i don't wish you were dead anymore (riley)

Qui a eu l'idée de m'inscrire dans une salle de sport ? Ah oui, mon frère. Bordel, j'aurais jamais dû accepter qu'il le fasse. Il m'embarquait sans arrêt à cette fichue salle. Comme-ci j'avais envie de faire du sport ! Certes, j'aime le surf, mais c'est pas pareil. De devoir, transpirer et courir comme un con sur un tapis de course, ça m'énerve. Je ne comprends pas comment on peut aimer ça. C'est fatiguant. D'ailleurs, ça faisait une semaine que je rentrais tous les jours en sueur après les entrainements intense que Tomas me faisait vivre. C'est décidé. Demain, je quitte la salle de sport. Je trouverais bien une excuse du style, j'ai pas le temps, on a besoin de moi au salon de tatouage. Puis merde. Je n'avais pas besoin d'excuse. Le simple fait que je n'ai pas envie devrait suffire. Heureusement, j'avais réussi à m'enfuir avant que mon frère ne me trouve pour m'embarquer une fois de plus. Tomas est du genre persistant, il trouve toujours le moyen de m'embarquer et de force, la plupart du temps. J'avais l'impression d'être une brindille à côté de lui. Pas que ça me complexe, loin de là. Sauf que parfois, j'aimerais bien faire cent kilos de muscle et deux mètres pour l'empêcher de me torturer. Parce que oui faire du sport, c'est de la torture, surtout quand je suis obligé. En attendant, ce soir, j'avais bien l'intention de sortir et de m'amuser un peu, pour une fois que je n'étais pas fatigué ni transpirant. Direction la soirée d'un ami. Soirée qui se termina vers les trois heures du matin. J'étais complètement ivre et il fallait que je retrouve le chemin de ma maison. Heureusement, il ne me fallut pas longtemps grâce à l'aide d'un ami qui habité juste à côté. Il m'avait gentiment proposé de me raccompagner. Tout le monde sait qu'il est gay et il a sans doute le béguin pour moi et je devrais me sentir mal pour avoir accepté alors que je sais qu'il ne se passera jamais rien entre nous, mais en fait, j'avais rarement des remords. Une fois devant l'immeuble, je congédiais le type qui partit avec une mine plus que déçu. Toujours aucun remords. Je monte difficilement les escaliers avant de me rendre compte que je n'ai pas mes clés. Merde. J'avais dû les oublier à la soirée. Bien. Il fallait que je trouve une solution et rapidement si je ne voulais pas passer la nuit dehors. J'aurais pu retourner à la soirée, mais c'était trop loin. Donc je décidais de me rendre chez mon frère, enfin chez mon frère et chez Riley par la même occasion vu qu'ils habitent ensemble. Malheureusement. Il ne me fait que quelques minutes pour arrivée devant la porte et de tambouriner à cette dernière. Pas de réponse. Tomas ne devait pas être là et Riley ... Bah, elle veut sans doute pas m'ouvrir. Rien de surprenant. C'est une vieille sorcière égoïste. Je soupire avant de me rendre vers les escaliers de secours. Je fis d'ailleurs une découverte ce soir-là. Il est très difficile de monter sur une poubelle afin d'atteindre les escaliers quand on est complètement ivre. J'avais envie de tuer Riley pour ne pas m'avoir ouvert la porte. Certes, il est quatre heures du matin, mais elle aurait au moins pu vérifier qui frappé à sa porte. Je grimpe les escaliers en laissant des injures avant d'enfin tomber sur la fenêtre de l'appartement de Tomas et Riley. La fenêtre est entrouverte et il semble que ce soit la chambre de Riley. D'ailleurs, elle semble endormie dans son lit. Je sais que c'est une mauvaise idée, mais j'ouvre la fenêtre et me faufile à l’intérieur. J'espère juste que Riley ne planque pas un flingue sous son lit parce que si elle me voit entré par effraction, elle va me prendre pour un voleur et sans doute me tuer. Heureusement étant agile comme un singe, j'arrive à entrer sans faire trop de bruit. Après tout, même si Riley et moi, nous étions un peu réconciliés la dernière fois, je ne voulais pas prendre le risque de la mettre en colère surtout que j'étais trop ivre pour répliquer. Une fois dans l'appartement, je me tourne pour fermer la fenêtre. Je lance un regard en direction de Riley, elle semble toujours dormir. Dieu merci. Soupirant de soulagement, je décide de faire la chose la plus stupide de ma vie et peut-être même la dernière. Je m'écrase comme une crêpe sur le lit de Riley. L'alcool nous fait faire des choses stupides. Trop stupides. Sauf que même si je m'en rends compte, je n'abandonne pas mon idée pour autant au contraire. Je m'étends de tout mon long au côté de Riley. D'ailleurs, je m'endors bien rapidement. Il faut dire qu'il est tard et que je commence à me faire vieux. Riley va me tuer. J'en suis sur et certain, mais j'aime ça vivre dangereusement.

Pourquoi fallait-il que Tomas ne soit pas là ? Surtout quand j'avais besoin de lui. D'ailleurs, c'était toujours quand j'avais besoin de lui que cet idiot n'était pas là. Si on peut même plus compter sur sa famille. Enfin, il est hors de question que je rentre chez moi. J'allais rentrer comme un voleur et je me fiche des conséquences. Je suis un hors-la-loi. Un délinquant et un ivrogne de surcroît. J'aurais pas du autant boire, j'ai envie de vomir. Avant de m'effondrer par terre, je décide de m'effondrer dans le lit le plus proche. Celui de Riley. Parce que je suis le roi des bonnes idées. On devrait même me remettre une médaille tellement je suis intelligent. Un génie. Au final, je m'endors bien rapidement. Trop rapidement. Le réveil fut d'ailleurs brutal. J'entendis des cris avant qu'un truc moelleux, ne vienne me frapper. Je grogne avant de me retourner de l'autre côté dans l'espoir que ce soit juste un rêve. Pourtant au fond de moi, je sais ce qu'il se passe. Riley vient de se réveiller et comme à son habitude, elle faisait du bruit. Trop de bruit. « Mais qu’est-ce que tu fais là ? » Je soupire en grognant une nouvelle fois. Les réveils brutaux comme ça, ce n'était pas mon truc. Je préfère qu'on vienne me réveiller doucement et gentiment. Bon, Riley avait ses raisons d'être en colère, mais si elle pouvait juste arrêter de me frapper, ça serait drôlement bien. « Ça se voit pas ? Je dors, pardi ! » Je crois cependant que ma réponse ne va pas suffire. Riley, elle est comme ça, toujours à demandé des détails, des précisions et à se fatiguer pour la justice et le bien dans le monde. « Sors de mon lit tout de suite, pervers ! » Je décide finalement d'ouvrir un œil avant d'apercevoir Riley qui se cache sous sa couette. Je laisse échapper un rire avant de me reprendre très rapidement. Pas la peine de me faire engueuler parce qu'en plus de ça, je rigole. « Beurk, tu pues en plus ! » Et là voilà qui recommence à se plaindre. Je lève les yeux au ciel avant de me relever un peu. Si elle voulait m'embêter et hurler toute la matinée, alors j'allais me venger. Je lui arrache la couette des mains avant de la balancer par terre. « Bah alors on est timide maintenant ? » Dis-je avec un grand sourire en me rapprochant d'elle. « C'est pas comme-ci il y avait quelque chose à cacher de toute façon. » Ajoutais-je en mimant une poitrine à l'aide de mes mains. juste au cas où, elle n'ai pas compris le sous entendu. J'avoue que Riley est loin d'être laide, mais je n'allais quand même pas lui faire un compliment et en plus m'excuser. Je pourrais, certes, mais j'ai pas envie. Je finis par me relever du lit, non sans mal, la pièce se met dangereusement à tourner. L'alcool, mon grand ami et ses effets. Me grattant la tête, je jette un coup d’œil autour de moi. Puis mon regard se pose de nouveau sur Riley. « T'es sûr que je peux pas rester pour dormir un peu ? » Dans son lit, je parle. Parce que j'avais absolument pas l'intention de partir pour le moment. Vu la tête que me lance Riley, j'imagine que la réponse est non. Quel dommage. « Bon et bien, je vais préparer le petite déjeuner dans ce cas. » Direction la cuisine. J'espère qu'il reste de l'aspirine dans le coin parce que j'en avais vraiment besoin. Je commence à ouvrir tous les tiroirs à la recherche de l'aspirine perdue et c'est là que je vois les sachets d'aspirine tout près des verres. Je tends la main pour attraper les sachets et là, le drame. Je renverse au moins cinq verres par terre. Ils s'écrasent sur le sol dans un grand fracas. « Oh merde. » Dis-je en prenant quand même le temps d'attraper un sachet. Riley ne va pas être contente. Elle va sans doute me demander de la dédommager et je ne vais pas pouvoir dire que c'est pas ma faute. L'angoisse.

Quand j'y pense, Riley n'était pas le genre de fille à se trimballer en mini-jupe. Sinon croyez moi, j'aurais été le premier choqué. Riley en mini-jupe. Rien que d'y penser, je ne suis pas sûr de m'en remettre. Heureusement, pour le bien de l'humanité ce n'était pas encore arrivé et prions le seigneur de la mini-jupe pour que ça n'arrive jamais. Amen. Je sors brutalement de ma prière quand Riley recommence à me taper dessus. Elle a un problème de comportement cette fille. Elle devrait voir un psychologue pour son problème de colère. « Je t’ai pas demandé ton avis ! » Depuis le temps, elle savait très bien que je le donnais sans qu'on ne me le demande. C'est ça qui fait tout mon charme. Il faut croire que Riley ne l'a pas encore compris ou alors elle est dans le déni. En fait, je suis certain qu'elle est folle amoureuse de moi. Elle le cache bien, c'est tout. D'ailleurs, je décide de m'éclipser avant qu'elle ne me saute de nouveau dessus comme une sauvage. Je sais qu'elle veut mon corps, mais faut pas abuser. Je suis pas un homme facile. Direction la cuisine, j'ai faim et je doute que Riley me fasse le petit-déjeuner. Déjà qu'elle ne veut pas que je dorme avec elle. Trop timide, sans doute. Sauf qu'avec Delsin Sullivan, rien n'est facile. Il faut toujours garder un œil sur moi, sinon on court à la catastrophe. En quelques secondes, j'avais déjà brisé la moitié de la vaisselle qui se trouvait dans le placard. « T’as fais exprès ou quoi ? » Plus rapide que l'éclair, Riley est déjà là pour me critiquer. Je suis pas débile quand même, je vais pas faire exprès de tout casser. Du moins, ce n'était pas mon intention. On fait tous des bêtises. Moi peut-être un peu plus que les autres. Que voulez-vous, j'ai sept ans d'âge mental. « Reste où tu es ! » Je décide d'ignorer Riley et de quand même prendre un sachet avant d'arrêter de bouger. Comme-ci j'allais faire ce qu'elle me dit. Enfin juste pour cette fois, je vais écouter, mais la prochaine fois, pas question. Je la regarde se déplacer vers le placard et en sortir plusieurs choses dont une paire de chaussures. « Tu sors ? » Demandais-je innocemment. Je voyais bien qu'elle n'allait pas sortir, mais on sait jamais, je garde espoir. « J’ai pas vraiment envie de t’emmener aux urgences parce que tu te seras ouvert le pied sur un bout de verre ! » Pas faux. Puis ça serait un gâchis. J'ai de si jolis pieds. « Alors nettoie tout ça et met des chaussures ! » Quoi ? Il faut que je nettoie en plus ? C'est chiant. « Tu t'inquiètes pour moi ? C'est trop mignon. » Dis-je en rigolant, avant d'attraper la paire de chaussures. « Tomas est plus grand que toi mais j’suppose que ça fera l’affaire. » Bien évidemment, il faut qu'elle me lance une pique. Bon, j'avoue, c'est moi qui ai commencé, mais elle n'était pas obligée de continuer. « Je te signale qu'on fait la même taille. » A quelques centimètres près. Je décide d'enfiler la paire de chaussures, qui me va plutôt bien. C'est pas pour rien que Tomas est mon jumeau. J'admire ma nouvelle paire de chaussures pendant que Riley me pose la question fatidique. « Tu comptes me dire comment t’es rentré ici ? » Je soupire avant de lui répondre. « Par la fenêtre. » Dis-je simplement en haussant les épaules, comme-ci, c'était évident. J'attrape le balai et la pelle pour pouvoir ramasser mes bêtises. « D'ailleurs, tu devrais faire attention, n'importe qui pourrait entrer. T'as de la chance que ce ne soit que moi. Imagine si ça avait été un voleur ou pire un tueur. » Je balance la moitié des bouts de verres dans la poubelle. Plus que l'autre moitié à ramasser. « Je dis pas que je m'inquiète pour toi, mais s'il t'arrive un truc, je suis sûr que Tomas serait triste et je devrais le consoler. Autant dire que consoler Tomas, c'est chiant. » Et ça prend du temps. En vérité, j'étais un peu inquiet pour Riley, mais je n'allais quand même pas lui dire. Ça serait trop dur pour mon ego. Alors que je ramasse les derniers bouts de verres, je me coupe la paume de la main avec l'un d'eux. En fait, je me coupe plus qu'un peu. Je pisse le sang, limite, je vais faire une hémorragie. Puis ça pique en plus. Je me relève histoire de passer de l'eau sur ma plaie. « Je ne voudrais pas abuser de ton hospitalité, mais t'aurais pas des pansements ? » Demandais-je à Riley tout en laissant couleur l'eau.

On m'avait toujours dit que j'étais extrêmement maladroit, mais j'avais toujours refusé de voir la vérité en face. Moi maladroit ? Et puis quoi encore. Les cochons vont voler ? Ça s'est impossible sauf s'ils boivent du red bull. Je le sais, je l'ai vu à la télévision. D'ailleurs Riley peut maintenant avoir un aperçu de ma poisse et de ma maladresse. Il faut dire qu'elle avait déjà vu mon agilité et ma bonté. Si ça continue, elle va finir par tomber amoureuse de moi avec toutes les qualités que j'ai. En même temps, faut quand même bien avouer que je suis super cool. Alors que je pisse le sang et que je risque de mourir d'une hémorragie, Riley avec son charme légendaire prend la parole. « Je m’inquiète pas. Si tu te mets à saigner, tu vas salir encore plus la cuisine, c’est tout. » Et voilà, je peux mourir tout le monde s'en fout du moment que la cuisine va bien. « Tu regretteras d'avoir dit ça quand je serais mort d'une hémorragie. » Dis-je tout indigné de ne pas compter autant qu'une vulgaire cuisine. Elle n'était même pas si belle que ça. Enfin, je vais essayer de survivre et en silence, parce que je suis un homme et les hommes ne pleurent pas. Je sais pas qui a inventé cette connerie. Si je me prends un coup de couteau, c'est évident que je vais pleurer. C'était pas le cas, du moins pas encore, on sait jamais Riley pourrait devenir dingue d'un moment à l'autre. En parlant de dingue, je lui précise qu'un fou furieux aurait pu la tuer. Elle devrait faire plus attention et ne pas laisser sa fenêtre ouverte. Je ne m'inquiète pas pour elle, juste un peu, un minimum. Puis je suis sur que si elle survivait à son assaillant, elle serait capable de m'accuser et de dire que c'est moi qui l'ai agressé. Bon, peut-être pas, mais je préfère assurer mes arrières. « Heureusement que t’étais là alors, qu’est-ce que j’aurais fait sans ta protection ? » Je me contente d'esquisser un sourire au coin des lèvres et de hausser les épaules avant de répondre. « Bah, tu serais morte, mais ne t'en fais pas, je serais venu à ton enterrement et j'aurais même fait un éloge en ton honneur, parce que j'ai un cœur gros comme ça. » J'écarte alors les bras pour accompagner la parole au geste. »[/color] J'écarte alors les bras pour accompagner la parole au geste. Je ne suis même plus sur que ce soit de la maladresse. C'est plutôt un complot contre ma petite vie. Pauvre de moi. Je demande quand même à Riley si elle n'a pas des pansements histoire de limiter l'hémorragie. La demoiselle revient rapidement avec le saint Graal. « Montre ta main. » J'obéis sans rien dire. Après tout ce n'est pas tout les jours que Riley joue les infirmières avec moi. Quoique c'était la deuxième fois. Plus ou moins. Elle ne se débrouillait pas si mal. Jusqu'à ce qu'elle mette le produit qui pique sur la plaie. « Non mais ça va pas ! Ça pique ton truc ! » Il existe de l'antiseptique qui ne pique pas maintenant. Faut vraiment qu'elle fasse une mise à jour dans sa trousse de secours. « Je peux te faire un bandage mais je crois que ça serait mieux de te faire recoudre. » Je la regarde, ne sachant pas si c'est une blague ou pas. Puis elle se met à sourire et là, je sais que c'est une blague. Je la laisse finir mon bandage avant de l'écouter reprendre la parole. « T’es vraiment pas croyable, tu le sais ça ? » Je lève les yeux au ciel en haussant les épaules. « Quoi ? Tu vas me dire que t'es en train de tomber amoureuse maintenant ? Je sais que tu viens de me sauver la vie, mais je ne ressens pas la même chose. » Dis-je sur un air théâtral et dramatique. J'admire le travail de Riley, elle se débrouille pas mal pour faire un bandage. Je ne suis pas sûr que j'en ai besoin, mais au moins comme ça, je ne pourrais pas me couper une seconde fois à cette main. « Si tu crois que, parce que t’es blessé, j’vais t’aider à ranger ton bazar, tu peux toujours courir. » Chassez le naturel, il revient au galop. Elle était tellement gentille quelques secondes auparavant. « Tiens, prends ça, c’est pour aider à cicatriser. » J'attrape le cachet qu'elle vient de me donner avant de le prendre. Je me met alors à soupirer avant de reporter mon regard sur Riley. « Merci. » Dis-je tout simplement et pas trop fort. Je me relève pour finir de ramasser le bordel que j'avais mis un peu partout. Heureusement, grâce au bandage, je ne me coupe pas une seconde fois et cette fois, je fais très attention. Une fois le foutoir rangé, je reporte mon attention sur Riley. « Tu sais quoi, c'est moi qui vais faire le petit-déjeuner. Allez, installe-toi. » Je suis nul en cuisine, mais ça Riley, elle ne le sait pas. Du moins, je ne crois pas. Sauf si Tomas m'a balancé, ce qui ne m'étonnerait pas. Je commence à faire cuire les œufs et le bacon avant de déposer le tout devant Riley en même pas cinq minutes et cette fois, je n'ai pas fait flamber ni les œufs, ni la maison. « Tu m'en diras des nouvelles. » Dis-je en retournant aux fourneaux pour me faire mon déjeuner. « Au fait Riley, tu m'as jamais dit si t'avais un copain. » Pas que ça m’intéresse, mais je préfère savoir, ça peut toujours servir. « Y a-t-il une personne capable de te supporter sur cette planète ? » Ajoutais-je avant de la rejoindre avec mon assiette.