GABLYN | You can be a sweet dream or a beautiful nightmare.

Kay avait l'air tellement heureuse de ce que je lui offrais. La voir me sourire comme ça et rire à ce que je lui disais ça me faisait tellement plaisir. Ca me rappelait que même si on passait notre temps à se hurler dessus dans le fond tout ce qui nous importait c'était le bonheur de l'autre. Tous ce qui nous importait c'était que l'autre soit en sécurité et bien dans sa vie. On assurait les arrière de l'autre. On se le dirait jamais, on était des bien trop grande tête de mules, on avait notre fierté. Je la regardait en train de sortir la jolie nuisette que je lui avait acheter et un sourire se dessina instinctivement sur mon visage. Elle éclata de rire et moi avec : le pire c'est que son rire me donnait encore plus envie de rire. Elle répondit à ma remarque et me tapas à l'arrière de la tête, je me gratta à cet endroit en faisant semblant d'avoir eu mal alors que ça ne m'avait rien fait. « Ah je saigne !». ; Nous rime de plus belle «  Bah pourquoi je t'appelle pas femme. T'en ai pas une peut-être ? ». J'aimais la taquiner sur ce point la, j'aimais l'appeler comme ça parce que je savais que ça l'agaçait, mais elle aussi de son côté savait très bien que je rigolais quand je disais ce genre de chose. Je me stoppa de rire lorsqu'elle me posa la question. Je la regardai en souriant légèrement. « Tu sais déjà la réponse à cette question. Tu sais très bien que c'est non. En plus c'est moi qui l'ai payé ! Alors la tu rêve éveillé genre. » ; il était hors de question que quelqu'un d'autre que moi se rince les yeux. Je savais qu'elle avait due faire des choses avec des garçons, plein de garçons. Mais je préférais l'ignoré et croire que j'étais le seul avec qui elle dormait. Je me haïssais parfois d'être aussi possessif alors que ce n'était que ma meilleure amie, mais c'était plus fort que moi. L'idée qu'elle couche avec un garçon était déjà énorme, alors celle qu'elle puisse se faire belle pour lui, c'était presque un cauchemars. Je démarrais la voiture et m'engagea sur la route. « Je rigole pas. Ce soir je te viole les côtes ! » ; c'était encore une expression entre nous deux. Ca voulait dire qu'on allait encore se battre dans le lit comme des gamins. En général quand on dormait ensemble on se chamaillait, je l'a chatouillait elle me mordait, me frappait et me griffait : je vous raconte pas les séquelle sur mon corps. C'était comme si l'espace d'un instant on redevenait des enfants : comme si on rattrapait l'enfance qui nous avait tout les deux été enlevé. Oui parce que on avait eu tout les deux à grandir assez vite et assumé des choses . Personne ne pouvait comprendre ce que c'était d'avoir eu l'impression qu'on n'a jamais eu le temps de se construire nous même parce qu'on devait prendre nos responsabilité. Et moi encore plus que Kay. Les gens se disaient : oh ils ont fait des enfants maintenant c'est à eux d'assumer les conséquences ! Seulement ils ne se doutait pas de ce qu'il se cachait derrière. Pour moi la crise d'adolescence n'avait jamais été envisageable. C'était peut-être pour ça qu'aujourd'hui j'étais aussi sur de moi : je n'avais pas eu le temps de douter de moi même. « D'ailleurs un de mes potes qui regardait sur mon téléphone à vu les photos de ce que tu m'as fait la dernière fois au dos. Il a péter un câble ! Il était la : mais qui es qui t'as fait ça faut que tu porte plainte ! . » ; je souriais. C'était des photo que Kaitlyn avait prit avec mon téléphone après le crime, des trace de griffure dans mon dos au moins une vingtaine , rouge et enflé. « Je lui ai dis que ça avait été une nuit torride au lit. » ; je ris en lui faisant un clin d'oeil rapide.  
 

Je gardais un œil sur la route. Je n'étais pas du genre prudent mais quand j'avais une de mes trois précieuses avec moi : Tara, Kait ou Hope. Je ne tenais pas à avoir un accident, j'en avais déjà eu deux lorsque que j'étais rentré de soirée un peu éméché. J'étais concentré mais cela ne m'empêchait pas de rire avec Kait ! Lorsqu'elle me dit qu'elle espérait que j'avais dis qu'elle était le meilleure coup que j'avais eu j'eus un sourire en coin. Non je ne pensais pas du tout à ce que ça serait si jamais un jour ou couchait ensemble ,non pas du tout ! Qu'es que vous croyez ? Pour qui vous me prenez.
Soudain une chanson passa à la radio et je montai le volume. Vous savez c'était ce genre de chanson que vous aimiez bien et connaissiez par cœur mais dont vous aviez terriblement honte. Mais bon vu ma proximité avec Kaitlyn je n'avais à avoir honte de rien du tout avec elle. « Oh ! C'est ma chanson ! » ; j'avais pris un ton légèrement efféminé pour dire ça ! Et je hochais la tête en chantant les paroles par cœur. C'était la chanson de Carly Rae Japsen et OwlCity , good time. Je chantais la chanson et je voyais bien qu'elle riait, je continurai même si elle était au bord de l'implosion tellement elle riait. Je chantais jusqu'à ce qu'on arrive à la maison et que la chanson soit finit. Une fois arrivé devant la maison je pris tout les sac à l’intérieur de la voiture, je ne me rendais pas compte qu'involontairement je fredonnais encore la chanson qui était resté dans ma tête. A peine avais-je mis le pied à la maison Tara couru immédiatement dans ma direction. « Papaaaaaaaa ! » ; je la portait et la fis sauté dans les airs. « Oui ma princesse. Tu m'as manqué. ». Je regardais en suite la baby sitter en souriant. « Merci beaucoup Maëline de t'être déplacé. Ca s'est bien passé ? » ; cette jeune fille de dix huit ans avec sa tête de poupée était un vrais ange descendue du ciel pour moi. Tara l'aimait énormément et elle était très mature pour son age. « Oui monsieur Rodriguez » ; je me mis à rire. « Je t'ai déjà dis pas de monsieur avec moi. ». Du coin de l'oeil j'observais les adorables retrouvailles entre Hope qui était en train de jouer sur un tapis de jeux et Kaitlyn. « Oui mais j'ai un peu de mal » ; me répondit la jeune fille toute embarrassé. « Bon allé file jeune fille. Bonne soirée et passe le bonjour à tes parents de ma part ! » ; elle prit son sac donna un bisou à Tara et à Hope avant de s'en aller furtivement. « La fait molé molé » ; me raconta Tara. Ce qui signifiait qu'elle avait fait de la pâte à modelé. Elle était tellement mignonne lorsqu'elle inventé ses expression à elle sans le faire exprès. « Ah bon ! T'entend ça Kait ! Tara à fait de la pâte à modelé ! C'est super ça ! Tu t'es bien amusé ? » ; elle hochait la tête vivement et Hope souriait asseyent d'attraper Tara. Ses deux la étaient de plus en plus inséparable. J’espérais que plus tard ça serait pareil et qu'elle veillerait l'une sur l'autre. Je laissa Hope touché Tara et celle-ci lui répondit par un câlin. « Oooooh, qu'es qu'elles sont mignonnes ses deux la je crois que je vais en manger une ! » ; Tara mit une de ses main devant sa bouche en riant. Je e souvint en suite que j'avais un cadeau pour Tara que j'allais chercher dans l’immédiat. « Devine c'est pour qui ? » ; « Tara »me répondit-elle instinctivement  ; « Eh ouai ! ». Elle sortit le jean du sac et rigola. Elle me fit comprendre qu'elle voulait descendre et l'essaya de suite se qui me fit terriblement rire. « C'est le même que tata Kaitlyn,pas vrais ? » ; je regardait Kaitlyn pour avoir une approbation. Je regardais en suite l'heure et je me rendis compte qu'il était largement temps de coucher les filles. Je voyais que comme je l'avais demander Maeline les avait fait manger asse tot (les assiette aux frigo). « Mais il est tard la. Je me suis même pas rendu compte de l'heure qu'il était » ; déclarais-je à Kait .
 

Le bonheur dans les yeux de Tara quand Kait lui dit qu'elle pourrait être pareil qu'elle. Cette admiration qu'elle avait pour elle : ça valait de l'or, tout l'or du monde même ! Certain en s'arrêtant aux apparences m'aurait traité de fou d'aimer que ma fille prenne pour exemple Kaitlyn. Mais moi, dans ce monde qui partait en vrille je ne voyais pas d'autre femme sur qui elle pouvait prendre exemple que ma meilleure amie. Une femme forte, qui savait s'assumer et me tenir tête quand elle savait que j'avais tord, qui prenait soin des gens qu'elle aimait. Certes ses agissement n'était pas toujours mature mais lorsque cela avait des conséquences elle les assumait toujours pleinement et surtout elle n'agissait pas n'importe comment devant ma fille. Elle avait beaucoup trop de respect pour elle pour faire ça.  
Après un moment d'observation je pris Hope dans mes bras et tendit la main à Tara. « C'est l'heure d'aller au lit pour les princesses » ; je regardais Kaitlyn pour voir si elle nous suivait bien et Hope posa sa tête automatiquement contre mon torse après avoir poussé un petit soupir de fatigue. Je souris, elle me faisait penser à Tara quand elle était encore toute petite. « Lé fatigue Pope » ; déclara Tara. Je souris, c'était habituelle chez elle qu'elle appel Hope Pope, c'était devenu même un de ses sûrement officielle. Je me dirigeait vers la chambre de Tara juste en face de la mienne : le berceaux y était encore étant donné toute les fois ou Hope était venu dormir ici j'avais trouvé ça plus pratique de le garder sortit. Je déposa Hope à moitie endormis dans les bras de sa mère et alla me charger de Tara . « Tu veux une histoire princesse ? » ; elle hocha la tête de droite à gauche et me montra la guitare dans le coin de la chambre avant de mettre sa tottotte à la bouche et de se mettre sous son draps dans son lit. Je souris et alla la prendre : elle voulait que je lui chante une chanson. Je n'en connaissait pas beaucoup, c'était mon père qui m'avait apprit à en jouer dans le temps... D'ailleurs c'était une des raison pour lesquels je n'en jouait pas souvent : ça me faisait penser à lui à tout les coups. De plus la chanson que je comptais jouer était une dans ma langue natale : l'espagnol. Je savais très bien le parler et Tara le comprenait parfaitement parce que j’essayais de lui parler le plus possible.

Je commençais à chanter tout doucement : je n'avais pas une belle voix, enfin selon moi pas exceptionnelle mais je ne me débrouillais pas mal, je ne cassais pas les oreilles de tout le monde. Sinon je sais que Tara ne ce serais pas gêné pour le dire. Je jetais un  coup d'oeil à Hope même si j'étais plutôt concentré sur ce que je jouais. Elle avais l'air apaisé par la musique et ses paupières devenaient de plus en plus lourdes. Les paroles de cette chanson étaient belles et me parlait vraiment, je crois que pendant un moment je me perdis dans mes souvenirs, laissant ma voix se remplir d'une émotion insoupçonné, une émotion que j'aurais aimé cacher mais que je ne parvint pas à contenir en moi. Kaitlyn m'avait déjà entendu jouer deux trois morceau à la guitare mais jamais chanté, et jamais ce genre de musique. Je fus surprit de constater à la fin de la chanson une fois revenu à moi que Tara comme Hope avait succombé au sommeil, je souris et mes joues se tinrent de rouges quand je pris conscience de ce que je venais de partager devant Kaitlyn. C'était comme-ci l'espace d'un instant j'avais mis mon cœur à nu. « Elles étaient exténuées ».

Je souris quand elle me fit de beau compliment, un peu caché mais ça comptait quand même. Elle me disait qu'elle avait fait alors je me dirigea vers la porte de la chambre et déposa la guitare dans un coin avant de descendre pour préparer la table. Je sortis deux cannette de desperados avec la bouf mexicaine que j'avais soigneusement chauffé au micro-onde. J'avouais que j'avais faim aussi et que je ne tarda pas à mettre la première cuillère de nourriture dans ma bouche. « Putain c'est bon » ; je souris en la regardant manger. « Si tu bouffes de la même manière les latinos que tu bouffe leur bouffes, je veux bien être ton dessert. » ; lui dis-je en lui faisant un clin d'oeil tout en riant. Je bue une gorgé de ma canette et laissa coulé lentement le liquide dans ma gorge. C'était rafraîchissant, je me leva un instant pour aller mettre un peu de musique : ma musique de latine-lover comme l'appelait Kaitlyn. En vrais, j'écoutais un peu de tout, c'était jusque que lorsque j'étais chez moi j'aimais écouter des musiques un peu apaisante. Des musique à l'ancienne, qui était pour la plupart du RNB. La c'était  « I don't wanna know » de Mario. Je retourna m’asseoir pur finir ma canette et mon assiette. Kaitlyn était très concentré sur sa nourriture, j’allai donc faire la vaisselle pour lui laissé le temps de finir avant que je ne l'a voit arrivé avec son assiette et sa tête qui avait l'air de dire que son estomac était plein. « Bon maintenant comme promit ... » ; je me séchais les mains avec un torchon avant de me rapprocher comme un prédateur d'elle. « Je te viole. » , je l’attrapa par la taille et la chatouilla, sans aucune piter et sans aucun remords. Le son de son rire valait de l'or je vous jure, surtout qu'elle tentait de le minimiser pour ne pas réveillé les filles. Je la posait sur le canapé tout en la chatouillant sans m'arrêter. Je décidai en suite de passé sous son t-shirt pour plus de sensation. Je m'arrêtais en suite d'un coup, regardant un moment son ventre en souriant. Je ne m'étais jamais vraiment attardé sur la couleur de sa peau mais elle était vraiment magnifique. Caramel clair : ça m'en donnait faim tien. « Si tu veux pas que je recommence il faut que t'essaie la nuisette que je t'ai offerte. » ; pourquoi je tenais à la voir avec ? Sûrement parce que je voulais être le premier (même le seul) à la voir dans cette tenue. J'avais du mal à accepté qu'elle couche avec des garçons, alors dans la nuisette que JE  lui avait acheter. Autant dire que j'avais tendu le battons pour être frapper ! Et puis oui, ça reste entre nous mais il était vrais qu'il m'arrivais de plus en plus souvent d'avoir des regard un peu insistent sur ma meilleure amie. Pas le genre qu'on avait entre amis si vous voyez ce que je veux dire. C'était une belle fille, avec ce qu'il fallait la ou il fallait. C'était normal de s'égarer un peu parfois non ?

Ce serait vous mentir de vous dire que je n'ai jamais eu d'idée déplacé à l'égard de ma meilleure amie. Surtout dans les soirée bien arrosé ou on allait tout les deux je penses qu'il était difficile pour moi de me tenir tranquille. On aimait dansé tout les deux, j'aimais l'avoir dans mes bras et dans mon lit. On était jamais allé au delà de ça, jamais au delà et je peut vous dire que parfois quand j'avais l'esprit confus par l'alcool c'était assez difficile de ne pas la touché en dessous de ses vêtements. Mais je ne voulais pas tout gâché avec elle, je ne voulais pas qu'on regarde autrement après ça alors je n'avais pas dépassé les limites, même si parfois on jouait dangereusement avec. Alors je peux vous dire qu'un sourire un peu charmeur et malsain s'était dessiné sur mon visage lorsqu'elle répondit qu'elle ne dirait pas non à un latino. *Moi non plus je te dirais pas non * ; pensais-je.
Après nos négociations plutôt agité pour qu'elle aille enfilé la nuisette que je lui avait offerte, j'arborais le plus grand sourire de satisfaction que je ne lui avait jamais fait, un peu agacé elle me frappa sur l'épaule. « Même pas mal ! » ; criai-je comme un gamin. Elle s'en alla feignant de ne plus me parler. Elle avait tenté une deuxième fois de m'avoir en redescendent habillé de son pygama, mais je penses que notre course poursuite dans la maison l'avait persuadé que la seule manière d'avoir la paix c'était de venir habillé de la nuisette. Je descendis et changeât de chanson. Je ne sais pas si c'était un signe de l'haut de la mais la chanson de Ciara, Body party se lança en même temps qu'elle descendait l'escalier l'air de dire qu'elle savait qu'elle était simplement magnifique et terriblement sexy. Elle s'approcha de moi et je souris, j'étais sans voix et je me mordis la lèvre (ce fus plus fort que moi). Je saisis sa main et la fis tourné sur elle même, profitant bien évidement de la vue au passage. (L'homme qui ne l'aurait pas fait serait probablement gay). Je l'a rapprocha de moi tout doucement, intérieurement je me demandais vraiment si ça avait été une bonne idée de lui acheté ça pour qu'elle dorme avec moi. Sa poitrine parfaitement moulé semblait me faire de l'oeil, je tentais de contrôler mes yeux pour ne pas qu'il ne se détourne de son visage. « Elle te vas encore mieux que ce que j'imaginais dans ma tête de gros pervers » ; riais-je doucement. Mes mains soudainement incontrôlable, au lieu de chatouillé ses côte comme mon cerveaux l'avait prévu, se mirent à les caressé lentement et la rapproché encore plus de moi. Je me mis à danser lentement avec elle laissant glissé mes main vers le bas de son dos. Les choses avaient prit un court auquel je ne m'attendais pas bien avant que je ne m'en rende compte. C'était vrais qu'il nous arrivait de dansé tout les deux, mais jamais rien que tout les deux aussi proche et sur ce genre de musique. Ca n'était jamais arrivé, et à mon cœur non plus ça ne lui était jamais arrive de battre aussi vite je peux vous le dire. J'avais bue mais pas assez pour pouvoir mettre sa entièrement sur le compte de l'alcool, j'étais belle et bien conscient de tout ce que je faisais même si mes pulsions me guidait. *Calme toi Javier, c'est ta meilleure amie, essaie de visualisé un grand me barbue et chauve avec qui tu bois de la bière *, malheureusement pour moi, ma main qui à cause des mouvement du bassin de Kait ' dérapa légèrement sur le début de mes fesses me rappela la réelle situation. Je dansais avec une métisse, bien foutue en nuisette, qui s’avérait être ma meilleure amie. Un peu avant la fin de la chanson je me détacha d'elle. Un silence s'empara de la pièce. « Alors il était comment ton dessert ? » ; dis-je en allusion à ce qu'elle avait dit sur le latino pour le dessert. « Je te ressert encore. Avec ou sans chocolat ? » ; je soulevais mon t-shirt légèrement, faisait allusion à mes « tablette de chocolat ». Moi aussi j'avais le droit d'exposer mon corps après tout ! Il n'y avait pas qu'elle qui était bien foutu !