"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici love me harder - daniel - Page 2 2979874845 love me harder - daniel - Page 2 1973890357
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() message posté Mar 27 Jan 2015 - 22:34 par Invité
    Lorsqu’elle repensait à leur relation malsaine, la plupart du temps, elle préférait se considérer comme une idiote bien trop naïve qui avait cru en chacun de ses mensonges, c’était plus facile comme ça, pour ne pas avoir à regretter le passé. Elle se souvenait bien des matins où il état parti sans rien dire, des longs jours à guetter l’un de ses messages, des disputes où elle ne pouvait s’empêcher de pleurer, et sans oublier les autres femmes, des raisons assez suffisantes pour qu’elle ne veuille plus de lui. Mais elle se rappelait aussi pourquoi elle avait accepté cette situation aussi longtemps, il lui suffisait de fermer les paupières pour sentir sa main frôler avec douceur son visage avant de relever une mèche de cheveux, ou ses bras l’enlacer par derrière avant de déposer un baiser au creux de son cou. Des moments de tendresse qu’il lui offrait parfois qui suffisait à lui donner envie de continuer. Elle avait sincèrement cru que derrière son arrogance, il commençait à s’attacher à elle, petit à petit mais plus elle attendait, plus elle souffrait de ses sentiments. Arrêter était une manière de se préserver avant de s’auto-détruire.

    Du temps s’était écoulé depuis, passer outre le passé était préférable sinon c’était risquer de souffrir inutilement. Daniel pouvait peut-être, être un bon ami, qui sait ? Mais lorsqu’il la regardait de cette façon, et s’amusait à effleurer son cou du bout des lèvres, il était difficile de continuer dans cette optique. Il était un séducteur, c’était plus fort que lui, elle ne voulait pas voir plus loin et s’imaginer des choses. Lorsqu’il lui soumit les enjeux, elle ne fut même pas surprise. Il aimait avoir les pleins pouvoirs. Toute une nuit pouvait laisser sous-entendre des choses mais il n’était pas du genre à obliger une femme à faire quoi que ce soit, il adorait qu’elle vienne de sa propre initiative. Peu intimidée par ce qu’il pouvait lui ordonner de faire, elle accepta. Avec attention, elle le regarda disposer le matériel sur la table, d’un coup expert, il cassa le triangle puis lui montra comment se positionner en la guidant lui-même. Leur proximité la déconcentrait, elle n’était même pas certaine de ce qu’elle devait faire, heureusement que ses mains la dirigeaient. Elle rassembla toutes ses forces pour comprendre ses explications au premier coup, il n’aurait pas à lui remontrer de cette manière. Elle connaissait déjà le principe, ses mots confirmèrent les souvenirs qu’elle en avait. Confiante, elle se déplaça afin d'exécuter ses conseils, elle ne voulait pas rater son tir, sur certaines choses, elle avait trop de fierté. La boule faillit tomber, au moins elle n’avait pas égratigné le tapis de la table. En se relevant, elle lui lança un regard amusé. ”C’est que maintenant que tu t’en aperçois ?” lui répondit-elle, d’humeur joueuse. Puis elle attrapa son verre de whisky avant de s’approcher de lui. ”Je crois qu’il va me falloir plus de leçon que ça. Elle porta le liquide à ses lèvres. ”Alors, dis-moi, qu’est-ce que tu deviens ? Est-ce que je t’ai manqué ?” demanda-t-elle en traçant un trait invisible sur son torse.
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() message posté Mer 28 Jan 2015 - 0:05 par Invité

   
Love me harder...
Daniel & Athénaïs

Quand j'essaye d'imaginer mon avenir, je ne voie qu'un tapis de ténèbres. Si je devais dire si j'avais foi en quelque chose, je dirais en rien. J'ai seulement foi en moi, et en ce que je peux essayer d'accomplir. J'avance seul dans les ténèbres, si j'ai peur? Non, cela fait bien trop longtemps que j'y suis pour avoir peur. Je ne crois pas en un moyen pour y sortir, je crois que si j'y suis c'est pour une bonne raison. Comme le disait souvent mon père : " les choses n'arrivent jamais par hasard. " Cela fait bien longtemps que j'ai accepté mon destin, celui de sombrer dans le néant jour après jour. Ma vie n'a peu d'importance à mes yeux, alors celle des autres le son encore moins. Il m'arrive parfois de croire que j'ai un coeur et de me dire que je ressens des choses mais très vite comme pour démentir ce fait, je fais le mal. Ce besoin de détruire le bien autour de moi est devenu récurrent. Je ne m'en fais plus, j'accepte mon destin. Je me suis déjà posé la question si je vivais pour quelque chose ou si du moins j'ai déjà vécu pour quelque chose. Peut-être il y a longtemps, mais je m'en souviens plus. Trop de noirceur on remplit mon âme entre-temps empêchant toute bonté et tout amour d'y pénétrer.

Athénaïs et la première femme que j'ai acceptée aussi longtemps dans ma vie. Aujourd'hui encore c'est la seule que je permets de revenir sans cesse, je joue un jeu malsain. Le jeu qui consiste à revenir à chaque fois qu'elle essayera de m'oublier, pour lui rappeler sans cesse que je suis là. Je ne fais pas ça par bonté de coeur, je fais ça par malice et par égoïsme. Je ne peux permettre à personne de l'approcher de trop prêt. Pourquoi? Pourquoi est la question qui ne se pose jamais avec moi. Je fais ce dont il me plaît, car c'est là, la clef de tout. Ne rien me refuser, parier et me défier sans cesse, voilà ma seule raison de vivre.

Je ne pouvais détourner mon regard de son corps si sexy. Quand je lui parlai de la beauté de ses fesses elle se tourna en se moquant de moi. Si je l'avais pas remarqué avant? Oh que si, comment passer à côté de ça? Je ne lui répondis pas, je lui souris seulement avec un sourire coquin qui voulait tout dire. Je continuais à la fixer adosser à une poutre les bras croisés, son tire n'avait pas été si bonne que ça alors elle m'expliqua qu'il lui faudrait plus de cours. J'étais tout à fait partant, me coller à elle et sentir le parfum de ses cheveux et frôler sa peau douce étée loin d'être un supplice. Je pouvais la regarder des heures, quand elle prit son verre de Whisky qu'elle porta à ses lèvres. Je ne put la lâcher du regard, je suivis le mouvement de ses lèvres, mordant les miennes par désir de l'embrasser. Elle avait ce don rare de me mettre dans un état d'envie permanent quand je la voyais, il ne s'estompait pas, ni s'effacer, il était dur de lutter. Soudainement elle passa un doigt sur ma poitrine en traçant une ligne imaginaire, alors je décroisai les bras pour la laisser faire. Elle me demanda ce que je devenais et si elle m'avait manqué, je restai sans rien dire quelques minutes. Pas par ce que je n'avais rien à dire, juste par ce que je voulais choisir les bons mots.

"- Tout d'abord, bien sur que tu m'as manqué. Je ne serais pas là devant toi à faire ce deal sinon. Après ça, pour en venir à ce que je deviens, c'est très simple. Je ne change pas, peut-être que je vaque beaucoup plus à droite et à gauche. Par contre je ne partirais plus de ce pays pour le moment, j'ai une affaire en cours qui me fera rester à Londres un bon moment. Je suis en pourparlers avec le gérant du nightjar. Je veux l'acheter, pour me poser et avoir enfin quelque chose à moi. Sinon, je me rapprochai d'elle et je lui caressai le visage tout en la fixant du regard. je crois que tu vas m'avoir sur le dos un bon moment vu que je ne compte plus partir à droite et à gauche. Je vagabonderais dans la ville, peut-être à ta recherche. Je passai un doigt sur ses lèvres. Je me sens bien à la Londres, je m'y sens chez moi. Je descendis ma main sur sa joue puis sur son cou et enfin sur sa nuque, puis je lui susurrai. Toi, qu'y a-t-il de nouveau dans ta vie?"

Je continuai à la regarder, puis d'un seul coup je m'écartai. Je retournai vers le billard, j'avais ce désir hardant de l'embrasser mais je savais que si je le faisais tout s'écroulerais. Je perdrais le deal, je voulais le gagner et lui prouver que je pouvais rester dans sa vie. Je voulais pouvoir garder un oeil sur elle, sans que ça ce face en cachette, ce qui était aussi une possibilité. Je bue une gorgée de Whisky pour reprendre mes esprits et je me dirigeai vers ma canne et je tirai sans vraiment regarder. Deux boules tombèrent dans deux troues, je me tournai surpris de mon geste puis je levai les yeux au ciel comme si c'était finalement normal et je retournai au prêt de la belle. Je regardai la table et j'examinai ses possibilités, elle en avait deux en vue. Une où elle ne pouvait faire tomber qu'une seule boule et l'autre deux. Je voulais lui laisser le choix, car pour le moment j'étais en tête, bien que cela ne pas compter vraiment. Je me positionnai derrière elle et je posai mes mains sur ses épaules et je lui montrai d'une main les possibilités.

"- Alors voilà ma jolie, tu as deux possibilités. Tu as d'abord celui-ci, tu te mets sur le côté si, et tu tapes dans la boule jaune numéro 7 et elle tombe. C'est le plus simple, regarde tu as juste une diagonale à faire. Tu as aussi la deuxième possibilité, celle un peu plus risquer mais faisable. Il suffit de te positionner comme ceci, tu dois faire un petit effet avec ta canne pour que la bille blanche aille vers la droite, tape dans la verte qui touche la bleue, qui les fait toutes les deux tombés. Lequel choisi tu? Je t'aiderais à le faire, je serais juste derrière toi à guider ton mouvement."

Quand je suis passionné, ça se voie tout de suite. Je ne suis pas le genre de personne à parler des heures et des heures de ce qu'il aime, mais quand on me pose des questions ou quand on me demande de l'aide, je peux parfois répondre avec conviction.

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() message posté Mer 28 Jan 2015 - 18:27 par Invité
    L'avenir qu'elle désirait, scintillait de mille feux. Dans le plus parfait des scénarios, elle épouserait un homme qu'elle aimerait et qui l'aimerait en retour, de sa même classe sociale. Elle attendrait un enfant, ce serait éprouvant mais il la soutiendrait. Ils seraient amants, confidents, associés. Lorsqu'ils se retrouveraient seuls, ils n'auraient pas besoin de se mentir, ils pourraient tout se dire, sans avoir peur d'être jugé ou trahi. Mais jusqu'ici, rien n'allait. Alfie répondait à tous ces critères mais elle avait refusé sa demande en mariage parce qu'elle aimait Julian, qui lui, apparemment, n'avait pas envisagé cet avenir ensemble. Pourtant, elle n'avait jamais demandé à quiconque de changer pour elle, tous les défauts, les blessures que le passé avait infligé, elle les avait accepté et continuait de le faire. Elle aimait sans rien attendre en retour, pour combler une âme en peine, en espérant qu'un jour, la personne se réveille en comprenant que sa présence lui était désormais indispensable. La jeune princesse était loin du cliché universel de l'enfant pourri gâté, elle travaillait avec ardeur pour remplir ses devoirs, et rendre honneur à ses parents qu'elle chérissait tant. Elle était humble, douce, attentive et si ouverte que personne ne pouvait lui reprocher quoi que ce soit aux premiers abords. Quant à ses relations, amicales ou amoureuses, elle faisait toujours en sorte de mettre le bonheur de son prochain avant le sien. On lui avait répété que son altruisme la perdrait, elle n'en croyait rien. Elle ne croyait tout simplement pas au rôle du méchant que certaine personne revêtait, et grâce à sa persévérance, elle avait abattu nombre de murs et s'était liée d'amitié avec des personnalités incroyables.

    Daniel était spécial, légèrement à part. Il n'avait pas conscience à quel point son petit manège l'avait blessée. Avant lui, son premier amour lui avait laissé des traces indélébiles, elle s'était sentie si... insignifiante, si peu confiante d'elle-même. Les autres jeunes filles lui paraissaient alors plus jolies, plus géniales qu'elle et il lui avait fallu du temps pour se souvenir de qui elle était réellement. L'adultère l'avait traumatisée, elle en gardait des séquelles et même si avec Daniel, il n'avait pas formé un véritable couple à proprement parlé et qu'elle savait pertinemment qu'elle n'était pas la seule et unique, quelque chose en elle s'était brisé le jour où elle l'avait aperçu avec une autre femme. C'était une douleur qu'elle s'était promis de ne plus jamais ressentir.

    Par le passé, ils avaient été si intimes qu'il était difficile de garder ses distances. C'était comme si une force l'attirait vers lui, il avait dit qu'elle ne le regretterait pas, elle ne voulait pas se retenir et apparemment, lui non plus. Elle avait toujours été sensible à son sourire qui avait toujours l'air de lui signifier qu'il avait envie d'elle et dès qu'ils pourraient être seuls, il serait prêt à la dévorer. Et par dessus tout, elle aimait lorsqu'il la regardait avec cette intensité, elle était incapable de détourner les yeux tant il la captivait. Elle lui avait manqué, quel bon menteur mais elle ne bougea pas, le fixant toujours, une douce expression sur son visage. Elle buvait ses paroles, comme hypnotisée par son toucher le long de ses joues puis sur ses lèvres et enfin dans sa nuque. Son contact lui brûlait la peau tout en lui coupant le souffle. Pouvait-il sentir l'impact qu'il produisait sur elle ? Probablement oui, son cœur martelait avec force dans sa poitrine, prêt à exploser. Elle essaya néanmoins de rassembler ses esprits. Il se sentait chez lui à Londres, ses paroles avaient des allures de confidences. Son pouls s'affola davantage encore. Elle était heureuse que cette ville anglaise lui apporte un pareil sentiment, elle ne voulait pas qu'il se sente seul. L'unique idée de le voir à nouveau la réjouissait presque, elle luttait contre. Elle savait que sur certaines choses, elle pouvait le croire, il ne mentait probablement pas lorsqu'il disait se sentir bien ici mais elle ne devait pas croire qu'il y aurait quelque chose entre eux, en aucun cas. Dans un souffle, en continuant à le regarder dans les yeux, elle lui dit : "Je suis contente que tu t'y sentes chez toi et cette histoire de bar a l'air vraiment bien, hum... Daniel en patron... Tu vas alimenter de grands fantasmes sur tes employées." C'était sans sarcasme, elle était réellement ravie pour cette affaire. "Que veux-tu que je te dise ? Ma vie est incroyablement ennuyeuse ces derniers temps." Parler de sa rupture avec Julian n'était sûrement pas une bonne idée. "J'habite chez un ami depuis quelques semaines, la solitude n'est pas mon fort en ce moment, il est génial." A chaque fois qu'il s'agissait de parler d'Austin, elle devait se retenir de le tarir d'éloge, le garder pour elle valait mieux. "Partons sur la solution la plus risquée, j'aime prendre des risques et tu seras là pour m'aider." dit-elle en lui souriant.
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() message posté Jeu 29 Jan 2015 - 21:49 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

J'ai le droit certains matins à des crises de larmes, certaines femmes ne comprennent pas pourquoi je les jets après notre folle nuit d'amour. S'imaginant déjà une vie de château avec moi dans leurs bras pour toujours. Ça me met en rage, car je mets toujours un point d'honneur à dire que c'est purement physique et qu'il n'y a rien à exiger de plus. Certaines le comprend très bien et d'autres ne peuvent pas le concevoir espérant bien plus. Je n'ai jamais cherché la vie de couple, trouvant ça trop routinier et même jusqu'à avoir l'impression d'être prisonnier. Enfin non je mens, je l'ai plu ou moins tester avec Athénaïs. Ça a duré un mois sans que je la trompe et après ce laps de temps j'ai craqué. Je trouvais ça oppressant et limite étouffante, j'avais cette impression que l'on a quand on a fait une grosse bêtise et qu'on ne l'a pas encore avouer. Dès l'instant où je me suis sentis mieux c'est quand je l'ai trompé. Ça en devenait vital, si je ne la trompais pas j'avais l'impression d'être rongé par une maladie. Pourtant j'appréciais sa compagnie, je l'apprécie encore d'ailleurs. Je sais que mon enfance ma vacciner de la vie de couple. À moins que l'on me prouve que ça peut-être différent.

Athénaïs quand on étais ensemble était plus sensible et plus douce. Aujourd'hui je la trouve différente, et je l'aime beaucoup plus comme ça. Bien que je ne suis pas complètement idiot, quand je l'ai vue j'ai directement sentis que ce que je lui avais faits était resté en mémoire. Je sais que peut être inoubliable et pas souvent dans le bon sens. Je suis toujours aussi volage mais certaines choses on mûrit dans ma tête. Je ne sais pas encore où ça va me mener. Certaines choses ne peuvent pas changer, surtout quand on ne le désir pas. Bien que je suis très solitaire, ma vie me conviens ainsi.

Bien que je luttais parfois, je ne saurais expliquer cette attirance vers elle. D'ailleurs pourquoi elle? J'en ai côtoyé des centaines de nanas si ce n'est pas plus et pourtant, elle m'a marqué et il n'y a qu'avec elle que j'ai pu rester aussi longtemps. Quand je lui parlais de ma vie, je sentais chaque réaction et je sentais qu'elle n'était pas insensible à ce que je lui disais. Chaque toucher était faits avec passion, bien que je jouer, je susse qu'au fond de moi je ressentais plus que je laissais paraître. J'avais beau jouer les durs elle était la seule à me donner cet effet-là. Je gardais mon regard de braise sur elle, comme si je la dominais du regard. Quand elle répondit à mes explications je me mis à rire. Exiger mes fantasmes sur mais employer, hum pas mal comme idée. Tu veux une augmentation? Tu devras passer sous la table ma jolie. Héhé on verra ça plus tard, la seule que je voulais voir passer sous moi à cet instant c'étais elle. Mon corps devenait de plus en plus chaud, quand elle répondit à ma question je n'étais pas totalement convaincu. Elle m'avait parlé une fois d'un copain et pourtant elle me disait de vivre chez un ami. C'est illogique, me cacherait elle des choses? Je savais bien que je n'étais pas l'homme en qui on pouvais avoir confiance et celui à qui on confie tous ses secrets. Il n'y avait que mon pote le barman qui me raconter tout, on est devenu ami d'une drôle de manière d'ailleurs. Pour Athénaïs je préférai ne pas relever après tout elle faisait ce qu'elle veut, si je voulais des précisions je savais ou aller. Quand je m'éloignai pour lui expliquer ses possibilités pour le jeu elle choisit la plus à compliquer. À sa phrase j'aime prendre des risques je restai quelques minutes à la regarder. Même si je pense que ce n'était pas son intention, j'avais pris cela pour une ouverture. Je me considérais comme étant le risque, je n'étais pas un garçon ordinaire et elle le savais. Chercherait elle à me faire passer un message ? En me disant: je te fais confiance, je tente le tout pour le tout en prenant des risques. Je pense aussi que ce n'était pas un message mais je voulais tout de même le voir ainsi. Et si c'était le cas elle ne serait pas déçu du voyage. Pour ce qui était du jeu cela tomber bien car j'allais devoir passer plus de temps auprès d'elle pour lui expliquer comment faire. D'ailleurs je la pris par la taille et je la positionnai aux bons endroits et je changeai de position pour l'aider à mettre sa canne correctement.

"- Bien si tu aimes le risque va y. Donc voilà, tu devras faire comme je tes expliquer un effet à ta canne pour que ta bille n'aille pas tout droit mais qu'elle tourne toute seule à gauche. Je vais guider ton bras pour que tu puisses réussir à la faire."

Je me positionnai presque par-dessus elle pour avoir son angle de vue et je pris le temps de bien positionner ses bras. Quand je fus enfin sur de mon coup je l'aidais à faire le mouvement, la boule fit le mouvement escompter et elle tapa dans l'autre boule ce qui fit tomber les deux. J'eus un peu de mal à la lâcher mais je me relevai et je lui fis un sourire satisfait. Je me tournai prendre ma canne et tirer, cette fois-ci j'en fis tomber qu'une seule. Je retournai vers la jolie blonde et je lui dis en faisant exprès de me rapprocher d'elle.

"- Je crois que tu me troubles, heureusement qu'on n'est pas encore en compétition. Hein?"

Je lui touchai le nez en lui tirant la langue. Je voulais rendre l'atmosphère plus détendu ça rendrait les choses plus simple pour la suite. Après ça je lui caressai la joue et je me mordillai la lèvre inférieure. Je lui pris la main et je la positionnai sur le billard délicatement mais cette fois je pris plus mon temps pour qu'elle puisse ressentir les battements de mon coeur et mon souffle chaud sur sa peau. Elle me rendait fou cette nana ! Je devais garder mon calme, je ne voulais pas perdre ! Je lui susurrai alors dans l'oreille en prenant bien soin de toucher sa peau du bout de mes lèvres pour la faire frissonner.

"- Encore besoin d'elle m'a jolie? Ou je te regarde faire cette fois-ci? Je dois tout de même t'avouer que je me sens très bien dans cette position."

Je plongeai mon regard dans le sien, nos deux visages étaient vraiment très prêts. Si je ne me retenais pas je l'aurais vraiment retourné sur le billard pour l'embrasser. Ce soir je voulais garder un peu de tenu, d'ailleurs je voulais pour elle garder une certaine classe. Lui montrer qu'il y avait aussi ce côté chez moi. Une partie plus posé et patient pour chaque chose. Pour voir sa réaction je lui caressai le cou avec le bout de mon nez. Je lui soufflai de nouveau d'un ton plus sérieux.

"- Je mentais pas, tu m'as vraiment manquer. "

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() message posté Ven 30 Jan 2015 - 18:25 par Invité
    Contrairement à certaines femmes, elle ne ressentait pas le besoin de faire des crises de larmes ou de menacer de se suicider pour qu’il reste. Dès leur première rencontre, elle avait saisi que la vie de couple ne lui convenait pas mais elle était passée outre. Seuls les moments passé ensemble comptaient, elle voulait croire que lorsqu’il était à ses côtés, il ne pensait à aucune autre. Parfois, elle aimait juste lui dire que c’était fini, qu’elle en avait assez pour le voir revenir et lui dire que les autres n’étaient que de l’amusement et qu’elles ne lui arrivaient pas à la cheville. C’était sans doute des mensonges mais au final, elle avait fini par y croire.

    Malgré le fait qu’elle veuille laisser leur passé de côté pour profiter au maximum de cet instant, baisser complètement sa garde lui demandait un effort surhumain, elle avait pourtant dit qu’elle essayerait. En prenant une légère inspiration, elle attrapa son verre de whisky. L’alcool coulait dans son système, faisant monter la température de son corps. Elle n’avait jamais eu goût que pour le champagne et le vin, et de ce fait, tenait très mal tous les autres liquides, si elle ne faisait pas attention, elle allait se retrouver saoule avant d’avoir fini son verre. Au sujet d’Austin, elle trouvait mal venu de sa part d’en parler davantage, peut-être à un autre moment mais maintenant, c’était leur instant, rien qu’à eux. Son attention se reporta sur le billard, elle étudiait la stratégie qu’il lui indiquait. Sans son aide, elle ne se voyait pas réussir mais il la guidait sans broncher, presque avec douceur. Il la dominait pratiquement dans cette position, mais cela ne dura qu’un court moment, lorsqu’il s’éloigna pour tirer à son tour, elle se surprit à regretter leur contact, être dans ses bras était si agréable. Elle sourit lorsqu’il lui dit qu’elle le troublait sans doute, s’il ratait son coup, effectivement mais il avait tout de même réussi à faire tomber une boule. ”Je vais perdre de toute façon, et tu le sais” dit-elle, amusée en le voyant lui tirer la langue. Tout semblait si naturel, comme s’ils ne s’étaient jamais séparés. Cette quiétude lui procurait un immense bien-être, elle n’était donc pas destinée à le fuir indéfiniment.

    Elle faiblissait à chaque effleurement tandis qu’il se frayait un chemin à travers les remparts de son coeur. Il réveillait beaucoup trop de souvenirs, et qui plus est, intimes. Elle ne parvenait pas à le considérer comme un ami, il ne lui laissait pas le choix, lui-même ne semblait pas le vouloir. Lorsqu’il caressa à nouveau sa joue, elle ferma légèrement les paupières pour se laisser submerger par l’effet qu’il produisait sur elle. C’était comme si, tout à coup, le bar s’était vidé et qu’il ne restait qu’eux. Elle avait toujours été sensible lorsqu’il faisait ça, il le savait probablement. ”C’est injuste que tu joues de mes faiblesses." se plaignit-elle dans un souffle. Son regard était plongé dans le sien, il n’oscillait pas. Une attraction incroyable la poussait vers lui, et lui murmurait de l’embrasser mais elle ne pouvait pas. Une multitude de choses l’en empêchaient, pourtant, l’envie était réelle. La partie de billard n’était plus qu’un détail secondaire, il voulait la charmer, elle le savait mais son ton se fit soudain, plus sérieux, elle se figea. Alors finalement, il s’était aperçu qu’elle n’y avait pas cru lorsqu’il avait répondu à sa question un plus tôt. Il semblait si sincère qu’elle en fut réellement touchée. Son pouls s’affolait pendant qu’il frôlait son cou du bout du nez. Un frisson parcourut son corps. Ne voulant plus se retenir, elle passa une main dans sa chevelure pour le rapprocher encore plus d’elle, elle pouvait sentir son souffle chaud sur sa peau, un vrai plaisir. En un instant, elle se retrouva chez lui, dans le passé, lorsqu’ils étaient amants, elle vivait chaque baiser fiévreux, chaque caresse et leur ébat comme si elle se tenait dans le présent. Une bouffée de chaleur se propagea dans chacun de ses membres, elle s’efforça alors à repousser ces souvenirs. Elle lui demanda alors à l’oreille : ”Comment est-ce que je te manque ?” puis ”Est-ce que tu me fais danser ?" Ils reviendraient plus tard à cette partie de billard. Elle lui lança un sourire ravageur, il ne pouvait pas lui refuser ça, il connaissait son amour pour la danse. Il ne tarda pas à accepter, et lorsqu’ils furent assez proches, elle décida de se confier, elle voulait s’ouvrir et lui montrer que ses efforts lui faisaient plaisir. ”Mon copain a rompu il y a quelques semaines parce qu’il était…” Elle marqua une pause. ”... trop heureux et qu’il ne se reconnaissait pas. C’est l’une des pires excuses que je n’ai jamais entendu donc je suis la fille qu’on quitte." Elle haussa des épaules avant de l’observer, elle désirait voir sa réaction. ”Maintenant que tu sais que je suis totalement libre et à quel point j’ai l’air misérable, me trouves-tu encore de l’intérêt ?” Elle connaissait sa franchise, et attendait le verdict.
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() message posté Dim 1 Fév 2015 - 13:33 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

Il y a des choses que l'on ne peut pas expliquer, pourtant je suis une nature qui aime pouvoir pratiquement tout analyser. Je ne supporte pas de ne pas comprendre une situation ou bien un sentiment. Ça c'est mon coté à vouloir toujours tout contrôler, en vérité avec Athénaïs je me suis jamais réellement posé la question de ce que je ressentais. Je savais que je me sentais bien parfois que j'aurais pu tout faire pour la voir sourire et parfois je pouvais tout envoyer valser quitte à ignorer sa douleur. Je jouais à l'impulsion, mon coeur désirer ça à ce moment-là je le faisais. Ça m'a joué pas mal de sales tours, mais je m'en fichais, je n'ai peur de rien. Athénaïs me donner du fil à retordre, c'était mon seul point sombre. Ce coté inexpliqué, ce sentiment que j'ai toujours essayé de comprendre après notre séparation. En tout cas je n'étais pas prêt à la laisser s'en aller aussi vite de ma vie. Du moins pas tant que je n'avais pas expliqué ce sentiment. Tout contrôler, tout expliquer....

Je pouvais sentir en elle ses interrogations, ce demandant si elle pouvait me faire confiance ou pas. Je désirais que ce soir elle le face, je ne ferais rien qu'elle ne désirait pas, mais je ferais en sorte qu'elle accepte par elle-même chaque caresse et parole un peu déplacer de ma part. Chaque contact était intense, je contrôlais chaque mouvement pour ne pas déraper au mauvais moment. Le Whisky ne me faisait rien, j'en buvais assez souvent pour qu'il ne me fasse plus aucun effet après au moins trois verres. Donc je pouvais contrôler chaque mouvement sans être perturbé par l'alcool. Je serais contient de tout et c'est ce que je voulais. Quand je la guidais tirer elle se laissa faire, c'était plutôt bon signe. Bien qu'elle m'avais demandé de l'aide je rester sur mes gardes, on sait sait jamais comment elle pouvait réagir. Si je la collais pas trop, ou si je n'étais pas trop oppressant. Bien que je m'en fichais habituellement je voulais arriver à mon but alors si je devais faire attention à mes mouvements pour la mettre en confiance je le ferais. Quand ce fut à mon tour et que je ne réussis pas le coup que je voulais faire je lui expliquai qu'elle me troublait. D'un ton amusée elle me dit que dans tous les cas j'allais gagner. Ce n'étais pas faux mais ça coûter rien d'essayer de la faire gagner un peu en lui expliquant les règles et comment jouer. Je n'avais jamais supporté de gagner aux dépens des autres, j'aimais la vraie compétition.

J'avais beau vouloir jouer au billard, Athénaïs occupée toutes mes pensées, je ne pouvais m'empêcher de la toucher. J'avais toujours été très tactile ce qui exprimer mes sentiments. Je lui caressais la joue et en réponse à ça elle me murmura que je jouer avec ses faiblesses. C'était ça l'avantage de connaitre une personne c'est qu'on savait déjà quel endroit toucher pour que la personne ait envie de céder. Bien que toutes les femmes aient pratiquement toutes les mêmes points sensible certaine femme préféraient zones que d'autres trouveraient banal. Ce que j'appréciais avec la belle blonde c'est que j'avais cette impression que chaque toucher était intense autant une caresse sur la joue qu'un baiser. Ce qui rendait les moments plus forts, plus excitant, ce qui me donnait encore plus de mal à me contrôler. Je désirais résister, et prouver que je pouvais ne pas être un gros lourd, mais il était difficile de faire ce que je pensais. Elle m'envoutait complètement, je laissais alors échapper quelques caresses histoire de voir sa réaction et savoir si je pouvais aller encore plus loin. Je voulais qu'elle sache que j'avais pensé à elle durant ce laps de temps où l'on ne c'étais pas vu. Elle avait toujours été unique bien que je n'osais pas me l'avouer. Elle semblait tout aussi désireuse d'aller plus loin que moi, mais gardant un certain recule tout de même. Elle se protège et je pouvais la comprendre, je n'étais pas le genre d'homme en qui on pouvais avoir confiance mais je me laissais croire que ça ne durerait pas, qu'elle finirait par me faire confiance. D'ailleurs elle passa une main dans mes cheveux pour me rapprocher plus près d'elle, je sentais que chaque caresse était fort, je me mordais la lèvre pour me contrôler. Quand soudainement elle me murmura dans l'oreille, cette phrase me fils sourire et encore plus quand elle me demanda de la faire danser. Elle savait à quel point j'étais bon danseur donc je n'étais pas étonné de sa demande. Pour lui prouver à quel point elle m'avait manqué, je la retourna face à moi. Je n'avais aucun mot à lui dire à part peut être quelques-uns. Je lui caressai de nouveau le visage en la regardant dans les yeux, je posai mon nez sur le sien puis-je le glissai sur sa joue et sur son cou et je lui murmurai.

"- À ce point-là..."

Je revins doucement vers son visage et je déposai mes mains sur ses joues et je l'embrassai. Au début doucement puis petit à petit plus passionnée en remontant une main dans ses cheveux où j'empoignai sa chevelure et de l'autre main je la descendit sur son cou. Ensuite gardant mon emprise je commençai à danser, je me reculai pour la regarder dans les yeux et je la fis tourner sur elle-même pour la faire revenir dans mes bras et lui donner un baiser dans le coup. Je lui relevai la tête et je continuai de danser, j'aimais sentir son corps prêt du mien. Je fis un signe à mon ami pour changer de musique et en mettre une qui nous permettrons de danser. Quand ce fut faits je décidai de lui montrer mes talents. L'avantage c'est que je n'étais le genre de personne à avoir honte et à avoir peur de ses actes. Je dansais comme si nous étions seuls, même si je sentais les regards sur nous. Je m'en fichais, je ne regardais que le visage d'Athénaïs. Je lui murmurai alors dans l'oreille.

"- Tu as eu une merveilleuse idée."

La danse était un domaine auquel je me débrouillais bien. Petit nous étions invite dans une grande soirée mondaine et j'avais dû apprendre une multitude de danses. Quand j'ai pu m'éloigner de ce monde coincé, j'avais toujours gardé ce goût pour la danse mais cherchant à apprendre tous les autres styles que je n'avais pas pu apprendre. En fait j'avais appris que j'aimais découvrir le plus de chose possible, comme la moto, les jeux comme le billard et tant d'autres. J'avais appris depuis le temps comment m'y prendre avec ma belle blonde. Je voulais encore apprendre, c'était devenu presque vital, apprendre pleins de chose encore et encore pour ne pas finir idiot. Je sentais ma respiration devenir plus rapide, pas par la danse mais pour le fait de voir le corps d'Athénaïs onduler et virevolter au rythme de notre danse. Je me mordis de nouveau la lèvre. Soudainement elle décida de se confier à moi, j'étais surpris mais ravis, c'est que j'avais eu raison de croire qu'elle finirait par avoir au moins un peu confiance en moi pour me confier ce secret. J'avais donc bien analysé, son copain l'avait quitté. En écoutant les raisons un léger sourire se dessina sur mon visage. C'était le genre d'homme paumé qui ne savais pas ce qu'il voulait, voilà tout. Quand elle me demanda si je lui portais toujours un intérêt après ça, un petit rire m'échappa. J'avais ce jeu oui ou je voulais lui montrer que je pouvais être bien mieux que son copain mais ce n'était pas le jeu principal. Je décidai de lui donner une réponse claire et concise pour lui expliquer exactement ce que je pensais.

"- Je ne suis pas un modèle de vertu mais je pense tout de même que ses raisons son bidon. Je me force à penser que l'homme à une part de noirceur plus ou moins développer. Certaines personnes on besoin de cette noirceur pour vivre, comme moi et ton ex. À la différence que ton ex n'a pas été honnête avec lui-même. Sinon, tu sais que je suis un grand joueur, mais l'intérêt que je te porte aujourd'hui à cet instant et au-delà du jeu. Être libre ne signifie pas être misérable, la souffrance te rendra plus forte encore et bien moins misérable. Les misérables sont ceux qui ne tentent rien, par peur de se blesser. Donc non, je te trouve pas misérable et oui je te porte encore de l'intérêt même bien plus à partir de maintenant. "

J'avais envie de l'embrasser mais je me suis retenu. Je continuai de danser, la regardant dans les yeux. Je lui déposai un baiser sur le front, puis la musique changea pour une musique plus peps. J'étais ravi, je la tournai sur elle-même et je commençai à la faire danser au rythme de la musique. Je me disais que comme ça elle penserait à autre chose et ça détendrait l'atmosphère.

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() message posté Sam 7 Fév 2015 - 18:22 par Invité
    Envers et contre tout, elle appréciait le lien qui les unissait. Quelque chose d’inexplicable mais passionné, et tellement fort qu’encore aujourd’hui, elle pouvait le ressentir lorsqu’il la regardait. Depuis leur dernière rupture, elle n’avait cessé de le maudire, de rejeter tous les signes possibles mais ce soir, alors qu’il faisait tant d’effort, elle ne pouvait continuer de le nier. Ils étaient capables de merveilleusement bien s’entendre tout comme ils pouvaient détruire chaque petit souvenir. Lorsqu’il ne répondait pas à ses appels, et qu’elle perdait patience, ses amies avaient pour habitude de la consoler en lui rappelant que les couples les plus glamours et les plus adorés étaient pleins de mélodrames. Il jouait au petit-ami volage, toujours occupé mais lorsqu’il faisait son apparition à ses côtés, ils allaient parfaitement ensemble. A l’époque, ce genre de discours stupide réussissait à l’apaiser, tant qu’il revenait, c’était le principal. Oh ne vous en faites pas, elle n’oubliait jamais d’être rancunière et… de rendre son retour légèrement difficile. Être accompagnée d’un autre homme semblait être la punition idéale, elle se plaisait à croire qu’il en devenait jaloux mais il lui montrait sans doute ce qu’elle désirait voir, tout le monde connaissait sa confiance débordante.

    Dans ce bar, Daniel ne commettait aucune erreur, il agissait comme elle l’avait toujours voulu tout en gardant cette pointe de séduction dans son regard et ses gestes. Une force l’attirait vers lui, lui donnant sans cesse envie de répondre à ses caresses, elle luttait contre une tentation grandissante qui se faisait de plus en plus violente. Lorsqu’il caressait sa joue de cette manière, elle avait pour habitude de plonger son regard dans le sien avant de l’embrasser tendrement, elle pouvait sentir son corps frémir d’envie. Cette attraction n’était pas anodine, elle en était presque certaine, ils avaient passé des centaines de moments ensemble, y compris les plus intimes, elle savait ce que cachaient ces vêtements… Chasser ces souvenirs demandait tant d’efforts, elle ne voulait pourtant pas se retenir mais qu’allait-il arriver si elle laissait à nouveau son coeur à découvert ? Elle peinait à se relever de sa dernière rupture, ses plaies à la poitrine en étaient la preuve mais elle ne pouvait décidément pas rester bloquée sur le passé non plus. Elle était déchirée entre deux feux, l’un comme l’autre la consumaient. Alors qu’elle le questionnait du regard, ne sachant plus quoi faire, il attrapa son visage avec douceur de ses deux mains et l’embrassa. Son coeur s’emballa tellement qu’elle en eu le souffle coupé tandis que ses joues s’embrasèrent d’un léger rose, elle en était toute retournée. C’était la deuxième fois de la journée qu’il l’embrassait mais cette fois-ci était différente. Dans le magasin, il avait juste voulu la mettre hors d’elle alors qu’à ce moment présent, le baiser semblait signifier quelque chose. Il était d’abord doux, apaisant, elle se rendait compte à quel point ça lui avait manqué puis de plus en plus passionné, l’une de ses mains venant se loger dans sa chevelure d’or tandis que l’autre avait trouvé sa nuque. L’idée de le repousser ne lui frôla même pas l’esprit, l’instant était bien trop agréable, il l’avait délivrée de ses interrogations par ce seul geste. Elle lui avait manqué jusqu’à ce point. Elle était incapable de décrire les sentiments qui la traversèrent durant cet instant tant il y en avait mais une chose était sûre, elle sentait la joie et l’excitation s’emparer de chaque parcelle de son corps. La gardant toujours dans ses bras, il la fit danser, ne détachant son regard sur elle à aucun moment, ils semblaient être seuls, perdus dans un monde qu’ils ne pouvaient voir qu’à deux. Elle se sentait comme une héroïne de contes de fées, bien qu’elle soit une princesse dans la vie réelle, elle appréciait le fait qu’il se comporte comme un parfait gentleman, c’était une agréable surprise. Elle ne regrettait pas de l’avoir suivi jusqu’ici, elle était séduite par ce qu’il lui montrait.

    Ce qui lui manquait le plus dans toutes ces soirées mondaines était la danse, alors lorsqu’il la fit virevolter avec douceur, un sentiment de bien-être s’empara d’elle. Ce fut encore meilleur lorsqu’il lui susurra à l’oreille que c’était une merveilleuse idée. Daniel était un très bon danseur, parfois, quand l’envie lui en venait, il la faisait danser, elle n’oubliait pas ces moments silencieux où seul leur regard communiquaient. Leurs mouvements s’accordaient avec élégance au son de la musique. L’atmosphère la rendait confiante, elle choisit alors de se confier, sa réaction comptait. C’était une façon de voir si tout ceci n’était qu’un jeu ou s’il y avait des chances que ce soit plus profond qu’elle ne l’avait imaginé. Elle devait reconnaître qu’elle appréhendait sa réponse, elle ne voulait pas qu’il la déçoive mais en même temps, elle ne désirait pas trop en attendre de sa part au risque d’être déçue. Cependant, une fois encore, il pesa ses mots et la surprit. Bien qu’il ai dit des choses tout à fait adorables, son attention se remporta tout de même sur le fait qu’il ai besoin de cette noirceur pour vivre, elle était de cette nature à trop réfléchir pour obtenir les réponses qu’elle désirait. Daniel était une énigme, elle lui accordait tout son intérêt car elle jugeait qu’il le méritait d’une façon ou d’une autre. Ces dernières années, elle avait rencontré maintes âmes brisées, et pour chacune, elle avait désiré être la lumière au fond du tunnel. Il était cependant peut-être trop tôt pour faire quoi que ce soit pour Daniel, il n’était pas du genre à se laisser aider, son mode de vie lui plaisait, et elle ne voulait pas risquer de le froisser maintenant. Elle laissa apparaître un sourire malicieux, ce qu’il avait dit lui faisait déjà plaisir mais elle désirait en entendre plus, elle était curieuse. Daniel ne se fatiguait généralement pas avec les femmes et encore moins à courir derrière indéfiniment. ”Pourquoi après tout ce temps j’arrive encore à capter ton attention ?”

    Rien ne l’obligeait à croire en ses paroles mais sans savoir pourquoi, elle lui faisait confiance. Un gros poids se dégagea de sa poitrine, la peur qu’elle avait ressenti en attendant sa réponse s’envolait comme si elle n’avait jamais été là. Elle avait tellement envie de l’embrasser, et de lui montrer quel impact il produisait sur elle mais voulant garder un peu de retenue, elle l’attira contre elle et frôla son cou. Ses lèvres goûtaient sa peau avec délectation, et sensualité, il n’imaginait pas à quel point lui résister était difficile. Elle lui murmura. ”Daniel Smith, tu es une réelle tentation.” Puis la musique changea, elle était rythmique et donnait envie de se lâcher. Elle s’amusait réellement. Tout bougeant sur le son de la musique, elle lui sourit. ”Je suis contente d’être venue.”
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() message posté Lun 9 Fév 2015 - 3:16 par Invité

   
Love me harder...
Daniel & Athénaïs

La vie m'était un fardeau, je ne vivais que par dépit de vivre. La mort m'attirait au plus profond de ses abysses. Si je devais vivre c'était pour alors ne pas me donner de limite, sans jamais dire non. Femme sur femme, alcool à foison et voyage sur voyage. Je ne me refusais rien car la vie ne me refusé rien, chaque femme ne me disais pas non, l'argent coulé à flots. Il n'y a que durant mon enfance avant que mon père meurt que je faisais jamais ce que je désirais, j'ai eu le droit à une éducation très stricte. Athènaïs avait été l'un de mes caprices, un caprice dont je n'ai pas pu me séparer dès le premier regard. Je ne saurais expliquer pourquoi mais je la voulais, je devais tout tenter pour l'avoir. Il ne m'était pas difficile de la conquérir, je n'avais qu'à montrer mes charmes et montrer la bonne éducation rude que j'avais eue, elle a craqué tout de suite.

J'avais faits ce deal pour pouvoir la mettre en confiance, c'est vrai. Je savais qu'elle allait me haïr après tout ce que je lui avais fait. Pourtant je ne pouvais pas la laisser me haïr bien que l'entendre me rembarrer m'exciter au plus haut point. Mais je désirais plus, je désirais la toucher sans qu'elle me repousse, je désirais l'embrasser et la caresser. J'imaginais que quand ce serait faits je la laisserais tomber, que ce n'étais qu'un désir passager que je devais assouvir. Apparemment non je désirais bien plus encore et je n'étais pas prêt à la laisser. J'étais hors de contrôle avec elle est ça me m'étais en rage, toujours tout contrôlée étais ma devise. Après l'avoir sentis et embrasser, on se mit à danser sous sa demande. C'était une pure extase car la danse était un moyen de me rapprocher d'elle et de voir son corps bouger. J'avais énormément de mal à me retenir de la plaquer contre un mur pour l'embrasser et la caresser plus intimement. Je savais qu'il suffisait d'un rien pour que j'y arrive. Pourtant je ne le faisais pas, peut-être qu'au fond je voulais continuer dans la douceur. Je n'avais pas l'impression d'être moi, j'étais trop doux. La danse calma quelque peu mon esprit troubler, je me laissais bercer par le mouvement de son corps et du mien.

La musique accéléra et je la fis bouger, son corps ondulant au rythme de la musique me mettait en transe. Les femmes étaient comme une drogue à mes yeux, mais elle n'étais l'une des pires drogues jamais consommées. Je me laissai aller lui montrant l'étendue de mes talents, bien qu'elle les connaisse déjà. Ce qui me troublait c'est que finalement on avait plu aucun secret l'un pour l'autre. Je ne pouvais pas jouer un jeu, j'étais Daniel devant Athénaïs. Si j'étais sincère avec elle? Je ne saurais le dire, tout ce que je savais c'est que je n'étais pas alcoolisé et droguer et pourtant j'avais cette impression bizarre comme étant dans un autre monde. Je la serrai contre moi, frôlant sa peau douce. Gardant toujours mon regard sur elle, oubliant le monde autour. Nous étions seuls.

Nous étions dans une symbiose parfaite, quand soudainement elle me posa une question qui me laissa perplexe. Je continuai à danser tout en réfléchissant à ma réponse. Il est vrai que généralement, je sortais pas vraiment avec une fille, je l'utilisais presque en tant que passe-temps. Oui parfois je prenais une fille une durée indéterminée l'appelant juste pour faire des galipettes et quand je suis lassé je la jette. Alors qu'avec Athénaïs je n'ai jamais ressenti ça. Non la belle blonde était autre chose, je ne pourrais pas dire qu'elle était plus importante. Elle avait une place différente à mes yeux, une conquête dont j'avais du respect et c'était rare dans mon cas. Pourquoi elle est pas une autre? Pourquoi la terre tourne-t-elle? Ce serait pareil pour moi. En tout cas je ralentis le pas et je la regardai dans les yeux et je fronçai les sourcils sans pour autant avoir l'air fâcher. Je pris un air plus sérieux et je lui dis.

"- Par ce que tu es toi... Non franchement je n'en sais rien. Tu es différente des autres femmes tu es plus... Athénaïs..."

Je ne pouvais pas aller plus loin. Ça ne sortait pas, car je ne savais pas ce que j'allais dire et j'avais plutôt peur de ce que je pouvais dire. Je fronçai beaucoup plus les sourcils et je lui balançai doucement sa tête vers l'arrière pour lui embrasser le cou avec des baisés passionner, des baisés ou je me mis à utiliser la langue pour gouter sa peau. Je les remontai petit à petit pour arriver à ses lèvres et je continuai mes baisé fougueux en lui agrippant sa chevelure. Puis je lui susurrai dans l'oreille.

"- Tu me rends tout simplement fou."

Je descendis une main pour serrer mon poing. Je respirai un grand coup et je me reculai. Je la regardai dans les yeux et je lui caressai la joue, je me calmai quelque peu pour ne pas faire de connerie et je la rapprochai de moi pour continuer la danse. Ses secondes paroles me fis faire un sourire satisfait, j'étais ravi de l'entendre. Surtout quand elle frôla mon cou avec ses lèvres, j'étais fougueux avec elle, mais elle gardait cette retenu qui me rendait dingue. La musique changea ce qui lui permit de prendre des libertés pour bouger devant moi et me dire avec joie qu'elle était contente d'être venue. Au début je restais planter à la regarder, puis je souris en riant presque. Après ça je me mis à danser pour calmer mes esprits bien que je veuille tout sauf le calmer. Je la laissais s'amuser et être heureuse, quant à moi pendant ce temps j'essayer d'analyser la situation. En dansant je lui dis en lui faisant un clin d'oeil.

"- Je suis heureux de pouvoir te donner ce plaisir. "

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() message posté Mar 17 Fév 2015 - 17:19 par Invité
    La vie ne s’était jamais acharnée contre elle, après tout, comment s’en prendre à une Hermès-Deschanel ? Les membres de sa famille brillaient avec tant d’ardeur que nuire à leur bonheur semblait interdit. Leur prestige s’étendait sur la noblesse française et sur les plus grandes mines de diamants au monde, mais leur force majeur résidait bien au sein de leurs liens. Ils étaient l’exemple de la famille soudée et aimante. Quelqu’un qui ne serait pas de l’univers mondain se tromperait à coup sûr sur leur compte. Personne ne s'entre-déchirait pour l’héritage, ses parents étaient loin du divorce, et elle n’était pas une princesse arrogante et égoïste. Au contraire, le fait que tout soit si beau dans sa vie l’incitait à avoir un regard plus clément sur le monde, même si en apparence certaines personnes pouvaient être méprisables, elle pensait sincèrement qu’elles possédaient leurs raisons et qu’au fond, elles n’étaient pas mauvaises. Il était rare de la voir réellement détester quelqu’un sur une longue période, évidemment, il y avait des exceptions et des raisons bien précises mais même si Daniel avait touché un point extrêmement sensible qu’était la tromperie, elle ne désirait pas camper sur le passé. Certes, elle devait avouer que lorsqu’il était apparu dans sa cabine, elle n’avait pas sauté de joie et était loin de penser se retrouver dans un bar à s’amuser à ses côtés. Comme quoi, il était capable de bien des choses, dont la convaincre qu’il pouvait être différent.

    Elle s’était confiée à lui, brièvement mais assez tout de même pour lui montrer qu’elle lui offrait une nouvelle possibilité pour repartir sur de bonnes bases. Cette danse leur permettait de se rapprocher encore plus. Son coeur s’affola une fois de plus lorsqu’il lui dit qu’elle était différente des autres femmes, et malgré qu’elle essayait de prendre sur elle, elle laissa afficher un sourire significateur, ses mots lui faisaient plaisir. Peut-être se faisait-elle des idées mais qu’il ai dit qu’elle était plus elle la laissait penser qu’elle était spéciale à ses yeux, une personne à part des autres. Elle savait qu’avoir une place particulière pour Daniel était flatteur, les femmes étaient en général toutes les mêmes, des jouets avec qui il pouvait s’amuser avant de les jeter sans aucun remord. Elle espérait avoir juste et ne pas s’être fait des idées, elle ne pouvait jamais savoir ce qu’il pensait exactement.

    Sa bouche épousait les courbes de son cou avec sensualité, presque avec torture puisqu’elle ne pouvait en aucun cas répondre à ses avances et pourtant, elle s’en délectait. Son corps en cet instant faiblissait lentement, elle était plongée dans une douce torpeur que lui seul pouvait choisir de la délivrer ou non. Chaque baiser éveillait un souvenir charnel et pire encore, un désir grandissant. Chaque parcelle de sa peau n’aspirait plus qu’à Daniel, c’était lui qui l’a rendait folle. Il balayait en elle toute raison et à vrai dire, c’était plutôt agréable. Ces derniers temps, même si elle avait connu des améliorations, elle s’était restreinte à une vie certes paisible mais un peu trop calme. Daniel venait bousculer son quotidien avec sa fougue habituelle. En le regardant, elle s’apercevait combien elle avait presque cessé de respirer pendant quelques semaines et qu’il était temps de se réveiller. Ses pas se firent alors plus entraînants, dans sa poitrine naissait un souffle nouveau.

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() message posté Mar 17 Fév 2015 - 21:56 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

La soirée m'envouter, je ne saurais dire ce qui me faisait dire ses mots. En tout cas bien que je le désirais je savais qu'il ne fallait pas que j'allasse plus loin avec elle du moins ce soir. Après tous les efforts que j'avais faits je ne pouvais pas gâcher tout ça. Ma passée resurgissait, mon doute envers elle. Ce sentiment incompréhensible, cette envie de me jeter du haut d'un pont. Je me laissais aller au rythme dans la musique dans dire quoi que ce sois. Je savais que nous allions pas reprendre le billard et franchement ça me poser aucun souci. Tout étais tellement connu était tellement connu dans ma tête, je n'avais qu'une envie bien que d'être avec elle était un pur bonheur, c'était de rentrer pour reprendre mes esprits et réfléchir à l'intégrer que je lui porte. Son statut ne m'avait jamais sois intéressés ou gêner, quand je trouver une femme c'était souvent pour le physique en premier lieux et pour ses compétences. J'aimais les femmes de caractère et souvent qui avait une passion qui les rendait folles, c'est grâce à ça que j'arrivais à analyser quel genre de nana je peux avoir devant moi. On peut tout analyser rien qu'avec une façon d'écrire et j'avais voulu apprendre tout ça pour toujours savoir à qui j'ai à faire. On m'avait souvent dit que je pouvais devenir profiler avec ce que je savais mais bizarrement pour le moment ça ne m'avait jamais tenté. Pourquoi pas un jour, vu que je reste jamais dans la même branche. Un peu comme les femmes, mon côté frivole. Athènaïs était dans mes bras, je fermai doucement les yeux et je mis à imaginer notre passer et à ce sentiment horrible qui me torturer. Ce pour quoi je l'ai trompé, si je tentais quoi que ce sois avec elle aurais-je renouveau ce sentiment? C'est pratiquement sûr. Alors je la lâchai et je lui dis.

"- Si tu es d'accord il se fait tard je vais te raccompagner."

Sans un mot je réunis nos affaires et je payai les whiskys. Je lui pris la main et je me dirigeai vers la sortis en saluant mon ami avant de partir. Quand on se retrouva dehors la température avait chuté. Je l'aidai à enfiler ma veste et mes gants en prenant bien soin pour qu'elle est chaude, je lui dégotai même une écharpe qui me trouver dans mon top caisse. Elle mit mon casque et je l'aide à monter sur ma moto. Durant le trajet je faisais en sorte de ne pas aller trop vite pour ne pas lui faire peur. Je repensais à ce moment passer avec elle en me disant que je n'avais jamais été autant envouté par quelqu'un. Je la déposai devant chez elle où elle m'avait indiqué. Je l'aidai à tout enlevez-la laissant presque nue dehors, en tout cas joliment vêtu. Pour qu'elle n'est pas froide je lui laissai mon écharpe. Je descendis de la moto pour me retrouver devant elle et je pris les deux pans de l'écharpe pour la ramener vers moi et je lui donnai un baiser sur le front et je lui chuchotai.

"- Rentre vite pour ne pas attraper froid. Tu me rendras l'écharpe quand on se reverra et même tu peux le garder s'il te fait envie. À bientôt princesse. "

Sans me retourner je montai sur ma moto et je filai d'un seul coup la laissant là sur le trottoir devant chez elle. Je ne pensais qu'à une seule chose, rentrer prendre une douche. Je ne pas compter en rester là, j'allais la revoir, je devais la revoir. En laissant un peu de temps pour la faire languir et après ça je l'invite au manoir et cette fois je l'aurais, tout entière et consentante ! Sans plus aucune barrière !

( FIN )

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