/!\ Dance of the Sugar plum fairy /w Delilah

Dance of the sugar plum fairy

if you like me surprise. So, i like that.  

Nous sommes le 22 Decembre, la neige tombe a gros flocon sur Londres. Encore une nuit que je vais passer dans la chaleur de mon appartement, la journée j'en ai profiter pour aller prendre quelques clichés à l'exterieur. Histoire d'immortalisé toute cette neige qui me fascinnait. Habillait de mon grand manteau noir, je pouvait entendre les choeurs chantaient dans certain magasin de Camden, les chants de Noël qui resonnait dans les hauts parleur de la ville. Alors que je passais devant Camden beach sous la neige je prenais quelques clichés grace à un vieu polaroïd un peu bricolé que mon père appellé courement le Dreamoscope, une façon utilise de pouvoir capter des lumieres qui n'existe pas, ce melange de couleur qui peut reveler le rêve des gens, quoi de mieu que la veille de Noël pour capturer le rêve des gens sur papier Brillant.

Je me suis prit en photo et j'aperçu un rouge plutôt vif sur la photo, j'eu un sourire bête. L'idée surement que cette couleur me faisait penser au lèvres de Delilah sous la fraicheur de l'Hiver je repense encore à notre dernièr rendez vous, depuis ce jour je passe la voir tout les jours à la librairie. Je lui vole quelques baisers pour me donner du courage, La troisieme semaine de Decembre avait signifiait pour moi les Partiels de mes étudiants, passait ma journée a surveiller de jeune adulescent boutonneux prêt a me convaincre qu'ils ont suivis mes cours et celui de mon remplacant. Cela dit j'en profita pour terminer mon article sur l'expedition en Egypte et mon rapport pour le Doyon. Cela dit Aujourd'hui c'était different, qui dit fin de partiels dit aussi correction pour ma part.

Noël généralement je rentrais au pays en compagnie d'Eira pour le fêter avec ma mère et la famille d'Eira. Mais cette année ce fut different, Eira est retourné en Afrique et ma mère n'étant plus de ce monde se sera le premier Noël seul pour ma part depuis 10 ans. Il fallait pas que je commence a deprimer cela ne servirait a rien. Je suis passer dans un petit restaurant que j'aimais fréquenté avant, il servait le meilleur potage au monde, passant par ailleurs par la nouvelle boutique qui venait d'ouvrir, le truc le plus extraordinaire au monde, un magasin de Céréales ! On pouvait trouver toutes sortes de céréales les plus fantaisistes au monde, C'était un de mes étudiants qui m'en avait parler je n'en croyait pas mes yeux, je me sentais dans la peau de Charlie dans la Chocolaterie. Un enfant aurait pu faire plus de bruit mais trop tard je suis plus rapide. J'ai hesité pendant deux heures sur le choix de mes céréales de Noël, j'ai opté pour des Luckys Charms Oh God ! Cela faisait des siècles que je n'en avais pas manger, pourquoi pas retomber en enfance ce soir. Après tout c'est la fête des enfants et j'ai toujours été cette enfants. Mais bon un enfants qui a une centaines de copies a corrigés.

Une fois rentrée chez moi, j'observais mon appartement, les boiseries fantaisiste. La verrières qui servait de plafond fut obstrué par la neige, les couleurs était chaude et douillette manquait simplement le feu de cheminer, diverses machine vintage était installer un peu partout entre les inventions de mon père et ceux que je trouve pour mon plaisir tel une machine de barbe à papa ou bien une fontaine en chocolat. Je savais au moins que je ne pourrais jamais manquer de faim. Bref malgré une vieille machine a cola qui ne fonctionne plus, mon salon devenait un musée des bizarreries mécanique. Même mon ancien coeur faisait office de coucou sur le mur malgré les aiguilles plié et le boitier cabosser je lui trouve encore un charme dingue.

La nuit vint a tombé sur Londres, sur les coups de 18 heures je me prépare pour ma soirée, préparant mon bol de Céréales et Big Joe mon verre, le genre de verre de vin que je ne presenterai jamais a Julian peur qu'il me traite de pedales et d'anti Ecossais tout ca parce que je bois du vin, le soucis j'ai vécu en France et j'y ai pris goût. Cela dit j'ai pris une bonne douche chaude pour me rechauffer de cette journée glaciaile, enfilant un bas de jogging de l'université d'Oxford, je me suis glisser devant mon canapé prêt à allumer ma platine pour m'ecouter un peu de musique. J'aimais ecouter les musiques en vinyl je trouvais ça nettement plus classes et puis ce son avait quelques de mystiques. J'avais reussit a trouver un vinyl d'un groupe qui chantait accapella et leurs version de Dance of the sugar plum fairy était juste magique pour mes oreilles. Je me posa dans mon canapé saisissant la premiere copie et mon stylo rouge. Celui qui effraie même le plus sage des enfants et je commencais a lire piochant dans mon bol et buvant quelques gorgées je dois bien avoué que ce n'étais pas le plus cool des mélanges mais bon on s'en fou s'est Noël je serais sans doutes pas le seul a faire une crise de foie se soir.

Dance of the sugar plum fairy

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La soirée était des plus calme n'empêche malgré les fous-rire que j'ai eu lors des corrections, de vrai petite perles en soit ! Habillé seulement de mon survêtement. Je ne supportais pas la sensation de porter un t-shirt alors que j'avais le corps humide après une douche. J'avais la sensation que sa colle et pui surtout une sensation de démangeaison qui se lient a mes cicatrices. Alors que je me suis reservit un nouveau verre de vin. J'aperçu mon téléphone réagir a un nouveau message, en saisissant l'appareil j'ai reconnu le nom du destinataire. Delilah m'annonçait qu'elle quitta son appartement pour rejoindre Camden, connaissant le chemin. Je savais bien qu'elle en aurait surement pour vingt minutes avec les intemperries et puis la circulation. J'avais le sourire rien qu'à l'idée qu'elle se rapprochait de moi, la sensation de passer une agréable soirée. Bien que la derniere c'était terminer. Un baiser et j'avais cette envie de "conclure" comme on dit. Elle m'enivrer de son parfum au point je me prenne pour un veritable homme et puis ses baisers qui devenait plus passioner me donna l'alerte que cela signifiait tant de choses. J'avais du mal a me concentrer sur mes partiels a corriger et puis je décide de sortir à nouveau un verre supplémentaire pour préparé son arriver, j'en profita alors pour finir quelques corrections.

Les minutes passèrent assez vite et je venais de finir un quart de mes corrections. C'est alors que j'ai entendu cognait à  la porte. Ce qui me fit un raté au niveau de mon coeur. Il battait à fier allure l'idée de la revoir me donna quelquesfrisson de plaisir. Une fois levé je m'approcha de la porte l'ouvrant quand je la vis. Je voyais son regard se portait sur moi elle pouvait apercevoir mon torse. C'était bien la premiere fois qu'elle pouvait me voir ainsi. Mon torse était muscler ni trop ni pas assez, je devais pratiquer une activité sportive fréquente pour faire travailler mon coeur. on pouvais apercevoir sur mon poitrail malgré la pilosité de base, des cicatrices de couleur rosé. L'un plus vif que les autres était situé verticalement au milieu de mon torse. Elle datait d'il y a plus de six mois quand ils ont changé mon pacemaker. Une autre se situa plus à gauche au niveau du coeur, elle contournait l'organe formant le pentagone d'une petite maison dans le style dessin d'enfant. Qui figurait être l'horloge qu'on m'a implanter enfant. Cela dit je fut attiré par la jeune femme ses cheveux qui glisser sur ses épaules et son manteau noir, elle avait des faux airs de Betty Boop. ses lèvres rouges ses yeux finement maquillé. Elle était très attirante dans cette tenue. Ses airs de Diablesse en manteau me manqua de me bruler en voulant me donner un baiser sur la joue me disant : « Je suis venue fêter ton anniversaire en avance.» J'eu un petit rire en l'ecoutant elle était là pour une bonne intention cela dit elle avait six heures d'avance, j'aperç même dans l'une de ses mains un paquet, elle avait penser au cadeau j'étais surpris je trouvais l'attention adorable. Je lui avoua: « Tu n'as juste que six heures d'avance, je pense faire une exception.» C'est alors je me suis reculer alors qu'elle me demanda: « J'espère que je ne te dérange pas trop » Je me suis mit a sourir en lui avouant: « Non ne t'en fais pas j'ai bien avancé... » Ile me resté certes une semaine encore pour finir mais je me suis dit qu'ne nuit blanche ou deux pourrait me permettre de tout terminer. c'est alors que je lui dit: « Mais je t'en pris rentre ! » Disais-je alors la laissant rentrer, refermant la porte derrière elle et puis je la ferma a clef histoire de ne pas être dérangé. Je l'attire alors vers moi, pour déposer ainsi mes lèvres sur les siennes un baiser tendre meler de passion. Le baiser dura quelques secondes quand je me detache legerement d'elle en lui disant: « Tu m'as manqué... » Lui avouais-je d'un sourire amusé.

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« Tu m'as manqué aussi... » Je sentais sa main se glisser sur mon visage, je fermer les yeux un instant aimant profondément ce contact je penchais doucement la tête sentant ses doigts se glisser sur ma machoire et doucement j'ouvris les yeux sentant ses doigts glisser sur mon torse parmis la pilosité et mes cicatrices. Je fus legerement surpris qu'elle ne me pose pas des questions au vue de sa curiosité maladive. Je lui avouerai tout surement par la suite même si l'envie était de découvrir les fameuses surprises qu'elle me reservais, alors que je tenais le paquet dans mes mains je me suis douter que c'était un livre, mais connaissant la jeune femme Robin avait du cracher le morceau sur un truc. mais quoi !   « J'aimerais que tu ouvres ton cadeau! » Je saisissa le paquet commence a retirer le papier, le coeur battant un peu plus se demandant alors ce que ça pouvait être, de ce que je pouvais voir la couverture était d'un bleu outremer. « Parce que j'ai une autre surprise pour toi juste après.... »Je me suis mis a sourire en entendant cela elle venait de piquer ma curiosité à vif, je lui avoua : « Hum... Qu'est ce que tu me reserves toi... » Disais-je d'un sourire malicieux en finissant de depouiller gracieusement le paquet cadeau et je vis alors le titre The Cat in the Hat... Le Chat Chapeauté, mes yeux se sont ouvert j'en revenais pas. C'était une magnifique edition, je l'ouvris pour regarder quelques illustration, elles semblaient être faites à la main, elle avait du couter cela une forturne: « Mon dieu... Delilah, c'est... J'en reviens pas il est magnifique... » Je la remercie d'un baiser sur les lèvres en lui susurrant juste après: « Je te remercie... » J'avais les yeux qui était encore sous le choc, je posa le livre sur la table et puis je l'entendais me dire: « Maintenant, j'aimerais que tu ouvres ton deuxième cadeau.... » Je me suis mis a rire, : « Je suis bien gâté moi ce soir... » Lui disais-je en souriant, c'est alors qu'elle s'approcha saisissant mes mains pour que j'aggripe son manteau, j'arqua un sourcil me demandant ce quel cachait sous ce manteau bien que je me posais cette question depuis qu'elle était sur le pas de la porte, je deboutonna son manteau doucement, ouvrant legerement le manteau apercevant le rouge de sa nuisette, je me suis mis a rougir sur le coup me mordant les lèvres alors que son manteau tombant a ses cheville, ce Pyjama était bien plus sexy et sa pose la rendait flamboyante: « Tu es vraiment... Ouah... » soupirais-je d'un sourire glissant ma main sur sa hanche la sensation de la soie sous mes doigts fut doux et delicat, je l'attire doucement contre moi :  « C'est un cadeau vraiment précieux que tu me fais là, j'ai déjà envie de m'amuser a essayer de te l'enlever. » Lui avouais-je alors que doucement je l'embrassais passionement descendant legerement mes baisers sur sa nuque sa peau était douce. je commençais a avoir chaud tout d'un coup, mon coeur s'accelera d'avantage. Mon excitation était presente, je ne voulais pas brusquer les choses même si j'en avais très envie. Je remonta doucement à son oreille: « Tu es sur de ne vouloir rien boire? » Lui susurrais-je avant de reprendre mon ascension sur sa nuque.

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Je dois dire que ce moment était vraiment délicieux, alors que je venais de faire renter Delilah dans ma grotte aux merveilles, ce n'était pas la déco qui l'interessait loin de l. Quand elle me tendit le premier paquet je me demandait bien ce que cela pouvait ˆetre. Dans un elan remplit de delicatesse pour eviter d'abimer le jolie papier cadeau. Je remarqua que ce n'était pas moins que le livre préféré de mon enfance, bien que ma litterature est changé depuis. De revoir ce livre dans un forum si peu original. Je prenais conscience de l'importance de ce cadeau, la jeune femme arrivait a faire battre mon coeur malade comme personne et la simple idée que cela aille plus loin entre nous m'emeut comme jamais. Quelques instant plus tard elle me parla de mon deuxieme cadeau. Tout en s'approchant de moi tel la belle ingénue qu'elle représentait je commencais vraiment a prendre conscience du deuxième cadeau quand elle se colla a moin. Les mains glissant sur son manteau, mes doigts étaient pret a tous pour apercevoir que serait-ce un centieme de sa chair dissimulé, les boutons s'envolèrent un à un quand je commençais a apercevoir le rouge carmin de son pyjama décidement la jeune femme avait un goˆut très prononcer en lingerie et bizarrement le rouge était plaisant. J'aimais beaucoup cette couleur =. La passion qu'elle degage et cette chaleur n'est autre que renversante. J'en profita alors pour continua mon ascension vers les forme de Delilah, de voir son manteau glisser sur sa peau de soie me mettait en émois. Alors que je l complientait sur son chooix vestimentaire, je me suis prit une envie soudaine de l'embrasser d'une passion démesuré j'avais envie d'elle je commençais a le ressentir. Je ne sais pas si c'est par rapport a la tenue ou bien a cette soirée. Tandis que je baisser au niveau de sa nuque je sentais ses mains descendre le long de mon dos et se poser sur mes fesses, un frisson me parcoura le long du corps comme si je fus electrisait par le simple faite de son contact. Je lui proposa alors a boire, mais sa reponse fut pas celle que j'aurais pensé: " J'ai envie de toi " J'eu un sourire amusé sur les lèvres en plongeant me regard dans le sien me detachant legerement d'elle et puis il fallait soit qu'on aille sur le canapé ou dans ma chambre. J'optais plus pour la chambre. Je lui prit la main essayant de me retenir de manger son pyjama comme une sucrerie. " Suis moi..." Disais-je en reculant vers un coin de la pièce qui mener vers un escalier en colimasson qui menait vers une  mezzanine, un etage ouvert sur le salon ou mon lit était entreposer parmis mes affaires. Alors que je la laissais passer en premiere dans l'escalier, je vis alors ses jambes, qui me fit renverser mentalement arriver dans la chambre plongé dans la penombre malgré un reflet de la lumière extérieur je me glissa dos a elle mes lèvres retrouvèrent son petit coin de paradis nicher contre sa nuque. et mes mains profitèrent alors pour découvrir une partie méconnu de mon esprit remontant doucement le long de sa cuisse relevant a peine sa nuisette effleurant sa peau de mes doigts. C'est alors que je la retourne face a moi glissant ma main sur sanuque je l'embrassa alors que mes mains partir a la conquˆete de ses épaules faisant doucement glisser les bretelles de sa nuisettes sentant alors le vˆetement prendre la fuite le lon de son corps pour rejoindre le sol.

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Nous étions encore dans le salon, je pouvais admirer ce jolie pjama qui fairait fantasmer le plus saint des hommes remarquerles ombres sur ce bout de tissue volage. Je m'en mordais la lèvre dù à l'excitation du moment, Alors que je l'accompagna jusqu'à l'escalier, nous montions tranquillement les marches. Etant derrière elle je pouvais remarquer les mouvement gracieux que prenait sa petite nuisette dans ses mouvement de bassin. Me laissant entrapercevoir un plaisir des yeux qui fut si bref que l'image  restera gravé dans ma mémoire. Un sous vêtement de couleur rouge. comme quoi elle ne faisait vraiment pas les choses a moitié. Quand je repensais a ce qu'elle me disait qu'elle était aussi doué dans les organisation que moi. Je ne pouvais que la croire. une fois qu'on ai atteint ma chambre, j'observais les lumières exterieur se refletait sur la peau de Delilah. Elle était aussi belle qu'une diablesse vêtue de Rouge. me laisser emprisonner dans ses serres accéré me plaisait bien. Je me suis faufilé derrière elle, glissant ma main volontairement sur sa cuisse effleurant sa peau remontant legerement sa nuisette. Je commençais a avoir chaud, cette sensation dans la bas ventre qui me faisait limiter sombrer dans la tentation de lui retirer ce vêtement superflu. Quand la nuisette rejoigna le sol, je pouvais entrapercevoir cette petite culotte rouge, qui semblait me frustrer de plus en plus. Je remonta observant sa poitrine, glissant doucement mes mains les descendant le long de ses épaules effleurant sa poitrine le contact me donna des frissons delicieux comme si elle gravait sur ma peau un message d'un autre monde que je pourrais voir jusqu'à la fin de ma vie.

Mais cela dit je fut d'autant plus surpris quand elle me poussa me jetant sur mon lit, les mains en arriere je prenais appuie sur mes bras. Observant la jeune femme prendre les devant un sourire au lèvres. Alors que mon Jogging se faisait la mal ! Elle avait prit le soins d'y aller doucement me faisant languir. Quand elle s'approcha pour m'embrasse je ne pouvais que repondre. Essayant de tenir la pose alors que mes mains se glissèrent sur ses hanches dénudés. Je l'aida a s'installer sur moi, se posant sur mon abdomen me faisant pencher la tête en arrière quand ses baisers se faufila long de ma machoire, de ma nuque remontant alors a mon oreille ou elle me susurra: « Fais moi voir les étoiles.... » me murmura t'elle, l'idée était fortement plaisante. « Et je t’emmènerai au septième ciel, mon bel aventurier... » J'eu un sourire alors que l'un de mes mains se faufilèrent sur sa nuque je l'embrassa la serrant un peu plus a moi tandis que je lui susurrais a l'oreille : « Je t'emmenerai danser au dela des nuages...» C'est a ce moment là que je la fis pivoter l'allongeant sur le dos me retrouvant entre ses cuisses a quelques centimetres de son visage, je la regardais un instant un sourire au lèvres Je l'embrassa fouguesement prenant le temps de descendre le long de sa nuque ses épaules, sa poitrine, son ventre alors que mes doigts dans un jeu malsain fit glisser le dernier bout de tissu de la jeune et je m'entrepris quelques instants plus tard dans un rodéo mecanique.