle adore faire ce genre de trucs, surtout si ça lui permet de pouvoir gérer les préparatifs. Mamie Davenport n’est pas du genre à partager les tâches et j’imagine d’ici le genre de problèmes qu’elle pourrait causer aux sœurs Hanwell qui, j’en suis sûr, ne seront pas contre l’idée de mettre les mains à la pâte. Avec un peu de chance, elles ne s’entre-tueront pas.  « Pour le nombre d'invités, je ferai la liste samedi. J'essaye toujours de me décider si je veux qu'ils soient tous là, ou si je me contente des plus proches. Ça dépend de la taille du jardin de ta grand-mère j'imagine. En priant pour qu'il ne pleuve pas, accessoirement. » Je lève les yeux au ciel, essayant d’imaginer, de quantifier la surface disponible. Le jardin de ma grand-mère étant, à la base, destiné à accueillir un champ de fraise, je suis presque persuadé de pouvoir y caser la presque totalité de la famille. Après, mes souvenirs datent avant tout de mon enfance et je ne suis pas sûr de pouvoir me fier à l’idée que j’en ai.  J’ai bien grandi depuis notre dernier banquet je ne suis pas vraiment sûr que ça soit aussi grand aujourd’hui. Une chose est sûre, il va falloir faire du ratissage. Le jardin étant à l’abandon depuis la mort de mon père, mon père et son feu propre père étant les seuls n’ayant jamais eu les capacités à le tenir en ordre.  « Je veux qu'on se renseigne pour l'adoption et la mère-porteuse rapidement après le mariage. Les procédures prennent du temps et même si on a encore toute la vie devant nous, je veux que Noam soit élevé avec ses frères et sœurs, pas qu'il aie déjà bien grandi à l'arrivée du reste de la tribu. » Je baisse les yeux vers Elias et affiche un immense sourire. On va vraiment finir par l’avoir cette équipe de foot ! Personnellement, ça ne me dérange pas. J’adore les enfants et l’idée de me retrouver à la tête d’un petit clan Hanwell m’enchante plus qu’il ne m’effraie. Je m’imagine déjà leur courir après tant ils seront nombreux. J’aurais juste aimé pouvoir lui en offrir un  à nous. Avec un sourire, j’embrasse son front. « J’aime bien l’idée de la tribu. »  On aura qu’à prendre une énorme baraque avec un jardin aussi grand que celui de ma grand-mère. On pourrait construire des cabanes ou planter des tipis. Et une piscine, je veux une piscine pour pouvoir le voir nu à l’intérieur une fois les gamins au lit. Toutes ces petites perspectives d’avenir me plaisent tellement que j’en suis presque triste de ne pas pouvoir les vivre dès aujourd’hui. « Et pour le reste de l'organisation, tout me va. Je transmettrai les exigences de monsieur à Loys et Lyla. Pour ton nom... » Je déglutis doucement et m’éloigne de lui pour pouvoir planter mon regard dans le sien. Je savais que ce n’était pas tomber dans l’oreille d’un sourd et viens presque à regrette d’avoir lancé le sujet. On était si bien…  « Mon père ne survivrais pas si je perdais son nom... Il y tient beaucoup. Et moi aussi... C'est ma famille, mon héritage. Mais c'est aussi le tient, celui de ton père... » Je force un sourire, prenant conscience qu’il peut être difficile d’abandonner son nom, ses racines. Je tiens à mon nom autant que je tiens aux souvenirs qui s’y rattachent. Je suis le seul à avoir hérité du nom de mon père et serait bien incapable d’y renoncer. C’est tout ce qu’il me reste de lui, ça et ma mère. Je laisse mes mains quitter ses cheveux pour finalement les replacer sur sa poitrine. Prêt à m’excuser pour avoir été si lourd avec ça. « Les enfants auront nos deux noms. » Je lève les yeux vers lui et le laisse attraper mes mains. Je sens mon anneau rouler autour de mon doigt et force un sourire. Que nos gosses portent nos deux noms était une évidence pour moi. J’ai beau prendre conscience qu’Elias tient à ses noms, je serais bien incapable de me priver de la chance de pouvoir transmettre le mien et celui de mon père. « Nous aussi. » Assez surpris, je fronce les sourcils. Ce con était parti pour me mettre en vrac et le voilà qui hoche la tête gentiment. Sale gosse. Sans pouvoir me contrôler je me mets à sourire  comme un gamin avant de baisser les yeux sur nos mains. « Si ça te convient... Si tu ne me demandes pas de renoncer au nom Hanwell, je prendrai ton nom. Toi le mien, j'espère. » Je relève les yeux, assez surpris de la nervosité d’Elias. Sans un mot, je me penche vers lui et l’embrasse doucement. « Rien ne me ferait plus plaisir Elias… » Dis-finalement en souriant avant de laisser mes mains remonter jusqu’à ses joues que je caresse en silence. Porter son nom serait un honneur pour moi. Rien que l’idée de me savoir marquer au fer rouge me donne des envies de viol. Avec un sourire, je laisse mes mains retomber sur sa poitrine et laisse mes yeux se lever au ciel, faignant une profonde réflexion. « Davenport-Hanwell, Hanwell-Davenport… » J’éclate doucement de rire avant de revenir à lui et l’embrasser. « Ca risque d’être long à écrire mais j’aime bien l’idée qu’ils soient fusionnés. » Je ne sais pas trop si ça se voit, mais je suis aux anges. Elias n’aurait pas pu me faire plus beau cadeau de mariage. Je me vois d’ici écrire nos noms un peu partout à la manière de ces adolescentes qui rêvent aux princes charmants. Laissant mes doigts se promener sur son torse je serais presque d’avis de remettre le couvert. Avec douceur je me colle à lui et l’embrasse encore et encore avant de finalement souffler : « Ne nous reste plus qu’à fixer le jour du mariage et j’irai prendre rendez-vous pour Noam… » Car oui, j’ai beau aimé mon beau brun je n’en oublie pas mon blondinet pour autant. Il nous faudra bien trois mois avant d’avoir la chance de passer devant un juge et je ne voudrais pas attendre trop longtemps avant d’enclencher la démarche d’adoption. Adoption qui est à l’origine de tout ce tintouin. Tintouin que je ne regrette absolument pas. « Je t’aime. » dis-je finalement en posant mes mains sur ses joues. « Dieu seul sait à quel point. » Je souris un peu plus et lui vole un dernier baiser. « Et si j’étais pas aussi fatigué, je te le prouverais à grand coup de reins… » Je souris un peu plus, coquin. On a beau être dans une situation dite romantique, je n’en reste pas moins moi même et ne perd jamais trop longtemps de vue l’occasion de m’envoyer en l’air. Chose à laquelle Elias a eu le temps de se faire. Dire qu’il allait devoir vivre sa vie avec moi. Pauvre gosse.
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() message posté Lun 27 Juil 2015 - 0:33 par Invité

can't keep my hands off you
ROMEO DAVENPORT & ELIAS HANWELL

you and me we can light up the sky, if you stay by my side, we can rule the world ✻✻✻ « Tu l’es à mes yeux. » Je souris, mon ego plus que flatté. Ce n'est pas rare de l''entendre me le dire, je fais d'ailleurs tous les efforts du monde pour l'être en vérité, juste à ses yeux... Et pourtant ça me gêne toujours. C'est comme s'il me plaçait sur un pied d’estale, me laissant paniqué à l'idée d'un jour flanché et le déçevoir. L'épreuve des poteaux de Koh-Lanta dans la vie de tous les jours.  Car qu'il le voit ou non, je suis loin d'être parfait : j'ai mes défauts comme tout le monde, défauts qu'il pointe du doigts quand on se dispute mais qu'il oublie rapidement dans des moments comme celui-ci. Mais encore une fois, personne n'est parfait et je reste persuadé qu'on s’ennuierait à mourir dans un monde  sans défaut. « T’es con. » Il me semblait que j'étais parfait ? En vrai je me concentre sur les choses les plus futiles de notre conversation car j'ai bien du mal à imaginer ce jour. J'ai l'impression qu'il est à des semaines, des mois, de nous hors nous y seront bien trop vite. Bien trop vite niveau organisation j'entends, car j'ai hâte d'être son mari. Si je ne tenais pas à ce point à avoir mes proches pour ce jour si spécial, Romeo aurait une alliance depuis un moment déjà. Toujours est-il que j'ai peur qu'on patauge complètement, qu'on ne parvienne pas à tout organiser dans les temps, même si je suis certain que ce sera parfait. Je n'ai pas besoin d'une grande cérémonie, ni de la couleur parfaite pour les serviette de table, juste de lui et de nos proches. Je ne pense pas que notre vie une fois mariés sera bien différente de l'actuelle, si ce n'est que nous seront enfin capable de fonder, ou plutôt d'agrandir, notre famille. Pour le reste, ce n'est que l'officialisation de notre couple au monde entier, une manière de faire taire les personnes qui ne croient toujours pas en nous - quoi que, ce n'est pas une alliance qui changera l'avis de sa mère. La preuve, elle n'envisage même pas de se pointer au mariage... « J’aime bien l’idée de la tribu. »Je ne sais pas pourquoi mentionné l'idée qu'on partage nos noms de famille me panique à ce point. Jusqu'ici, il a souvent mentionné son envie de me voir porter le nom de Davenport, ce que j'ai brillamment décliné en changeant rapidement de sujet la plupart du temps. Je ne m'y suis pas attardé, parce que ça me semblait impossible de répondre favorablement à sa requête malgré tout l'amour que je lui porte. Le simple fait de mentionner le futur nom de Noam et de ses futurs alliés a été comme un déclic...Une logique, qu'on porte tous le même nom, que notre famille ne forme qu'un... Mais jamais il n'a parlé de prendre mon nom et l'idée qu'il refuse me tord l'estomac. Parce que je serais blessé et sans doute rabaissé. « Rien ne me ferait plus plaisir Elias… » J'aimerais soupirer de soulagement, mais ses lèvres s'accaparent des miennes beaucoup trop vite pour que je ne puisse le faire. Né avec un problème cardiaque (mineur), j'en viens parfois à me dire que cette histoire risque de me tuer tant mon cœur s'emballe dés que je suis en sa présence. C'est-à-dire dés que je ne suis pas au boulot, pratiquement. Je caresse ses cuisses en essayant de décrypter ses pensées. « Davenport-Hanwell, Hanwell-Davenport… » Je ris, rassuré. Je me sens juste bien - épuisé, mais bien. A se demander comment certaines personnes peuvent avoir besoin de drogue pur se sentir planer, quand il suffit de trouver la bonne personne. « Ca risque d’être long à écrire mais j’aime bien l’idée qu’ils soient fusionnés. » Je lève les épaules. « Au pire, ils nous maudiront à vie d'avoir pourri leur scolarité. » Et surtout leur début en maternelle, ou ils apprennent péniblement à écrire noms et prénom. « Ne nous reste plus qu’à fixer le jour du mariage et j’irai prendre rendez-vous pour Noam… » Je lève les yeux vers lui et me contente de l'admirer avec fierté, reserrant mes bras autour de ses hanches, que je noue derrière lui. Je ne sais clairement pas ce que j'ai fait pour mériter une seconde chance dans ma vie, moi qui pensait avoir ruiné celle-ci à l'instant ou j'ai laissé Charlie abandonner Noam. Au final, c'est sans aucun doute le plus beau cadeau qu'elle aie pu me faire : partir. Nous libérer tous les deux. « Je t’aime. Dieu seul sait à quel point. » Je frissonne et profite de ses lèvres. Rares sont les fois ou il mentionne Dieu - et je m’efforce d'en faire de même, parce qu'il est apparemment contre moi si j'en écoute mes proches. Mais j'e garde espoir, j'ai la foi que de là ou il est, il sait. Il comprend et nous soutient. J'aime me dire que s'il le pouvait, il viendrait foutre deux baffes à mon père pour lui expliquer que les temps changent et que personne, pas même lui, ne peut se braquer devant un amour aussi sincère. « Et si j’étais pas aussi fatigué, je te le prouverais à grand coup de reins… » J'éclate de rire et sors de mes pensées religieuses - c'est presque honteux de ma part d'y penser après nos galipettes. « J'ai réussi à te fatiguer au point de te voir renoncer... Je pense que je mérite une médaille ce soir. » Je souris et le fait basculer pour pouvoir me retrouver au dessus de lui et lui embrasser le cou. Je suis complètement dépendant de lui, de sa peau et ne pourrait pas survivre 24 petites heures sans lui, aussi malsain que ça puisse sembler. Je fini par me laisser tomber à moitié sur lui, enroulant mes bras autour de son torse - aussi inconfortable soit cette position - pour le serrer contre moi. « Je t'aime. » Je ne sais pas comment lui démontrer à quel point, c'est inexprimable, immensurable. Je pourrais l'étouffer ou le briser (si j'avais la carrure d'un boxeur) à force de le serrer contre moi, lui répéter de mille et une façon que ça ne serait pas suffisant pour exprimer la réalité des choses. La moindre de mes émotions est multipliée par dix une fois que je suis en sa présence. « Mon téléphone est trop loin pour atteindre un calendrier... Mais demain on fixe la date, promis. » Je murmure la tête enfuie dans sa nuque, luttant pour ne pas m'endormir. « Ton plat est prêt au frigo, au fait... Tu dois mourir de faim. Noam t'as fait une surprise, c'est sur le meuble. » Un dessin - immonde si l'on reste honnête - qui ne représente pas grand chose sans ses explications mais qui m'a pratiquement ému aux larmes. « Juste... Encore 5 minutes. » Je souris et embrasse sa mâchoire avant de reposer ma tête contre lui, le tout sans ouvrir les yeux. Même si je n'avais pas le choix, je pense que je n'y parviendrais plus. Cinq minutes, le temps qu'il me faudra (au grand maximum) pour m'endormir... Il m'a manqué aujourd'hui, terriblement. Je sens que les mois à venir risque d'être très long, beaucoup trop long. Je ne veux pas m'endormir sans lui, même si je sais qu'il m'abandonnera pour dîner à l'instant ou même ou je sombrerai. Je ne serai plus là pour le réaliser...
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