Michael A. Weavers - You can drive or you can be drive... And I choose to drive.

Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...).
Michael est né le 4 juin 1983, trois ans après son grand frère Robert, à Londres… La capitale Britannique, cette immense ville dans cette merveilleuse et mystérieuse île de la manche. Il est né dans une famille aux origines plutôt anciennes, mais les arbres généalogiques n'étant pas trop son truc, je vous épargnerais la longue liste de noms qui précédèrent le sien pour me concentrer uniquement sur le sien. Michael Alexander Weavers, le Alexander étant de son grand-père paternel. Le jeune homme a donc grandi avec une cuillère en or dans la bouche mais dont il n'a pas toujours profité, son père tenant bien à lui faire comprendre qu'il fallait la mériter. Je vous passe l'enfance de notre cher ami qui fût ponctuée de quelques crises, notamment avec la femme de chambre de la maison de ses parents qu'il ne cessait jamais d'embêter. Une fois, il avait échangé les petits chocolats d'une boite de Lindt par des petits cailloux ovales qu'il avait prélevé dans le jardin pour remplacer les victimes de ses méfaits. Ce jour-là, manque de chance ou coup du destin, ses parents recevaient d'importants invités et sortirent la boîte… Le père d'Alexandre et son ami en furent tout deux amusés… On ne parlera pas de la réaction de sa mère… Je vous laisse imaginer cela seul… Dîtes-vous seulement que ce ne fût pas agréable pour le petit qui était alors âgé de six ans et qui n'apprécia pas la punition. Bien sûr, ce ne fût pas sa seule bêtise. Passionné d'automobiles, comme l'était son grand-père et son père, le petit savait, à l'âge de dix ans, conduire une voiture… Bien sûr ça n'allait pas encore sans quelques rayures. Une fois, pour répondre à un défi, il osa, le soir, prendre l'Aston Martin de son père. Si ma mémoire ne me trompe pas, il avait treize ans. Il fit grimper dedans ses petits camarades et ils partirent dans la campagne anglaise à une vitesse assez folle. Ils furent ramenés par la police, rien de moins rien de plus. Michael m'a plus tard avoué que ce jour-là, son cœur avait battu à deux cents à l'heure comme jamais. Mais, contrairement à ce que je pensais, ce n'était pas parce qu'il avait eu peur de la réaction de ses parents lorsqu'ils apprendraient sa bêtise, non, c'était plutôt la sensation qu'il avait eu de tenir ce volant entre ses mains… Et de sentir une telle puissance sous ses pieds. Que dire d'autres ? Michael était le genre de jeune homme à qui tout réussissait. Il était beau, et il ne le cachait d'ailleurs pas, la modestie n'étant pas l'une de ses principales qualités, je dois l'admettre. Il attirait à lui toutes les filles et ne sélectionnait bien sûr que celle qui lui plaisait, se comportant en véritable tyran des cœurs. Ses résultats scolaires quand à eux étaient plutôt bons, du moins assez bon pour qu'il ne redouble pas. Mais il n'avait pas des résultats excellents, apprenait ses leçons la veille et préférait largement sortir en cachette que réviser ses devoirs. De nombreuses fois je dus le couvrir d'ailleurs. Il traînait souvent avec une bande de potes fêtards, et ils ne se lâchèrent que lorsque Michael rentra en école privé. Ses parents voulaient le meilleur pour lui et la meilleure école, lui voulait en faire le moins possible. Mais avec un certain talent, il s'en sortit sans trop de mal, réussissant admirablement, je dois le dire, à jongler entre les études et les sorties. Si sa mère tentait toujours de le recentrer sur ses études, son père ne lui prit pas la tête et ils leur arrivait souvent de partir le week-end faire des sorties sportives, notamment du pilotage sur circuit que le jeune homme appréciait grandement. Alors qu'il avait dix-sept ans.

Cette belle période ne dura malheureusement pas. Un peu avant d'avoir dix-huit ans, il se mêla à une bagarre dans le lycée privé dans lequel il était. Il faut bien dire que Michael était le genre de type qui n'hésitait pas à se défendre lui et ses amis, aussi, les bagarres étaient assez courantes. Une semaine sans bagarre… C'était parfois un miracle, d'ailleurs il était de nombreuses fois en retenue pour cela au contraire de son frère Robert qui faisait des études d'avocat, mais ça ne l'empêcha surtout pas de continuer. Il faut rajouter que son frère et lui sont totalement différents. Robert est plus calme, plus mature, moins enclin aux sorties mais plus acharné dans le travail, à l'inverse de Michael qui est bien plus je m'en foutiste que lui ce qui n'empêcha pas les deux frères d'avoir des relations plutôt stables. Cette bagarre, comme je le disais auparavant, fût un peu plus difficile à encaisser par le jeune homme. Il s'était attaqué à une grosse pointure. Un gosse de riche tout comme lui, mais à la seule différence que ce gosse de riche avait des parents plus riches et plus influents. Michael ne fût pas renvoyé, mais ce fût de justesse. En revanche, il fût mis en pension, dût dire adieu aux soirées bien arrosés et aux sorties avec papa le week-end. Tout ce à quoi il tenait, il l'avait perdu à cause de quelques coups de poings… Bon, il fallait dire qu'il avait mis le type dans un sale état. Il réussit néanmoins l'examen et décida de partir en école de commerce, mais pas en Angleterre. Ce qui eut pour effet de surprendre sa mère qui voulait garder un œil sur son fils… Et ce même fils choisit une destination la plus éloigné possible : Sydney. A dix-neuf ans, il entra dans une école de commerce et commença des études assez intensives. Je le perdis moi-même de vue ne l'ayant pas suivi las-bas, et les seules nouvelles que j'avais de lui venaient de ses parents. Enfin, surtout de son père. Son père et moi aimions parler longuement. Apparemment, il réussissait plutôt bien et la première année, il sortit cadet de sa promo. Son père m'avait ajouté qu'il avait repris bien sûr les soirées avec une nouvelle bande de potes qu'il s'était fait las-bas et qu'il apprenait un peu la mécanique avec un gars du coin. Il faut revenir un peu arrière pour vous expliquer que Michael aime créer. Il n'est certes pas inventeur, mais il aimait se retrouver dans son atelier, seul, notamment lorsque sa mère et lui s'étaient pris le bec. Elle allait dans sa cuisine, et Il allait dans son atelier où il s'amusait à créer de petits gadgets pratique ou passer son temps à modifier sa voiture, une belle Mustang ou alors son 4x4 avec lequel il aimait aller en montagne lorsqu'il partait en écosse. Ses années d'études à Sydney furent, si l'on en croit, parmi les meilleures de sa vie. Il profitait notamment de ses vacances pour partir dans de multiples expéditions dans des pays différents et sur des continents différents. Il se forgea, je le crois, un sacré caractère à force d'aller voir tous ses pays où il ne cessait de s'améliorer physiquement et de découvrir des cultures différentes. Une année, c'était en 2004, il avait alors validé sa deuxième année, il revint à Londres à la fin de l'été pour voir un peu sa famille. Il me confia plus tard qu'il avait trouvé une copine... en 2003 si je me souviens bien. Avec lui, je m'attendais à tout, mais certainement pas à une histoire qui dure. Pourtant, l'histoire avait duré. Et ils étaient allé jusqu'à concevoir un enfant. Ils avaient décidé de le garder, mais ce n'est que plus tard, en 2015, que j'avais appris que l'enfant était mort dans une fausse couche. Durant son court séjour, il me raconta aussi ses voyages dans divers pays, et me raconta qu'il avait énormément aimé son voyage au Kenya ainsi que celui au Pérou. Mais il avait aussi aimé l'Italie et la France. Il s'acheta d'ailleurs une petite maison en France avec l'aide de son père. Il termina finalement ses études et rentra en Angleterre un diplôme en poche en 2008. Étonnamment, il ne voulut plus parler de Sydney alors qu'il avait laissé entendre qu'il aimait beaucoup l'Australie et sa capitale, je compris bien plus tard que Sydney avait laissé en lui une marque plus profonde qu'il ne voulait l'admettre, notamment la perte de ce qui aurait dû être son fils, et celle de sa petite amie. Mais il ne chercha pas du travail comme prévu. Non. Il rejoignit l'armée après une dispute familiale et peut-être aussi pour oublier son passé difficile. Sa mère avait choisi son favori, son frère Robert qu'elle pensait bien plus travailleur que Michael, et avait laissé entendre que Michael n'était pas capable de grand-chose à part voyager, boire et baiser. Et utiliser l'argent de ses parents. Elle n'avait pas tort sur tout, mais le jeune homme décida sur un coup de tête de s'engager dans l'armée et de ne plus entendre parler de sa famille. Sauf peut-être de son père à qui il confia qu'il s'était engagé ce qui attrista son père qui le laissa partir tout de même. Il fût donc entraîné et envoyé rapidement en Irak, puis en Syrie et en Afghanistan. Il ne me raconta jamais ce qu'il fît las-bas, me laissa entendre qu'il avait eu de très bons amis qui n'avaient pas eu sa chance. Il rentra cinq ans plus tard. Il ne parla jamais à personne du pourquoi de son retour, mais il m'avoua finalement qu'il était passé en cour martiale pour manquement à la discipline, bien qu'il ne s'étala pas sur le sujet, j'avais, à l'époque, parfaitement compris, qu'il avait désobéi à un officier supérieur et qu'il avait dû aller plus loin que cela. Néanmoins, lorsqu'il revint, il me sembla qu'il avait plus changé en cinq ans qu'en une vie. Il était plus mature, il se réconcilia avec sa mère, mais perdit son père la même année. Mais il n'a jamais voulu me parler de ce qu'il à vécu là-bas lorsqu'il servait l’armée de sa majesté. La seule chose qu'il avait trouvé à me dire fût : « Ce qui s'est passé là-bas restera sous le sable ». Je n'avais eu le droit à rien d'autre, mais je pense qu'il y a eu autre chose que du sable…

Août 2015. Afghanistan. Convoi de matériel escorté par une partie de la 6éme division d'infanterie de la British Army.

 La chaleur était écrasante sous le soleil de midi. Le convoi avançait paisiblement. Michael était assis dans la cabine d'un petit blindé, son casque entre les jambes et regardait la route qui s'étalait devant lui, son arme à côté de lui. Un fusil d'assaut L85 dont il appréciait les capacités et qu'il avait légèrement bidouillé notamment au niveau de la lunette.
- Quel chaleur ! Se plaignit le chauffeur, l'un de ses collègues, un certain Brandon.
- te plaint pas, ça pourrait être pire. Renchérit Michael.
A l'arrière du blindé se trouvait une équipe d'une quinzaine d'hommes, un peu entassés les uns sur les autres. La poussière que laissaient les camions devant eux ne laissait pas à la fine équipe la possibilité de voir plus loin que leur pare-brise. De derrière le camion, par la petite fenêtre qui permettait à la cabine de communiquait avec l'arrière, Michael entendit son pote William, du même nom que le majordome de son père, se plaindre de ce qu'il voulait une femme.
- Bon sang, six mois que je m'en suis pas faîte une les gars… J'vous jure que j'suis à cran.
- Faudrait déjà que t'es les couilles pour t'en faire une ! Gueula amicalement Michael.
- Oh la ferme toi !
Les autres rirent de bon cœur. William reprit finalement :
- Bref, tout ce que je dis, c'est que j'en ai marre… J'avais pas signé pour voir du sable à longueur de journée.
- Te plains pas, renchérit un autre, un dénommé Jack, on aurait pu tomber sur un groupe de talibans comme les français la dernière fois.
- Les français se déplacent en faisant un boucan pas possible parce qu'il croient que leur marseillaise fait fuir leurs ennemis. C'est pour ça !
- N'empêche qu'ils ont eu les couilles de riposter et de les poursuivre. Répondit Jack du tac au tac laissant tout le monde pantois.
- Et sans compter qu'ils se plaignent pas de vouloir baiser une gonzesse toutes les deux semaines, renchérit Michael dont le sourire illumina sa gueule d'idiots qui regardait par la petite ouverture tous ces camarades assis à l'arrière. Les autres rirent de bon cœur sauf William qui se retourna en gueulant :
- Alors là mon pote, j'en suis pas aussi sûr, ils sont…
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'une explosion les figea. Le convoi s'arrêta et le sourire sur la belle gueule du blond s’effaça rapidement. Le blindé qui ouvrait le chemin venait de sauter. La radio grésilla :
- ici le Capitaine Marelis, Lieutenant, faîte sortir vos hommes, on va couvrir le convoi.
- Sauf votre respect cap'tain, on va se faire descendre comme des mouches.
- faîtes ce que je dis, le convoi est prioritaire.
Michael souffla mais s’exécuta.
- Vous avez entendu? Alors en avant !!
Il se saisit de son arme et sortit rapidement alors qu'une pluie de balle venait à sa rencontre. Rapidement, il se mit  l'abri derrière le camion, sa cala derrière le moteur dont la chaleur le faisait déjà transpirer. Là, calé sur le capot, il mit l’œil à sa lunette et fit feu sur quelques cibles en haut d'une petite colline de sable. Un premier homme tomba. Un second subit le même sort tout comme un troisième qui commit l'erreur de se relever pour mieux viser. L'escouade du capitaine les rejoignit rapidement alors que leur véhicule explosait derrière eux. Le cœur de Michael battait comme jamais. Il se plaqua contre la carrosserie pour recharger alors que les tirs pleuvaient. Il avait presque du mal à recharger tant il tremblait de la peur et du stress de mourir ici. Un homme s’effondra devant lui, suivi d'un autre. Il ne restait que deux véhicules, un 4x4 blindé et leur camion. Michael se remit en position alors que Marelis gueulait de tuer le lance-roquette. Michael ne tarda pas à l'avoir en joue. Il fît feu. L'homme s'écroula.
- Problème réglé pour la roquette. Soudain, un autre homme tomba, la tête traversé par une balle.
- Sniper !!gueula William. L'instant d'après, une balle perfora le blindage du camion pour venir lui trouer le ventre. William regarda Michael un regard plein d'incompréhension dans les yeux. Marelis donna l'ordre de continuer et d'avancer.
- On va se faire massacrer si on avance !
- Dépêchez vous de faire ce qu'on vous dit !
Michael en avait plein les couilles de ce type qui l'emmerdait depuis deux ans et qui donnait des ordres aussi insensé. Il se releva et lui envoya un sacré coup de poing. Le capitaine en fût tellement surpris qu'il ne se redressa pas. Bon… Et bien cette fois, c'était la cour martiale assuré pour le jeune homme.
- Filez-moi un sniper ! Hurla Michael. Un autre homme tomba. Finalement, on lui tendit un fusil de précision. Michael se cala rapidement sur ses appuis, chercha du regard le sniper qui tira sur un autre soldat qui s’effondra.
- On va jouer… Murmura Michael. Et il fît feu. Le type s’effondra d'un seul coup. Michael continua le carnage aidé par ses hommes. Soudain, du côté ennemi, les tirs cessèrent. Ils se repliaient. Michael n'allait pas les laisser s'en tirer. Il grimpa dans le tout terrain et demanda à trois hommes de monter avec lui. Il prit le volant et appuya sur l'accélérateur. Le tout terrain bondit et ils partirent en direction de leurs assaillants en déroute. Ils passèrent la colline sans mal et les hommes présents à bord du tout terrain firent feu sur les fuyards qui se dirigeaient vers de vieilles camionnettes dont on se demandait encore si elles pouvaient encore rouler. Mais les hommes qui fuyaient se retournèrent et firent feu pour certains. La vitre blindé tint le choc avant de craquer. Une balle alla se loger dans le gilet pare-balle de Michael l'empêchant d’exécuter certains mouvement. Une autre alla se ficher dans son épaule. Mais ils furent rapidement tué et Michael s'en tira sans trop de dommages malgré que son épaule le fasse souffrir. Il n'en restait plus qu'un, levant les bras au ciel en signe de reddition. Michael s'approcha de lui après avoir sauté du véhicule, leva son arme et ouvrit le feu. La balle s'enfonça dans le front de son adversaire laissant juste un filet de sang s'échappait par un trou parfaitement rond. Alors qu'il était mort, Michael tira encore six balles dans son corps. Puis il lâcha son arme, tremblant. Le stress retombé, il découvrait l'horreur du carnage. Douze morts du côtés britannique et cinq blessés grave sans compter les sept autres blessés léger. Vingt-huit morts du côté adverse, dont un bel et bien mort.
- Si il ressuscite lui, appelez-moi.
- Pourquoi lieutenant ?
- pour le renvoyer en enfer.Répondit-il alors que le vent faisait bouger le sable qui recouvrait petit à petit les corps. Le passé allait s'enterrer tout seul.

Il n'a jamais voulu m'en parler. A son retour, il trouva du travail chez Porshe à Londres. Rapidement, il se démarqua par ses bonnes idées et l'année suivante, le directeur commercial de Porshe Angleterre se retirait. On le propulsa donc à ce poste puisqu'il avait sût démontrer de nombreuses idées et avait innover dans les services proposés par la boîte de voiture de luxe en Angleterre. Il s'était aussi démarqué en participant à l'événement du salon mondial de l'automobile au profit de la marque à qui il ramena quelques riches clients. Sans compter que, passionné d'automobile, il ne peut qu'aimer ce qu'il fait aujourd'hui. La dernière chose qu'il m'ait confié récemment, c'est qu'il trouve plaisant de pouvoir chaque matin allait au boulot au volant d'une voiture aussi mythique qu'une Porshe. Aujourd'hui, il vit plus que bien et profite de sa vie à fond, en donnant le meilleur de lui-même dans son travail dans lequel il investit beaucoup de temps et fait beaucoup de sacrifices… Car je l'ai déjà dit, mais il aime son boulot. Il a eu quelques scandales notamment à force de se trimbaler avec une nana différente chaque semaine, il a donc un peu cessé cela bien que ça n'empêche pas de recevoir quelques filles de temps en temps. Mais il n'a jamais eu une relation aussi sérieuse que celle qu'il avait eu avec Charlotte dont je n'ai appris le prénom que très récemment alors que l'on parlait ensemble. Si vous le cherchez aujourd'hui, il y a de fortes chances pour que vous le trouviez à son entreprise, ou alors chez lui quand il se repose tranquillement. Ou alors dans un autre pays à représenter Porshe, peut-être même sur un circuit. Bref, c'est quelqu'un qui bouge beaucoup... On le dit parfois... Insaisissable.

Je pense vous avoir donné pas mal de détails sur sa vie, et il y a bien sûr des choses que j'ignore… Je pense que le mieux serait que vous alliez lui en parler vous-mêmes. Pardon ? Qui je suis ? Et bien, moi, c'est William. Son deuxième père si l'on peut dire.