« You could be a sweet dream or a beautiful nightmare. »
'Why our friendship is so complicated ? ☇GABRIEL
« Le terme "gros pervers" colle bien à la situation je trouve. » lui dis-je légèrement amusé. Je voyais bien que son regard se poser à des endroits pas très catholique. J'étais entre l'embarras et la flatterie. Et il ne m'aidait pas à aller mieux, lorsqu'il se mit à caresser ma taille délicatement. Un frisson plutôt plaisant me parcourra le long de la colonne vertébrale et je me sentais coupable de ressentir de telles sensations envers des caresses faites pas mon meilleur ami. Mais quelque part, il ne m'aidait pas non plus. Cet homme n'avait rien à envier à personne, un corps musclé, un visage à en faire pâlir de jalousie un ange et des expressions faciales toutes plus sexy les unes que les autres. D'ailleurs je vous laisse imaginer l'état de mon coeur au moment ou il s'est mordillé la lèvre inférieur. Ne vous méprenez pas, c'est une constatation, il n'y a rien de sentimentale la dedans, c'est physique, c'est mon meilleur ami tout de même. En y repensant.. c'est pas mieux. J'ai l'air d'une hystérique.. Mais, je sais pas comment définir tout ça et à vrai dire je ne veux pas. Alors je préfère ne pas le faire c'est plus simple comme ça. Faisant passé mes paroles un peu trop sérieusement pour de l'humour. Je me contente d'apprécier les moments passés ensemble. Comme celui-ci. Tout les deux collé l'un a l'autre, dansant d'une manière assez sensuelle. Kay est-ce que t'es sur de ce que tu fais ? A vrai dire non. A force de trop me laisser emporter par la vague je risque de boire la tasse un jour ou l'autre. Mais j'aime trop ça, je ne peux pas faire autrement. J'aime m'amuser, jouer avec le feu et puis ce n'est pas comme-ci je faisais cela toute seule en plus. Il jouait autant que moi. On fonctionne comme ça, que ça plaise ou pas. Lorsque sa main dérapa sur le début de mon fessier, je me cambrais légèrement malgré moi. J'ai le corps assez sensible au touché pour être honnête avec vous. Une femme à fleur de peau comme dirait l'autre. Et ça peut rendre les situations comme celle-là encore plus ambiguë qu'elle ne l'était déjà. Je ne savais pas trop pourquoi mais je trouvais que la chanson collait parfaitement à la situation malgré qu'elle ne soit pas censé être faite pour nous. Je passais mes mains le long de la taille du jeune homme admirant discrètement, les parties musclé que mes doigts décelaient par dessus son haut. Tout en posant ensuite ma tête sur son épaule, les yeux fermés, m'enivrant du doux parfum de l'homme qui me tenait par la taille. Je m'étais un peu plus approchais de lui par la même occasion. après un doux moment passé dans les bras de l'hispanique, il finit par clore notre danse en s'éloignant doucement de moi. Son regard plongeais dans le mien me figea avant que je ne le détourne légèrement gênée. Je restais silencieuse, jusqu'à ce qu'il me fasse une remarque plus que pertinente. « Plutôt bon, je dois le reconnaître. S'il en reste encore un peu je ne dirais pas non. » lui avouais-je en tirant la langue. Il me fit ensuite une proposition plus qu'alléchante suivit d'une petite démonstration... Je ne pouvais qu'accepter. Mais je me demandais un peu derrière quoi je peux me couvrir pour la soirée que l'on va passé... En espérant que l'alcool soit au rendez-vous, je me rapprochais du jeune homme. « Avec. C'est beaucoup plus intéressant. » je passais mes mains sous le t-shirt du jeune l'aidant ainsi à le retirer tout en profitant des avantages que cela générait. A force de mordre ma lèvre je finirais par me l'arracher un de ses jours!
(✰) message posté Sam 30 Aoû 2014 - 23:33 par Invité
Elle avait accepté ma proposition et c'était rapproché de moi lentement. Je ne sais pas pourquoi à ce moment précis je me souvint de la première fois que je l'avais vu. J'avais trouvé son regard un peu égaré et à la fois tellement déterminé. Comme si toute sa vie avait été ravagé par un ouragan mais qu'elle avait au fond d'elle la volonté de tout reconstruire toute seule. Il y avait une flamme dans ses yeux qui m'avait averti du danger. Oui il y avait un danger avec les filles dans son genre pour moi. Le problème que j'étais du genre à m’enflammer pour rien : il suffisait que je sois en contact avec quelqu'un d'aussi joueur que moi pour que ça parte assez vite en explosion. J'étais l'essence et elle était le feu : impossible qu'il n'y ait pas d'incendie, impossible que les choses se passe sans encombre. On brûlait tout sur notre passage et beaucoup de gens en avait souffert, beaucoup de gens avait brulé dans les flammes incompréhensible de notre petit jeu. Des ex qui étaient partit parce qu'on entretenait elle et moi une relation bien trop intimes, des cœurs brisés parce que à mintes reprises j'avais choisit de loi et sans hésitation Kaitlyn plutôt qu'elle. Mais ça me paraissait normal, parce qu'à la fin c'était toujours elle qui restait, elle était toujours la et ne me faisait jamais faut bon quand j'avais vraiment besoin d'elle. Je l'a laissa retirer mon t-shirt et la regarda dans les yeux : peut-être un peu trop intensément vu les flashback qui remplissait mon esprit. Comment je pouvais osée lui faire du mal alors qu'elle était toujours la pour moi, je m'en voulais et je me disais qu'elle serait sans aucuns doutes : beaucoup mieux sans moi. Mais j'étais trop égoïste pour pensé à la laissé vivre sa vie. Je ne lui avais jamais dis à quel point elle comptais pour moi en plus, j'étais avare de mots, je me contentais de le montrer un minimum c'était suffisant … Selon moi. Wine Slow de Gyptian se jouait maintenant, c'était une chanson qu'elle même m'avait faite découvrir. Je lui souris et l'approcha de moi : je savais qu'elle bougeait très bien sur ce genre de musique, elle m'avait plus ou moins appris deux ou trois pas. Je me colla donc à elle laissant une de ses jambes entre les miennes. La je commença à faire des mouvements de bassin lancinent et appuyé pour qu'elle sente bien comme je la sentais.J'avais les mains sur le bas de son dos. Dans le fond ça ressemblait assez à toutes ses danses latine : la salsa, la samba … C'était assez sensuelle. C'était de plus en plus difficile de retenir mes pulsions. Je souleva légèrement la nuisette qui lu arrivait légèrement en dessous des fesses et posa ma main sur sa peau même en bas de son dos. Sa peau était brûlante à cette endroit et ma main était assez froide (comme d'habitude). « T'es chaude » ; j'eus un sourire remplit de sous entendu ! Elle devait deviné que je sous entendait les deux sens du terme. Elle étais chaude comme une flamme et j'étais froid comme un vieux bidon d'essence à l'abandon : quel coïncidence, dans quelque instant l'explosion allait avoir lieu... « Tu partage un peu de chaleur avec moi ? » ; je remontais mes mains le long de sa colonne vertébral pour finir par glissé sur le haut de son ventre puis plus bas juste au dessus de la limite de sa petite culotte. Je touchais doucement l'élastique de celle-ci. J'étais à deux doigts de craquer et je continuais de dansé sensuellement avec elle gardant une de mes mains à cette endroit dangereux. Les choses prenait un tournant jamais vu, je ne savais pas vraiment comment elle allait réagir.
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(✰) message posté Dim 31 Aoû 2014 - 16:00 par Invité
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"I want you to move slow to me. Cautiously, baby I love it like dat" Etait-ce un message pour moi? Je n'en savais rien. Mais ce qui était sûr c'est que je me retrouvais à "winer" bassin contre bassin, une jambe entre les siennes, suivant les mouvements de reins de mon Gaby. Oh my... Et dire qu'il y a quelques mois encore il ne connaissait même ce genre de musique et qu'aujourd'hui il les danse aussi bien que moi. Je peux vous dire que la pièce était remplis de tentions.. Mon cœur battait à la chamade, et mes hormones commençaient à se chauffer... Non reste calme Kait. J'alternais les mouvements de hanches en posant une première main au niveau de sa cage thoracique et l'autre sur son très bas dos pour m'aider. Mon cœur venait de faire un arrêt cardiaque lorsque le brunet se rapprocha d'avantage de ma personne. Je sentais des choses que je pensais jamais ressentir venant de lui. Au sens propre comme au figuré. Mon cœur était proche de l’arrêt cardiaque et ma chair tremblotait toute seule juste par ce contact. un frisson me parcourra sur la totalité du corps. Oui la totalité... si vous voyez ce que je veux dire. Plus on dansait plus je ressentais des envies s'éveiller en moi. Calme toi Kait, c'est rien du tout. A qui je voulais faire croire ça. Je resserrais mon étreinte sur Gabe le bassin légèrement cambré. Et comme si tout cela n'était pas assez compliqué à gérer le jeune homme trouvait ça encore plus amusant de passer sous le bout de tissu qui me couvrait à peine. inconsciemment surement il avait effleuré la peau de ma fesse, je prenais sur lorsqu'il déposait sa main sur mon bas dos, je me mordillais la lèvre inférieur pour contenir tout ce que je ressentais, se mélange chaud froid plus qu'exaltant. J'avais un frisson et une chair de poule total. Il ne se rendait absolument pas compte de ce qu'il provoquait... Enfaîte je pense que si, vu la remarque qui venait de me faire. Je pinçais légèrement sa peau. « T'a même pas à quel point. » Je venais de dire cette phrase avec plus de sensualité que je le voulais. Comment cela ce faisait-il... Fin, depuis quand avait-il autant d'impact sur mes envies... Pourquoi mon cœur battait avec autant d'entrain? Pourquoi je me sentais si fébrile avec lui ? habituellement je n'avais aucune gêne avec les mecs.. Mais lui... Ce n'est et ce ne sera jamais pareil, dans le fond je le savais. Partager ? Je le regardais l'air légèrement interrogateur. Jusqu'au moment ou le brun, passa sa main au niveau de mon ventre pour descendre à la limite. La grande limite, qui fait que l'on peut encore appeler notre amitié comme étant une amitié. Mon souffle se coupa d'un coup, mon cœur venait de rater n battement et bien sûr mon déhanché avait été plus fort et plus physique que prévu. Je cachais ma tête au creux de son cou, tentant de me calmer tant bien que mal. je laissais glisser mes lèvres, sur son cou puis sur son buste tout en caressant son torse et ses abdos. « Essaie toujours pour voir . » Je voulais vraiment savoir ce qu'il sous entendais par partager ma chaleur. Il y avait tellement de manière de comprendre cette phrase, quelle me laissait toute chose. Mais le problème est qu'on était pas seul. Et qu'il arrivait souvent que Tara se lève en pleine nuit et vienne avec son père... Je le regardais avec envie et j'avais tellement honte le voir comme ça.. Il fallait que je nous arrête avant de perdre ce que j'ai de plus chère après ma famille.
(✰) message posté Dim 31 Aoû 2014 - 17:45 par Invité
* Je vais lui sauté dessus...Putain j'ai envie de lu retiré le peu de fringue qu'elle a … Pourquoi … Non calme toi * . Partager sa chaleur, je ne savais même pas moi même ce que je sous entendais par la. Enfin peut-être que oui mais c'était fou ! Non j'allais pas faire ça ! Pas ce soir pas comme ça ! Comment ça pas ce soir : Jamais ! J’inspirai fortement et me décolla de ce corps qui commençait à me rendre dingue. « T'es trop jeune pour ce genre de pratique Kait » ; riais-je. J'étais vraiment pas loin de devoir prendre une douche froide. « T'as pris trop de dessert ! » ; dis-je un sourire en coin. Je savais que si elle se rapprochais tout de suite de moi je ne pourrais pas retenir mes mains, alors je pris la fuite prétextant de devoir sortir la poubelle. Ouf ! C'était vraiment passé pas loin cette fois-ci ! Je pris mon temps parce que je savais que ce soir je devrais faire preuve d'autant plus de courage avec Kait dans mon lit. Tout d'un coup se fut comme dans les film : j'eus 'impression d'avoir un mini ange et un mini démons au dessus de mes épaules. *Allez profite de la soiré. Juste un coup et vous oublirez tout en suite c'est pas grave. * ; me disait une partie de moi ;* Non Gab' elle compte sur toi et t'aime comme un frère ne gache pas tout sinon vous ne pourrez plus vous regardez en face *; me disait une autre partie. La nuit promettait d'être longue. Pour le moment je regagna la maison. Une fois le pied à l'interrieur j'eus les yeux fixé sur Kaitlyn puis sur la télé éteinte. Je me sortis une bière fraîche du frigo et m'installa prêt d'elle. Je laissai un silence pesant s'installer tout en buvant goulûment ma bière. « Tu sais que je laisserais jamais personne te faire du mal ? » ; c'était glissé tout seul de ma bouche. C'était la vérité mais c'était la première fois que je la clamais tout haut ainsi. Je ne sais pas pourquoi je pensais à ses tonnes de mec qui la voulaient et qui a chaque instant menaçait de lui faire du mal. Tu m'étonne que j'avais envie de tous leur casser la gueule. Je soupirais et rapprocha Kait de moi puis finit par l'installer sur mes genoux. Décidément je ne pouvais pas rester loin d'elle longtemps. J'alluma la télévision tout en caressant légèrement sa cuisse de mon autre main. « T'es fatigué ou ça va ? » ; on avait quand même beaucoup chahuté et elle avait eu une dure journée de travail.
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Il finit par nous arrêter dans notre délire, je le regardais légèrement destabilisé. J'avais la chair de poule, et le regard fuyant. Comment on étant-nous arrivé à là? JE n'en savais rien moi-même... Je ne savais même plus comment je m'appelais! Je tremblais en tenant à peine sur mes jambe.. Il me dit ensuite être trop jeune. « Ca c'est toi qui le dit. T'as cru que Hope était venue au monde part le biais d'une cygogne?? » Je ne voulais pas faire d'autre stylle d'halusion moins marrante pour lui. Il déteste tout ce qui peut s'apparenté à un jeu de seduction entre moi et une autre personne de type masculine. Il préférait penser que j'étais encore innocente et pure. Et afforce je préférais le croire aussi . Je souris à sa remarque suivante. « Ouais t'as raison. Je m'en abstiendrais pour les prochains jours. J'en ai trop eu d'un coup là.» Je tentais de faire passer ça avec humour et amusement mais... Je me donnais des gifles lorsqu'il sorti jeter la poubelle. Damn! Etais-je sérieuse?! A quel jeu j'étais en train de jouer au juste? Oui je m'embrouillais seule! J'avais pas à faire ça avec lui! Je ne devais pas faire ça putain! Je déconne trop! Gabe quoi, j'ai commencé à avoir chaud pour Gabriel! Non c'est plus possible! Autant j'arrive à gérer mes sexfriends. Mais si je fais une erreur de la sorte avec Gab' ça va tout changer et je ne m'en remettrais pas. Putain qu'est-ce que je pouvais être conne! C'était mon dernier dérappage de la soirée! Je reste calme pendant tout le reste. J'ai pas intérêt à recommencer! J'avais posé ma tête contre la table basse, froide et glacé. Je montais à l'étage me rincer le visage et me debarasser de toutes ses idées tout droit sortie de mes ovaires en explosion. Je redescendais ensuite, m'instalant sur le canapé tout en réfléchissant et me persuadant qu'il ne fallait pas que ça se reproduise et si ça arrivait il ne fallait pas que je reste passive comme je l'ai fait maintenant. Après un petit moment il entrait à nouveau dans la maison. Un silence s'installa entre nous, moi ausant à peine respirer. Après un petit moment il s'installa près de moi et me dit une phrase que je ne m'y attendais pas. Je le regardais un léger sourire. «... A l'heure actuelle, plus personne peut me faire de mal. » Je ressassais encore une fois mon passé. Ce que je venais de dire je le pensais profondément, le cœur que j'avais à l'époque est mort, en même temps que Nolan. Je ne peux pas souffrir plus que comme j'ai souffert l'an passé. Ça c'est impossible. J'étais immunisé à la souffrance maintenant. Les personnes que j'aimais plus que tout au monde m'ont fait du mal. Y'avais plus personne qui pouvait me faire du mal. Actuellement je m'en fichais de tout le monde. Tu m'aime c'est bien, tu m'aime pas tant pis pour toi. C'est aussi simple que ça. «Je suis immunisé Gab. Mais c'est bon de savoir qu'on a un pote sur qui on peut compter. Merci d'être là baby. » Je le regardais en souriant. Je lui donnais un coup sur l'épaule. Ah non! Je vous vois venir! Je l'appelle bébé non pas pour sa signification affective mais parce qu'on s'appelle mutuellement comme ça. On s'identifie comme des enfants ayant grandit trop tôt par responsabilités. Mais entre nous on pouvait être le grand gamin qu'on était réellement C'était un bébé et il se comportait comme telle en ma présence et réciproquement. C'est aussi simple que ça. C'est l'une des rares choses chez nous qui n'avait as de sous-entendu bizarre et profond. C'est comme l'appeler gaby, gab'. En plus ça va bien avec son prénom. Il venait de m'installer sur ses genoux et je regardais calmement la télévision. Il me demandais ensuite si j'étais fatigué j'hochais la tête négativement. Mais je baillais un peu.
(✰) message posté Mar 16 Sep 2014 - 19:56 par Invité
Je la regardais la sur mes genoux assise comme sur un trône. Elle regardait la télévision mais bizarrement je n'avais aucune envie de me concentrer sur le programme télévisuelle. J'examinais ses petites mimiques. Bien sur je restais discret je n'avais pas les yeux rivés sur elle. Elle baillait, elle était fatigué mais n'avais pas envie de dormir. Au bout d'un moment je ne me vis pas piqué légèrement du nez : cette journée avait été éprouvante pour moi plus que pour elle apparement. Vu comme j'avais courus à droite et à gauche ça ne m'étonnait. Je soupirais et regardais l'heure. « Bon si t'es pas fatigué moi je le suis. » ; je l'a saisit par la taille et la positionna prêt de moi à ma gauche pour pouvoir me lever. Sauf que je due faire un faux mouvement en me levant et du coup mon dos fit un affreux bruit de claquement comme si un de mes os venait de se briser à l'instant et je retombais aussi vite sur le canapé me pleingant par des petit gémissement de douleur. C'était toujours comme ça quand j'avais mal, je gémissais et je riais en même temps. « Un soldat à terre » ; dis-je me tenant le dos et me lissant glissé du canapé au sol. Je voulais faire rire Kait de ma douleur pour ne pas qu'elle s'inquiète même si la douleur était plutôt intense. Mon métier de garagiste avait rendu mon dos fragile : j'allais régulièrement chez la kinésithérapeute pour qu'elle détende mes muscles et remette en place mes os quelques fois. La douleur était lancinante et elle ne me laissait aucun répis. « Aie Aie Aie ... » ; je m'allongeais sur le sol et étrangement cela me soulagea légèrement. Bien sur il fallait qu'à ce moment précis j'entende venant de l'étage les chuinement de Tara. Elle ne se réveillait jamais la nuit mais bien sur quand je n'étais pas en position de m’occuper d'elle elle devait se réveiller. « Papa est mort bébé ! » ; dis-je en riant. Je fis les yeux doux à ma meilleure amie lui faisant comprendre que je voulais qu'elle s'occupe de Tara. Es que c'était mes cries de douleurs qui l'avait réveillé. Vu comme elle sentait bien les choses ça ne m'étonnerais pas d'elle. J'avais une certaine connexion avec Tara, elle sentait très facilement quand je n'allais pas bien et cela même si je m'efforçais de le cacher. De la même manière et c'était à mon sens tout à fait normal : je sentais très facilement lorsqu'elle était soucieuse, inquiète ou angoissé. J'étais le seul à pouvoir le voir et cela me rendait heureux. C'était rien pour certain mais pour moi cela signifiait beaucoup.
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(✰) message posté Dim 12 Oct 2014 - 0:43 par Invité
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Au bout d'un certain temps je vis mon ami quasiment s'endormir debout, je ris doucement en voyant cette scène, le trouvant adorable à cet instant là, on dirait presque un enfant. Mais ce moment fut vite casser par Jeune homme lui-même. Je le regardais en faisant légèrement la moue. Je ne voulais pas aller dormir mais je voulais encore moi me retrouver seul devant la télé. Mais monsieur travaillait demain, je ne pouvais qu'approuver lourdement ce qu'il venait de me dire moi je commençais les court à 11h. Avec ma mine de chien battue je tentais de l'amadouer. "D'accord, Gaby..." Il venait de me prendre par la taille pour me déposer sur le canapé. C'était peine perdue. Pourquoi fallait-il toujours qu'on me déplace des endroits les plus confortable? Enfin, je me recroquevillais sur moi-même en m'appuyant sur le dossier du canapé quand le malheur apparu. Le dos du latino fit un bruit des plus horrible avant que celui-ci ne tombe sur le canapé en gémissant de douleur. Je le regardais, les yeux écarquillés, surprise par la rapidité de l'action, je voulu rire en écoutant les commentaires que faisait mon ami mais je mis mes mains devant la bouche pour m'en empêcher. "Ca va chouchou?" Lui demandais-je enfin. Bien que j'en riais un peu, j'étais très inquiète pour mon ami. J'étais de nature anxieuse, il en faut peu pour m'inquiéter. Je le regardais glisser au sol avec amusement. Je me leva ensuite pour essayer de porter mon ami. Mais tout d'un coup, un chouinement facilement reconnaissable se fit entendre. Tara venait de se réveiller à se moment précis. JE regardais les escaliers puis je retournais mon regard vers mon ami. Il allait tout de même pas aller vers Tara dans cet état. JE regardais mon ami d'un air choqué après ce qu'il venais de dire et je ne me retint pas de lui donner un coup bien mérité. "Ne dit pas ça." Il rit un peu avant de me regarder puis de regarder les escaliers pour me faire comprendre de monter à l'étage. Je roulais des yeux un sourire en coin. Je le laissais la en lui déposant un coussin au cas ou il n'arriverait pas à se relever de là je pris un gros pull qui traînait là. Et je montais à l'étage m'occuper de ce petit bout de chou avant qu'elle ne réveille sa copine la petite capricieuse. Je pris Tara avec moi caressant doucement son dos. Elle n'avait pas l'habitude d'être prise par une femme pendant la nuit, elle continuait donc de réclamer son papa tout en se débattant un peu... Jusqu'à ce qu'elle se rende compte que cette jeune fille à qui elle avait à faire, elle la connaissait très bien. Elle me regarda, un moment comme pour identifier qui j'étais puis posa une main sur ma joue et son pouce dans sa bouche... Je la trouvais tellement adorable. Je lui donnais des bisous sur le visage, elle me demandait ou était son père, je lui dis qu'il était en bas et qu'il viendrait lui faire un bisou quand elle sera endormi. Ses paupières se fermaient doucement malgré qu'elle tentait de s'empêcher de dormir. Je restais là avec elle à la rassurer. Elle finit par se rendormir en me souhaitant bonne nuit... Mais.. Non, j'ai du rêver.. J'ai cru entendre un "mommy katy" de la bouche de Tara... Non elle a du baragouiner avant de dire Katy c'est tout. Je crois que la fatigue commence à prendre possession de mon corps. D'ailleurs il faudrait peut-être que je pense à questionner Gabriel sur la mère de Tara... Il ne m'en a jamais parlé. Tu me dira je ne lui ai jamais parler du géniteur de Hope... Et encore moins de Nolan... JE ne me sentais pas encore capable de cela pour le moment. Dans un futur prochain peut-être... Je ramenais la douce enfant dans sa chambre. La couvrant de sa couette puis rapprochant son doudou d'elle avant d'aller voir l'état de son père. "Alors comment va notre blessé de guerre?"