"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici You find myself differing ? You do not even have anything to feat Nathanael 2979874845 You find myself differing ? You do not even have anything to feat Nathanael 1973890357
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() message posté Dim 19 Avr 2015 - 21:38 par Invité

   
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Daniel & Nathanael

Ce matin encore, je me retrouvais dans les bras d'une inconnue, elle allait subir ce que toutes mes conquêtes passagères subissaient, à la porte sans petit-déjeuner. Je ne saurais dire pourquoi après tout mes flirts toute les femmes désirais tout de même coucher avec moi en sachant que je les virais dés le lendemain matin, ce n'étais pas un secret. J'étais le genre d'homme à mettre les choses au clair, ce n'ai que sexuel rien de plus. Certaine désirais percer mon cœur de pierre, mais aucune n'avais réussis à passer au travers, aucune ou peut être une seule que je trouvais différente des autres, Athénais étais la seule femme où j'avais tenté l'expérience du couple. Bien évidemment cela a échoué, mon goût pour les femmes étant bien trop fort, je ne pouvais m'empêcher de la tromper sans arrêt et sans ménagement. Elle n'était pourtant pas ignorante, elle connaissait mon caractère, mais elle avait tenté comme toutes les autres de me changer, ce qui était, pour le moment, impossible. Donc la jolie brune au corps de rêve qui se trouvait dans mon lit se fit expulser sans ménagement. Tous les matins, je faisais mon jogging matinal, je ne pouvais pas passer outre, donc je me mis en tenu et je sortis du manoir pour faire mon trajet habituel. Après avoir couru une bonne heure, ce qui était suffisant, je rentrais chez moi dégoulinant de sueur, j'aimais cette sensation, je ressentais la même chose après une nuit de folie. Après ça, je me dirigeais en direction de ma grande salle de bains après chaque nuit torride et un jogging matinal, je prenais une bonne douche pour revigorer mon corps de cette dure et douce bataille. Bien évidemment quand j'invitais quelqu'un chez moi, ils étaient impératif de les recevoir royalement et je ne manquer pas d'attention pour arriver à mon but, quand j'arrivais enfin à ce que je désirais, elles étaient souvent jamais déçues du voyage, nos ébats duraient pratiquement toute la nuit, utilisant tous les moyens possibles pour rendre les choses encore plus excitantes, pratiquant tout les fantasmes de ses dames. Je ne reculer devant rien pour prendre du plaisir, rien ne me faisait peur. Après cette bonne douche et enfin habillé, je pris vite fais un petit dej que m'avais soigneusement préparer Audric que je saluais en lui disant qu'il n'était plus nécessaire qu'il me le prépare, il était à mes yeux plus un frère qu'un domestique et si je l'avais fait venir ce n'étais pas pour qu'il prenne ce rôle. Je finis de manger en coup de vent, je pris mes dossiers importants concernant mes usines en Italie pour que je puisse remettre de l'ordre dans tout ça et je décidais de prendre ma moto pour me diriger vers le NightJar. Durant le trajet je repensais à tout le taff que j'aurais à fournir pour remettre ses usines à flots pour quels puisse reprendre le même flux de productions qu'avant. C'était mon but et peu importe le temps que ça prendrait, j'allais y arriver. Enfin à destination, j'ouvris le bar, pour le moment, j'étais seul, aucun serveur n'était présent et c'est ce que je désirais, car comme ça, je pouvais être plus tranquille pour consulter les dossiers de compte. Une heures après tout les serveurs arrivent enfin pour tout mettre en place, je leur fais un bref briefing et je les laisse gérer, je voulais être un gérant cool où je n'ai pas besoin de les surveiller h 24 pour que les choses se facent, mais gare à celui qui déroge aux règles, car quand je décide de faire confiance, il suffit d'une connerie pour que ma confiance s'en aille.

Je prends ma matinée pour régler tout les papiers importants, je contacte les usines pour leur donner des ordres à défaut de me déplacer. Je me dis qu'un jour, il faudra bien que j'y aille pour voir tout ça, cela fait un moment que je n'y étais pas allé et parfois comme on dit si le chat n'était pas là les souris danse et il est hors de question que ses usines coulent, c'est la mémoire de mon grand-père qui est en jeu. Je n'avais pas eu de nouvelle d'eux après notre départ de l'Italie, mais je savais qu'ils n'y étaient pour rien, mon père avait couper tout contact pour qu'on ne puisse pas s'enfuir de son emprise. Savoir qu'il m'avait légué ses biens m'avais ouvert les yeux, les Delarco ne sont pas tous des pourris, il y en avait au moins un qui avait confiance en mes capacités et je devais lui prouvé que j'étais capable, bien qu'il soit aujourd'hui plus capable de le voir. C'était le principe, je ne pouvais pas laisser mon père gâcher l'image des Delarco, famille riche et célèbre en son temps, pour leur Whisky, leur vin et leur café au goût exquis. En lisant les conte, je remarquais certaine anomalie qui me faisais tourner la tête, sentant que personne n'avais repris la boite certain petit malin, c'étais permis de jouer avec le capital de la boite à des fins personnel, je crois que celui-là, il ne sait pas sur qui il était tombé, je n'allais pas laisser ça impunie. Je passais plusieurs coups de téléphone comprenant que le fautif étais en plus l'un des plus fidèle employer de mon défunt grand-père, j'ai chargé mon messager en Italie de le faire virer et de lui demander remboursement de tout ce qu'il a pu récupérer au dépens de l'entreprise. Non ce n'étais pas le moment d'être conciliant avec les entreprises qui tournait aux ralentis, je devais remonter la pente, bien évidemment l'argent n'étais pas un soucis, mais c'étais l'image que je devais redoré et prouver qu'il pouvait reprendre la même qualité qu'à son apogée. J'ai le business dans le sang, je ne douter pas de mes capacités, donc il me fallait juste du temps. Je comptais sur Audric pour gérer le NightJar si je devais m'absenter pour quelques jours en Italie, je crois que je ne mesurer pas la tonne de boulot que je mettais d'un coup sur les bras, bien que je le désirasse, c'était bien trop d'un coup. Étant, seulement, modèle photo pour de grande marque à l'époque et devenir subitement PDG d'une entreprise en peu de temps et Gérant d'un bar étais un grand pas. C'était pour moi que je faisais tout cela, bien que la phrase de mon père me raisonnât en tête, je ne voulais pas faire ça pour lui prouver qu'il avait tort. De toute façon lui prouvé comment ? Lui aussi était mort et c'était plutôt une bonne chose. " Tu es un bon à rien, jamais tu n'auras mon talent ! Tu n'es qu'un misérable Daniel, une larve sans ambition ! " S'il me voyait à cet instant, je crois que j'aurais quand même jubilé de le voir rager, de voir qu'où j'ai pu aller.

Sans que je puisse dire ouf, on arrivait enfin au moment le plus important de la journée, le service du soir. Pour moi, c'était le moment de sortir de ma tanière et dire bonjour à mes fidèles clients en aidant les serveurs au bar et offrant de temps en temps des verres aux adeptes. Ce soir, j'avais une tête plutôt sombre, j'étais assez fatigué, c'était beaucoup de contrariété de gérer plusieurs usines de loin. Bien que je face confiance au homme que j'avais envoyer la bas pour gérer les choses à ma place, de ne pas pouvoir gérer moi-même les problèmes me mettais sur les nerfs. Je décidais tout de même de me détendre en m'offrant un Whisky, je me posais au bar pour le boire et je regardais les clients arriver un par un. La musique était à fond et l'ambiance était à son comble, les serveurs commençaient déjà à être débordés ce qui était une bonne chose, débordé étais égal à rentrer d'argent et c'est ce qu'il fallait. Je buvais mon Whisky et j'apercevais quelque tête connue comme Nathanael avec qui je discutais de temps en temps et avec qui je buvais des verres. On aimait ce lancer des défis, un jeu que j'aimais tout particulièrement, car c'était une façon de me dépasser. Cette fois-ci, je pouvais sentir qu'il n'était pas dans son assiette, il était temps que je rentre en action, je lui servis son habituel verre et je lui dis en lui servant.

"- Cadeau de la maison, en retour j'aimerais que tu me dises ce qui me vaux cette tête-là, c'est assez rare dans ton cas."

Je m'accoudais au bar pour écouter ce qu'il avait à me dire, ce n'était pas dans mon habitude d'écouter les gens se confier, mais parfois, il fallait le faire pour la bonne cause et puis après ça, on pourrait commencer la session défi plus détendu, car il aurait dit ce qu'il ne va pas. Je n'aime pas les nons dis, je préfère savoir les choses pour que je puisse composer avec. J'avoue la vie des gens me passe bien au-dessus, ce n'est pas ça qui changera ma vie bien au contraire, mais je crois que les choses ne pouvaient se régler que par la discussion.

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Nathanael E. Keynes
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() message posté Ven 1 Mai 2015 - 15:41 par Nathanael E. Keynes
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Lundi 20.04.2015 • Central London • La City • Nightjar
Je suis pas complètement sûr de savoir pourquoi je suis venu là, ce soir, à part pour me bourrer la gueule comme... Mouais presque tous les soirs en fait. Tronche de six pieds de long, aucune envie de regarder les gens autour, alors qu'à l'origine, je venais plutôt là en mode prédateur, je me suis accoudé au comptoir, et j'ai commencé par commander une pinte, en sachant pertinemment que je finirai par des boissons 'légèrement' plus corsées. Je me suis accoudé au comptoir, sans trop rien dire à part saluer un barman lambda et demander mon verre, qui s'est vu siffler en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, avant de commander un Cuba Libre. Avant-goût léger de ce qui risque de suivre, parce que je sais que je vais finir par enchaîner les whiskies. Et d'ailleurs, de whisky, il y en a un à la fragrance ronde et fruitée qui me chatouille les narines quand Daniel s'approche de moi.

« Cadeau de la maison, en retour j'aimerais que tu me dises ce qui me vaux cette tête-là, c'est assez rare dans ton cas. »

Soupir. Désolé Dan, je sais que d'habitude, on se lance des défis à la con, que d'ordinaire, même après Ty, je continuais à commenter tes cibles potentielles à défaut de rentrer dans le jeu, et à te pousser sur les filles les moins abordables histoire de voir si ton charme pourrait aller jusque-là, mais ce soir, je suis pas franchement d'humeur. Evidemment, il n'a aucun moyen de s'en douter, ni de le comprendre, alors il va bien falloir que je lui explique. Mais expliquer quoi au juste ? Que je suis un parfait crétin et que j'ai repoussé le type que j'ai dans la peau parce qu'il est égal à lui-même ?

« Ouais... Mais je merde quand même rarement à ce point... »

J'ai levé le verre offert et l'ai vidé d'un trait.

« Merci au fait. Tu me remets sa petite soeur ?... »

Ouais je suis pas parti pour en rester là, et si d'ordinaire je savoure au moins un minimum ce que je bois, j'avoue que là, je crois que ça pourrait être de l'alcool à brûler ça changerait pas grand chose. Enfin non, quand même pas jusque-là, mais enfin presque...

« Je suis juste un parfait crétin, y a pas vraiment de remède à ça... »

D'autant moins, donc, que même si je commence à échafauder des plans à la con pour attirer son attention et lui reparler, je suis franchement pas sûr de les mettre à exécution, et encore moins de pas juste me faire snober, ou engueuler comme pas permis avant qu'il se barre et me laisse en plan - ce qui reste parfaitement justifié, en prime, et c'est peut-être bien ce qui me bousille le plus, en fait.

« Quoi de neuf de ton côté ? T'as déjà déterminé ta cible ce soir ? »

Ouais c'est assez nul comme tentative pour éluder cette conversation, et au fond, je suis presque sûr qu'il va pas lâcher l'affaire et revenir à la charge mais... Sur un malentendu, sait-on jamais...
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() message posté Sam 9 Mai 2015 - 19:07 par Invité

   
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La soirée commencée plutôt bien, beaucoup de clients affluer dans mon bar et j'étais fière qui ne désemplisse pas même après avoir appris le changement de propriétaire. Je n'avais pas voulu changer l'esprit du bar sentant que c'était ce qui plaisais mais j'avais moderniser le tout pour ramener encore plus de monde. Je gardais les musiciens en faisant des soirées à thème, ce soir, c'était soirée Jazz. J'avais engagé plusieurs petits groupes du connu au moins connus, je penser que tout le monde avait le droit à sa place et c'est comme ça qu'on se fait connaitre en commencent dans les plus petites scènes. Je commençais à me faire connaitre dans le milieu et les gens commençais à m'apprécier pour ce que j'étais plus que me connaître pour mon passé trouble. Ça avait toujours été mon optique faire oublier au gens la raison pour laquelle il me connaissais pour apprendre à me connaître pour ce que je suis vraiment, un bosseur qui est serte un séducteur fini mais un bosseur qui réussis. Le reste, il n'avait pas à le savoir, mes jeux d'argent et mes magouilles ne regarder que moi tant que je ne mêler pas le NightJar à ça, c'était le principal. J'avais décidé de me mettre à fond dans ce projet et il était hors de question qu'une personne barre ma route pour des broutilles. Petit à petit, je me faisais des habitués, je n'irais pas jusqu'à ami, mais connaissance, c'était déjà beaucoup pour moi. D'ailleurs, ce soir, je me trouver face à Nathanael lui aillant offert un verre pour qu'il me dise en retour ce qui lui donner cet air si sombre.

Sans répondre à ma question Nath bafouiller quelque phrase que j'essayais d'analyser, une rupture ou une dispute avec un très bon ami, je ne voyais que ça. Ce genre de chose ne risquait pas de m'arriver à moi, sauf peut être m'embrouiller avec Audric, mais je ne pense pas que ce jour arrivera, mais comme on dit ne jamais dire jamais. Donc à sa demande, je lui servis de nouveau un verre et je m'accoudais de nouveau pour le regardais, je ne savais pas ce qui le tracasser, mais ça avait vraiment l'air de le miner. Je me servis de nouveau du Whisky que je bue d'un traite, je ne savais pas trop quoi lui répondre, c'est vrai que je n'avais jamais été confronté à ce genre de situation, devoir réconforter quelqu'un. Habituellement, je me contente de fuir ou faire fuir mon interlocuteur pensant que me débarrasser de ça, mais parfois, il faut savoir prendre les devants. Pas que j'étais lâche, mais je n'aimais pas me confronter au chose trop sentimentale, c'est pour ça que je ne suis jamais vraiment sorti avec une fille. Je décidais de faire un effort, et de lui parler pour qu'ils ne finissent pas me raconter ce qui n'allait pas.

"- Et voilà la petite soeur, je connais personne d'autre que moi qui s'enfile deux Whisky d'une traite sans avoir des problèmes."

Autant tenté le tout pour le tout car au moins je saurais. Je lui servis un nouveau verre pour qu'il puisse boire au cas où et je le regardais pour lui faire comprendre qu'il avait toute mon attention ce qui était rare. Je bue moi-même de nouveau une gorgée de Whisky en regardant vaguement dans le bar pour voir le monde qui affluer de plus en plus. Un homme reprenait une chanson de Stevie Wonder - Pastime Paradise, sa voix résonner dans tout le bar, une voix si vibrante que je pouvais sentir tout le public vibrer avec lui au rythme de la musique. Je me sentais fière de mes choix sentant que ce jeune homme allait faire des prouesses s'il continuer ce chemin. Je m'étais déconnecté quelque seconde pour regarder le monde autour de nous, le mouvement des serveurs qui servaient les boissons pour nos clients, le sourire de ceux-ci en recevant leurs boissons. J'avais de quoi être fière, l'argent rentrait petit à petit me permettant de financer Delarco Entreprise qui devait petit à petit remonter la pente. Soudainement, il me sortit une nouvelle phrase qui me laissait perplexe, ça ne pouvait être que sentimental, je ne voyais que ça, à moins que ce soit financier ? Essayons de creuser un peu plus pour comprendre, en tout cas si c'était sentimental je ne saurais dire si les soucis de gay étais les mêmes que ceux des hétéro pas que ça changer quelque chose pour moi, mais je me demander comment ça pouvais fonctionner deux mecs ensemble ? Il y en avait bien un qui devais plus souvent fermer sa gueule que l'autre non ? Sinon ça clasherais tout le temps, ce truc de mec qui joue le rôle de la femme commencé à me paraitre plus si bidon que ça. Oui, j'étais un parfait crétin, je me préoccuper tellement de ma petite personne que ce genre chose bien que ça ne me posait aucun problème étais un domaine que je ne maîtriser pas, tout comme le domaine de l'amour tout simplement. Par contre si c'était financier là, c'est un domaine que je maitrise parfaitement.

"- Un crétin hein ? Je vois dans ce genre de cas, je crois que l'alcool ne sert à rien."

Me voilà médecin ou psy, qu'es ce que je racontais, je n'étais pas le mieux placer pour lui faire la moral ça c'étais sur. Je buvais tout le temps pour essayer de combler se troue dans mon existence, quoi que si j'en connaissais un rayon, je savais que ce n'était pas la solution pour avancer. C'est là que je reculais ma bouteille pour m'accouder un peu plus vers Nathanael et l'écouter. Pour noyer le poisson, il me demandait si j'avais déjà trouvé ma cible, ce soir, c'était tout vu. Je sortis mon sourire le plus sadique possible et je lui dis en poussant le dernier verre servis.

"- Dernier tant que tu m'as pas dis ce qui te dérange, car ce soir ma cible c'est toi."

Je crois que c'était du 10/10, bien lancer. J'aurais son histoire coûte que coûte, un client triste en arrivant dois repartir heureux ou sinon je ne suis pas un bon patron de bar et puis j'avais fini par apprécier sa compagnie ça devenait un motif pour moi de le persuader à me raconter son histoire. J'aurais une histoire croustillante, gay oui, mais croustillant et après ça, j'aurais un Nath serte toujours accabler et ça, je pourrais rien y faire, mais un peu plus détendu après avoir raconté son histoire. Plus je le regardais pensif plus je comprenais que c'était sentimental, ce regard, je l'avais déjà vu plus d'une fois, pas dans le mien, mais dans ceux de client du bar où dans ceux d'Athénaïs quand elle a su que je l'avais trompé il y a bien longtemps. Je me relevais légèrement pour me mettre de travers et déposer seulement un coude sur le bar prêt à l'écouter, je n'en démordrais pas.

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Nathanael E. Keynes
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() message posté Jeu 28 Mai 2015 - 16:35 par Nathanael E. Keynes
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Lundi 20.04.2015 • Central London • La City • Nightjar
J'aime bien cet endroit, c'était déjà le cas avant que Dan n'en reprenne la direction, c'est d'autant plus le cas depuis qu'il a rafraîchi la déco et pris le parti de faire monter le niveau musical d'un cran. Je suis pas un grand connaisseur niveau musique jazz, mais je sais reconnaître le niveau des musiciens, et comme d'habitude, ceux qui se produisent ici sont bons. Du temps de l'ancien proprio, j'avais envisagé de proposer les Lucky Strikes. Depuis, j'ai fait la connaissance de Daniel, et si je n'ai jamais trop de mal à profiter de mes relations personnelles - au contraire de celles de ma famille - le sujet n'est jamais vraiment venu sur le tapis. Et puis le groupe a changé de membres plusieurs fois, et avec le départ de Tiger, on se cherche encore un peu. Je me promets souvent de lui en parler, quand on sera à nouveau prêt. Ce soir, ça n'est pas vraiment ce qui occupe mes pensées.

Dan, je ne peux pas vraiment le considérer comme un ami proche, mais ça commence à faire un petit moment, maintenant, qu'on se côtoie quand je bosse pas et vient passer mes nuits de débauche ici. Enfin venait. Quoique ce soir, je ne sois pas tout à fait loin de ça à nouveau, la drague éhontée en moins. Ça faisait partie du jeu entre nous au départ, mais il y a un petit moment que je me suis retiré de la partie. Cela étant, je me serais jamais trop imaginé commencer à avoir ce genre de conversation avec lui. Enchaîner les verres en revanche, c'est plus dans nos habitudes...

« Et voilà la petite soeur, je connais personne d'autre que moi qui s'enfile deux Whisky d'une traite sans avoir des problèmes.
- Tu me connais pas encore assez... »


Parce qu'au final, c'est bien une des seules choses que mon corps de crevette arrive à bien encaisser - avec la plupart des microbes à l'exception manifeste de ceux qui sont passés par Tyler avant, et il faudrait vraiment que j'arrive à ne pas tout rapporter à lui un de ces quatre - et si un coup de poing peut facilement m'étaler, il va falloir un peu plus que deux whiskies pour me mettre ko. Je sirote tout de même un peu plus le suivant, sous le regard insistant par moment du patron du Nightjar.

En d'autres circonstances, j'aurais sans doute été me la péter sur la piste de danse sur ce tube de Stevie Wonder, mais le cœur n'y est vraiment pas ce soir.

Je me doute bien que je ne suis pas très explicite quand je daigne répondre, mais à vrai dire, je ne suis pas certain de vouloir l'être. Son analyse est correcte, il s'agit bien de quelque chose de sentimental. De toute façon, avant que je me retrouve avec de réels problèmes financiers, il y a une marge, même sans compter sur l'aisance familiale, je bosse suffisamment, avec assez peu de charges, d'autant plus que j'ai fini de payer l'école, à force, pour avoir bien assez de moyens pour moi seul. Et si je lisais dans ses pensées, je lui rappellerais légèrement qu'on s'est suffisamment lancé de défis concernant des nanas assez inaccessibles ici même - certaines ayant passé une partie de la soirée dans les toilettes avec moi, terriblement classe, mais passons - pour qu'il ne doute plus vraiment de ma capacité à aimer aussi les femmes. Cela étant, mes réponses laconiques ne l'aident pas à me suivre, et ses répliques ne m'aident pas non plus en retour, en réalité.

« Un crétin hein ? Je vois dans ce genre de cas, je crois que l'alcool ne sert à rien. »

Vas-y, rajoute un truc du genre que je suis un cas désespéré pendant que tu y es ! Je grimace, secoue la tête avant de le voir reculer la bouteille ; ça ça me plaît encore un peu moins.

« Dernier tant que tu m'as pas dis ce qui te dérange, car ce soir ma cible c'est toi. »

Je souris et lâche un petit reniflement dépité. Moui, non, pas dans ce sens-là mon grand, t'as pas envie de mon corps de mec, et moi c'est pas le tien que je veux. M'enfin on sait tous les deux que c'est pas de ça dont tu parles.

« T'as vraiment rien de plus excitant en vue ? La vache... »

Regard circulaire dans l'assemblée, mais en réalité, je vois pas tellement les visages ni les corps - au fond, j'en ai un peu rien à faire.

« Il se passe juste que j'ai un caractère de merde et une trop grande gueule, et que pour la peine, j'ai claqué la porte du mec dont j'arrive pas à me passer, et je sais pas comment faire pour revenir vers lui sans qu'il m'envoie bouler. Parce qu'il a son caractère aussi, et toutes les raisons de pas accepter de me pardonner parce que j'ai vraiment été parfaitement crétin. »

J'ai fini mon verre d'un trait, et l'ai reposé sur le comptoir.

« Mais ça a vraiment rien de réellement intéressant, et je pense que t'as largement mieux à faire en fait. Vas-y, tu vas pas me dire qu'il y a pas une fille assez jolie ce soir pour que t'aies pas envie de jouer... »

Oui, je détourne - encore - la conversation. J'essaie en tout cas. Mais en réalité, je me fais pas trop d'illusion, parti comme il est, il risque fort de pas lâcher l'affaire. Et moi je suis à sec, et je joue avec mon verre désespérément vide...
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() message posté Dim 31 Mai 2015 - 15:22 par Invité

   
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Daniel & Nathanael

Le NightJar est mon bien le plus précieux, pourquoi me direz-vous? Par ce que c'est la première chose que j'ai acquise par mes propres moyens. Avant ça, je ne vivais qu'au dépens de l'argent de l'héritage laissé par ma mère et mon grand-père, je n'ai jamais manqué de rien dés que j'ai obtenu cet argent. J'aurais pu en rester là, vivre au crochet de cet héritage qui me donner la vie de rêve qu'enfant, je ne pensais jamais avoir. Pourtant pousser par un autre but je décidais de ne pas en rester là, je désirais la reconnaissance et la gloire. Ne connaissant rien, je décidais de me lancer dans une carrière de modèle photo et de mannequin et d'un seul coup, je montais petit à petit les échelons, les contrats fusés jours après jour et je commençais à devenir de plus en plus connu, les gens s'arracher pour m'avoir sur leur couverture de magasine ou bien dans leur défiler. Je ne saurais expliquer ce qui leur plaisais en moi mais je m'en fichais ce que je désirais c'est qu'on parle de moi. C'est grâce à cet argent-là que j'ai pu me payer ce magnifique endroit, étant pratiquement plus riche que Crésus lui-même, j'avais cet argent de côté me disant qu'il me servirait un jour et finalement, c'est ce qui arriva. Quand l'occasion, c'est donner, j'ai acheté cet endroit que je prenais pour le plus précieux des trésors, tout au début je n'ai dévoiler à personne mes intentions préférant garder cela pour moi, je changeais cette endroit à mon image tout en gardant tout son cachet, je ne voulais pas briser cette image qu'il l'avais rendu si populaire mais je voulais lui redonner une allume plus moderne. Ce fut le moment de tout dévoiler, à la surprise générale bien entendue, mais les gens qui me connaissaient ( c'est-à-dire peu ) me féliciter. L'endroit devenait de plus en plus peuplé, et à chaque fois, je trouvais de nouvelle idée innovante pour ameuter de plus en plus de monde. Mon passée de mannequin et de modèle m'a permis d'avoir quelque contact bien placé qui m'ont donnée des rendez-vous avec d'autre gens tout aussi connue, c'est grâce à ça que j'ai pu avoir des musiciens connue sur mon estrade, et je ne compter pas m'arrêter là. Pour avoir cette gloire, j'ai dû changer de nom, en prenant celui de ma mère, crachant sur mon géniteur et idiot, j'avais décidé de lancer tout ce que je savais de lui à la presse, menant le nom des Delarco dans la boue, malheureusement, je n'avais pas pensé qu'ils fouilleraient aussi dans mon passée, ça, il n'avait qu'à se servir, je leur servais tout sur un plateau d'argent. N'étant loin de là un enfant de cœur, j'en avais amassé des conneries et bien évidemment des conneries que je n'avais pas arrêtées. Deal en tous genre, possession de drogue, liaison frauduleuse. Et j'en passe et des meilleures. Ma vie était devenue un livre ouvert que les gens lisaient à leur guise finissant par me juger et me cataloguer au même rang que mon père. C'est en changeant de nom que j'ai changé de vie, fini le Daniel fils de père maffieux, etc, j'étais Daniel héritier des Smith. J'avais le monde à mes pieds et je pense que ce fut grâce à ça que tout me souriait enfin, je pense. Jusqu'à ce jour où j'ai appris que j'avais hérité de l'entreprise familiale des Delarco, jusqu'a présent, je me fichais de ce côté là de ma famille préférant oublier d'où je viens. Ce petit rappel m'avait ouvert des portes sur des choses que certaine personne n'aurais surement pas voulu que je vois, jusqu'à lors j'étais guider par ma soif de puissance et surtout de reconnaissance, mais après ça ma vie étais guider par une toute autre nature, plus noir et plus sadique, la haine et la vengeance. Les Smith avaient été reçus quelque chose en échange d'oublier ce qui se tramer chez moi, il avait laissé ma mère aux mains de se tortionnaire sans rien faire, alors que mon grand-père à tout-fait pour me récupérer, pour me sauver. Mon désir de vengeance s'accroît de jour en jour, possèdent le Nighjar je comprenais que ce n'étais pas assez, possèdent ensuite les usines Delarco en Italie, je compris que je prenais part à un monde que j'essayais de fuir bien trop longtemps et qui étais le mien. J'ai trop longtemps craché sur les Delarco qui étaient en vérité des hommes bons et sage, à quelque exception prêts, mon père et mon oncle, mais aujourd'hui, j'ai compris qu'il agissait, mais que dans l'ombre régner un monstre pire encore qui cherchais par tous les moyens à protéger son empire quitte à abandonner sa fille. J'étais décidé à oublier le nom de Smith, mais je crois qu'il me sera encore très utile quand je prendrais possession de leur " empire ".

Le monde des affaires à toujours été un monde que je redoutais enfant, pensant qu'il me rendrait aussi sadique et cruel que mon père. Aujourd'hui je possède deux grosses affaires si je puis dire et je me rend compte que j'ai perdu bien du temps à ne pas l'avoir connue avant. Je réalise combien ma vie étais vraiment barbante avant, j'ai même presque honte d'avoir vendu mon corps pour avoir cet argent, mais je ne vais pas cracher dans la soupe. Ce monde m'a permis de côtoyer des gens plus simples, comme par exemple Nathanael. Je me lier au gens qui pouvait m'apporter quelque chose de bon, par exemple Nath c'était le goût du risque et du jeu ce qui n'était pas son désir apparemment aujourd'hui. Ce qui était fort regrettable, car je n'avais pas joué depuis un bon moment maintenant et je devais me changer les idées. J'avais tout essayé pour lui faire cracher le morceau, mais rien ne fonctionner, j'étais tenté de tout laisser tomber. Après tout qu'est-ce que ça m'apporter de savoir les détails de sa vie et en plus de sa sentimental, j'en avais rien à fiche. Surtout que je n'étais pas un exemple en la matière, je ne faisais que coucher à droite et à gauche, rien de plus. Pourtant, une force me pousser à continuer à lui cracher les vers du nez, serait-ce par ce que j'avais vraiment envie de m'éclater ce soir ? Où serait seulement une main tendue ? Pff, une main tendu, ahaha, je crois pas, tout mais pas ça. Je ne suis pas l'homme de la situation. Je me fiche de la vie des gens, à part si ça peu m'apporter quelque chose. Je crois que finalement, c'était pour pouvoir m'éclater ce soir, je pouvais tout aussi bien le laisser dans sa tristesse et m'en aller m'éclater ailleurs. Je crois que malheureusement, je n'étais pas décidé à le faire, aller, savoir pour quoi. Je crois que de bosser ici à côtoyer des gens du monde m'avais bien plus changer que je le pensais, je devenais différent. Bref, soudainement, je décidais de lui sortir mon couplet tout coulant sur le fait qu'il serait ma cible ce soir. Je n'avais pas répondu à ses remarques sur le fait qu'on ne se connaissait pas encore bien, ce qui était vrai et sur le fait que je l'enfoncer encore plus, alors après sa réponse en me disant que je n'avais rien à faire de mieux en vue que lui, je sortis mon sourire le plus sadique et je lui dis.

"- Tu sais je crois que c'est justement ça l'avantage, c'est qu'on ne se connais pas et tu sais si j'avais vraiment voulu t'enfoncer plus, je crois que je m'y serais pas pris comme ça. Parfois, je peux être un vrai sadique et là, je suis plutôt calme ce soir. En tout cas bien que tu ne sois pas ce que je préfère au menu, je ne te lâcherais pas. Tu me connais, j'aime les défis et disons que ce soir, j'en ai un de taille, ça me rend d'humeur... Euphorique."

Je le regardais toujours avec mon air que beaucoup haïssaient voir sur mon visage, un regard joueur mais sadique. Je pris ma bouteille de Whisky la plus corsée que j'avais et je me servis un verre que je bue d'une seule traite. J'avais trouvé mon compromis, le jeu, le défi et ça s'était quelque chose que je devais relever. Bien évidemment tout ce qui se référait au sentimental n'étais pas mon truc, mais aux finales si j'arrivais à lui faire cracher le morceau, je pouvais m'estimer heureux, je ne pouvais pas le conseiller à part de lui dire de s'éclater ailleurs en attendant. C'est en le laissant quelque minutes dans ses pensées que je remarquais une jeune femme au loin rire avec ses amis, tout en me dévisageant, hum ça se corse, on dirais. La jeune femme avait un corps de déesse, des cheveux noirs jet qui n'en finissais pas et des yeux bleu azur, une beauté fatale à couper le souffle. Je la regardais quelques minutes, mais je décidais de retourner à ma conversation avec Nath surtout qu'il commençait à se livrer, enfin ! C'était bien ce que je pensais une affaire de couple, il l'avait fichu dehors et à présent, il regrettait. Que dire, je ne sais pas si ça fonctionne pareil quand c'est un mec. Au finale Nathanel n'attendait pas forcement des réponses de ma part, et moi, je ne pouvais pas lui en fournir alors c'était régler.

"- Tu veux que je te dise, tu es sur la bonne voie. Tu m'en dis encore un peu plus sur la raison de cette dispute et je te promets de te lâcher avec ça et surtout, je te sers de nouveau un verre. D'ailleurs, j'aurais un bon divertissement pour toi après. "

Je venais de remarquer le nouveau les regards insistant de la jeune femme à mon égard, aillant remarquer qu'elle n'était pas seul, je me disais qu'un peu de compagnies nous feraient du bien, moi j'irais jusqu'au bout je ne suis pas homme à jouer ne pour rien n'avoir en retour, mais le beau goss en face de moi étais libre de faire ce qu'il désirait. J'avais tant de choses en tête aussi frauduleuse, soit-elle, en tout cas, c'était bon de pouvoir y repenser. Surtout moi qui manque cruellement de séduction avec tout ce travail que j'ai par-dessus la tête, je ne vais pas m'en plaindre, je l'ai désiré après tout. Je regardais Nathanael avec un sourire en coin et je m'accouder au bar pour écouter ses révélations.

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Nathanael E. Keynes
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() message posté Lun 22 Juin 2015 - 18:32 par Nathanael E. Keynes
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Lundi 20.04.2015 • Central London • La City • Nightjar
C'est sûr que ce soir, on est loin des soirées de défis à la con qu'on a pu se lancer tous les deux. Ce soir, j'ai juste envie de boire pour oublier à quel point je peux être crétin parfois, et oublier, surtout, à quel point ça me fait mal d'être loin de lui. Alors forcément, je suis un peu surpris de voir Dan' m'éloigner la bouteille et tenter de me faire cracher le morceau. C'est pas vraiment son genre, c'est pas vraiment nos habitudes, et je sais pas trop pourquoi il cherche à me faire parler. C'est pas comme si on s'épanchait vraiment l'un l'autre sur nos petits problèmes personnels et existentiels, et je suis persuadé qu'au fond, il n'en a pas grand chose à faire. Pourtant il est toujours là, malgré ma tentative minable pour le repousser, à renchérir pour me tirer les vers du nez. Je sais pas si je dois être touché du geste ou si ça doit me déranger, et à vrai dire, j'ai pas trop envie d'y réfléchir.

« Tu sais, je crois que c'est justement ça l'avantage : c'est qu'on ne se connait pas. Et tu sais, si j'avais vraiment voulu t'enfoncer plus, je crois que je m'y serais pas pris comme ça. Parfois, je peux être un vrai sadique et là, je suis plutôt calme ce soir. En tout cas, bien que tu ne sois pas ce que je préfère au menu, je ne te lâcherais pas. Tu me connais, j'aime les défis et disons que ce soir, j'en ai un de taille, ça me rend d'humeur... Euphorique. »

Je l'ai dévisagé un instant, sceptique d'abord, puis j'ai lâché un reniflement un peu sarcastique. Ok, je suis un jeu de plus, finalement. Est-ce que je me bats pour pas plier et le laisser s'acharner pour m'arracher trois mots ou... ? A vrai dire, il marque un point sur le fait que justement, on ne se connaît pas. Parfois, c'est plus facile de se confier auprès d'un inconnu, il paraît. Enfin j'ai déjà évoqué tout ça avec Elias, et ça m'a juste confirmé que j'avais été parfaitement crétin, qu'est-ce que je peux apprendre de plus, là, avec Dan' ? Je suis pas certain que ça me soulage de rentrer dans les détails, et encore moins qu'il y ait une solution miracle qu'il soit capable de m'apporter. Et pourtant je lui ai quand même tracé les grandes lignes de l'histoire, sans trop savoir pourquoi.

« Tu veux que je te dise, tu es sur la bonne voie. Tu m'en dis encore un peu plus sur la raison de cette dispute et je te promets de te lâcher avec ça et surtout, je te sers de nouveau un verre. D'ailleurs, j'aurais un bon divertissement pour toi après.
- Mmmh ? »


Un peu surpris de cette dernière affirmation, j'ai suivi son regard pour en venir à croiser celui d'une jolie brune aux yeux clairs. Ok, je vois le genre... Mais je suis franchement pas sûr d'avoir envie de me "divertir" come ça. C'est d'autres yeux bleus que j'ai envie de voir, mais je risque pas de les croiser avant longtemps...

« Je sais pas si je suis sur la bonne voie, mais toi, t'as un ticket offert apparemment. Pas que ça soit surprenant, cela dit... »

J'ai lâché un soupir, reposant mon regard sur mon verre désespérément vide et jouant encore quelques secondes avec.

« C'est trop con. On était censés être plus ou moins ensemble que pour le sexe. Il a jamais accepté ni promis plus que ça, et je disais que ça m'allait très bien sauf que... non. Et ça m'a gavé qu'il accepte toujours pas qu'on aille ne serait-ce que prendre un verre tous les deux. Forcément, lui ça l'a saoulé parce que c'était très clair dès le départ, et j'ai pété mon câble tout seul et j'ai claqué la porte. Sauf que je supporte encore moins bien de pas le voir du tout... »

Crétin, crétin, crétin ! J'ai beau tourner ça dans tous les sens, je vois pas comment caractériser ça autrement, et guère mieux comment m'en sortir maintenant. Je vais juste me faire envoyer bouler, quoi qu'il arrive, et il aura parfaitement raison. Le pire, c'est que même si je tentais de lâcher l'affaire et de reprendre mes bonnes vieilles habitudes, je suis presque sûr de pas y arriver. J'ai pas réussi à toucher quelqu'un à partir du moment où j'ai réalisé que j'étais amoureux de lui, je vois pas trop bien comment ça pourrait être différent aujourd'hui... Même si la copine rouquine de la brune qui fait de l'oeil à mon pote a l'air tout à fait charmante...

« Bref, Zora la rousse est très mignonne, mais je suis pas sûr d'être vraiment d'humeur à jouer en fait... »

Et sans rien ajouter, j'ai levé mon verre, réclamant en quelque sorte mon dû. Je t'en ai dit plus, tu peux me resservir, maintenant ?
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() message posté Lun 29 Juin 2015 - 15:58 par Invité

   
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Je ne cherchais pas à lui apporter quelque chose, car je ne crois pas être le mieux placé pour ce poste, non, je crois que j'étais plus la personne à aider de nous deux. Après tout, j'étais le seul homme qui n'avais jamais eu vraiment de petite amie, bonne une fois histoire de dire et de tester, mais ça a pas louper, je l'ai trompé sans ménagement. Après tout, j'étais le seul homme qui n'avait jamais eu vraiment de petite amie, bonne une fois histoire de dire et de tester, mais ça n'a pas loupé, je l'ai trompé sans ménagement. Oui pas mal pour un temps, mais moi je comptais pas changer et vue on âge ça commencer à devenir inquiétant, mais je m'en fichais. Beaucoup rêvent d'une vie à deux, même s'il n'y a pas de mariage ou d'enfant. Moi, je rêve de rien de tout ceci, je ne supporte pas la compagnie récurrente dans mon espace vital. Après tout, j'étais le seul homme qui n'avait jamais eu vraiment de petite amie, bonne une fois histoire de dire et de tester, mais ça n'a pas loupé, je l'ai trompé sans ménagement. En tout cas, je côtoyais pas mal de gens sensible qui rêver de chose bien différente des miennes et ça réussissais peu à peu à changer quelques vision que ma vie mais je restais quand même camper sur mes positions, certain traumatisme on fais de moi l'homme que je suis devenu, si je le déplore ? Je ne crois pas, je suis très bien comme je suis après tout, je peux avoir tout ce que je désire, femme, argent et objet en tous genre. Je lui expliquer qu'il pouvait se confier à moi bien que je savais que je ne pouvais pas lui apporter plus, je n'étais pas un adepte du dialogue non plus fallait dire, je n'ai jamais dis à qui que ce sois mon passée,ê mme si on ma longtemps conseiller d'en parler et que sois disant cela changerais ma vision de la vie. Je n'avais pas besoin de parler après tout, les charognards se charger de montrer au monde qui j'étais et qui avais été mon père. Donc pourquoi le pousser à parler ? Tout simplement par défi d'y arriver, et surtout pour m'amuser. Je continuais de regarder la jeune femme qui me faisais de l'oeil, l'attente de l'avoir pour moi seul était insoutenable mais c'est ce qui rendais les choses encore plus excitante non? Je savais que je n'avais qu'a claquer des doigts pour avoir ce que je désire, cette facilité me fatiguer, surtout que les femmes devenaient de plus en plus simple à conquérir et c'est pour cela que j'avais apprécié mon jeu de séduction avec Athénais, désireuse d'avoir plus, mais toujours en retrait et rie n'étais jamais acquis. Depuis peu, je n'ai plus de nouvelles, j'avais cru entendre qu'elle était retournée en France, bien dommage, mais je retrouverais d'ici peu un Athénais prête à jouer ce petit jeu avec moi. En tout cas, ce soir, je savais que je n'aurais pas grand chose à faire pour la mettre dans mon lit celle-là. Je décidais de continuer mon petit jeu sentais que Nath n'étais toujours pas réceptif, à mon second dialogue, il réagis quelque peu, c'est là que je sentis que j'avançais, j'avais réussis à le faire marmonner, c'est déjà ça. Donc je continuais mon attaque, et cette fois ci il ne réagit, mais toujours pas comme je le désirerais, mais c'était un début. Il avait remarqué la belle brune au regard de braise qui me manger des yeux un peu plus loin, je sortis mon sourire le plus sadique et je répondis à Nath en a riant presque.

"- Je fais tout pour, mais ce sera elle qui s'en mordra les doigts après de m'avoir cherché. Toujours pas désireux de m'expliquer ce qu'il se passe d'en ta tête ?"

Je savais que dans ce genre de cas boire un bon verre fait du bien, ou du mal, mais en tout cas, c'est la solution premier dans ce genre de cas, alors lui privée de ce qu'il a besoin étais une idée de génie, d'ailleurs je m'en félicité, car c'est grâce à ça que j'ai pu le faire craquer. C'est là que je compris que c'était une histoire de sexe, ah ça, je suis le boss en la matière. Je passe mon temps à faire ça, établir des règles pour ne pas que ma gourmandise du moment ne s'attache pas à moi ou juste dans la limite que je me suis fixée selon ce que je désire demander. Parfois selon ce qu'on demande une femme à besoin d'un minimum de sentiment pour le faire et moi qui aime jouer avec le feu, les femmes ont parfois besoin de s'attacher pour accepter mon offre. Je suis un expert en la matière, mais malheureusement parfois ça me joue des tours vues que les femmes s'attachent à moi, quand je leur explique que le jeu et fini ça leur fait tout d'un coup tout drôle comprenant que je ne désirais pas plus que m'amuser et pas établir une relation pour le futur. Je suis un expert en la matière, mais malheureusement parfois ça me joue des tours vues que les femmes s'attachent à moi, quand je leur explique que le jeu et fini ça leur fait tout d'un coup tout drôle comprenant que je ne désirais pas plus que m'amuser et pas établir une relation pour le futur. Je la posai sur le comptoir et je servis Nath en lui faisant signe de la boire cul sec, après ça, je commençais.

"- Déjà tiens cadeau. Après ça, je n'ai qu'une seule chose à te dire, idiot ! Je sais que tu dois le savoir alors c'est pour ça que je pèse mes mots. Bref, pour ce genre de plan, il faut savoir maîtriser la partie pour ne pas craquer. Car là excuse moi, mais tu t'es franchement amouracher de ce gars et cette histoire, c'était clair que ça allait finir ainsi. Il faut établir des règles à ne pas franchir, ne pas le voir souvent et s'éclater ailleurs déjà. En plus, ça ne doit pas durer, jamais. Crois-moi des nanas dans ce genre, j'en ai vu défiler, car je leur avais expliqué les règles dés le début, pas d'amour, seulement du sexe, mais c'était plus fort qu'elle, tu as fini pareil. Je ne te juge pas, je n'ai pas la prétention pour le faire, ce que je veux dire par là, c'est que pour jouer à ce jeu-là, il faut pouvoir maîtriser la situation sinon on finit par craquer et toi, tu n'étais pas clair dans tes sentiments. Tu as deux choix, te contenter du simple " que du sexe " ou tout arrêter et chercher plus ailleurs. Oh, pour la deuxième ne t'en fais pas, je la prendrais aussi si tu n'en veux pas."

C'est là que je lançais un regard à la seconde fille qui était prêt de la sulfureuse brune et que je lui lançais un petit clin d'œil. Les deux jeunes femmes se mirent à glousser ensemble et je levais les yeux au ciel en souriant pour retourner à Nath. Je pris la bouteille que je m'étais sorti tout à l'heure et je me servis un verre, je savais que ça me ferait du bien après avoir dit tout ça a Nath. D'ailleurs, ça me fit penser à tout ça, à mes règles établis, la chose qu'Athénaïs m'avais souvent reproché, que personne ne pouvais atteindre véritablement mon cœur. Il est vrai que je laissais personne m'atteindre aussi facilement, je trouver les choses mieux ainsi. Je m'accommode de la solitude avec un grand bonheur et je sais que je n'aurais rien ni personne pour me reprocher mes désirs aussi fou, soit-il. Mon pouvoir était de pouvoir tout exiger sans refus, bien sûr, il m'arriver d'avoir quelque échec, mais ça m'aider à aller toujours plus loin avec une hargne encore plus forte qu'avant.  reproché, que personne ne pouvais atteindre véritablement mon cœur.

"- Qu'es ce que tu veux au final? Être comme moi ? Fermer ton coeur à tout jamais? Boire sans cesse pour oublié? Je ne crois pas que tu sois comme moi, heureusement pour toi d'ailleurs. Je n'ai pas à te dire ce que tu dois faire ou pas, tu trouveras la solution seule. En tout cas, ce que je sais, c'est ce que ce soir, rumine et arrache toi la gueule si c'est ton souhait, je ne t'en empêcherai pas, mais une seule chose, c'est le patron de ce bar qui parle, quand tu rentres chez toi tâches de rentrer en vie."

Je repris un air sérieux, bien que je me fichais des autres et de leur vie, en tant que patron je devais m'assurer que tout roule à merveille donc pas de morde en sortant de mon bar. Je me tournais vers quelque serveur pour leur demander si tout rouler et les deux serveurs me confirmaient que tout aller bien, alors je jetais un regard au loin pour vérifier si le groupe en scène avait bientôt terminé, car un autre devait passer ensuite et je vérifiais que tout sois au point.

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() message posté Dim 12 Juil 2015 - 12:58 par Nathanael E. Keynes
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Au départ, j'ai franchement cru que lui parler pourrait m'aider. Bon, évidemment, j'ai vite compris que se taper la nana qui minaudait dans son coin en le dévorant littéralement des yeux là-bas, c'était manifestement son objectif suivant, mais en soi, ça n'avait rien de surprenant, et ça ne me choquait pas plus que ça : je ne le connaissais que comme ça après tout. Pourtant, plus ça va, et plus j'ai franchement le sentiment d'être un jouet de plus parmi sa large collection et soyons clairs, ça ne me plaît pas du tout...

« Je fais tout pour, mais ce sera elle qui s'en mordra les doigts après de m'avoir cherché. Toujours pas désireux de m'expliquer ce qu'il se passe d'en ta tête ? »

J'aurais dû dire non. Quant à la fille là-bas, finalement, je la plains. Je sais bien qu'on comparerait nos façons de faire, on me mettrait sans doute dans le même panier que lui, mais... Non, sérieusement, j'ai pas aussi peu de considération pour les gens avec lesquels j'ai couché par le passé. La plupart ne font plus du tout partie de ma vie, et c'est logique, c'était juste des coups d'un soir, d'un côté comme de l'autre, mais jamais je ne prononcerais ce genre de phrase...

« Déjà tiens cadeau... »

Il a rempli mon verre à nouveau, et pour ça au moins, je le remercie. Pour le reste...

« Après ça, je n'ai qu'une seule chose à te dire, idiot ! »

Ca je suis au courant, merci...

« Je sais que tu dois le savoir alors c'est pour ça que je pèse mes mots. »

Super, merci d'en rajouter une coucher, non mais vas-y, à ce niveau-là, enfonce-moi un peu plus, j'ai pas encore assez creusé...

« Bref, pour ce genre de plan, il faut savoir maîtriser la partie pour ne pas craquer. Car là excuse-moi, mais tu t'es franchement amouracher de ce gars et cette histoire, c'était clair que ça allait finir ainsi. Il faut établir des règles à ne pas franchir, ne pas le voir souvent et s'éclater ailleurs déjà. En plus, ça ne doit pas durer, jamais. Crois-moi des nanas dans ce genre, j'en ai vu défiler, car je leur avais expliqué les règles dès le début, pas d'amour, seulement du sexe, mais c'était plus fort qu'elles, tu as fini pareil. »

Je le dévisage, assez abasourdi, en fait. Sérieusement, tu crois que je suis pas conscient de tout ça ? Tu crois que j'ai pas essayé de lutter au départ ? Que si on a fini par se voir régulièrement, même si c'était juste pour mon cul de son côté, j'étais pas conscient que ce que je ressentais serait pas réciproque - et que c'était très con, d'ailleurs, mais c'était malheureusement pas vraiment contrôlable ? Tu crois vraiment que j'ai pas essayé dès le départ de voir ailleurs ? Désolé de te décevoir, mec, mais ça marche pas comme ça... Si j'avais pu "m'éclater ailleurs", comme tu dis, j'en serais pas là aujourd'hui. Je serais, même, sans doute jamais tombé amoureux de lui, en fait, puisque c'est au moment où j'ai compris ça que j'ai plus rien pu faire avec qui que ce soit d'autre.

« Je ne te juge pas, je n'ai pas la prétention pour le faire...
- C'est marrant comme ça ressemble terriblement à du jugement pourtant...
- ...ce que je veux dire par là, c'est que pour jouer à ce jeu-là, il faut pouvoir maîtriser la situation sinon on finit par craquer et toi, tu n'étais pas clair dans tes sentiments. Tu as deux choix, te contenter du simple " que du sexe " ou tout arrêter et chercher plus ailleurs. Oh, pour la deuxième ne t'en fais pas, je la prendrais aussi si tu n'en veux pas.. »


Non mais t'es pas sérieux là ? Je sais bien que leurs gloussements de midinettes devant leur idole a quelque chose d'un peu ridicule, mais lève pas les yeux au ciel comme ça devant elles... 'Tain mais aucun respect en fait.

« Qu'est-ce que tu veux au final ? Être comme moi ? Fermer ton coeur à tout jamais ? Boire sans cesse pour oublier ? Je ne crois pas que tu sois comme moi, heureusement pour toi d'ailleurs. Je n'ai pas à te dire ce que tu dois faire ou pas, tu trouveras la solution seul. En tout cas, ce que je sais, c'est ce que ce soir, rumine et arrache-toi la gueule si c'est ton souhait, je ne t'en empêcherais pas, mais une seule chose, c'est le patron de ce bar qui parle, quand tu rentres chez toi, tâches de rentrer en vie.
- Non. »


Je veux pas être comme toi. Je ne suis pas comme toi. Je ne le serais jamais, ou alors achevez-moi de suite. Mon coeur, il est un peu en miettes, et si le fermer à tout jamais, comme tu dis, me semblait pas une si mauvaise solution à l'origine, à te voir, là, j'ai franchement pas envie.

« Je crois pas que je serais jamais comme toi. "Heureusement pour moi, d'ailleurs". Je vais continuer à boire, ouais. Ca me semble bien comme plan pour ce soir... »

J'ai d'ailleurs avalé mon verre d'une traite sur ces mots, avant de plonger mon regard dans le sien, manifestement pas très ravi de la tournure de cette conversation et sans aucune intention de le cacher.

« Mais je vais faire ça ailleurs, tu peux être rassuré. Genre chez moi, comme ça t'auras pas à t'inquiéter de la mauvaise presse que ça pourrait faire : si je fais un coma éthylique dans mon salon, ça te concernera pas. Oh... Et de barman à barman, un conseil : C'est pas évident quand on n'a pas l'habitude, j'imagine bien, mais si tu veux pas faire fuir ta clientèle, évite de leur parler tant que tu sais pas montrer - même feindre -  une once d'empathie... »

Ce qui n'arrivera donc, je crois, jamais. C'est con, à l'origine, je pensais qu'on pouvait être un peu potes tous les deux, ne serait-ce que parce que c'était drôle de se jeter des défis à la con et de voir qui parviendrait à les relever. Faut croire que fondamentalement, cela étant, on ne pouvait pas s'entendre, j'ai été con, là aussi, de croire qu'il pouvait se soucier une demi-seconde de ce qui pouvait m'arriver, ça m'apprendra. J'ai posé quelques billets sur le comptoir, payant mes consos malgré tout - en comptant très large, vu que je me contrefous un peu de ce que ça peut coûter réellement, et puis c'est pas comme si j'étais jamais venu ici ni ne connaissait pas un minimum les tarifs - et je suis reparti sans me retourner, mais en passant volontairement près des deux filles à qui j'adresse un simple avertissement.

« J'espère que vous attendez rien de plus qu'une nuit de baise parce qu'il en a vraiment rien à foutre de vos gueules, y a que vos culs qui l'intéressent...
- Et toi ? »


Je grimace à la question de la rouquine, mais au fond, j'ai aucune raison de pas lui répondre - et j'ai suffisamment un coup dans le nez pour plus avoir trop de filtre entre mon cerveau et ma bouche, déjà que de base il est limité...

« Moi y a un moment que je touche plus personne d'autre que le gars que j'ai laissé en plan comme un con... T'aurais été tout à fait mon genre avant, mais... Désolé, tout ce que je peux offrir à présent, c'est quelques verres et un peu de musique éventuellement... »

Ca a suffi pour Zora la rousse. Xena la brune a préféré rejoindre Daniel, sous le regard éloquent de sa copine. Je sais pas comment s'est terminé la soirée pour eux, je sais juste que moi, j'ai fait la connaissance d'une fille cool, ça aura au moins fait que j'ai pas perdu ma soirée...

¤ Ca va être fini pour moi, désolée Dan, j'ai tenté de retourner le truc pour que Nate pète pas un câble mais je vois pas comment =/ Je doute qu'ils restent encore pote pour la peine... é__è ¤
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Anonymous
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() message posté Mar 21 Juil 2015 - 14:09 par Invité

   
You find myself differing ? You do not even have anything to.
Daniel & Nathanael

Depuis longtemps, j'avais établi une ligne de conduite, je ne cherchais pas d'attache bien que parfois certaine ne me déranger pas le moins du monde. Beaucoup de femmes ne finissaient pas se lasser de mon comportement et je ne les retenais jamais, car j'estimais que ça n'en valait pas la peine. J'aimais la solitude, je m'en contente avec le plus grand des bonheurs, car pour régner, il faut être seul. Etre orphelin très jeune et possédant toute cette argent ma forcement altérer l'esprit, bien que je jouais, j'avais eu une éducation des plus rudes ce qui me permettais de trouver les mots juste pour avoir ce que je désir. Je suis l'homme à abattre l'homme que tout le monde craint, l'homme qu'on hait facilement, mais je ne suis pas un monstre pour autant. Tout ce que j'ai, je l'ai avec mérite, bien évidemment, je me laisse facilement attirer par la dépravation et la débauche, un milieu sombre et noir qui me poursuit depuis tant d'années. Je ne cherche pas à ce qu'on me comprenne et je ne l'ai jamais désiré. Je veux vivre libre de chaque choix que je fais et les assumer pleinement même si je dois être seul pour ça. Ce soir en regardant Nathanaël, je comprenais que beaucoup voulaient jouer les hommes libres, sans attache, mais que c'était impossible pour eux. Il s'était risqué à un jeu qui était déjà perdu d'avance et le sachant, il avait sauté a pied joins, quelle bêtise qu'attendait-il ? Je connais ce jeu par cœur, j'en ai presque inventé les règles. Je venais de terminer mon discours expliquant à Nathanaël ce que je penser de son histoire, je ne regrettais aucun mot et bien que j'eusse été gentil, je pouvais être encore plus dur, je sentais que ce ne lui avais pas fait plaisir, mais je ne voyais pas pourquoi je devais le ménager. Serais-ce bon pour lui que de le brosser dans sens du poil ? Lui dire que tout va s'arranger ? Je ne pense pas et franchement cela ne me regarde pas, j'ai donné mon avis d'expert dans ce genre de jeu. Quand on ne sait pas jouer, on ne s'y risque pas ! Il pensait que je le jugeais ce qui était peut-être un peu vrai dans un sens, mais comme je le disais toute à l'heure son histoire m'intéressais gère. Le juger pourquoi faire ? Dans quel but ? En tout cas, je restais froid et insensible à ses propos, il continuait en m'expliquant qu'il ne serait jamais comme moi, ce que je lui souhaitais bien que ça le regardât au final. De toute façon, il n'avait pas la carrure pour devenir comme moi ni le passer sombre, il n'a pas ressentis la vraie haine une seule fois dans sa vie. Du moins, je n'en suis pas sur, quand je le vois, je vois un homme équilibrer. Un sourire sadique se dessina alors sur mon visage, je sentais que toute discussion était rompu, d'ailleurs, il me le confirma en me signalent qu'il allait se bourrer la gueule chez lui. Il pensait que je me soucier de la bonne presse de mon bar, c'est là que j'éclatais de rire. Avant qu'il s'en aille, je lui lançais.

"- La vérité blesse, j'en suis conscient. Si tu voulais une bonne entente entre nous, je pense que la sincérité est de mise en amitié, je me trompe ? Je ne suis pas une langue de bois, je ne cache pas ce que je pense, oui, je suis un salaud égoïste, mais pas un menteur. De plus si je t'ai demander maladroitement de rentrer en vie chez toi, c'est pour ne pas avoir ta mort sur la conscience. Sur ce, je pense que je peux te dire adieu. J'espère que derrière cette porte, tu trouveras la réponse à tes tourments."

Avant de s'en aller, je fis signe à l'un de mes hommes de le faire suivre pour savoir si il rendrait bien en vie, mais avant de partir il se dirigea vers les deux jeunes femmes qui me dévorer des yeux, je me fichais de ce qu'il cherchait à faire ce n'étais pas un problème majeur pour moi. Je me tournais pour tendre deux bouteilles à un serveur, quand je me retournais la jolie brune étais à la place de Nathanaël mon sourire s'élargis et elle me fit un signe de doigt en me demandant d'approcher. Ce que je fis et là, elle me susurra.

"-Ton ami ma dis que tu cherchais seulement une compagnie d'une seul nuit ? Je suis partante !
- J'espère que tu aimes jouer."


Je claquais des doigts et je signalais au barman que je m'en allais, après ça, je fis monter la jolie brune dont je me fichais éperdument du nom dans mon bureau. Quand ce fut fait le jeu pouvais commencer, c'est là que je commençais à me dire. Pourquoi devrais-je renoncer à tout ça hein ?

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