"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Brunch time - Olila 2979874845 Brunch time - Olila 1973890357
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Brunch time - Olila

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() message posté Dim 17 Aoû 2014 - 15:14 par Invité
Ca fait maintenant quelques semaines que ma rencontrez avec Lyla s’est passé et je n’ai pas eu l’occasion de la croiser de nouveau depuis. J’essaie de provoquer le destin en sortant dès que j’entends du bruit dehors, mais ce n’est jamais elle. J’ai croisé une autre fille qui a l’air d’avoir son âge, mais ça doit être sa soeur. Je suis bien content de ne pas avoir vu son frère ou je crois que je serai passé pour un con un peu. Enfin, ne parlons pas de malheur.

Aujourd’hui j’ai décidé de préparer un bon petit déj, ou plutôt, un brunch, pour elle et moi. J’entends le gosse pleurer depuis assez tôt ce matin, je me dis qu’elle doit être là. Enfin, j’en sais rien, j’ai juste un bon feeling. On est dimanche, c’est le jour du seigneur, si jamais elle bosse, j’espère qu’elle ne bosse pas le dimanche.

J’ai acheté des croissant, j’ai pressé du jus d’orange tout frais (j’ai d’ailleurs faillit tout boire, c’est tellement bon le jus d’orange frais). J’ai commandé des gaufres, sorti du nutella, de la chantilly, j’ai du café si elle en veut, j’ai aussi du thé, du chocolat au lait. Tout ce qu’il y a de meilleur pour un petit déjeuner. J’aurai pu faire des pancakes mais je ne suis pas trop doué pour ça et puis j’en aurai mis partout. Il est vrai que j’ai une femme de ménage, donc que le nettoyage n’aurait pas été un si gros soucis que ça, mais quand bien même, non, je n’avais pas envie que ma cuisine se transforme en champ de bataille avant qu’elle ne vienne. Surtout que je compte lui faire visiter l’appartement. Elle n’est jamais venu, c’est la moindre des choses. Quand quelqu’un vient chez vous pour la première fois, vous faites visiter, c’est la politesse.

Ca fait maintenant vingt minutes que j’ai reçu les gaufres, il faudrait que je me bouge et que j’aille chez elle pour l’inviter. Si elle n’est pas là ou si elle ne peut pas venir, je crois que je vais avoir assez à bouffer pour ce midi et ce soir en plus de ce matin. Je me regarde dans le miroir avant de sortir. J’ai un slim noir et un vieux thsirt « The Cure » tout délavé. C’est parfait. Mes cheveux sont propre mais pas très bien coiffé. Je sais que les filles adorent ça quand je suis décoiffé. Je sors de chez moi, prenant soin de ne pas oublier mes clés. Il manquerait plus que je m’enferme devant ma porte.

Je fais les quelques pas qui séparent ma porte de la sienne et je frappe enfin. Mon coeur bat un peu plus vite, j’espère ne pas tomber sur son frère. J’aimerai bien que le petit bébé m’ouvre, ce serait bien plus simple. Il ne sait pas parler en plus. Il ne sait sûrement pas qui je suis. Tous les autres doivent savoir qui je suis. Enfin, si elle leur a parlé de moi. Même si elle ne leur a pas parlé de moi, ils savent que je suis le voisin chiant. Je passe ma main dans mes cheveux et la porte s’ouvre enfin. Je prie intérieurement pour que ce soit elle qui ouvre. Ca m’arrangerait bien.

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() message posté Dim 17 Aoû 2014 - 22:35 par Invité
« Noam tu me soules. Arrête de gueuler cinq minutes et avale ton médicament ! » Hurlais-je après mon neveu. Cela faisait bien trois semaines qu'il n'avait pas hurlé de la sorte. Les dents avaient fini de sortir et voilà qu'elles recommençaient à l'enquiquiner et à nous faire chier, littéralement. Je n'en pouvais plus de l'entendre pleurer toute la journée et de ne jamais s'arrêter. Le petit doigt dans la bouche du petit, je frottais doucement ses gencives sensibles pour faire passer la douleur, en vain. Le médicament qui devait le soulager ne faisait rien et je devenais folle, complètement folle. J'avais décidé de m'occuper de Noam pendant qu'Elias se reposait. Enfin, il ne devait pas se reposer beaucoup vu le boucan que le petit faisait. Il devait être aux alentours de dix heures lorsque mon frère sortit de sa chambre, prit son fils avec lui et retourna se coucher. Amen. J'adore Noam, j'adore m'occuper de lui mais je n'ai plus aucune patience ces derniers jours. Je veux que tout ailler vite, que tout soit parfait mais c'est tout sauf ça. Ma vie est un cauchemar sans fin et je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir de la sorte. Il y avait trop de choses à la caserne, trop de pression et d'injustice. Les bleus sur mon abdomen le montraient bien. Je détestais les garçons pour m'avoir fait ça et pas qu'un peu. J'avais envie de les étriper, de les crever comme on crève des pneus mais ce n'était pas possible. Me plaindre à mon supérieur n'était pas une option envisageable. Il fallait donc que je prenne sur moi. Mon sommeil était de plus en plus difficile et mouvementé. Me dirigeant vers la douche, j'espérais pouvoir me sortir de ce bordel sans fin bientôt. Je n'ai guère envie de passer toute ma formation à mordre l'intérieur de ma joue pour ne pas pleurer et de ne pas pouvoir dire ce que je pense, comme à mon habitude. Comme quoi... Je soupire alors que j'allume les jets d'eau. Je dois rester sous l'eau une bonne demi heure et je sais qu'Elias va hurler en voyant la facture d'eau chaude. J'ai abusé pour le coup et mon corps est couvert de plaque rouge. J'ai l'habitude de la chaleur avec tous les tests et entraînements qu'on nous fait faire ces derniers jours. Sauf que pour le coup, je n'ai pas d'uniforme pour protéger ma peau. Je me dirige rapidement dans ma chambre et enfile une robe noire avec quelques brillants qui dessinent un décolleté carré, mettant ma poitrine en valeur. Ma robe est plutôt moulante et collante. Je ne sais pas si nous devons allez chez nos parents cette après-midi, mais je n'ai aucune envie d'enfiler un jeans et un t-shirt pour que la même mésaventure qui s'est passé avec Elias se répète. Mon père en deviendrait dingue. Je retourne au salon, les cheveux coiffés dans une queue haute bien tirée et je souris en voyant Noam jouer dans son parc. Amen. Du silence. Je souris et allume la télévision. Un large sourire se dessine sur mon visage quand je mets les chaînes de musique et entend la nouvelle chanson. Je saute sur le canapé et danse comme une folle sur This is how we do pendant que mon neveu éclate de rire et que mon frère lève les yeux au ciel. Cette douche m'a fait du bien. En quelque sorte. « Ca a toqué Lyla ! Va ouvrir parce que si c'est Thalia qui a oublié ses clés et qui rentre déchiré, je la tue » Je lève les yeux et passe par dessus le canapé tout en dansant sur Your Love de Nicole Scherzinger. Cette chaîne a décidé de me mettre de bonne humeur dès le matin. J'ouvre la porte, ne faisant pas attention à qui se trouve là et attends quelques secondes. Quand je tourne la tête et croise le regard d'Oliver, mon cœur rate un rattement. Quoi que mieux que de danser sur du Katy Perry et du Nicole Scherzinger devant un chanteur qui porte un t-shirt de The Cure. Je déglutis. C'est bon, je viens de griller toutes mes chances plus ou moins inexistantes. « Oliver ! Comment vas-tu ? » Demandais-je en faisant signe à mon frère de rester dans la cuisine. Je me dépèche de baisser le son de la télévision et lui sourit largement. « Quel bon vent t'amène ? » Là, tout de suite, j'espère que sa sœur ne lui a pas dit tout ce dont nous avons discuté l'autre fois. J'espère qu'elle ne lui a pas dit que je l'ai comparé à un dieu grec. Je me tiens à la porte et souris. Je me demande ce qu'il veut. Du sucre, de la farine ou bien du café ? Un café qu'il me doit toujours d'ailleurs en y pensant...
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() message posté Mar 26 Aoû 2014 - 13:46 par Invité
Je suis devant la porte de chez elle à piétiner sur place et en faisant une prière en même temps. Je prie que ce soit Lyla qui m’ouvre. Ils ont l’air d’être quinze à vivre dans cet appartement, je peux avoir droit à tout un tas de configuration. Je réfléchis à ce que je dirai si jamais c’est pas elle qui ouvre, mais je n’ai pas besoin d’y penser bien longtemps car la porte s’ouvre. C’est elle. Lyla. Je sens un grand soulagement. Je lui fais un sourire qui doit être un peu crispé, je sais pas trop, mais je sais que je dois pas avoir une tête normale là. En tout cas elle ne fait pas de remarque et j’espère qu’elle n’en ferait pas. Je crois que je rougirai comme une fille en moins de deux.

« Hey… Ca va. »

Je sais que je devrais lui demander « et toi ? » mais les mots ne sortent pas, je me sens con. Un bon gros con. A ce moment précis j’ai même envie d’annuler ce brunch que j’ai préparé. Je me défile comme un petit puceau. Pourquoi je me prends la tête comme ça ? Mon cerveau reprend le dessus quand il réalise que Lyla est vraiment très jolie dans cette robe noire. Aussitôt mon esprit de jeune homme qui réfléchit qu’avec son entrejambe se réveille. J’essaie de ne pas trop imaginer comment elle est sous sa robe, mais rien à faire, ça y est, je l’imagine nue et ce que j’imagine me plaît énormément.

« J’ai préparé un genre de brunch… Si jamais t’as envie d’en profiter. »

Je ne vais pas préciser que c’est pour lui renvoyer la pareille. Elle m’a offert un bon café dans un moment où j’en avais vraiment très besoin et où je n’avais pas d’argent. Je veux la remercier comme il se doit, mais vu tout ce que j’ai préparé, ça risque d’avoir l’air bien trop par rapport à ce petit café qu’elle m’a offert. Ce café était bien plus qu’un simple café pour moi, mais je ne vais pas entrer dans les détails. Et puis je dois dire que oui, j’ai bien envie d’impressionner la demoiselle. J’ai bien envie de lui enlever sa robe aussi. Mais oui d’ailleurs, si elle est si bien habillée, elle doit sûrement avoir quelque chose de prévu. Je me mets en condition mental pour un refus de sa part parce que c’est forcément ce qui va se passer.

« Si t’es libre… Vu comme t’es toute belle, tu dois sûrement avoir un truc déjà prévu… »

Je connais pas grand monde qui se met en robe comme ça juste pour rester chez soit. Après tout, je ne la connais pas vraiment cette jolie Lyla, j’aimerai bien qu’elle doit dispo. Sinon je pense déjà à téléphoner à Jesùs pour qu’il vienne bouffer avec moi. Ou bien je remplirai mon congèle, mais ça sera pas aussi bon la prochaine fois. Je continue de la regarder, elle est vraiment canon. Qu’est ce que j’ai en ce moment avec les petites jeunes brunette. Elles me rendent toutes dingues. Elles se sont ligué pour tuer mon petit cerveau et mon petit coeur de jeune garçon qui ne pense qu’à s’amuser et se faire plaisir. Mon esprit continue de vagabonder et j’imagine déjà tout ce qu’on pourrait faire chez moi après avoir mangé quelques gaufres. Un petit tour dans la salle de bain, et un autre tour sur le canapé pour terminer dans mon lit avant de retourner de nouveau dans la salle de bain.

« On peut prévoir ça pour un autre jour sinon… »

Comme ça cette fois je ne préparerai pas tout ça pour rien. J’aurai dû la prévenir avant bien sûr, mais je pense jamais à ce genre de chose à l’avance. Ca m’a pris comme une envie de pisser cette idée de brunch. J’ai déjà de la chance qu’elle soit là alors que je suis venu frapper à sa porte.

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() message posté Dim 31 Aoû 2014 - 13:57 par Invité
Face à Oliver, je perds tous mes repères. J'essaie de l'impressionner, qu'il me voit autrement que comme une gamine de dix-neuf ans en manque de tout. C'est ce que je suis au fond mais je n'ai aucune envie qu'il me voit ainsi. Plutôt mourir. Je veux passer de l'étape de la petite minette à la jeune femme. Ce n'est pas près d'arriver mais on ne sait jamais. « J’ai préparé un genre de brunch… Si jamais t’as envie d’en profiter. » Je souris légèrement et alors que mon cœur me crie d'y aller et de me dépêcher, mon cerveau me dit de ne pas me montrer trop heureuse, trop contente, trop impatiente. Fichue conscience. Mais sur le coup, elle a peut être raison cette conscience. Ne pas être trop surexcitée, faire semblant de réfléchir et de ne pas montrer cette folle envie que j'ai de passer du temps avec lui. Qui sait, ce sera peut être pourri et je serais déçue à jamais. Ou alors je vais m'accrocher pour rien parce qu'Oliver n'est pas le genre d'hommes à se mettre en couple et ça, sa sœur me l'a répété plusieurs fois. J'aimerais bien le faire changer mais je veux dire, je n'ai pas franchement ce pouvoir en main. Bien dommage. Elias a assez à faire entre Selena et Thalia alors franchement, il ne s'occuperait pas de moi. Quoi que... « Si t’es libre… Vu comme t’es toute belle, tu dois sûrement avoir un truc déjà prévu… » Je lui souris légèrement, baissant très légèrement la tête. J'entends Elias soupirer et je lui fais un signe du bras de fermer sa bouche. Pas maintenant ! En tout cas, je suis bien contente de m'être quelque peu maquiller ce matin comme ça on ne voit pas que je me transforme en tomate à cet instant même. « Oh ça... Non, je n'ai rien de prévu » Ouai, enfin presque. Elias se racle la gorge et je soupire. Quand c'est pas Noam, c'est Elias. Allez Thalia, débarque et viens nous faire chier, toi aussi. « On va chez les parents dans l'après-midi » Ouai pour ton anniversaire mais mon cher, t'es plus un bébé et je n'ai jamais cassé un de tes coups alors leave me alone. Je le fusille du regard et la voix d'Oliver me revient aux oreilles. Annuler et déplacer ce brunch. No way. Il a déjà tout préparé sinon il ne m'aurait pas invité. Il l'a fait sans savoir si je pouvais venir. Je suis là, je suis prête alors zut ! « Je vois les parents demain aussi. Ils ne m'en voudront pas » Mon père risque de ronchonner que j'ai choisi de passer l'après-midi avec un autre homme que lui mais bon. Il s'en remettra. Ma mère sera heureuse. Et si ça arrive aux oreilles d'Aloysia, elle va m'appeler pour tout savoir de ce qu'il s'est passé. « Je suis donc libre comme l'air » Lançais-je en me tournant vers Oliver avec un large sourire. « Je reviens » Je pars à toute allure vers ma chambre et quand je vois mon frère se lever, je le dévisage. Il n'a pas intérêt à aller voir Oliver. Encore moins dans son pyjama. J'enfile une paire de ballerines parce que ma robe est peut être belle, jolie et classe... Je ne sais pas marcher en tâlons. J'attrape mes clés, j'embrasse Noam, me baissant plus que d'habitude, laissant presque apercevoir un morceau un peu trop intime de chaire. Je reviens tout aussi rapidement vers la porte. Elias n'a pas bougé mais je peux le voir bouillir à l'intérieur. Il va sérieusement falloir que je lui dise d'arrêter d'être comme ça avec moi. Je ne suis plus une gamine, je ne suis pas inconsciente alors zen. Oliver fait un pas en arrière et je ferme rapidement la porte derrière moi. « Désolée pour ça. Mon frère est un peu sur les nerfs en ce moment » Je ne vais pas plus loin parce que je n'ai pas envie de raconter sa vie et la mienne aussi, en quelque sorte. Je souris et le laisse passer devant moi. Il ouvre la porte de son appartement et la disposition est plus ou moins la même que celui dans lequel je vis. Normal, on est voisin. Mes yeux se posent sur la table pas mal bondée et l'odeur de gauffre bien chaude. « J'ai bien fais de ne pas manger ce matin » Lançais-je en souriant légèrement. C'est pire que l'abondance ici. Quand je vois la quantité de nourriture, je me demande s'il mange énormément, s'il a cru que je mangeais pour dix ou qu'il avait peur de ne pas avoir assez ou que je ne mange pas de tout. Après tout, il y a tellement de trucs sur cette table qu'il pourrait nourrir des gens avec des tas d'allergies. « Ca sent trop bon punaise » Lançais-je en riant légèrement. J'aime la bouffe. Je suis plutôt une miss salée mais pour le coup, les gauffres m'appellent et les croissants... Olala ! Il faut que je me contrôle. Je ne dois pas passer pour un estomac sur pattes sans grande estime de soi. Ouai. En gros, fais ta Thalia avec toutes les manières que ta mère t'as apprise !
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() message posté Sam 6 Sep 2014 - 1:19 par Invité
Je lui propose de venir pour un brunch que j’ai préparé mais elle prend son temps pour répondre. Je sais que c’est un truc de fille ça de se faire désirer. Et ça marche. Plus les filles me font attendre plus j’ai envie de les mettre dans mon lit à un moment ou à un autre. Elle sourit quand je lui fais ce petit compliment qui m’est sorti de manière complètement naturelle. Elle est magnifique dans cette robe même si oui j’imagine les sous vêtements en dentelles qui vont avec et qui sont sous ce bout de tissue. Je suis vraiment qu’un petit con qui réfléchir avec son entrejambe. Oui, ça m’arrive d’être qu’un type de base. Souvent même. Je n’en ai pas honte. On est jeune il faut en profiter. La vie est courte (oui ça a bon dos cette expression, mais je l’approuve).

Elle me dit qu’elle n’a rien de prévu, enfin, avant que j’entende une autre voix derrière qui dit qu’ils vont chez leur parents dans l’après midi. Je suis bien content de voir qu’elle m’a dit le contraire et que - sûrement son frère - essaie de lui casser ses plans. Je fais mine qu’on peut déplacer pour un autre jour si jamais le besoin est, mais rien que de savoir qu’elle a envie de venir aujourd’hui ça me fait plaisir. Un énorme sourire s’affiche sur mes lèvres quand elle dit qu’elle ira voir ses parents le lendemain et qu’elle est libre. Elle file ensuite me disant qu’elle revient. Je ne compte pas entrer dans l’appartement sachant que son frère est de l’autre côté de cette porte.

Elle revient assez vite et s’excuse, je balaye ses paroles d’un geste de la main.

« Je sais ce que c’est les histoires entre frères et soeurs. J’en ai 5. »

Oui rien que ça. Une jumelle, une grande soeur, deux frère jumeau et un autre plus jeune. Je ne perds pas une seconde de plus et nous faisons les quelques pas qui séparent son appartement du mien. Je ferme la porte derrière nous. Je ne sais pas si je dois faire faire un tour du propriétaire. J’opte pour ne pas faire de visite. Ou en tout cas, pas de tout l’appartement. Le salon et la cuisine suffiront. Et encore, tout est déjà dans le salon. D’ailleurs je lui fais signe vers la table.

« Brunch, buffet, comme tu veux. On peut squatter à table ou bien se mettre dans le canapé sur la petite table. »

Je ne sais pas pourquoi je réfléchis à ce genre de truc. Ca devrait se faire naturellement de toute façon sur le moment. Je devrais pas parler autant en fait.

« Sers toi, c’est open bar. Enfin, open bar de la bouffe. »

Je dis n’importe quoi et je m’en fiche. Je viens de me mettre en mode ‘profite, même si tu passes pour un con, au moins t’es naturel’. Je vais jusqu’à la table pour commencer à manger, je prends un pain au chocolat pour commence. Je commence à avoir faim mine de rien. Ca fait un moment que je suis debout en train de préparer tout ça. Je montre la cuisine derrière moi, je compte m’y rendre sous peu pour nous servir un truc à boire.

« Y’a des trucs à boire, genre du jus d’orange, j’ai du café dans la cuisine, machine expresso, mais j’ai du lait donc on peut faire des café latte aussi. Tu me dis ce que tu veux je t’apporte ça. »

Une chose que je n’ai pas pensé à faire avec grande précision c’est le ménage. Ma chambre est clairement en bordel, mais je n’ai pas prévu qu’on aille dans cette partie de mon territoire. Quoi qu’il se passe aujourd’hui, ce sera dans le salon. Tout comme hier avec la fille qui a passé une partie de l’après midi chez moi. D’ailleurs je n’ai pas remarqué, mais il y a son string qui traine sous le canapé, un petit bout de dentelle dépasse sur le côté.

Une fois que la miss Lyla m’a dit ce qu’elle voulait boire, je fais quelques pas à reculons pour commencer mon ascension vers la cuisine non loin.

« Installe toi, fais comme chez toi, je reviens tout de suite avec le reste. »





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() message posté Sam 6 Sep 2014 - 19:47 par Invité
J'ai envie d'étriper Elias quand il se permet d'intervenir dans ma conversation avec Oliver. Il n'a aucun droit de le faire et le fait juste pour m'embêter ! S'il s'agissait d'un autre garçon qu'Oliver, il n'aurait jamais rien dit. Il ne l'aime pas, il le trouve mal poli, mal élevé et tout ce qui va avec, c'est son choix, son idée mais pas la mienne. Je ne lui dis rien sur ses conquêtes – inexistantes certes – alors il n'a rien le droit de dire sur le garçon qui me plaît parce que pour le moment, le jeune Calloway n'est que ça : un garçon qui me plaît physiquement qui plus est parce que je ne connais pas grand chose de lui. C'est peut être ça qui me motive à y aller : passer du temps avec lui et apprendre à le connaître parce que je suis loin d'être le genre de fille qui laisse sa famille de côté pour un garçon. Enfin, j'arrête de trop réfléchir et me dépêche. Je n'ai aucune envie qu'Elias lui tombe dessus et le fasse fuir avant que j'ai eu le temps d'ouvrir la bouche. Ce serait la pire chose qui puisse arriver aujourd'hui : Elias qui lui ferme la porte au nez et m'empêche d'y aller. Aux Etats-Unis, j'aurais pu ronchonner mais on m'aurait dit que j'étais mineure alors qu'ici, je suis majeure, vaccinée et consciente de mes faits et gestes ! À peine la porte fermée derrière moi, je m'excuse auprès d'Oliver et je souris à sa réponse. Je sais qu'ils sont cinq mais j'évite de lui dire parce qu'il pourrait me demander comment je le sais et je me vois mal dire que j'ai tendu un piège à sa sœur puis l'ait invité chez moi pour qu'elle m'en dise plus sur lui. Oui, autant éviter de passer pour une psycopathe et tout ce qui va avec. Je n'ai aucune envie de le voir annuler mystérieusement ce brunch et partir en courant. Il veut déjà déménager donc autant éviter d'accélérer le processus. Lorsque j'entre dans son appartement, mes yeux glissent rapidement sur les pièces qui s'offrent à moi. C'est clair et propre. Non pas que j'imaginais Oliver vivre dans un appartement peint en noir avec douze centimètres de poussières mais tout de même ! Il a un joli appartement et soit il est doué pour 'décorer' – décorer est un grand mot puisque lees pièces sont quand même asse sobre – soit une de ses frangines est venu le faire pour lui. J'imagine bien Pia accrocher des cadres et tout ce qui va avec. Ça me fait bizarre de limite mieux connaître sa jumelle que lui. Alors que je ne connais pas grand chose de la belle blonde et qu'elle m'a balancé deux trois trucs sur lui. Je me perds dans mes pensées et il me ramène sur terre en me parlant d'open bar de la bouffe. Je lui souris légèrement et me retiens de rire. Open bar de la bouffe... Non mais sérieusement ? J'attrape une gauffre et découpe un morceau avec mes doigts. J'ai l'air d'une petite péteuse à agir de la sorte. Je suis plutôt à avaler une gauffre pleine de chocolat et de nutella à pleine bouche mais là, non, je fais la fille civilisée. Chasse le naturel et il revient au galop. Je finis ma bouche et lui donne ma 'commande'. « Un jus d'orange s'il te plait » Je lui souris et attrape une serviette sur la table. Je me sens mal à l'aise. Je veux faire bonne impression mais j'ai l'impression de jouer un rôle. Pia m'a dit de toujours être franche avec lui. Je dois tenter de l'être au maximum maintenant. Instantannément, mes épaules s'avachissent légèrement et je croque dans la gauffre. Elle est meilleure comme ça. « Installe toi, fais comme chez toi, je reviens tout de suite avec le reste. » Je le vois s'éloigner et souris. Je vais me mettre sur le canapé, ça fera un peu moins solonel, un peu moins ''je reste loin de toi tu es le maaaaaaal''. Je pose ma gauffre en équilibre sur l'accoudoir du canapé – gauffre qui est sur une petite assiette, merci les tâches de graisse sinon – et attend qu'il revienne. Si j'ai fini ma gauffre avant son retour, il va me prendre pour un estomac sur pattes. Je pense trop, trop, trop ! Ma conscience me gifle et je tente de me détendre. Oliver n'est qu'un garçon comme les autres. Sans compter qu'il connaît mieux les femmes que je ne connais les hommes.. Je n'ai aucune chance, je ne suis qu'une gentille voisine qui le défend face à son frère féroce. Je souris et laisse glisser ma serviette. Je grimace légèrement et me baisse pour la ramasser, sans franchement regarder où je mets la main. Lorsque ma main remonte au niveau de mon visage, mes yeux s'aggrandissent et je déglutis difficilement. Un string en dentelle. Il a de drôles de délires ou alors ce n'est pas le sien. J'entends les pas d'Oliver se rapprocher et je n'ai toujours pas bougé. Je ne sais pas quoi faire. Le reposer comme si je n'avais rien vu ou lui faire une remarque. Mon estomac se retourne et je suis toujours coincée sur ce fichu canapé. Comme si je ne pouvais pas tomber sur ça plus tard voire jamais. Non, il fallait qu'à peine ici je le remarque. « Je... Je mets ça où ? » lançais-je en regardant Oliver. Ça. Comment si ça n'avait pas de noms ou que je ne savais pas ce que c'était. Je me sens mal ; il n'y a même pas pris le temps de checker si les ''possessions'' de son coup du soir étaient partis avec le coup en question. Tous mes muscles tremblent et je me sens mal à l'aise. J'ai envie d'hurler, de pleurer et de lui demander si son but c'est de me montrer qu'il ne veut rien de moi en laissant un string sur le sol. Ou alors s'il veut que, moi aussi, je laisse mes sous vêtements sur le sol de son appartement pour faire fuir ses potentiels conquêtes une fois l'acte fini. Mais rien ne sort. Je me lève et me dirige vers la cuisine. Je pense que le jeter et me laver les mains et la chose à faire. Eurk, ça me dégoûte rien que d'y penser. On est franchement mal parti pour un brunch qui aurait pu être parfait. Je ne sais même pas comment je vais réagir quand il va ouvrir la bouche. Ce n'est qu'un string après tout... J'aurais très bien pu tomber sur un préservatif usagé sur le sol ou pire, dans la cuvette des toilettes parce que ouai, ces petits trucs ont tendances à remonter à la surface. « Si tu veux j'enlève la mienne » lançais-je pour détendre l'atmosphère. Je ris légèrement avant de me rendre réellement compte de ce que je viens de dire. Ce n'est peut être pas l'idée du siècle...
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() message posté Lun 8 Sep 2014 - 1:22 par Invité
« Et un jus d’orange, un ! »

Aussitôt que j’ai annoncé la commande à voix haute, je file dans la cuisine pour préparer ça. Oui parce que ça va être un jus d’orange frais pressé. Non je ne vais pas le presser maintenant, je l’ai déjà fait tout à l’heure. Je vais juste prendre deux verres propres (oui je vais vérifier) et je vais touiller le jus d’orange sinon la pulpe est toute en bas. Je veux que ce soit parfait alors je fais ça bien. C’est pas souvent qu’une fille a le droit à ce genre de traitement de ma part. A part ma soeur bien sûr. Souvent elle vient chez moi et elle commande à bouffer avec ma carte bleu et on se fait une orgie de gaufres.

Je reviens dans le salon avec deux grands verres de jus d’orange frais pressé et je n’ai le temps de rien dire que Lyla me montre un sous vêtements en dentelle. Oh. Oops. Je ne sais pas d’où ça sort ça. La fille.. Hem… Candice ? Je ne sais plus son prénom, la fille de cette nuit a l’air d’être partie sans rien sur elle.

« Oops... »

Je ne sais pas du tout ce qu’elle avait en tête en venant ici. J’espère ne pas lui avoir fait de faux espoirs. C’est vrai après tout qu’elle doit être vierge, elle m’a l’air toute innocente comme fille et très jeune. Je la vois filer à la cuisine sûrement pour jeter ça quelque part. J’entends l’eau aussi, elle doit être en train de se laver les mains. Je pose les verres sur la table avant de les lâcher par mégarde. J’attends qu’elle soit de retour dans le salon avant de prendre la parole… J’ai eu le temps de réfléchir à un truc à peu près potable à dire dans une telle situation.

« Hem… Si ça peut te rassurer, ce n’est pas à moi. »

Je dis ça mais je ne pense pas que ça va la rassurer du tout. Je ne sais pas si elle a envie de partir, si elle me voit sous un autre oeil maintenant. Je n’ai jamais caché que je voyais d’autres filles. Ce n’est pas un sujet qui est arrivé sur le tapis. On ne peut même pas dire qu’il y ait quoi que ce soit entre Lyla et moi. Il ne devrait pas y avoir de malaise. Et quand bien même il se passait quelque chose avec elle, je fais toujours bien comprendre aux filles qu’il n’y aura rien de plus qu’un soir entre nous.

J’ouvre de grands yeux quand elle annonce qu’elle peut enlever sa culotte. Alors là, je n’aurai pas cru qu’elle aurait été du genre à dire des choses comme ça. Elle me plaît de plus en plus la petite Lyla.

« Si t’es plus à l’aise sans, fait toi plaisir. »

Je me mords la lèvre pour retenir un rire. Si elle le fait alors là je pense que je ne pourrais pas me contrôler bien longtemps. Oh ça non. Je suis jeune et plein de vie, ce n’est pas parce que j’ai tiré un coup la veille que je ne suis pas dans la capacité total de remettre ça aujourd’hui. Même plusieurs fois s’il le faut.

« Je ne promets pas que je saurai me tenir par contre… »

Voilà comme ça c’est dit. Si elle le fait, c’est qu’elle veut m’allumer et j’aimerai bien qu’elle le fasse oh ça oui. Maintenant qu’elle l’a évoqué, je l’imagine et ça me rend tout fou. Je commence à faire des prières mentalement pour qu’elle ose.

« Je peux enlever mes sous vêtements aussi si tu veux. »

J’adore cette conversation qu’on est en train d’avoir. Ca peut me permettre d’aller droit au but. Je la regarde en me mordant la lèvre. Je suis en train de la regarder droit dans les yeux et je l’imagine à poil. J’aime ce que j’imagine.

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() message posté Lun 8 Sep 2014 - 23:46 par Invité
Sous vêtements à la main, je ne sais pas trop où me mettre. Je me sens mal à l'aise alors que je ne devrais pas. Ce n'est pas mon string en dentelle – plutôt mignon mais je ne porte pas ça – et ce n'est pas ma conquête. C'est Oliver qui devrait se sentir mal à l'aise mais ce n'est pas le cas. Enfin, pas plus que ça. « Oops... » Ouai, oops. Je ne sais pas quoi penser. Croit-il que je suis comme cette fille ou a-t-il conscience que j'ai un peu plus d'estime de moi même ? Quoi que, c'est vite dit parce que cela fait plusieurs semaines que je rêve de me retrouver à la place d'une de ces demoiselles. Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis une femme avec des envies et coucher avec le jeune Calloway est tout en haut de cette liste ! En numéro, il y a : botter le cul de mes collègues de la caserne. À croire que j'aime me fixer des défis irréalisables. Je ne fais pas le poids face à mes collègue et je ne suis pas le genre de filles qu'aime – ou plutôt apprécie – le blondinet, j'en suis sûre. J'en ai vu quelques unes quitter son appartement et elles sont toutes très jolies, trop jolies et à voir leurs sous vêtements, elles calculent tout. Ce qui n'est pas mon cas parce que je ne peux même pas me rappeler de ce que j'ai mis comme petite culotte ce matin. Pas un boxer, ça c'est sur et c'est déjà un exploit ! Quand j'entends les verres cogner contre la table, je grimace. Pourquoi je n'ai pas laissé cette culotte où elle se trouvait ? Je m'en veux parce que je viens de rendre la situation douze fois plus gênante qu'elle aurait pu l'être. Une vraie idiote qui tue toutes ses chances avant d'avoir tenté quoi que ce soit. J'attrape de l'essui-tout sur mon chemin et pouffe de rire quand il me dit que ces dessous ne sont pas à lui. « Chacun ses préférences ! » Lançais-je en épougeant le jus tombé sur la table. Ça va coller si on ne le fait pas tout de suite et plus vite c'est fait, plus vite je peux boire et me débarasser de cette image de lui avec une autre. Penser à des oranges qui se font presser, c'est presque plus agréable. En tout cas, quand je suis mal à l'aise, je fais gaffe sur gaffe et je n'ai pas le temps de me contenir, de me retenir que j'en sors une encore plus grosse que moi. Comme si j'allais ôter ma culotte comme ça, style de rien ! Non mais qu'est-ce que j'ai dans la tête à part la roue d'un hamster ? J'ai envie de me gifler mais mon rire nerveux en dit long sur mon état. Comment faire fuir un homme par Lyla Ioannis-Hanwell. Je devrais écrire un livre là dessus ! Alors que ma sœur pourrait écrire l'inverse ; 'Comment faire craquer un homme' par Thalia Ioannis-Hanwell. On est franchement différente et elle, elle aurait déjà ôté ses sous vêtements depuis longtemps. Pas que ce soit une garce mais elle aurait profité de ce moment alors que moi, je ne sais pas trop quoi faire. Cela fait un an que je n'ai rien fais avec un garçon et l'idée de savoir qu'Elias est juste de l'autre côté du mur n'aide pas. Il faut que j'enlève ces pensées de ma tête. Je dois m'imaginer dans un igloo, isolée avec Oliver et de la nourriture. Ma gauffre ! Je l'attrape, croque dedans et manque de m'étouffer avec quand il rouvre la bouche. « Si t’es plus à l’aise sans, fait toi plaisir. » Il se moque de moi, ce n'est pas possible autrement ! Je le vois se retenir de rire et ça me perturbe. Je sais que je suis celle qui l'a lancé sur cette pente mais tout de même. Je l'écoute et plus les secondes passent et plus mes yeux s'ouvrent grand. Qu'est-ce qu'il est entrain de me faire ? « Je peux enlever mes sous vêtements aussi si tu veux. » Je déglutis avec difficulté et pose mon assiette. Je suis assez proche d'Oliver et je tente de me contenir, de trouver quoi faire. Je ne me suis jamais trouvée dans cette situation, absolument jamais et je me demande bien ce que je suis censée faire ou dire. Je suis peut être censée attendre, l'inciter à le faire ou littéralement lui sauter dessus. « Oh. Vraiment ? » Je souris légèrement. Il faut que j'arrête de réfléchir et que j'y aille à l'instinct parce que je risque de le regretter. De toute façon, plus je réfléchis et moins mes paroles ont un sens. Cerveau, off. Merci pour tes bons et loyaux services. « Sinon, je peux enlever les tiens et toi les miens. Je veux dire... Je préfère interagir » What the hell is going on with me ? Je sens mes jambes trembler mais je tente de rester sûre de moi. C'est loin d'être le cas mais si je ne bluffe pas maintenant, c'est fini pour moi. J'ai envie d'hurler en repensant à ce que j'ai dis. Je préfère interagir. Vraiment ? Il a cent fois plus d'expérience que moi, il l'a encore fait hier et moi... mon dieu ! Ce n'est pas ma première fois non plus ! Ça ne peut pas être pire que ma première fois pour tout dire. Je pose ma main sur son torse – enfin son t-shirt – et un léger sourire se dessine sur mon visage. Je regrette de ne pas avoir mis de talons parce que je suis plus petite que lui et ça me perturbe presque. Presque ouai parce que là, je suis bien trop attirée par les yeux bleus d'Oliver, ses traits, ses lèvres. Ma main glisse d'elle même au niveau du bouton de son jeans et j'hésite. Bien entendu que j'hésite. Ma conscience me rappelle à l'ordre mais je l'ignore. Enfin presque. Je me colle à Oliver et colle mes lèvres aux siennes. Mon dieu. J'ai l'impression qu'une centaine de papillons investissent mon estomac et ils sont accompagnés d'un feu d'artifice digne de ce nom ! Mes mains glissent sous le t-shirt d'Oliver et j'ai l'impression que c'est encore mieux que dans mes rêves les plus fous. Non, c'est encore mieux ! Je me détache du jeune homme quelques secondes et d'un coup de main, j'enlève son t-shirt. Woaw ! Comme quoi, même sans pratiquer, ça ne se perd pas. Ça va un peu trop vite mais si je réfléchis trop, c'est fichu. Il ouvre la bouche et je pose mon index sur ses lèvres. Je secoue la tête de droite à gauche. « Pas de questions, pitié » Sinon le cerveau il va se remettre en route. Je ris légèrement et regarde son torse en me reculant légèrement. « Je comprends mieux ce qui les fait toutes craquer » Ouai mais aujourd'hui, bitches, c'est à moi ! Je me mords légèrement la lèvre inférieur et croise son regard. J'ai l'air d'un petit chaton pour lui et ça me va pour le coup. Que le grand méchant s'occupe de moi. I've been naughty lately.
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() message posté Mar 9 Sep 2014 - 22:05 par Invité
Elle me fait rire quand elle annonce que tout le monde peut avoir ses préférences. Elle prend ça à la rigolade et tant mieux. Je n’ai fait que suivre sa lancée. Je continue de la regarder, elle nettoie la table, elle s’embête pour rien mais je ne vais pas faire de remarque. Je vais pas commencer à lui dire que j’ai une femme de ménage qui vient une fois par semaine. Ca casserait tout le moment. Car oui, moment il y a. Parce qu’on continue à parler sous vêtement ou plutôt d’enlever ses sous vêtements. Elle fait la fille surprise quand je dis que je peux enlever les miens aussi si elle a envie. Je vois son sourire en même temps. J’ai complètement oublié le brunch là. J’ai mangé un pain au chocolat vite fait tout à l’heure et c’est tout ce que j’aurai besoin d’avoir dans l’estomac pour la faire crier sur mon canapé. Mes pensées sont confirmés quand elle dit qu’elle préfère interagir.

« Parfait. Moi aussi. »

Je me rapproche un peu d’elle parce que je sens que les choses sérieuses ne sont plus bien loin. Elle pose sa main sur moi et je me mords la lèvre parce que ça y est, on entre dans le vif du sujet et ça me plaît. Mon sourire s’agrandit quand je la vois sourire aussi. Communicatif. Mon coeur bat un peu plus vite d’anticipation. Je sens que ça va me plaire ce qui va suivre. Je n’aurai pas cru que je l’aurai aussi rapidement, mais je suis bien content. Je me sens doué. Ce n’est pas mon fort d’habitude de draguer les filles. C’est elles qui viennent toute seule dans mon lit. Je n’ai jamais grand chose à faire. Elle descend sa main à ma braguette et là je sens un bon coup de chaud. Elle ne fait rien de plus mais l’intention est là et ça me suffit. Je la regarde de près, je la trouve vraiment magnifique. Je me décide enfin à me bouger et à poser mes mains sur elle. Je passe un bras autour de sa taille et je descends en haut de ses fesses. Oui j’ai envie de profiter aussi au passage. Elle pose ses lèvres sur les miennes et je reste comme ça juste contre ses lèvres. Je commence à entrouvrir les lèvres quand je sens ses mains sous mon tshirt. On se détache et elle m’enlève ce bout de tissu qui nous gênait. J’entrouvre de nouveau les lèvres et elle me fait un signe négatif. Elle a du croire que je voulais parler mais non, je voulais juste reprendre où on s’est arrêté. Elle me mate ouvertement et je souris à sa phrase.

« Mes beaux tatouages ? »

Je plaisante et je me rapproche de nouveau d’elle, passant mes bras autour de sa taille pour l’avoir tout contre moi. Je reprends ses lèvres, j’essaie de ne pas y aller trop d’un coup. Elle a l’air de vouloir prendre le temps et moi j’ai toujours en tête que c’est sa première fois, alors je vais doucement. Je cherche une fermeture éclaire ou quelque chose dans son dos en même temps que je continue de l’embrasser. Je cherche un moment mais je galère, je trouve pas. Si faut il n’y a pas de fermeture éclaire. Je me mets à rire contre ses lèvres. Je me détache.

« Comment elle se défait ta robe ? »

Au passage je suis en train de me demander si je lui ai déjà parler de ma jambe. Ou plutôt de ma « non jambe ».

« Faut la faire passer par dessus ta tête ? »

Aussitôt dit je descends mes mains sur elle, sur ses fesses, j’en profite carrément c’est clair. Je fais remonté un peu le tissu au passage et je vais reposer mes lèvres sur les siennes. J’ai clairement envie d’elle, je l’embrasse les yeux ouvert, je veux la regarder et je parle contre ses lèvres en même temps.

« Avant que tu m’enlèves mon jeans… Je sais plus si je t’ai parlé de ma jambe ? »

Mes mains toujours sur ses fesses, je continue de faire remonter le tissu de sa robe doucement.

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Anonymous
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() message posté Mer 10 Sep 2014 - 14:46 par Invité
Quand les mots sortent de ma bouche, je me gifle mentalement. Ce n'est tellement pas moi cette fille sûre d'elle qui drague et propose ouvertement de déshabiller un garçon, un garçon qui lui plait. Je ne sais pas ce qu'il me prend mais je ne peux pas faire demi tour maintenant. Pour tout dire, je ne veux pas faire demi tour parce que je ne pourrais plus jamais le regarder dans le blanc des yeux quand je le recroiserais et ce serait bien idiot parce qu'il a des yeux... Je pourrais me perdre dedans ses yeux. Je stresse comme je n'ai pas stressé depuis des mois mais, en même temps, j'adore cette sensation, ces papillons dans mon estomac qui me disent que je dois foncer et qu'au pire, je raserais les murs dès que j'entendrais le bruit de sa clé dans la porte. Il faut vivre au jour le jour et j'ai envie de tout ça, de tout ce qui va se passer. Il n'y a que mon frère qui pourrait venir tout foutre en l'air mais quand j'entends la porte de notre appartement claquer et la voix de Noam dans le couloir raisonner, je souris. Ouai c'est super mal insonorisé mais ça veut surtout qu'il ne viendra pas faire chier son monde. Merci. MERCI. Je m'empare de ses lèvres et tente de me rappeler de ce qu'Aloysia m'a dit quand j'ai quitté New York avec Elias, Thalia, Noam et les parents : fais attention, les anglais sont des rapides, prends ton temps. Ouai. Je dois prendre mon temps mais c'est plus fort que moi ! Je n'ai pas envie non plus qu'il pense que je n'ai jamais rien fait et que je suis encore vierge. Je me souviens encore de ma première fois et de tout ce qui a suivi. Plus jamais. Je me doute qu'Oliver se protège dès qu'il change de partenaire et qu'il a ce qu'il faut parce que je n'ai pas ça sur moi et je ne sais même pas où cela se trouve à la maison. En même temps, je me vois mal demander à mon frère ''sinon, ils sont où les préservatifs ?''. « Mes beaux tatouages ? » Je glisse les yeux et ris légèrement en acquiesçant. Ouai ça doit être ça, ses tatouages. Il y a aussi le fait qu'il soit fin mais pas squelettique pour autant. Bref. Je suis totalement fan de tout ce que je vois mais j'évite de passer pour une folle furieuse pour autant. Je n'ai pas franchement envie qu'il me compare à ses fans/groupies qui le regardent sans arrêt. Je préfère l'embrasser et sentir sa peau contre la mienne. Et sa main sur mon postérieur. Il profite mais je ne peux rien dire, j'en fais autant. Mes mains se baladent sur son dos, dos que je caresse du bout des doigts. Je profite comme je ne l'ai jamais, comme si j'allais claquer demain ou qu'il allait disparaître de la surface de la planète dans les jours qui suivent. Ses mains sont sur mon dos et il cherche quelque chose. S'il cherche la fermeture, il peut y aller parce qu'elle est sur le côté, dans les coutures pour qu'on ne la voit pas. Quand il rit, je souris automatiquement et le regarde. Canon. Canon. Over canon. Ses cheveux, ce visage, ses yeux et cette bouche. Je pourrais en devenir folle et complètement accroc. Je glisse la très légère fermeture et il ôte ma robe en un claquement de doigt. C'est plus facile comme ça. Je me rapproche de lui mais pas trop non plus, histoire qu'il ne galère pas encore pendant dix minutes à m'enlever ma robe. Quoi que. Il peut prendre le temps qu'il veut sachant que je ne porte rien sauf une petite culotte noire – merci je n'ai pas mis sous vêtement Hello Kitty que mon père m'a offert – et je me sens mal à l'aise à l'idée qu'il se peut très bien qu'il me reluque dans quelques secondes. Je vais me retrouver seins nus devant lui, comme ça et ça me panique tellement ! Il faut que je garde mon calme. Je n'ai pas à avoir honte de ma poitrine parce que ce que j'ai me suffit amplement en temps normal. Ouai, en temps normal parce que j'aimerais être la plus parfaite possible pour le beau blond. Je rêverais qu'il se dise ''woaw, canon quand même'' et non pas ''et voilà, un bonnet B de plus'' Alors que nos lèvres sont collées, je sens ma robe s'arrêter quelques secondes  au niveau de mon nombril. « Avant que tu m’enlèves mon jeans… Je sais plus si je t’ai parlé de ma jambe ? » Je pose mes mains sur ses fesses et finis par les glisser dans les poches arrières de son jeans. Je me demande pourquoi il me pose cette question. A-t-il peur que je parte en courant en voyant sa prothèse ? Je m'enfoue. Ça ne me dégoute pas, ne me fait pas fuir, loin de là. Je ne vais pas dire que ça m'excite, que ça m'attire mais ça lui donne un côté guerrier, fonceur, survivant. « Oui quand tu m'as dis que tu adorais les pompiers » Je souris l'embrasse doucement, chastement. J'ai envie de lui dire que je m'enfous, qu'il peut garder ou non sa prothèse, ça ne changera rien au fait que j'ai terriblement envie de lui là, maintenant, sur le champ. Avec ou sans prothèse. C'est son 'intimité', c'est à lui de voir ce qu'il veut faire. Mais je dosi avouer que je préfèrerais qu'il l'enlève. Pas pour voir ce que ça fait mais plus parce que ça voudrait dire qu'il prend son temps et qu'il n'a pas peur de se montrer comme il est vraiment, sans artifice. Une main sort de sa poche arrière et déboutonne son jeans avec une facilité déconcertante. Alors qu'il enlève enfin ma robe et la pose au pif, je me colle à lui rapidement. Il n'a rien le temps de voir et je colle mon bassin au sien pour qu'il n'ait aucune chance de bouger. « Je te préviens d'avance mais les bleus sur mon corps ne sont pas là parce qu'on me frappe. Je suis juste maladroite » Je préfère lui dire parce que j'en ai quelques uns jaune et un sacré sur les côtes qui date d'il y a quelques jours. Cette fois, j'ai failli me tuer pour de bon. Le prévenir est éviter d'avoir des questions ou de ne pas en avoir parce qu'il s'en fout comme de sa première couche. Je commence à faire glisser le jeans le long de ses fesses et de ses cuisses. Je dépose des baisers sur son torse à mesure que je me baisse et ne bute pas sur sa prothèse. Ma main glisse dessus et je laisse son jeans finir sa course tout seul. Il aime bien les habits serrant mais il n'a pas de gros molets alors forcément ça glisse plus ou moins facilement. Je remonte tout aussi doucement, l'embrassant et fais bien exprès de glisser mes long et fins doigts sous son boxer pour toucher son postérieur du bout des doigts. Ne nous précipitons pas trop. Alors que je m'apprète à lui ôter ce dernier tissu, je le regarde droit dans les yeux et cherche comment le dire. Le plus simplement. « Tu as... ? » Super simple de jouer aux devinettes ! Mais je n'ai pas envie d'aller plus loin pour qu'il se rende compte qu'il est à court et que je doive me rhabiller pour aller en chercher à côté. Je tente toucher de l'empêcher de reluquer ma poitrine mais ça devient difficile. Je suis prête pour tout et n'importe quoi sur le coup parce que j'en ai presque rêvé de ce moment et qu'il semble être encore plus intense et fort que ce que je pouvais imaginer. Je suis comme une gamine le soir de sa première fois avec l'homme de sa vie. Sauf que ce n'est pas ma première fois et ce n'est peut être pas l'homme de ma vie. Pour le coup, je frôle son aine et souris. Hop hop hop !
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