"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Take shelter to what you want  (Ryder )  2979874845 Take shelter to what you want  (Ryder )  1973890357
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Take shelter to what you want (Ryder )

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() message posté Sam 16 Mai 2015 - 2:35 par Invité
“I felt very still and empty, the way the eye of a tornado must feel, moving dully along in the middle of the surrounding hullabaloo.” L’odeur de la cire et les légers effluves de tabac se mêlaient au vent qui soufflait dans le couloir de l’appartement vide. Je passais devant le salon avant de retrouver l’escalier conduisant au premier étage. L’ambiance était incontestablement impeccable. Chaque détail était ordonné de manière à ce qu’une aura de raffinement extrême règne dans toutes les pièces. Il y avait des roses, des vases et des couleurs partout. Je crispai mes mains dans mes poches en soupirant. Cet endroit resplendissait d’une propreté surhumaine, mais c’était normal, puisque j’avais épousé une femme surhumaine. Je baissai les yeux d’un air affligé. Olivia se perdait dans ses routines obsessionnelles afin de fuir la réalité de notre couple brisé. Je ne parlais jamais de mes blessures de guerre et elle se confinait dans une bulle imaginaire où les décorations étaient toujours luisantes et parfaitement agencées. Je me sentais isolé dès que je pénétrais dans cette atmosphère solitaire et mélancolique. C’était le comble de la supercherie! Mais à quoi bon exprimer un avis ? Je n’étais qu’une ombre volatile qui disparaissait dans l’éclat du jour – Je me mordis la lèvre inférieure en enfilant ma veste d’un geste las. Je glissais vers l’extérieur en traînant avec moi ma tristesse infinie. J’appuyai sur la pédale de ma moto avant de m’élancer dans la circulation saturée de la ville. Mon souffle saccadé se versait dans l’obscurité avant de s’évanouir comme un songe lointain. Je voguais en dehors du temps, me rapprochant de la lumière divine, prêt à l’accueillir mais au dernier moment, je finissais toujours par me rétracter. Je ne voulais pas guérir. Je ne voulais pas renaître de mes cendres et me noyer dans les règles de bonne conduite. Je pris une profonde inspiration en roulant jusqu’au quartier ouest. Je m’arrêtai à l’intersection entre Notting Hill et de Kensington avant d’abandonner ma monture dans un parking. Mes chaussures rasaient le sol d’un pas claudiquant alors que je m’emportais, le trouble dans l’âme, vers mes souvenirs dans le désert afghan. J’évitais la foule gémissante tout le long de ma marche avant de m’engouffrer dans les allées sombres et peu fréquentées menant au Portobello. La musique de l’établissement tambourinait au creux de mes oreilles mais j’étais trop absent pour me laisser bercer par ses fluctuations. Mon esprit tanguait entre deux rives, pris au piège de mes pires tourments. Je levai légèrement le bras en m’installant au comptoir. « Un verre de bourbon s’il vous plait. » Déclarai-je avec courtoisie avant de me renfrogner dans mon siège. Mes mains se joignirent sur mes cuisses avant de se crisper autour de mon jeans. Je sortis un paquet de cigarettes et coinçai une première tige entre mes lèvres pincées. J’avais l’impression, en inhalant les saveurs empoisonnées de la nicotine, de batailler contre une entité supérieure invisible. Je claquai des dents avant de me pencher vers le barman. Il fit glisser mon verre à ma portée, et je le gratifiai d’un signe de la tête avant de me retourner vers un  homme assis à quelques centimètres de moi. Je ne l’avais pas remarqué au début. Soudain, son regard abyssal se posa sur moi et je lui accordai un rictus crispé, gêné de simplement exister à ses côtés.
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() message posté Sam 23 Mai 2015 - 1:02 par Invité
Le week-end était enfin arrivé. Je pouvais sentir son goût citronné et légèrement mentholé qui me brûlait agréablement la gorge à chaque gorgée que je buvais de ce cocktail plus connu sous le nom de mojito. Cette habitude hebdomadaire que j’avais prise presque dès mon arrivée en Angleterre il y avait de cela près de dix ans maintenant me permettait ainsi de décompresser de la semaine – souvent chargée et exténuante – passée majoritairement en compagnie de gamins de moins de quinze ans qui m’abrutissaient sincèrement l’esprit à force de les fréquenter. Et l’avantage non négligeable – malgré les nombreux inconvénients qu’il pouvait y avoir – de travailler dans un collège/lycée était qu’il n’y avait aucun risque pour un professeur comme moi de tomber sur l’un de mes élèves dans un endroit tel que le Portobello Star étant donné que les pubs étaient généralement interdits aux personnes de moins de dix-huit ans (bien que certains arrivaient tout de même à entrer munis de faux papiers…) – ce qui n’était bien évidemment pas le cas lorsque l’on enseignait à l’université… En tout cas, j’avais beau avoir près d’une centaine de cahiers à corriger et à noter – ce qui allait sans le moindre doute occuper la grande majorité de mon week-end –, je tentai d’éloigner cette pensée qui aurait pu me plomber le moral toute la soirée le plus loin possible de mon esprit dans le but de profiter plutôt du moment présent et de l’ambiance quelque peu festive qui régnait à l’intérieur du bar.

J’étais en train d’avaler une énième gorgée de mon cocktail lorsqu’un homme à la mine clairement assombrie s’installa sur le tabouret à côté de moi avant de commander un verre de bourbon auprès du barman qui n’était occupé qu’à nettoyer les verres utilisés par de précédents clients, l’établissement étant plutôt assez calme à cette heure peut-être quelque peu anticipée de la soirée. Il fit ensuite une chose qui m’étonna passablement puisque je pensais cela interdit par la loi : il sortit un paquet de cigarettes de l’intérieur de son manteau dans le but évident d’en fumer une. Et lorsqu’il alluma ce bâton de nicotine – provoquant alors un nuage de fumée toxique qui s’évapora peu à peu dans l’air – sans même que le tenant du bar ne remarque quoi que ce soit – trop occupé à mettre de l’ordre dans ses bouteilles et ses verres –, je décidai finalement d’intervenir, me faisant pour une fois que la voix des lois de ce pays.

- Je croyais qu’on était pas censé fumer à l’intérieur des lieux publics ?... fis-je observer avec un petit sourire amusé. Mon ton n’était ni agressif, ni paternaliste – ce n’était non seulement pas à moi de faire respecter la loi, mais en plus, malgré le fait que je ne fumais pas, la fumée de cigarette ne m’avait jamais réellement dérangée – et j’avais au contraire plutôt dit cela sur le ton de l’humour. Je m’appelle Ryder, et vous ? me présentai-je juste après, tout en tendant une main amicale comme pour bien lui prouver que je n’étais réellement pas hostile. Vous venez souvent ici ? Je ne vous ai jamais vu, remarquai-je, tout en essayant de me souvenir s’il n’était pas déjà venu – bien qu’un joli minois tel que le sien, je l’aurais sans le moindre doute repéré.
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() message posté Ven 3 Juil 2015 - 4:42 par Invité
“I felt very still and empty, the way the eye of a tornado must feel, moving dully along in the middle of the surrounding hullabaloo.” Les vapeurs de la nicotine s'enroulaient suavement autour de ma gorge avant de s'engouffrer dans mes poumons. Je me sentais légèrement étourdi. Les visages défilaient sous mon regard vitreux mais je ne parvenais pas à me sentir intègre dans cette société moderne. La terre avait cessé de tourner en 2010. Dans mon univers, toutes les personnes que je croisais étaient antipathiques. Elles étaient destinées à se railler, s'observer et se se cracher dessus en signe de dédain et de mépris. C'était ainsi que j'avais été traité pendant cinq longues années et c'était ainsi que je retournais parmi les vivants. Londres n'était plus l'endroit dont j'avais toujours rêvé. Je n'avais nulle part ou aller. Ma captivité en Afghanistan m'avait volé une partie indissociable de mon âme. Olivia me traitait comme un étranger. Elle sursautait  dès que je la touchais. Elle avait peur de ma proximité alors que nous étions sensés être mari et femme. Je soupirai en m'accoudant au comptoir. Les choses auraient pu être si simples entre nous, mais elle avait osé survivre à ma mort. Elle avait retrouvé le plaisir de la chair dans les bras d'autres hommes alors que je me perdais dans la douleur et la détresse. Une part de moi, l'enviais égoïstement d'avoir oublié, tandis qu'une autre continuait à l'aimer sans aucune limite. Le barmaid esquissa une ébauche de sourire en prenant ma commande. Il m'avait à peine adressé la parole,et pourtant nous étions parvenu à communiquer mutuellement. Mon expression lui disait « ramène-moi à boire, j'ai soif », et son allure désinvolte me répondait « je m'en fous, mais c'est mon job ».  Je l'avais lentement suivi des yeux alors qu'il s'éloignait derrière les rangements de bouteilles. Il avait la démarche débonnaire et un peu comique, comme si une présence supérieure tirait les ficelles et lui intimait chacun de ses mouvements. Je relevai ma tête vers le plafond presque machinalement. Rien du tout. Ce n'était qu'une métaphore. Une piètre mise en scène de mon esprit tordu. Je pinçai les lèvres autour de mon filtre en tirant une nouvelle latte. Le client à mes côtés avait cessé de me regarder mais je sentais encore toute l'intensité de sa présence. Une aura étrange flottait autour de sa silhouette menue et athlétique.  « Je croyais qu’on était pas censé fumer à l’intérieur des lieux publics. » fit-il remarquer et je me redressai subitement. En effet, il était interdit de fumer dans tous les lieux public mais je me rebellais volontairement contre tous les civilités. Je n'en avais rien à foutre. Cependant, je fus préoccupé par sa demande. Peut-être que l'odeur le gênait. Je grinçai des dents en écrasant mon mégot à peine entamé contre une assiette vide. « Je m’appelle Ryder, et vous ? » Il me tendit la main mais je restai stoïque pendant un instant, hésitant à entrer en contact avec lui. « Isaac. » Finis-je par marmonner en serrant son poignet.   « Vous venez souvent ici ? Je ne vous ai jamais vu. » Le ton enjoué de sa voix me fit sourire. Je soulevai un sourcil en crispant mes doigts contre sa peau avec violence, comme pour maintenir une certaine ambiance de défi entre nous. « Je venais par le passé. Je ne suis pas d'ici. Vous non plus. Ryder. » Déclarai-je en sous-entendant qu'il avait un accent assez prononcé. Je lâchai sa prise en m'éloignant. Ma boisson était arrivée. Il était peut-être temps que je me concentre sur la vraie raison de mon intrusion dans un bar aussi  bruyant que le Portobello. Je bus une première gorgée. L'alcool s'infiltrait dans mon œsophage en me brûlant les muqueuses mais cette sensation me permettait de me sentir vivant. Je vacillais légèrement avant de rire. « J'espère que vous ne m'aller pas me dénoncer. » J'haussai les épaules en désignant mon paquet de cigarette.  
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() message posté Mer 15 Juil 2015 - 0:28 par Invité
Dans un endroit aussi confiné que le Portobello Star qui n’était au final qu’un petit pub de quartier, les effluves de la cigarette que venait d’allumer la personne assise à côté de moi au comptoir de ce bar arrivèrent rapidement à mes narines, entrant sans la moindre difficulté dans mes poumons au fur et à mesure que j’inspirais l’air environnant. Mais contrairement à ce que j’avais sans nul doute laissé penser à cet homme qui se mit à écraser rapidement sa cigarette après que je lui avais fait remarquer qu’il était interdit de fumer dans un lieu public comme celui-ci, l’odeur de cette fumée au parfum si particulier et extrêmement nocif était loin de me déranger. J’en avais même plutôt l’habitude puisque beaucoup de mes collègues de travail, mais aussi de mes amis, fumaient sans complexe devant moi et parce que j’avais moi-même pris cette mauvaise habitude pendant les cinq années que j’avais passé à l’université, avant de prendre la courageuse décision d’arrêter définitivement une fois que je fus entré dans la vie active.

- Isaac, se présenta-t-il alors à son tour, acceptant presque à contrecœur de serrer la main que je lui tendais de manière pourtant amicale. Je venais par le passé. Je ne suis pas d'ici. Vous non plus. Ryder, répondit-il ensuite à la question que je venais de lui poser concernant sa fréquentation du bar – étant donné que je ne l’avais jamais vu dans le coin –, avant de sous-entendre très clairement que je n’étais pas originaire de ce pays.

Et cette remarque me surprit sincèrement car il était rare que l’on arrive à distinguer clairement mon accent qui restait franchement très léger comparé à certains autres expatriés dont il semblait lui aussi faire partie. Après tout, cela faisait tout de même près de huit ans que j’avais emménagé dans ce pays – sans compter que l’accent australien était beaucoup plus proche de l’accent anglais que celui provenant des Etats-Unis –, il était donc tout à fait normal à présent que je puisse parler presque aussi parfaitement qu’un natif de ce beau pays qu’était l’Angleterre. Quant à mon voisin, j’avais cru reconnaître l’accent américain dans sa façon de parler et, au moment où j’ouvris la bouche dans le but de lui demander de quelle partie des Etats-Unis il était originaire – oui, je savais que la curiosité était un vilain défaut… –, ce dernier reprit la parole.

- J'espère que vous ne m'aller pas me dénoncer, dit-il, tout en désignant son paquet de cigarette posé devant lui.

- Ce n’est pas mon genre, répondis-je alors avec un petit sourire amusé – parce que la simple idée d’aller voir le barman simplement pour l’informer que l’un de ses clients venait de fumer une cigarette me rappelait mes propres élèves qui, croyant se faire bien voir, dénonçaient parfois leurs petits camarades, voire parfois même leurs propres amis. Je ne crois pas me tromper en disant que vous êtes Américain. Vous venez d’où exactement ? pus-je enfin poser ma question. Comme vous avez sûrement pu l’entendre, je suis Australien et je viens de Melbourne, me présentai-je à mon tour – après tout, il était généralement plus facile pour quelqu’un de parler de soi lorsqu’on se dévoilait aussi.
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() message posté Mer 2 Sep 2015 - 21:30 par Invité
“I felt very still and empty, the way the eye of a tornado must feel, moving dully along in the middle of the surrounding hullabaloo.” Je raffermis ma prise sur mon verre. Je ne comprenais pas l'attitude de Ryder. Pourquoi essayait-il d'instaurer un dialogue avec moi ? Je n'étais qu'un visage parmi tant d'autres. Mon dos était presque voussé au-dessus du comptoir. J'avais le profil aigu et les muscles émaciés. Je n'étais pas agréable à côtoyer et maintenant que j'étais privé de cigarette, j'avais perdu tout attrait physique. Je relevai lentement les yeux et je fixais mon voisin avec un regard étrange. Il y avait tant de mélancolie, de folie et de gravité dans mon expression. Mais lui, quel terrible secret pouvait-il bien cacher ? Il semblait normal, commun, presque banal. Son esprit était en harmonie avec l'espace, tandis que le mien trottait sans jamais s'arrêter. Tel le corbeau noir, ses ailes se déployaient vers un horizon toujours plus lointain. Je soupirai en me redressant sur mon tabouret. Le goût de l'alcool me paraissait différent. Il me brûlait la gorge, pourtant j'avais toujours apprécié les joies de l'ivresse étant plus jeune. Mon corps avait changé. Il était marqué par l'usure de la guerre. Peut-être que je m'étais déshabitué de moi-même. Peut-être que je rejetais mes anciennes habitudes, maintenant que j'étais revenu à la vie. Je secouai les épaules sortant de ma torpeur. J'esquissai un faible rictus, par pur courtoisie. Il ne comptait pas me dénoncer et j'appréciais son geste, même si ma remarque était totalement ironique. Je n'accordais plus beaucoup d'importance à la loyauté entre les hommes. Plus maintenant. Pas après avoir été abandonné au bord de la route. Je fermai les yeux. Je pouvais presque entendre le vent d'Afghanistan souffler sur les dunes de sable. Je pouvais revivre les scènes de mes tortures en détail, sans aucune difficulté. Mon cœur se serra dans ma poitrine, et je me jetai presque machinalement sur ma boisson. Je désaltérais mon gosier enflammé dans l'espoir d'oublier. Je passai une main tremblante dans mes cheveux courts, puis je reportai toute mon attention sur Ryder. J'entendais très distinctement son accent, probablement parce qu'il était plus facile de se reconnaître lorsqu'on faisait partie de la même minorité. Celle des étrangers.  « Je ne crois pas me tromper en disant que vous êtes Américain. Vous venez d’où exactement ?  Comme vous avez sûrement pu l’entendre, je suis Australien et je viens de Melbourne,  » Déclara-t-il avec flegme. J'hochai la tête pour lui répondre. En effet j'étais américain. Je ne m'en cachais pas, malgré toute l'aversion que je nourrissais envers ma patrie à présent. En réalité, je me considérais orphelin de pays. Je n'avais plus aucune valeur de citoyenneté, mais ma langue avait gardé les connotations de mon enfance. Mon âme était accrochée aux cultures de mes ancêtres par habitude. A trente-deux ans, il était trop tard pour changer d'identité. Je déglutis. « Louisiane. Je suis né et j'ai grandi à Nola. » Répondis-je en haussant les épaules. « J'ai voyagé. J'ai visité Melbourne une fois. Je m'en souviens vaguement, maintenant que vous êtes là. » Je n'étais pas ivre et pourtant je faisais un effort de sociabilisation considérable. Je croisai mes bras en me tournant complètement vers lui. Ma carrure n'était plus impressionnante qu'avant. Mes bras étaient maigres, presque squelettiques. Je pouvais sentir toute la différence lorsque mon regard se posait sur lui. Ou lorsque je me souvenais de mes années de gloire en tant que soldat de l'armée américaine. Je crispai la bouche. Je devais malgré moi parcourir le long, le pénible et difficile chemin de la rédemption. Je vivais dans le contraste entre le sentiment et le souvenir. Ma mémoire douloureuse accueillait une part toujours plus grande de déception, et finalement le désespoir complet envahit ma poitrine. Je me penchai en écoutant les chansons qui raisonnaient dans le bar. Je n'en connaissais aucune. « James Blunt, c'est complètement dépassé maintenant ? » M'enquis-je en fronçant les sourcils. Ma question était stupide, mais j'étais sérieux. Je me demandais si mon chanteur préféré continuait ses activités où si ses albums avaient fini par se commercialiser. Il allait me prendre pour un idiot. Mais soit. Je l'étais peut-être.  
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