« What if my cuckoo clockheart was here again… » /w Julian

What if

my cuckoo clockheart was here again

Je ne sais pas ce qui m’avait prit, mais j’avais cette sensation d’en avoir trop fait, cela dit mon horloge me fit mal sur l’instant les cliquetis dans le thorax qui commencer a peine a me donner la sensation de cramer sur place, je ne devais pas m’enflammer cela n’étais pas vraiment bon pour moi. Comme Elle le dirait, il y a trois lois. Que je ne dois au grand jamais enfreindre. La premiere je ne dois pas jouer avec mes aiguilles, bon ça c’est bizarre… Je ne dois pas me mettre en colère, je dois bien avouer que je fais des progrès la dessus. Mais il y a la troisieme qui est genre super mega importante, et j’en ai déjà fait les frais plus d’une fois. Je ne dois au grand jamais tomber amoureux, car alors la grande aiguille des heures transpercera ma peau et l’horloge se brisera faisant imploser mes os dans un vacarne sans nom. Je peut me controler. Mais c’est dur, la curisioté qui m’anime, et l’envie d’en découvrir plus… C’est un peu comme chanter Whatever the Weather. Sans cesse tel un oiseau qui perd pieds. Mais cela dit malgré cette mini déclaration la plus petite qu’on peut recenser je pense, Julian se défila par ironie : « Je survis à la maltraitance de mon père depuis des années, je suppose que c'est intéressant en effet. » Il semblait aussi perdu que moi en cette instant, je laissa échappé tout de même un sourire. « Ewan, maintenant que j'ai tout vu ... ». De cette idée, j’avais l’impression d’être un musée, le musée des horreurs ou bien des choses fantasmagorique. Ou vivent fantome et autre legendes du sud ouest. J’avais envie de cracher un dégout prononcer pour la vision que j’avais de moi a cette instant. Il avait tout vu mais si seulement c’était vrai. Il en connaissais encore si peu. Un part minime de moi, je ne suis qu’un mauvais cascadeur prêt a tout pour vendre le rêve et pourtant comme dirait Joe. Je ne suis qu’une bombe a retardement. Prêt a tout exploser au moindre fracas. Même si je lui ai crever l’œil et bien fait pour sa gueule ! L’idée de penser ça ne me faisait que plus mal sur le coup. Mais que m’arrivait il ! «  Je devrais partir. Mon père m'attend certainement. Je ne veux pas avoir d'ennuis ...»  Je me redressa, son père je ne devrais jamais le croiser. Je risquerai de m’emflammer, la tête d’oiseau que je suis s’enflamme encore plus vite qu’une vulgaire allumette qui me ferait perdre pied. « Je comprend t’en fais pas » Après tout mieu vaut, Je ne veux pas avoir la mort de Julian sur la conscience juste pour attiser encore un peu plus cette curiosité de ce qui m’arrive actuellement, lorsqu’il m’effleura l’épaule ce fut comme s’il venait de graver son nom sur ma peau.  « Je te reverrais peut-être un jour.» J’hocha la tête par politesse, j’en serais plus que ravis alors que je le raccompagna jusqu’à la porte, je lui ouvrit le laissant sortir et je l’interrompt dans sa marche : « Julian ! » Il se retourna j’eu un sourire et je lui dit d’un ton plutôt calme : « Je… N’hesite pas ! Si jamais tu as besoin de rêve… Je serais ravis de pouvoir y contribuer… Tu es ici chez toi… La prochaine fois… Je t’emmenerai avec moi chasser les fantomes, je suis sur que ça te pourait te plaire » Lui avouais-je d’un grand sourire, le rouge aux joues et le coucou qui se mit a chanter dans mon cœur. Le plaisir de le revoir. Je savais que je venais d’inviter un démon chez moi… Le démon de midi… Qui risque de me faire perdre la tête.