"Fermeture" de London Calling
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Unknow Brother || Alfie&Mairead

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Anonymous
Invité
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() message posté Lun 30 Nov 2015 - 9:07 par Invité
Unknow Brother
Alfie & Mairead
D'où venait cet argent qu'il recevait chaque mois ? Qui lui envoyait ? Et surtout, pourquoi ? Trois questions, trois questions qui trottaient dans la tête du jeune rouquin. Trois questions qu'il voulait résoudre. Alors, il commença à faire des recherches. Il se renseigna auprès de sa banque, faisait des recherches sur Internet. Et tout ça pendant quasiment deux mois. Il n'arrêtait pas. Il rentrait des cours : il cherchait. Il rentrait du boulot : il cherchait. Il mettait Lili au lit et ensuite, il cherchait. Et sa détermination lui permit d'avoir une réponse après plusieurs mois de recherche. Il découvrit que la personne qui lui envoyait de l'argent se nommait : Madame Wayland, une ancienne égérie de la mode, aujourd'hui rédactrice en chef d'un grand magasine de mode. Il ne l'a connait pas, ne sait pas qui elle est ni pourquoi elle lui envoi de l'argent, la seule chose qu'il remarqua, c'est qu'elle lui ressemblait assez. Que ce soit les traits du visage ou la forme des lèvres, il y avait des similarités... Il voulait alors allé la voir et lui poser la question. Mais comment l'approcher ? Ça n'allait pas être facile tout ça, il en était tout à faire conscient. Mais, il approfondit ses recherches et découvrit alors que cette dame a une fille actuellement hospitalisée au Great Ormond Street Hospital. Pourquoi pas commencé par la fille alors ? Il nota alors l'adresse de l’hôpital le prénom de la jeune femme sur un morceau de papier : Mairead Wayland, original comme prénom. Il vérifia quelles étaient les heures de visites et, le lendemain matin, après avoir déposé Lili à l'école et n'ayant rien à faire pendant cette matinée, lui et sa voiture se dirigèrent vers Bloomsbury. Le jeune Alfie était tout de même un peu stressé et appréhendait cette petite rencontre. Si ça se trouve, elle ne sait rien, ou elle pourrait tout simplement l'envoyer bouler ! Il avait presque envie de faire demi-tour et d'oublier tout ça ! Mais non, il se sentait obligé de savoir, obligé de ne pas reculer après toutes les recherches qu'il a fait.


Une fois arrivé et garé devant l’hôpital, il y entra et alla directement vers la réceptionniste. "Bonjour" dit-il poliment avec un léger sourire au lèvre, histoire d'être agréable. "Je viens voir Mairead Wayland." Il regarda la réceptionniste taper le nom sur l'ordinateur. "Vous êtes un ami ? De la famille ?" Il bloqua légèrement à cette question avant de répondre. "Hum, un ami. Je suis un... un ami." Quelques secondes plus tard, la réceptionniste lui donna le numéro de chambre de Mademoiselle Wayland. Après l'avoir remercier, Alfie se dirigea alors vers la chambre indiquée. Une fois devant la porte, il prit une grande inspiration et... ne fit rien. Il était là, la main prête à toquer à la porte, mais ne fit rien. Puis, la porte s'ouvrit et il vit un home en blouse blanche. Surpris, il sursauta légèrement avant de se pousser légèrement pour laisser passer le médecin. Puis, il soupira un bon coup avant d'arrêté la porte qui se refermait et d'y passer la tête. "Bonjour..." dit-il timidement. Il commença à entré mais s'arrêta brusquement avant de la regarder et de finalement, lui demander la permission d'entrer. "Je peut ?" Après la réponse affirmative de la jeune femme, il referma la porte derrière lui et directement ensuite, il se présenta. "Je... Je suis Alfie Hemingway." dit-il après c'être raclé la gorge. Il s'approcha de quelques pas avant de reprendre. "Je... j'ai appris que votre mère, madame Wayland, m'envois de l'argent tout les mois. Sauf que... je ne la connais pas, enfin si, de nom mais... pas personnellement." Il restait là, debout devant elle. "Et vu que c'est assez difficile de l'approcher, je me suis dis que peut-être vous, vous savez pourquoi elle m’envoie cet argent ?" Autant y aller directement non ? Attendant une réponse, il gardait ce léger sourire sur ses lèvres avant de passer sa main dans sa chevelure rousse.

electric bird.
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Anonymous
Guest
Invité
() message posté Lun 30 Nov 2015 - 14:13 par Guest
❝ Unknow Brother  ❞
J'en suis donc là. Réduite à devoir réapprendre un geste qui semble pourtant si naturel. Je dois remarcher et je veux le faire le plus vite possible. J'ai l'impression que tout le monde me regarde lorsque je tente d'avancer que je suis devenue une bête de foire, je sais parfaitement que c'est dans ma tête. Je sais parfaitement que les gens et surtout les médecins ne pensent pas comme ça, ils sont tellement habitués à voir des personnes abîmées par la vie qu'ils ne voient quasi plus les défauts qu'on peut avoir. Et puis une fois arrivée dans la salle de sport, là ou je dois m'entraîner, tout le monde est comme moi et personne ne se juge. Pourtant me sentir aussi vulnérable, je ne supporte pas cette idée. Je dois montrer à tout le monde que oui je suis bien handicapée et que oui je veux en m'en sortir. Je vois les coups d'oeil, les gens ou pour certains en tout cas,  savent qui je suis et ils ne voient pas la patiente mais la fille dont la vie a été largement affichée dans les journaux. Je ne sais pas comment je vais pouvoir gérer ça aussi, lorsque je vais sortir, est-ce que ma mère aura prévenu les magasines pour que je défraie les chroniques ? Je prie pour que non mais on sait parfaitement que si ma mère ne le fait pas, c'est mon père qui sera là avec toute sa troupe. Non merci. Je crois que je vais demander à ce qu'on ne donne pas ma date de sortie, de toute façon elle n'est pas pour tout de suite, il faut que je puisse au moins marcher avec une ou deux béquilles. Enfin je dois être autonome surtout, c'est le mot que mon médecin me répète un peu trop souvent.

Je tente de faire des efforts, je tente d'avancer, c'est bien un euphémisme, avancer avec une jambe paralysée.. Enfin je broie du noir un peu, je trouve que je fais un peu de progrès, je m'épuise certes mais je crois que plus ça va, plus ma jambe répond. Ce n'est pas encore parfait mais je crois que je peux être fière. Cela fait plus d'une semaine que je suis réveillée, je vais bien trouver un moment pour avoir un clic et y arriver ? Je ne me force pas non plus il faut pas que je force trop sinon cela ne fonctionnera pas. Je suis entre deux barres parallèles, mon kiné m'aide à m'installer sur l'installation. Je dois la traverser, mes mains sont là pour me porter et éviter que je m’effondre. Il y a un tapis dessous, je sais que la chute n'est pas si douloureuse, ma jambe est soulagée par des cachets mais cela n'empêche pas qu'elle reste douloureuse surtout lorsque je chute, mais ce n'est pas si terrible. En tout cas je fais l'effort, je me lance encore une fois, j'ai le droit à ce rituel matin et après-midi. Et je n'y échappe jamais même lorsque mes humeurs sont plutôt explosives, je suis conduite jusqu'à cette salle de grès ou de force. Généralement l'heure passe relativement vite, une infirmière me ramène à ma chambre et m'aide pour ma douche puis après le médecin repasse pour vérifier si tout va bien. Alors que j'ai tout juste tressé mes cheveux le médecin est là. Il ausculte ma jambe, encore une fois une chose dont je ne peux pas échapper. Je grimace toujours, c'est assez désagréable finalement mais je commence à m'y faire. Alors que le médecin m'explique les choses j'entends frapper à la porte qui est restée ouverte. Je vois alors un jeune homme rouquin s'excuser et entrer dans la pièce. Je ne me souviens pas l'avoir déjà vu, je ne me souviens pas qu'on soit amis ou autre. Le médecin me sourit et nous laisse, le pauvre va finir par se sentir rejeter, la première fois c'était Matteo, maintenant c'est l'inconnu... bon alors, qui cela peut-être. Je ne sais pas pourquoi mais il me dit quelque chose. " Bonjour, je suppose que si vous êtes ici, vous savez qui je suis... Je vous prévie.." mais il ne me laisse pas vraiment terminé, il est déterminé. J'espère simplement que ce n'est pas un journaliste peu scrupuleux. Comment je peux être sûre qu'il ne me ment pas après tout ? Je méfie de tout le monde aujourd'hui et je crois que c'est légitime ? Mais j'apprends un truc qui me fait un peu bizarre. Je ris faussement, ma mère ne s'occuperait de personne, elle ne sait pas faire, c'est la pire égoïste du monde. Pourquoi elle lui donnerait de l'argent ? " Ma mère vous donne de l'argent ? Pourquoi ? Comment vous, enfin tu, tu es plus jeune que moi et ça me gène de te vouvoyer, comment tu veux que je sache pourquoi ma mère vous donne de l'argent, vous savez des choses compromettantes sur elle ? Parce qu'à part chercher à se protéger pour l'instant je ne vois pas... " Pourquoi ne pas lui demander directement ? Oh oui, j'oubliais, parce qu'elle est un vrai tyran et qu'elle ne laisserait pas ce pauvre garçon la voir. " Je n'ai pas revu ma mère depuis un moment alors je ne sais pas vraiment ce qu'elle a en tête, parfois elle peut être surprenante, pas dans le bon sens mais quand même surprenante " On ne va pas avancer beaucoup je crois. Je soupire légèrement en le regardant installée sur mon lit d'hôpital, il doit vraiment être en quête de réponses pour venir jusqu'ici.                  
 
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