"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  2979874845 Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1973890357
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Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!

Anonymous
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 1:42 par Invité

Elisabeth Sasha Whiterson

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Whiterson PRÉNOM(S) : Elisabeth ÂGE : 33 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 22/09 à Leeds NATIONALITÉ : Anglaise STATUT CIVIL : Divorcée. Célibataire MÉTIER  : Mannequin TRAITS DE CARACTÈRE : MES QUALITÉS autoritaire (+)  déterminée (+) prévoyante (+) captivante (+) sage (+) obstinée (+) disciplinée (+)  volontaire (+) avenante (+)  organisée (+) méticuleuse (+) raisonnée (+) raffinée (+) têtue (+) structurée (+)  productive (+) méthodique (+) réfléchie MES DÉFAUTS fourbe (-) abrupte (-) manipulatrice (-) méfiante (-) impulsive (-) provocatrice (-) calculatrice (-) désobéissante (-) désinvolte (-) rancunière (-) rigide (-) sévère (-) diabolique (-) stratège (-) stricte GROUPE : Black cabs



My style, my life, my name

CHOSES A SAVOIR SUR MOI Divorcée et Maman d'une adorable petite fille pour qui je ferais n'importe quoi + Mannequin depuis mon adolescence, j’enchaîne aussi bien les podiums, les shootings, les pubs télévisées, les apparitions dans les clips musicaux du moment que je suis la vedette. + Si je n'ai pas mon café le matin, je risque d'être de mauvaise humeur pour toute la journée + je suis quelqu'un de très positif, je n'aime pas me morfondre sur mon sort, quand il faut avancer, il faut avancer c'est comme ça + j'ai un rire très communicatif + j'ai horreur des araignées + j'adore mon travail et écouter les autres, je suis une personne de confiance on peut le dire + j'aime bien faire du sport, de la natation ou de la course, ça fait du bien de courir un peu et de se perdre dans ses pensées + je suis quelqu'un qui n'aime pas vraiment rester sur place, j'aime toujours faire quelque chose sinon ça m'énerve + Je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds, lorsque j'ai quelque chose à dire, je n'hésite pas à le faire + Je suis quelqu'un d'assez franche et je ne supporte pas lorsqu'on parle de moi dans mon dos + Je suis quelqu'un de très maniaque également, chez moi je passe mon temps à regarder que tout soit parfaitement bien rangé et qu'il n'y ait pas de la poussière dans tous les coins + Je suis aussi légèrement perfectionniste, il faut que tout soit parfait tout le temps et parfois ça a tendance à me jouer des tours + j'adore faire de nouvelles rencontres + lorsque je suis mal à l'aise je joue avec mes cheveux où je me mordille la lèvre + j'ai des troubles du sommeil. Je dors peu, seulement quelques petites heures par nuit.

DANS MA TÊTE Je suis très lunatique et un peu bipolaire de nature. J'ai toujours du mal à contrôler mes émotions. Tous ce mélange dans mon crâne et j'explose comme un volcan. Un instant, je peux être un véritable bisounours qui saute sur tout ce qui bouge et faire de gros câlins, l'instant d'après, je boude parce que quelque chose me contrarie et j'envoie tout le monde bouler. Je change souvent d'avis, je n'aime pas avoir tort, je suis plutôt grande gueule dans mon genre. Être cynique est mon grand plaisir, j'envoie très vite les gens chier. Je suis très farceuse, je me trouve drôle. J'ai tendance à râler, à beaucoup trop réfléchir, à faire trop vite les choses ou avoir des opinions trop arrêtées mais cela m'arrive aussi de changer d'avis. J'ai un physique très sympathique il me semble. J'adore en jouer. Je me suis toujours considérée comme une belle femme, après tout, une grande blonde avec de beaux yeux ça fait toujours craquer... Oui je sais c'est pas la modestie qui m'étouffera mais après toutes ces années à entendre dire que je suis très attirante et sexy, j'ai fini par croire ce que l'on me disait. Je suis plutôt musclée sans l'être trop, en fait pas trop mais le peu que j'ai suffit à faire son effet... Mes passe-temps font de moi cet être si différent des autres. Déjà je connais un amour fou pour la philosophie, l'art de penser par soi-même, d'aboutir à un raisonnement intelligent et constructif tout en consultant le chemin de la réflexion. Mais j'ai encore du mal à gérer mes émotions et appliquer tout ces principes qui pourtant me passionne.  D'un autre côté, je connais une grande fascination pour la gente masculine : j'aime me faire courtiser, charmer, ravir, lui donner ce quelque chose que personne d'autre ne peut lui offrir et j'aime voir briller dans son regard cette admiration sans borne. J'aime regarder leurs iris pétiller d'amour et leurs joues rougir. Je passe souvent du coq à l'âne... Un jour je vais décider de faire un puzzle, un autre de prendre ma guitare mais rien de très régulier. Le changement est la clé de la réussite, si vos adversaires peuvent vous connaitre sur le bout des doigts, vous perdrez forcément... Je n'aime pas cette idée alors je fais en sorte de ne pas être toujours la même. Il faut dire que l'ambition est une de mes qualités première, comme elle est mon plus gros défaut. Si cela me permet d'être la meilleure en toutes circonstances. J'apprécie beaucoup la littérature, ça m'a aidé à m'accrocher durant ma scolarité. Je passe la plupart de mon temps à lire, à apprendre et à déchiffrer des tas de choses. C'est ma principale occupation. Ma deuxième passion est la fête. Je ne sais pas si c'est vraiment une passion, mais j'adore cette beauté que le monde nous offre de nous éclater et de profiter au maximum. J'essaye d'en prendre soin en enchaînant les excès ! Contradictoire, je sais mais je suis comme ça. La musique me plait aussi. Sinon, je suis la folle qui fait rire ses amis, toujours partant pour une virée, une soirée ou n’importe quoi d’autres ! Je suis tellement exubérante, envahissante, lourde par moment, que les gens ne me supportent qu'un temps. Je pense que beaucoup ne me côtoient que par charité ou à cause de ma notoriété, bien-sûr, j'ai mes bons moments où je suis sympa et drôle. Heureusement, j'ai trouvé de véritable amis qui me supportes et m'accepte tel que je suis.
PSEUDO : Wilady PRÉNOM : . ÂGE : 24 ans PERSONNAGE : Scénario.  AVATAR : Lindsay Ellingson CRÉDITS : Shiya COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Top Site obessionCE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: non, first-one!



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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 1:42 par Invité
At the beginning

Elisabeth Whiterson, enchantée. Mon nom vous dit quelque chose, non? C'est normal. Fille d'un ancien guitariste qui avait atteint l'apogée du succès, une des plus grandes légendes du rock après les Beatles, The Who ou encore Oasis. J'ai également su me faire ma propre place dans le show-business. Dior, Chanel, Vera Wang, Victoria Secret et bien d'autres maisons, vous m'avez forcément vu quelque part. Si vous n'êtes pas raffinés au point de connaitre la haute-couture, vous m'avez peut-être vue dans un clip de Maroon 5, Calvin Harris, Selena Gomez, Macklemore et tant d'autres... Commençons par le commencement. Ma conception...Mes parents. Delilah Aria Heater, ma mère, manager du groupe Sometimes Apart, en relation secrète avec le guitariste du groupe. Mon père, Aiden Adam Whiterson, guitariste et chanteur principal du groupe Sometimes Apart, en relation secrète avec sa manager. Tout se passait bien, ils couchaient ensembles dès qu'ils en avaient envie. Le secret animaient encore plus leur passion. Personne ne se doutait de rien. Ni les paparazzis, ni les boss du label, ni les quatre autres membres du groupe. Puis, il eu ce jour, ce jour où ils ont arrêtés de se cacher, où ils ont avoué qu'ils s'étaient mariés en cachette depuis un certain temps. Pourquoi l'avouer après l'avoir caché tant de temps? Parce que j'allais pointer le bout de mon nez et que mes parents voulaient crier le bonheur de m'accueillir au monde entier. « Te voilà au monde mon petit amour, j’ai encore du mal à croire qu’après seulement sept mois, tu es déjà parmi nous. Nous venons tout juste de te ramener à la maison après un long séjour à l’hôpital et, déjà, tu sembles mieux. Tu as bien réussi à nous faire peur à plusieurs moments, mais je suis toujours resté à tes côtés et j’ai été forte pour nous deux. Tu étais donc prématuré, mais les médecins ont dit n’avoir jamais vu aucun enfant se battre autant pour rester en vie. Tu étais le petit rayon de soleil de toutes les infirmières, et je suis déjà si fière de toi. J’aimerais tant te protéger de tout ce que le monde extérieur t’apportera dans la vie, t’éviter tous les maux de la vie quotidienne, mais je sais désormais que tu es fort et, qu’un jour, tu auras la vie que tu mérites et que je ne peux t’apporter pour le moment. Accroche-toi bien fermement à tout ce qu’il y a de bien sur cette planète mon trésor. » Je levai les yeux de l’album de bébé que ma mère avait tenu il y a bien des années de cela. J’ai été voulue. J’ai été conçue. Je suis née. J’ai eu des parents aimables, et une jolie petite famille. Une enfance de rêve, entourée d’amour et de bonheur. Quand j'étais enfant, ma maman était la personne que j'aimais le plus au monde. Mon père partait en tournée et comme il était rarement là, ma maman est celle qui m'a élevé. C'est aussi elle qui a commencé à m'apprendre le piano et le solfège. C'est elle qui me coupait les cheveux, m'emmenait au cinéma, me lisait des histoires, m'a appris à faire du vélo sans roulettes. Elle était ma meilleure amie, ma confidente.  J'ai eu une enfance magnifique, je n'aurais jamais osé rêver mieux, je n'ai rien à redire sur cette période de ma vie… Jusqu'au décès de  ma mère où plus rien n'a était pareil. Notre dernier moment partagé était une séance au cinéma. Plongées dans le noir, sans se parler, sans se toucher. Voilà comment j'ai gaspillé de précieux moments de ce que j'ignorais être notre dernière journée ensemble. Je crois que j'ai fait un transfert de mon deuil sur les salles de cinéma. Je les ai en horreur. La proximité d'un film regardait serrés sur un canapé passe encore mais je fuie les salles obscures. Voilà bientôt plus de vingt-sept ans qu’elle était décédée, me laissant seule sous la responsabilité de mon père qui, heureusement, n'avait pas eu du mal à s’occuper de moi. En tout cas, je crois que c'est le souvenir que j'ai... J'ai eu énormément de nounous, de gouvernantes, de gardiennes et de baby-sitters mais personnes ne trouvaient grâce aux yeux de mon cher papa. Je méritais la perfection. J'étais la perfection. Je suis toujours la perfection. Mais maman... Ma maman... Elle me manquait terriblement, et ce même si j’avais eu peu de temps à ses côtés. C'était si simple de briser un destin. Une vie. De voir s'écouler entre ses mains le sable du temps, le flot continu de ses souvenirs, de ce bonheur seulement frôlé et jamais vécu réellement. Même pas un au revoir prononcé. Un adieu jamais digéré. Et les choses changent à jamais. L'équilibre laisse place à la rancœur et à ce sentiment de n'avoir sa place nulle part...

« Ne t'inquiète pas, je te protégerais. » Je savais mes paroles présomptueuses, voir même dépourvues de bon sens.  Elle est morte depuis longtemps, emmenant dans son sillage ses sourires, ses mots, ses habitudes, et tout ce qui fut joie et bonheur. Cela a était dur au début mais on a surmonter tout ça... J'ai mis du temps à me reconstruire mais j'ai réussi à m'en sortir, à devenir quelqu'un de bien, pour qu'elle soit fière de moi. En grandissant, adieux les nounous et toutes les autres du genre, je pouvais partir sur les routes avec mon père. Parce que, justement, j'avais grandi. A dix ans, j'avais fais six fois le tour du monde. A douze, huit. Et a quinze, douze fois. Toujours en première classe. Toujours dans les hôtels étoilés. Toujours chouchoutée. Je connaissais l'équipe technique comme ma poche. Ils étaient devenus les amis que je ne pouvais pas avoir. Voyageant partout dans le monde, je ne pouvais pas me faire des amis, sachant que je devais les quitter la semaine suivante. J'étais déjà la rigolote de service, celle qui n'avait jamais sa langue dans sa poche et que tout le monde aimait plutôt bien. Mon père m'avait flanquée une guitare entre les mains très vite... Dès mes six ans. J'ai perfectionné très vite mes bases de piano, étant quelqu'un qui apprends très vite. En plus de ça, je jouais de la batterie... Enfin, en amateur. Le batteur du groupe m'apprenait dès qu'il avait du temps. Je continuais toujours à exceller à l'école, mais petit à petit, mes rêves de devenir une mannequin reconnue prenaient de la place dans ma vie. Mon père en était plus que ravi. J'attendais avec impatience son retour de tournée quand je ne l'accompagnais pas car pour compenser son absence, il me m'obtenait des petits contrats pour des publicités. J'ai commencé par une célèbre marque de bijoux.  Plus je grandissais, plus ma passion pour le mannequinat prenait place... Plus je grandissais, plus ma carrière évoluait elle aussi. A Londres, je me suis épanouie, j'ai vécu des choses extraordinaires. Élève à l'Université de Westminster, spécialité média, des arts, et du design, j'ai reçu une éducation hors pair grâce à des professeurs de renommée internationale. Souhaitant être mannequin, je voulais apprendre le langage de la communication mais aussi les arts de la scène pour apprendre à communiquer les émotions. Mais je suis aussi tombée amoureuse à Londres. Pendant des années, ma carrière a été ma priorité. Ma seule et unique priorité jusqu'il y a environ sept ans, quand je suis tombé enceinte. Vous ne l'avez pas vu venir, hein? Quand je vous disais que je passais souvent du coq à l'âne. Bref. Je devrais peut-être commencer par le début, par le père de ma fille, Charlie Edwards. Je l'aimais. Oui, je l'aimais. Quelque part, je l'aimerais toujours mais c'est fini, terminé. Charlie et moi, on se connait depuis treize ans. A une after party d’un défilé Victoria Secret, on s'observait et j'ai eu le sentiment de le connaître depuis toujours, sans jamais lui avoir adressé la parole. Il arrivait quand je partais, j'ai changé d'avis. Je suis restée. Sans regrets. Aucun. Il a osé venir me parler. Et tout ce qu'il a dit était identique à ce que je m'étais imaginé quelques minutes avant. Il est apparu comme il serait apparu dans mes rêves et je me suis dit que tout allait se passer exactement comme ça devait se produire. Je le connaissais à peine mais tout chez lui était exactement comme je me l'imaginais, comme je me le représentais. J'ai été heureuse comme jamais à ce moment précis. Apeurée et heureuse, les deux simultanément. Et j'étais amoureuse de lui. Réellement amoureuse. Je sentais qu'il pouvait être l'homme de ma vie. C'était dur de m'accrocher à ma carrière de mannequin alors que je rêvais de passer du temps avec lui. Pour prendre un café, pour dîner ensemble, pour passer la nuit ensemble. Il a d'ailleurs été "mon premier". De grandes carrières se préparaient pour nous deux. C'est ce que disait les tabloïds. J'avais un peu peur que notre couple m'efface en tant que personne à la une des journées, moi qui ai grandit comme étant "la fille de...", je voulais exister par moi-même. Ce fut enfin le cas avec un gros contrat pour Dior. Fashion Week, défilés, couvertures et tout le bazar, mon succès arriva enfin. Au point de devenir égérie de la marque. C'est là que les portes se sont ouvertes. Les créateurs, les couturiers, tous me voulaient. J'étais fière d'avoir Charlie à mes côtés. J'étais fière d'être sa petite amie. J'étais encore plus fière de devenir sa fiancé. J'étais à l'apogée de l'extase lorsque nous nous sommes mariés. J'ai eu droit à mon mariage de princesse.  Le plus beau jours de ma vie. Même si ma carrière a toujours pris une place très importante dans ma vie et que longtemps mes plus gros bonheurs et mes plus grosses joies étaient liés à mes contrats, Charlie éclipsait tout. Il était le seul homme au monde pour qui j'étais prête à tout. Prête à abandonner le travail de mes rêves pour fonder une famille. Beaucoup ont étés surpris de m'entendre évoquer une grossesse après mon mariage. Mon agent a frôlé la crise cardiaque. Les grandes maisons me menaçaient de rompre mes contrats. Mais dès que je posais mes yeux dans ceux de Charlie, j'étais sereine. Il était le Yin de mon Yang. L'ancre qui me permettait de garder les pieds sur terre. Mon contact avec la réalité.

Un peu plus d'un an après le mariage, je suis enfin tombée enceinte. Étant assez menue, je n'ai pas pu cacher ma grossesse très longtemps. Les podiums m'ont étés retirés, les photos de couverture ne passé sous le nez mais j'étais heureuse... Charlie aussi. Nous allions enfin former une famille. Lily a pointé le bout de son nez. Même si mon mariage était le jour le plus parfait de ma vie, il est devenu numéro deux aux podiums de mes moments préférés. La naissance de Lily est aujourd'hui le beau jour de ma vie. La douleur atroce, la transpiration et la fatigue se sont envolées quand j'ai vu s'ouvrir les yeux de cette petite, tout juste née, posée sur mon cœur. Je venais de faire une croix sur ma carrière et n'avait plus qu'un seul but dans ma vie: rendre ma famille heureuse. Je voulais nous créer des souvenirs et une vie merveilleuse tout les trois. Mais surtout, surtout je voulais que ma Lily ne manque de rien. Surtout pas d'un père ou d'une mère. Je me souviens m'être juré que sa vie serait celle d'une princesse. La faire vivre dans le luxe, dans l'excès, qu'elle est tout, qu'elle ne manque de rien. Rien ne serait jamais trop beau pour elle. Je me savais future héritière de l'empire de mon père, avait moi-même une petite fortune acquise au travail ainsi qu'hérité de ma mère et des placements de mon père alors je pouvais dépenser sans compter pour ma fille. Berceau en soie d’Égypte, layette de grand couturier, tout ce qui était pour elle devait être fait main et sur mesure, des vêtements aux jouets en passant au meuble jusqu'aux produits d'hygiènes. Lily semblait heureuse et épanouie, une belle enfant souriante. Pourtant, les sourires de Charlie se faisaient plus rares, les disputes plus régulières. Lui qui avait modulé son emploie pour être plus souvent là, et moi qui avait mis fin à ma carrière pour être mère au foyer, nous regardions notre couple s'étioler sans vraiment le savoir. L'amour que nous portions pour Lily finissait par atténuer notre agacement l'un pour l'autre. Mais le temps étaient notre ennemi. Cela n'a fait qu'empirer. Si bien que j'ai repris le mannequin un peu après les deux ans de Lily. Beaucoup se sont bousculés pour avoir l'exclusivité de mon come-back. Je recevais énormément de cadeaux, visant à m'attendrir, ainsi que beaucoup adressé à Lily qui manquait de se noyer sous les paquets, les jouets et les vêtements. Je rêvais de pouvoir faire découvrir le monde des strasses et des paillettes à ma fille. Charlie était plutôt réticent et voulait la préserver. La préserver de ne pas grandir trop vite, la préserver des paparazzis qui n'avaient jamais pu obtenir son visage. Non pas que je sois contre ou qu'on ne m'ait jamais proposé. Et puis un jours, les demandes ont ralentis. Ainsi commença ma traversé du désert, période de vache maigre. La concurrence était rude. Les jeunes demoiselles affluaient alors que je ne rajeunissais pas. Alors, privé de ma carrière, je me suis cramponnée à ma fille, la gâtant encore et encore, toujours un peu plus. Avec le recul, je pense que je devenais plus une mère poule qu'une femme aimante. Non pas que je n'aimais pas mon mari, plutôt que notre couple se dégradait et nos esprits s'éloignaient. Je n'étais pas si surprise que ça à notre séparation mais j'étais dévastée. Je ne pourrais pas vous raconter toute cette période sans verser quelques larmes même si j'ai énormément de bons souvenirs, les échecs me sont toujours douloureux et dur à admettre. Ma carrière y a trouvé un petit rebond car mon divorce faisait la une des tabloïds mais l’engouement fini toujours par redescendre. J'ai eu quelques petites aventures depuis mais rien de sérieux, que du discret, rien que ma fille ne pourrait apprendre par hasard ou en lisant la une des tabloïds. J'ai perdu mon mari et ma carrière alors je me focalisais sur ma fille. Deux semaines sur deux. C'est très dur de se séparer de son enfant, de la chaire de sa chaire aussi longtemps lorsque l'on a jamais été séparé plus de deux jours. Le temps adoucie les blessures sans les guérir. Charlie et moi gardons contact bien-sûr, pour le bien de Lily. Cela se passe relativement bien. Et puis, il y a Linaelle. C'était dur de ce dire que ce dire que mon mari, enfin ex-mari refaisait sa vie mais c'était insoutenable d'imaginer une autre femme dans la vie de ma fille. Je me devais de traiter ma Lily comme une altesse, comme un reine plutôt qu'une princesse pour éviter qu'une autre puisse prendre ma place aux yeux et dans le cœur de ma fille. Je lui offre tout ce qu'elle demande. Je lui ai fait offrir un pur sang arabe récemment, acheté à un Prince Marocain, quand Lily m'a dit que Charlie et Linaelle n'avait pas voulut qu'elle fasse une balade en poney dans une fête foraine.
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 1:51 par Invité
Bienvenue parmi nous I love you
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 1:57 par Invité
Merci, bel insomniaque Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  881803100 Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  208687334
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 2:13 par Invité
bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  2941632856 Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1975938187
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 2:20 par Invité
Merci à toi Flora Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  2237618149 Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1973890357
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 5:29 par Invité
excellent choix de scénario Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  2941632856
bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1942225346 Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1973890357
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 8:19 par Invité
bienvenue parmi nous Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1973890357
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 9:18 par Invité
bienvenue parmi nous Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1922099377 Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1973890357
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 9:58 par Invité
bienvenue et bon courage pour ta fiche Une femme s'énerve seulement pour deux raisons: tout et rien!  1973890357
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