"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Le jour s'est levée sur cette étrange idée- Dimitri 2979874845 Le jour s'est levée sur cette étrange idée- Dimitri 1973890357
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Le jour s'est levée sur cette étrange idée- Dimitri

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() message posté Mar 7 Oct 2014 - 21:42 par Invité
Le jour s'est levé
Dimitri & Tristan
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Le jour s'est levé Sur une étrange idée Je crois que j'ai rêvé
Que ce soir je mourrais Le jour s'est levé Plein de perplexité Si ce n'était pas un rêve Qu'il faille s'en aller S 'en aller  Δ Lorem Ipsum

Il est plus d'une heure lorsque je sors du Shadow Loundge, je suis fatigué et terriblement honteux. J'aurais du sortir plus tard, finir comme d'habitude vers cinq heures du matin, mais je suis tombé en faisant mon Show. Je ne suis pas mes séances de rééducation et je m'en mords les doigts maintenant. Ce que je peux être têtu quand je m'y mets. Je m'en veux de ne pas avoir fait les choses de la bonne manière. J'aurais évité de me ridiculiser, heureusement que mes collègues ne se sont pas foutu de moi. Au contraire, ils étaient inquiets et ont attendu que je sois bien remis pour me laisser partir, des vrais mère-poules, mais je préfère ça, à ce qu'ils auraient pu éventuellement faire, se moquer et me laisser comme un con sur le bas du bar. Je ne suis pas tombé de haut, une chance. La chance pourtant ne semble pas vraiment de mon côté ces derniers temps.

Je marche dans Soho, les bars ici ce n'est pas ce qui manque et j'ai tellement honte que je ne peux pas rentrer chez moi tout de suite avec ces images. C'est comme lorsque je me suis réveillé à l’hôpital et que les souvenirs de mon agression revenaient. J'avais eu envie de me faire tout petit, de devenir invisible et qu'on m'oublie, mais ces salauds de journalistes avait claqués l'histoire en première page. J'aurais pu aller au bar de Nate, mais là encore, j'imagine déjà ce qu'il pourrait me dire, alors que je sais qu'il n'est pas comme ça, du coup je passe devant sans m'arrêter et décide d'entrer dans un bar un peu plus loin. Je n'ai qu'une idée en tête pour oublier tout ça, boire, boire et boire, histoire que je ne me souvienne plus de ce que j'ai fait cette nuit. Ce n'est pas la meilleure des solutions, sans doute, mais ça m'est égal à vrai dire. Je suis tout seul de toute manière, il n'y a personne qui m'attend chez moi. J'ai toute la nuit.

Je me réveil sur un banc d'Hyde Park, je ne sais pas qu'elle heure il est, mais ce qui est sûr c'est que la soirée d'hier est assez flou, si flou que je me demande au final ce que je fous là. Je me frotte les yeux et en mettant les pieds à terre, je me rends compte que l'on m'a piqué mes pompes. Ça m'apprendra à acheter des chaussures de marques, ou peut-être bien que je les ai planqué quelque part … je regarde l'heure, mais ma montre n'y est plus non plus. Je cherche ma veste, même constat. Je crois que je me suis fait dépouillé, j'avais mon téléphone dans ma veste, mais heureusement j'ai le plus important encore sur moi. J’attrape mon paquet de cigarette dans la poche de derrière, elles sont un peu écrasées, mais tant que ça peu se fumer …

Je m'allume une cigarette et m'allonge de nouveau sur le banc préférant regarder le jour se lever plutôt que de rentrer tout de suite. Je me fiche pas mal du regards qu'auront les autres, mais je ne veux pas rentrer maintenant. Wally doit se faire un sang d'encre, peut-être même qu'il a déjà déposé un avis de recherche en fin de compte et cette idée me fait sourire comme un con. Je me rends compte alors que quelqu'un approche, va-t-il s'arrêter, va-t-il pas s'arrêter ? Et s'il s'agissait des filcs ? Bah … au point ou j'en suis ça ne serait ce qui pourrait m'arriver de mieux.
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() message posté Mer 8 Oct 2014 - 5:20 par Invité
Le jour s'est levé...
Tristan & Dimitri

Certains trésors sont plus importants.




Il n'y a plus qu'à fermer les yeux, de profiter des lèvres qui glissent contre la gorge, des doigts qui se mettent à déboutonner ma chemise. Les sorties permettent toujours de rencontrer quelques petits trésors, que l'on peut admirer pendant un temps avant de les laisser glisser entre ses doigts. Et alors que je penses pouvoir profiter de cette précieuse chair, un léger son extirpe mon esprit de cet intense et sensuel moment, les orbes sombres au fond de mes yeux se tournant pour vérifier que le son vient bien de mon téléphone portable. Glissant alors ma main pour atteindre l'appareil, je prévois de l'éteindre quand je remarque le nom qui apparaît. Bon, je peux bien faire un petit effort pour un ami de longues dates... La seconde main se perdant dans les cheveux de l'homme sans nom et dont l'intérêt pour vous est, avouons le, minime, tandis que je lis le message que cet ami m'envoie. Aurais-je perdu l'esprit ou la personne ne sait plus écrire ? Appréciant ma pensée et mon imagination, j'en déduis que Tristan n'est pas dans l'état d'écrire... Un léger sourire, suivant un soupire, se dessine sur mes lèvres tandis que je redresse le visage de l'homme. En y regardant de plus prêt... il n'est pas si précieux que ça... Je n'ai pas la réputation, pour ceux qui me connaissent, d'être un homme à la fidélité particulièrement présente, mais il y a, dans mon entourage, des personnes que je trouvent plus précieuses qu'un coup, même si ce dernier aurait pu être magistrale.

Je lui explique, avec des mots simples, que je n'ai plus besoin de sa compagnie, pour ce soir. Il se permet de me demander mon numéro de téléphone. J'approche alors doucement mon visage du sien, et par un magnifique jeu de séduction arrive à inversé la tendance en prenant le sien. Je n'aurais qu'à l'appeler, un jour, si son visage redevient un trésor que j'aimerais posséder... un jour, peut-être. Puis il prend congé, me laissant seul dans cette chambre d'hôtel. Je pose à nouveau les yeux sur le texto envoyé par cet ami. Cela pourrait ressembler à une longue histoire d'amitié, je ne sais pas si on peut traduire cela dans ces termes... Nos familles nous ont liés et malgré nos séparations respectives, nous avons continué à garder contact. Depuis l'agression que Tristan a subi, je dois me montrer, par moment, plus attentif encore à son comportement.Lançant mon portable, je le rattrape avant de soupirer, me redressant pour reboutonner la chemise grise, me rhabillant convenablement. Je passe quelques secondes devant le miroir tandis que j'enfile ma veste. Il doit être trois heures du matin... à quel moment Tristan s'est senti partir et que les verres qu'il a bu ont commencé à lui faire dire, ou faire, n'importe quoi ? Qu'importe... Manteau sous le bras, je quitte la chambre de cet hôtel, je la verrouille puis, en passant à l'accueil, je dépose les clés avant de quitter l'établissement. Dehors, l'air est plutôt frais... j'enfile alors le trench puis commence à marcher pour rejoindre le Shadow Loundge...

Je n'ai pas été surpris lorsque j'ai appris qu'il ne se trouvait pas sur les lieux, en fait je dois bien avouer que j'ai vérifié simplement pour confirmer ma propre pensée. Depuis cette boîte je commence à faire la tournée des bars, en me fiant à ce que je sais de mon ami. Cela a durer bien plus longtemps que je le pensais... Des emmerdeurs pseudo-voleurs à recadrer, des ivrognes à retirer de mon chemin, des patrons de bar pas vraiment coopératif. Déjà que le temps pour venir dans cette partie de la ville avait été assez important, me voilà à marcher dans la nuit, cherchant une ancienne victime d'agression dont le comportement laisse parfois à désirer. Oui, en gros je joue aux grands frères ce soir... Au final, j'ai respecté mon emploi du temps : ne pas dormir de la nuit... Mais pas pour les mêmes raisons... Au bout de plusieurs établissements dans les rues de Soho, j'arrive dans un bar qui est sur le point de fermer. Montrant une photographie de Tristan que je garde sur mon téléphone, demandant au patron si il l'a vu. Enfin une bonne nouvelle, je n'ai pas passer je ne sais combien d'heures dans ces rues, seul, à chercher pour rien... D'ailleurs... il est parti sans payer, trop amoché pour faire quoique ce soit. Je préfère d'ailleurs qu'il n'ait pas payé plutôt qu'un con lui pique tous ses papiers... Bref, j'ai vite demandé la note et fait ce que j'avais à faire...

Et me voilà reparti, le patron m'ayant prévenu qu'il n'était pas parti seul et qu'ils parlaient de se diriger en direction de Hyde Park. Je trouve rapidement un taxi tandis que le soleil commence à se lever. Vais-je le punir ? A voir... Normalement, il n'est pas un type qui bois autant que ça, mais avec l'agression, la psychologie change. Payant le taxi, je sors ensuite du véhicule sombre avant de marcher dans le parc, cherchant mon ami. Je décide de l'appeler, et sa sonnerie me parvient faiblement aux oreilles. Utilisant cette donnée, je me dirige alors vers l'origine. J'appelle à nouveau alors que l'attente s'est écoulée, tout en passant à côté d'un type portant un sac de sport. La sonnerie vient de ce sac... Gardant le silence, je me tourne vers le gars, celui-ci me regarde aussi. Je n'ai plus vraiment envie de dépenser de l'argent aujourd'hui, alors je m'occupe de reprendre le sac d'une façon plus violente et directe. Bref, avec un bon direct, j'obtiens parfois ce que je veux, comme dans cette situation. Bon, le problème c'est que je ne sais toujours pas où Tristan se trouve dans Hyde Park... Jusqu'à ce que je m'arrête devant une silhouette endormie sur un banc... C'est pas vrai... Il s'est endormie... Lui a le droit de dormir et moi je dois faire le tour de la ville. Bon, je reprends la marche pour aller acheter – encore de l'argent – deux cafés à la sortie la plus proche du parc. Puis, quand je reviens vers lui, le voilà assis, en train de sortir pleinement d'un monde onirique dans lequel je ne sais quels rêves ou cauchemars sont apparus. J'approche alors, avant de poser le sac sur le banc, glissant une main dans ma poche, lui montrant le texto qu'il m'a envoyé.

« L'anthropologie, je crois, a fait beaucoup de recherche sur la place de l'alcool dans les civilisations. Je me demande ce qu'est un homme qui se réveil dans un parc, sans ses chaussures, sa veste et son portable... Bonjour Tristan, alors tu t'es "amusé" sans moi on dirait cette nuit... »

Je m'installe à côté de lui, tendant un gobelet de café tandis que je bois une gorgée du mien, regardant les personnes qui avancent ici et là... Malgré la fraîcheur la matinée est belle et attire les gens à se promener. Une nouvelle gorgée de café glisse entre mes lèvres, tandis que je regarde mon portable, le rangeant dans ma poche. Mes yeux se tournent en direction de mon ami, je ne cherche pas à dire quoique ce soit, c'est à lui de me parler... Sortant un paquet de cigarette, j'en sors une pour moi avant de lui tendre le paquet.

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() message posté Ven 10 Oct 2014 - 21:18 par Invité
Le jour s'est levé
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Le jour s'est levé Sur une étrange idée Je crois que j'ai rêvé
Que ce soir je mourrais Le jour s'est levé Plein de perplexité Si ce n'était pas un rêve Qu'il faille s'en aller S 'en aller Δ Lorem Ipsum

Je me suis assis, jugeant qu'il valait mieux qu'on croit que je n'étais pas un SDF, après tout j'aurais meilleure allure si c'était vraiment les flics qui débarquaient, mais ça m'étonnerait fort, ils se seraient déjà manifester. Au lieu de ça, j'aperçois Dimitri. Dimitri, merde, qu'est-ce qu'il fou là, qu'est-ce qu'il va penser de moi? Il ne m'a jamais vu bourré, je ne l'ai en même temps jamais été jusqu'à présent. Ça doit être une de mes premières cuite, une réelle cuite, au point que je ne me souvienne plus de rien. Je termine ma clope et la jette par terre, j'aurais pu l'écraser, mais je ne peux pas vraiment. Je le laisse s'installer, ne tournant pas pour autant la tête, il me tends un café et une clope, que je prend en le remerciant. Le café me réchauffe la main, mais j'ai tout de même assez froid par ce temps automnale. Je me demande comment il m'a trouvé et pourquoi il est là, c'est une coïncidence ou bien autre chose ? Il semble avoir lu dans mes pensées et me montre un sms venant de moi. Je ferme les yeux et sert les dents, je crois qu'il n'est pas le seul à qui j'ai envoyé des messages. Il faudra que je vérifie à qui j'en ai envoyé, le problème étant que je n'ai plus de téléphone pour vérifier. Pas de chance.

« Je suis désolé, je ne voulais pas te déplacer. Tu n'aurais pas du faire attention à ça ...»


Je me sens tellement honteux qu'il soit là simplement pour moi. Je lui donne une image dégradante de moi, ça ne me dérange pas d'habitude quand je donne cette image à certaines personnes, mais lui c'est différent. Nos familles se connaissent, je le connais et il me connaît, mais je l'apprécie assez pour éviter qu'il sache tout de moi, qu'il garde une part de mystère. C'est un peu raté pour le coup. J'espère que je n'ai pas envoyé ce genre de message à Nate ou Robin qu'ils ne s'inquiètent pas trop pour moi. Wally aussi doit se demander ce que je fiche. Il a peut-être déjà lancer un avis de recherche, sans déconner je prends tout ça à la rigolade, mais il faudrait que je réagisse, pourtant mon cerveau est encore trop embrumé pour que j'y pense. Il respectera le délai d'inquiétude avant d'appeler la police, je le connais trop bien pour ça, il est très cadré sur les lois et ne dérangerait pas quelqu'un si ce n'était pas vraiment inquiétant, quoi qu'il en soit je lui devrais des explications, comme j'en dois sûrement à Dimitri.

« Ouai on dirait … j'espère que je ne t'ai pas interrompu ...»


Je tourne enfin la tête vers lui, espérant qu'il me réponde que oui, qu'il soit venu juste pour moi aurait quelque chose d'assez jouissif, même si ma situation est loin de l'être. Je n'arrive pas à me souvenir de la manière dont j'ai atterrit ici. J'ai quelques images, je crois que je n'étais pas seul. Tout à coup je regarde dans le creux de ma main, cigarette à la bouche et café dans l'autre. Des chiffres sont inscrit, sans doute un numéro de téléphone, mais l'encre est presque effacé. Il faudrait que je retourne au bar, pour savoir ce qui m'est arrivé … mais je n'ai pas réellement envie de me rappeler parce que je sais toujours pourquoi j'ai bu.
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() message posté Mar 14 Oct 2014 - 18:54 par Invité
Le jour s'est levé...
Tristan & Dimitri

Certains trésors sont plus importants.




« Qui est le plus idiot ? Celui qui laisse un pote dans la galère ou celui qui revient le voir et arrive à sauver ses fringues et son portable... ? Quoique, je vais te montrer qui est le plus idiot, et ce n'est sûrement pas l'un des deux cités... »

Poussant alors le sac de sport avec mon pied dans sa direction, je bois ensuite une gorgée de café, glissant la clope entre mes lèvres pour l'allumer. C'est étrange comme le mythe du café mélangé à la clope se révèle être vrai... la sensation offerte est à la fois spéciale et régénératrice. Je ne sais pas si le mot convient... mais bon, lorsque je passe une nuit sans sexe, c'est le seul moyen pour moi de bien entamer la journée... Par contre, en présence d'un beau mec, je n'ai en rien besoin de ce petit rituel. Posant le gobelet, je commence à ouvrir le sac pour sortir ses chaussures assez rapidement, les laissant tomber au sol, avant de récupérer son portable, le faisant sauter dans ma main avant de composer mon numéro, mon portable se mettant à sonner, tentant alors tant bien que mal à imiter la voix de Tristan, m'invitant moi-même à prendre alors un verre, prétextant que ça ferait plaisir de passer un peu de temps ensemble, blabla. Bref, je raccroche ensuite, avant de lui montrer le téléphone, un léger sourire au lèvres.

« La prochaine fois, invite moi avant d'être bourré. Et si tu as un problème, je peux être là pour l'écouter tu sais. »

Je pose alors son portable sur sa cuisse avant de reprendre mon gobelet, buvant une nouvelle gorgée. Je laisse glisser le liquide chaud dans ma gorge, me grattant un peu la joue. J'aurais sûrement accepté son invitation, j'ai très peu d'amis alors autant que je garde contact avec les personnes que j'apprécie le plus... Qu'importe dans quel état je vois Tristan, il reste un pote à moi, très paumé par contre... Je tire à nouveau sur la clope, m'asseyant bien au fond du banc en regardant les différentes personnes qui marchent sur le sentier du parc. Je pense que... aujourd'hui j'irais me coucher rapidement dès que je serais à l'appartement. J'attendrais avant de bosser, j'ai tout mon temps de toute façon, ma cliente m'a dit que ce n'est pas pressé pour faire l'expertise de son tableau. Si je peux, je la ferais demain, mais là, avec la nuit à marcher sans rien trouver, je pense que je vais plutôt passer du temps dans mon lit, lire Lovecraft puis dormir... Ouais, j'aime plutôt ce programme. Je tourne mes yeux dans sa direction tandis qu'il me pose sa question.

Je ne peux empêcher de laisser un rire traverser mes lèvres tandis qu'il m'interroge. Peut-être que je n'ai jamais vu ce gars bourré ou dans un tel état, mais je l'ai déjà vu danser, je l'ai déjà vu regarder les mecs... Il est du genre à aimer qu'on le regarde, c'est ce que je pense en tout cas. Je tire une nouvelle fois sur ma cigarette, laissant un nouveau rire m'échapper tandis que je réponds, après avoir fait glisser une gorgée de café entre mes lèvres.

« Qui sait. J'étais peut-être en tête à tête avec un bon bouquin ou avec un verre de whisky. Peut-être que je me préparais à m'amuser en bonne compagnie, ou plus simplement à dormir... Non, ce dernier est impossible. Bref, je te le dirais seulement si tu m'explique ce qui se passe... Je pense avoir le droit de savoir... »
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() message posté Lun 20 Oct 2014 - 17:35 par Invité
Je lève les yeux vers lui lorsqu'il me demande qui est le plus idiot. Sincèrement c'est sans doute moi. Je n'aurais pas du boire autant, ce n'est pas mes habitudes, mais j'avais besoin d'oublier que je m'étais humilié, que j'étais tombé, que j'avais merdé. Je suis loin d'être le type parfait, mais j'aurais du pour une fois suivre mes principes et je ne l'avais pas fait. Je lui souris quand je vois le sac et quand je vois qu'il sors mon téléphone et mes chaussures à milles livres, j'ai des goûts de luxe que voulez-vous et je peux me le permettre alors pourquoi devrais-je m'en privée ? Ce n'est de plus pas très commun de se faire piquer ses pompes alors non je me dis pas en allant chez le marchand de chaussures que je vais me les faire voler, je me dis juste qu'elles sont à ma taille et  de bonne qualité. Je souris légèrement lorsqu'il me laisse un message, ce gars et tellement bizarre parfois, mais c'est ce qui me plaît chez lui. Je lui réponds d'un air triste et d'une voix effacée :

« Merci Dim … »

Je récupère mon téléphone et regarde tout de suite dans les messages ce que j'ai envoyé comme connerie. J'ai bien emmerdé Nate … merde. Je vais devoir lui donner des explications. Curieux de voir ce que j'ai fais je regarde aussi dans mes photos. J'ai l'habitude d'en prendre pas mal quand je suis en soirée et ça ne manque pas pour celle-ci. Plusieurs gars- différents … jusqu'à là tout va bien. Je hausse les sourcils d'un air étonné lorsque je vois certains clichés peu orthodoxe, j'étais bien défoncé pour faire des photos de ce genre. J'ai honte. Je les supprime toutes. Je regarde à nouveau Dimitri et il me dit de l'appeler la prochaine fois que j'ai un problème. Mes yeux croise les siens, un problème … je lève les yeux au ciel, comme si j'avais un problème … je sais que j'en ai un, mais je refuse de le reconnaître devant les gens.

« Quel problème. Tout va bien, on a plus le droit d'être soûl maintenant?»


C'est la première fois que je l'avais été, c'est peut-être pour ça qu'il s'est inquiété, mais très franchement, je ne sais pas si c'est une très bonne idée de lui parler de mes soucis. De mon soucis plutôt, il est assez honteux pour moi de l'évoquer, même d'y penser tout simplement. Ne pas avoir pu leur mettre la même raclé est sans doute ce qui me fou le plus en rage.

« Ou peut-être les deux aussi. Un bouquin et un homme. »


Ca ne serait pas impossible, si on considère que certains livres en soient vraiment. J'en ai un bien précis qui aurait pu les occuper tous les deux, mais très de plaisanterie. Dimitri veux savoir. Je soupire. Je n'ai pas vraiment envie de parler de ça.

« Je suis tombé, c'est tout. Tu sais combien je suis susceptible.»


ça ne sera pas suffisant, je le sais, mais je gagne du temps pour l'instant, n'ayant pas envie d'affronter mes démons.
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() message posté Mer 3 Déc 2014 - 15:14 par Invité
« Susceptible, c'est le mot parfait je crois... Cela te convient parfaitement, en effet. Têtu aussi, très têtu. Je me demande ce que tu es le plus... susceptible ou têtu... »

Par moment, je me pose souvent cette question concernant Tristan. Si il ne tenait pas un rôle d'ami, je me demanderais pas pourquoi il fait ça... mais, c'est un ami, de longue date. Son père membre du « clan sans prétention » que mon père tient encore maintenant, les amis des Wheeler... Plusieurs fois, nous avons eu la chance de nous rencontrer pendant notre enfance pendant certaines soirées mondaines, certains gala ou réunions. C'est vrai, pendant l'enfance, je n'étais pas le même... je pensais qu'à l'honneur de ma famille, une chanson que me répétait mon père ainsi que ma mère chaque jours que Dieu faisait. Mais Tristan, restait tout de même quelqu'un que j'appréciais beaucoup... Peut-être est-ce en partie grâce à lui que j'ai commencé à être moi-même au lycée...  Nous n'étions pas dans les mêmes établissements, mais juste le fait de me dire qu'il y avait des choses que mon père ne pouvait contrôler aidait à briser ce mur d'Hadrien qu'il avait dressé. Tirant sur la clope, je me lève doucement, pour m'approcher d'une poubelle alors que je termine mon café, jetant le gobelet avec les autres déchets.

« Mais si la susceptibilité et l'opiniâtreté font partis de tes défauts, tu es loin d'être un idiot, je pense même le contraire. Alors j'espère que tu te doutes que tes propos ne sont pas convaincants... Je comprendrais que tu n'es peut-être pas assez confiance en moi pour parler. »

Est-ce vraiment à moi de parler de confiance ? La confiance est une chose importante, que je n'ai donné qu'à très peu de personnes dans ma vie... Tristan pourrait se vanter d'en être l'un des rares personnages à posséder toute ma confiance. Pourtant, il y a tout de même certains éléments que je gardent secrets. Pourquoi irais-je dire que sur toutes les œuvres que je collectionne dans un entrepôt, 5% à 10% sont des œuvres volées à d'autres collectionneurs ? Je pourrais le dire à quelqu'un comme Tristan, si il venait à me dénoncer ce serait ma faute, tout simplement... La confiance ne permet pas tout. Tient... serais-je en train de détruire mon propre argument avec ces pensées. Enfin... la raison pour laquelle je n'en parle pas n'est pas le risque de l'amende et de la prison... mais bien que son regard change quand il me concerne.

Doucement je retourne m'asseoir à ses côtés, faisant claquer le zippo que je tiens dans ma main gauche, avant de tourner la tête dans sa direction. Je soupire légèrement, avant de bien m'asseoir au fond de ce banc.

« Je ne cherche pas à t'obliger, je te le promets... J'aimerais juste pouvoir continuer de t'aider. Ensuite, n'oublie pas une chose : c'est dans les traversées du désert que l'on fait le plus de conneries envers soi-même... mais aussi envers les autres qui pensent à toi. »

Peut-être que la prochaine fois, il vivra plus qu'un simple vol de chaussure... Et peut-être que dans mon cas, je devrais être plus sévère. Être plus attentif, ouais, ça devrait être possible...
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() message posté Lun 8 Déc 2014 - 21:12 par Invité
Je souris à Dimitri, têtu et susceptible, ces mots me correspondent bien. Je crois qu'il voit clair en moi, je n'ai jamais eu besoin de lui dire comment je me sens je sais qu'il sait exactement ce qui passe en moi. C'est peut-être pour ça que je ne suis pas très souvent auprès de lui, parce qu'il me cerne tellement que ça me fait peur de découvrir la personne que je suis. J'aurais peut-être dû éviter de l'appeler, il ne m'aurait pas vu dans cet état si pitoyable.

« Ah ça … je n'ai jamais dis le contraire. Tu me connais mieux que personne Dim'.»


Je lui souris toujours, mon petit regard si naïf sur le visage, qui me donne sans doute un air un peu plus paumé que d'habitude, vu la gueule de bois que j'ai. Je bois une goutte du café qu'il m'a tendu et continue de l'écouter. Il fait tellement flipper quand il me déballe mes qualités et défauts en face, parce que tout est toujours dans le mile. Seulement il se trompe au niveau de la confiance. J'ai entièrement confiance en lui, plus qu'en personne d'autre. C'est juste que je n'ai pas envie d'admettre ce qui m'arrive, je n'ai pas envie d'en parler, à qui que se soit, même pas à lui, parce que j'ai honte et que je n'ai pas envie qu'il sache que ce que j'ai vécu me torture. Je ne veux pas lui imposer ça et je veux qu'il continue à croire que ma vie est parfaite alors que je sais déjà qu'il est au courant que ce n'est pas le cas. Je soupire donc et lui réponds:

«Ce n 'est pas une question de confiance, j'ai confiance en toi, je n'ai juste pas envie d'en parler et c'est mon droit.»


Je sais qu'avec cet argument il n’insistera pas. Ça me ferait sans doute du bien de parler de tout ça, mais je n'en ai pas encore la force, ni le courage. C'est trop récent, trop présent pour mon esprit et tant que je ne l'aurais pas accepter je n'arriverais à rien. Je soupire encore parce qu'il joue au philosophe et que je n'ai jamais rien compris à ses phrases tordues. Il n'a pas toujours tort, mais il se complique tellement la vie et ce n'est vraiment pas le moment de me sortir ce genre de choses que mon cerveau ne cerne pas.

« Arrête de jouer les philosophes, tu sais que je n'ai jamais rien compris à toutes ces conneries et je n'ai pas besoin d'aide. Je vais bien. J'ai seulement dérapé, c'est tout.»

J'étais convaincant cette fois et plus sûr de moi, l'art de la manipulation, je culpabiliserais de lui avoir menti, mais il devait se douter que je ne lui disais pas la vérité, pourtant quelque chose me disais que pour cette fois il me laisserait tranquille.

« Alors tu va me dire si tu étais avec un homme ou un livre ou les deux ? »


Je lui lance un petit sourire, je suis curieux de savoir s'il a quelqu'un dans sa vie, peut-être que je lui parlerais de Nate alors, histoire de voir sa réaction, oui je l'avoue, j'espère qu'il sera un peu jaloux et j'espère qu'il n'était pas avec un homme cette nuit, même si je sais déjà que ce n'est pas le cas. Je veux simplement en être sur.
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() message posté Mer 17 Déc 2014 - 20:12 par Invité
Voir ses démons est une chose compliquée pour certains... peut-être pour tous. Bien, j'arrêterais pour le moment. Terminant ma cigarette, je l'écrase sur le sol avant de jouer avec le paquet, regardant mon ami du coin de l’œil. Quand même ! Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué dans l'expression « traversée du désert ». Un argument qui tient pas debout mais une demande express pour le lâcher. Je le laisse poser sa question, tandis que je sors une nouvelle cigarette, l'allumant avant de ranger le paquet. Tirant sur la clope, je laisse la fumée emplie de toxine glisser dans mon corps, pour peu après laisser une fine volute sortir de mes lèvres. Étais-je avec un livre, ou avec un homme... Je réfléchis rapidement sur la bonne tournure à utiliser, ne serait-ce que pour respecter mon propre point de vue. Oh, quelque chose me vient alors en tête, retirant la cigarette de mes lèvres. Pourtant, je ne vais pas répondre maintenant, ou plutôt alors que je tente de répondre je sens mon portable vibrer. M'excusant rapidement, je le sors pour ensuite regarder le sujet de cette notification.

Grognant légèrement, je lance rapidement une insulte avant d'expirer de la fumée à nouveau. Je montre mon téléphone portable pour montrer un homme, la trentaine, brun. L'article parlant de lui comme de l'acheteur express d'une œuvre d'art qui allait bientôt être mise en vente.

« J'étais avec ce salopard, un simple second rôle en soit... Il n'a pas dû apprécier que je le laisse en plan. C'est vraiment une désagréable sensation de se faire avoir comme ça... Voilà pourquoi ce n'était qu'un coup d'un soir. »

Laissant les cendres tombées de la clope, je reprends cette dernière entre mes lèvres tandis que je range mon portable, rageant intérieurement. J'allais devoir prendre des mesures, encore... On ne me fait pas de sale coup sans en payer les conséquences. Nous avions prévu lui et moi que cette toile m'appartiendrait, tandis qu'il pourrait acheter la prochaine... Mais à cause de sa misérable fierté, voilà que je n'ai aucun bénéfice... Foutu salopard, j'aurais sa peau. Et je ne donnerais pas un centime à cet homme, s'il pense me contrôler, me manipuler pour que j'achète cette toile... Ce trésor m'appartiendra, c'est le cas. Enfin, un soupir traverse mes lèvres, bougeant une main comme pour effacer ce problème, tandis que mon regard perdait cette petite colère, totalement.

« Et toi … ? Je veux dire, tu vois quelqu'un en ce moment où tu es libre comme l'air ? »

Je le regarde alors à nouveau, me demandant pourquoi lui et moi n'avions rien tentés. Une histoire de respect peut-être... ou d'amitié. Je ne sais pas. Nous nous connaissons bien, depuis assez jeune d'ailleurs... ses parents membres du « clan d'élite » de mes parents... Enfin, je me lève, lui faisant alors signe, pour que l'on continue cette discussion tout en marchant.
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() message posté Ven 19 Déc 2014 - 20:33 par Invité
Il m'a laissé tranquille, sans doute que je l'avais convaincu, ou qu'il me laisse tranquille pour le moment. Le connaissant il risque de me reposer des questions plus tard, quand je m'y attendrais le moins et je ne pourrais plus me défiler, ni trouver d'excuses. Il est doué pour ça. Pour l'heure il me dit qu'il était avec un homme qui n'a visiblement aucun intérêt pour lui, que ce dernier lui a visiblement jouer à mauvais tour et je ne peux m'empêcher de sourire en sachant ça, au moins ce n'est rien d'important. Je commence à me rendre compte depuis quelques temps qu'il me plaît plus que je veux bien l'avouer.

« Je vois pas de chance.»


Je ne peux m'empêcher de sourire comme un idiot, l'alcool ne masque pas ma satisfaction de savoir qu'il n'a personne dans sa vie, enfin je me trompe peut-être au final, mais quelque chose me dis que je l'aurais su, qu'il me l'aurais dit. Si je suis libre en ce moment, bonne question, oui en terme technique je suis libre comme l'air, mais d'un autre côté je passe pas mal de temps avec Nate pour faire croire à celui qu'il aime qu'on est ensemble, enfin c'est récent, mais bon je crois que ça ne nous mènera nul part et il y a des choses qu'il vaut mieux éviter qu'il sache.

« Libre comme l'air, enfin je butine à droite et à gauche, comme toi je suppose, mais ce n'est jamais rien de sérieux. Je ne suis visiblement pas fait pour les histoires sérieuses.»

A quand date ma dernière histoire qui a durée plus d'un mois? Je ne saurais même pas le dire, au fond je n'ai eu que des histoires d'un soir pour faire court, des tas, mais jamais rien de sérieux et je crois que ça commence à me peser, au fond j'ai peut-être envie de me caser, d'avoir un meilleur avenir avec une seule personne, même si je sais aussi qu'une seule personne ça risque d'être compliqué.

« On rentre du coup? On ne va pas rester assis là planter comme deux idiots alors qu'il commence à pleuvoir et je commence à avoir froid.»


En même temps si je remettais ma veste et mes chaussures j'aurais sans doute plus chaud, la pluie commence à tomber, le café et froid et je rêve tellement de mon lit.

« Chez moi ou chez toi ? »


Je suis peut-être un peu direct, mais je suis surtout fatigué et épuisé par cette nuit de beuverie. Être à la maison me fera le plus grand bien.
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() message posté Lun 19 Jan 2015 - 14:35 par Invité
Cette histoire d’œuvre d'art m'a quelque peu énervé, bien que je ne l'avouerais pas ouvertement, je sais garder mes pensées au plus profond de moi. Certes, cet échec fait assez mal, mais chaque problèmes possèdent sa solution, il faut juste savoir bien étudier la situation, le contexte et agir avec beaucoup de subtilité pour atteindre son but. Maîtriser la situation et son environnement, voilà des éléments importants permettant de survivre, quelque soit la définition de ce terme. Même si il est vrai que c'est par moment difficile de maîtriser certains éléments... Tristan en est un exemple parfait. Combien de temps vais-je devoir attendre avant de trouver le meilleur moment pour lui parler de ses actes et des conséquences pouvant se mettre sur sa route... ? Et je ne dois pas oublier les différentes causes. Mais, je ne vais pas me plaindre non plus, Tristan est une complexe et harmonieuse alchimie d'éléments rendant celle-ci agréable... Changer son comportement briserait l'équilibre... Pourtant, certaines choses restent dangereuses, pour lui comme pour ses proches, il faut qu'il s'en rende compte assez rapidement... Alors oui, je vais devoir attendre de trouver le bon moment pour lui parler, bien que cette fois je ne pense pas mettre des gants.

Je tourne les yeux dans la direction de Tristan tandis que ce dernier m'explique qu'il ne fait que butiner, mettant en avant la possibilité qu'il ne soit pas fait pour les histoires sérieuses. Je ne peux m'empêcher de sourire doucement, comprenant derrière cette affirmation, cette pensée dite ouvertement, le tourment qui pourrait exister dans l'esprit de mon ami. Si l'on se fit à Nietzsche, « les pensées sont les ombres de nos sentiments ». Par cette affirmation, peut-être peut-on entendre des sentiments contraires, tourmentés par la possible envie d'exister en symbiose avec un même être. Ainsi, tandis que je fais claquer mon zippo, je réponds à cette phrase.


« Une relation sérieuse ne peut s'établir qu'avec du sexe. Un respect mutuel, une intimité, sont nécessaires... Le lien développé avec cette personne se doit d'être plus intense que l'amitié... Mais, il ne faut pas oublier les risques de croire en l'amour... » Ainsi, mon doigts glisse sur le briquet, une flamme s'élevant, dansant un peu, jusqu'au moment où je fais de nouveau claquer l'objet. « Ne te brûle pas les ailes en croyant à un amour éternel... »

Mes yeux se perdent doucement dans l'horizon, tandis que je continue de marcher aux côtés du jeune homme. L'éternité est un concept totalement ignorant et dangereux. Mon père pense que les objets, les œuvres d'arts, l'argent, possèdent une forme d'éternité : le pouvoir qu'il exerce sur les esprits. Une foule d'éléments permettent de fournir à la famille dont je suis l'héritier une présence éternelle. Personnellement... je considère que les sentiments, l'art, ou même le pouvoir restent éphémère, c'est pour ça que l'être se doit de continuer d'avancer dans ce néant sans se soucier de ce qu'il peut perdre. Mais...

Je ne peux pas nier qu'ils y aient des exceptions.... J'aime être en contact avec certaines personnes, comme Tristan, en les considérant comme amis ou plus encore... Je suis certain de considérer ces trésors comme privés, ne voulant pas qu'ils disparaissent. Alors que les œuvres que je vole ou j'achète peuvent brûler, je n'aimerais pas que cela arrive à Tristan... C'est un paradoxe que je trouve assez étrange, mais en un sens il me permet de remettre en questions certaines choses et de réfléchir un peu plus à certains actes. Enfin, il demande, directement, si nous allons chez lui ou chez moi. Rapidement, mon cerveau pèse le pour et le contre, ouvrant les paupières avant de tourner mes iris sombres dans sa direction.


« Chez moi... j'ai du boulot à faire et je ne veux pas que tu reste seul les prochains jours. »

Maintenant que cela est décidé, nous arrivons à une sortie du parc, appelant un taxi avant d'ouvrir la porte pour que Tristan entre. Je le regarde avant de lui sourire légèrement, entrant à côté de lui avant de donner l'adresse au conducteur.
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