"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici j'aurais aimé oublier ▼ victor (hot) - Page 2 2979874845 j'aurais aimé oublier ▼ victor (hot) - Page 2 1973890357
Le deal à ne pas rater :
Pokémon Évolutions Prismatiques : coffrets et dates de sortie de ...
Voir le deal


j'aurais aimé oublier ▼ victor (hot)

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 27 Sep 2014 - 23:51 par Invité

Tu cèdes. Ouai pathétique, tu cèdes à un sale pédé ? Tu cèdes aux suppliques de ce mec qui te dégoutes de part ses pratique. De part vos pratiques. Vos corps à corps. Ses gémissements, sous tes coups de reins. Et tu te hais encore plus. D'être comme ça. D'être comme ça face à lui, d'être.... ça. Tu te hais et tu le hais, d'avoir tout détruit depuis qu'il a débarqué, ce connard.  Il s'écarte, s'éloigne alors que tu enlèves ton tee-shirt pour que ton regard tombe... sur son cul. Son cul moulé dans un truc noir qui devrait pas ainsi le coller bordel. Tu grinces des dents. Putain. Tu vires ton tee-shirt au sol soufflant en essayant de reprendre le contrôle de ton corps. Allez l'eau va te refroidir, faut se dire ça. Alors tu le rejoins, tu laisses vos affaires derrières toi gardant ton caleçon alors que tu rejoins l'étendu d'eau plus loin. L'eau fraiche venant lécher ta peau tu t'arrêtes même pas, continuant d'avancer lentement jusqu'à lui. Ok, c'est frais, mais pas tant que ça. C'est bon. … est-ce que t’es nu … ? Mais t'es un p*tain de... Tu te retiens cependant de cette phrase sortie avec hallucination face à sa question. Non mais il imagine quoi ? Que tu te trimballes à poil comme ça ? Que tu te fous à poil sous sa demande ? Il se prend pour qui bordel ? Tu serres les dents, tu te reprends, et ça te tue de te reprendre juste pour un mec. Nan, j'ai un calbute ! Tu réponds de mauvaise grâce alors que tu le vois déjà s'éloigner.  Oh il fait quoi là ? Le voyant plonger tu le cherche du regard sur le coup te disant que ouais bravo c'est super malin de faire ça quand t'es aveugle. Mais bordel quoi ! Avançant dans l'eau tu soupires, appréciant au moins l'effet de l'eau qui vient au moins te geler le bas du corps faisant descendre ce genre de réaction. Descendre ? Si peu. bordel. Tu relèves la tête en le cherchant du regard. t’es ou ?Sa voix plus loin te fait soupirer alors que tu finis par totalement avancer. Plongeant intérieurement dans l'eau tu ressors pas loin de lui en soupirant, virant tes cheveux en arrière, tu le fixes. Tu le vois tourner la tête vers toi alors qu'il semble avoir reconnus ta  position faisant le reste du trajet. Toi ton regard ne cesses de glisser sur ses épaules sur son torse qui disparait ensuite sous l'eau alors que tu sais pertinemment où ton regard irait se porter.

Tu le fixes sans rien dire. De toute manières t'as jamais été des plus bavard hein ?! c’est bon hein… ? Son sourire te fait soupirer alors que tu restes là comme un con. Parce que c'est se que tu es hein ? Un sacré connard. Une ordure totale parce que tu sais très bien déjà se dont tu as envie. Se que tu vas faire et tu te hais déjà. Pour ton envie. Mais surtout pour lui, de lui faire ça. Mais tant pis, de toute manière t'es déjà pas une personne à être aimée, à être appréciée, alors un peu plus un peu moins... allez crever. Cependant ton regard passe avant sur le sable et les environs de la piscine plongée à moitié dans le noir de la ville, sans que tu le contrôles vraiment. Mais juste un temps, avant que tu l'attrapes par le bras le rapprochant totalement de toi, tes doigts quittant déjà cet endroit la pour passer dans son dos s’arrêtant absolument pas à l'élastique de son boxer pour venir sur son cul que t'as beaucoup trop fréquenté. Tu as tes yeux fixé dans les siens, mais lui putain, lui il voit plus rien. Rien du tout. Il est raide défoncé, et t'es là dans l'eau comme un putain de con à le coller contre toi.  
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 0:20 par Invité
« Nan, j'ai un calbute ! » Tu souris. Mais tu dis rien. T’imagines qu’il ne peut pas comprendre. Que t’as besoin de savoir ce genre de détail. Pour imaginer. Pour voir la scène sans la voir. Ca parait si bête. Mais c’est devenu ton quotidien. Imaginer avec les souvenirs que tu gardes des choses. C’est triste.

Tu disparais sous l’eau. Tu réalises pas bien tout ce que tu fais. Les risques que tu prends. T’es irresponsable. La drogue te rend irresponsable. T’y penses pas. Mais sans Dmitri, tu te s’rais probablement noyé ce soir. Retrouvé mort noyé dans la piscine au beau matin. Bercé par l’aube. Ca s’rait beau comme mort tient.

Tu l’entends de nouveau. Près de toi. Il soupire à ta remarque. Alors ça te fait sourire un peu plus. Encore une fois, tu tentes d’oublier que c’est lui, mais tu l’sais. Alors tu reconnais bien là son caractère. Son besoin de rendre tout blasant. Comme si ressentir du plaisir pour quelque chose était punissable de mort. Doucement, tu t’avances vers lui. Tu sens ton cœur battre plus fort au rythme de tes pas. L’excitation. C’est la drogue qui t’souffle ça. Qui t’souffle ce besoin de le sentir. C’est la drogue qui accélère tes battements de cœur. Rien que la drogue.

Tu t’arrêtes pas loin de lui. Et tu dis rien. Et lui non plus. De toute façon, ni l’un, ni l’autre n’a jamais été un grand bavard. Les grandes discutions et vous, ça n’a jamais été ça. Et l’voilà qui choppe ton bras. Qui t’attire tout contre lui. Alors ton cœur s’emballe. Et pas que ton cœur. Y’a l’excitation qui monte alors que ses mains viennent déjà s’égarer sur tes fesses. Un soupire de désir s’échappe de tes lèvres tandis que tu t’cambres contre lui en réponse à ses mains. Et voilà. Vos deux corps l’un contre l’autre. Il doit la sentir ta bosse. Il doit la sentir comme tu sens la sienne. Alors ça t’fais sourire. Je lui plais. C’est la drogue qui souffle ça. Et c’est elle aussi qui vient guider tes doigts jusqu’à l’élastique de son boxer. C’est elle qui fait bouger ton corps contre le sien tout doucement.

Ton souffle s’égare dans son cou. Bordel de merde. Ce mec a un truc. Un truc qui te rend dingue. Tu fermes les yeux un instant. Tu sais même pas pourquoi tu fais encore ça. Tu souris un peu, glissant la main dans ses cheveux mouillés avant de faire passer ta langue dans le creux de son cou. Ta main gauche s’égare sur sa hanche, le maintenant contre toi. Comme si t’avais peur de le perdre. Comme si tu lui disais ‘reste avec moi’ rien qu’avec tes gestes maladroits.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 0:34 par Invité

Tu le colles contre toi. Par pulsion ? Non pas tellement. Parce que dans un sens tu le savais juste avant de le faire, n'est-ce pas ? Tu savais et t'as rien empêcher. Quoi t'aurais pu t'éloigner, te tirer, le laisser se noyer ou whatever. De toute les manières il l'aurait cherché, il a pas à se droguer. Mais non t'es là, face à lui. Maintenant contre lui. Son putain de corps contre toi, ça te tue tellement de n'en avoir rien à foutre qu'il n'y ait aucune poitrine entre vous deux et que ça te manque en rien. En rien du tout. Non absolument pas. Parce que là tout de suite maintenant sur le sens se cambrer un peu, tu le sens bouger quand tes doigts passent dans son boxer. Et lui aussi il l'a. Lui aussi se qu'il y a contre toi arrive comme une preuve évidente à ton envie. T'es pas le seul. Oh évidement avant tu le savais, tu le connaissais. Mais maintenant t'es persuadé qu'il te haït tellement... mais là, c'est pas pareil. Et qu'importe que ce soit la drogue ? Si il en a envie maintenant, après tout... Ouais la vie n'est pas un f*cking conte de fées, alors tant pis, avec la drogue. Et tu t'en contentes.

Sentant ses doigts sur ta peau, sur l'élastique de se caleçon qui te colle en rien à la peau contrairement à lui, tu souries, légèrement. Et tu te dis que c'est mieux qu'il ne le voit pas. C'est mieux, que tu gardes ça pour toi. Taré. Aliéné. Bien mieux. Il bouge, c'est pas l'eau et la piscine qui fait ça, qui rend ça beaucoup trop séducteur, tentateur. Non c'est bel et bien lui et tu soupires légèrement parce qu'il y arrive vachement bien. Trop trop bien. Mentalement ton cerveau lâche peu à peu, tes réticences, tous. Tu te mords la lèvre en sentant son visage dans ton cou, son souffle qui n'a rien à voir avec le vent de Londres en pleine nuit. Tu quittes son boxer, un temps, le retournant sans vraiment de douceur, sans demander son avis, sans rien. De toute manière t'as toujours agis ainsi... Tu reviens contre son dos avec un sourire de prédateur affamé, avec un sourire qui meurt d'envie. Tes bras glissent autour de son corps, tes doigts se perdent à descendre le long de son torse alors qu d'un mouvement de bassin tu te colles à lui. Tu le sais qu'il a sentit ton état juste avant, alors qu'il le sente de cette manière, maintenant tu t'en fiches. Et parce que tu préfères largement être ainsi, maître de tes mouvements de vos envies qui montent... Tu reprends ses mouvements contre son dos, contre son fessier beaucoup trop tentateur. Tes doigts partant se perdre sous l'élastique de son boxer devant, sans y descendre totalement. C'est plus vraiment par hésitation sur le coup, c'est juste que... t'en sais rien. Par contre se que tu sais se que même avec l'odeur du chlore qui lui colle à la peau, ton nez le long de sa nuque retrouve parfaitement sa propre odeur. Bordel.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 0:53 par Invité
Il soupire. Là, tout contre toi. Ce soupire si érotique. Si excitant. Tu t’mords la lèvre, continuant à bouger sensuellement contre lui. T’aimes ça. Sentir que tu l’excites. Tu joues doucement avec son épiderme. Y déposant de tendres baisers, le mordillant un peu parfois. Tu joues avec ton souffle. Ton souffle chaud contre sa peau humide. Putain, c’est fou comme ce mec t’excite. Parfois même sans rien faire. Il a un truc. Même sans le voir, tu le sens. Un putain de truc magnétique.
 
Et le voilà qui te retourne. Un peu brutalement. Tu lâches un petit gémissement de surprise. Mais tu te laisses faire. Il revient contre toi. Contre ton dos. Contre tes fesses. Et tu la sens. Tu la sens la bosse contre tes fesses. Tu la sens son excitation. Y’a sa main sur parcourt ton torse, et ça t’fait frissonner. Tu te cambres un peu contre lui. Et tu souris. T’es bien là. Contre lui dans la nuit. Ses doigts sur ton corps te procurent encore plus de sensation qu’avant. Comme si ta peau était plus réactive. C’est impossible à expliquer. C’est simplement plus fort. Plus profond. Tes yeux dans le vague, tu ne penses plus à grand chose. Juste à lui. A sa chaleur. A sa présence. Et à ce putain de désir qu’il fait naitre en toi. Juste à cette sensation d’apaisement que tu n’as pas ressenti depuis longtemps.
 
T’as rien fait depuis longtemps. Depuis l’accident. Alors y’a ton corps qui brule rapidement. Y’a l’excitation qui t’fait perdre la tête. T’avais oublié à quel point cette sensation était enivrante. Cette impression de cramer sous le passage de ses doigts. T’avais oublié à quel point c’était agréable.
Ta main droite vient s’installer derrière sa nuque. Comme pour l’attirer encore un peu plus contre toi. Tu t’mords la lèvre, frissonnant doucement.
 
Sa main descend. Lentement. Et tu soupires de désir. Dans ton boxer, ton corps s’exprime pleinement. S’en devient presque douloureux. D’être serré comme ça. Puis il passe la main sous l’élastique, et comme tu avais pu le faire avec lui auparavant, il joue. Il ne vient pas directement te caresser. Alors tu gémis doucement. Un peu comme un appel. Tu gémis en donnant un coup de bassin tentateur. Un coup de bassin qui veut dire Prends moi … Possède moi … Je serais à toi … Pour cette nuit. Pour la vie. La vie entre maintenant et demain. Quand on réalisera que tout ça ne devrait pas. Prends moi jt’en supplies. Je rêve de toi tout contre moi.

Ta main gauche vient se glisser sous son sous-vêtement pour le faire descendre lentement. Pour le libérer. Et ta main s’égare un instant sur son membre tendu. Putain. « Mmh … »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 1:19 par Invité


Sérieusement t'aurais jamais dû venir à Camden ce soir précisément. Jamais. Mauvaise idée. Encore plus de l'approcher. Tu veux plus être contaminé. Tu veux plus merder, plus jouer à ce truc qui t'a longuement consumé. Sérieux, il devrait savoir lui, à quoi il s'expose. Mais nan parc'que lui tu vois il est défoncé, et toi... toi t'es juste bourré. Bourré d'alcool. Bourré d'envie. Envie de tout. Envie de lui. Et c'était une trop mauvaise idée. S'que tu peux être con. Accepter d'aller te baigner, l'accepter. Accepter d'le côtoyer. Cette erreur de la nature. Mais il est défoncé. Et toi, trop en manque. Connard déraillé. Alors tu t'retrouves là, contre lui, à bander comme un con qu'a pas baisé depuis des mois. Bordel. Comment cela a pu autant dérailler dans ta tête ?! Aucune idée. Aucune putain d'idée. Mais c'est comme ça. T'es là dans l'eau, et la minute d'après tu l'as contre toi, t'as ta main dans son boxer merdique. Et tu l'sens aussi. Lui. Son odeur. Son envie. Sa trique. Bordel. T'es dans la merde.

Pas que tu veux pas. Justement c'est pire. Si tu t'arrêtais un instant. Un seul fucking instant. Mais non parce qu'il bouge de cette manière, parce qu'il est tellement tactile. Parce que tu l'entends soupirer d'envie. Trop tard. Bien trop tard. Tu grognes en sentant sa main dans ton boxer. Tu grognes en sentant ses doigts sur ton entre jambe, parce que ça te fous une colère froide qu'il puisse te savoir autant excité. Parce qu'avant entre vous c'était presque devenu normal. Mais plus maintenant. tu sais plus comment agir. T'as jamais su, cette haine de toi-même de te sentir ainsi. Et tu te décales de lui, attrapant son boxer pour le tirer avec toi, pour qu'il te suive, pour remettre à plus tard sa main sur ton corps, sur ton sexe. Diriger, commander, ça aussi ça te fait bander hein ? L'eau diminue le long de vos corps, tu restes contre le sien, le retournant de nouveau sans état d'âme, venant capturer ses lèvres avec une envie plutôt dévastatrice. Ça par contre tu sais très bien que pas bourré, tu l'aurais jamais fait. L'embrasser ? Très peu pour toi. T'as déjà mis des putain de mois à accepter qu'il t'embrasse avant l'accident alors depuis c'est... Mais là ton envie trop élevée te fait exploser tes pensées. T'as envie de tout chez lui, son corps ses lèvres, le posséder. Pas du genre à partager, surtout pas à te limiter. Alors tu le fais reculer sur le sable jusqu'à vos fringues sans que tu t'occupes de les tremper, elles le sont déjà par le sable humide. Il y voit rien tu devrais y penser, te dire que le pauvre aller trop vite doit le paumé. Ou pas. Rien à foutre, en un geste tu le laisses se retrouver sur un transat qui pour une fois va servir à autre chose qu'à supporter une morue qui se dore la pilule durant des heures. Tu l'observe une demi seconde, voir son corps blanc sous la lune, voir son boxer noir trempé, voir son envie. Tu le rejoins rapidement, si t'avais pas été bourré, si t'avais osé le touché tu l'aurais juste chopé dans la piscine, tu l'aurais retourné, tu l'aurais pénétré et ça aurait été finit. T'as rien d'un enfant de chœurs. Mais là... c'est un peu différent peut-être, non ? T'en sais rien, tu tires sur son boxer.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 2:01 par Invité
Tu l’entends grogner. Là, doucement. Mais c’est pas de la colère. Tu le sais bien que c’est pas de la colère. Alors tu continues. Tu captures son membre entre tes doigts. Puis avant que tu n’ai pu faire de vrai mouvement, il recule. Un peu trop brusquement. Un peu comme s’il réalisait tout ça. Tout ce que vous faites. Et pendant une seconde, tu te dis que tout est fini. Qu’il va juste se barrer et te laisser là. Tout seul au beau milieu de la piscine. Comme un con.
Mais non. Y’a sa main qui attrape ton boxer pour t’attirer contre lui. Pour que tu le suives. Et t’as pas vraiment d’autre choix que de t’exécuter. Tu te laisses faire. Tu le laisses te diriger. De nouveau, il te retourne pour te faire face. Tu avances désormais à reculons. De toute façon, c’est pas comme si ça changeait beaucoup de chose pour toi. Tu te laisses juste guider. Tu t’accroches à lui et tu avances au rythme de ses pas.

Puis ses lèvres. Ses lèvres qui viennent se perdre contre les tiennes. Bordel. Y’a la même fougue qu’avant qui se déchaine. Ce même désir brulant qui vous crame. Et t’y réponds, à son baiser dévastateur. Tu viens mêler ta langue à la sienne avec fougue, serrant sa nuque pour le garder contre toi.
T’oublies complètement que tu sais pas où tu vas. Que tu sais pas où il t’emmène. Parce que tu sais foutrement pas pourquoi, mais tu lui fais confiance. Tu le laisses te guider. De toute façon, t’es démuni. Sans lui. Sans ta canne. T’es paumé. Et puis t’es surement trop occupé à te perdre contre ses lèvres. A les mordiller avec envie. Un peu comme pour le provoquer. Un peu comme avant. Tu te retrouves à faire ces petits gestes que tu avais l’habitude de faire. Comme s’ils revenaient sans que tu ne l’ais vraiment choisi. Ces petits détails bien à toi. Ta façon de te cambrer pour garder vos bas ventres en contact. Cette façon de mordiller malicieusement sa lèvre inférieure pour le provoquer. Cette façon de soupire doucement contre ses lèvres, contre sa peau sous l’intensité du désir.

Finalement, tu sens quelque chose contre ton mollet. Et il te pousse dessus. Tu te laisses tomber un peu lourdement, sentant ton cœur rater un battement. C’est affreux de ne pas savoir ce qui nous attend. Heureusement, ce n’est qu’un simple de transat. Tu reconnais l’objet sous tes doigts. Alors tu lèves les yeux vers lui, les cheveux et le cœur en bataille. T’as le regard tourné vers lui, mais pas vraiment posé. Toujours un peu dans le vague. Toujours un peu ailleurs.
Tu esquisses un sourire alors qu’il vient te rejoindre sur le transat. Alors qu’il vient se mettre à califourchon sur toi. Il tire légèrement ton boxer qui comprime un peu trop ton excitation. Alors tu l’aides. Tu lèves légèrement tes fesses pour l’aider à retirer le tissu gênant, libérant ton membre tendu.  Et voilà. Pour la première fois depuis des mois, t’es de nouveau nu devant lui. Ca t’fait rougir un peu qu’il puisse te voir. D'être à ce point démuni face à lui. T'as encore des cicatrices qui marquent ton corps. Des cicatrices qui ne disparaitront jamais. Des souvenirs laissés par Lysandre. Petit cadeau supplémentaire.

Ta main à toi vient de nouveau regagner la zone qu’elle avait abandonnée. Tu poses d’abord ta main sur ton torse jusqu’à la descendre à l’intérieur du sous-vêtement. Et tu commences à le caresser. Là. Erotiquement. Tu bouges doucement sous lui. Presque automatiquement. Un soupire s’échappe de tes lèvres entrouvertes « … Putain, tu me rends fou … » T'as envie de lui. Putain, tellement envie.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 14:40 par Invité

Maudit. Tu te l'ai toi même imposé. Pauvre fou que tu es. Tu te répètes souvent que sans cette fois dans les douche, rien de tout cela n'aurait commencé. Rien n'aurait débuté. Tu serais occupé à passer tes soirées avec Lys, normalement sans haine non prononcé, sans dégout de soit. Tu aurais continué à baiser. N'importe qui, n'importe quand, tu t'en foutais, t'étais normal. Normal, oui exactement. Pas un monstre de foire, pas un mec qui te fait horreur. Maudit, toi-même. Bravo. Et tu te retrouves comme ça une fois de trop. Cela n'a-t-il pas suffit ? Ce soir là ? Ces coups là ? Est-ce l'alcool et la drogue pour vous rendre aussi con l'un que l'autre ? Aussi fou l'un comme l'autre. Tu y penses là ? Pas un moment. Pas un seul foutu instant. Y'a seulement la lune qui vous éclaire, et lui dans ses yeux y'a plus rien comme avant. Tu n'y penses pas, tu ne veux pas.

Tu tires son boxer le laissant t'aider à moitié, tu sais même pas d'où tu tiens cet équilibre pour agir ainsi. Tu t'en fous. Et tu souries de manière beaucoup trop envieuse à la vue de son membre qui traduit parfaitement se que tu veux. Et après ? T'en sais rien. C'est tout pour le moment. Et tu fais même pas attention à son visage qui semble gêné. Tu fais attention à rien hormis à cette envie quasiment trop douloureuse. Qu'il t'ai manqué? Jamais tu irais même de te l'avouer. S'il faisait pas si noir, tu verrais réellement les vestiges de votre œuvre. Pas seulement celle de Lysandre, non la votre, lui le frappant, toi restant là, regardant. Mais heureusement ce soir tu ne vois rien, où alors l'alcool te fait l'oublier sans soucis parce que sa main revenant dans ton boxer sur ce membre durcit par l'envie de lui, c'est ça qui occupe tes pensées. Ses doigts resserré autour qui bouge et qui te font un instant frissonner. Oui, c'est bien lui qui a le monopole de tes pensées. Tu lâches son boxer que tu avais toujours en main, t'en a vraiment pas besoin, juste de tes mains pour descendre le tient, trempé, le long de tes jambes. Tu t'en fous. Tu le laisses faire, te toucher, provoquer ce genre de plaisir impossible.  … Putain, tu me rends fou … Tu souries. Il voit rien, et ça te plait. T'es gerbant dans tes pensées, mais peu importe, il voit pas ton visage et tant mieux car ce soir t'es trop ivre pour être impassible. Tes doigts glissent sur sa peau, sur son ventre, sur ses muscles. Tu te rends pas comptes des cicatrices qui passent sous tes doigts, non seulement du chemin qui mène jusqu'en bas alors que ton index glisse le long de son membre aussi dur que le tient. Tu souries, tu te mors la lèvre, tu l'observes un temps. Joueur ou pas, t'en sais rien... et tu finis par lentement prendre le rythme de ses gestes sur lui. Tu sais pas se que tu veux en finir, ou non ? T'as jamais été branché préliminaires à faire à vrai dire... Et puis sérieusement est-ce que ça n'a pas assez duré ? Toi tu le veux. Pas juste ce genre de truc de bébé, toi tu veux plus. Toi tu t'en fous peut-être parce que tu sais que ça sera une seule fois, que tu ne recraqueras pas, qu'après il ne voudra pas. Une seule fois avant qu'il ne retrouve ses idées, sa haine, ta haine, ta colère, ta froideur. Une seule fois, tu y crois. Puérilement. Alors tu le lâches simplement, tes doigts attrapant ses jambes que tu relèves avec un sourire. Tu te penches un avant tu lui voles un baiser, juste comme ça, parce que t'es bourré.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Sep 2014 - 23:26 par Invité
Il bouge. Là. Contre toi. Avec son corps foutrement parfait. Foutrement excitant. Tu donnerais n’importe quoi pour être capable de le voir. Pour pouvoir parcourir son corps et son visage du regard. Pour lire ses réactions. Et te perdre un peu dans son regard. Mais tu te contentes de le toucher. De le voir à travers tes gestes. Sentir les courbes de son corps. Sentir la texture de sa peau et de ces cicatrices que tu connais si bien. C’est étrange. Différent. Ce mélange paradoxal entre l’impression que rien a changé et que tout est différent.

T’as réussi à virer son caleçon. Un peu difficilement. Heureusement, il t’a aidé. Juste un peu. Maintenant, y’a plus que lui et toi. Plus de barrière de tissus. Juste son corps contre le tient. Son membre tendu vient se frotter presque malicieusement contre le tient. Ca t’fait sourire un peu. Et ça t’excite foutrement. Un petit soupire s’échappe de tes lèvres tandis que ses doigts parcourent doucement ton corps. Des petits frissons te parcourent, dressant tes poils sur ton épiderme brulant. Ta main remonte doucement sur son torse pour venir se glisser sur sa nuque. Tu l’attires un peu, te redressant pour l’embrasser langoureusement. T’aimes le gout de ses lèvres. T’aimes la chaleur de sa langue contre la tienne. T’aimes la façon dont vous vous battez presque avec vos langues. C’est sauvage. Comme avant. Un peu comme si rien ne c’était passé. Un peu comme si ces derniers mois n’avait jamais existés.

Sans même le réaliser, tu écartes lentement les cuisses. Un peu comme un appel. Et presque brusquement, il attrape des jambes pour les relever et les poser sur ses épaules afin de les bloquer. Tu t’mords doucement la lèvre, bourré d’excitation. Tu le sens, son membre glisser contre tes fesses. Puis venir se poser devant ton intimité pour commencer à forcer l’entrée. Et la douleur te prend les tripes. Putain. Tu sers le poing, tentant de penser un instant à autre chose. T’as rien fait depuis des mois. Et le sentir s’insinuer en toi, comme ça, sans vraiment de préparation, ça t’fait gémir de douleur. Tes ongles viennent s’enfoncer dans sa peau tandis qu’il te pénètre lentement. Bordel. Tes ongles griffent son dos. Un peu comme si tu voulais lui faire ressentir la même douleur. T’es généreux. Tu partages. Connard.

Il te faut un peu de temps pour t’habituer à sa présence. Pour te réhabituer. Puis finalement, la douleur disparaît doucement pour laisser la place au plaisir. Ou la douleur devient plaisir. Tu sais plus bien. De toute façon, y’a toujours eu ce petit coté douloureux entre vous. Douloureusement excitant. Tu dois êtres foutrement tordu pour aimer autant ça. Sale barge.
Ton souffle court vient s’égarer contre sa peau. Tu fermes un instant les yeux avant de te redresser un peu pour quémander ses lèvres. Bordel. Ce mec te rend dingue.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Lun 29 Sep 2014 - 0:04 par Invité

Tu pourrais attendre quoi ? Le déluge ? Qu'il décuve ? Le soleil ? La nuit ? Un mois ? Sérieusement c'est quoi ces principes stupide sur le temps nécessaire à baiser ? Toi personnellement t'as pas besoin de beaucoup pour bander -surtout face à lui. crevard- alors tu vois pas pourquoi du reste tu devrais patienter. Oui t'as pas appris le partage et la complicité, t'as pas apprit à jouer et à provoquer autrement que par vil méchanceté. C'est con, y'en avait un qui avait commencé à t'enseigner, mais tu l'as éjecté, détruit et rabaisser au rang d'handicapé. T'es comme ça toi, tel l'enfant qui casse ses jouets préférés. Peu importe.

Ce sont des jambes qui s'accrochent au dessus de tes épaules qui te font encore plus envie, c'est sa manière beaucoup trop indécente de t'envier et de le laisser voir sur son visage qui te donne aucune envie de patienter. Alors tant pis. T'aurais pu être plus doux, mais t'aurais très certainement y mettre plus d'indifférence à son corps et à sa douleur. Tu aurais pu t'en foutre royalement de l'entendre gémir de manière totalement différente que pour montrer son plaisir. Tu le connais. Et ça te fait gerber de connaitre ce genre de chose. Mais tu t'en fou la tout de suite. Alors t'y vas presque lentement. Oui toi, avec lui, avec un mec, sur ce sujet... Tu le pénètres sans forcément penser d'abord à ton plaisir personnel. Bon ok peut-être un peu parce que plus tu es lent plus le plaisir est juste iimpossiblement bandant. Un bon point. Tu grognes. Tu grognes en sentant ses ongles t'arracher la peau dans ton dos. Bordel. Pire qu'une meuf. Tes doigts se crispent un peu sur le transats, tu l'arrêtes même pas. Non tu te mors la lèvre simplement parce que c'est bon. De retrouver son corps, de retrouver sa peau, de retrouver le contact de sa peau, de te sentir en lui, de ressentir tout ça à nouveau. Et demain... tu n'y penses pas. Non loin de ça. Dans un mouvement de bassin tu finis par vraiment débuter. Tu le vois crisper, tu le sens pas forcément ravis. Un temps. Seulement. Et quand il se redresse légèrement, tu ries contre ses lèvres. Un rire un peu malsain, amusé, un peu bourré, bien trop sincère avec lui. Bordel. Et tu te penche pour l'embrasser mordre sa lèvre avec avidité tes hanches se collant entre ses cuisses avant de s'en éloigner. Tu savoure ce plaisir, ton corps recommençant à bouger. En rythme, le pénétrant encore et encore laissant ce plaisir -abjecte- s'étendre en toi. Tes doigts se crispent sur ses cuisses, t'en veux plus. Tu veux tout maintenant, et tu veux en même temps que ça dur. Ce plaisir brutale, anormale et qui revient d'un passé de quelques mois. Entre deux coups de bassin tu viens l'embrasser étouffant un gémissement contre sa langue. Furieusement elles se cherchent, elles se jouent l'une de l'autre, se caresse sans réelle douceur, tes dents venant malmené sa lèvre sans réellement chercher à le blesser. Son corps t'a clairement manqué, c'est un fait.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Lun 29 Sep 2014 - 1:08 par Invité
Son rire putain. Son rire. T’as le cœur qui s’affole rien qu’en l’entendant. Bordel. Idiot. Et il te fait sourire. Là. Contre ses lèvres. Putain de gamin heureux. Tu devrais pas pourtant. Tu devrais vraiment pas te sentir si bien entre ses bras. T’as le cœur qui bat fort. Et le plaisir qui se répand comme de l’acide dans tes veines. T’as chaud. T’as l’impression de cramer sur place. De devenir un volcan en fusion. Tu bandes comme t’avais pas bandé depuis une éternité.
La violence de tes ongles marquant sa peau laisse place à une douceur étrange. Tes doigts remontent doucement. Comme une caresse sur sa peau. Puis ils viennent s’égarer dans ses cheveux. Ses dents mordillent ta lèvre inférieure, t’arrachant un gémissement tandis que tu le sens s’enfoncer profondément en toi. Tes doigts se resserrent sur ses cheveux, les tirant légèrement tandis que tu lèches ses lèvres avec envie.

Tu accompagnes ses mouvements, bougeant tes hanches au rythme de ses coups de reins. Tu sens ta peau coller au transat sous l’effet de la transpiration. Tes yeux sont posés sur lui mais tu cherches même plus à imaginer. A visualiser. Non. Tu ressens toutes les sensations t’envahir comme un tsunami. Tu ressens tout plus fort. Et ça t’fait gémir. Là, contre ses lèvres. Contre sa langue qui vient fougueusement se battre contre la tienne. Bordel.

Tu sens l’excitation monter. Rapidement. Trop rapidement. Ca fait trop longtemps que t’as rien fait. Mais tu veux pas que ça s’arrête. Pas trop vite. Pas trop tôt. Tu veux l’garder contre toi. Tu veux l’garder en toi. Tu t’caresses même pas. Ses vas et vient t’excitent tellement que t’as trop peur de venir trop rapidement si ta main où la sienne venait s’égarer vers ton membre suintant de plaisir. Tes lèvres viennent s’égarer dans son cou. Et tu gouttes doucement à sa peau que tu connais si bien. A cette saveur salée un peu particulière que tu reconnaitrais entre mille. Puis doucement, tu viens mordiller la peau tendue de son cou. Tu viens jouer entre la douceur de ta langue et la dureté de tes dents.
Un coup de rein particulièrement bien placé t’arrache un petit cri de plaisir. Et tu te contractes. Là. Autour de son membre bandé. De nouveau, ta bouche vient regagner la sienne. Mais tu l’embrasses pas. T’es juste là. A quelques millimètres de sa bouche. Tu sens son souffle chaud s’égarer contre tes lèvres à chaque coup de rein. Et les gémissements se font plus régulier. Plus profond. Tu veux pas que ça s’arrête putain. Doucement, tu laisses échapper son prénom dans un soupire de plaisir. Et tu te cambres un peu plus. Pour ne faire qu’un avec lui.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
() message posté par Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
London Calling. :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4  Suivant
» il sera impossible de l'oublier... (Kaspar)
» Je t’aime une fois, je t’aime deux fois [ft Wyatt]
» ►I'm ur ... Blindsitter? w/Victor
» times up (victor)
» darling one (victor)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-