"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Choose the life 2979874845 Choose the life 1973890357
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Choose the life

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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:36 par Invité

FinleyLinus Folks

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Mon nom me vient de mon illustre père, tatoueur de métier, m'ayant inculqué l'amour de l'art corporel, sous des airs de garage punk. PRÉNOM(S) : Finlay, choix premier, en hommage à mon oncle décédé. Linus, le deuxième, choix troublant et plein de créativité, ayant don de parfois me troubler. ÂGE : Je suis âgé aujourd'hui de vingt six ans, dans la fleur de l'âge, entre la jeunesse et le début de l'extinction d'une épopée burlesque DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Je naquis la nuit d'un quatorze Février, dans une maternité modeste d'une rue pavée de Londres. NATIONALITÉ : Je suis anglais, un vrai de vrai. Un british, de chez bristish. STATUT CIVIL : Je l'ai aimé, et je l'ai épousé. MÉTIER : Actuellement propriétaire d'un sex shop sado masochiste, dans le quartier de Camden. TRAITS DE CARACTÈRE : Amical, Dévoué, Colérique, Protecteur, Jaloux, Possessif, Grognon, Espiègle.GROUPE : The tube



My style, my life, my name

J ai toujours eu du mal à m'endormir le soir. Depuis tout jeune, j'observais la lune par la fenêtre, attendant le sommeil avec impatience alors que défilaient le heures sous mes yeux d'enfant. Aujourd'hui c'est différent. Je passe mes soirées sur le canapé en sa compagnie, attendant qu'elle s'endorme, lovée dans mes bras. A ce moment là, je repense à notre passé. Au mal que j'ai pu lui faire par le passé, et à ce que je lui ai fait subir. Je pense ensuite à l'enfoiré que j'ai été, à celui que je suis devenu...
Et lorsqu'elle fini par se rouler dans nos draps, je ne la rejoins jamais de suite. Je longe le couloir qui sépare notre chambre de la sienne, la chair de nos chair. Et j'entre sans bruit, observant la silhouette du bambin profondément endormi, bercé par la mélodie douce de l'applique au-dessus de son berceau. Je l'observe peut être l'espace d'une heure, craignant pour sa sécurité. Craignant pour son avenir, cet avenir incertain qui lui tend les bras dans ce monde devenu hostile. Puis je retourne dans ma chambre, rallonge auprès de celle à qui j'ai promis de passer ma vie. Et la encore je pense. A la journée qui m'attend. Je n'arrête jamais de penser.
PSEUDO :Tagada PRÉNOM : Sae ÂGE : 23 PERSONNAGE : inventéAVATAR : Jimmy quaintance CRÉDITS :... COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : facebook je crois CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ? non



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Anonymous
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:36 par Invité
At the beginning

Je pense que ma mère ne s'est jamais remise de son accouchement. Épopée désastreuse marquant le début d'un déclin familial, lorsque pendant qu'elle accouchait, se voyait partir dans un royaume sombre duquel on ne ressortait jamais. Gardée sous observation pendant un mois à la suite de mon expulsion, elle s'était murée dans le silence de la dépression post-natal. Situation récurrente chez les jeunes mères, et qui soit disant, disparaissait avec le temps. Mais ce ne fut pas le cas pour ma mère, cela aurait été trop beau, et il n'y aurait pas eu d'histoire, du moins, cette histoire n'aurait pas eu le même dénouement s'il en avait été autrement. Alors finalement, je me dis que ce n'est peut-être pas si mal, qu'elle m'ait haï à ce point.

Quand j'étais un bambin, elle ne m'a donné aucune tendresse, et m'observait comme si j'étais un parfait étranger, et cela depuis le début, m'avait dit mon père. Lorsque le soir je pleurais d'une telle froideur maternelle, il me consolait, en me disant qu'elle avait toujours été ainsi, et qu'elle ne changerait probablement jamais, qu'elle était comme morte, à l'intérieur. Il ajoutait que je l'avais lui, mon père, si aimant et si adorable, bien qu'il ait, comme moi aujourd'hui, un corps recouvert de tatouage, et un style propre aux gens de Camden. Il m'avait dit que toujours il me soutiendrait, et que de l'amour, nous pourrions en partager à l'infini. Et le jour où ma mère est finalement partie, le jour où elle décida de se libérer de nous, ce fardeau familial qui semblait être pour elle, un poison, je me suis senti libéré. Comme si la sorcière qui m'empêchait d'être heureux disparaissait comme à la fin d'un conte pour enfant. Et puis j'ai continué de grandir, tandis que mon père lui, commençait à mûrir. C'est ainsi que les années passèrent, où d'enfant, je devins adolescent, traversant le secondaire avec autant d'aventures que de difficultés. Mes premiers amours, mes premières déceptions, le stress, les punitions, les zéros, les bonnes notes, l'interrogation d'un avenir qu'on ne peut choisir à cet âge. Au secondaire, je vécu mon premier baiser, mon tout premier baiser sous un ciel gris nuageux. Sarah, avait des couettes, bien symétriques, et un cartable rouge comme on en voyait peu. Elle avait un appareil dentaire qui m'avait toujours intrigué, et lorsqu'elle souriait, je ne voyais que ces élastiques de couleurs immondes et non plus ses dents, entrain de se reformer en une mâchoire parfaite. On s'était embrassé derrière un arbre, dans la cour de récréation, ma langue était entrée dans sa bouche, comme mes amis me l'avaient conseillés. Mauvaise idée, ses lèvres bien que très douces, se faisaient oublier, lorsque l'on caressait son appareil dentaire, qui faisait mal, et qui semblait arracher toujours un peu plus les cellules de ma langue. Puis cinq minutes après, je me pris de plein fouet ma première rupture. "T'embrasse trop mal Fin ! Je préfère embrasser Mickaël." Et voilà, en un claquement de doigt, j'avais vécu l'essentiel de ce que l'on doit vivre au secondaire....

Mon amour des tatouage, ayant commencé trop tôt, je dus attendre le lycée afin de pouvoir passer sous les mains expertes de mon père, traçant les lignes à l'encre noire avec finesse et précision. Je n'avais jamais imaginé une telle douleur, mais étrangement, elle ne me fit pas peur, ne me fit mal, que l'espace d'un instant, car je pensais au résultat. Je pensais à ce qui sortirait de là. Je ne ressemblerai plus à un quelconque adolescent troublé, je deviendrais une sorte de bad boy infréquentable, un sale loulou de Camden, ou un camé. Et certainement que mes professeurs et parents de mes camarades jugeraient mon père pour son éducation malsaine, mais lui et moi, on s'en fichait, car, malgré la gueule, nous n'en étions pas moins des gens bien, à qui des merdes arrivent tout les jours, qui bouffent, et qui stressent de savoir si demain ça va être la même. J'ai rencontré des gens bien, mine de rien, des amis qui osaient voir au delà de ce que les yeux peuvent voir. Puis des filles, j'en ai croisé des tas, des brunes, des blondes, des rousses, elles passaient par là, aimant ce côté décalé qui faisait de moi ce que j'étais. Et souvent, je parcourais leur corps, leur corps fragile et frêle, qui tremblaient sous mes doigts, qui frémissaient sous mes coups de reins. Et en terminale, je l'ai vu elle, cette gamine un peu paumée qui semblait mal dans sa peau, et triste à souhait. Mes amis la trouvaient fade et sans intérêt, moi je voyais en elle la beauté. Je le ne lui ai pas parlé tout de suite, bien que nos échanges de regards furent électriques. Des conversations silencieuses. Et à chaque fois que je déambulais dans les couloirs, elle était là, à m'observer de son regard sombre. Je mis du temps à me décider à l'aborder, cette jeune fille de première année. Elle représentait quelque part, la prison que je ne voulais en aucun cas pénétrer. Cette liberté que j'aimais, à vaquer de fille en fille, me plaisait. Et quelque part, je savais que cette fille finirait par me changer.  

Un soir, elle me rejoignit dans un bar undergound du quartier de Camden. Le genre de bar à néon dont le fond sonore brouillant les voix des piliers de bar, et le tintement des verres et bouteilles. Assis autour d'une table, accompagné de mes amis qui tout d'abord la regardaient comme une vierge offerte en sacrifice lors d'une messe sectaire, firent comme si elle n'existait pas, m'incluant dans leurs conversations en rapport aux filles qu'ils avaient baisé. Aux filles que je baisais, sans jamais me laisser faire connaissance avec la jeune fille qui s'était déplacée pour moi. Je l'ai finalement ramenée devant chez elle, en un silence de plomb, comme si nous n'étions que deux inconnus, et non pas deux jeunes en rendez-vous. Quelque part, cela m'avait arrangé. De penser à cette liberté que j'allais garder. Et le soir même alors que Solana rentrait chez elle, je demandais à Betty, cette fille aux cheveux roux, d'ouvrir sa fenêtre pour que je puisse me lover entre ses cuisses. Les jours, les semaines, puis enfin les mois passaient sans que je ne retente l'expérience avec Solana. Juste quelques regards et discussions cordiales lors d'entrevues dans les couloirs et la cafétéria. Mais un jour, alors que je l'observais, assise à une table en compagnie d'un lycéen quelconque, cette boule de jalousie qui naissait dans mon ventre me dit frapper du poing. Je me levais, abandonnant mes potes et Betty, à la quête de notre premier baiser. Notre histoire avait commencée ainsi, avec une pointe de jalousie. Je ne la voulais que pour moi, alors que mon corps appartenait à toutes celles que je trouvais à mon goût et qui écartaient les cuisses. Ce fut ainsi jusqu'au diplôme, et empire à la fac, oú mes experiences sexuelles se développaient, enchaînant et additionnant les filles. La dépravation était devenue un mantra. Choose the life. Comme disait Trainspotting. Et même lorsque Solana arriva à la fac, je n'arrêtais pas.

"J'arrête, j'arrête tout ! Le foutage de gueule, les infidélités, j'arrête tout." Lorsqu'une bombe nous tombe dessus, on ne s'y attend jamais. Et quand elle explose, on peut choisir de fuir ou de prendre ses responsabilités. Je pouvais affirmer que j'aimais Solana en dépit de tout ce que je lui avais fait endurer. Elle portait mon enfant en elle, la chair de ma chair. Surpris au début je n'avais pas réalisé, mais après coup, comme un électrochoc destiné à me faire rendre compte à quel point j'avais été un enculé, mes sentiments me frappaient de plein fouet. "Je t'aime. Je ne te l'ai jamais dit. Mais je t'aime. " C'était un matin. Je m'étais réveillé aux aurores suite à l'annonce de sa grossesse. J'avais pensé, longuement. A toutes les possibilités qui s'offraient à nous. Et je l'aimais, elle, et ce nourrisson qui grandissait en elle, qui était fait de moi. Alors tout était limpide. Je l'avais réveillée lorsque le soleil fut à son zénith. Le genou à terre je l'avais observé ouvrir les paupières lentement, surprise. "Marions-nous. Marions-nous puisque je t'aime, et que nous sommes une famille. Tu le veux ? " et elle a dit oui. Tout aussi simplement, comme si nous avions été une évidence. Une évidence pour tous, sauf pour moi jusqu'à maintenant. Puis nous nous sommes mariés, en une cérémonie idéale, digne du conte de fée que Solana aurait dû avoir depuis le début. Et désormais je lui promettais devant tous, que j'arrêterai de ne pas être celui qu'elle désirait et que je serais, celui dont elle a imaginé les traits depuis sa première année de lycée. Puis il y eu notre fils, naît dans le trouble, j'ai eu peur de le perdre avant de l'avoir vu. Mais il était là. Il était bien là...

J'avais eu le temps de terminer mes études avant l'arrivée de Sloane, terminé à temps pour pouvoir monter le projet que j'avais avec la bande de potes du lycée. L'ouverture d'un sex shop SM dans le quartier de Camden. Nous nous étions installés dans le quartier, histoire d'être près de tout ce dont on avait besoin. Notamment mon père bien plus impliqué dans l'avenir de la famille que nous formions que les parents de Solana.

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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:38 par Invité
jimmy Choose the life 878725457 Choose the life 920499825 Choose the life 920499825 Choose the life 920499825
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Lola Barnett
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:39 par Lola Barnett
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:42 par Invité
Bienvenue sur London Calling Choose the life 1922099377
Bon courage pour ta fiche !
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:42 par Invité
bienvenue parmi nous Choose the life 1922099377 Choose the life 1973890357
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:47 par Invité
Merci à vous Choose the life 3674345785
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:48 par Invité
bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche Choose the life 1922099377
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:50 par Invité
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Alycia Hemsworth
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() message posté Ven 3 Mar 2017 - 22:52 par Alycia Hemsworth
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Bienvenue, Choose the life 1922099377 & bon courage pour ta fiche. Choose the life 1973890357
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas. Choose the life 2941632856
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