(✰) message posté Jeu 11 Sep 2014 - 1:29 par Invité
Elle ouvre sa robe sur le côté et ça ne m’empêche pas de continuer à remonter tout ça. Je trouve ça vraiment très sensuel et ça m’excite un peu plus. J’adore ça déshabiller les filles. D’habitude je ne m’en souviens pas trop, ou bien je n’ai pas conscience de ce que je suis en train de faire. Aujourd’hui je suis complètement sobre, il est encore tôt en même temps alors c’est normal. Je continue de l’embrasser, de la toucher quand je lui demande si je lui ai parlé pour ma jambe. Elle me confirme que oui. Il me semblait bien que j’en avais parlé, mais comme j’étais pas bien réveillé ce jour là, j’étais pas sûr.
J’en profite pour lui enlever complètement sa robe. Elle se colle aussitôt à moi et sentir sa poitrine contre ma peau me file un coup de chaud. Je me mords la lèvre et je pose mes yeux sur elle, le regard rempli d’envie. J’ai oublié ma petite préoccupation par rapport à ma jambe, elle est au courant, c’est bon c’est oublié. Je peux de nouveau utiliser l’intégralité de mon cerveau pour profiter du moment. Je caresse son dos, je descends mes mains à ses fesses et je suis surpris par ce qu’elle me dit.
« Maladroite ? Ou bien t’essaie de me dire que t’es SM… »
Je me mets à rire à cette idée. Moi qui la pensait vierge y’a pas dix minutes, voilà que maintenant je l’imagine en combinaison de cuire avec un fouet à la main. Lyla repasse une main devant moi pour déboutonner mon jeans. Ok, cette fois, elle peut y aller. Elle est au courant pour ma jambe, elle ne va pas me faire une crise cardiaque (oui c’est déjà arrivé). Elle fait glisser mon jeans sur mes chevilles… Oui ok, ma cheville et l’autre artificielle. Ne jouons pas sur les mots. Les baisers qu’elle laisse sur ma peau au passage me tirent des frissons. Elle se met à me toucher les fesses et j’adore qu’elle ose. Elle n’a pas froid aux yeux. Elle me demande si j’ai un préservatif et j’hoche la tête.
« Dans ma chambre… Je vais nous prendre ça. »
Je dépose un baiser sur ses lèvres avant de filer et je ne manque pas de regarder son corps en me reculant. Je lui fais un grand sourire en coin, suivi d’un clin d’oeil approbateur. C’est limite si je vais pas lever le pouce pour lui dire que j’approuve tout ce que je vois, mais non, je ne vais pas aller jusque là.
Une fois dans ma chambre, je prends la boite de préservatif dans le tiroir de la table de nuit et je m’assois sur le lit pour enlever ma prothèse, comme ça se sera fait. Je n’ai pas envie de faire ça devant elle, ça casserait tout le moment. Une fois libéré de ma prothèse, je mets la boite de préservatif entre mes dents et je prends les béquilles qui sont juste à côté de mon lit. Je vais dans le salon comme ça, je me dépêche parce que je dois avoir l’air complètement con. Je lâche les béquilles, je me laisse m’asseoir sur le canapé. Je prends la boîte dans ma main et je regarde combien il m’en reste. Y’en a encore au moins quatre. Y’a de quoi faire. J’en sors un et je le pose à côté. Je tends la main vers Lyla pour qu’elle me rejoigne sur le canapé. Ca y est je suis l’handicapé de service, je ne vais pas pouvoir bouger de ce canapé, à part si elle me porte ou si je prends mes béquilles. Donc pas pour ce que j’ai en tête.
Je continue de la mater ouvertement et quand elle est enfin de nouveau contre moi je ne vais pas m’en prendre tout de suite à sa poitrine. Non, je passe mes bras autour d’elle, caressant son dos, descendant mes mains jusqu’à ses fesses. Je fais en sorte qu’elle se mette à califourchon sur moi, touchant ses cuisses. Je commence à être bien serré dans mon boxer… Mes mains continuent de se balader sur elle. Je prends mon temps. Je prends mon pied. On a tout le temps.
Quelques minutes plus tard…
Un sourire aux lèvres, je viens tout juste d’arriver au septième ciel. Je ne peux pas dire que je suis du genre endurant. Il me suffit de dix minutes pour arriver là. Après je ne suis jamais contre un second round. Avec plaisir même. Je suis allongé sur le dos, parce que en tant que handicapé, c’est quand même la position la plus pratique pour moi, surtout quand je commence à fatiguer. Je dois avouer que j’adore avoir les filles sur moi, qu’elles me dominent, qu’elles maîtrisent tout. Je garde un bras autour d’elle, je ne suis pas du genre à me détacher complètement dès l’instant où c’est terminé. Enfin ça dépend de la fille. Lyla je veux la garder contre moi encore un moment.
« Je me taperai bien une gaufre là. »
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(✰) message posté Jeu 11 Sep 2014 - 19:22 par Invité
« Maladroite ? Ou bien t’essaie de me dire que t’es SM… » Je le regarde dans les yeux et ris légèrement. Oui bien sur, je suis une sado masochiste et je rêve de l'accrocher à son lit. Ça pourrait être sympa mais ce n'est pas mon style, loin de là. « T'aimerais bien mais non, c'est pas mon style » Je ne suis déjà pas une professionnelle des relations sexuelles ''de base'' alors là, franchement, no comment. Et je n'ai jamais lu les cinquantes nuances de Grey alors forcément ça n'aide pas. Il paraît que ce livre donne des idées et que le film sera à la hauteur de tout ce qui se passe sur ces pages. Il l'a peut être lu et lui, ça lui donnera peut être des idées. Je ne dirais pas que je suis prête à être son cobaye mais pourquoi pas. Je divague tellement mais c'est plus fort que moi. Je sais que quoi qu'il se passe, ça sera génial, parfait et plus encore. Il ne peut pas être mauvais au lit – ou plutôt sur le canapé – c'est tout bonnement impossible ! Alors qu'il part dans sa chambre quelques secondes, je ferme les yeux et pose mes mains sur mes yeux. Un large sourire se dessine sur mon visage et je sautillerais presque tellement l'adrénaline me monte au cerveau. Mais il faut surtout que je me calme pour ne pas tout gâcher, pour ne pas faire une connerie et tout foutre en l'air. Ce serait bien mon style ça, de tout gâcher en disant un truc qu'il ne faut pas, en étant trop timide. C'est pas mon style d'être timide, renfermée mais ce n'est pas n'importe qui à mes yeux et ça, ça fait toute la différence. Je souffle légèrement et entendant du bruit derrière moi. Quand je me retourne, je le vois avec son paquet de préservatif dans la bouche et je ris légèrement, très légèrement. Il a l'air bête comme ça et super craquant. Quand je baisse les yeux, je me rends compte qu'il est en béquille et qu'il a donc enlevé sa prothèse. C'est donc pour ça qu'il a été un peu long. Je ne fais même plus attention au fait que je sois à moitié nue devant lui. Il est aussi à nu et ça me plait plus qu'il ne peut l'imaginer. Sur deux jambes ou une, Oliver me fait de l'effet et je sens mon cœur battre plus rapidement. Un léger sourire est toujours affiché sur mon visage et mes yeux en disent long sur ce que je pense là tout de suite. J'attrape rapidement sa main, me pose sur lui et passe mes bras autour de son cou. Chaque parcelle de mon corps ressent le moindre de ses gestes et j'en profite amplement. Je ferme même les yeux quelques secondes quand je le sens glisser ses mains sur mes cuisses. Je l'embrasse et tout devient flou, puisssant, intense. Comme jamais cela ne l'a été. Je profite pleinement et chaque geste, chaque baiser, chaque souffle est une bouffée de fraîcheur, de bonheur. Je ne me souvenais plus que ça pouvait être comme ça. Aussi intense, agréable et naturelle. Pas la peine de se poser trois cent milles questions, juste suivre son instinct. Je crois qu'on est sur la même longueur d'onde, que tout ce qui me fait du bien lui en fait aussi et qu'on arrive au septième ciel au même moment. Je sens mes muscles se contracter et j'aime ça, j'adore tout ça mon dieu ! Mes lèvres se détachent des siens et je le regarde longoureusement dans ce moment plus qu'intime. Je remets en place les quelques cheveux qui sont sortis de mon élastique et lui souris, son bras autour de moi. Je pourrais rester là pendant des heures et des heures mais mon estomac grogne légèrement. J'espère qu'il ne l'a pas entendu. Je n'ai mangé qu'une demi gaufre depuis hier soir et je crève littéralement la dalle. « Je me taperai bien une gaufre là. » Je pose un baiser sur ses lèvres par pur 'instinct' ou tout simplement par envie. « On est deux. Ça m'a creusé l'estomac » Et oui, c'est bien connu. Faire l'amour fait brûler un nombre inconsidérable de calories et je pense qu'on s'est bien dépensé pour le coup. Je souris et me lève rapidement. Je file tout aussi vite vers la table et enfile sous t-shirt qui cache tout ce qu'il y a cacher. Enfin pas trop non plus parce que le t-shirt doit s'arrêter deux centimètres en dessous de mon postérieur. Je ne peux pas rester complètement nue devant lui, c'est juste impossible. Je suis un peu trop timide à ce sujet sûrement. Ou un peu trop coincée. C'est sûrement ça oui. Je place une gaufre sur une serviette et rajoute un croissant à côté de ma demi gaufre. J'ai envie d'avaler tout ce qu'il y a sur la table parce que je suis bien du style à avaler tout et n'importe quoi et à ne pas prendre un gramme grâce à tout le sport que je fais. Je me tourne vers lui et souris. « Je prends ton verre au passage ? » Ca donne faim, ça donne soif tout ça et je n'ai pas vraiment envie de me relever dans trente secondes non plus. Et je me vois mal lui tendre ses béquilles en mode ''vas-y démerde toi tu ne dois pas trop aimer qu'on s'occupe trop de toi''. J'attends sa réponse et reviens à ses côtés alors qu'il s'est redressé. Je ne sais pas quoi dire et je sens mes joues rougir alors qu'il ne faudrait pas ! Je ne suis vraiment pas le genre de filles à s'épancher sur ses sentiments et à parler de ce qu'elle a fait quelques minutes avant. Et puis ça n'arrive tellement pas souvent que je ne sais pas vraiment ce qu'il faut faire, comme s'il y avait un schéma. Peut être recommencer, mais pas tout de suite histoire d'avoir le temps de récupérer.
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