"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici love me harder - daniel 2979874845 love me harder - daniel 1973890357
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() message posté Jeu 22 Jan 2015 - 14:27 par Invité
    « I say, "I hate you," we break up, you call me, "I love you."»



    La robe de mariée qu’elle avait choisie était magnifique. Vera Wang était douée. Elle allait être la plus belle, la reine de la soirée. En caressant les plis soyeux du tissu, un sourire mélancolique se dessina sur ses lèvres. Elle avait beau être heureuse pour son amie, elle continuait de représenter tous les rêves qu’elle n’arrivait pas à atteindre. Elle était sur le point de dire oui à celui qu’elle aimait et attendait un enfant. Leur bonheur était si éclatant qu’elle était effrayée ne serait-ce que d’y penser, être dévorée par la jalousie était la dernière chose qu’elle souhaitait, elle ne désirait pas s’abaisser à vouloir le malheur des autres pour se sentir mieux. Ce n’était pas elle. Toutes ces robes blanches lui faisaient envie, elles étaient le synonyme même de la consécration. Elle laissa la précieuse pièce haute-couture dans son étui sur l’un des divans qu’offraient la boutique pour se tourner vers le vendeur aux manières professionnelles, il lui avait visiblement sélectionné des robes de soirée pour l’occasion déjà prêtes dans la cabine d’essayage. Même si tout ce qui touchait à l’amour lui faisait désormais horreur depuis quelques temps, elle le remercia et se dirigea dans la direction qu’il lui indiqua. Puisqu’elle était là, autant trouver la tenue qu’elle allait porter. Ses propositions étaient intelligentes, les robes correspondaient pour un mariage et en même temps, restaient soft pour ne pas voler la vedette à la mariée. La première épousait parfaitement ses courbes, la taille standard de la marque semblait bien lui correspondre, elle était légèrement rosée mais si élégante. Lorsqu’elle sortit, elle pu s’admirer dans un grand miroir à l’avant de la boutique, la lumière du jour filtrait à travers les vitres du magasin illuminant les moindres détails de sa robe. Le vendeur lui apporta alors des escarpins assortis. C’était la première fois depuis un moment qu’elle ne s’était pas sentie aussi bien dans sa peau. Elle sourit, le shopping avait décidément des vertus réconfortantes.

    De retour dans la cabine aux proportions démesurées, elle fit glisser sa robe, la laissant tomber à ses pieds lorsque la voix du vendeur retentit. “Mademoiselle Hermès-Deschanel, votre compagnon est arrivé.” Pardon ? Quel compagnon ? Elle eu à peine le temps de froncer des sourcils que le rideau qui la cachait, s’ouvrit d’un geste brusque. Elle était sur le point de pousser un cri lorsqu’elle constata qu’elle connaissait bien son soi disant petit-ami. Un air ennuyé sur le visage, elle le regarda : Qu’est-ce que tu fais là Daniel ? Son ton était plein de reproche.
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() message posté Jeu 22 Jan 2015 - 16:20 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

Londres est tous ces recoins n'étais à ce jour plus un secret pour moi, j'avais pu passer des heures à me balader dans chaque endroit sans que personne ne remarque ma présence. De quelle façon? Car habituellement il est vrai que je ne passe pas inaperçue surtout après avoir posé dans tous les magazines de mode. En portant tout simplement une casquette ou une capuche noire de préférence, de façon à cacher mon visage, pour les gens imagines que je dois être surement un drogué ou bien un vagabond. Finalement je ne me définirais pas autrement que comme ça. Je passais très peu de temps dans mon Manoir, sauf quand j'y revenais en compagnie d'une jolie fille trouver dans un bar ou dans tout autre endroit que j'ai pu découvrir ce jour-là. Si j'avais pu définir ma vie aujourd'hui je crois que je l'aurais décrite en deux mots: " Révolte et liberté ". Il y a très peu de chose que je tolère et encore moins qui me supporte. Une journée passée avec moi c'est le pur bonheur mais deux c'est vite l'enfer. Souvent les gens s'imagine tout un tas de choses quand il me voit, quand je parle de gens je parle de fille. Car les garçons savent souvent directement à qui ils ont à faire, c'est pour ça que j'en côtoie peu. Les femmes c'est tout autre chose, elles imaginent avoir la force et le courage de pouvoir changer l'homme que je suis. Jusqu'à maintenant personne n'y est arrivé et je compte bien ne pas changer. Ma vie est un jeu dont je fixe seul les règles, soit tu me suis, soit tu fuis. Souvent elles finissent par prendre la fuite, comprenant que mon coeur ne s'ouvrira jamais pour elle totalement. Quelle perte de temps ce serait, à quoi sers les grandes déclarations? À vous endormir pour vous faire passer les yeux sur la vérité. Je ne suis pas aussi dupe que ça !

Aujourd'hui j'avais laissé mon bar aux mains de mes employés, j'avais décidé de prendre un jour de congé pour reprendre mon passe-temps favoris. Pas draguer je vous assume, quoi que? En tout cas pas aujourd'hui, au contraire ce que j'aimais faire c'était tout simplement vadrouiller de rue en rue sans but bien précis et m'arrêter quand je le désir. J'étais partie très tôt ce matin, pour faire mon jogging, j'étais revenu prendre ma douche pour répartir en vadrouille. J'avais enfilé un pantalon noir avec des docs de même couleurs. Un T-shirt avec par-dessus un pull à capuche tout aussi noire et par-dessus mon cuir. Quand je fus enfin prêt de sortir du manoir je me dirigeai vers mon garage où j'en sortis ma moto, je voulais faire le début du trajet avec et le reste à pied. Je fermai la porte de mon garage, je pris mon casque qui se trouvait dans le top caisse, j'enfourchai ma moto et je roulai en direction de la ville, vers Oxford street pour être plus précis. Ce que j'allais y faire, je n'en savais rien encore, seule ma tête me guider d'aller là-bas. Enfin arriver, je me garai en toute hâte et je rangeai mon casque et à la place j'enfilai ma capuche. Je scellai la roue de ma moto, et je commençai à marcher, il faisait frais ce qui était plutôt agréable. J'avais rarement froid, j'avais hérité de la résistance de mon père, étant Italiens il avait le sang chaud tout comme moi. Ce qui plaît souvent aux filles c'est de pouvoir se blottir contre moi les nuits fraiches et de sentir ma peau chaude contre la leur. Aujourd'hui contrairement aux autres jours j'étais un peu plus couvert, je n'avais pas trouvé ma casquette donc j'avais opté pour un pull à capuche. Après une bonne heure de marche intensive sans but bien précis, je décidai de ralentir pour regarder les boutiques. Pas que j'aimais particulièrement ça juste j'avais un cadeau à faire et je n'avais pas d'idée. C'est en passant devant une boutique spécialiser dans le mariage que je m'arrêtai croyant voir un visage connu. Curieux je m'arrêtai et j'essayai de savoir qui pouvait être cette personne que je voyais d'assez loin. Après quelques minutes je reconnu enfin la sublime Athénaïs. Je sais que ça ne lui ferait pas plaisir de me voir surtout dans ce genre de boutique c'est pour ça que je devais absolument y entrer. J'entrai dans la boutique prenant bien soin d'enlever ma capuche, je vis le visage des vendeuses changer du tout au tout ce qui me fit sourire. Je raccommodai mes cheveux et l'une d'elles se dirigea comme une furie vers moi, elle me tendit une coupe de champagne et elle me dit avec la voix la plus douce qu'elle put prendre.

"- Vous devez être le conjoint de la demoiselle? Si vous voulez bien me suivre."

À ses mots je ne dis justement rien, ça me plaisait de jouer à ce jeu. Je savais que ça allait la mettre en rogne et franchement j'aurais tout fait pour voir son petit nez gracieux se froncer. La jeune femme me montra l'homme qui s'occuper d'Athénaïs. Quand je la vis dans sa robe, ma gorge se noua, pour deux raisons, l'une bonne et l'autre mauvaise. La première car elle était toujours aussi sublime quoi qu'elle puisse faire et deux par ce que de la voir dans ce genre de magasin me rappeler trop ce que j'essayais tant bien que mal de fuir. Bien que ce monde me rebuter de la voir était bien plus emportant pour que je m'en aille maintenant. Soudainement elle retourna dans sa cabine sans m'avoir vue. Alors ni une ni deux je la suivis et quand j'arriva dans sa cabine le vendeur qui s'occupait d'elle s'empressa de la prévenir. Un sourire joueur se dessina sur mon visage. J'ouvris le rideau sachant qu'elle serait peu habillée, c'étais totalement mon but, après tout combien de fois avais-je pu voir son corps avant? C'est pas aujourd'hui qu'elle me le reprocherait? Si? Elle fronça son joli nez en me demandant ce que je faisais là, je me dirigeai vers elle avec un large sourire moqueur et je lui dis.

"- Ma chérie tu es sublime. Je me suis libéré comme je te l'avais promis. Aurais-je oublié de te prévenir?"

Je lui fis un clin d'oeil et je fis signe au vendeur de s'en aller. Bien qu'il y ait personne je sentais la présence des deux vendeuses en train d'épier notre conversation. Justement elle voulait tu spectacle elle allait en avoir et gratuitement. J'ai bon coeur aujourd'hui, donc je me dirigeai vers la belle blonde et je lui pris la main et je la tournai sur elle-même.

"- Je vais avoir du mal à résister comme ça. Tu en as conscience? "

Je ris, car je savais que tout ce que je pouvais dire ou faire l'énerverait. Je savais aussi que je ne lâcherais pas, j'étais un joueur un vrai et rien ne pouvais me faire reculer.  

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() message posté Jeu 22 Jan 2015 - 22:23 par Invité
    Le voir ici ne lui plaisait pas, le monde semblait se liguer contre elle. Alors qu’elle venait à peine de retrouver le courage de sortir, il fallait qu’elle le rencontre. Son moral n’était pas au mieux, elle ne se sentait pas capable de lui tenir tête et c’était plutôt mauvais signe. Daniel était un séducteur né, et parvenait toujours à ses fins. Qui pouvait lui refuser quoi que ce soit avec ce visage ? Elle devait l’avouer à regret, il possédait de superbes atouts, même sous cette couche de vêtements… Comment avait-il réussi à se faufiler jusque dans sa cabine d’essayage ? Sérieusement, il était incapable d’être en couple et ça se voyait pourtant ! Un coup d’oeil dans son dos et elle comprit immédiatement, il avait du offrir aux vendeuses l’un de ses sourires charmeurs et sans se poser la moindre question, elles lui avaient montré le chemin. A peine venait-il d’arriver qu’il l’agaçait déjà. Il n’avait pas changé depuis leur dernière rencontre, il ne pouvait pas changer ou plutôt, il ne le voulait pas, raison pour laquelle elle continuait d’ignorer ses moindres demandes.

    Le ton de sa réplique reflétait un certain amusement, elle le connaissait, il adorait l’énerver. D’une voix mielleuse, elle lui répondit : “Oh mon amour, tu es tellement adorable. Tu es le meilleur compagnon que puisse rêver une femme.” Mensonge, il était tout le contraire. Ses mains se posèrent sur son torse et elle le regarda d’un air amoureux avant de se mettre sur la pointe des pieds et lui chuchoter à l’oreille, un sourire doux sur les lèvres. “Tu ferais mieux de quitter ce magasin avant que je ne devienne violente.” Les vendeuses à l’arrière semblaient n’y voir que du feu, c’était l’amour fou entre eux. Mais bien sûr. Daniel était-il capable de ressentir une once d’amour pour quelqu’un excepté pour lui-même ? Après des mois d’aller-retour entre d’autres femmes et elle, elle s’était faite à l’idée, elle n’obtiendrait jamais son coeur. Après avoir décidé d’arrêter ce stupide manège, elle avait cru qu’il ne réapparaîtrait plus dans sa vie, elle s’était leurrée, il continuait à persister, à vouloir un nouveau départ. Elle supposait qu’il ne supportait pas l’idée d’être quitté par l’un de ses jouets, c’était son égo qui prenait un coup alors même s’il avait les mots, les atouts pour la faire céder, elle restait campée sur ses positions. Hors de question de retomber dans ses bras pour à nouveau se faire abandonnée le lendemain parce que l’envie l’en prenait.

    Lorsqu’il prit sa main pour la faire tourner sur elle-même, elle ne pu s’empêcher de sourire tout en levant les yeux au plafond. Quel acteur. Bien du temps s’était écoulé depuis leur dernière rupture, elle ne lui tenait plus rigueur, c’était du passé. Lui en vouloir était une habitude, ils passaient leur temps à se chamailler et au fond d’elle, cette particularité de leur relation lui plaisait, elle y restait attachée. Il avait une telle répartie qu’elle en était, la plupart du temps, plus amusée qu’offusquée. Attrapant la seconde robe qu’elle commença à enfiler, dos à lui, elle lança : “Il n’y a absolument rien à voir ici.” Il n’était probablement pas au courant que depuis quelques semaines, elle était devenue célibataire mais il l’observait sans aucune gêne, regarder la copine d’un autre en lingerie ne semblait pas pour lui une faute. D’ailleurs, elle ferait mieux de ne pas préciser ce dernier détail, il allait sûrement être instoppable. D’une main, elle attrapa ses cheveux dorés et lui montra la tirette de la robe à l’arrière. ”Mon amour, est-ce que tu peux me fermer ça s’il te plaît ?” S’il voulait qu’elle s’énerve aujourd’hui, alors il pouvait rêver. Faire l’opposé de ce qu’il désirait lui apportait une satisfaction certaine.
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() message posté Jeu 22 Jan 2015 - 23:53 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

Ma vie depuis ma " rupture " avec Athénaïs n'avait pas changé, sauf peut-être que je sortais beaucoup plus vue que je n'avais pas de favorite attitré pour le moment. J'en avais pas trouvé une seule qui pouvait être à la hauteur pour rester plus d'une nuit dans mon lit. Jusqu'à présent seul Athénaïs avait réussi à tenir le coup. Fallait que j'avoue que j'y étais surtout pour quelque chose, si elle m'avait ennuyé dès le premier soir je l'aurais foutu à la porte comme tout les autres. Elle avait ce côté plus dur que les autres qui m'attirait, j'étais plus admiratif par elle qu'autre chose. Ce n'est pour cela que ça me déranger pas plus que ça non plus de la tromper sans ménagement. Une femme il suffisait que je les regarde pour qu'elle dise oui au moindre de mes caprices. J'avoue que c'est un véritable atout ! Bien que je haïsse mon père je devais bien avouer qu'on avait ce point commun, il avait une beauté naturelle qui faisait tomber n'importe quelle femme. Bien évidemment comme moi il en jouait, sauf que contrairement à moi il était marié et père. Je connais la nature de mes gènes, je sais que je ne suis pas capable de résister au moindre sourire charmeur de belle femme. À quoi bon m'en cacher? Montrer un homme que je ne suis pas? Bien qu'évidemment je ne pas dévoiler tout, même Athénaïs qui croyait me connaitre ne savais pas tout de moi. Je ne suis pas le genre d'homme à me livrer facilement, même sous la torture je peux ne pas parler. Je suis assez tenace oui on peut le dire. Au moins les secrets son bien gardé avec moi, c'est un avantage.

J'aimais la rendre folle, de la voir rentrer dans mon jeu me conforter dans l'idée que j'avais raison de ne pas laisser tomber. Elle pouvait être tout aussi tenace que moi et ça c'étais excitant. Je supportais rarement les filles qui me laisser facilement faire, ceux la je les prends quand j'ai peu de temps pour draguer et jouer et que j'en envie d'une partie de jambe en l'air pour me changer les idées. Athénaïs c'est tout autre chose, elle sait la résistance, c'est les regards noirs et la violence dans les mots. Bizarrement ça pouvait être bien plus m'excitant que tout simplement m'embrasser. Chaque réponse était bien choisie, en plus elle posa ses mains sur mon torse et elle se rapprocha de moi. Je la regardai avec mon regard de braise, cela faisait longtemps que je n'avais pas eu de contact aussi proche avec elle surtout qu'elle était très peu habillée. Si je n'étais pas aussi gentleman je l'aurais embrassé tout de suite sans la laisser dire quoique ce sois, lui faisant comprendre que cela pouvait être risqué de me faire rentrer dans une cabine avec une tenue aussi légère. Mais je ne fis rien, bien qu'elle m'excitât en me disant de quitter ce magasin sinon elle deviendrait violente. J'étais prêt à voir ça, surtout dans cette tenu ! Je savais bien que dans tous ses faits et geste rien ne m'indiquer qu'elle désirait quelque chose de moi, sauf que j'avais des visions plus différentes des choses. Je pouvais sentir qu'au fond elle, elle aimerait me sauter dessus. Je pouvais imaginer ce qui la retenait, mais je m'en fichais. Je ne changerais pour rien au monde même pour elle, désoler ma belle tu devras te contenter de ça. C'est pour cela que je continuai mon petit jeu en la faisant tourner sur elle-même. Elle n'avait pas l'air fâché au contraire, elle sourit ce qui me fis sourire aussi. Sauf que d'un coup d'un seul elle commença à se rhabiller ce qui me fis froncer les sourcils, mais en bon gentleman je l'aidai tout de même à se rhabiller. Je pris bien soin de prendre tout mon temps en effleurant sa peau et en sentant ses cheveux. Cette odeur était toujours aussi enivrante je me demandais vraiment comment je faisais pour résister. Après avoir fermé sa robe je la retournai face à moi et je lui dis l'air joueur.

"- Si tu devais choisir une robe je te conseillais celle-là. Elle te va beaucoup mieux au teint et elle sublime ton corps. "

En disant cela je put m'empêcher de la regarder de bas en haut lui montrant bien mes regards plus que provocateur qui annonçait vivement ce que je désirais. En clair elle. D'un côté je n'avais pas tort dans mon choix, j'avais tout de même bossé pas mal de temps en tant que modèle photo pour de grandes marques, posant avec de sublimes femmes avec des tenus plus à tomber les unes que les autres. Je pouvais facilement savoir ce qui allait le mieux à une femme en un seul coup d'oeil et celle-ci était faite pour elle quoiqu'elle soit un peu extravagante.

"- Mais c'est à toi de faire ton choix. Je te conseillerais de faire une folie pour une fois. Ça changerait et puis ça fait pas de mal de temps en temps. Ma chérie. "

J'avais faits exprès de lui dire cette phrase avec un sous-entendu derrière qui exprimer mon désir. Je savais qu'elle dirait non, qu'elle me repousserait aussi loin qu'elle le pouvait. Une chose était sûr, plus elle me repousserait plus je continuerais. C'est pour ça que je m'approchai d'elle et que je lui susurrai dans l'oreille.

"- Je peux tout aussi bien être ta folie. D'ailleurs je ne suis pas contre la violence."

Je me reculai exprès je lui fis un clin d'oeil et je sortis de la cabine la laissant seul dans ses pensées. Je savais qu'elle serait troubler mais en colère contre moi, sachant bien que je changerais pas après ça. C'était tout simplement une petite folie, passagère dont personne ne se rendra compte à part nous deux. Je me mis dos à la cabine, remarqua un visage d'une vendeuse à qui je m'empressai de lui sourire. À mon sourire elle rougit et elle s'en alla directement direction de son comptoir pour reprendre ses esprits. Je bue une gorgée de ma coupe de champagne en attendant Athénaïs. En tout cas si elle ne voulait pas de moi je savais qu'au moins je pouvais avoir l'une des vendeuses du magasin. Cette pensée me fis sourire, en tout cas pour le moment ce que je voulais c'était ma jolie blondinette dans le vestiaire derrière moi.

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() message posté Ven 23 Jan 2015 - 15:07 par Invité
    Cet énergumène se croyait tout permis, il avait certes le physique mais sa façon de voir que chaque personne lui était acquise la mettait hors d’elle. Il l’avait cru pour acquise aussi, et c’était vrai pendant un long moment mais c’était fini sauf qu’il n’avait pas l’air de comprendre. Elle était capable de fuir indéfiniment, son comportement la repoussait. A l’époque, elle n’était pas dupe, elle savait qu’elle n’était pas la seule mais le fait qu’il revienne à chaque fois avait fini par lui faire croire qu’il tenait à elle, grossière erreur, Daniel ne tenait à personne. Ses belles paroles et ses interminables caresses avaient vite fait de le faire pardonner. Son corps était si… tentant. Cela valait bien de le laisser vagabonder. La belle époque était révolue.

    Elle lui demanda : “Si je te donne ce que tu désires, me laisseras-tu en paix ?” Évidemment qu’il la laisserait, il était incapable de rester dévoué à une personne. Tout ce qui l'intéressait sûrement était le fait qu’elle lui résiste mais si elle abandonnait les armes, son intérêt pour elle s’évanouirait en un claquement de doigts. Au fond d’elle, peut-être, souhaitait-elle qu’il continue, elle ne l’avait encore jamais vu aussi persévérant avec une femme. Inutile de s’imaginer un instant qu’elle était différente à ses yeux, c’était se fourvoyer. Son regard sur son corps ne la dérangeait pas, elle préférait l’ignorer, il l’avait déjà vue des centaines de fois mais lorsqu’elle se regarda dans le miroir, un détail la frappa. Ça ne s’était pas vu avec l’autre mais avec celle-ci, difficile de cacher son secret. Elle avait gardé la première robe contre sa poitrine tout à l’heure, bonne chose, il n’avait rien vu. Sentir ses doigts effleurer sa peau réveillait des souvenirs qu’elle s’ordonna de chasser sur le champ de son esprit. Au lieu de sortir de la cabine pour voir le résultat dans l’un des grands miroirs, ou de se sentir flattée par son compliment, elle se cambra presque, mal à l’aise d’un coup qu’il la regarde de face. Elle espérait que ses cheveux cachaient les nombreuses griffures qu’elle s’était infligée au-dessus de la poitrine, dans le sommeil, inconsciemment pour surmonter la souffrance qu’avait provoqué la rupture avec Julian. Pour l’instant, elle n’arrivait pas à surmonter le manque dans son coeur et son corps s’exprimait de lui-même. Elle était censée avoir vu un docteur pour régler ce problème mais tomber sur Tristan à l’hôpital avait annulé ses plans, elle ne souhaitait pas que cette histoire se sache, elle était déjà capable d’imaginer la une des magasines crier au monde entier que la princesse française se mutilait. Ce n’était pourtant pas de sa faute, le bon côté c’était que le sang ne l’effrayait plus vraiment. Avec précipitation, elle se débrouilla pour ouvrir elle-même la robe avant de se remettre la sienne et d’enfiler par dessus son manteau. Un soupire s’échappa de ses lèvres, il fallait qu’elle règle ce désagrément au plus vite avant qu’une autre personne ne s’en aperçoive.

    Elle tendit la dernière au vendeur en souriant. “Je prends celle-ci, mon tendre compagnon va se charger de la note.” Réellement, dépenser ne lui faisait pas peur, elle avait les moyens de s’offrir ce genre de pièce haute-couture tous les jours durant toute sa vie et même au-delà, c’était juste une façon de mettre Daniel dans l’embarras, lui qui voulait jouer au petit-ami parfait, qu’il joue jusqu’au bout ! Elle ne pu se retenir de sourire une nouvelle fois, ça l’arrangerait tellement qu’elle se laisse aller pour faire des folies. “Est-ce que j’y trouverais mon compte ?” demanda-t-elle en insinuant qu’il n’était pas capable de la combler. Oh cette idée ne l’effleurerait jamais, il devait se croire comme un dieu, quelque chose comme ça. Son narcissisme lui faisait plus rire qu’autre chose, ils auraient pu être amis. En fait, tout compte fait, aucune relation avec Daniel n’était possible, mieux il restait éloigné et mieux c’était. Cependant, sourire lui faisait du bien, elle en avait besoin. Le voir n’était pas si terrible que ça au final. “Oh je vois que nos ébats te manquent profondément, j’ai presque envie de te dire oui.” dit-elle, ironique.

    Il sirotait tout bonnement sa flûte de champagne, comme si tout était normal. Typique de lui. Soudainement, elle s’exclama assez haut et fort pour que les vendeuses entendent : Regarde mon amour, la robe de Nathalie est si belle. Quand est-ce qu’on se marie nous ?” Cette phrase semblait avoir surexcité tout le magasin, quelques vendeuses vinrent à leur rencontre pour leur proposer d’aller voir les robes de mariées. Un sourire satisfait aux lèvres, elle leur répondit simplement : ”Faites voir à monsieur, il possède le droit de véto.” Il n’avait cas disparaître avec l’une des vendeuses, lui faisant croire qu’il bravait toutes les règles de bienséances pour ses beaux yeux. Installée sur l’un des divans, elle regardait ce spectacle particulièrement amusant. Mon chéri, regarde-bien ! Elle était prête à tourner les talons et s’enfuir par la porte d’entrée, il fallait juste attendre le moment opportun.
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() message posté Ven 23 Jan 2015 - 16:54 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

Depuis toujours la domination était essentielle dans ma vie, j'avais cet avantage de pouvoir en bénéficier facilement grâce à la fortune que j'avais héritée et aussi grâce à ma beauté. Pourquoi dominer est important, tout simplement par ce quand on domine on maitrise et quand on maitrise on est souvent tranquille. Souvent j'avais ce que je désirais, parfois trop facilement. Je regret parfois de ne plus avoir de nouvelle de mon cousin car ce que j'aimais c'était quand nous nous lancions des défis. C'était un bon chalenge pour moi, savoir où étais mes limites. Malheureusement pour lui j'en avais aucune et c'est ce qui a faits qu'on a finis par se perdre l'un et l'autre. Malgré notre proximité nous étions trop différents, je me défiais au point de défier parfois la mort, lui était plus raisonné et plus posé que moi. Ce qui a fini par clasher, c'était presque prévisible. Ce qui m'empêche pas de continuer à me défier, c'est un peu ma raison de vivre. Dépasser de jour en jour mes limites, sachant pas vraiment où je vais.

Mon défi du jour était de réussir à faire craquer Athénaïs, je savais que ça serait dur c'est pour ça que je m'étais lancé ce défi. Si tout étais trop simple à quoi bon jouer? En lui montrant mes intentions la belle blonde soudainement me demanda que si elle accepte, j'allais la laisser tranquille. Je fronçai les sourcils, c'était bien trop simple ! Pourquoi je baisserais les armes aussi facilement et pourquoi elle les baissait aussi vite? Non, non ça pouvait pas se passer ainsi ! D'ailleurs je la sentais un peu plus speed que tout à l'heure, je n'en tenue par rigueur car je pensais que c'était dû à l'énervement de me voir ainsi près d'elle dans une cabine. C'était bien trop compromettant pour être honnête. Elle demanda au vendeur en lui tendant la robe que je lui avais si bien conseiller qu'elle la prenait et que c'était à moi de payer. Sans détourner mon regard de son joli visage je sortis de ma poche ma carte black que je tendis au vendeur. L'argent m'importait peu j'en avais à ne plus savoir quoi en faire, quand elle me posa la question si elle trouverait son compte en faisant des folies je restai neutre. Je savais que ma réponse serait décisive, donc je voulais pas dire de bêtise.

"- Je n'en sais rien. Ma belle, sais-tu réellement ce que je désire? De toi je parle? On fait un deal ! Si ce que je te propose te conviens pas, je promets de ne plus jamais te revoir. Qu'en penses-tu? "

Je ne ressentais rien pour elle, c'était véridique. Mais ce que je ressentais était tout autre et avec ce deal j'espérais bien deviner la nature de ce sentiment. Je peux toujours jouer et gagner ou jouer et perdre, il m'est arrivé de perdre c'est pour cela que je devais miser le tout pour le tout. Quand elle renchérit en disant que nos ébat me manquer, je lui fis un sourire sadique en me mordant la lèvre, je m'approchai de son oreille pour lui chuchoter.

"- Tu peux pas imaginer à quel point !"

Quand je fus de dos pour boire ma coupe et que je l'entendis parler de mariage, je cru m'étrangler avec le champagne. Je vis le visage de la vendeuse devenir vert, se demandant pourquoi une telle réaction en plus de ça elle s'empressa de ramener des robes de mariée. Je posai mon verre et je voulus rétorquer quelque chose, mais quoi? Daniel qui n'a rien à dire? Impossible. Rien que de penser au mariage ça me donner des nausées, en plus de ça elle renchéris en disant à la vendeuse de me montrer les robes. Quelle poisse, elle voulait jouer à ça? Ok, je vais jouer !

"- Mademoiselle je vous prie de nous excuser, j'avais dans l'intention justement de la demander en mariage. Avant que vous ne gâchiez tout en me faisant choisir la robe. Si nous devions commencer par quelque chose ce serait là bague n'est ce pas ma chérie? Nous reviendrons pour la robe ! On a tout le temps ! "

Je récupérai ma carte et le sac avec la robe et je me tournai vite fait vers Athénaïs pour lui prendre la main et me diriger vers la sortis. Je l'embrassai sur la bouche sans qu'elle ne puisse faire quoi que ce sois et je regardai les vendeuses rougissantes de jalousie.

"- Merci pour votre excellent service."

Je sortis de la boutique, sac dans une main et Athénaïs de l'autre. Le deal commencé maintenant, elle voulait que je lui montre de quoi j'étais capable, j'étais prêt. Je n'avais pas changé sur un point ! Le couple et le mariage, pour reste j'avais appris plusieurs petites choses que je compter bien lui montrer. Non j'allais pas m'avouer vaincu aussi facilement ! Pas comme ça !

"- Notre deal commence maintenant ma chère. Accroches toi bien. "

On dévala la rue, je pris soin de ne pas aller trop vite. Décidant de ne pas lâcher la main de la petite blondinette au cas où. Pour qu'elle me vole dans les plumes? Je me le permettrais pas ! Je ne lui serrais pas trop la main pour ne pas lui faire mal mais je la tenais assez pour qu'elle ne s'en libère pas. Je la menai à ma moto, elle ne la connaissait pas je l'avais acheté il y a peu de temps, c'était ma nouvelle passion. Je pris le risque de la lâcher et j'ouvris le top caisse pour sortir mon casque que je lui tendis. Je lui donnai mes gants et ma veste pour lui tenir plus chaud puis j'enfourchai ma moto et je lui fis signe de monter.

"- Si tu montes pas, tu ne sauras pas où je t'emmène. Promis tu peux avoir confiance en moi, même si je sais que je ne suis pas le meilleur dans ce domaine."

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() message posté Ven 23 Jan 2015 - 18:25 par Invité
    Un deal ? Elle leva un sourcil, peu confiante de sa future proposition. Ses idées étaient toujours plus tordues les unes que les autres, pactiser avec un démon comportait son lot de risques mais sans en douter un seul instant, un lot de consolations. Tout en le regardant tendre sa carte de crédit avec détachement, elle lui lança un regard provocateur. "Très bien, j'écoute." Avait-il oublié qu'elle avait grandi ? Que l'adolescente qu'il avait connu n'était plus et qu'elle était devenue une femme ? Ça en devenait presque vexant qu'il la sous-estime de cette façon mais peu importe, la surprise n'en serait que plus réelle et savoureuse. Elle représentait la France et la digne lignée des Hermès-Deschanel dans toutes les soirées mondaines où elle se rendait, tout était toujours sous contrôle car elle refusait de commettre la moindre faute. Daniel n'avait sans doute jamais vu ce côté de sa personnalité, sa vie ne l’intéressait pas, seul son corps pouvait prétendre à un minimum d'attention.

    Elle explosa d'un rire léger, le mariage l'effrayait visiblement. Il ne fallait pas parler d'engagement avec lui, tiens tiens, elle savait quoi faire pour le faire fuir. La scène était si amusante, le voir déstabilisé le rendait presque attachant. Pendant un court instant, elle baissa les yeux, s'il lui avait manifesté de l'affection, elle aurait pu l'accepter comme il était, mais elle se reprit rapidement, trop captivée par son air perdu. Comme à son habitude, il se sortit de cette situation avec brio. L'imaginer offrir une bague à n'importe qui était inenvisageable, pourquoi ces vendeuses étaient prêtes à tomber dans son cinéma de cette façon-là ? Mais elle était pratiquement certaine qu'elle le surprendrait un jour, une fiancée au bras, à force d'essayer toutes les femmes, il allait bien tomber pour l'une.

    Alors qu'il l’entraînait vers la sortie, elle eu le temps de lancer : "Faites livrer la robe de mariée au domicile de Monsieur Austin Jenkins à Nothing Hill, vous pourrez lui expliquer que c'est pour moi." Lorsqu'elle se retourna pour lui lancer une remarque pleine de sarcasmes, il l'embrassa. Sous la surprise, elle ne répliqua rien et se contenta de le suivre. Son coeur cognait avec insistance dans sa poitrine. Même s'il avait gagné en maturité, une chose en elle n'avait pas changé, son affection pour lui. Il continuait de la prendre au dépourvu. Que quelqu'un lui vienne en aide...

    Elle le regarda d'un air qui se voulait contrariée mais sa crédibilité semblait disparaître, son baiser l'avait adoucie. Sans broncher, elle enfila sa veste et ses gants avant de mettre le casque. Il l'aida, son visage était trop proche du sien. Elle grimpa sur la moto en le saisissant à la taille. A cet instant, elle aurait voulu mourir. Pourquoi devaient-ils sans cesse avoir l'air d'un couple et se sentir proches alors qu'il n'en était rien ? Elle soupira, elle lui ferait payer plus tard de l'avoir fait monter sur un tel engin, lui en vouloir pour quelque chose lui permettait de ne pas s'attendrir. "Emmène-moi où tu veux."
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() message posté Sam 24 Jan 2015 - 17:38 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

Grâce au vagabondage je pouvais découvrir des trésors partout, aimant voyager j'avais ce goût de la découverte, ne pouvais plus autant voyager qu'avant je m'étais donné en défi de découvrir tous les recoins intéressants de Londres. Il y en avait beaucoup que personne ne connaissait ou n'osais aller par peur, car au premier abord cela pouvait être un coupe gorgée mais il n'en était rien. N'ayant peur de rien je traversais toutes les rues même les endroits réputer étant dangereuse. Je crois que je continuer toujours à défier la vie et la mort. Je l'avais tellement bravé que je me croyais presque invincible. Je savais bien que c'était totalement faux mais ça me plaisais d'y croire. J'avais visité de nombreux pays, plusieurs fois et le seul endroit où je me sentais réellement chez moi c'étais bien Londres.

J'étais surpris qu'Athénaïs accepte aussi facilement bien que j'en eusse envie. Je lui avais donné toutes mes affaires pour la tenir au chaud, quand elle monta sur la moto et s'agrippa à moi je fis un large sourire. Je démarrai d'un coup exprès pour la surprendre. Quand on fut en route je savais tout de suite où j'allais l'emmener, ça changerait de son quotidien. Elle me prendrait pour un fou ça c'est certain mais après avoir découvert l'endroit elle serait sous le charme j'en étais certain. Durant le chemin je faisais exprès de passer par des rues glauques pour lui faire un peu peur et qu'elle se serre contre moi. Quand la rue fut le plus glauque je m'arrêtai exprès après avoir trouvé un endroit pour garer ma moto. Je l'aidai à descendre en la regardant dans les yeux et je scellai ma moto. Je fis un bref coup d'oeil dans la rue et je pris la main d'Athénaïs pour traverser la rue, en face ce trouver un bar branché bien que de l'extérieur il une face pas très accueillante. En entrant l'atmosphère était chaleureuse et assez Grunge, genre bar de bikers. À peine entrer que le barman me salua chaleureusement.

"- Hééé Dan ! Quelle surprise ! Ça fait quoi? Pfiouuu Un mois qu'on s'est pas vue n'est ce pas? Oh je vois que tu es en charmante compagnie. Alors qu'est-ce que je vous sers? Toi un Whisky je suppose?

- Oui cela fait bien un mois, tu vois je t'oublie par je reviens accompagnée de ma petite amie, je te présente Athénaïs. D'ailleurs oui un Whisky pour moi et toi ma belle?"

J'avais faits exprès de l'emmener dans un endroit où pour une fois une personne m'appréciait pour ce que je suis. Je voulais lui montrer cette facette plus appréciable de ma personne. D'ailleurs je pense qu'elle avait dû remarquer que je l'avais appelée ma petite amie, je savais que ça aller l'irriter, je ne perdais pas une seconde pour la taquiner. Quand elle eut commandé je lui montrai au loin un billard où je m'empressai de l'y emmener. Encore un passe-temps parmis tant d'autres, j'en avais acheté un d'ailleurs dans mon manoir quand parfois j'inviter du monde. Cela m'arrivait d'y jouer seul pour passer le temps quand je sortais pas, ce qui était assez rare dans mon cas. De la musique rock passer dans les enceintes du bar, j'aimais cet endroit car je trouvais qu'il me caractérisait. Avec le bar que je venais d'acheter j'espérais recrée cette atmosphère. Je lui montrai le billard et je lui dis avec un sourire joueur.

"- Une petite partie? Si tu ne sais pas jouer, aucun souci je peux t'apprendre tu verras ça s'apprend vite. "

J'avoue aussi que c'était le meilleur technique pour voir son corps s'onduler de manière la plus sexy qui sois sans que je puisse dire ni faire quoi que ce sois. D'ailleurs si je lui apprenais à jouer, ce serait l'occasion de me serrer à elle sans que ça sois de la ruse. Je pourrais sentir de nouveau son parfum et entendre son coeur battre à la chamade quand je me rapprocherais d'elle. La seule chose que je désirais c'était qu'elle me face confiance. Juste pour cette fois-ci. Le barman revint avec nos boisson et il me fit un clin d'oeil en me disant sans que la jolie blonde puisse entende.

"- Elle est sublime où tu dégotes des nanas aussi sexy et aussi classe en plus?

- Elle est tombée du ciel, qu'il l'aurait cru ! Ahaha aller John ! Bave pas trop sinon tu connais le tortionnaire risque de te mettre les chaines cette fois-ci.

- Hé ne parle pas de Suzie comme ça ! Bref j'ai du travail. Amusez-vous bien.

- Oui oui c'est ça ! "


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() message posté Sam 24 Jan 2015 - 19:46 par Invité
    Cela ne faisait même pas un an qu’elle avait emménagé à Londres, et le mot était grand, entre son retour en France puis le séjour à Las Vegas, la jeune princesse n’avait pas encore eu le temps de prendre réellement ses marques. Cette ville resterait toujours un mystère à explorer. Il y avait bien des endroits typiques qu’elle connaissait pour le business, le shopping mais des coins qui en valaient vraiment la peine, peu. Elle ne s’était jamais aventurée dans des ruelles aussi sombres, cela paraissait tout à fait stupide de la part d’une femme de mettre le pied dans ce genre de lieu. De temps en temps, elle resserrait sa prise autour de la taille de Daniel. Son père avait insisté pour qu’elle suive des cours de krav maga, plus communément appelé self-defense. Pendant dix ans, elle s’était entraînée et possédait désormais tout ce qu’il lui fallait pour se débrouiller en cas de problème mais ce n’était pas parce qu’elle était censée savoir se défendre qu’elle en était réellement capable sur le moment. La présence de Daniel la réconfortait même si elle avait une envie irrépressible de le sermonner, lorsqu’elle disait qu’il pouvait l’emmener où il voulait, ce n’était pas le genre d’endroit qu’elle imaginait.

    A un endroit où l’atmosphère semblait encore plus macabres que les rues précédentes, Daniel décida de s’arrêter. Elle le soupçonnait d’avoir fait exprès, la voir vulnérable devait le faire jubiler mais lorsqu’il prit sa main dans la sienne, elle s’en voulu de voir le mal dans chacune de ses actions. Après une légère inspiration devant ce qui ressemblait à un bar, elle se rappela de leur deal. Pour ce moment, une dernière fois, elle lui accorderait une chance. Elle espérait sincèrement qu’il ne l’emmenait pas encore dans l’un de ses pièges. Avant d’entrer, elle tira sur sa main. ”Je te fais confiance, ne me fais pas regretter Daniel.” Elle était effrayée de ressentir une nouvelle déception de sa part. ”Je ne veux pas t’effacer de ma vie, nous avons passé de bons moments ensemble alors si tu es sur le point de me leurrer, réfléchis-y bien." Puis d’une voix plus enjouée, un sourire sur le visage, elle dit : ”Bon ! Fais-moi découvrir cet endroit.” En entrant à l’intérieur, l’ambiance chaleureuse la frappa immédiatement, ne pas juger en fonction des apparences se révélait tout à fait exact pour ce cas. Elle ne pensait pas qu’un bar aussi agréable pouvait se trouver dans ce coin, la surprise était entière. Le barman ne manqua pas de reconnaître Daniel et le salua avec entrain, visiblement content de le revoir. La façon dont ils se parlaient prouvaient qu’ils s’entendaient bien, elle ne percevait aucune pointe de fausseté dans sa voix, il était lui-même. Elle les regarda se parler avec un léger sourire, cette facette lui plaisait. Lorsqu’il la présenta, elle tendit sa main au barman. ”Enchantée ! C’est de ma faute, je n’arrête pas de le monopoliser.” dit-elle pleine de malice en serrant la main de Daniel. Elle abattait ses défenses de son propre chef. ”Je prendrais la même chose, merci.” Elle voulait s’ouvrir et profiter de cet instant tant que tout se déroulait sans la moindre entorse. Elle ne s’était même pas offusquée lorsqu’il l’avait présentée comme sa petite-amie, cet endroit serait un endroit de neutralité pour eux.

    Lorsqu’il lui montra le billard, elle leva les yeux en riant. ”Oh non, pas ça.” La première et dernière fois qu’elle y avait joué datait de septembre. Elle n’avait pas l’habitude de se braquer lorsqu’il s’agissait de s’amuser alors en quelques pas enjoués, elle se trouva à côté de la table de billard et lui lança : ”D’accord, montre-moi !" Et lorsqu’il s’approcha d’elle, demanda en le regardant dans les yeux ”Qu’est-ce que qu’on pari lorsque je serai prête ?” Elle se sentait comme à leurs premières rencontres, insouciante et si détendue.
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() message posté Dim 25 Jan 2015 - 22:37 par Invité

   
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Daniel & Athénaïs

Tant d'années ont trompé le monde, tant d'années à faire ce que je désire souvent aux dépens des autres. Je crois que ça me rassurait, je savais que je n'avais qu'une seule vie, elle avait mal commencé alors je voulais la continuer pour quel sois le mieux possible. Ne jamais me priver et jamais renoncer. La première fois que j'avais vu Athénaïs je savais que je ne pouvais pas passer à côté, pourtant elle était le genre de fille pourrie gâtée qui me répugnait. Son côté fragile m'avait rebuté, je savais que je voulais changer ça. Après l'avoir revu aujourd'hui je savais que ça avait marché, elle était bien plus forte et moins naïve qu'avant. De la voir comme ça aujourd'hui me donner encore plus envie de l'approcher et de la garder dans ma vie. En vérité je me fichais pas mal des gens autour de moi, je ne pensais qu'à mon propre intérêt à chaque fois. Je savais que si j'adresser la parole à quelqu'un c'est que j'y trouvais un intérêt sinon je l'ignorais. Souvent quand j'avais ce que je désirais de la personne et que je lui trouvais plus le moindre intérêt je la jetais comme un vulgaire détritus. Autant fille que garçon, bien sur pour les gars c'était pour des raisons différentes. Je devenais " ami " avec eux pour leur prendre ce qui m'intéresser, par exemple leur nana, ou bien un objet que je pouvais me payer mais que je trouvais plus intéressant de leur voler ou pour les rouler des dans affaires bien juteuses. Après ça je me mettais souvent dans la merde, ça on pouvait le dire. J'avais ce petit truc qui faisait souvent peur à mes adversaires, je n'avais pas peur de la mort. Pour moi j'étais déjà mort, après ça je ne pouvais plus la craindre, ce qui me faisait faire autant de folie possible sans rien risquer. C'est l'une des raisons pour laquelle je ne peux donner mon coeur. Je n'avais pas pris le temps à Athénaïs de lui expliquer la raison due pourquoi je lui refuser de lui donner mon coeur.  Je ne pense pas qu'elle aurait compris et puis même elle n'avait pas à comprendre car ça ne la regardait en rien.

Elle désirait me faire confiance, elle n'allait pas être déçue, j'allais lui montrer le Daniel dragueur mais respectueux. J'avais mon intérêt à la garder dans ma vie, je ne savais pas encore bien quoi mais je savais que ça me serait bénéfique. Quand elle me dit qu'elle ne voulait pas m'effacer de sa vie mon sourire s'élargir, j'étais fière de pouvoir lui donner ce sentiment. Au moins c'est que j'avais réussi les paris de la garder accro à moi-même si elle détester l'homme que j'étais. C'était un bon point, je pouvais avancer sans risque. De toute façon je ne pas compter lui faire passer une mauvaise soirée, ce ne serais pas dans mon intérêt. J'étais ravi qu'elle se prenne dans mon jeu, elle n'avait rien sur le fait que je la présente comme ma petite amie, au contraire elle avait l'air plutôt ravis. Elle commanda elle aussi un Whisky et on se dirigea vers le billard. Elle n'avait pas l'air ravis au début mais elle se prit vite au jeu, d'ailleurs elle accepta même que je lui apprenne à jouer. Je me mordis la lèvre et je m'approchai d'elle, le barman arriva pour nous servir nos boissons et quand il partit elle me demanda ce que a allée parier quand elle serait enfin prête pour jouer. Je la regardai dans les yeux, j'avais tant d'idée plus folle les unes que les autres en tête. Je lui fis mon sourire sadique et je lui chuchotai.

"- Si tu gagnes, je ferais ce que tu exiges, par contre si je gagne... tu devras passer toute une nuit avec moi. Je ne dirais pas encore à faire quoi et quand. Cela peut se passer demain comme dans un mois et bien évidemment ce jour-là tu dois être obligatoirement disponible pour moi. Tu es partante?"

J'effleurai son cou avec mes lèvres et je me retournai vers le billard pour préparer les cannes. J'en pris deux qui étaient accrocher au mur et je me dirigeai vers la jolie miss pour lui tendre sa canne. Quand ce fut faits je lui montrai où ce placer pour qu'elle puisse voir toute la scène, je posai ma canne dans un coin et je pris les boules qui étaient ranger dans un petit placard à côté des cannes. Je les disposai sur la table et je pris les triangles qui étaient accrochés sur le côté. Je déposai le triangle, je mis toutes les billes à l'intérieur et j'enlevai délicatement le triangle. Je reposai de l'objet où je l'avais trouvé et je me dirigeai vers Athénaïs.

"- Bien je vais casser et je te montre quand elles seront toutes éparpillées."

Je fis exprès de me mettre pas loin d'elle pour elle me vois me cambrer et que mon pantalon puisse me serrer les fesses. J'étudiais chaque mouvement pour les rendre les plus sexy possible, je voulais qu'elle craque et qu'elle est du mal à garder son sang-froid. Après ça je posai ma canne et je me dirigeai vers elle pour lui prendre les épaules et la diriger vers la table. Quand je fus fait je lui montrai la position la plus adéquate pour tirer. Elle était cambrée les seins posés sur le rebord de la table, je me trouvais juste à côté d'elle les mains poser sur les siens pour guider sa tir. Je sentais ses cheveux me chatouiller le visage mais je ne dis rien car c'était tout bonnement agréable. Son corps si proche du mien me donner un peu chaud alors que je n'avais pas encore bue. Je me demandais comment j'allais réagir après quelques verres? Je pense que ça ne changerait pas grand-chose, je tenais assez bien l'alcool mais je pense que ça me donnerait tout de même un peu chaud. Je fis exprès de rester quelques minutes dans cette position en faisant mine de lui expliquer comment faire.

"- Bon ce n'est pas compliquer, tu mets ta canne comme ceci. Tu repères d'abord la boule qui serait le plus proche d'un troue. Dans ce cas-là l'avantage c'est que vue que c'est le début tu as plusieurs opportunités. Par exemple celle-ci la boule bleue au numéro 3. Tu vas te positionner comme ceci un peu en diagonale et tu vas taper d'une force moyenne vue que ta boule et pas si loin du troue. En tapant dans cette direction tu verras elle va toucher la boule jaune et elle fera tomber les deux. Vas-y essaye ma jolie. "

Je ne sais pas si j'avais été très clair, mais dans ce que j'avais dit je pense que je n'avais pas dit de connerie. Quand ce fut à elle de tirer je me reculai pour lui donner tout l'espace possible et aussi pour avoir une plus belle vue, c'est-à-dire ses jolies fesses. Autant ce l'avouer elle a un corps de rêve, je pouvais pas nier que j'aime le regarder à toutes les occasions. Je sais que ce n'étais pas une chose normale mais étant " sortie " avec elle je me permettais des choses qu'habituellement il serait impossible de faire à une fille même si on est sortis avec. Je la prenais toujours comme ma petite chose dont je me permettais tout, comme la toucher, l'embrasser, la draguer et lui dire des choses coquines. Je me fichais de savoir si elle avait un mec ou pas, pour moi elle était encore un peu à moi. C'est malsain je le savais pertinemment car je ne l'autorisais finalement pas totalement à passer à autre chose. Je ne désirai pas qu'elle m'oublie sauf si je le désirais.

"- Jolie fesses ... hum ! "

Je me mordis la lèvre en attendant l'orage, je me dirigeai vers mon verre de Whisky pour en boire une gorgée. Je disais souvent ce que je pensais à haute voix, juste pour voir sa réaction. Voir si ça la touchait un peu, ou pas du tout. C'était mon petit test pour voir si j'approchais au but ou si j'avais encore du chemin avant qu'elle craque.

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