"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici 'm no good for you ft Sinéad 2979874845 'm no good for you ft Sinéad 1973890357
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'm no good for you ft Sinéad

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Theodore A. Rottenford
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() message posté Ven 19 Déc 2014 - 18:41 par Theodore A. Rottenford
“Victory at all costs, victory in spite of all terror, victory however long and hard the road may be; for without victory, there is no survival. ” Je fermais les yeux dans l’obscurité. Les nuages de fumées s’échappaient des voussures du diffuseur d’appartement, déversant des senteurs apaisantes dans la chambre, mais c’était un parfum gâché pour rien. Mon cœur battait dans le vide, suspendu au fil de mes pensées ; que faire de Jazz ? Ce n’était qu’un nourrisson, et je n’étais pas apte à aimer inconditionnellement sans y perdre mon équilibre. Je soupirai en pianotant sur l’écran de mon téléphone. Les notifications surgissaient de nulle part ; m’annonçant des événements mondains dont je n’avais rien à faire. La brise hivernale s’immisçait à travers le balcon afin de s’écraser contre mon torse nu. Je tremblai ; mais à aucun moment je ne songeai à me vêtir. J’avais besoin d’embrasser un sentiment, peu importe sa nature et son intensité. Je déglutis en me redressant ; puis instinctivement je composai le numéro de Sinéad. J’avais connu la jeune blonde, lors de mes débuts dans la patrouille de nuit. C’était une enfant candide, et incroyablement délicate. Son peur la battait, et pourtant elle se refusait de trahir la promesse solennelle de la famille. J’avais insisté pour la soutenir et la guider vers l’émancipation, mais son sentiment d’appartenance était plus grand que ma volonté de bien faire. Je souris en songeant à nos rencontres coquines, et à nos longues enjambées dans les rues sombres du Londres. Je me plaisais à l’accompagner au lycée – comme si ma présence pouvait dissiper la terreur d’une enfance désabusé. Le téléphone sonna dans la vide pendant quelques minutes avant que je ne raccroche.

_ Je venais aux nouvelles. Tanpis. Theo. XoXo.

Je balançai mon iphone sur le matelas avant de me diriger vers l’entrée. Je sautillai en dévalant les marches de l’escalier, avant de me stopper net dans le hall. Je réalisais avec un effarement soudain que toute l’architecture de la maison ne correspondait pas au mode de vie d’un père. Il n’y avait aucune protection, les décorations étaient tranchantes, le parquet glissant … Je voyais le danger partout. Je passai une main tremblante dans ma chevelure de bronze. Mes bras se firent tout à coup engourdies. Je me laissai tomber sur le sol glacial. Cette longue aventure me semblait éprouvante. La terreur était une émotion horrible, et paralysante. Je n’étais certainement pas à la hauteur, j’avais un millions de défauts et aucune expérience avec les enfants – et pourtant je ne pouvais pas me résigner à abandonner ma fille. Ma fille … Ce mot sonnait si faux dans ma bouche.

La sonnette de la porte raisonna, m’extirpant de ma torpeur. Je me redressai avec une lenteur maladive avant d’ouvrir la porte d’un air grave.
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() message posté Dim 21 Déc 2014 - 13:45 par Invité
que désirs deviennent souvenirs.

Une voix masculine et une musique de fond me tire de mon sommeil, je m’étais endormis devant la télé,  quel heure est-il ? Je cligne des paupières, frotte mes yeux puis soupir en me redressant lentement, encore endormie. Je baille puis attrape la télécommande et coupe la télévision, restant assise sur le bord du canapé quelques instants,  le temps de reprendre mes pensés puis je me lève et me dirige vers la table où était posé mon portable, je regarde l’heure et remarque un appel manqué et un message sur le répondeur, je l’écoute et souris doucement en entendant ta voix. Je n’avais rien d’autre à faire, il était tard mais j’avais dormis assez longtemps et je n’étais plus fatigué, attrapant ma veste et mon sac je sort de mon appartement et ferme la porte derrière moi. Tu vivais assez loin de chez moi mais peu importe j’avais envie de te voir et passer cette nuit avec toi, tu avais peut être besoin de moi ou de compagnie.  

Après de longue minute de route, je me gare devant chez toi descendant de la voiture, l’air frais de la nuit caressant mon visage et colorant mes joues d’un rose clair, j’inspire profondément en frottant mes mains, avant de m’approcher de ta porte d’entré et de frapper doucement. J’espéré vraiment que tu ne dormes pas, même si tu m’avais confié une clé de chez toi. L’attente devant ta porte me faisais pensé à nos rencontre lorsqu'on étaient plus jeune, nos balade dans le froid, ta compagnie lorsque j’allais au lycée et ton inquiétude au sujet de mon père c’était une période difficile et tu avais rendu cela plus facile, je te l’avais peut être jamais avouer mais au fond tu m’avais sauvé, sans toi j’aurais surement fini sous un pont ou pire. Le bruit de la clé dans la serrure et l’ouverture de la porte me sort de mes songes, levant mon doux regard vers toi, je te souris doucement et fait un pas pour  me glisser entre la porte et la fermer derrière moi.

- Je venais aux nouvelles ! Dis-je en m’approchant de toi, me hissant sur la pointe des pieds je dépose un doux baiser ta joue, tu avais une barbe de quelques semaines et j’adorais ça.
Te faisant face, tu avais mauvaise mine ton regard était vide et tu n’étais pas dans ton état normal, prenant ta main doucement en soutenant ton regard, j’étais inquiète je n’aimais pas du tout ça.
- Je suis là... Dit moi se qui ce passe Théo ? dis-je en me rapprochant de toi, puis sans attendre je te prend dans mes bras, posant mon visage contre le haut de ton torse, glissant mes bras autour de ta taille te serrant contre moi dans un geste de tendresse et de protection, je ne pouvait pas faire beaucoup chose mais j’était là pour toi et je le serais toujours.

lumos maxima
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Theodore A. Rottenford
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() message posté Lun 22 Déc 2014 - 13:58 par Theodore A. Rottenford
“Victory at all costs, victory in spite of all terror, victory however long and hard the road may be; for without victory, there is no survival. ” La froideur du parquet s’immisçait en moi comme un rappel à l’ordre. Je crispai les doigts sur mon jogging d’un air grave. Mes pensées s’entremêlaient dans ma tête – et pour une fois, j’étais incapable de faire la part des choses avec impartialité. Mon travail requérait une certaine adresse intellectuelle, et beaucoup de risques. J’étais directement affilié à la mafia Irlandaise depuis ma plus tendre enfance. Alors il me semblait presque impossible de m’extirper de l’emprise de ‘la famille’ et ceci malgré mes tentatives de révoltes ratées et mes faux airs d’impudence. Je n’étais pas un audacieux. Mes seuls mérites se résumaient en deux mots ; réserve et manipulation. Je me consolais en pensant que toutes les transactions frauduleuses que j’effectuais avaient pour but d’assurer les activités légales du clan – mais je ne faisais que me leurrer. Les enjeux étaient plus graves ; extorsions, corruptions, braquages, drogues, meurtres... La liste était interminable ! Je déglutis en songeant au visage angélique de Jazz. Ce n’était qu’un nourrisson et pourtant elle avait su me sortir de mon enchantement. Je peinais à me l’avouer, mais malgré la peur paralysante, et l’angoisse continuelle, je l’avais aimé à la minute ou mon regard avait croisé son couffin abandonné. J’y avais cru tout de suite ; que cette petite chose était ma fille. Un soupir m’échappa.

La sonnette me parvenait de loin. Et malgré mon air grave, et mon esprit évasif, je me redressais presque par instinct afin d’ouvrir la porte. L’expression familière de Sinéad me percuta comme un rayon de soleil. Je lui souris avec retenue, tout en détaillant ses traits élégants. Ses yeux incroyablement verts se posèrent sur moi, et sans crier gare elle s’approcha afin de déposer un baiser furtif sur ma joue.

Je venais aux nouvelles ! Affirma-t-elle en faisant référence à mon message. Je fis la moue, amusé par la tournure audacieuse de ses propos. Je me souvenais exactement de notre première rencontre. Malgré son enfance difficile et les épreuves quotidiennes qu’elle subissait, ce jeune brin de fille désinvolte et affectueux, ne lui avait jamais fait défaut. Je pressai son épaule en l’invitant à l’intérieur. Je savais qu’elle avait une clé – mais le fait qu’elle s’annonce ne me surprenait pas le moins du monde.

Je suis là... Dit moi se qui ce passe Théo ? Elle se lova contre ma poitrine dévêtue, avant de m’étreindre avec passion. Cette gamine ! Elle était adorable, mais … Je restai crispé dans ses bras, humant discrètement l’odeur particulière de ses cheveux afin de me calmer.

« Je vais bien. » Lançai-je en me détachant de sa prise. Je fis quelques enjambées afin de refermer la porte. « Tu as sonné ... Ta clé ne marche plus … » Commençai-je d’une petite voix. « Je voulais te le dire ; j’ai changé mes serrures et ajouté un nouveau système de surveillance. Je suis le seul à ouvrir la maison de l’extérieur. » Je roulai des yeux, avant de l’entraîner dans le couloir. « Tu n’aurais peut-être pas dû venir. » Je me sentais épié depuis quelques temps ; l’agression d’Elliana par ma faute m’avait fait prendre conscience que toutes les personnes que je chérissais risquaient la même sentence si je ne prenais pas garde. Mon cœur s’acharnait contre ma poitrine. Je soupirai en l’empoignant par le bras. « Je... Je ne veux pas qu’il t’arrive malheur. Je ne m’en remettrais pas … » Avouai-je dans un murmure.


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() message posté Sam 27 Déc 2014 - 14:38 par Invité
que désirs deviennent souvenirs.

Nous avions traversé beaucoup de choses ensemble et je trouvais ça normal que je sois présente pour toi lorsque tu ne te sens pas bien, tu avais était là pour moi lorsque mon père me frappais ou que je fuyais de chez moi, tu me laisser venir chez toi pour me protégée et j’étais en sécurité. Maintenant plus de 15 ans que l’on se connait et parfois je ne me vois pas continuer à vivre sans toi, sans te voir et te parler j’ai toujours eu ce côté protecteur envers toi, même si c’est assez ironique, je n’était pas dans la meilleure des positions pour te protéger mais j’adorais prendre soin de toi quand tu n’allait pas bien, parfois quand tu étais malade je venais m’occuper de toi comme un bébé, «  Tu en fait trop Sinéad, je vais bien.. » disais-tu en lâchant des quintes de toux atroces la secondes d’après, c’était comme ça entre nous et ça ne changera surement jamais du moins je l’espère.

A peine rentrée chez toi qu’une vague de bien être et de sécurité me frappe au visage, il n’y avait qu’ici que je me sentais si bien et à ma place, dans tes bras et près de toi c’était le meilleur endroit au monde du moins jusqu’à c’est dernier temps, depuis Alixan. Chassant cette pensée de mon esprit, je resserre mon étreinte autour de toi avant de relevé mon visage vers le tien, t’observant attentivement alors que tu m’informer que tu avais changé de serrure je lève les yeux au ciel, faisant une petite mou avec mes lèvres.


- Et comment je vais me faufiler dans ton lit, si je ne peux plus rentrée chez toi ?

Dis-je en prenant une mine triste, puis je souris doucement en caressant ta joue de mon pouce, délicatement, alors que tu me tenais près de toi en m’entraînant avec toi dans le salon.

- Ton message Théo, puis j’avais envie de te voir j’ai le droit non ? Il ne m’arrivera rien Théo, je suis là avec toi, en sécurité !

» Ajoutais-je pour te rassurer, même si ce qui c’était passer à Elliana me faisais un peut flipper je ne pouvais pas arrêter de vivre et rester enfermer chez moi, je m’étais interdit de recommencer, d’avoir peur de quelqu’un quitte à me faire agresser, je serais prête à riposter. L’épreuve que j’avais endurée durant mon enfance m’avait forcé à devenir plus forte et courageuse, je faisais face à mes peurs et au danger sans reculer.

- Je partirais demain si tu veux bien de moi pour cette nuit bien sur…

Dis-je en te regardant avec un air de petite fille, attendant que tu accepte ma demande même si je connais déjà ta réponse, jamais tu m’avais jeté de chez toi et ça n’allais pas arriver aujourd’hui.


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() message posté Dim 28 Déc 2014 - 22:33 par Theodore A. Rottenford
“Victory at all costs, victory in spite of all terror, victory however long and hard the road may be; for without victory, there is no survival. ”  Sinéad m’enveloppait de sa bienveillance habituelle. Je tentai un sourire, mais mâchoire crispée refusaient de s’adonner à de tels excès d’affections. Toutes mes pensées prenaient la forme terrible du danger; depuis que Jazz avait fait son entrée dans ma vie – tout n’était qu’incertitudes et doutes dans mon esprit.  L’agression d’Ellie m’avait ouvert les yeux sur la menace, mais j’avais beau analyser la situation, je ne pouvais que céder au chantage affectif de mon clan. Après tout, j’étais pris au piège entre les flammes ardentes de mon ambition, et mon sentiment d’appartenance aux O’Connor. Un soupir m’échappa lorsque la jeune blonde se détacha de ma prise. Je ne voulais pas l’inquiéter outre mesure – après tout il était de mon devoir de la protéger et non pas le contraire. Je me redressai avec une indolence feinte, avant de me diriger vers le hall. « Et comment je vais me faufiler dans ton lit, si je ne peux plus rentrée chez toi ? »  Lança-t-elle avec une moue craquante avant de fendre dans mes bras à nouveau. J’haussai les épaules d’un air déconfit, elle était décidément trop adorable pour que je puisse me dérober. « Il te suffira de demander et je t’ouvrirais. » A mon tour, j’écarquillai les yeux de mon air le plus docile possible, puis je l’abandonnais dans le salon afin de rejoindre le frigo. Je sortis deux bières et un torchon afin d’essuyer énergétiquement  les capsules. J’étais parfois trop maniaque, mais Sinéad s’était habitué à mes complexes étranges, et à mon penchant démesuré pour la propreté. Je lui tendis la boisson d’un air évasif.

« Ton message Théo, puis j’avais envie de te voir j’ai le droit non ? Il ne m’arrivera rien Théo, je suis là avec toi, en sécurité ! »  Ses gestes étaient emprunts d’intimité. Je ne me permettais que rarement de tels écarts mais je la connaissais depuis si longtemps.;. Je bu une lampée de bière en me lançant tomber sur le canapé. Mes souvenirs se brouillaient devant mon regard ombrageux, et je revivais toute son injustice au fil des images qui apparaissaient devant moi. Son père s’en était tiré à bon compte – mais c’était sa décision et je la respectais. «  Je partirais demain si tu veux bien de moi pour cette nuit bien sur…»  Sa voix cristalline vibrait contre mon oreille, avant de combler mes silences.

« Viens d’assoir, Blondie. » M’amusai-je en tapotant sur la place vacante à ma droite. « ça te dirais de faire quelques courses avec moi plutôt … » Proposai-je avec calme et impudence. « Il y’a encore quelques ajustements de sécurité que je devrais régler, pour une personne toute particulière. » Je souris avec malice. Sinéad n’avait toujours pas fait la rencontre de Jasmine, en effet je gardais l’existence de la petite secrète pour l’instant. Je me penchai délicatement vers son visage. « On pourra diner dehors avant de rentrer et là – tu seras libre de partir demain. »

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