(✰) message posté Mer 26 Nov 2014 - 12:22 par Invité
T'as commencé à un peu trop penser ces derniers semaines, voilà ton problème. T'as commencé à te lâcher, à t'éloigner de toi même et c'est là qu'il y a problème. Toi rien ne te retiens, toi t'as rien à perdre sauf un handicapé des sentiments tel qu'est ton meilleur pote. Vous avez rien à perdre dans ce monde là, pas d'attache, pas de biens. Vous êtes que deux âmes qui crachent et qui se battent, qui tiennent sans trop savoir comment. Voilà se que vous êtes, voilà pourquoi personne vous blesse. Intouchable ? C'est bien l'impression de dur à cuir que tu donnes. Donnais ? Tu sais plus. T'en sais rien. T'as été battu. Juste une fois. Mais ça s'fait pas. Si t'étais en meilleur état, ces gars t'auraient vraiment eut ? Tu sais pas. Sans doute oui.Parce que tes bastons t'en a essuyé plus d'une. Ton visage le témoigne, tes cicatrices aussi. Pourtant ce soir c'est différent. Ces temps-ci plus rien ne va. Ta tête trop à l'envers, ton cœur trop de travers. Handicapé des sentiments, ça prend tout son sens. Un rail de cock', tu éloignes tous ces trucs de pensées.
Tu reviens. Encore. Trop souvent. Tu reviens sur tes pas. Tu reviens vers lui. Tu reviens vers c'te connard qui te prend trop aux tripes. Tu reviens c'est le pire. Bien le pire oui. T'es là accroché à cet handicapé, et ce gars que t'as trop souvent insulté, tapé, brisé. Tu t'fais vomir. Tu t'fais peur surtout. Parce que tu veux pas de tout ça. Mais que ce soir dans ta tête ça dérappe, ça défaille, tu divagues. De trop. Comme toujours, tu fais pas à moitié tes écarts. Et tu es là, et lui il pardonne tout. Encore. Tu l'détestes pour ça. T'accepter. Toi même tu peux pas te blairer, et lui il est là à... à quoi ? T'apprécier ? Foutaise, personne peut faire ça, tu sais pas !
Et pourtant dans ta tête t'as beau avoir tant d'animosité, dans les faits c'est toujours pareil. Il gagne ce crevard, sans le savoir. Sans trop vraiment le vouloir. Et tu te retrouves sur lui, et tu te retrouves contre lui. Comme souvent. Où comme jamais. Tu sais pas la différence entre ces derniers temps et avant. Tu sais plus quoi penser. Alors tu l'embrasses, pour arrêter de penser. Et pour satisfaire ce manque de ça. De lui. Connerie, tu voudrais bien ne pas l'ressentir. Et t'es là contre ses lèvres savourant le contact de sa langue, la sensation de ses lèvres, appréciant son souffle trop brûlant contre tes lèvres trop abimées. Il t'éloigne, toi tu pestes. Rien de nouveau là dessus encore plus quand il veut que tu t'allonges. Il croit quoi sérieux ? Pourtant ses lèvres te font, contre ton gré, obtempérer. Il est doué ce connard ! … J’te fais pas mal … ? Tu serres les dents à sa question, t'aimes pas sa manière de s'en faire pour toi. T'es pas un p*tain de môme qu'on doit prendre en pitié, dont on doit se soucier. Pas habitué. Tu tires sur son tee-shirt tu le vires de sa peau. Ta gueule... on s'en fout.. Tu grognes contre sa peau. Et c'est vrai, tu t'en fous. De ta douleur, de ta tête, de ton estomac qui se crispe trop contre lui. Tu te fous de tout en sa présence. Tu veux juste lui. Son corps pour le moment. Et après... après tu veux des trucs que toi même tu comprends pas. Vires ton jean ! C'est entre ordre et amusement, drôle de mélange d'un truc que tu veux pas capter. Tu mors sa lèvre. Tu l'veux lui. Oublier que t'as trop mal, et qu'il te fout au plus bas dans tes principes et tes lois. Tes doigts griffent un peu son dos, tu restes allongé, tu l'laisses au dessus de toi. T'aimes pas ça, mais tu dis rien.
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(✰) message posté Mer 3 Déc 2014 - 5:07 par Invité
T’es là. Au dessus de lui. A l’embrasser trop langoureusement. Tu sens la coupure sur sa lèvre. Mais tu t’en fous. Tu t’en fous parce que t’aimes ses lèvres. Bordel, c’est dingue comme tu les aimes. Même avec le goût du sang, t’arrives à retrouver son goût à lui.
Tu frissonnes doucement en sentant ses doigts sur ton ventre lorsqu’il vire ton tee-shirt. Tu sais même pas pourquoi tu te laisses faire. Il est pas vraiment en état de faire quoi que ce soit. Tu devrais le repousser. Lui dire d’arrêter. Que c’est pas le moment pour ça. Mais t’en as envie toi aussi. De lui. D’entendre ses gémissements graves. De sentir la dureté de son corps. De le sentir en toi. T’es qu’un putain de junkie. C’est effrayant.
« Ta gueule... on s'en fout. » Il est grave. Tu l’sens qu’il a mal. Tu l’sais. Pourtant il continue. Il vient t’embrasser un peu plus fougueusement. Alors tu te laisses aller. Là. Entre ses bras. Tu souris un peu contre ses lèvres en sentant son excitation contre tes fesses. Ce mec est un idiot fini. Un idiot fini foutrement attirant. « Vires ton jean ! » Tu souris contre ses lèvres alors que tes hanches bougent langoureusement contre son bassin. C’est même pas volontaire. C’est juste ton corps qui le veut. Il vient mordre ta lèvre et ça te fait grogner un peu. Tu te redresses, te détachant de lui afin d’ouvrir ton pantalon. T’as chaud. Trop chaud. Tu te lèves sur ton lit, le gardant entre tes jambes. T’as le cœur qui bat fort. Drogué à son corps que t’as pas eu depuis trop longtemps. Un peu maladroitement, tu vires ton jean, le balançant quelque part dans la chambre avant de revenir sur lui. Revenir gouter à ses lèvres. Et tu l’embrasses encore chaudement lorsque ses ongles viennent s’ancrer dans ta peau, t’arrachant un petit couinement tandis que tu te cambres sous la chaleur qui se diffuse en toi. Faiblement, et avec cette voix bourrée de désir, tu viens souffler à son oreille « … connard … » avant de faire glisser ta langue tout doucement sur son cou, jouant juste un instant avec tes dents sur sa peau fragile. Puis finalement, tu te redresses un peu pour qu’il puisse de voir. « … Tu comptes faire comment maintenant p’tit malin … ? » Tu viens donner un petit coup de langue sur ses lèvres avant de te redresser. « Mmh ? » Tu te recules un peu afin de pouvoir passer la main sur son membre tendu, enfermé dans son jean. « … Tu peux pas bouger tes hanches j’te signale … » Tu l’caresses à travers ses vêtements, suivant la dureté de son membre. Puis finalement, tu viens ouvrir son jean. Puis le descendre. T’essaies de faire attention. T’as le cœur qui bat vite, parce que tu sais ce que tu vas faire. Un truc que t’as jamais fais avec lui. Parce que ça a toujours été que lui te baisant. Juste ça. Doucement, tu viens retirer son boxer afin de le libérer. Tu sais pas bien s’il a compris. S’il sait ce que tu comptes faire. Ta main vient capturer son membre. Tu dis rien. Tu fermes les yeux, le caressant un instant avant te pencher pour le gouter. Et ça s’agite dans ton corps lorsque ta langue vient découvrir son membre. Ca s’agite dans ton cœur, dans ta tête. Puis ailleurs aussi.
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(✰) message posté Ven 5 Déc 2014 - 23:03 par Invité
T'as plus mal. Ou si peu. Ou plus du tout. Ton cerveau embrumé entre cocaïne et désir tu ne sais plus le vrai du faux, tu ne sais plus de mal et du beau. Tu ne sais plus ce que tu veux choisir. Ou plutôt c'est clair. Tu le veux lui. Lui, son corps, ses lèvres, sa langue. T'es pas logique tu cherches pas à résonner. Tu cherches juste son contact. Et plus il bouge, plus il t'embrasse plus tu le veux. Lui. Bordel. C'est Bagdad dans ta tête mais tu fais taire ces dizaines de voix aux airs de démons parfaits. Non tu n'en veux pas. Ce soir tu peux pas. T'en peux plus.
Il se lève alors que tu le suis du regard, tu le bouffes des yeux trop de cocaïne en toi, et trop d'envie. T'es content qu'il ne puisse pas te voir. Vraiment. Il aurait trop de pouvoir sur toi. Il en a déjà assez, bien assez. Tu souries presque en le voyant enlever son jean au-dessus de toi, il est là avec son sourire que tu n'expliques pas. Il est là avec son jean qui descend et son début d'érection tu ris presque, et ça te fait pas mal au poumon. Merci poudre blanche reniflée. Il revient à toi. Tu reprends ses lèvres, son corps, tu le veux. Et autant sa manière de se cambrer te plait autant sa manière te parler t'excite encore plus. ... connard ... Tu as presque envie de rire, à sa manière de le dire, de le ressentir. Tu as envie de beaucoup trop face à lui. Tu sais plus quoi faire, mais ce soir c'est déjà tout tracé. Ses dents te font râler, t'aimes pas la manière dont il te fait bander, sa manière d'être trop... tu sais pas. ... Tu comptes faire comment maintenant p'tit malin ... ? Hein ? Tu fronces les sourcils sans comprendre. Sans capter, il est là à fixer plus ou moins ton visage... Mmh ? Pas de réponse à fournir, sa main resserrée sur ton membre te suffit à te réduire à un quasi silence te cambrant juste d'envie. De plus. T'aimes pas sa manière de prendre les choses en mains. Tes doigts restent dans son dos alors que t'as pas tellement envie de parler. ... Tu peux pas bouger tes hanches j'te signale ... Oh. Ça. Non... Tu veux bien oublier la douleur pour ça, puis au pire il a qu'à bouger tout seul. Tant qu'il s'imagine pas un seul instant échanger les rôles tu t'en fous.
Oh oui tu t'en fous quand il agit comme ça. Quand ses doigts passent et repassent au-dessus de ton jean avec provocation. T'as chaud, trop chaud. T'es là sous ses gestes , trop et pas assez. Jusqu'à ce qu'il passe sous le tissu, jusqu'à ce que la fraîcheur de ses doigts viennent prendre en main ton membre brûlant et gonflé d'envie. Il te tire un grognement de plaisir. Et toi tu es là à rien faire pour la première fois, à le laisser descendre ton jean sans te plaindre. Sans trop imaginer. Sans trop voir la suite arriver, ni même y songer. Tu le laisses virer ton boxer, tu t'en fous quoi, tu captes pas. Tu captes pas et tu devrais pourtant. Ou pas. Et tu le comprends que ton tard... Hé tu.. "fous quoi bordel ?!" ça se perd entre ton estomac qui se retourne, ta gorge qui te serre et ta tête qui explose. Tu te cambres, tu gémis. Ce crevard te tire un gémissement d'envie, de satisfaction, de choque ou de dégout, de plaisir, de... de lui bordel. Tout simplement. Sa langue t'électrise autant que sa main autour de ton membre qui est d'autant plus excité. T'as presque mal tant ce mec te fait effet, t'as mal au crâne de le laisser tant s'incruster, en toi, pas entre tes cuisses mais dans ta poitrine. T'as mal de le vouloir lui, de le laisser faire ça, de pas le repousser. Et tes doigts se serrent sur ses cheveux sans l'arrêter, sans protester. Juste... bordel, tu sais pas quoi faire hormis kiffer ça. Et c'est flippant. C'est grisant. Mais tu dis rien. Il te réduit lui au silence.
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(✰) message posté Dim 7 Déc 2014 - 7:23 par Invité
Sa voix te retourne l’estomac. Sa façon de grogner sous le plaisir. Ca t’excite à en crever. Il t’excite à en crever. Tu sais même pas comment il fait. Pour te faire ressentir ça simplement avec sa voix. C’est dingue. Complètement dingue. Tu t’mords un instant la lèvre. T’as envie de plus. Plus que d’habitude. Ou plutôt de différent. T’as envie de le sentir. De le gouter. De jouer sur ces sens qui te restent. Alors doucement, tu viens passer ta langue le long de son membre. Lentement. Très lentement. Tu te contentes de gouter. De tester ses réactions. Et ça te fait sourire quand tu l’entends gémir. Quand tu le sens se cambrer sous ta caresse. Ca t’excite un peu plus. Tu bandes. Là, coincé dans ton boxer un peu trop à l’étroit. Tu souris, le cœur battant. Puis de nouveau, ta langue vient s’aventurer sur ton membre. Sur sa peau brulante au gout un peu salé. Ca t’fait frissonner doucement malgré toi. Parce que t’aimes ça. T’aimes son gout. T’aimes le sentir vibrer contre ta langue. Tu joues un peu. Doucement d’abord. Pour ne pas le brusquer. Parce que t’as appris à commencer lentement avant d’augmenter la cadence au fur et à mesure. Ta langue s’aventure un peu partout, cherchant ses réactions. Suivant son souffle pour connaître ses points faibles. Pour savoir ce qu’il préfère. Puis finalement, tes lèvres viennent la rejoindre. Cette fois ci, tu le prends dans ta bouche. Tu le fais glisser progressivement dans ta bouche, continuant de jouer avec ta langue sur le bout de son membre.
Sa main serre tes cheveux. Un peu fort parfois. Mais tu t’en fou. Quelque part, tu trouves ça mignon. Cette façon de vouloir s’imposer. Son incapacité à te laisser prendre entièrement les choses en mains. Sa peur de se faire dominer. Mais malgré tout ce qu’il peut croire. Cette fois, c’est toi qui mènes la danse. C’est toi qui décides. Un sourire s’affiche sur tes lèvres tandis que ton souffle se fait court. Trop excité par son odeur de male plein de désir. Par la dureté de son membre qui va et vient entre tes lèvres. Ton souffle chaud se perd contre le bout de son membre et tu l’sens frissonner. Alors tu te recules. Juste un peu. Juste pour jouer. Tu souffles doucement sur son membre tendu. Puis malicieusement, tu approches son bout de ta langue avant de reculer au dernier moment, jouant volontairement avec son désir. Il grogne. Tu la sens cette frustration. Tu la sens dans ses muscles tendus.
Puis doucement, tu finis par lâcher doucement, avec cette voix pleine de désir « … dis moi que t’en as envie … » Tu veux l’entendre. Entendre sa voix. L’entendre dire qu’il crève d’envie que tu le suces. Doucement, tu viens attraper la main encore agrippée à tes cheveux avant de porter ses doigts à ta bouche. « …mmh… ». Tu bandes tellement dans ton boxer que ça en devient douloureux.
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(✰) message posté Jeu 11 Déc 2014 - 22:39 par Invité
Si tu prenais deux minutes, si tu arrivais à te stopper et te couper un instant de c trop plein de pensées... tu sais pas ce qui en ressortirait. La vérité c'est pas que t'es paumé. Non c'est que tu te reconnais plus, que t'es plus le gars que tu voyais dans l'reflet du miroir. Même gueule de délinquant, même regard avide de violence, et pourtant plus pareil. Plus le même. Plus du tout. Trop différent... Trop loin. En bien ? Pas sûr. Pas sur du tout de réussir à évoluer en quoi que ce soit. Tu te perds c'est tout. Et t'es pas paumé pour ça, t'es juste paumé de plus te retrouver. D'puis quand t'es devenu cet étranger. Lys' peut-il encore vraiment t'approcher ? Ça t'crèves le coeur, l'esprit. Et ce crevard t'éloigne du seul mec qui t'a jamais aimé. D'la seule personne qui t'a accepté, soutenue, fait vivre toutes ces années. Tu l'sais ça. Pourtant t'es là, contre lui, sous lui, et tu l'laisses faire. T'es perdu Dim', bordel, tu t'es perdu. La seconde même où tu l'as chopé dans les vestiaires du lycée. Tu l'savais pas, tu pensais jouer, au plus fort, avec tes règles, mais la vérité... c'est que t'avais déjà perdu.
Pauvre fou. Et tu sombres toujours plus, comme maintenant. Comme sa manière de te laisser là sur ce lit à trop désirer son corps, ses lèvres, encore. Vous avez jamais vraiment été branché préliminaires. Rectification. Tu n'as jamais été branché préliminaires, surtout avec lui. Tu le retournais et c'était tout. Pas la peine de même imaginer te demander si t'as déjà fait ça toi même. Tu changerais vite d'humeur. Et pourtant lui il est là, plus bas sur ce lit, ses lèvres et sa bouche se refermant autour de ton corps en ébullition. Enfin de cette partie là. Et tu sais pas trop si c'est parce qu'il est doué ou juste parce que c'est lui, mais c'est bien mieux que n'importe qui. Et tu sais pas ce que tu préfères, qu'il soit doué... ou que ça soit lui. Peu importe la coke et la douleur anesthésient tes pensées, seul le plaisir l'emporte dans cette spirale insensée... Ses lèvres te quittant dans un goût de frustration tu baisses le regard sur lui. Une partie de ton cerveau aime pas cette image. De toi, sous lui, à sa merci. Une seule partie, parce que l'autre semble totalement d'accord à te le faire oublier. Et tu en veux plus... … dis moi que t’en as envie … Sa confiance en lui t'insupporte, t'aimes pas être dans cette position. Il en connait trop. Il t'agace tu grinces des dents. J'peux t'retourner et m'satisfaire moi même... Tu répliques avec ta voix jamais contente, ta voix trop grinçante et pourtant trop rauque de plaisir et d'envie. Tu t'en fous t'aimes pas qu'il soit aussi... lui. Mais tu l'vois faire, tu le laisses faire. Tu le sens faire. Bordel. Sa bouche autour de tes doigts manque de te tuer. Tu te redresses légèrement sur le coup entre envie et douleur dans l'bas des reins. Crevard. P'tain Vic !! .... ça va... c'est bon... Tu pourrais l'tuer. Enfin tu voudrais. Pouvoir le vouloir, pouvoir en avoir vraiment envie. T'es en incapable. Tu serres les dents de devoir le dire... même seul face à lui ta fierté semble trop présente. J'en... ai envie.. vas-y continues .. Tu répliques entre énervement de le reconnaitre, de lui dire de te plier à ses envies... Trop de choses alors que tu écartes ta main de sa bouche laissant ta tête retomber en arrière. Crevard t'en as autant envie qu'moi vu s'que t'as dans ton calbute... Tu murmures sans en penser un seul mot du premier mot. A ton grand damne.
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(✰) message posté Sam 13 Déc 2014 - 1:12 par Invité
C’est fou comme t’aimes jouer avec lui. Le sentir te désirer. Ca t’rend barge. Plus que n’importe qui d’autres. Peut être parce qu’il est pas comme les autres. Qu’il est plus. Qu’il est différent. Non. Tu préfères ne pas penser à ça. « J'peux t'retourner et m'satisfaire moi même... » T’esquisses un sourire. Ouais, il pourrait. Tu sais bien que malgré ses paroles, il pourrait. Mais il le fera pas. Parce que là, c’est quelque chose de nouveau. D’excitant. Puis tu dis rien. Tu te contentes d’agir. De le chauffer. Un peu plus. Toujours plus. Et ton bas ventre s’agite lorsque tu le sens réagir. « P'tain Vic !! .... ça va... c'est bon... J'en... ai envie.. vas-y continues .. » C’est sa voix qui te rend barge. Sa façon de se tendre. De contracter ses muscles sous le plaisir. Tu souris avant de t’approcher de nouveau de son membre. Tu donnes un léger coup de langue sur son bout avant de rire à sa remarque. « Crevard t'en as autant envie qu'moi vu s'que t'as dans ton calbute... » Ouais. T’en as autant envie. Parce que, bordel de merde, ce mec est bandant. Tu dis rien. Un sourire aux lèvres, tu te contentes de répondre avec tes gestes. Tu te contentes de le prendre dans ta bouche. Une nouvelle fois. Et tes mouvements s’accélèrent rapidement. Se font plus profond. Ses gémissements t’encouragent à aller plus loin. Toujours plus loin. Tu voudrais le faire crier de plaisir. Tes mains viennent caresser ses cuisses tandis que ses mains à lui viennent s’égarer dans tes cheveux. Et il te les tire, t’arrachant un grognement mais ne faisant finalement qu’accentuer ton désir. Et tu griffes ses cuisses sans cesser tes vas et vient. Vous êtes bizarres. Foutrement étranges. Tu sais pas bien d’où ça vient. Cette violence entre vous. Même là. Même quand c’est différent. Mais putain, c’est bandant.
Tu l’fais sortir de ta bouche un instant, le cœur battant. Il est dur. Tellement dur. Tu t’mords la lèvre, une idée en tête. Tu vas faire un truc que t’as jamais fait. Mais tu sais qu’il aimera. Parce qu’ils aiment ça les mecs. Tu l’sais bien. Alors, presque lentement, tu le fais glisser dans ta gorge. Tu le prends entièrement dans ta bouche. C’est une sensation étrange. Une sensation d’étouffement. Mais entendre son cri de plaisir vaut tout le reste. Tu l’sens vibrer dans ta bouche. Tu sens son plaisir monter, prêt à éclater. Sa main brulante sur ta nuque te quémande de rester encore un peu. Juste encore un peu. Tu te contentes de glisser ta main sur son ventre tout doucement. Sans vraiment bouger. Le gardant au plus profond de toi. Puis finalement, tu te retires doucement, frissonnant malgré toi. Et tu sens ses frissons à lui aussi.
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(✰) message posté Sam 13 Déc 2014 - 2:39 par Invité
Tu sais pas communiquer. Ou vous ne savez pas vous parlez ?! Aucune idée mais c'est un fait avéré. Tu n'arrives pas à te défaire de cet égo qui te forge et te colle à la peau, de cette arrogance et ce mépris des autres qui t'empêchent pas que de parler mais aussi de penser. Et là t'es presque incapable de même reconnaître combien ce mec est... pas comme les autres ? Unique ? Impossible ? Ou tout ça à la fois ? ... Non même ça t'arrives pas à bien le penser, correctement le formuler. Même sans rien prononcer.
Et lui il ne fait que profiter. De ça, de son rang de supériorité. C'soir t'aurais pas du débarquer, t'aurais pas du flancher. T'es là incapable de trop penser. Entre corps endoloris, cerveau endormit et plaisir beaucoup trop présent... Il est là avec ses rires, sa manière d'être, ses yeux qui ne voient rien et qui pourtant te fascinent presque autant. Il rit et toi bordel tu as envie de le frapper, de le claquer, d'le retourner surtout pour lui montrer que t'es pas à sa p*tain de merci. Oui tu en as envie. Jusqu'à se que sa langue se repose sur ton membre gonflé par l'envie, et là sérieusement tu sais que ce connard gagne là dessus. Et il referme de nouveau sa bouche autour de toi, et tu sens sa langue, et ses mouvements, et son souffle... Bordel. Tu te crispes malgré toi sur ses cheveux, tu pourrais t'en prendre aux draps mais tu n'arrives pas à penser correctement. Seule sa bouche et ses va et vient te font tenir. Repliant une de tes jambes endolorie sous l'assaut du plaisir tu arrives pas à savoir si tu veux qu'il arrête pour ce plaisir et cette douleur qui font que monter ou s'il doit en finir, continuer pour mieux.
Tu grognes légèrement en sentant ses ongles s'incruster dans ta peau, tu te cambres. Tu veux plus. Tu sais pas. T'es pas habitué à pas contrôler ton plaisir, à contrôler ni le rythme ni les gestes. Et il s'écarte un instant, un instant pour reprendre ton souffle. Un bref instant seulement. Si tu savais... Et il te reprend en bouche alors que là... là... tu sais pas si c'est la coke ou lui. Peut-être les deux. Où juste lui. Sans doute son geste et la pression qui fait effet sur ton membre en lui. Il déglutit et tu manques d'en perdre la raison alors que tu te rends pas compte que c'est toi qui le retient cette fois de s'éloigner. Tu t'es même pas rendu compte sur le coup de ce râle de plaisir beaucoup trop audible. Et quand tu t'en rend compte tu y penses pas parce que tu le sens reculer sa bouche pour te libérer. Très bon choix de mot, alors que le contact de sa langue quand il s'éloigne finit par avoir raison de toi sur ça. Tu serres les dents en te cambrant alors qu’insciemment t'attrapes d'une main la sienne qui était sur ton ventre. Et ton autre main écarte un peu plus sa bouche de ton membre alors que t'as cette putain de réaction de pas vouloir forcément lui jouir en pleine gueule. Pourtant combien de fois tu l'as fais à des filles en te foutant de leur avis. Mais non... là tu peux pas. Et si ton cerveau était pas envahit par cette vague de plaisir trop intense tu remarquerais que c'est lui qui diffère. Mais non, tu peux pas alors que tu te libères de cette pression par ce plaisir, entre soupire et râle de plaisir t'as du mal à savoir. Et bordel tu pensais pas qu'il t'en fallait si peu pour cela !!
Et tu inspires tes poumons manquant cruellement d'air et ton cerveau trop abrutit par le plaisir et l'absence d'oxygène. Tu frissonnes, de ce qu'il vient de faire, de ce que tu as laissé arriver. De ça. T'es un p*tain de.... Tu finis pas ta phrase... Tu sais même pas si le but était une insulte ou pas... t'es juste.... Bordel. Et t'as vraiment plus mal nul part sur le coup alors que tes doigts restent sur les siens sur ton ventre moite par l'effet que ce mec te fait. Bordel.
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(✰) message posté Sam 13 Déc 2014 - 23:00 par Invité
Qu’est ce que tu voudrais pouvoir le voir à cet instant. Voir sa gueule quand il jouit. Pouvoir observer son visage. Puis son regard. Tu fermes les yeux un instant, tentant d’imaginer. T’arrives à visualiser son visage. C’est facile ça. Dmitri, tu l’connais depuis tellement longtemps en fait. Depuis tes douze ans peut être. Quelque chose comme ça. Alors voir son visage, c’est pas si dur. Puis, quelque part, peut être qu’il t’a plus marqué que les autres. Lui et sa gueule de délinquant. Quant au reste, c’est surtout de l’imagination. Parce qu’au final, tu l’as jamais vu jouir. C’est con, mais t’as toujours été de dos. A l’entendre sans le voir. Un peu comme maintenant finalement.
Tu te laisses faire lorsqu’il te fait reculer un peu et ça te fait sourire de comprendre pourquoi il fait ça. Etrangement, ça lui ressemble pas. Mais ça ressemble à de l’attention. Et quelque part, ça t’fait plaisir. De savoir qu’il t’accorde un peu d’attention. Un peu comme si votre relation évoluait doucement. Et ça te fait sourire légèrement. Sa main vient attraper la tienne et tu sens brusquement ton cœur se tordre. Tu t’y attendais pas à ça. Puis merde, comment ça peut t’faire autant plaisir qu’il te prenne simplement la main ? T’es sacrément tordu. Carrément pas normal. Pourtant tu bouges pas. Tu la laisses sur son ventre et t’apprécie la chaleur de sa main recouvrant la tienne. Tu laisses ton cœur battre un peu fort.
« T'es un p*tain de.... » Tu réponds rien. Et dans un sourire, tu te redresses juste pour venir l’embrasser sans détacher ta main de la sienne. « Toi aussi… » Tu lui mords doucement sa lèvre tandis que tu bouges ta main, entrainant la sienne avec toi. Et doucement, tu viens mêler tes doigts aux siens. Tu réfléchis par vraiment. Ca se fait, c’est tout. Juste comme ça. Naturellement. Et t’es là. A l’embrasser. Vos mains entremêlés. Et une putain d’érection comprimé dans ton boxer. T’as envie de lui. Tellement envie de lui. Doucement, tu te détaches de lui pour souffler contre ses lèvres « … t’as pas mal ? » Ton autre main vient se glisser sur le haut de son torse. Tu sais pas bien si tu devrais juste t’allonger près de lui ou si tu peux rester là. Au dessus de lui. A l’embrasser. Pour une fois, il va pas se barrer après le sexe. Et tu vas pas t’barrer non plus. Et c’est un peu étrange.
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(✰) message posté Sam 13 Déc 2014 - 23:26 par Invité
Tu sais pas comment ça a pu se passer. T'arrives pas. Ces centimètres qui deviennent invisibles quand tu l'approches. Ce besoin de son corps autant que de sa présence. Plus de deux semaines que tu vas plus en cours, douce descente en enfer que de revivre nuit après nuit la dernière que t'as passé avec lui. Vous avez pas baisé. Tellement longtemps que tu l'as pas sentit, que t'as pas été en lui. Putain de manque incontrôlable. Et t'es là à moitié défiguré, à moitié à terre par une baston mal équilibrée... et t'es là contre lui, sous lui. Avec lui. Bordel. Dmitri tu sais plus où t'en es. Tu le fuyais et t'ignores à quel moment ton chemin a bifurqué en t'amenant droit dans le mur.
Il bouge et tu retrouves le contact de sa bouche avec un plaisir que t'arrives toujours aussi bien à dissimuler à son égard. Toi aussi… Tu souries, presque un rire à sa réponse qui ne veut rien dire. Ou alors... un peu trop peut-être ? Serait-ce de tout dire que cela et qu'il a comprit que t'es... à moitié taré ? Aucune idée. Il reste là au dessus de toi, il reste là et tu dis rien. Tu l'laisses faire comme un sombre camé trop accro. Mais ses doigts glissant entre les tient ne doivent leur place qu'à ses lèvres revenants à l'assaut des tiennes. Et tu te perds contre sa bouche, contre sa langue et t'en oublie vos mains entremêlées... Il est doué, tu l'sais pas à quel point chaque petits trucs qu'il gagne est un pas de plus pour toi vers ce précipice.
Et tu le sens. Enfin tu la sens, son envie, contre toi, son corps trop collé au tient pour te faire l'oublier. … t’as pas mal ? Tu lèves les yeux au ciel ton visage montrant à quel point c'est pas la fin du monde. Même s'il le voit pas. Même s'il ne peut pas. T'es comme ça. Sa manière de te le demander d'emmerde, son visage aussi. Et pourtant bordel t'as toujours autant envie de lui. D'un coup de bassin tu l'fais basculer sous toi en roulant sur le côté, dans une putain de douleur sourde que tu ignores. Tu colles ton bassin au sien avec un sourire qu'il ne voit pas. J'sens rien. Foutaises. Tu reviens l'embrasser avec une nouvelle envie, te foutant de ta lèvre endolorie, de ta tête qui cogne ou du reste. Tu pourrais le laisser là avec sa stupide érection, le laisser se démerder... Tu pourrais faire d'autres trucs mais il peut rêver pour que tu te baisses pour lui rendre la pareil. T'es pas pédé... Cette phrase dans ta tête est amère et tu ne veux pas y penser. Et heureusement pour lui t'es rarement rassasié, surtout après autant de temps privé de son corps. Tes ongles glissant sur ses hanches en y laissant ta trace tu laisses ta bouche et tes dents glisser dans son cou, sur sa peau trop blanche qui marque beaucoup trop vite... mais à ton grand plaisir, d'y laisser ta signature. T'inquiètes, j'ai pas assez mal pour me priver ! Pas sur de toi si tu vas pas morfler, mais pour son cul... tu t'es déjà beaucoup trop damné.
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(✰) message posté Dim 14 Déc 2014 - 0:26 par Invité
T’attends sa réponse toi. Les yeux ouverts sur le vide. Tu sers un peu sa main, comme si t’avais peur qu’il te jette. Comme souvent. Comme toujours. Mais non. Cette fois ci, il fait rien. Il laisse sa main contre la tienne. Et c’est tellement bon. Tellement con aussi. Puis brusquement, il se détache. Il se détache pour te faire rouler sur le coté, pour venir te dominer. Et il vient se coller contre toi. Se coller contre ton bassin. Et toi tu t’cambres un peu. Juste un peu. Pour le sentir contre toi. Plus fort. « J'sens rien. » T’entends le sourire dans sa voix. C’est fou ça d’ailleurs. De pouvoir entendre un sourire. Tu sais pas vraiment comment ça se fait. Mais parfois, tu sais qu’il sourit en l’entendant. C’est beau quelque part. D’entendre un sourire.
Il vient t’embrasser. Fougueusement. Et tu réponds avec ce désir au creux des reins, glissant ta main sur sa nuque pour l’attirer un peu plus contre toi. Et ton autre main glisse sous son haut qui entrave tes caresses. Ca te fait grogner un peu. Alors tu commences à l’détacher, trop impatient. T’es un peu lent. Un peu maladroit. Probablement trop occupé à se perdre contre ses lèvres. Finalement, tu vires sa chemise, la balançant quelque part dans la chambre. Un gémissement s’échappe de tes lèvres lorsqu’il vient griffer tes hanches. Et tu t’cambres sous la douleur excitante. « awh… » Ton bassin vient jouer avec celui de ton amant, le provoquant malicieusement. Bordel, ce mec te rend complètement barge. Et ses dents qui s’égarent dans ton cou, y laissant leur marque, ne font qu’accentuer le reste. « T'inquiètes, j'ai pas assez mal pour me priver ! » Tu souris comme un con avant de venir capturer de nouveau ses lèvres avec fougue. « Mh… Prends moi… J’ai tellement envie d’toi… » T’attends que ça. Qu’il te prenne. Fort. Qu’il te fasse jouir à en crever. T’as jamais ressenti autant de plaisir avec quelqu’un d’autre. Avec lui, c’est tellement fort. Tellement plus fort. Tu pourrais crever entre ses bras, rien que pour ses coups de reins. Doucement, tes lèvres viennent s’égarer contre son oreille. Tu mordilles son lobe un instant avant de lâcher, la voix bourrée de désir « … tu m’rends barge dmitri … » Ta main vient s’égarer entre les jambes de ton amant avec pour idée de l’exciter de nouveau. Et un sourire s’affiche sur ton visage lorsque tu réalises que, finalement, il n’a pas vraiment besoin d’aide. Qu’il est déjà bien excité. Tu t’mords la lèvre, fière de provoquer cet effet chez lui. Puis malicieusement, tu viens donner un coup de langue sur ses lèvres.