"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Can I ask for a favor ? + Lazerian  [Hot] - Page 3 2979874845 Can I ask for a favor ? + Lazerian  [Hot] - Page 3 1973890357
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Can I ask for a favor ? + Lazerian [Hot]

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() message posté Mer 1 Avr 2015 - 16:58 par Invité
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Tout ce qui passait depuis que j'étais arrivé chez lui était nouveau pour moi. Non pas que je n'appréciais pas la chose, au contraire, j'étais toujours avide de nouvelles expériences. J'avais un petit peu d'appréhension, je devais bien l'avouer car je n'avais jamais embrasser un homme, je n'avais jamais rien fais avec un homme. Et même si ce n'était pas si différent qu'avec une femme, ce n'était tout de même pas la même chose. Lazerian semblait vouloir y aller doucement, il semblait vouloir que je me sente bien et que j'apprécie cette soirée. Je n'en doutais pas vraiment en y pensant. Il me démontrait par la même occasion qu'un homme savait aussi y faire, même parfois mieux qu'une femme. L'homme connaissait déjà ce corps, il connaissait les parcelles qu'il fallait titiller, il connaissait plus de choses et sans l'avouer, sentant sa langue, sa bouche ou même ses mains, je me rendais compte que c'était la première fois que mon corps répondait aussi rapidement. Il savait vraiment y faire et je n'avais pas envie qu'il s'arrête. Me laissant totalement faire, je me surprenais à être calme et à en vouloir toujours plus. C'était excitant, sensuel et je devais bien avouer que ce n'était pas du tout comme j'avais pu l'imaginer. Je suis surpris mais agréablement. De nouveau contre lui, je ne fis rien, le laissant faire ce qu'il voulait. Il était entièrement maître de la situation et de mon corps. Mon corps voulait déjà la suite, tout en sachant très bien ce qui allait finir par se dérouler. Il me prit de façon à ce que je me trouve les jambes autour de sa taille. Il avait de la force, bien plus que moi mais de toute manière, c'était beaucoup trop facile d'être plus fort que moi. Il n'y avait qu'a voir comment j'étais fais. Il me surprit d'autant plus qu'il avait monté les escaliers tout en me portant. Je ne pris pas trop attention à ce qu'il y avait dans la chambre, ce n'était pas çà qui m'intéressait le plus. L'impatience était l'un de mes défauts premiers et encore une fois on pouvait bien le voir sur mon visage et sur mon attitude. Car même si je me laissais faire, j'avais envie qu'il continue, qu'il me touche encore et encore. Il avait réussi son coup, il avait déjà bien commencer et je n'allais pas demander à ce qu'il arrête en si bon chemin. Le moment que je redoutais un petit peu était enfin arrivé. Il semblait prendre des précautions, chose que j'appréciais mais que je ne lui dirais pas. Le laissant faire, je sentis sa langue, passer rapidement là où il fallait. Mon corps se raidit un petit peu, me contractant d'autant plus mais il fallait que je me détende. Ce n'était pas si horrible que çà, enfin je l'espérais en tout cas. Je l'entendis me dire de me détendre, oui, je devais le faire mais c'était plus facile à dire qu'à faire. Mais j'allais me détendre. Le fait de sentir son doigt était un peu désagréable mais sentir sa bouche et sa langue aidait un petit peu à oublier le reste. Il me retourna alors, me retrouvant sur le dos, je le dis en face de moi. Il semblait tellement sérieux et … affectif ? Je ne pouvais pas bouger, je n'en avais même pas envie. Il allait devoir tout faire tout seul, enfin de toute manière, je ne savais pas vraiment ce que je pouvais faire à part le laisser pénétrer en moi. Respirant rapidement, je sentis l'extrémité de son entrejambe me titiller, puis il entra en moi, une fois mais pas entièrement. Il fini par se laisser complètement aller et entra de nouveau et cette fois je sentis que la totalité de son sexe était en moi. Ma respiration était saccadée, c'était encore assez délicat, assez étrange, je n'étais pas encore totalement à l'aise. Il ne bougeait plus, certainement pour me laisser le temps de m'habituer. Fermant les yeux, il fallait que j'éteigne mon esprit et que je me laisse entièrement aller. Je n'étais pas avec n'importe qui et cette expérience était tout de même bien meilleur avec Lazerian qu'avec une toute autre personne. Me mordant la lèvre, mes yeux étaient toujours fermés. Je commençais vraiment à me faire à l'idée. Je voulais qu'il bouge qu'il se mette à me montrer de quoi il était capable.  « Vas y » soufflais-je dans un simple murmure avant d'ajouter  « Vas y, continue » j'étais d'une impatience certaine mais j'étais prêt et mon corps se détendait au fur et à mesure. Ma respiration parlait pour moi, j'en voulais plus.  « Touche moi » je préférais qu'il me touche en même temps, que je puisse tout ressentir.


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() message posté Mer 1 Avr 2015 - 18:04 par Invité
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Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE

Lazerian avait pris le jeune homme dans ses bras, l’avait enlacé dans ses bras, les muscles c’étaient durcis sous l’effet de l’effort. Pourtant aucune difficulté ne l’avait saisis, il avait amené jusqu’à cet autel de plaisir symbolisé par son lit. Il l’avait allongé sur le ventre et l’avait préparé comme il se devait, il n’était pas un bourreau, pour une première fois, il n’avait pas envie que ce jeune garçon soit saisis de la douleur, qui sera présente quoi qu’il arrive mais atténué. Non il ne voulait pas user de l’ersatz du lubrifiant, les bonnes vieilles méthodes ont fait leurs preuves depuis le temps. Après l’avoir retourné, il alla se loger entre ses cuisses, il annonça sa venue à l’aide de ce membre dur qui venait à la rencontre de cette intimité encore vierge. Il entra en lui, d’abord délicatement, doucement, pas en entier, et après l’effort, il y alla sur toute la longueur. Un temps d’adaptation, pourtant l’étudiant semblait déjà friand de son corps contre le siens, les deux hommes enlacés contre lui, il le somma de continuer à plusieurs reprises. Les paupières clauses, le souffle retenu, ce jeune homme était son péché personnel. Il voulait en prendre soins, qu’il lui appartienne, même si ce n’est que pour cette nuit. Encore bien pire, il avait décidé de l’aimer dans ce laps de temps résiduel. Oui, il y mettait du cœur, il ne voulait pas l’avouer, car Aiden était la beauté incarnée, par ce corps mince, parfaitement équilibré et ce fessier si beau si rebondi. Il prit appuie sur ses jambes et se mit à osciller son bassin en lui, les longs doigts caressèrent son torse, son ventre, allant même jouer avec cet entrejambe tendu. C’était certes étroit, mais peu à peu il créait son propre chemin à coup de bassin long et sensuel. Le voyage vers le plaisir avait débuté et il voulait l’emmener au paradis. Leurs peaux se touchaient tandis que cette danse de luxure l’avait saisit. Il se mit à lui imposer un rythme plus soutenu, allant et venant en lui avec cette facilité qui lui incombait. Une main se posa de nouveau sur sa hanche fermement, alors que ses lèvres venaient de nouveau emprisonner celles de l’étudiant. Le quarantenaire se mit à soupirer avec force, même à avoir ce râle rauque et constant. Il ralentit un peu, laissant à son amant le temps de reprendre ses esprits pour mieux reprendre son aventure. Il déposa ses lèvres sur son torse remontant pour dissimuler sa tête dans son cou. Il faisait bien attention de ne pas l’écraser sous son poids.

Il se retira et entra avec plus de puissance en lui, ses hanches allaient à la rencontre de son bassin, pour de nouveau l’assouvir de son dessein. Se frottement jouissif entre eux, il l’embrassait, maitrisait sa langue avec la sienne. Il connaissait chacune des subtilités pour le faire grimper pendant le temps qu’il voulait. Il souleva l’une de ses cuisses pour mieux entrer encore, sa peau se recouvrit de cette fine pellicule de sueur. Les rythmes s’enchainaient, il ne su combien de temps il éreinta le corps de ce garçon, il ne l’avait pas changé de position car il voulait continuer de contempler ce visage qui possédait chacune émotion de ce membre dur qui labourait sans ménagement cet antre délectable. Aiden était exquis et il voulait en profiter au maximum. Jusqu’au moment où tout s’accéléra, il alla encore plus vite, encore plus fort, il le tenait contre lui, il ne pouvait plus s’échapper, ses mains continuaient leurs balades répétées, venant jouer avec ses tétons. Leurs peaux claquaient, il n’allait pas tarder à atteindre ce nirvana. Jusqu’au moment où tout implosa, dans un long gémissement guttural, qui écorcha sa gorge, il se libéra totalement de la supplication de son plaisir, le laissant sortir de son âme pour toucher celle d’Aiden. L’ensemble de son corps se crispa pour se détendre d’un coup.

Il était protégé, il s’allongea sur ce jeune homme, déposant quelques baisers sur sa mâchoire, encore épris de ce qu’il venait de vivre. Sa tête se réfugia sur son épaule, maintenant qu’il avait obtenu de lui ce qu’il voulait, qu’allait-il advenir de Lazerian. Un souvenir d’une expérience masculine qui allait s’estomper avec le temps. Au final, il ne fallait pas s’interroger longtemps sur la froideur dont il faisait preuve si souvent et cette façon dont il avait de marqué ses distances avec le genre humain. De son corps il recouvrait totalement celui de ce jeune homme qui avait les traits d’un ange et le caractère du démon. Son souffle était encore accéléré alors que son cœur tambourinait contre sa cage thoracique.




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() message posté Jeu 2 Avr 2015 - 23:02 par Invité
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Jamais je n'avais imaginé que cela puisse se passer de cette façon. Mais ce n'était pas du tout désagréable. Du moins après que mon corps se soit habitué, tout est allé très bien rapidement. Finalement, ce n'était pas du tout si différent que les relations sexuelles que je pouvais avoir avec les femmes. Je faisais la même chose en y repensant, sauf que c'était une femme et non un homme. Les sensations étaient même plus agréables avec Lazerian, et c'était assez étrange de penser ainsi. Mon esprit s'éteignait de plus en plus, laissant tout simplement mon corps parler à ma place. Un peu tendu au départ de sentir un corps complètement étranger en moi, j'avais fini par complètement me détendre, en en redemandant même encore plus. Son entrejambe semblait être parfaitement adapté pour moi, et je sentis rapidement toute sa longueur pénétrer en moi. Soupirant doucement, je ne mis pas longtemps à sentir le désir et l'excitation s'emparer de moi. Je fermais alors les yeux tandis que ma respiration se faisait de plus en plus forte et de plus en plus rapide au fur et à mesure que Lazerian bougeait. Je ne regrettais pas d'être venu ce soir, je ne regrettais jamais rien de toute façon. Je n'aimais pas vivre dans le regret, cela ne servait à rien. J'étais d'ailleurs plutôt content de la tournure des événements. Il avait voulu m'embrasser un soir et je ne connaissais rien de tout çà, je n'étais pas pour ce genre de relation, je n'y avais jamais réfléchis de toute manière. Pour moi, j'étais hétérosexuel et une adorable jeune femme, bien que très lourde sur les bords m'obsédait et hantait toutes mes pensées. Je n'avais plus laisser personne prendre possession de mon esprit, ni même de mon corps. Je n'avais toujours pas pu goûter à la jeune femme et j'avais vraiment envie de le faire mais pour le moment, tout était différent, et je passais un merveilleux moment en compagnie d'un homme. Je ne regrettais absolument pas de m'être détourné et d'être rentré chez moi ce soir-là puisque cela m'avait beaucoup fait réfléchir, me laissant sur l'idée qu'il fallait que j'essaie, que je m'essaie à cette expérience nouvelle. Sentir sa peau contre la mienne était un pure délice, et je n'aurais pas pensé aimer à ce point. Je ne cherchais même pas à comprendre ce qu'il se passait, laissant mon corps se réchauffait un peu plus jusqu'à commencé à sentir des perles de sueurs se poster un petit peu partout. La chaleur était montée rapidement d'un cran. Mordant alors ma lèvre inférieure, je ne pouvais pas rester silencieux et je lui fis part du plaisir que j'étais entrain de découvrir en laissant échapper quelques râles. Il se fit de plus en plus sauvage dans ses mouvements, entrant et ressortant avec plus de puissance. Je sentais son corps se rapprocher du mien à chaque mouvements, laissant de plus en plus l'excitation me prendre avec force. Ses mains venaient s'en prendre à mon corps qui répondait avec brio. Contre lui, il allait à une cadence bien plus rapide, et répétée ce qui ne faisait que décupler tous mes sens. Le toucher était une chose importante, je ne pouvais jamais avoir une relation sexuelle convenable si je ne touchais pas la personne ou si la personne ne me touchait pas. Je trouvais çà très important, c'était sensuelle et doublait même le plaisir. J'avais même réussi à donner un orgasme à une étudiante rien qu'en la touchant. Oui, je vous l'accorde cela pouvait peut-être être un peu trop extrême mais c'était véridique. J'avais du mal à respirer, il fallait que je reprenne mes esprits après ce qu'il venait de se passer et en même temps, je crois que j'avais envie de recommencer. Mon souffle était accélérer, dos sur ce matelas confortable et Lazerian contre moi, je ne pus m'empêcher de passer mes mains sur le dos de ce dernier, les laissant danser. J'aimais cette proximité que nous avions, même si cela ne devait pas durer. Il avait tout fait pour que çà aille pour le mieux et que tout se passe bien et il avait très bien réussi. Toujours sur moi, je ne voyais pas son visage et une fois que mon souffle repris à peu près normalement, je déposais mes mains sur le fessier de cet homme musclé.  « A quoi tu penses ? » me risquais-je à lui demander, ne sachant pas s'il était réellement dans ses pensées  « Pour une première, je peux te dire que c'était remarquable » avais-je ajouter. Je n'y allais jamais par le dos de la cuillère, je disais toujours ce que je pensais et ce moment ne dérogeait pas à la règle  « On recommence ? »  


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() message posté Ven 3 Avr 2015 - 11:22 par Invité
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Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE

Lazerian avait fait son maximum pour éprouver le corps de ce garçon et y avait mis un morceau de son âme. On peut toujours lutté contre sa nature, la nature vous rattraper car incontestablement, on a beau avoir le détachement qu’on voulait sur la sexualité, elle restait une part de soit, une intimité extrême partagé entre deux individus. Une fois qu’il eut atteint l’orgasme, il s’allongea sur lui, restant même en lui pour le moment. Les deux mains de son amant se baladèrent sur son dos, jusqu’à atteindre les rondeurs de son postérieur, il se laissa faire, il aimait bien aussi qu’on le tripote à cet endroit, même s’il n’appréciait pas qu’on aille plus loin. Aiden l’avait répété plusieurs fois il était un dominant et il resterait un dominant quoi qu’il advienne. A quoi pensait-il ? Son amant devrait savoir que ce n’était pas son fort de délivrer ses pensées. Il l’entendit parler de cette première avec un homme. Il était ravi que cela lui ait plus. « Tu es un très bon amant aussi Aiden ! » Sa voix était douce et chaude contrastant un peu plus avec cet homme froid qu’il pouvait être au quotidien. Un peu surpris sa requête, il voulait déjà remettre le couvert ? Généralement les hommes comblés de leur première expérience aussi plaisante soit-elle disparaissait sans demander leur reste, sûrement à cause de la honte ressentis par le plaisir de ce partage de la chaire. Là c’était tout autre, il se redressa. « Très bien ! » Il était décidé de changer de position, le temps aussi de changer de préservatif. Lazerian avait peut-être quarante ans mais il n’était pas encore de cette trempe à mettre dix milles ans de s’être partagé. Il avait encore cette forme de jeunesse qui lui permettait d’être au garde à vous dans les minutes qui suivent.

Bien qu’il eut l’aide de quelques coups de poignet afin d’obtenir les volontés de son amant. Il le fit se mettre à genoux sur le matelas, pas à quatre pâtes mais bien à genoux, il l’enlaça de ses bras puissants afin qu’il ne tombe pas en avant, posant son bassin contre son fessier, il redressa quelques mèches de cheveux sur le dessus de son crâne et de nouveau il le pénétra. Cette fois il y allait avec un peu plus de vigueur que la première fois. Bassin contre bassin, dos contre torse, tête contre tête, il pouvait faire une toute nouvelle exploration. L’angle était différent, lui permettant une exploration plus approfondie, il pouvait mieux le torture à coup de hanches. Ses longs doigts se faufilèrent un peu partout, passant sur son ventre, sur ses abdominaux, tout en gardant cette étreinte si forte entre eux. Il l’embrassa dans le cou, lui mordilla la nuque, il voulait de nouveau l’envoûter. Son bassin faisait claquer ce fessier, d’ailleurs cette fois il en profita, pour venir le caresser d’une main à cet endroit. Il adorait ce magnifique petit cul qu’il avait à sa disposition. De nouveau il l’emmena sur les chemins de la concupiscence. Ce souffle rauque et constant il le tenait contre lui, il était pour lui, rien que pour lui cette nuit. De nouveau le plaisir l’emporta dans cette vague puissante, une main posé sur sa hanche, l’autre l’encerclant au niveau du torse. Avec vigueur il donna encore plusieurs coups de rein répété, achevant cette œuvre d’art.

Délicatement il embrassa joue, ses lèvres pour finalement se laisser retomber allongé sur le lit, il était sur le dos, les cuisses légèrement écartées. Il tourna la tête vers son jeune amant, il le contempla à nouveau. Sa gorge se serra, il savait éperdument qu’après se second round il allait le quitter pour la nuit, qu’il avait eut ce qu’il voulait et que même s’il avait été l’objet de son plaisir, il ne serait jamais l’objet de ses pensées. C’était la cruelle vérité de ce siècle, de ce monde, il était ancré dans ses valeurs superficielles, de ce plaisir sans engagement. II plaça une main sous sa tête, son corps était en sueur. Aiden pourrait lui demander un troisième round, mais l’un comme l’autre, il leur faudrait un peu de temps cette fois. Même s’il refusait de se l’avouer, il avait cette petite pointe d’affection qui le tiraillait et qui lui faisait voir d’une autre dimension ce qui était arrivé. Lazerian restait très silencieux.




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() message posté Ven 3 Avr 2015 - 23:48 par Invité
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J'en revoulais, j'en redemandais, parce que je me devais d'être honnête. J'avais aimé partager ce moment avec Lazerian. J'avais aimé ce qu'il s'était passé entre nous et j'avais envie de recommencer. Il m'avait ressentir quelque chose que je ne pensais pas du tout possible pour un homme. Il m'avait montré et même prouvé qu'un homme pouvait s'y prendre bien mieux qu'une femme et qu'il pouvait y avoir quelque chose de sensuelle entre deux hommes. Je n'avais jamais été pour ce genre de chose, tout le monde pouvait bien faire ce qu'il voulait, je n'étais pas là pour juger, et je ne le ferais jamais, mais Lazerian venait de soulever tout ce que je pensais. Il venait de changer ma perception des choses. Alors oui, j'en redemandais encore, et certainement tout au long de la nuit. Je savais qu'il nous faudrait un peu de repos, que ce n'était pas possible de remettre le couvert à la suite à chaque fois mais j'étais prêt à rester éveiller toute la nuit pour continuer ce que nous étions en train de vivre. Le plaisir semblait avoir été partagé, ce qui me faisait d'autant plus plaisir même si je n'avais pas vraiment fais grand chose pour le coup.  « Je n'ai pas fais grand chose » soufflais-je alors que Lazerian venait de me confier que j'étais un très bon amant. Mentait-il ? Je ne le savais pas mais cela faisait tout de même plaisir à mon ego, il fallait bien l'avouer. Il était tout de même bien plus aimable, beaucoup moins froid que lorsque je l'avais retrouvé dans ce café un peu plus tôt dans la journée. Je n'avais aucune honte d'avoir éprouvé du plaisir avec lui, bien au contraire, à chaque fois que j'éprouvais du plaisir et ce n'était pas très souvent, et bien j'en redemandais encore et encore. Quand c'était bon, j'étais vraiment très gourmand. Peut-être même un peu trop mais au moins il avait pouvoir se rendre compte que j'avais vraiment apprécier tout çà et que je n'allais pas partir comme un voleur même si ce n'était que pour une nuit. Demain, il retournerait à ses occupations et moi aux miennes. Il reprit et je me laissais une nouvelle fois complètement faire. C'était un dominant dans toute sa splendeur et je me pris même à profiter de la vue qui m'était rapidement donnée avant que je me retrouve à genoux. Intéressante position que je pourrais bien réutiliser plus tard avec une nouvelle partenaire. Je ne savais pas du tout ce que cela allait donné mais je lui faisais entièrement confiance pour le coup. Sentant ses bras m'enlacer, je ne pus qu'apprécier de voir que mon entrejambe était de nouveau parfaitement positionné. Ce que je donnerais pour sentir de nouveau la bouche de Lazerian sur mon petit bijou. Sentir cet endroit humide me rendre fou et me faire le plus de bien possible. Il entra de nouveau en moi, ce qui me fit sortir de ma petite rêverie. Les mouvements étaient bien plus sauvages, bien plus forts et cela ne me dérangeait absolument pas. Je m'y étais complètement fais et même si je pouvais ressentir une petite douleur par moment, ce n'était pas un problème. La chaleur revenait de plus belle et l'excitation était à son comble. Ma respiration avait repris un court anormal et l'Irlandais pouvait entendre quelques râles de plaisir sortir de ma bouche. Rapidement tout s’accéléra et une nouvelle fois, je sentis mon corps commençait à se laisser complètement aller. Sans plus trop tard, le plaisir m'emporta complètement, acceptant tout ce que je pouvais. Le plaisir était une chose incroyable, que je n'avais pas ressenti depuis quelques semaines. Depuis que Rosemarie s'était emparée de mes pensées et que je n'arrivais plus à rien quand elle était dans le coin. Je ne dirais bien évidemment pas à Lazerian que cela faisait longtemps que je n'avais pas connu çà avec une femme mais même avec la fatigue qui pointait le bout de son nez, j'avais tout simplement envie d'en redemander encore. J'étais bien trop gourmand. Il fallait que je me repose un peu et que l'homme près de moi en face autant. Mon corps était complètement chaud, et j'aurais bien besoin de prendre une douche tant la sueur s'était emparée de mon corps. Mais je n'avais pas envie de bouger, je n'en ressentais pas du tout la force. Je verrais plus tard. Posant ma tête sur mon bras, je regardais alors Lazerian.  « Tu es toujours silencieux après le sexe ? Tu sembles vraiment dans toutes tes pensées.. » je n'en démordais pas.  « Je suis claqué mais je n'ai pas envie de m'arrêter là » je savais que ce n'était que pour nuit, que même si j'avais apprécié tout çà, j'étais amoureux d'une jeune femme et je la voulais vraiment bien trop pour me laisser emporter dans une relation homosexuelle.  « J'ai envie de t'embrasser » lui dis-je sans vraiment comprendre pourquoi j'en étais venu à lui dire cela. J'avais envie de l'embrasser, c'est vrai, mais pas un simple petit baiser, non, lorsque je parlai d'un baiser c'était toujours sauvage. Je ne voulais pas lui dire que j'avais encore envie de sentir sa bouche tout autour de mon entrejambe. Il refuserait d'ailleurs certainement, puisque c'était un dominant.   


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() message posté Dim 5 Avr 2015 - 1:06 par Invité
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Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE

Lazerian n’aurait jamais osé prétendre faire un tel compliment si ce n’est pas le cas. Certains novices en la matière qui recherchait un peu de chaleur masculine, rebutait dès que l’acte devenait concret et beaucoup trop douloureux, ne supportant pas d’avoir en eux un si gros gabarit. Pourtant Aiden avait apprécié encore mieux il en redemandait. Le producteur n’allait pas le mettre au pied du mur, en lui revendiquant une part de bisexualité que l’étudiant au final n’arriverait pas à assumer. D’ailleurs c’était avec une certaine satisfaction qu’il lui avait offert une seconde salve, peut-être moins tendre mais tout aussi sensuel, car tout au long de cette étreinte, il l’avait gardé enlacé contre lui, ses bras puissants l’avaient entourés, chaque son de sa bouche et de sa gorge avait été offert tel un concert prêt de son oreille. Et c’était avec la même flamme qu’il avait mit toute sa splendeur à contribution, il l’avait pénétré avec plus de vigueur qu’il l’avait mené jusqu’à l’orgasme, sans jamais faiblir. Leurs corps avaient été de nouveau fusionnés, se confondant, tel un chef d’orchestre avec sa baguette, il avait mené ce concerto de la luxure avec délectation. Qu’il était doux et bon d’avoir ce fessier qui venait s’écraser contre lui à chaque aller et venue. Jusqu’au moment où il avait atteint de nouveau ce summum, cette toute puissance qu’il avait guidée en lui, dans cet endroit si étroit, qu’il avait de nouveau profité. Une bonne dose de sexe faisait toujours suée des corps, qu’il était bon d’être excessif. Il en avait profité pour caresser ce corps, l’explorer de nouveau, suivant chaque courbe pour mieux exploiter chacune de ses zones qu’on pouvait excité du bout de ses doigts.

Dans un accord parfait, il avait de nouveau fait exploser toute cette jouissance en lui, le gardant un peu contre lui, avant de se laisser tomber sur le matelas, l’esprit encore embourbé dans toute son exaltation. L’esprit perdu dans les méandres d’une passion qui le dépassait. Partager ses pensées n’aiderait en rien, en soit il ne ferait que fuir cet amant de passage qui s’inscrivait dans cette liste qui s’allongeait. S’il venait à avouer que ça avait été si fort pour lui, qu’il aimerait le garder prisonnier dans ses bras, donnerait l’occasion à Aiden de prendre la porte d’entée, ou encore pire, une bonne baffe en pleine figure. Il n’avait aucune envie de se justifier, ni de partager le tourbillon qui semait le trouble dans son âme. Il était d’une nature silencieuse, il n’avait même pas envie de répondre à sa question. « Cela est peut-être une généralité dans mon quotidien que d’être silencieux ! » Il c’était forcé à répondre, tout en restant énigmatique et toujours l’esprit songeur. La tête de son amant posé sur son bras, il l’amena contre lui, sa main se déposa sur la fesse droite de son amant pour la caresser et même la pétrir, donnant un effet détente. Il avait amené sa tête contre son torse, il en voulait plus.

« Tu as envie…pourquoi tu ne le fais pas ? Je crois qu’après ce que nous venons de partager, il faudrait arrêter de se prescrire certains gestes surtout dans le temps impartis qu’il nous reste ! » La nuit était chronophage, il pourrait encore longuement éprendre ce corps, lui donner les dernières volutes d’énergie, pourtant il n’en fit rien, ne faisant que garder contre lui ce jeune homme, s’offrant ce petit instant de tendresse. Patientant même des prochaines exigences d’Aiden. Ce jeune homme vivait dans l’espoir qu’une jeune femme s’offre à lui, alors que Lazerian avait totalement oublié les principes d’une relation, de la vie de couple, d’aimer et d’espérer. Durant ce moment où il l’avait tenu dans ses bras il y avait pensé. « Pourquoi moi Aiden ? Il y a tellement d’autres hommes à Londres qui seraient tout aussi expérimenté que moi, même plus jeune, plus expérimenté, qui s’impliquerait peut-être moins que moi émotionnellement parlant ! » Il tourna la tête vers lui, il alla entrelacer ses doigts avec les siens. Le refus d’aimer avait été la loi imprescriptible de cette union. Une interdiction souveraine entre les deux protagonistes, pourtant un seul mot et cette règle volerait en éclat, se brisant pour mieux révéler la nature profonde du producteur. Il était devenu l’une des premières fois du jeune homme.

Le nombre de raisons incalculables seraient présentes, la fondation du monde était faite de destins qui se croisent mais qui ne se suivent pas. Il garda son regard plongé dans le siens, il préférait se perdre un instant dans cet océan bleuté, pour partager cette complicité substantielle.





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() message posté Mer 8 Avr 2015 - 21:02 par Invité
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Même si ce n'était pas quelque chose que je pourrais faire tout le temps et que j'étais vraiment hétérosexuel, du moins je le pensais en tout cas, j'avais vraiment apprécié coucher avec Lazerian et expérimenter tout çà avec lui. Bien qu'il pensait certainement le contraire, lorsqu'il avait essayé de m'embrasser, j'avais pas mal réfléchis et des idées s'étaient forgées dans mon esprit. Je n'étais pas rebuté par l'acte homosexuel, je n'étais pas du genre à juger les gens parce qu'ils étaient gays, bi ou je ne savais trop quoi encore. Je vivais ma vie et je n'avais pas besoin de me préoccuper de celle des autres. La mienne était déjà bien assez compliquée pour que je me penche sur celles des autres. Quoiqu'il en soit, j'avais vraiment apprécié les deux fois et j'allais bien évidement en redemander. Je n'avais pas envie de partir, je sais que c'était peut-être étrange mais je n'avais vraiment pas envie de partir. Peut-être que j'appréciais la compagnie de cet homme bien plus que je ne l'aurais pensé. En tout les cas, s'il voulait que je m'en aille je partirais mais de moi même, je ne le ferais pas. Il m'avait donné envie de recommencer, même si la première fois avait tout de même été un peu douloureuse sachant que je n'avais jamais laissé personne passer par là et que ce serait certainement le premier et le dernier à le faire. Je devais bien admettre que le moment avait été assez exceptionnel et que Lazerian avait vraiment tout fais pour que je me sente à l'aise et que j'apprécie l'instant. Ce fut une réussite. J'avais eu besoin d'en redemander, de laisser mon corps une nouvelle fois se prendre dans un plaisir commun. J'avais une nouvelle fois eu besoin de sentir le corps de Lazerian contre moi et arriver à me faire connaître un orgasme aussi parfait que le précédent voire même un peu plus intense. Je crois que depuis que je couchais avec des femmes et que je me faisais un malin plaisir à les rendre folles, je n'avais jamais connu de telles choses. Lazerian était doué dans tous les sens du terme et il me surprenait au fil de la soirée. Un dernier râle de plaisir venait d'être poussé indépendamment de ma volonté. Ma respiration était encore irrégulière mais je n'avais pas envie de me reposer. Enfin, si un petit peu tout de même car il m'avait épuisé mais j'étais gourmand, comme toujours, je savais ce que je voulais et je savais que la nuit allait être assez courte.  « Oui mais pas ce soir ! » rétorquais-je pour avoir le dernier mot. Je voulais le pousser à dire quelque chose. Oui, j'étais bel et bien un chieur et il le savait déjà de toute manière. Je n'allais certainement pas changé ce soir. C'était tout le contraire qui allait se dérouler car même si je voulais remettre le couvert, j'avais aussi envie de l'emmerder, de le faire parler un peu car un coup il pouvait être d'un tendre pour ensuite se refermer. Il était vraiment bizarre mais je ne pouvais pas vraiment parler car j'étais pareil. Froid, distant mais au lit, c'était tout de même autre chose. Du mois, quelque fois en tout cas.  « et ce n'est pas en faisant çà que tu vas me faire oublier que je suis un chieur et que je veux que tu parles ! » sifflais-je le laissant me toucher.  « Tu aimes beaucoup trop mes fesses ! » je n'étais pas musclé, je ne savais pas ce qu'il trouvait à mon corps, ni même à mes fesses et même si j'aimais ce que j'étais, et que j'avais une énorme confiance en moi, je me demandais parfois pourquoi on pouvait bien apprécier ce que j'avais. Je me vantais par moment d'être bon au lit, oui çà, il n'y avait pas de soucis à se faire là dessus. J'aimais le revendiquer et en abuser.  « Je vais redevenir dur si tu continues ! » autant y aller franchement et lui dire avec mes mots plutôt que passer par un tout autre chemin, n'est-ce pas ?  « Je ne sais pas, toi t'en as envie ? Tu voudrais encore sentir mes lèvres sur les tiennes ? Les sentir dans ton cou ? Sur ton torse ?  » oui, j'aimais jouer et je n'allais pas me priver... mais alors que j'allais commencer à l'embrasser et même à faire un peu plus, Lazerian reprit et dans une premier temps, j'avoue que je ne savais pas vraiment quoi lui dire.  « Lorsque tu as voulu m'embrasser la dernière fois, j'ai pris peur, je te l'accorde parce que je ne suis pas homosexuel, mais çà m'a mis certaines idées en tête, et je ne sais pas, parce que t'es un homme attirant, tu sembles vouloir la même chose que moi, je veux dire quand tu veux quelque chose, je pense que tu ne baisses pas les bras, t'as l'air d'être un homme un peu comme moi, enfin je suis un peu comme toi.. Quelque chose m'attire chez toi et vu que tu étais attiré par moi, je voulais tenter l'expérience avec toi. J'ai besoin d'une raison ? Comment çà s'impliquer émotionnellement parlant ? » je ne comprenais pas trop ce qu'il entendait par là. Et je n'étais pas certain de le vouloir. Je finis par me mettre détacher de lui et me mettre sur lui. Mon corps collé contre le sien, je m'approchais dangereusement de sa bouche  « qu'est-ce que tu entends par là ?! » demandais-je avant de déposer mes lèvres sur les siennes et de faire danser ma langue avant d'aller à la rencontre de la sienne.    


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() message posté Jeu 9 Avr 2015 - 16:28 par Invité
Can I ask for a favor ?
Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE

Il avait dans son lit l’emmerdeur numéro hors compétition de l’ensemble de la planète, il fallait que ça lui tombe dessus et qui plus est qu’il l’ait baisé par deux reprises. Lazerian ne perdait pas patience, le seul moyen pour lui donner raison serait d’avoir ce qu’il voulait c'est-à-dire que son manche ne se redresse à ses mots, il avait bien trop de contrôle pour se laisser totalement aller à ça. Savoir qu’il pouvait lui plaire flattait énormément son égo. En soit, il avait réussi à l’amener où il en avait eut envie, lui procurer ce plaisir qu’il y avait entre homme, pourtant il l’avait abandonné dans ce lit, il l’avait laissé seul avec pour seule excuse le baiser qu’il lui avait imprimé sur ses lèvres. Dans sa tenue d’Adam, il avait allumé sa cigarette, quelques instants plus tard ce fut Aiden en mode contrarié qui surgit sur sa terrasse, il lui prit sa cigarette des mains. Après quelques bouffées, il ne lui rendit même pas, il lavait jeté par-dessus la rembarde, il posa ses mains sur ses hanches, contrarié par ce geste, Lazerian était un gros fumeur et savoir qu’on venait de jeter sa cigarette l’agaçait vraiment. Cracher le morceau ? De nouveau il avait le droit à ce garçon impétueux, aux traits angéliques mais à ce caractère infernal. Il posa les mains sur son torse. Sur le moment il se retint, il aurait bien eut aimé lui administrer le châtiment qu’il lui avait promis pour le début de la soirée. Soudainement sans même réfléchir, bien que ses mains c’étaient promener sur son torse, il lui prit son poignet, fermement avec contrainte sans lui faire mal. « Tu l’as dit je suis un dominant ! J’ai horreur d’être contrarié sous mon toit. » Le visage fermé, il avança son visage vers le siens. Il alla s’assoir sur sa chaise de jardin, se moquant du lieu, d’ailleurs il n’y aurait aucuns voisins pour voir, puisqu’il était sur une terrasse. Sans même laisser le temps à Aiden de comprendre ce qu’il lui arrivait, il l’allongea sur ses cuisses. Lazerian leva la main et la fit retomber sur ses jolies fesses rebondies. L’avantage de vivre dans un penthouse était justement de n’avoir aucun voisin comme témoin. Cet appartement il l’avait choisis avec soins. Il n’allait pas lui faire un sévisse très fort, c’était histoire de reprendre cette autorité qu’il n’aimait pas laisser bafouer par ce garçon. Il ne pouvait s’échapper de lui. Il caressa doucement la chaire qu’il venait de réchauffer avec sa paume pour soulager un peu, et de nouveau il abattit sa grande main sur cette jolie paire de fesses, le tenant fermement en place. Il ne lui donna que deux claques, elles étaient déjà bien suffisantes en elle-même. Et elle n’avait pas été très forte, la peau avait à peine rosie et encore cette rougeur avait déjà disparu. La littérature érotique de ce siècle c’était assumé au travers d’homme charismatique, Christian Grey était un héro aux yeux de son public féminin, homme de fiction. Pourtant à aucune personne n’a pensé qu’il pourrait exister. Certes Lazerian n’avait pas de chambre rouge, pas une panoplie de jouets d’homme excentrique, car il a toujours pensé qu’il n’en avait pas besoin. L’amant se suffit à lui-même, il relâcha Aiden. Il le redressa pour le remettre debout. « Je t’avais prévenu dès le début de ma soirée que je pouvais sévir ! Maintenant saches une chose Aiden, oui je suis tombé amoureux de toi au premier regard sur ta petite personne bien que misérable elle m’a énormément plu ! Car j’ai envie de te protéger, de te serrer contre moi, de te faire rêver comme personne ne t’as fait rêver, sûrement pas comme ton espèce de proie féminine inexpérimentée et qui joue sa sainte nitouche uniquement dans le but de te blesser ! » Il avait besoin de savoir ce qu’il pensait, il allait être servis. Surtout après ce qu’il venait de faire.

« Si je ne te l’ai pas dit après t’avoir possédé dans mont lit c’est uniquement car je ne suis pas un homme pour toi….tu viens d’en avoir la démonstration ! Je sais qui je suis et je sais aussi que tu n’es pas homosexuel, inutile de le revendiquer une fois de plus ! Alors maintenant que tu connais le fond de ma pensée et même le fond de mon âme que vas-tu faire Aiden ? » Il planta son regard dans le siens, il ne lui avait pas trop fait mal, il avait fait assez attention, c’était histoire de marquer le coup une bonne fois pour toute avec cet homme. Il l’aimait, il lui avait dit, il ne le désirait pas, c’était un sentiment non voulu. Voulait-il encore rester. « Cette fois tu as toutes les cartes en main ! » Bien entendu jamais il ne laissera Aiden jouer avec ses sentiments, car c’était cette maitrise de soit qui avait fait de Lazerian le quarantenaire qu’il était devenu.






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() message posté Jeu 9 Avr 2015 - 20:06 par Invité
Can I ask for a favor ? + Lazerian  [Hot] - Page 3 Tumblr_nk1b1rzm921sw3mipo1_250
C'était un homme complexe que j'avais à côté de moi. Un homme qui pourtant semblait me ressembler de plus en plus. J'avais l'impression de me voir à travers lui, même si j'étais certainement bien plus chiant et bien plus lourd que lui. Je prenais la vie comme elle venait, je n'avais pas envie de me prendre la tête, je ne voulais pas manquer les opportunités que je pouvais avoir sous mon nez. Et même si je n'étais pas homosexuel comme pouvait l'être Lazerian (enfin je ne savais même pas s'il l'était vraiment puisqu'il m'avait déjà dis être marié auparavant), cela ne m'avait pas empêché de venir ce soir. Les expériences ne m'avaient jamais fais peur et il fallait bien avouer qu'il était le premier à m'emmener aussi loin. Pas une seule filles n'avaient eu l'audace de me faire connaître un tel orgasme et je commençais à être bien gourmand. Mais mon rôle de chieur attitré n'était pas terminé. J'allais le rendre fou et peut-être que çà l'exciterait d'avantage, qui sait. J'avais une assurance à toute épreuve même si je ne comprenais parfois pas comment les gens pouvaient apprécier mon corps. Je ne me trouvais pas si musclé que çà mais j'étais fier de mon corps.  « Elles sont musclées, j'avoue que c'est un brin excitant et je n'aurai jamais pensé que je serais autant excité ! » et oui, j'étais un petit être faible, je devais bien l'avouer. Tout m'excitait lorsque j'étais au lit avec quelqu'un et maintenant, j'avais la preuve que le sexe m'excitait et peu importe la personne. Il fallait bien avouer que Lazerian était vraiment très doué, ce qui n'avait donc fais que renforcer mon excitation. Ses mains avaient été délicieuses sur mon corps et sa langue, je n'en parlais même pas. Le sexe était pour moi plus qu'une pénétration, c'était un jeu de séduction, il fallait jouer, profiter des préliminaires, car oui, la pénétration n'était pas une fin en soi. Au contraire, les préliminaires étaient là pour faire monter le désir, faire monter cette excitation que nous cachions au plus profond de notre corps.  « Elles ne sont pas stupides, elles sont là pour voir si ton joli engin est stimulé rien qu'à l'idée de m'entendre dire certaines choses.. Je ne pose jamais de questions stupides, je m'amuse et çà tu ne le comprends pas ! Je suis comme çà, et je continuerais à t'emmerder, mais au fond je sais très bien que çà t'excite » je jouais, et oui, je jouais beaucoup mais je ne pouvais pas rester silencieux. Ce n'était pas un truc que j'adorais faire bien que je pouvais être très solitaire et faire chier mon groupe de potes en ne disant rien du tout. Je faisais toujours quelque chose à côté pour combler le silence que je pouvais infliger aux gens. J'aimerais continuer cette expérience, je n'avais franchement pas envie de partir en si bon chemin. Je ne voulais pas m'enfuir comme la dernière fois, ce n'était absolument pas mon but, au contraire mais je ne savais pas vraiment ce qu'il se passait dans la tête de cet homme si mystérieux et qui était pourtant un très très bon coup au lit. Je n'avais pris aucunes initiatives et j'avais envie d'essayer d'en prendre quelques unes. Du moins je ne voulais pas le pénétrer, je n'étais pas là pour çà et il le faisait tellement bien.. mais j'avais envie de laisser parler mon imagination, comme j'avais envie de la laisser parler avec Rosemarie. Oui, malgré tout ,elle était toujours dans mes pensées cette satané blonde. Mais elle était résistante et j'aimais bien qu'on me résiste. Je voulais un petit peu faire pareil avec Lazerian mais finalement, je n'avais pas pu le faire, bien trop excité pour çà. L'homme qui m'avait fais découvrir ce vis s'exprima de nouveau, je ne voulais pas le couper, et j'avais l'impression qu'il était plus attaché à moi que je ne le pensais. 21 ans !!! OUI, je tenais à cette année supplémentaire, c'était une année de moins à faire en cours alors, j'y tenais beaucoup. Je ne pus même pas répondre qu'il m'avait embrassé lui aussi. Finalement, il quitta la pièce sans me laisser dire quoique ce soit. Il était agaçant et je sais qu'il n'aimait pas que je veuille avoir le dernier mot. Je me levais finalement, ne prenant pas non plus la peine de me couvrir. A quoi bon, nous étions nés tous nus autant le rester dans ce duplex. Une fois sur le balcon je pris la cigarette de Lazerian et me mit à la fumer. Je finis ensuite par la jeter et je n'étais pas certain que Lazerian soit très content mais tant pis. Le défiant alors du regard, seules les lumières de la ville me montraient le visage de l'homme qui venait de m'en apprendre un peu plus sur les relations sexuelles.  « Déjà j'ai 21 ans, oui j'y tiens !  » soupirais-je en laissant toujours un petit espace entre lui et moi  « qu'est ce que tu veux me dire, crache ce putain de morceau ! » je le défiais, je le savais très bien mais allons y, qu'il en finisse et qu'il parle  « qu'est-ce qui n'est pas grave ? Tu es parti parce que tu savais que je voudrais le dernier mot et que j'en demanderai plus. Tu as peur que je parte sans prévenir ? Je ne suis peut-être pas homosexuel Llazerian mais je ne vais pas partir comme un voleur, surtout pas en me laissant sur cette fin.. » m'approchant ensuite de lui, je finis par poser mes mains sur son torse pour les faire descendre jusqu'à son bas ventre. Je m'interrompis alors « tu savais très bien qu'en voulant me montrer tout çà, je n'allais pourtant pas rester... du moins pour le moment, j'ai pas envie de partir non plus »  


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() message posté Ven 10 Avr 2015 - 16:27 par Invité
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Lazerian & Aiden
Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l’orgueil qui n’est nullement à dédaigner ▬ MARQUIS DE SADE

Il avait dans son lit l’emmerdeur numéro hors compétition de l’ensemble de la planète, il fallait que ça lui tombe dessus et qui plus est qu’il l’ait baisé par deux reprises. Lazerian ne perdait pas patience, le seul moyen pour lui donner raison serait d’avoir ce qu’il voulait c'est-à-dire que son manche ne se redresse à ses mots, il avait bien trop de contrôle pour se laisser totalement aller à ça. Savoir qu’il pouvait lui plaire flattait énormément son égo. En soit, il avait réussi à l’amener où il en avait eut envie, lui procurer ce plaisir qu’il y avait entre homme, pourtant il l’avait abandonné dans ce lit, il l’avait laissé seul avec pour seule excuse le baiser qu’il lui avait imprimé sur ses lèvres. Dans sa tenue d’Adam, il avait allumé sa cigarette, quelques instants plus tard ce fut Aiden en mode contrarié qui surgit sur sa terrasse, il lui prit sa cigarette des mains. Après quelques bouffées, il ne lui rendit même pas, il lavait jeté par-dessus la rembarde, il posa ses mains sur ses hanches, contrarié par ce geste, Lazerian était un gros fumeur et savoir qu’on venait de jeter sa cigarette l’agaçait vraiment. Cracher le morceau ? De nouveau il avait le droit à ce garçon impétueux, aux traits angéliques mais à ce caractère infernal. Il posa les mains sur son torse. Sur le moment il se retint, il aurait bien eut aimé lui administrer le châtiment qu’il lui avait promis pour le début de la soirée. Soudainement sans même réfléchir, bien que ses mains c’étaient promener sur son torse, il lui prit son poignet, fermement avec contrainte sans lui faire mal. « Tu l’as dit je suis un dominant ! J’ai horreur d’être contrarié sous mon toit. » Le visage fermé, il avança son visage vers le siens. Il alla s’assoir sur sa chaise de jardin, se moquant du lieu, d’ailleurs il n’y aurait aucuns voisins pour voir, puisqu’il était sur une terrasse. Sans même laisser le temps à Aiden de comprendre ce qu’il lui arrivait, il l’allongea sur ses cuisses. Lazerian leva la main et la fit retomber sur ses jolies fesses rebondies. L’avantage de vivre dans un penthouse était justement de n’avoir aucun voisin comme témoin. Cet appartement il l’avait choisis avec soins. Il n’allait pas lui faire un sévisse très fort, c’était histoire de reprendre cette autorité qu’il n’aimait pas laisser bafouer par ce garçon. Il ne pouvait s’échapper de lui. Il caressa doucement la chaire qu’il venait de réchauffer avec sa paume pour soulager un peu, et de nouveau il abattit sa grande main sur cette jolie paire de fesses, le tenant fermement en place. Il ne lui donna que deux claques, elles étaient déjà bien suffisantes en elle-même. Et elle n’avait pas été très forte, la peau avait à peine rosie et encore cette rougeur avait déjà disparu. La littérature érotique de ce siècle c’était assumé au travers d’homme charismatique, Christian Grey était un héro aux yeux de son public féminin, homme de fiction. Pourtant à aucune personne n’a pensé qu’il pourrait exister. Certes Lazerian n’avait pas de chambre rouge, pas une panoplie de jouets d’homme excentrique, car il a toujours pensé qu’il n’en avait pas besoin. L’amant se suffit à lui-même, il relâcha Aiden. Il le redressa pour le remettre debout. « Je t’avais prévenu dès le début de ma soirée que je pouvais sévir ! Maintenant saches une chose Aiden, oui je suis tombé amoureux de toi au premier regard sur ta petite personne bien que misérable elle m’a énormément plu ! Car j’ai envie de te protéger, de te serrer contre moi, de te faire rêver comme personne ne t’as fait rêver, sûrement pas comme ton espèce de proie féminine inexpérimentée et qui joue sa sainte nitouche uniquement dans le but de te blesser ! » Il avait besoin de savoir ce qu’il pensait, il allait être servis. Surtout après ce qu’il venait de faire.

« Si je ne te l’ai pas dit après t’avoir possédé dans mont lit c’est uniquement car je ne suis pas un homme pour toi….tu viens d’en avoir la démonstration ! Je sais qui je suis et je sais aussi que tu n’es pas homosexuel, inutile de le revendiquer une fois de plus ! Alors maintenant que tu connais le fond de ma pensée et même le fond de mon âme que vas-tu faire Aiden ? » Il planta son regard dans le siens, il ne lui avait pas trop fait mal, il avait fait assez attention, c’était histoire de marquer le coup une bonne fois pour toute avec cet homme. Il l’aimait, il lui avait dit, il ne le désirait pas, c’était un sentiment non voulu. Voulait-il encore rester. « Cette fois tu as toutes les cartes en main ! » Bien entendu jamais il ne laissera Aiden jouer avec ses sentiments, car c’était cette maitrise de soit qui avait fait de Lazerian le quarantenaire qu’il était devenu.






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