"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici FB - Dans les ruelles sombre de Londres... w/battista 2979874845 FB - Dans les ruelles sombre de Londres... w/battista 1973890357
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() message posté Mar 27 Oct 2015 - 8:28 par Invité
Dans les ruelles sombre de Londres.
 
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.


Il y a bien un truc que je ne supporte pas dans mon traitement c’est cette sensation d’être une merde intercidéral quand je ne l’ai pas pris. Normalement je devais avoir une reserve de Ledopa mais avec les examens de fin d’année, j’ai completement oublié de reprendre mon traitement me donnant la bonne excuse “ J’ai le teeemps JE SUIS LARGE! “ Sauf que là, nous sommes déjà en Janvier et je n’ai plus de Ledopa… Pourtant j’ai pensé à les prendre, sauf que je sais pas comment je me suis retrouvé avec un traitement qui a rien n’avoir. du Diazepam en forte dose. Un narcotique en plus, comme si j’avais besoin de ça et qu’on me considère déjà comme ça pour un gros toxico. Le pire je sais qui est le fourbe, je vois encore sa petite gueule d’ange me bousculer et par erreur echanger nos flacons… Si le mec c’est fait son petit trip en solo avec MA Ledopa, c’est décidé je fais un malheur…

Nous sommes le 15 Janvier, mon appartement est devenu le repère d’une mission de MI5, et encore j’ai passé trois jours a recolté des informations sur l’inconnu. Je suis allé à la pharmacie, j’ai utilisé mes charmes pour draguer une pharmacienne avec la gueule de Camilia Parker-balls… Comme si j’avais la gueule du prince Charles. Je récupère l’adresse donné par le jeune homme pour son traitement et un numéro de téléphone. Je lutte pour marcher, mais je m’en fou je vais lui faire payer ça. Surtout que je ne pouvais pas recuperer un autre traitement c’était mon dernier de mon ordonnance, j’avais rendez vous dans trois jours avec mon neurologue pour réavoir une ordonance. Je suis posé fumant un joint parce que c’est bien la seul chose qui arrive a arreter les tremblements et les soubresauts. Je saisie mon téléphone et je met bien une bonne dizaine de minutes a numeroté le numéro de téléphone a cause de ma main qui tremble, j’appelle le numéro: “ Le numéro que vous avez demandé n’est pas attribué veuillez contacter les services de renseignement…Biiiip. “ Je hurle à la mort en jurant de tout les noms d’oiseaux possible et inimaginable. Je regarde l’adresse, je reconnaissais ce quartier et c’était pas loin de Camden ça! un grand sourire sur mes lèvres, je décide enfin de m’habiller. Un col rouler noir et un jeans foncé. Je saisis mon téléphone, mon sac et je décide de partir. En prenant mon skate, je commence à rouler dans les ruelles sombre de Londres. Me voila pret à recuperer mon traitement, je tombe dans ce délirium sans nom… Les hallucinations me manquent et je vous parle pas de ma libido… Ma Libido pete le plafond mais là c’est comme si juste à penser à une verge me donnerait envie de vomir… J’arrive à Kilburn, Quartier typiquement Irlandais cela s’entendais aux noms. Mon dieu si c’est un Irlandais ca va vraiment peter pour sa gueule… j’ai eu de gros problemes avec des Irlandais en Louisiane. Je suis enfin devant l’adresse que j’ai choppé… Je m’approche de l’immeuble, je regarde les noms “B. Vesari” Aaah, bon maintenant je vais me foutre en planque on sait jamais, je me cache derrière une cabine téléphonique…

Trois heures plus tard… Je commence a tanguer je vais m’endormir sur place, je serais pas un bon agent c’est sur. Soudain j’entend la porte s’entrouvrir, je me redresse je jete un oeil et je soupire… putain de vielle dame qui sort sont caniche, ca fait trois fois en trois heures il a une petite vessie ou quoi? Je deteste les petits chiens je prefererai encore leurs pisser à la raie. Et puis soudain j’entend: “ Bonjour Mr Vesari…” Je me retourne et je l’aperçois, je pouvais reconnaitre sa gueule d’ange entre mille, c’était lui ! Je le laisse avancer et je commence à le suivre discretement et puis à l’approche d’une ruelle, j’accelère le pas arrivant à son niveau, aggripant son bras je viens par l’emmener vers moi le plaquant contre le mur, je plaque ma main a coté de son visage regardant le jeune homme: “ Il semblerait que tu es quelques choses qui m’appartiens !” Je sors de ma poche le flacon de Diazepam le secouant devant mon nez: “ Et moi j’ai ça pour toi… Où est la Ledopa?” Les mauvaises habitudes de la prison remonte en moi, ca me donnait une sensation d’être vivant qui était pas dégueulasse en fin de compte.

acidbrain
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() message posté Mer 28 Oct 2015 - 19:10 par Invité
J'attendais dans l'oubli, sans but, sans patrie
Feat. Gab

Entre ses doigts un flacon avec un nom étrange, quelque chose qu'il n'avait pas remarqué alors qu'il l'avait distraitement mis dans ses poches, à la clinique. Son ordonnance était techniquement toujours d'actualité, mais c'était a ces moments ou il avait prit la décision qu'il croyait sage, celle d'arrêter et de se sevrer. Il en avait abusé, il avait vu ce que pouvait faire ces quelque pilules. Il avait plané, il s'était écrasé. Et il avait maintenant envie de recommencer. C'est peut-être par témérité plutôt effrontée qu'il s'est convaincu de retenter l’expérience, ou peut-être est-ce seulement pour savoir si le passage «major tom» se reproduirait. Cesare était a Londres, fraîchement arrivé, seul, et ennuyé par ses études. Il lui fallait quelque chose pour oublier, quelque chose d'autre que l'herbe qu'il fume quotidiennement. Il lui faut un vrai relâchement, et pas de ceux qui le feront vomir le lendemain, voire le surlendemain. Il lui fallait quelque chose pour planer, pas pour se maintenir. Ou du moins, c'est ce qu'il s'est entêté a croire.

Au diable le Diazepam,  ce  truc avait l'air autrement plus amusant. Et hop, quelque unes gobées et un verre d'eau. La vieille, regardant la télévision dans le salon adjacent, ne se doute de rien, n'a pas a savoir quoi que ce soit. C'est a peine si elle tient debout, avec toute cette chimio. Il en profite pour se passer le visage a l'eau froide, changer de t-shirt pour ensuite sortir, aller prendre l'air et prendre soin de sortir par la cage d'escaliers de derrière. Il sent déjà l'étrange oppression d'un effet inconnu. Il sent son cerveau s'engourdir, ses pensées, s'éloigner de la réalité pour voguer vers l'abstrait si confortable. Il passe la porte de derrière, tombe nez-à-nez avec le mari de la vieille, Donald, aussi surpris.

«Bonjour Mr Vesari, bien dormi?»

Pas faux. Il avait dormi la plus grande majorité de la journée, entre deux joints, en séchant délibérément son cours a midi. La soirée bien entamée, ça n'était qu'à la fin de leur journée que la sienne débutait vraiment. Hochement de tête distrait et murmure d'un «Bonjour», il poursuit son chemin vers l’extérieur en prenant soin d'emplir ses poumons d'une bouffée d'air salvatrice. La fraîcheur d'un nuit a Londres avait des vertus que mêmes Venise ne savait procurer. Il avance dans la ruelle, absent, concentré sur sa propre démarche plus ou moins linéaire. Il plane, sourire aux lèvres, sous le regard des quelque néons mourant qui éclairaient son chemin.  

Puis il se sent attiré, son objectif visuel dévie de sa trajectoires pour soudainement disparaître a sa vision, il sent un choc, parvient finalement a analyser qu'il s'est fait rentrer dans un mûr, et qu'une poigne ferme avait agrippé son bras. Il n'entend rien, plane trop, regard autour pour finalement trouver un visage barbu, aux cheveux pâles et aux yeux dangereux. Quoi?

L'inconnu sort de sa poche un petit flacon, il le lui montre, le secoue devant lui. Oh. Ce sont ses médocs. L'analyse est lente, son cerveau est comme enlisé dans ses propres méandres.

«Putain ça cogne, ton truc..»

Sourire amusé, même effronté, alors qu'il braque son regard dans le sien. Il est beaucoup trop défoncé pour comprendre les enjeux de sa rencontre fortuite. Et de toute façon, Battista n'est pas le genre de jeune homme a plier si facilement, pas sans livrer bataille d'abord, cause perdue ou non. Elle ne semble pas perdue. Ce taré avait fait tout ce chemin simplement pour récupérer ses médocs? Cette idée lui valut un faible mouvement de recul un peu plus contre le mûr. Il ne savait pas a qui il avait affaire, mais l'autre non plus, après tout.

«Attends, t'as fait tout ce chemin... Juste pour retrouver ces médocs?»

Petit rire amusé. Décidément, c'est un drôle de numéro que voilà. Autant en prendre tout les avantages.


✻✻✻
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() message posté Jeu 29 Oct 2015 - 8:09 par Invité
Dans les ruelles sombre de Londres.
 
But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful.


Je fulmine à l’intérieur c’est ce genre de chose qui me met hors de moi. Je n’arrive pas à me contrôler cette sensation me dégoute. Être sevrer comme ça je ne pouvais le supporter c’était bien trop dur. Je l’ai attiré dans une ruelle dans l’espoir de récupérer mon du je ne voulais pas supporter toute ses choses qui tourne autour de nous. Et surtout les médecins qui sont de véritable connard car il faut trois mois pour un pauvre parkinsonien d’avoir son traitement. Et après on s’étonne que les jeunes consomme de la marijuana pour leur procurer cette sensation de plénitude. Je pouvais le voir à son regard, il était totalement haut perché. Je pouvais le sentir, il a testé la Ledopa, bon ce n’est pas si grave c’est juste un surplus d’hormones qu’on possède  déjà. La dopamine est présente dans notre cerveau, elle se déclenche simplement par le contact d’un baiser. Cette sensation de voler. Le nœud dans le ventre, cette chaleur dans le bas ventre tout ceci est dû a cette hormone fantastique. Mais dans le cas de la Ledopa, c’est diffèrent. Vu que c’est a forte dose, on dit que l’amour rend aveugle dans le cas de ce traitement c’est encore pire l’amour nous fait voir autre chose… Hallucination surtout. Pas les petites toutes gentilles Non monsieur les grosses qui peuvent vous faire un bad trip. Il m’est tellement arrivé des fois où je me suis retrouvé calfeutrer dans ma chambre a penser que ce fut la fin du monde, mais dans une ambiance très lovecraftien. Un démon qui nous promet 2000 ans de malheur, huuum c’est très appétissant. Et puis il y a ce sentiment d’être en feu, tout nous excite pour un rien, on en a des bouffées de chaleur ca devient trop chaud à supporter qu’il faut bien savoir s’occuper. Je pense encore à Elsa qui débute le traitement et qu’elle subit les bouffées de chaleur et les envies de sexe.
«Putain ça cogne, ton truc..» Je ne savais pas si je devais rire ou rager d’avantage, je soupire… je voulais retrouver cette état… Mon bras se raidit ca me fait un mal de chien et ma jambe tremble… Un léger tic nerveux me force a me mordre la lèvre et je lui dit : « T’es en pleine monté, mais la descente vas être fatale… Rend moi mon traitement j’en ai besoin comparé à toi. » Disais-je alors que je n’allais pas lui dire que j’avais parkinson et que j’avais que vingt voir trente ans devant moi. Je voulais juste une pilule… Je suis dépendant c’est vrai. Mais cette sensation est tellement délectable… Je le prend en surdose par moment c’est tellement génial. «Attends, t'as fait tout ce chemin... Juste pour retrouver ces médocs?» Je soupire, je grince limite des dents. Il ne  voulait pas se laisser faire…  Bizarrement cela m’excitait encore plus. Comme le disait Agatha Christie… Le plus important dans la relation humaines, c’est bien la Chasse et non la Capture. Je me souviens d’avoir lu cela, j’en était inspiré de savoir a quel point elle pouvait avoir raison sur ce point.  « C’était mon dernier pilulier et il doit me faire deux semaines et je peux pas en avoir d’autres… » Son rire m’agace au plus haut point et puis je me met a sourire, s’il est en pleine défonce… Une idée machiavélique me prend d’un coup comme quoi je n’étais pas si stupide même sobre… Je pose ma main sur son torse prenant une attitude moins brutal et plus aguicheur. Glissant légèrement ma main le long de son torse, son corps était légèrement plus frêle que le mien, mais cela me réchauffa… J’aurais ce que je veux… Lui ou le traitement qu’importe ! Je sentis une boite qui ressemble a une boite de pilule dans ses poches. J’ai un sourire. Je décide alors de faire ce qu’il faut faire ! Je l’embrasse fougueusement, alors que pendant le baiser qui fut intense, je subtilisa son diazépam avec mon traitement… Mais si je partais tout de suite je pourrais pas profiter ! ce sera dommage une si bonne chair… «Tu vois ce que la Ledopa peut te faire… même si c’était intense… »


acidbrain
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() message posté Dim 1 Nov 2015 - 20:32 par Invité
Its not just my pride
Feat. Gab

Au départ, ça n'affectait vraiment que la vision. Il voyait des trucs, avec l'impression d'être ailleurs. La ruelle n'avait aucunement l'aspect effrayant qu'elle aurait dû avoir pour le commun des mortels, a ses yeux. Non, là n'était que couloir urbain tout joli, dans lequel rien ne peut arriver. Battista commençait a peine a comprendre l'ampleur de ce qu'il venait d'ingérer. Et le voilà, a présent, plaqué entre un mûr froid et un homme... Beaucoup moins froid. Non. Non, c'est vrai, il... Dégage une chaleur corporelle que l'esprit embué de l'Italien lui ''permet'' de sentir, de la simple main qu'il pose sur son torse. Sur son... Qu'est-ce qu'il fait? La sensation se propage sous forme de frissons soudains, dévastateurs dans l'ensemble de son corps. Ses poils se dressent, la chair de poule recouvre sa peau un long moment alors que son regard perd de sa vivacité. C'est une paire de lèvres qui se sont pressées contre les siennes, les ont effleurées avec la douceur de la même chaleur réconfortante. Son cœur se met a battre. A battre fort, plus fort, plus vite. Il a chaud. Tellement chaud. Il sent cette main qui plane sur son corps, descend... Puis entre dans sa poche. Elle en ressort quelque instants plus tard, alors qu'il n'a même pas l'occasion de faire quoi que ce soit.

Ce que la Ledopa peut lui faire?

Son corps déraille complètement. Son estomac est comme une boule de feu propageant cette énergie, cette... Envie, partout dans son corps. Il a chaud, il commence déjà a sentir les premiers signes de la transpiration. Son regard cherche réponse, s'arrête dans celui de la seule personne qui pourrait bien en avoir. L'homme qui quelque secondes plus tôt l'embrassait sans crier gare. Il prend de grandes respirations, respire de plus en plus vite. Il brûle, il est a fleur de peau. Il veut... Il veut...

«Qu'est-ce qui...»

Il retire sa veste sans même y prêter attention. Il l'envoie par terre au sol a côté de lui. Tellement chaud. Trop chaud. Son cœur bat dans chacune de ses veines et son pantalon est soudainement si... Si serré. Tout ça n'a rien de naturel, ce sont ces foutus pilules qui lui donnent envie de...

«Qu'est-ce qui m'arrive?..»

Plus son coeur bat, plus ses pensées se font abstraites. Floues. Sans la moindre inhibition. Il se parle a lui-même, commence a débattre dans sa tête. Il commence a en avoir envie. Il en a envie. Il en a tellement envie, mais... Mais quoi? Mais rien. Ce sont les pilules. Les pilules qui le foutent dans cet état. Mais ça revient toujours au même point, le seul même argument. Il en a envie.

Pourquoi pas? Pourquoi pas..

Il se rapproche, sa main vient serrer la taille de son interlocuteur alors qu'il cède, n'arrive plus a penser. C'est trop dur de penser, trop dur de se justifier. Et cette fois, il donne tout ce qu'Il à, laisse ces pulsions anormales guider sa main, qui plane sous le chandail de l'inconnu. Il sent sa langue frôler celle de l'autre, n'a plus la moindre honte, le moindre remord. Seulement l'envie. Plus envie, toujours plus envie. Il sent le médicament affecter... Affecter tout son corps. Ses pointes comme son outil, et même ailleurs. C'est a peine s'il en oublie de respirer. Il finit par se reculer. Son regard a changé, désormais complètement voilé par ses instincts les plus primaires. C'est surpris par ce qu'il s'apprête a dire qu'il finit par laisser échapper quelque mots d'entre son souffle court.

«C'est... C'est pas normal...»

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() message posté Lun 16 Nov 2015 - 8:15 par Invité
Dans les ruelles sombre de Londres.
 
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Finalement je ne pouvais que m’amuser de cette situation, s’il savait ce qu’il venait de faire. D’un simple baiser je réussirai à le rendre fou. Je lui offris un baiser surprenant et passionné, je n’allais pas m’en privé tout de même. On pourrait appeler cela du viol peut être, mais il ne semble pas du tout indigné face à cela. Mais il avait l’air surtout très confus et je pouvais le comprendre.
«Qu'est-ce qui...» J’observe avec toute mon intention, je le vois bouillir dans son coin, il retire sa veste. Il semble bouillir de l’intérieur, je me mis à sourire. Il allait sans doute bien morfler le temps qu’il descende de son trip et sa réaction me rappelle Elsa, je pouvais que m’en amusé. Je caresse doucement son torse simplement pour attiser la flamme en lui, car après tout il en faudra peu pour le faire péter un câble. «Qu'est-ce qui m'arrive?...» Je racle ma gorge alors que je le sens craquer sa main se posant sur mon torse, je lui avoue alors d’une voix calme et suave. Je m’étais drôlement calmer, je dois avouer que le voir dans cette état aurait pu calmer n’importe quel bête en furie. « Ce n’est qu’un début… » disais-je d’un grand sourire alors que je le vois s’approcher… M’embrassant, je ressentait un once de fougue, sa main se glissant sous ma chemise, il était bouillant je pouvais ressentir les effets de la drogue couler dans mes veines tel un élixir. Ma main fut guidé par mes instinct se glissant le long de sa cuisse, je le connaissais pas et pourtant je sentais vite qu’il était trop serrer dans ce pantalon. Je n’étais pas surpris par ce geste ni par sa réaction, il semble totalement perdu… mais je ne pouvais pas l’aider je sens mon corps se crisper par la douleur de mes articulations mais je fais fasse à ça, comme j’ai fais face au reste. «C'est... C'est pas normal...» je glisse ma main le long de sa taille, le voyant se reculer je voulais le garder contre moi après tout les nuits étaient fraiche dans le coin. « Mais qu’est ce que la normalité… Ce que tu ressens, c’est juste une réaction chimique naturel qui est juste amplifié par le traitement… C’est un peu comme remettre de l’huile sur le feu… » Je glisse ma main le long de son entrejambe serrant doucement le tissu sentant même son pouls a travers le vêtement, il était sur le point d’être mure j’en souriais. Mais je n’étais pas un barbare à faire ça dans la rue… Quoi que quand il y a pas d’autre choix faut bien savoir faire la part des choses… Je lui avoue : « Quoi qu’il arrive ca arrive ca finit toujours par exploser… » Disais-je d’un grand sourire alors que je glisse mes lèvres sur sa nuque juste pour le tenter encore plus, je sens qu’il vas être a point et qu’il vas falloir bouger : « Il vas falloir s’occuper de toi… Je veux bien me sacrifier pour la bonne cause… » disais-je en attendant qu’il propose qu’on aille quelque part, ou bien rester là.


acidbrain
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() message posté Mar 1 Déc 2015 - 18:07 par Invité
Its just 'till these tears have dried
Feat. Gab

Ça enfle, ça prend trop de place, c'est gros, ça tressaute au moindre battement de cœur! Son désir est tel qu'il n'y voit plus clair, n'y comprend plus rien. Son désir est tel qu'il semble nouer ses tripes et serrer sa gorge, lui faire perdre son souffle et le forcer a respirer par la bouche, retrouver l'énergie qu'on aurait cru perdue lors d'un marathon, a voir son état. En sueur, son t-shirt toujours plus imprégné de cette odeur de sexe qui semble non pas lui coller a la peau mais bien en jaillir. Il en perd le nord, ce qui est bien, ce qui est mal. Il en perd ses tabous, il en perd sa propre langue, prise d'assaut par l'inconnu au toucher magnifiant. Il en vient jusqu'à perdre sa fierté, s'imaginer déjà obéir aux moindres ordre de celui qui vient soudainement le caresser, s'amuser avec les sens complètement altérés du pauvre Italien qui n'a pas même la force de gémir, soudainement. Il aimerait ne serait-ce qu'une seconde de lucidité, être capable de faire le point sur ce qui lui arrive, mais... Mais son cerveau est las, incapable de se concentrer sur autre chose que cette pair de lèvre douce et ce toucher enivrant. Quelque part, il se sent sale, peut-être même humilié, et ces deux choses qui normalement n'auraient jamais fait bon ménage dans son esprit orgueilleux semblaient soudainement avoir cet arrière goût plaisant, presque sucré. Et puis... Et puis merde, qu'est-ce que ça peut bien faire, qu'il ai envie d'être... d'être...

Sa tête lui joue des tours, n'arrive même pas a formuler une phrase intérieurement. Il sent les mots de l'étranger effleurer son oreille, chatouiller de son souffle chaud son lobe, en parfaite synchronisation avec cette même main qui voyage sur sa cuisse, la parcoure jusqu'à atteindre cette bosse de plus en plus serrée, agitée au moindre touché. C'est a peine s'il saisit les mots qui lui sont dit, qui parlent d'huile, de feu, de... de... de s'occuper de...

Cette fois, il y parvient. Ce qui aurait dû être quelque chose comme une phrase ou une exclamation ne jaillit d'entre ses lèvres que sous forme de gémissement, une supplique désespérée pour que tout ça ne s'arrête jamais. Il sait ou va la suite, il sait ce qu'implique tout ça. Et il en a tellement envie que ça lui fait peur. Comment peut-il appréhender tout ça avec autant d'impatience, au point ou l'idée germe directement, naturellement, comme ça? C'est absurde. C'est une mine complètement impuissante a toute tentative de reprise de contrôle qu'il envoie a son interlocuteur, rassemblant le peu d'ordre qu'il restait dans sa tête pour formuler une phrase, non sans la voire entrecoupée de ses propres ''ah..'' suppliants.

«... J'ai.. ahh... Y'a une remise... Derrière le bloc... Juste... Juste-ahh...»

Il sent la main de l'interlocuteur s'amuser avec cette même bosse, désormais proéminente. Ses doigts moites vont pointer le bout de la ruelle, cette petite clôture de plastique entre eux et la cours arrière, là ou trône ce petit cabanon étrangement bien rangé, dont personne ne se sert vraiment si ce n'est le gamins qui y rangent leurs vélos.


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