i found you miss soufflet ! w/ Delilah

La journée se passait plutôt bien, être professeur avait du bon. Quoi que quand un de tes élèves vient se plaindre d'une mauvaise note, tu n'as qu'une envie c'est de jouer aux flechettes avec des raviolis chinois. Cela dit j'étais assez préssé comme une envie fulgurante de partir, je partais dans une quinzaine de jour en Egypte pour une fouille archéologique ou j'en était le responsable. J'avais travaillé un mois non stop pour préparer cela au point d'en perdre toute sociabilité que j'avais acquéris depuis mon retour à Londres il y a six ans. Je venais de quitter l'université, mon sac en bandouillère et habiller d'un jeans et d'un polo et portant mon trash vert kaki. Je traversait les rues de Londres. J'avais dans l'espoir de conquerir le monde comme si une musique electronique me brouillait la tête un genre de Britney Spears sous cocaïne. Le genre de musique qui pourrait faire courir un handicapé. Cela faisait longtemps que je n'étais pas aller voir Robin, je tente de l'apeller mais pas de réponses. Bon tant pis, je me balade encore plus, passant devant cette petite librairie que j'aime tant. Je rentre tentant de pousser la porte, les étalages m'apellait tel des bonbons pour un enfant, je vis le responsable à la caisse. Je m'attendais à la voir. Il y a de ce genre de personne que tu ne connais pas, mais de la voir te redonne le sourire, c'est le cas pour elle. Son visage arrondis, ses yeux pourfendeur de brouillard. Ce sourire qu'elle me faisait a chaque fois que je franchissais la porte. Bon je ne me voile pas la face, ca peut etre tout aussi bien une demarche marketing. Mais cela dit, elle avait les atouts dans sa manche, je navigua dans les rayons sans nul besoin de gps, j'étais trop habitué. Cette librairie était sur le chemin de Camden et je m'y arretais souvent, je passais devant les nouveaux ouvrages, glissant vers les comics et continuant vers les grand ouvrages. Je chercha un auteur que j'affectionnais beaucoup. H-P Lovecraft, cet auteur. Quand j'étais adolescent je suis partis en Islande j'avais la couleur tombé du ciel dans mon sac, je l'ai tellement lu que les pages saignait a la place de mes doigts. Je tomba sur quelques œuvres que j'avais déjà a ma possessions, mais il y en avais un que j'avais pas, les Montagnes hallucinées… Le mythe de Chtulhu, j'avais du metallica dans mes oreilles, je me suis dit qu'il me faudrait de la lecture pour le Caire. Je passe en caisse, je discute a peine avec le responsable, ce n'était pas mon habitude. Je discutait souvent avec cette jeune femme. Je pense qu'aurais pu faire n'importe quoi pour voir a nouveau son sourire. Il me tant un sac avec l'enseigne de la librairie, je le remercie et je quitte l'établissement. Le coeur soudain plus leger, cette saloperie de syndrome de l'achat. Je me guida vers l'arret de bus le plus proche, prochaine arret : Shoreditch.
Arriver devant l'appartement de Robin, je souffla un coup, j'avais peur de me prendre un coup sur la tête, quel pitoyable ami que je faisais, je ne l'avais pas vu depuis un mois et même Julian était venu me tordre les oreilles pour une tel insubordinnation. Mais entre Reflechir et devenir litteralement un zombie qui aurait pu perdre un membres. Je frappa quelques coups, me demandant bien si Robin était là. Ca fait longtemps que je ne suis pas aller le voir chez lui, j'espère qu'il m'en voudras pas… Au dernière nouvelle, il cherchait une colocataire. Il m'avait dit qu'il en avait trouver une… Oh non me dit pas que… La porte s'ouvre me coupant dans mes élan...

Je venais d'arriver dans l'immeuble, je m'attendais a avoir Robin mais quand la porte s'est ouverte, j'avais bien avant entendu des pas s'approcher, je me doutais que ce n'étais pas ceux de Robin. J'avais cette impression d'avoir déjà entendu cette demarche. C'est quand j'aperçu ses longs cheveux brun, ses yeux pourfendeur et cet air surpris. C'était Delilah, cette magnifique libraire qui me semblait être ce petit rayon de soleil qui illume mes fins de journées. Je ne savais pas quoi dire sur le coup, elle semblait aussi surprise sur le coup : « On me suit maintenant? » Je me suis mis a sourire, rougissant. Non je ne te suis pas c'est clair et net… Même si l'idée aurait été drôle, cela dit je me grattait l'arrière de la nuque regardant alors la jeune femme : « Y aurait il eu une raison pour te suivre ? » Disais-je d'un air aussi malicieux et je continua de plus belle : « Non… Je suis venu voir Robin, je.. Mais attend... » Mes yeux s'élargisse d'avantage comme si deux neurones qui se connecte. J'eu un sourire en lui disant : «  Tu es la colocataire unique en son genre dont Robin m'a parlé… » Il eu un rire leger en repensant a Robin quand il lui annonca qu'il s'était enfin trouver un appartement et qu'il le partageait avec une colocataire qu'il qualifiait d'original, ca m'avais toujours faire rire ce genre d'adjectif pour designer une personne, on pouvait s'attendre à tout. Une Zoey deschanel dans une sitcom ou bien la vielle aux chats des Simpsons on peut les qualifier d'originale. Cela dit c'était un plaisir de la voir après la deception a la librairie serrant mon sac venant de la boutique je l'entendi me demander : «  Ca va ? » j'hochais la tête, redescendant ma main reprenant mes couleurs originaux, je lui avouais : «  Oui oui ca va je suis… Surpris, je...Enfin Robin est là ? » Demandai-je le plus innocement du monde, je voulais voir mon ami, je partais dans quelques jours en Egypte je voulais lui parler et surtout lui raconter pourquoi j'avais entierement disparu de la circulation malgré nos rencontres rare à l'université. J'eu un sourire quand j'ai compris qu'il n'étais pas là… je me sentais incroyablement con et assez gêné, je lui proposa : « Bah… je vais surement y aller… Je ne voulais pas te déranger... » Lui avouais-je, même si cette rencontre est fortuite j'aimais bien l'avoir vu, au fond de moi j'aurais aimé passer du temps avec elle. Elle était quelqu'un d'interessant et me rapellait quelques fois une amie que je connaissais en France, je ne savais pas si je réagissais par nostalgie ou bien simplement je sentais le courant passer entre nous. Je lui avoua alors : « En tout cas... Ce fut très plaisant de te voir... Ne pas t'avoir vu a la librairie ce fut pas aussi rejouissant que d'habitude » Je me suis sentis assez cons sur le coup! Nan mais je dois bien avouer, que ca allais surtout bizarre et pouvant être pris dans le mauvais sens.

Je connaissais certes Robin depuis des années, mais je connaissais son cotés a vouloir tomber sur des situations comme se retrouver collocataire d'une fille unique tel que Delilah, il ne m'avait jamais dit comment elle s'apellait, la dernière que j'avais passé avec lui, on avait finit dans un bar et le Barman me draguait. Cela dit j'y étais pour quelque chose, peut être que Robin ne voulait pas que ca se reproduise… Me prendrait il pour un chaud lapin ? Rien qu'à cette idée j'en avais un rire. Alors qu'elle me demandais si je la suivait, je l'ai convaincu que non. Je ne savais même pas qu'elle vivait là. Alors que je venais d'apprendre enfin surtout de comprendre que c'était la jolie collocataire dont il me parlait il y a encore quelques semaines : « C'est sûrement moi! » Retorqua t'elle, je me suis bien douté merci Captain obvious ! Cela dit la suite : « Mais est-ce un compliment? » me fit sourire encore hochant la tête ajoutant : « Oui bien sur ! Après tout, maintenant que c'est toi, je ne peut que dire sans gène que c'est un compliment. » lui disais-je en souriant. Alors qu'elle me demanda si j'allais bien. J'étais surtout surpris mais cela ne me dérangeait pas… C'est juste la situation qui est embarassante, je lui avouais que cela allait, je lui demandais si Robin était là : « Non, il n'est pas là. Il n'y a que moi... » J'étais legerement dessus, mais bizarrement cela ne m'étonnait pas, Robin aurait surement déjà acouru s'il avait entendu ma voix, tel un fantôme qui hante les gens. Quand je voyais sa tenue décontracte je me suis dit qu'il serait temps que j'y aille : « Oh mais tu ne m'as pas dérangé! J'étais dans un passage plus que terrifiant de The Shining. Tu as lu? » Je me suis mis a sourire, j'aimais beaucoup Stephen King et ses romans. Je lui avoua : « Des centaines de fois ! J'ai toujours aimé les romans d'épouvantes… Ayant connu des monstres de foire c'est légérement moins terrifiant… J'ai une de mes collegues qui m'a prété l'un de ses derniers ouvrages… Joyland. L'histoire d'un propriétaire d'une fête foraine qui décide de suivre les traces d'un tueurs en série qui a sévit en ce lieu… Je dois dire que c'est glauque, enfin c'est du King quoi ! » Lui disai-je en riant. Alors que je pensais vraiment a partir ou a rejoindre Robin je ne sais où, mais d'un autre coter je voulais rester avec elle. J'aimais bien nos conversation, elles étaient intelligentes, enfin Delilah était une jeune fille cultivé et interessante ce qui change de ce que je peut voir à l'université. Je recula legerement, prêt à partir soudain je sentais sa main s'approchait de moi sans m'éffleurer mais je sentais le vent se glisser sur mon bras je me retourna en l'écoutant : « Si tu veux, tu peux attendre Robin ici. Ça ne me dérange pas du tout.... À moins que ça ne te dérange que je sois en mode relaxation.... » Je me suis mis a sourire en la voyant pointer son mignon petit pyjama je lui avoua : « Eh bien, personnelement cela ne me dérange pas ta tenue… Je dois t'avouer que ce mode relaxation te vas a ravir, mais je dois bien dire que si tu me voyais en mode relaxation je ferais peine a voir ! » disai-je en riant. Generalement j'étais en bas de jogging… Je n'aimais pas avoir trop de chose sur moi et vu que généralement je sortais de la bouche, la sensation du vetement qui colle a la peau enfin bref… « En tout cas je serais ravi de rester a attendre Monsieur je dois encore travailler se soir... »

Je repensais a quelques passage de Shining et aussi de Joyland, je n'avais pas encore finit le roman, je prenais le temps de le lire surtout que je risquait de l'emmener avec moi en Égypte sûrement que je le finirais dans l'avion en entendant Kaspar ronfler comme un Forgeron, alors qu'elle m'assura : « Je le lirai à l'occasion, assurément! » J’eus un sourire, j'aimais bien inspirer l'envie de lire des ouvrages de grand auteur tel que l'était Stephen King, il a bercé mon enfance. J'avais l'habitude d'attiser la curiosité de part mon handicap, j'ai entendu dire par un fou qu'il fallait effrayer pour exister, c'est en lisant Stephen King que je comprenais le véritable sens de cette phrase. Après toute ses années tout le monde à la vision de Jack Nicholson dans le costume de Grippe sous le clown… je dois dire que j’étais friand des Freak show, les bizarreries je trouvais cela un coté… Surhumain et captivant. Je ne devais pas être très normal. Je regardais la jeune femme, pensant que si elle pouvait lire mes pensées elle me prendrais pour un taré, j’eus un léger rire en pensant que j'aurais bien envie d'en découvrir plus… je ne connaissais rien d'elle et malgré son métier, je ne connaissais pas tellement ses goûts littéraire. Mais cela dit je m’apprêtais tout de même a partir, alors qu'elle me proposa de rester attendre Robin. J’acceptai malgré sa tenue décontracté, que je trouvais charmante la rendant encore plus adorable. Je ne savais pas si c'était de la voir dans une tenue plus légère mais elle semblait flotter dans cette tenue… Elle me remercia pour le compliment, je lui ajouta un de rien des plus sincère alors qu'elle ajouta : « Je suis certaine que ça ne fait pas si peine à voir que ça... » Je me suis mis a rougir en lui avouant : «  Eh bien… si un jour il y a l'occasion… Tu auras la chance de me voir dans cette tenue et de constater par toi même. » Lui disais-je en riant ne m'imaginant pas une seconde me retrouvant en jogging face à elle, enfin je ne l'a connaissais pas assez je n'étais pas du genre a montrer cela a tout le monde… C'est un peu comme me voir nu après tout ! Voilà que je réagis comme une pucelle, je repensais a Robin pour éviter ce débordement psychologique alors qu'elle m'invita a entrer, je franchissai le pas de l'appartement observant un peu autour de moi, je n'étais jamais venu. Robin venait plus souvent chez moi, c'est une habitude chez lui et Julian venir chez moi comme si j’étais Monica Geller… Un peu décevant tout de même. « Tu veux quelque chose à boire? »Je me rencontra sur la jeune femme lui souriant avant de lui dire : « Hum et bien, je prendrais bien une tasse de thé s'il te plaît... » Je ne buvais pas de café c'était mauvais pour mon cœur, le thé était limite mais je pouvais me contenter d'une tasse de temps à autre et puis j'aimais cela. « Tu peux t’asseoir au salon si tu veux. » J'acquiesa alors que je me dirigeais vers ce qui me semblait être le salon, je me posa sur le canapé posant mon sac de la librairie a mes pieds l'observant de loin, voyant son ombre. Je regardais autour de moi, je reconnaissais quelques objets de Robin ayant un sourire me souvenant de ses objets dans notre chambre a la fac. Alors qu'elle revient vers moi pour s'asseoir a mes cotés « Que fais-tu dans la vie? » J’eus un sourire en lui disant : « Je suis Archéologue, et je donne des cours à l'université de Bloomsbury. » J'étais assez fier de mon métier et j'étais plutôt heureux de faire ça, Gisel me demandais pourquoi j'avais choisit cette vocation. De part ma nature curieux j'ai toujours était avide de découverte et de ce que j'ai appris a l'université, j'ai voulu faire ce métier et pour l'instant je n'était pas dessus : « Tu bosses beaucoup? » Sa question me perturba, j'avais encore la vision de Julian me reprochant de trop travailler… Je me suis mis légèrement à rougir en lui avouant : « Il m'arrive de beaucoup travailler oui… En ce moment, je me prépare pour une expédition en Égypte sur les sites d'une fouille… Et la préparation de ce voyage m'a forcé a ne plus dormir pendant plusieurs jours pendant quelques temps... » lui disais-je en riant assez nerveusement, me trouvant complètement fou d'être aussi passionné par mon travail : « Et toi dit moi… A part les livres et ton travail à la librairie… Tu as d'autre hobbies ? » Je connaissais son travail, je ne pouvais pas lui demander si elle travaillait beaucoup… Je me doutais déjà du genre d'horaire et de taches qu'elle devait accomplir a la librairie.

Je trouvais aussi que cela tournait en flirt, j'étais bien trop maladroit pour pouvoir m'en apercevoir, enfin surtout de faire semblant. J'étais quelqu'un d'honnête et pourtant je n'arrivais jamais a trouver mes mots. Je perdais souvent face à la pression, Cela dit je me sentais drôlement calme face à Delilah… C'était surement le sourire de la jeune femme qui m'apaisa, elle me semblait normal enfin moins torturé que des personnes que j'ai vu ses derniers jours. Alors que je venais de rentrer elle me proposa à boire, je lui demanda alors une tasse de thé, ce serait blasphematoire pour un Britannique tel que moi… Enfin même si je considéré l'écosse indépendante… Oui on est comme ça ! « Excellent choix! Je vais faire du thé vert au jasmin! En espérant que tu aimes! » Je la voyais s'attardais a la tache, j'eu un sourire en lui disant : « Tu as déniché un de mes pêchés mignon, j'aime beaucoup le thé au Jasmin... » Et comme je le disais j'étais honnête, je trouvais le thé vert leger et sucré pour certaines saveur tel que la menthe ou l'orange. Même si part moment j'aimais le thé fort tel qu'un Thé noir ou un célébre Darjeeling avec une nuance de lait de soja. Alors qu'elle m'est rejoint sur le canapé je dois dire que sa présence fut radieuse, elle me demanda ce que je faisais dans la vie. La curiosité était intriguante même au vu de sa question : « Ce doit être fascinant! Tu as fait de grosses découvertes jusqu'à présent? » Je me suis mis a rire, j'aimais sa curiosité et je dois dire que j'étais bien habitué avec Julian alors pourquoi en avoir peur. Je lui avoua : « Eh bien, Il y a trois ans j'ai travaillé en France, un terrain qu'une chaine de magasin voulait exploiter, on a du travailler là bas. On a fait une intriguante découverte, on a retrouver quelques vestiges d'une ancienne cité Romaine, c'est comme ouvrir un Kinder surprise... » Lui disais-je en riant, alors que je continua sur une dernière anecdocte : « L'année dernière j'étais en Islande a 20 Kilomètre de Reykjavic… On aurait detecter la presence d'une civisilation qui semblerait être dans le même cas de figure que Pompeï. » J'étais passioné par mon travail et j'aimais en parlé mais je ne voulais pas l'assomer avec tant de bla bla d'archéologue. Elle me demanda si je travaillais tôt. Je lui ai révélé que j'avais des moments fort comme c'est dernier jour où je ne dormais pas, alors que cela se voyait surement sur mon visage bleme... « Oh c'est certain que ça doit demandé beaucoup de préparation. En espérant que tu as fait attention à ta santé tout de même! Il faudrait pouvoir profiter de ce voyage à fond! » Je me suis mis a rire, elle était d'une sagesse plutôt impressionante, je lui avoua : « Je pense connaître mes limites… Et puis ca risque de s'empirer avec la fouille le rythme est assez impressionant » lui disai-je en souriant.

Elle s'était interessé a moi, a mon tour de m'interesser à elle alors je lui demanda ses hobbies connaissant alors son métier : « J'adore découvrir de nouveaux endroits. J'ai une passion démesurée pour la nourriture de type asiatique et le chocolat... Je mange tout le temps... Et oui, je qualifie cela de hobby! Et aussi, j'adore écrire et la peinture. Mais je ne dis pas que j'ai du talent dans aucun des deux. C'est plus une passion qu'autre chose! » J'eu un sourire, je fus completement charmer par ce coté innocent de cette curieuse adoratrice de cacao. Et puis elle avait un semblant d'artiste par l'écriture et la peinture, je dois dire que j'étais curieux a mon tour, j'aurais bien aimé voir cela : « Eh bien… Je dois dire que c'est des hobbies plus qu'honorable, enfin quoi que nous ayons quelques petites choses en commun… Je parle biensur de la nourriture asiatique. » Lui disais-je en souriant un peu plus alors que j'ajouta : « Enfin je suis légérement doué en dessin, mais rien de bien extraordinaire, mais j'aime voyager, il m'est arriver de partir pendant plusieurs semaines quand j'étais plus jeune dans des endroits magnifique… Le champs de volcan en Islande, la ville de Toulouse en France enfin je te montrerais bien des photos je suis sur que cela te plairait... » lui avouais je avant qu'elle parte pour chercher le thé, alors qu'elle me tendis la tasse que je saisissa sentant la vapeur me rechauffer les mains : « Tu me diras ce que tu en penses! » Je lui rendis son sourire, profitant pour souffler a mon tour sur ma tasse pour gouter une gorgée lui avouant : « Il est juste divin.. » lui disais-je en souriant.