(✰) message posté Sam 11 Avr 2015 - 0:30 par Invité
J'étais un emmerdeur, j'étais même pire que çà et je le savais mais je le revendiquais aussi beaucoup. On m'aimait ou l'on ne m'aimait pas mais l'un comme l'autre, je me fichais pas mal de ce que pouvais penser les gens. J'étais fais pour les rendre fous, j'étais fais pour jouer les chieurs de service et je n'allais certainement pas changer mes bonnes habitudes. J'étais même plus qu'un chieur, j'étais ce que j'étais. Je ne faisais même pas d'efforts finalement, j'avais un sale caractère, je voulais avoir ce que j'avais dans la tête et si je n'avais pas tout ce que je voulais tout de suite, j'étais le pire emmerdeur. Il n'y avait qu'à voir avec Rosemarie, elle semblait être inaccessible mais je n'avais pas dis mon dernier mot et je pouvais être bien relou là dessus. Quand je voulais quelque chose, je le voulais vraiment et je n'avais pas l'idée ailleurs que dans ma petite tête. Lazerian pouvait bien perdre patience que je m'en fichais éperdument. Je vis rapidement que Lazerian s'était renfermé, était même contrarié parce que je venais de faire. J'aurais dû parier qu'il changerait d'attitude après ce que je venais de faire. J'aurais vraiment dû. Mais avant même que je puisse dire quoique ce soit, il m'avait fermement pris les poignets et m'avait ramené jusqu'à lui. Il avait les pleins pouvoirs et il voulait me le prouver. Je l'avais bien compris. Je n'eus même pas le temps de me débattre que je sentis cet homme frapper mon adorable fessier. Pour qui se prenait-il ? Je ne savais même pas quoi dire mais je bouillonnais au fond de moi. Cela ne m'était jamais arrivé une chose pareille et je n'allais pas laisser çà arriver une nouvelle fois. C'était la première et dernière fois qu'il faisait une chose comme çà. Je pouvais expérimenter pas mal de choses mais certainement pas çà. « Non mais çà va pas ?! » d'accord, çà ne m'avait pas vraiment fais mal mais quand bien même, il venait de franchir une limite que je n'appréciais pas vraiment « Tu dépasses un peu les bornes là tu ne penses pas ? Je n'aime pas ce que tu viens de faire, et ne me dis pas que tu m'as fais çà parce que ta cigarette est passé par dessus la rambarde, parce que ce serait encore plus m'énerver ! » oui je partais au quart de tour mais je n'appréciais pas du tout la tournure des événements. J'étais peut-être énervant mais je ne le faisais pas du tout avec la violence. Il voulait me faire fuir ? S'il le souhaitait je pouvais rapidement partir. Je ne voulais pas qu'il recommence « Ne recommence pas ! Tu as beau être un dominant, je ne suis pas non plus un soumis ! Ce genre de choses, très peu pour moi ! » ui, je n'étais pas très fun pour ce qui était de tout çà mais je n'aimais pas infliger de « punitions » même si j'adorais les jeux. Ce n'était pas du tout comme çà que je voyais les relations sexuelles et les « à côtés ». Je n'aurais jamais pensé qu'il soit aussi autoritaire et aussi dominant. Je ne l'étais pas autant que lui, et finalement, je ne l'étais peut-être pas du tout. Nous étions tellement différents mais en même temps nous avions pas mal de points communs. Une fois de nouveau sur mes deux jambes, je ne voulais pas fuir, je voulais juste qu'il comprenne que ce qu'il venait de faire ce n'était pas à refaire. JAMAIS. « Et ? TU penses vraiment que faire çà te fais du bien ? » la suite de ce qu'il était en train de me dire était complètement déroutant. J'étais sous le choc, surpris par ses propos et en colère par ces derniers mots. Je ne savais même pas comment me comporter à cet instant, ni même quoi lui dire finalement. Comment pouvait-il être amoureux de moi ? C'était complètement de la folie, et puis qui tombait encore amoureux de nos jours ? Non, je ne le croyais pas. Il ne pouvait pas être amoureux de moi. Ensuite, me parler de Rosemarie comme il venait de le faire était inacceptable, pour qui se prenait-il encore ? Son comportement n'était pas celui que je lui connaissais. Mais je ne le connaissais même pas.. « Amoureux de moi ? Je crois que je n'ai pas bien compris... tu ne peux pas tomber amoureux de moi, comment çà peut être possible et je n'ai pas besoin d'un dessin merci ! Je veux dire, non, on ne tombe pas amoureux et certainement pas toi ! T'es comme moi, tu ne devrais pas tomber amoureux. L'amour est inutile, pourquoi tomber amoureux ? » moi et l'amour nous n'étions absolument pas amis et il le savait très bien donc il n'allait pas être très surpris par mes propos « L'amour çà ne sert strictement à rien. Ensuite, et tu évitera de recommencer, ne parle jamais de Rosemarie comme çà. Elle est vierge et justement c'est ce qui m'excite le plus, parce que personne ne l'a encore touché et je veux être le premier. Je ne veux pas passer après quelqu'un. Et pourquoi voudrais tu qu'elle me blesse ? Je crois que c'est l'inverse, c'est moi qui l'a blesse avec ce que je lui dis et avec mes agissements. » il ne la connaissait même pas et je n'aimais pas qu'il parle d'elle. « Jje ne pensais ps que tu serais comme çà. Pourquoi avoir accepté çà si tu es amoureux de moi ? Ce que trouve complètement stupide, car jamais je n'aurais pensé que tu tomberais amoureux, mais pourquoi tu t'encombres à aimer quelqu'un ? » je pouvais bien parler moi.. « Quelles cartes ? Tu sais très bien que je ne suis pas ce que tu aimerais que je sois.. »
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 23:16 par Invité
J'étais un emmerdeur, j'étais même pire que çà et je le savais mais je le revendiquais aussi beaucoup. On m'aimait ou l'on ne m'aimait pas mais l'un comme l'autre, je me fichais pas mal de ce que pouvais penser les gens. J'étais fais pour les rendre fous, j'étais fais pour jouer les chieurs de service et je n'allais certainement pas changer mes bonnes habitudes. J'étais même plus qu'un chieur, j'étais ce que j'étais. Je ne faisais même pas d'efforts finalement, j'avais un sale caractère, je voulais avoir ce que j'avais dans la tête et si je n'avais pas tout ce que je voulais tout de suite, j'étais le pire emmerdeur. Il n'y avait qu'à voir avec Rosemarie, elle semblait être inaccessible mais je n'avais pas dis mon dernier mot et je pouvais être bien relou là dessus. Quand je voulais quelque chose, je le voulais vraiment et je n'avais pas l'idée ailleurs que dans ma petite tête. Lazerian pouvait bien perdre patience que je m'en fichais éperdument. Je vis rapidement que Lazerian s'était renfermé, était même contrarié parce que je venais de faire. J'aurais dû parier qu'il changerait d'attitude après ce que je venais de faire. J'aurais vraiment dû. Mais avant même que je puisse dire quoique ce soit, il m'avait fermement pris les poignets et m'avait ramené jusqu'à lui. Il avait les pleins pouvoirs et il voulait me le prouver. Je l'avais bien compris. Je n'eus même pas le temps de me débattre que je sentis cet homme frapper mon adorable fessier. Pour qui se prenait-il ? Je ne savais même pas quoi dire mais je bouillonnais au fond de moi. Cela ne m'était jamais arrivé une chose pareille et je n'allais pas laisser çà arriver une nouvelle fois. C'était la première et dernière fois qu'il faisait une chose comme çà. Je pouvais expérimenter pas mal de choses mais certainement pas çà. « Non mais çà va pas ?! » d'accord, çà ne m'avait pas vraiment fais mal mais quand bien même, il venait de franchir une limite que je n'appréciais pas vraiment « Tu dépasses un peu les bornes là tu ne penses pas ? Je n'aime pas ce que tu viens de faire, et ne me dis pas que tu m'as fais çà parce que ta cigarette est passé par dessus la rambarde, parce que ce serait encore plus m'énerver ! » oui je partais au quart de tour mais je n'appréciais pas du tout la tournure des événements. J'étais peut-être énervant mais je ne le faisais pas du tout avec la violence. Il voulait me faire fuir ? S'il le souhaitait je pouvais rapidement partir. Je ne voulais pas qu'il recommence « Ne recommence pas ! Tu as beau être un dominant, je ne suis pas non plus un soumis ! Ce genre de choses, très peu pour moi ! » ui, je n'étais pas très fun pour ce qui était de tout çà mais je n'aimais pas infliger de « punitions » même si j'adorais les jeux. Ce n'était pas du tout comme çà que je voyais les relations sexuelles et les « à côtés ». Je n'aurais jamais pensé qu'il soit aussi autoritaire et aussi dominant. Je ne l'étais pas autant que lui, et finalement, je ne l'étais peut-être pas du tout. Nous étions tellement différents mais en même temps nous avions pas mal de points communs. Une fois de nouveau sur mes deux jambes, je ne voulais pas fuir, je voulais juste qu'il comprenne que ce qu'il venait de faire ce n'était pas à refaire. JAMAIS. « Et ? TU penses vraiment que faire çà te fais du bien ? » la suite de ce qu'il était en train de me dire était complètement déroutant. J'étais sous le choc, surpris par ses propos et en colère par ces derniers mots. Je ne savais même pas comment me comporter à cet instant, ni même quoi lui dire finalement. Comment pouvait-il être amoureux de moi ? C'était complètement de la folie, et puis qui tombait encore amoureux de nos jours ? Non, je ne le croyais pas. Il ne pouvait pas être amoureux de moi. Ensuite, me parler de Rosemarie comme il venait de le faire était inacceptable, pour qui se prenait-il encore ? Son comportement n'était pas celui que je lui connaissais. Mais je ne le connaissais même pas.. « Amoureux de moi ? Je crois que je n'ai pas bien compris... tu ne peux pas tomber amoureux de moi, comment çà peut être possible et je n'ai pas besoin d'un dessin merci ! Je veux dire, non, on ne tombe pas amoureux et certainement pas toi ! T'es comme moi, tu ne devrais pas tomber amoureux. L'amour est inutile, pourquoi tomber amoureux ? » moi et l'amour nous n'étions absolument pas amis et il le savait très bien donc il n'allait pas être très surpris par mes propos « L'amour çà ne sert strictement à rien. Ensuite, et tu évitera de recommencer, ne parle jamais de Rosemarie comme çà. Elle est vierge et justement c'est ce qui m'excite le plus, parce que personne ne l'a encore touché et je veux être le premier. Je ne veux pas passer après quelqu'un. Et pourquoi voudrais tu qu'elle me blesse ? Je crois que c'est l'inverse, c'est moi qui l'a blesse avec ce que je lui dis et avec mes agissements. » il ne la connaissait même pas et je n'aimais pas qu'il parle d'elle. « Jje ne pensais ps que tu serais comme çà. Pourquoi avoir accepté çà si tu es amoureux de moi ? Ce que trouve complètement stupide, car jamais je n'aurais pensé que tu tomberais amoureux, mais pourquoi tu t'encombres à aimer quelqu'un ? » je pouvais bien parler moi.. « Quelles cartes ? Tu sais très bien que je ne suis pas ce que tu aimerais que je sois.. »
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(✰) message posté Dim 12 Avr 2015 - 23:18 par Invité
Can I ask for a favor ?
Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE
Il était vrai que pour une fois Lazerian c’était laissé quelque peu emporté par ses émotions, il avait été assez sévère avec le comportement du garçon. Il n’avait pas été très loin non plus. Une fois remis sur pieds, il reprit ses insubordinations. Lazerian eut envie d’écouter que d’une oreille sur le moment. Pourquoi ne partait-il pas ? Quel intérêt il avait de lui faire un sermon ? C’est vrai, claquer la porte aurait été le dernier mot parfait à leur rapport. S’il avait été ainsi avec lui, non Lazerian n’était pas pour des rapports sexuels sous la douleur, il lui arrivait parfois d’attacher certains de ses amants avec des liens en soie, la luxure était un décomposé de luxe. Il n’avait pas réussi son but et il en était presque mécontent, après avoir asséné ces quelques claques, il aurait pu triompher, de nouveau il aurait émit ce point que finalement il pouvait se complaire dans sa solitude. Non, son amant avait décidé de rester là à aboyer comme un minuscule chien qui avait été contrarié. Il l’avait laissé terminer, son silence religieux était son unique réplique pour l’instant, lorsqu’il fut certain qu’il n’y eut plus aucuns sons qui viennent à ternir cette conversation il se leva, il jouait souvent de sa taille pour accentuer son charisme. « Tu vas encore m’interdire beaucoup ? De recommencer ? De dire que je puisse avoir de quelconques sentiments pour moi ? De parler ainsi de cette demoiselle immaculée que je n’ai encore jamais rencontré ! » Il n’aimait pas les interdictions, il ne cherchait plus à le toucher, il restait assez proche de lui, il n’allait pas lui faire de mal. Sur le moment il avait pensé que quelques claques sur son joli fessier aurait pu atténuer son impétuosité, au contraire, elle n’en était qu’exacerber. Lazerian n’allait pas s’excuser, ca avait été divertissant et il n’allait pas s’en cacher. « Je ne m’encombre pas à aimer quelqu’un, depuis quand on décide de ses sentiments Monsieur Clifford ? Si je cherchais à m’encombrer je ne t’aurais jamais penché sur mes cuisses ! Après ça j’avais imaginé que jamais je ne te reverrais ! Finalement j’aurais dû être plus sévère ! » Il avait bien analysé le garçon, un jeune homme qui a besoin de garder une forme de contrôle tout comme lui, le bafouer aurait été l’unique des solutions.
« Tu es un insatisfait, tu veux savoir ce que je pense, je t’offre ce que tu demandes et tu es encore mécontent ! La vérité n’est pas là pour faire plaisir aux deux protagonistes ! C’est ainsi désolé de te décevoir ! Mince je suis dingue de toi, toi tu es excité à l’idée de déflorer une vierge, bien il n’y a pas besoin de s’appeler Mme Irma pour savoir où mènera cette histoire….que veux tu de plus Aiden ? » Ce soir il c’était comporté tel l’amant qu’il devait être et en parfait salaud avec Aiden, il était ainsi. Ne lui avait-il pas pris une part de virginité en couchant avec lui ce soir. Tout lui en semblait céder, le visage de ce garçon était si beau, ce comportement de cochon qui l’attirait encore d’avantage à lui. C’était une véritable torture que de continuer cette conversation, ce corps nu exposé à son regard qu’il avait encore envie de caresser, du bout de ses doigts, du bout de sa langue. Il était blessé par les émotions qu’il refusait d’avoir, car il avait peur d’aimer, en les avouant il avait pensé les remettre au placard. « Je ne veux pas que tu sois quelqu’un d’autre Aiden ! Reste toi-même ! Je ne sais pas à quoi ça sert d’aimer car je n’ai jamais beaucoup exercé ce fardeau ! La dernière fois j’ai été trahi…. » Il avait avancé pour l’amener jusque contre le mur.
Il avait envie de l’embrasser maintenant de lui faire l’amour sauvagement contre cette baie vitrée et lui montrer de nouveau que ça n’avait pas été qu’une simple partie de baise. Pas juste une vulgaire initiation. « Pour une fois je n’ai pas mon mot à dire…..qu’est ce qu’on fait Aiden dans une telle situation ? Toi qui semble si prompt à parler ! »
La soirée venait de prendre un tout autre tournant et je n'appréciais vraiment pas çà du tout. J'étais là pour passer du bon temps avec cet homme que je venais de rencontrer il y avait quelques jours mais je n'avais pas eu envie de l'entendre me dire tout ce qu'il venait de me dire. J'étais là pour mettre un peu de piment dans mon existence, pour expérimenter quelque chose et mon dieu que c'était délicieux mais oui, je n'étais pas du tout pour lui, nous n'étions pas du tout fais pour être plus que ce ne pouvions être ce soir. J'avais les yeux sur une jeune femme, une vierge, Rosemarie, et elle me rendait complètement fou que je n'avais même pas la moindre idée de ce qu'elle pouvait bien faire de moi. Elle pourrait me rendre misérable que je ne le verrais même pas. Mais oui, elle passait tout son temps dans mes pensées, elle ne semblait pas vouloir partir de mes pensées. Seulement ce soir, j'avais réussi à ne pas trop penser à elle, me laissant complètement submergé par le désir que Lazerian arrivait à me donner. Je n'aimais pas le ton qu'il avait employé, pas même ce qu'il venait de me faire mais je n'avais pas pour autant envie de partir. Étais-je maso ? Peut-être. Je ne savais pas trop pour tout vous dire. « Je pourrais t'interdire tellement de choses mais je sais très bien que tu t'en ficherais royalement ! Je ne te connais pas plus que çà mais tu sembles être comme moi, mais certainement en bien pire, t'es un malade du contrôle, encore pire que moi, et rien que les fessées me l'ont prouvé ! » il voulait que j'aille plus loin peut-être ? Et qu'il soit debout ne faisait absolument pas peur. Sa taille ne me faisait pas peur, il ne m'intimidait pas une seule seconde. « Ce n'est pas parce que tu t'es levé que çà m'intimide, au contraire. » sifflais-je avant d'ajouter « Tu ne l'as jamais rencontré, et tu ne la rencontrera jamais, alors pourquoi parles-tu d'elle comme çà ? » je levais alors les yeux au ciel. Oui, je n'aimais pas du tout le ton qu'il avait employé mais finalement, je ne pouvais rien lui dire, je n'avais aucun pouvoir et il pouvait bien me virer de chez lui que je m'en ficherais pas mal. Du moins, je ne pourrais rien y faire. Nous étions donc passé d'un moment vraiment bon à .. çà. Très bien. Je sentais mon sang ne faire qu'un tour, je le sentais bouillonner en moi et je ne savais pas trop si c'était parce qu'il était nu devant moi ou bien parce que j'étais énervé. Certainement les deux. « Depuis le départ on décide de ses sentiments Lazerian ! Tu ne penses pas qu'un homme comme toi peut avoir le pouvoir de décider ? Moi je réussis très bien tu vois ! Tu aurais dû être plus sévère ? Ne recommence jamais tes fessées, mais tu penses que même çà pourrait me faire fuir ? Tu veux que je m'en aille, si c'est çà, dis le et je partirais. Si c'est pour que çà évite que tu ne te lances dans un amour complètement idiot ! » oui, je commençais à dire n'importe quoi mais l'amour ? Vraiment ? Non ce n'était pas pour moi, pas même pour cet homme charismatique. Il était un très bon amant, il ne fallait pas qu'il s'encombre avec l'amour. « Si tu savais que tu m'aimais » je fis une drôle de tête rien qu'en disant çà « pourquoi avoir accepté ma demande alors ? Tu aurais pu décliner non ? Mais tu savais que je n'en ferais qu'à ma tête et que je serais aussi têtu qu'une mule et que j'essaierais encore par tous les moyens, n'est-ce pas ? » je n'étais pas si difficile à lire, je le savais, du moins mon caractère était simple à comprendre, pour le reste.. c'était autre chose. « Insatisfait ? Moi ? » c'était tout ce qu'il avait ? « Je ne suis pas mécontent, tu m'offres ce que je demande et j'en redemande au contraire, tu penses que je suis mécontent ? Tu te trompes mais ce que je n'aime pas c'est de savoir que tu m'aimes, c'est n’importe quoi çà, comment on peut aimer quelqu'un aussi rapidement de toute manière ? Et ou mènera cette histoire ? Je t'en prie, continues, çà m'intéresse fortement » ou pas mais soyons fou, continuions cette adorable conversation « Je veux rien de plus, c'est toi qui semble vouloir plus que moi dans cette histoire, je pensais rester toute la soirée, toute la nuit, pour continuer ce que nous faisions mais visiblement toi tu sais déjà que je vais partir avant même que je le veuille.. » il cherchait à me faire partir ? Parce que si c'était le cas, il commençait à y arriver. « qu'est ce qui te dérange ? Que je ne sois là que pour un soir ou que je sois excité à l'idée de pouvoir me faire une vierge ? Je suis là ce soir, çà ne te suffit pas ? Tu veux plus ? Moi je ne veux pas plus, je pensais qu'on prendrais juste du bon temps ! » je détestais cette situation et si je pouvais faire marche arrière je le ferais. Je n'avais pas envie de continuer à parler, je voulais tout simplement qu'on puisse se remettre au lit mais à en voir mon sexe, il n'avait pas vraiment envie de se remettre au lit. Lazerian avançait et je reculais, mais plus il avançait et plus je sentais mon corps se rapprocher d'un mur.. « tu as été trahi, raison de plus pour ne pas aimer justement et tout simplement s'amuser et prendre la vie comme elle vient ! » je sentais de nouveau cette petite tension entre nous, alors rester ou partir, là était toute la question « Tu n'as pas ton mot à dire ? Et pourquoi çà ? Dans quelle situation ? Tu veux que je fasse quoi ? Je ne veux pas que tu m'aimes et tu sais que je ne suis pas capable d'aimer moi même, j'attendais juste de cette soirée, qu'on prenne du bon temps ensemble, qu'on s'amuse, j'ai quand même bandé pour toi, ce n'est pas rien et çà veut bien dire ce que çà veut dire ! »
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE
Aiden était de nouveau parti en guerre avec le monde, il ne pouvait l’avoir souriant que lorsqu’il lui assénait quelques coups de bassin. En soit c’était une solution qui ne lui déplaisait pas. Cette conversation commençait à l’ennuyer, il ne savait pas encore si c’était parce qu’Aiden c’était métamorphosé en moulin à paroles ou parce qu’il délirait totalement. Il venait même à remettre en question les sentiments qu’il pouvait avoir. L’amour est à son sens une notion assez vague, qu’Aiden continue dans ce sens et il va le dégoûter encore d’avantage des quelques sentiments qu’il puisse ressentir à son égard. « Je ne sais pas où mener cette histoire puisque je ne suis pas en train de la vivre ! Tu as déjà été capable de deviner l’endroit où tu vas sur une route totalement inconnue ? » Il n’avait encore jamais vécu de relation avec un homme et il ne savait pas encore si un jour ça lui arriverait. Les mots tourbillonnaient, perdaient de leur sens, le discours était long, prolixe et désobligeant envers lui, tombant même dans la vulgarité à un moment. Devrait-il sévir à nouveau pour le faire taire ça ne pourrait lui faire que du bien. C’était donc ainsi, il ne voulait qu’une nuit avec lui, il continuait son petit manège, le faisant reculer à chacun de ses pas, de nouveau cette complicité naissait entre eux après les quelques tumultes qui régnaient sur cette terrasse actuellement. Il n’en revenait toujours pas de ce qu’il avait osé dire, il aurait dû garder pour lui ce qu’il ressentait. « Tu crois vraiment que tu me fais honneur de ta présence ici en ayant….cet effet physique ! » Il n’allait pas dire le mot bander, même s’ils étaient nus, il aimait être parfois vulgaire dans le sexe, une fois qu’il fut certain que le dos d’Aiden soit contre un mur, il se plaqua contre lui. Ce n’était pas difficile face à un homme comme lui. Il retint sa respiration, ils étaient de nouveau, peau contre peau, corps contre corps, leur ventre se caressant mutuellement. « Je te fais plutôt honneur en te prenant ce que tu veux exactement saisir chez cette jeune femme ! » Il prit ses cuisses entre ses mains et les soulevèrent pour se loger entre et venir l’embrasser avec passion, il ne lui laissait pas le choix. Il soumettait sa langue avec la sienne, il remonta sa main le long de ses pectoraux le caressant. Ses lèvres continuaient leur travail, il avait enfin trouvé une échappatoire à ses longues phrases grandiloquentes.
Il frissonna à de nouveau retrouver ce contact physique soudain, il se montrait un peu plus sauvage avec lui, certes ferme mais il gardait cette forme de douceur qu’il avait mit depuis le départ entre eux. « Je ne sais pas où ça mène les histoires de cœur, je sais juste où mène les histoires de cul, vers un approfondissement de cette solitude ! Je refuse de vivre ainsi maintenant, si je t’ai mit dans mon lit c’est que je te désirais bien plus que je ne voulais le croire….je t’ai donné ce que tu voulais, tu es en droit de rester de dormir ici, fais comme tu veux ! » Il relâcha ses cuisses, il avait fait certes dans la provocation, la punition était plus psychologique et peut-être même plus pénible de savoir qu’il venait de l’allumer sans pour autant lui donner plus qu’un baiser.
Il n’allait pas fuir la terrasse, il allait le laisser seul avec ses réflexions, il sortit de nouveau une cigarette de son paquet qu’il s’alluma, il espérait au moins terminer celle là. « Aiden vis dans ta petite vie de jeune homme désabusé en révolution permanente ! Et je t’en supplie ne viens pas de nouveau à jouer des poings contre moi, je commence à être particulièrement agacé de t’entendre jacasser et de me fusiller de questions risibles ! Tu me donne la migraine ! » Il s’avança vers la rambarde de son balcon, il faisait frais, la température en restait supportable pour un corps totalement nu. Le quarantenaire tira de nouveau sur sa cigarette, il n’avait pas envie de faire dans de longs développements, qui ne trouveraient aucune réponse. Lazerian se gardait ses équations lorsqu’il faisait un budget prévisionnel.
Il n’osait pas se retourner, ni croiser son regard, de peur de redevenir faible, de le désirer encore bien plus qu’il ne voulait. Lazerian ne voulait pas être gourmand, il c’était déjà bien donné, il était beaucoup trop effrayé pour jouer sa vie sur une histoire, qui n’était en soit pas réciproque du tout.
(✰) message posté Mer 15 Avr 2015 - 17:19 par Invité
Cette soirée était définitivement terminée et je n'avais plus du tout la tête à continuer ainsi. J'étais une forte tête, je devais bien l'admettre mais je n'avais pas envie de continuer à parler pour rien. Cela ne servait à rien et je ne voyais pas l'intérêt de continuer sur cette pente là. Si j'avais demandé à Lazerian d'être celui qui m'aiderait à expérimenter tout çà, ce n'était pas pour rien. De plus, il m'avait trouvé séduisant, et avait même essayé de m'embrasser le premier soir, voilà pourquoi je l'avais aussi choisi. Maintenant, il savait très bien que je n'étais pas homosexuel mais l'expérience m'avait vraiment plu je devais bien l'admettre. J'aurais pu réitérer la chose, je n'aurais jamais été contre, même si très franchement Rosemarie m'obsédait vraiment beaucoup trop. « je ne sais jamais où je vais, à quoi bon savoir où l'on va ? Ce serait tellement ennuyant tu ne penses pas ? » oui je répondais un petit peu à côté mais je n'avais pas envie de continuer. « Même s'il ya des choses qui ne laissent pas le choix, enfin c'est mon avis » je n'avais jamais été très organisé, je vivais toujours au jour le jour et je n'avais pas non plus envie de commencer à mettre à vie sans dessus dessous en l'organisant alors que j'étais très bien comme çà. J'étais très têtu et je voulais toujours avoir le dernier mot, mais Lazerian semblait perdre patience, tout comme moi finalement. Nous n'étions plus du tout sur la même longueur d'onde, et j'avais envie de le laisser et partir. Je ne voyais pas l'intérêt de rester ici alors que nous étions sur une pente bien trop bancale. Je n'aimais pas me prendre la tête, mais si je commençais à m’énerver, je pourrais vraiment être bien trop virulent et finir par partir trop loin. Ce n'était pas ce que je voulais, pas avec lui en tout cas. Je n'avais pas besoin de me le mettre à dos, surtout que je devais encore lui donner tout ce qu'il fallait pour qu'il donne mes documents ensuite à son ami qui était dans une maison d'édition. « Je n'ai pas dis que je te faisais un honneur, je te donne juste un fait c'est tout ! » rétorquais-je en parlant du fait que je n'étais pas resté de marbre en le voyant et en le laissant me toucher. Oui, nous n'avions pas non plus le même vocabulaire lui et moi, nous nous comprenions, ce qui était déjà pas mal finalement. Contre le mur, Lazerian ne manqua pas de plaquer son corps contre moi. Il essayait certainement de me faire taire. Étant plus grand que moi, il n'était pas difficile pour lui de prendre possession de l'espace. Le regardant alors après avoir lever un peu la tête, je le défiais du regard. Je levais alors les yeux au ciel en l'entendant me parler mais je ne pu lui répondre qu'il avait déjà poser ses lèvres sur les miennes, ne laissant pas le choix à ma langue de rencontrer la sienne. Il ne voulait plus que je parle, je l'avais bien compris et répondis à son baiser. Ce n'était pas du tout déplaisant. Je sentais sa main me caresser les pectoraux, il essayait de mettre définitivement un terme à la discussion mais d'un côté, il devait savoir qu'il n'irait pas loin et que je voudrais tout de même continuer cette discussion par la suite. J'étais très têtu, et je n'allais certainement pas changer. Je le sentais de plus en plus sauvage, et je ne le retenais même pas. J'aimais cette sensation mais çà n'allait pas durer. Et j'avais évidemment eu raison « Les histoires d'amour ne mènent nulle part, c'est juste une perte de temps et tout le monde souffre ensuite ! Les histoires de cul, si tu n'y mets pas de sentiments, elles se passent bien. Pourquoi tout de suite partir sur la solitude sachant qu'une histoire de cul peut rapidement être remplacée par une autre, non tu ne penses pas la même chose que moi ? Toi tu veux te poser ? Une mauvaise histoire ne t'as pas suffis ? » j'étais peut-être un peu virulent dans mes propos, je ne savais pas jusqu'où je pouvais vraiment aller. « Non, je ne vais pas rester, je préfère rentrer chez moi, çà ne sert à rien, nous n'avons pas du tout le même point de vue et je crois que la soirée est bel et bien terminée » nous ne voulions pas la même chose, lui et moi et il avait été très clair sur le sujet. Je ne voulais pas me mettre en couple, je n'admettais pas qu'il ait des sentiments pour moi et je trouvais çà bien trop rapide d'ailleurs. « Parce que tu as 40 ans, tu sais tout et moi je ne sais rien ? De toute manière, tu ne vas plus le supporter longtemps, ne t'en fais pas » je suis agacé moi aussi, mais je n'étais même pas susceptible finalement, simplement agacé et je n'avais pas envie de continuer ainsi, cela ne servait à rien du tout. Nous n'allions nulle part, autant partir. Le regardant reprendre ses habitudes, je finis par rentrer à l'intérieur, et monter à l'étage. Il fallait que je m'habille. Après m'être complètement changé, je finis par redescendre pour retrouver Lazerian. Quel changement de situation ! Je m'approchais alors de lui, ne sachant pas quoi dire au départ mais finalement, tout allait sortir tout seul « Merci.. » je ne savais pas quoi dire d'autre que merci « Je ne sais pas si on va se revoir, enfin.. est-ce que je te donne tout ce que je dois te donner pour ton ami.. et, voilà, je ne sais pas quoi te dire de plus. Je préfère m'en aller que de continuer à parler pour rien » mon regard posé dans celui de Lazerian, je fais un petit sourire mais qui disparaît rapidement « Bonne soirée Lazerian, à bientôt ! » je tournais les talons, laissant derrière moi un homme remarquable mais qui n'était pas du tout comme moi.
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(✰) message posté Mer 15 Avr 2015 - 17:57 par Invité
Can I ask for a favor ?
Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE
Lazerian écoutait le jeune homme sans vraiment trop commenter car il n’était pas d’humeur à se justifier sur chacune de ses paroles. Il c’était laisser enfoncer dans ses déboires, il aurait bien aimé qu’Aiden reste, il aurait aimé l’avoir contre lui à son réveil. Ce soir il avait peut-être laissé trop de troubles l’envahir, il avait été trop sincère avec Aiden et il le regrettait. Il vint même à se poser la question de sa voir s’il était vraiment emmouraché de cet être, où s’il était seulement aveuglé par sa vivace jeunesse et sa façon incroyable de toujours lui tenir tête. Ce n’était pas évident, au final quoi retenir de ça ? A part qu’ils avaient cette tendance incroyable à constamment se tenir tête, qu’il n’y avait pas une fois sans que tous deux viennent à jurer l’un contre l’autre. Aiden ne comprenait rien à rien, du haut de ses vingt et un an il pensait détenir la vérité. Il allait bien le voir, il allait enchainé les histoires sans lendemain et se retrouver un jour sans avoir personne, juste une sombre solitude. Lazerian aimerait être se vrai solitaire qui n’aurait besoin de personne pour vivre et heureux, ce n’est pas le cas. Il pourra se mentir à soit même, il a besoin d’avoir quelqu’un à ses cotés et il lui avait fallu de nombreuses années pour comprendre que cette personne devait être du genre masculin. Il l’avait embrassé sans aucune retenue, pour le faire taire un peu et profiter de ce silence. Ce n’était pas désagréable en soit d’embrasser Aiden, c’était même extrêmement plaisant.
Il le laissait partir sans même chercher à le retenir, c’était son choix. Il continuer de fumer sa cigarette dans le silence le plus total. Ce que ce jeune garçon n’avait toujours pas compris c’était justement qu’il n’exigeait rien de lui et qu’il n’attendait rien. Ca faisait déjà bien longtemps qu’il n’attendait plus rien de personne.
Il le vit revenir habillé de si joli pantalon qu’il avait eut plaisir à retirer et aussi à cette belle chemise qui lui allait si bien. D’ailleurs elle pendait lâchement sur ses épaules, entrouvertes sur son torse, il lui aurait bien donné une veste pour se couvrir mais non. Il était encore dans ses réflexions et ses songes, il jeta sa cigarette lorsqu’il entendit la porte se claquer. Il arrivait avec tellement d’aisance à faire fuir le monde qui l’entourait, il avait obtenu ce qu’il voulait avec Aiden. Il monta et retrouva son lit, il semblait froid, malgré ce qui était arrivé dedans, il l’observa un instant pour se laisser tomber dedans. Les relations humaines le dépassaient totalement, il ne s’avouera jamais que les paroles de ce jeune homme l’avait vraiment blessé.
Il fixa le plafond du regard, une main sous la tête et l’autre sur le ventre, il était pensif. Il ferma les paupières, il devait se reposer un peu après cette nuit. Instinctivement, comme pour se convaincre qu’il était bien parti, il tâta le drap à coté de lui, cherchant le contact d’Aiden. Rien seulement le silence sans aucunes paroles cinglantes qui le condamnaient encore et encore. Lorsqu’il pu enfin s’endormir, les premières lueurs de l’aube apparaissaient à l’horizon. Il devrait se réveiller dans deux heures, avec le goût amer d’avoir gâché un instant de complicité avec un garçon qui lui plaisait. Ainsi va la vie, il devait accepter cette malédiction…