Mon rituel a moi c'est compter les notes de mon voisin pour m'endormir - PV Ben

July 2014,

Il est Onze heure lorsque je range la dernière palette dans l’entrepôt du magasin. Je suis couverte de farine et de poussière. Mon jeans tout neuf était deja usée par mon dur labeur en rayon. J'ai une oreillette enfoncer a mon conduit gauche et l'autre traine sur mon epaule pendant que je me lave les mains dans le vestiaires du boulot. Je me sens vider et pourtant tellement energique comme prête a deplacer des montagnes. Je me regarde un peu dans le mirroir, me passe une lingette tout droit sortie de mon casier pour atenuer toute cette saleter.

Je ne me change jamais au boulot, je viens deja en tenue de travail et repars dans le meme etat – ou presque – de toute manière je me retrouve chez moi en quelques rues et j'adore ça ! Toutefois avant de sortir du magasin j'attrappe mon cabas pour le remplir de quelques fruits que je passe immédiatement en caisse pour ne pas trop m'attarder en ces lieux. Je fais un geste de la main a tout le monde et crie de manière joviale une très bonne journée aux clients comme a la team.

Sur les Escaliers de mon appartement je me faire interpeller par ma propriétaire, juste pour me parler d'une sombre problème de coupure d'electricité dans une semaine pour une remise a neuf. Juste la semaine de mes congés mais peut importe, j'entre chez moi , verifie que mon père est bien partie en journée ballade comme promis et m'empresse d'oter mes fringues sales que je geste dans la banette a linge dans le couloir, je me fais un chocolat-lait frais et entre dans un bon bain tiède. La couleur de l'eau s'empresse de se griser et je ne me sens jamais aussi sales que dans ces moments ci. Je plonge la tete sous l'eau, me savonne lorsque je commence a entendre le chant d'un instrument a travers le mur. Je sors la tête, me calle tranquillement, prête a me reposer un peu dans un bon bain mais les notes commencent a me crispé.

Je tiens assez longtemps pour comprendre qu'ils sont deux a jouer. Mais le plus genant est mon voisin. Juste a coter. Une très bonne demi heure passe, quand la rage me prends, j'agrippe ma sortie de bain, enfile un boxer et attrappe ma mug. Arriver sur mon pallier je me rends compte que la porte est du coter rue. Ici , a Londre les gens sont trop distinguer pour me laisser frapper chez lui dans cette tenue. Je rentre alors de nouveau chez moi. Me dirige vers le bureau, a hauteur de la fenetre se trouve comme une terasse qui est connecter avec tout les aurtes appartements du meme etage. Je soupire et montage, je m'approche jusqu'à la fenetre d'ou viens la trompette. Je frappe et un homme a la fois curieux et surpris m'ouvre …

« Tu vois cette tasse … ? » dis je. « Il y a marquer – I'm Princesse – Mon père me trouve distinguer, sage, et patiente. Mais il sait aussi que lorsqu'on grince pendant des heures comme ça, il arrive que ma main trebuche ... » avouai je en lui vidant mon chocolat au lait au visage.

Depuis quelques temps son voisin du dessus avait changé et le nouveau était un peu agaçant. Il jouait de la trompette, pas très forte certes mais suffisamment pour empêcher Benjamin de se concentrer. En même temps il ne se concentre jamais sur grand-chose, mais tout de même ! Vu qu’il était un jeune homme mature et responsable, il alla toquer à sa porte… Haha. Non il décide de l’embêter lui aussi. Un soir, il se décida à brancher sa guitare un peu plus fort qu’à l’accoutumer et commença à jour. Les enceintes étaient dirigé vers le plafond en espérant que ce voisin ressente le plus de vibration possible. Ben possédait aussi une batterie mais il avait peur d’agacer tout son voisinage ce qui n’était pas son but premier. Le voisin du haut riposta en jouant encore plus, Ben augmenta le volume et ainsi de suite. Autant dire que son autre instrument aurait été moins bruyant !

Benjamin n’a jamais été un voisin ennuyeux, du moins il n’espère pas. Il jouait souvent de la musique tard le soir avec le volume au minimum, ici les murs étaient plutôt fin. Jamais un de ses voisins étaient venu se plaindre, en même temps il ne connaissait pas ces gens et serait quasiment incapable de les reconnaître s’il les croisait. De toute façon il avait envie de déménager mais il n’avait pas assez d’argent pour ça. Son appartement commençait à être trop petit puis surtout l’endroit devenait un peu vieillot. Le propriétaire du lieu n’en avait jamais pris soin forçant Benjamin à faire lui même des petits travaux pour arranger les choses ! En attendant de quitter ce lieu, il venait donc de se lancer dans une bataille de musique effréné avec l’inconnu dans haut. Alors qu’on entendait la trompette braillait, il entendit frapper à sa fenêtre. Oui, oui sa fenêtre. Très surpris il alla voir ce que c’était. Il y avait un passage de sécurité en cas d’incendie qui rejoignait les étages et les appartements entre eux pour pouvoir évacuer tout le monde, peut-être était-ce les pompiers ?

Il ouvrit étonné de voir une jeune femme blonde en peignoir de bain de l’autre côté. Elle donnait l’impression de sortir du bain. Sa première idée fut qu’il s’agissait de la maitresse d’un mec de l’immeuble qui avait dû passer par la fenêtre en urgence mais apparemment il était loin de la vérité ! Pas de bonjour, rien, elle lui dit de regarder sa tasse sur laquelle il y avait écrit « I’m a princess », heuuu ok… Elle rajouta qu’on devait la respecter et il se reçut une tasse de chocolat en plein dans la face. Surpris il ne dit rien tout de suite mais retira rapidement sa guitare de peur qu’elle se salisse. Il la regarda un moment les yeux écarquillaient, assimilant lentement la situation surréaliste du moment. Une fois ses neurones en place, il explosa. « Non mais ça va pas ?! Une princesse ? Mon cul ! T’es une pauvre cinglée c’est tout ! C’est quoi ton délire ? Passer par la fenêtre des gens en créant des embrouilles car tu t’ennuie ? » Benjamin voyait rouge. Pas tellement car il avait été brûlé au visage mais parce qu’il se faisait agresser sans aucune explication.

Le terme de cinglé ne me fit ni chaud ni froid. Toutefois le simple petit mot pauvre … me mit hors de moi. Il ne comprennait pas sa se voyait, pour lui je n'étais qu'une sotte de voisine bien enmerdante qui venait pour faire mousser sa journée, pendant que l'eau trop chaude de son bain refroidissait. J'inspira alors, me glissa entre lui et le mur de la salle dans laquelle j'entrai. Je dis d'une vois beaucoup plus calme, plus poser, comme le calme avant la tempete.

« Je n'ai jamais dis que j'étais une princesse … » Je m'approche de son mur en tapotant « Tu sais ce qu'est le probleme de la pauvre voinsine qui n'a rien a foutre de ses journées. » J'entendis comment cela sonnait creux, devant qu'elle piece elle se trouvait. « Mais tu vois sa c'est mon salon derrière … Salon que je retrouve après douze longue heure de travail de nuit … Et une enorme demi heure de cafarnaum de ta part avec tes p*tain d'instruments ... »

Je chercha du regard un objet plutot solide, mais je n'en trouvai pas. Alors je me retourna vers ma rencontre, commenca a defroisser les vetements imbiber de lait qui se trouvait sur lui. «  Alors soyons claire cher voisin ... » Je le fusilla du regard « Car si tu me trouve deja folle mais que tu continue ton merdier … Tu aurai la fée maléfique comme voisine ! »

J'entra dans le salon et me dirigea dans la salle la plus eloigner de mon mur, et arrive dans une salle en bordel comme si jamais cela n'avait été ranger. Comme un placard. « Tiens ! Regarde tu couvre tout ca de boite d'oeuf, et tu joue ici … Si tu sors de se perimètre ... » dis je en lui montrant avec mes doigts « Tu vas connaître le caractère facile des filles d'Omaha ! »

J'avai clairement depasser les limites se jours la, il y avait un peu de vieille habitude, d'un grave probleme de caractère, d'un sans gene genetique, mais surtout une fatigue immense, qui m'avait fait deborder. Je n'avai meme pas prit le temps de regarder mon voisin, et me rendit compte qu'il était clairement plus grand que moi, de plus ou moins une tete. Qu'il était aussi plus facilement que je ne le pensais qu'il me prenne sur l'épaule et me jette dehors.

Je calme me repris, ou la fatigue et je m'éteinds attandant peut etre la soufflante que j'allai me prendre. Bien que mériter, je n'allai certainement pas me laisser faire, bien qu'il me semblait impossible d'avoir assez d'énergie pour tenir longtemps si jamais monsieur n'en venait pas a comprendre mon probleme.