NOM(S) : Rosenwald; n'étant pas le patronyme de son père biologique, mais celui de son beau-père. À l'âge de 18 ans, elle lui a fait la surprise de prendre son patronyme puisqu'elle le considère comme étant son second père. Il y a neuf ans, celui qu'elle portait était : Carpenter. PRÉNOM(S) : Briar; ce prénom unisexe qui lui vient de son arrière-grand-père paternelle qu'elle n'aura jamais la chance de connaître. Joni prénom à l'origine finlandais. Prénom hérité des origines finlandaises de son père biologique. ÂGE : Vingt-sept, elle redoute de plus en plus la trentaine comme bien des gens. ce qui terrifie le plus Briar est d'atteindre la trentaine sans avoir atteint son objectif premier : faire tomber Harry fou amoureux d'elle. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Vingt-huit août mille neuf cent quatre-vingt neuf à l'hôpital St-Thomas de Londres en Angleterre. NATIONALITÉ : Briar est ce qu'il y a de plus anglaise sur cette planète. STATUT CIVIL : Salut le célibat, ce qui explique les relations éphémères dont elle est fanatique. MÉTIER : Auror; Briar est enseignante dans une école primaire privée. TRAITS DE CARACTÈRE : Passionnée, bordélique, souriante, jalouse, téméraire, curieuse, paresseuse, minutieuse, exigeante envers soi-même, altruiste, obstinée, amicale, timide, délurée, moqueuse, compétente, indécise, digne de confiance, émotive, extravertie. GROUPE : Double-Decker.
My style, my life, my name
I. ○ Elle a été conçue dans le simple but d'être la porte de secours de son grand-frère : Jefferson. Manque de chance, il est décédé quelques semaines après sa naissance après une longue bataille contre la leucémie. II. ○ elle s'est toujours intéressé à l'univers et à ce qu'il dissimulait. Durant cinq ans, le seul mot qui se retrouvait sur sa liste de Noël ou anniversaire était un télescope. Briar connaît toutes les constellations par cœur. III. ○ Elle a joué toute son enfance et adolescence dans les pièces de théâtre de son école. Que ce soit dans le rôle-titre ou figurant, Briar essayait toujours d'en faire partie. IV. ○ Elle aimerait avoir un enfant avant d'atteindre la trentaine. Le seul problème est que Briar est encore une enfant dans sa tête, parfois. V. ○ Elle déteste les carottes depuis son enfance. Plus jeune, il était très difficile pour ses parents et nounou de lui en faire manger. Aujourd'hui, Briar est moins difficile et se contente simplement de retirer le légume de son plat. VI. ○ Elle est aquaphobe depuis l'instant où elle a été témoin d'une noyade. À ce jour, Briar ne s'approche pas des lacs ni même des piscines et n'est pas intéressé par le fait de prendre un bain avec de la mousse. VII. ○ Elle déteste les étiquettes et ce, depuis le jour où elle a ressenti quelque chose pour le même sexe qu'elle. Pour Briar, les étiquettes sont stupides et sa devise est : j'aime ce que j'aime, point final. VIII. ○ Elle a grandi au son de la musique soul, jazz et blues. Sa grand-mère maternelle écoutait que ce style de musique alors lorsqu'une chanson d'Etta James, Otis Redding ou même Ben E. King passe, elle ne peut s'empêcher de chantonner les paroles. IX. ○ Elle sait danser la danse à claquette, mais c'est un détail de sa vie que Briar préfère garder pour soi-même. Briar a un peu honte de ce talent. X. ○ Elle a longtemps été complexé par sa dentition surtout à l'adolescence. Plus maintenant. Surtout depuis que Briar sait qu'il y a des gens pires qu'elle.
EN VRAC : elle déteste le chocolat noir. ○ sa princesse favorite est Cendrillon. ○ ne passe pas plus de trois mois sans changer la couleur de ses cheveux. ○ aime Noël comme un enfant aime les bonbons. ○ se pince l'arête du nez lorsque réfléchit. ○ n'est pas matinal du tout; appréciant les grasses matinées. ○ porte des lunettes principalement le soir. ○ a toujours la même bague autour de l'index droit. ○ parle plus à sa grand-mère qu'à sa mère. ○ possède une figurine de Wolverine et Ironman chez elle. les deux sont installés sur une étagère située dans son salon. ○ argumente absolument tout même si elle a tort. ○ selon elle, les brocolis et ananas ne vont pas sur une pizza et n'hésiterais pas à renier un ami pour cette raison. ○ si elle devait choisir une maison à Poudlard, elle serait définitivement Hufflepuff. ○ mange pour trois, mais n'engraisse pas. ○ bien qu'elle ne roule pas sur l'or, il lui arrive de faire des achats stupides. ○ aimerait passer six mois en Afrique juste pour la Savane. ○ aime netflix autant qu'elle aime la nourriture.
PSEUDO : loyals. PRÉNOM : sarah. ÂGE : 21 ans. PERSONNAGE : inventé as usual. AVATAR : lily james, real cinderella ya know? CRÉDITS : aquamarine/av & may0osh/gifs. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : par magie. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE ?: maybe.
august 1999 (ten years old) • london, uk. Son regard était porté sur son genou écorché. Elle semblait plus s’intéresser au sang qu’au fait qu’elle soit tombée de sa bicyclette. Son père avait retiré les petites roues quelques jours plus tôt, certain que Briar n’en avait plus besoin parce qu’il en avait marre de voir son vélo traîner dans le garage. « Briar ? Tu m’entends ? » La voix d’Ana lui revenait tranquillement tandis qu’elle clignait des yeux à plusieurs reprises. Ana était par-dessus son épaule et regardait, avec dégoût, le sang qui coulait de sa blessure. Ce n’était pas la fin du monde. « Qu’est-ce qu’il y a ? » demanda-t-elle en se relevant pour essuyer la poussière sur ses vêtements. Si elle ne le faisait pas, maman ne serait pas contente. Maintenant, elle ne faisait plus attention à son écorchure. Le sang n’avait jamais dérangé Briar. Par contre, il semblait déranger Ana. « Tu saignes, Briar. » Elle était au courant de ce détail, mais elle n’en avait rien à faire. « Je vais rentrer à la maison, Ana. » balança-t-elle tout simplement en remettant sur pied sa bicyclette. Bien qu’elle se soit éloigné de sa copine, Briar entendait toujours la voix d’Ana qui lui disait à bientôt. Arrivée devant chez elle, Briar laissa tomber son vélo sur le gazon avant de courir jusqu’à l’intérieur de la maison, criant le prénom de sa mère. « Briar ! Arrête de crier, qu’est-ce qu’il se passe ? » Rien de grave. En tout cas, moins grave que l’expression que sa mère affichait. « Je me suis fait mal en tombant. Mon genou saigne. » Elle lui montra son genou et l’instant d’après, sa mère s’agenouillait devant elle. « Oh chérie ! Tu vas bien ? » Briar se contenta d’hocher la tête affirmativement. « Pourquoi il y a des bagages près de la porte, maman ? » Si sa mère pensait qu’elle ne le remarquerait pas, elle se mettait le doigt dans l’œil. Briar l’avait constaté dès son entrée dans la maison. Maintenant, ce qu’elle se demandait était le pourquoi. Pourquoi est-ce des valises traînaient dans l’entrée ? Partaient-ils en voyage ? Allaient-ils rendre visite à Jefferson ? Cette dernière question était impossible puisque Jefferson était enterré à quinze minutes de la maison. Mais elle voyait bien sur le visage de sa mère que quelque chose n’allait pas. Qu’elle réfléchissait à une la bonne réponse à lui donner. « Tu sais que nous t’aimons papa et moi, pas vrai ? » Encore une fois, Briar se contenta d’hocher la tête. Ses parents l’aimaient, elle savait même si elle savait qu’ils ne l’aimaient pas autant qu’ils aimaient Jefferson. Briar savait qu’elle ne comblerait pas le vide laissé par son frère décédé. Sa mère soupira pour ensuite lui caresser le visage puis jouer nerveusement avec sa pointe de cheveux. « Tu sais aussi que ce n’est pas de ta faute, mon cœur ? » Pour la troisième fois, Briar se contenta d’hocher la tête affirmativement. Où est-ce que sa mère allait avec toutes ces questions ? Pour la seconde fois, elle entendit sa mère soupirer. « Ton père et moi avons décidés de nous séparer. Nous voulions attendre ce soir pour te l’annoncer, mais tu as remarqué les valises. Papa s’en va vivre dans une autre maison. » À cet instant, la voix de sa mère était devenu un son en fond sonore. Elle n’entendait plus les mots prononcés par sa mère. Non, ça n’allait pas aller bien. Son père quittait le domicile familial. C’était horrible pour la fillette de dix ans qu’elle était. Au bout du compte, Briar s’était contenté de se dégager des mains de sa mère pour retourner à l’extérieur faire du vélo.
october 2002 (thirteen years old) • london, uk. Ce n'est pas de ta faute, Briar. Ces mots qui se répètent dans sa tête depuis son départ du bureau de la psychologue. C’était leur dernière séance. La dernière fois qu'elle pourrait parler librement à un adulte sans que celui-ci juge Briar. Depuis les huit dernières semaines, Briar se rendait à cet établissement pour une séance d'une heure. Parfois, lorsque le psychologue n'avait pas un autre rendez-vous, ils discutaient plus longtemps. C'était arrivé deux fois. Les deux fois, Briar avait eu l'impression de s'adresser à un vieil ami. Comme si elle connaissait cette personne depuis toujours. Lui parler avait fait du bien à Briar. Les trois dernières années avaient été floues aux yeux de Briar. Elle ne se rappelait pas de la moitié. Du moins, elle essayait d'oublier le plus possible. La première année après la séparation de ses parents, Briar avait dû s'ajuster au fait qu'elle possédait maintenant deux nouvelles maisons, que ses parents devaient la partager et qu'elle devait choisir avec qui elle allait passer le week-end sans faire de la peine à sa mère ou son père. C'était le plus difficile. Elle les aimait tous les deux, mais Briar avait toujours eu l'impression d'en décevoir un. Puis, la seconde année, son père avait annoncé son homosexualité au monde. À elle, surtout. Même si elle était heureuse qu'il soit heureux, Briar avait toujours un peu de difficulté à accepter le fait que son père aimait les hommes. Puis, les derniers mois : sa maman lui avait annoncé attendre un bébé. Briar allait avoir une petite sœur. C'était étrange. D'avoir 13 ans de différence avec sa petite sœur. Ce mélange avait été comme un cocktail Molotov. Elle avait explosé. Ce qui avait résulté à des rencontres obligatoires avec un psychologue. Tout ce qui était arrivé n'était pas de sa faute. Rien n'était de sa faute. Elle comprenait que les gens s'éloignaient avec le temps, que le fait qu'ils puissent s'aimer éternellement était difficile. Elle comprenait que son père n'aimait plus les femmes, que c'était les hommes qu'il aimait. Tout ça ensemble, Briar l'avait finalement accepté. Elle allait mieux. Parler lui avait fait du bien. Déballer tout ce qu'elle retenait aussi. À la sortie, elle s'était promis de ne plus jamais retenir ce qu'elle voulait dire à l'intérieur d'elle. C'était trop dangereux. « Comment tu vas ? » lui demanda Ana lorsqu'elle s'installa en face d'elle. Sourire sur les lèvres, Briar pensait à la bonne réponse. « Mieux. »
july 2010 (thirty-one years old) • london, uk. Cette chaleur était insoutenable. Même si elle savait que ce n'était que le début, Briar en avait marre de l'été. Elle était impatiente au temps froid. Au temps où ses cheveux n'allaient pas friser comme un caniche. L'humidité était la pire chose pour Briar. « Qu'est-ce que tu penses d'aller fêter ce soir ? » Pour des raisons inconnues, Briar avait très envie de sortir de chez elle pour passer la nuit dans un bar boire une bonne bière et passer un bon moment. Bien qu'il fasse très chaud, elle n'en avait absolument rien à foutre. « Tu es certaine ? Avec cette chaleur ? » Ana était perplexe, Briar se doutait bien. « Ouais. Ça sera amusant. » répondit-elle en regardant sa copine avec un sourire sur les lèvres. « Puis, ça te fera du bien. Tu pourras oublier ton ex en passant une bonne soirée en ma compagnie et peut-être celle d'un bel homme. » C'était peut-être pour cette raison qu'Ana n'avait pas envie de sortir ce soir. C'était peut-être aussi pour cette raison qu'Ana avait acceptée de sortir ce soir. // « Qu'est-ce que tu penses de lui là-bas ? » En prononçant ses mots, elle pointait du doigt le mignon garçon au fond du bar, installé sur un tabouret accompagné de ses amis. « Pas vraiment mon style. » Pour la cinquantième fois, Ana lui donnait cette réponse. Elle en avait marre. Pas vraiment puisqu'elle allait continuer à jouer Cupidon avec sa copine. Elle n'aimait pas voir cette tristesse au fond de ses yeux ni voir que son visage n'était pas illuminé par son sourire. « Ana ! Il est carrément ton style ! Bruns, yeux bleus et assez musclé. Et même s'il n'est pas ton style, on s'en fout. Tu as besoin d'un peu d'action dans la chambre, ça fait trois mois depuis ta rupture. Nick ne reviendra pas. Oublie-le et passe un bon moment avec cet inconnu. » Sans laisser le temps de réponse à Ana, Briar sautait de son tabouret et se dirigeait vers cet inconnu afin de lui dire à quel point sa copine le trouvait mignon. Souriante, elle retournait à sa place avant que son regard croise le regard d'une autre femme. Elle eut le sentiment d'être frappé par la foudre. C'était étrange et aussi la première fois. Qu'est-ce qui se passait avec elle ? Ça ne lui était jamais arrivée. Mais ça ne dérangeait pas Briar. C'était intéressant. Sans gêne, elle s'approcha d'elle et se présenta à elle. Quelques mois plus tard, elle en était tombée amoureuse. Une belle histoire d'amour entre deux femmes qui dura un an et demi.
april 2014 (thirty-five years old) • london, uk. « Je suis heureuse pour toi, papa. Vous méritez d'être heureux tous les deux. » dit-elle en souriant à son père et beau-père. Beau-père dont elle avait repris le patronyme à l'âge de 18 ans. Annonce qu'elle avait fait à son anniversaire à elle. Briar avait toujours considéré ce dernier comme un second père voir même une mère. Il s'était toujours occupé d'elle comme une mère prenait soin d'un enfant. Briar aimait toujours sa mère, mais Patrick était probablement sa personne préférée au monde. Elle l'aimait. De tout son cœur. Puis, sa mère semblait l'avoir oublié avec l'arrivée de sa demi-sœur, Juliet. « Merci Briar. Nous sommes heureux de savoir que tu sois là. Sans toi, ce mariage n'aurait fait aucun sens. » Maintenant que le mariage du même sexe était accepté à Londres, ses deux pères avaient décidés de se marier. Un objectif qu'ils désiraient depuis leur rencontre. Ils s'aimaient. Quelque part, Briar savait qu'ils allaient s'aimer pour toujours. La voix d'une personne dans les hauts-parleurs interrompu Briar qui allait souhaiter à ses parents un bel avenir ensemble. Semblait-il que ce soit le temps des discours. Les gens reprenaient tous leurs places assignées. Briar alla s'installer près de son père biologique pour écouter tous les gens faire des discours qui se ressemblaient tous. Même si elle n'avait rien préparé, Briar en avait marre alors elle se leva de sa chaise et s'approcha de la scène pour prendre le micro avant que la prochaine personne le fasse. Il était hors de question qu'un autre discours soit prononcé s'il était pour ressembler aux autres. Les gens n'étaient pas originaux, parfois. « Bonjour à tous. Je me présente pour ceux qui l'ignorent, mais je suis la fille de Patrick et Lewis. Je suis aussi la demoiselle d'honneur de Patrick comme il a aimé le dire tout le long de la préparation. » Des rires dans la salle. C'était un bon signe. « Je ne sais pas si vous le savez, mais aujourd'hui, les mariages semblent tous se terminer en divorce. Mais en regardant mes deux pères ensemble je me dis qu'il est impossible que ce mariage se termine en divorce parce que qu'on peut apercevoir tout l'amour qu'ils ont l'un pour l'autre. Ils s'aiment. Ça se voit. Ce genre d'amour se fait de plus en plus rare et en regardant Patrick et Lewis ensemble, je peux voir qu'ils ne font qu'un. Qu'ils sont fait pour être ensemble. En voyant leur amour naître et grandir dans le futur, ça me donne de l'espoir qu'un jour, moi aussi, je trouverais la personne avec qui je passerais le restant de ma vie. » Sa voix était tremblante. Briar était une personne émotive, elle savait que bientôt, elle allait pleurer. Alors, avant de le faire devant tout le monde, elle leva sa coupe de champagne. « Pour terminer, je veux souhaiter une longue vie aux deux personnes les plus importantes de ma vie. Aux deux hommes qui m'ont aider à devenir la femme que je suis aujourd'hui. Qui ont toujours été présents pour moi, peu importe à quel point les moments pouvaient être sombres. Ils sont la lumière de ma vie. Je vous aimes. Merci et longue vie. » Briar se pinça les lèvres en descendant de la scène.
OH MY j'adore le titre & le pseudo. Re-bienvenue Sarah. Bon courage pour ta nouvelle fiche.
En cas de besoin, tu sais où nous trouver.
Jake O. Cavendish
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» Schizophrénie : Alexander & Olivia
(✰) message posté Lun 12 Déc 2016 - 17:15 par Jake O. Cavendish
Medea j'exige un lien, d'abord mais Lily quoi et le pseudo aussi j'ai hâte de découvrir le personnage (re)bienvenue à la maison Sarah et bon courage pour ta fiche tu sais où nous trouver si tu as des questions
@Oreste Beaumont Sandrine, c'est toi. J'ignorais que tu étais de retour. Merci Sandrine et je peux dire la même chose pour toi.
@Charlotte R. P. Adams aaaaaw. en plus, j'étais tellement incertaine quant au pseudo. Merci. je sais où te trouver, Margaux.
@Jake O. Cavendish je sais, Medea, je suis la pire. je te réserve tout ce que tu veux, pour me faire pardonner. Merci Marine. En espérant que la suite soit aussi bien que le pseudo.
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