"Fermeture" de London Calling
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Promis, jamais plus comme hier. (Jules)

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Anonymous
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() message posté Dim 8 Fév 2015 - 18:47 par Invité




On est où putain ?
Avec Jules N. Abberline



Une poutrelle lui écrasant la tête.
Voilà l'impression la plus fidèle aux sensations éprouvées par Lola ce matin. On appelle ça une gueule de bois plus communément. Mais celle-ci était telle que même cette comparaison ne suffisait pas.
Lola frissonna et ouvrit les yeux qu'elle avait noircis par le maquillage qui avait coulé. Oui, on pouvait le dire, elle avait des allures de panda junkie aux cheveux ébouriffés. Mais qui ne ressemble pas à ça à un réveil d'une gueule de bois.
Car c'était ça et il n'était question de rien d'autre.
Hier soir, Lola avait suivi de vieux potes à elle dans un bar et puis avait enchainé les verres et après ça... Plus aucun souvenir.
Elle émit un grognement entre la lassitude et on ne sait trop quoi, puis se leva tant bien que mal, essayant de ne pas se laisser de nouveau happer par le morceau de d'oreiller qu'elle avait. Sa tête était lourde, et semblait tanguer comme si elle était à bord d'un navire, alors qu'elle était bien dans un lit. Mais.. Quel lit ? Pas le sien en tout cas, elle ne reconnaissait rien.
Doucement alors, elle ramena ses jambes à sa poitrine et émergea doucement el lançant son regard vitreux et perdu sur les alentours. C'était un grand appartement, de type plutôt bourgeois, qu'elle ne connaissait pas, il y avait du bazar, partout. Et... Il y avait à ses côtés deux personnes. Oui. Deux. Dont évidemment elle ne voyait pas leur tête, planquée sous les diverses couvertures et oreillers. Mais son attention se porta rapidement sur les frissons qu'elle ressentit, cette fois-ci ce n'était pas due aux symptômes de la gueule de bois mais bien au froid. Elle s'en rendit vite compte quand elle vit qu'elle était en soutien-gorge et petite culotte...
Il serait difficile de décrire ce que ressentait à ce moment là précisément Lola, entre de la honte et beaucoup d'incompréhension, surtout. Mais bon sang, que s'était-il passé ici ? Et où étaient ses vêtements ?
Alors qu'elle parcourait du regard la chambre où elle était, une des personnes sur le lit bougeait, c'était cette à l'autre bout de Lola... Elle reconnut la tête écrasée sur le matelas... Putain mais c'était Jules ! Un ami, pote de vadrouille et de soirée, qu'elle aimait charrier. Mais qui pour autant n'était pas présent à la soirée... Du moins au début. Elle fronça les sourcils et par un habile geste quasi gymnastique, elle réussit à contourner la personne du milieu et toucha du bout des doigts l'épaule de Jules, toujours profondément endormi.

Eh... Gros ! Réveille toi ! Oh ! Jules, putain, réveille-toi !

Au départ dans une optique d'un doux réveil, elle oublia ses principes pour lui taper la joue un peu plus violemment. Aux grands maux, les grands moyens. Elle n'était pas toute seule dans cette merde monumentale.
Visiblement, le réveil de Lola avait marché puisque Jules bougea un peu plus, signe d'un réveil imminent. Elle regarda son interlocuteur qui émergeait  à peine de son sommeil, interrompu par la jolie blonde qui le regarda alors en chuchotant

 Putain, c'est quoi ce bordel ?

Il y avait évidemment plein d'autres questions qui rentraient en jeu... La raison de sa présence à lui alors qu'ils n'avaient A PRIORI pas passé la soirée ensemble ? Le fait d'être tous les deux, dans le même lit en petite tenue avec une autre personne entre eux deux, le lieu dans lequel ils étaient.. Tellement de questions que peut-être Jules allait pouvoir résoudre.


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Anonymous
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() message posté Lun 9 Fév 2015 - 23:11 par Invité
réveil matin 15 heures, j'me réveille comme une fleur, marguerite, dans le macadam a besoin d'un doliprane ☇ Vous connaissez Jules défoncé. Jules qui a trop fumé. Jules qui est complètement stone. Jules qui plane à cent milles pieds au-dessus des nuages. Ca, on connait. C'était le quotidien, on avait l'habitude. Mais alors quand Jules était bourré, ça valait le détour. Et ce soir il était bourré. En fait, il n'avait plus de coke et une soirée sans coke c'était carrément l'enfer. Son dealer n'était pas dispo, il avait passé des coups de fil à pas mal de potes mais un seul avait répondu. Il lui avait dit qu'il était en soirée dans un bar, qu'il en avait un peu sûr lui et qu'il pouvait le dépanner sans soucis. Ni une, ni deux, Jules se rendit au bar. Mais une fois là-bas, grosse déception, il ne restait même pas un raïe à se faire. Il sniffa le tout au chiotte en dix secondes, les effets se firent rapidement sentir, mais se dissipèrent tout aussi vite. Jules trépignait, rageait. Alors pour calmer son envie de crier dans ton le bar si quelqu'un pouvait le dépanner, il préféra fumer des joints, et boire. Enchaîner les shots. S'éclater le crâne autrement pour ne plus penser. Et quand Jules était bourré, je vous le dis, ça valait vraiment le détour ! Vraiment... Malheureusement, lui ne s'en souvenait pas vraiment le lendemain.

Mais lâââchez moi. Un rire. Je sais que j'peux le faire. Encore un rire et Jules monta sur le comptoir du bar. A la une... a la deux... Tout le monde le regardait, il allait sauter sur le lustre sauf que... Il s'étala par terre. Se mit à rire, quand il ouvrit un oeil. Une blonde était devenue près de lui, le regardait en croisant les bras. Oh, Lola.

(...)

J'en ai rien à foutre de ce que tu penses, tu te crois meilleur que moi ? Sérieux pourquoi parce que t'es plus de nichons que moi ? Il criait, clope au bec fumante sur la petite Lola, qui elle buvait son énième verre. Ferme ta gueule j'ai jamais dis que j'étais meilleure que toi, mais au moins je risque pas d'attraper le SIDA en échangeant mes seringues avec des SDF !

(...)

DON'T LET ME GOOOOOOO, DON'T LET ME GOOOOOOOO.... Ils chantaient en coeur la célèbre musique des Beatles, désormais dans la rue accompagné d'autres gens. Les visages étaient flous.

(...)

Bordel, mais t'habites à quel étage ? Se plaignit Jules, Lola quant à elle se laissa mollement tombé sur une marche, boudeuse. Elle refusait de monter une marche de plus. J'en ai marrreeeuh... Chouina-t-elle. Jules, soudain hilare, la prit comme un sac à patate, ils manquèrent de se casser la figure et au final, ils y arrivèrent dans cet appartement.

Et puis le reste... black out.


Jules avait l'impression d'être passé dans un rouleau compresseur. Ou dans les rouleaux de l'Elephant Bleu pour laver les voitures. Ouais, c'était encore plus représentatif. Il avait envie de rester ici, dans cette position très précise. C'est à dire, à moitié nu, sur le ventre, une jambe hors du lit, un bras sous l'oreiller. Il avait envie de rester comme ça pour l'éternité, jusqu'à ce que mort s'en suive. Il avait envie de voler dans les airs dans cette même position d'aller se chercher du nutella et des Lucky Charms et les manger, mais sans bouger d'un poil. Ouais, il avait des envies assez spéciales. Avait-il seulement déssoulé ? Eh... Gros ! Réveille toi ! Oh ! Jules, putain, réveille-toi ! Jules ne bougea pas d'un pouce. Il se contenta de grogner comme un homme des cavernes. En gros, ça voulait dire qu'il fallait le laisser cuver pour quelques heures. Et soudain, une baffe. Alors ! Jules leva la tête d'un coup prêt à mordre mais rien que de bouger ça lui foutu une putain de barre au front. Il ouvrit les yeux et là, c'était le drame. Ses yeux était lasérifié par le soleil qui filtrait par la fenêtre. Oh putaaaain... se plaignit-il. Laissez lui le temps d'atterrir là, c'était trop rapidement. Il roula sur le dos, les deux mains devant les yeux. Il n'avait plus envie de les retirer maintenant de peur de se les faire cramer par le soleil. Et finalement, il prit son courage à deux mains. Il respira profondément et ouvrit les yeux. ok, il ne savait pas où il était. Putain, c'est quoi ce bordel ? Par réflexe, il tourna la tête vers la voix. Lola ? Il fronça les sourcils. Quelques flash s'allumèrent dans sa tête. Le bar, le lustre, les Beatles. Rien de plus. Il secoua la tête et redressa mollement. Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a? Fallait l'excuser, il n'était toujours pas sortie de son sommeil et sa tête allait exploser. Et là, il voulu sortir du lit, se cassa la gueule par terre. Il hésita à chouiner comme un gosse et se rouler par terre jusqu'à ce que quelqu'un ne le porte et ne le remette dans son lit en le bordant, mais finalement, il se souvint qu'il avait désormais vingt-cinq ans et il se redressa, de mauvais poil. C'est là qu'il la vit. Lola, en sous-vêtement. Il arqua un sourcil et eut un petit sourire idiot. Salut vous... dit-il en fixant la poitrine de la jeune femme. Avant de secouer vivement la tête. Et merde, c'était de Lola qu'on parlait. Et on ne regarde pas les seins d'une chieuse. On ne regarde jamais les seins d'une chieuse. Et soudain, DING ! Ca fit tilt dans sa tête. Attend, pourquoi t'es à moitié à poil ? Il eut envie de vomir. Sans trop savoir si c'était l'idée qu'il s'était peut-être passé quelque chose entre eux ou bien l'alcool qui remontait. Mais en tout cas il avait besoin d'un clope, il avait vraiment besoin d'une clope pour faire passer cette envie. Il tendit le bras pour ramasser son jean et par la même occasion son débardeur à l'effigie de QUEEN qu'il enfila à même le sol. Il plongea enfi nla main dans sa poche pour sortir son paquet et s'alluma une clope, restant par la même occasion allongé par terre, ne se sentant pas de se lever pour le moment. On entendait, en parallèle, du bruits dans le salon. D'ailleurs, question : On est chez des potes à toi ? Parce que moi ça me dit rien cet appartement. Ha-ha.
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