(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:25 par Invité
Lysander Matthew Collins
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Le jeune homme reçut de son père le patronyme de Collins. C'est un nom tout à fait anglais et ainsi, il n'a jamais eu de mauvaise blague sur son nom de famille. Assez pratique surtout à l'école, là où les enfants sont les plus perfides entre eux. PRÉNOM(S) : Ses parents décidèrent de le nommer Lysander. Ce n'est pas réellement un prénom commun. Certes. Mais c'est un prénom qui leur fait penser aux champs de lys, endroits où ils se sont rencontrés. D'ailleurs, c'est peut-être aussi pour cela que le jeune homme, enfant, était surnommé Lys. Néanmoins après quelques années, Lysander découvrit que son prénom signifiait "homme-lion". Ainsi, il aime assez ce côté. ÂGE : Il a présentement vingt-cinq ans et s'en porte très bien à vrai dire. N'est-ce pas là les plus belles années d'une vie comme on le dit si bien à chaque fois ? DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Il est né par un matin d'avril, le dix pour être exact. NATIONALITÉ : Londonien ça marche ? Non ? Bon et bien pour faire court, il est anglais et ce depuis toujours. Il n'a jamais réellement quitté Londres à vrai dire. STATUT CIVIL : Officiellement, il est fiancé à la jeune héritière d'une grosse fortune américaine issue d'entreprises, enfin d'après ce qu'il a lu dans les journaux. Officieusement, c'est une toute autre histoire. Son coeur est libre. Totalement. Mais pour combien de temps à vrai dire ? MÉTIER : Il fut un temps où il était veilleur de nuit dans un hôtel. Parallèlement comme ça, il pouvait écrire la journée. Effectivement, il rêve de devenir écrivain. Depuis toujours. Néanmoins depuis quelques temps, récemment en fait, la donne a changé. Effectivement, il est devenu comme un acteur jouant un rôle dont il ne veut pas, où il se sent mal à l'aise mais qui paye bien. Alors il reste évidemment. TRAITS DE CARACTÈRE : Sympathique, souriant, avenant, attentionné, blagueur, honnête, maladroit, renfermé, intérioriseur (même si ça existe pas hum), timide dans certains cas, peu bavard, ... GROUPE : Walk on a Line
My style, my life, my name
Lysander, depuis sa plus tendre enfance, adore les livres. C'est réellement une passion pour lui. Il a toujours adoré se plonger dans les méandres de la vie de ses héros, loin de la sienne. D'ailleurs, étant né dans une maison où les revenus étaient modestes, il faisait tout pour se procurer soit-même ses livres quitte à vendre un peu de ses propres affaires comme une brocante improvisée pour récolter quelques fonds pour acheter des livres. D'ailleurs, c'est sans doute pour cette raison qu'il veut devenir écrivain. Il a toujours admiré ceux qui maniaient si bien les mots. Pouvoir plonger d'autres personnes dans son propre univers est une chose qui le fascine. • D'ailleurs son livre préféré est Les souvenirs de David Foekinos. Selon le blond, ce mec est un génie. Il sait faire transparaître la vie comme elle est, sans l'embellir d'artifices et c'est ça qui la rend belle. Il veut lui aussi écrire mentir, il veut montrer la vie telle qu'elle est, sans omettre les moments douloureux ou tristes. D'ailleurs nombreux sont les passages dans son livre préféré, où la mort est retranscrite, où les ruptures sont douloureuses, où la solitude plane. Pourtant tout est si beau dans les yeux de Lysander. C'est ça, c'est la vie telle qu'il l'aime dans toute sa joie mais aussi sa tristesse. • Contrairement à beaucoup de personnes quand Lysander s'endort le soir, il faut absolument que quelque chose recouvre son oreille, celui qui n'est pas contre l'oreiller. Il ne sait pas réellement d'où vient cette manie, probablement un vestige de son enfance où il croyait qu'une méchante sorcière allait lui couper les oreilles, mais c'est plus fort que lui. Même si dehors la canicule tonne, il est obligé de mettre un drap sur lui. Il préférait mourir étouffé par la chaleur que de ne pas pouvoir s'endormir l'oreille à nue. C'est une chose assez étrange qui le constitue c'est un fait. Mais ce n'est pas réellement tout. Effectivement, quand il dort, Lysander bouge beaucoup. Mais réellement beaucoup. Il se tourne encore et encore, cherche sa position, peut être se bat-il contre une force invisible ? Qui sait ? Néanmoins, dans tous les cas, le lendemain matin, vous pouvez être sûr que son lit est devenu un vrai champ de bataille avec l'oreille au pays de Galle, la couette en Ecosse et le drap en Irlande. Oui, c'est assez caricatural, mais c'est l'esprit. Pourtant, bizarrement lorsqu'il est en charmante compagnie, il se tient tranquille. Peut-être cherche-t-il tout simplement une présence à ses côtés pour n'être plus seul ? • Le jeune homme adore la nuit. C'est quelque chose qu'il apprécie réellement. D'ailleurs ce n'est peut-être pas anodin s'il est devenu veilleur de nuit. La nuit est devenu comme son royaume et il adore s'y promener lorsqu'il a enfin fini son travail. Il pourrait passer des heures entières à simplement marcher dans les rues de la ville sans réel but précis. Son petit labrador récemment acquis d'ailleurs est tout autant un bon prétexte pour se rendre dehors. Effectivement, il est rare qu'il le promène en pleine journée. Rares, mais pas impossible évidemment. Néanmoins, Lysander se met souvent à la fenêtre de sa chambre d’hôtel à laquelle il a droit, étant employé ici, et regarde simplement le ciel étoilé. Tout simplement. • Contrairement à ce que l'on pourrait penser, le jeune homme n'a pas toujours eu cette silhouette bien dessinée et musclée. Loin de là même. Effectivement, enfant, il était ce qu'on pourrait appelé d'un enfant enrobé. Il détestait son corps et se cachait derrière de grands tee-shirt. Néanmoins, les autres lui rappelaient sans cesse ses rondeurs. Ainsi, c'est à l'adolescence qu'il prit son courage à deux mains pour faire taire ces moqueries qu'il ne supportait plus. Quittant le lycée, il s'est très vite donné un objectif. Il devait perdre les kilos qu'il avait en trop depuis bien trop longtemps et quand enfin il aurait la silhouette qu'il jugerait parfaite, il clouerait enfin le bec à bon nombres de personnes. Comment ? Oh c'est bien simple. Son profil facebook n'a jamais été débordant de demandes d'amis et c'est rare qu'il y allait à vrai dire. Mais il savait que la prochaine fois qu'il changerait sa photo de profil cela serait avec ses kilos en moins pour montrer au monde que tout le monde peut changer s'il s'en donne néanmoins la peine. C'est ce qu'il fit après deux ans d'acharnement et de sport. Résultat ? Il ne reçut jamais autant de demandes d'amis et de notifications que le jour où il a changé sa photo de profil. Encore maintenant quand il croise des personnes de son lycée, il voit très bien leurs regards. A vrai dire, il en est fier. Pourtant, il n'en a pas moins pris la grosse tête. Non. Il est juste fier de sa réussite et c'est tout ce qui compte pour lui. Tout simplement. • Le jeune homme n'écoute pas réellement de genre de musique bien spécifique. A vrai dire, il préfère ne pas ranger telle ou telle musique dans une catégorie. Après tout, chacune a ses influences, ses consonances alors il trouve stupide ce genre de classement. D'ailleurs, il serait incapable lui-m^me de toute façon à qualifier ce qu'il écoute. Disons simplement qu'il préfère amplement se perdre dans les méandres de Deezer avec ses écouteurs sur les oreilles lorsqu'il prend le bus oui amplement. Les musiques commerciales, selon lui, sont bien pour les discothèques. Lui ce qu'il préfère ce sont les musiques qui ont une âme. D'ailleurs, sa dernière trouvaille est la chanson "Paralyzed" de Boy Epic qui est juste fantastique selon lui. Il pourrait l'écouter en boucle que cela ne le dérangerait même pas. • Le blondinet se débrouille en cuisine. Attention n'allait pas croire qu'il puisse faire un dîner quatre étoiles. Loin de là. Mais déjà, il sait comment se faire cuire une portion de pâtes. Ce qui est déjà pas mal quand on sait que certains garçons ne sont même pas capable de trouver comment ouvrir ce dit paquet de pâtes. Néanmoins, il y a bien un plat auquel il arrive à tous les coups et qui ravit à chaque fois ses invités : La quiche lorraine. Plat typiquement français, c'est sa mère qui lui a apprit lorsqu'il était haut comme trois pommes. C'était le plat régulier du soir quand sa mère était trop fatiguée après son travail. D'ailleurs ce plat lui rappelle énormément de souvenirs d'enfance car c'est presque toujours lui avec sa mère qui la préparaient en riant. • Le jeune homme n'a qu'une peur dans la vie : Celle des endroits clos. Effectivement, le blond déteste être enfermé dans n'importe quelle pièce que ce soit. D'ailleurs, si par malheur il se retrouve coincé dans x endroits que cela soit un placard ou un ascenseur, vous pouvez être sûrs qu'il tentera par tous les moyens d'en sortir quitte à se casser les os des mains à force de taper contre les murs. Oui dans un certain sens, cela le rend réellement hystérique. Néanmoins, quand une personne est à côté de lui, il est un peu plus calme mais il peut très bien retourner sa "folie" contre cette personne-ci, et attention à la casse. • Le jeune homme est souvent quelqu'un d'impulsif, qui se laisse guider par ses émotions et non par sa tête. Ainsi, très souvent c'est souvent son coeur qui parle. Il est presque à découvert à chaque seconde. Il est vrai que certaines fois cela peut lui porter défaut mais, il sait très bien aussi se montrer en parfaite personne raisonnée et intelligente. Mais il est vrai qu'il n'aime pas le paraître et exécuter ses premières pensées est sans aucun doute le moyen pour lui de montrer qu'il est vrai, loin de ces clients qu'il peut croiser toutes les nuits à l'hôtel où il travaille. • Le blond est gaucher. c’est peut-être une chose sans importance pour vous, mais le jeune homme, durant son enfance, a longtemps essayé d’écrire de la main droite pour être comme les autres.
PSEUDO : Footloose ♫. PRÉNOM : En fait, j'en ai pas. (a) ÂGE : Dix-sept printemps et toutes mes dents. Mais ça c'est plus pour longtemps. Effectivement, la petite souris a décidé de me donner rendez-vous dans un mois, il lui manque des dents pour finir sa maison. PERSONNAGE : inventé de mon petit cerveau tordu. AVATAR : Le seul et l'unique William Moseley. CRÉDITS : QueenHelenas et Footloose. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : C'était il y a assez longtemps à vrai dire. Mais trop longue histoire. Donc pour faire court, je me promenais de forum en forum et j'ai trouvé London Calling tout simplement. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Non, en aucun cas héhé.
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:26 par Invité
At the beginning
Memories of childhood were dreams which stayed with you after you woke Le regard du petit garçon se perdit alors dans le vide. Posant ses mains sur ses joues, une petite moue se dessina sur son visage. Que pouvait-il bien faire pour y arriver ? Le trou noir complet. Pourtant, il aimerait tellement les aider. Il sait qu'il peut le faire. Mais est-ce suffisant ? Bien sûr que oui voyons ! Il fallait juste une idée. Oui, juste une petite idée. Il fallait juste la trouver. Ça ne semblait pas sorcier à vrai dire. Allez, Lys, creuse toi un peu la tête pour une fois. Le petit garçon de huit ans se concentra alors de toutes ses forces mais nada. Rien. A croire que l'univers voulait lui refuser ce petit privilège. Son regard se promena sur le petit jardin de devant sa maison. De là où il était assis, c'est à dire sur les marches qui menaient à sa demeure, la rue semblait bien calme. C'était peut-être un peu normal avec toute cette chaleur et ce soleil. C'était presque à croire que les gens avaient tous préféré se cloîtrer chez soi devant leur ventilateur. En fait, c'était peut-être ça après tout. Lysander devait bien être le seul petit garçon dehors à cette heure-ci de l'après midi. Certes, il avait chaud rien qu'avec son short et son tee shirt mais c'était quand même supportable. Et puis, il préférait mille fois être dehors que d'être chez lui tout seul. Effectivement malgré le fait que cela soit les vacances ou malgré son jeune âge, le petit garçon était bien seul. Ses parents étaient sans aucun doute au travail, l'une essayant de faire tant bien que mal son travail de caissière et l'autre étant sans doute en train de décharger tel ou tel camion de déménagement. Oh la solitude ne faisait pas peur au petit Lysander. Loin de là même. D'ailleurs, il était fier que ses parents lui fassent assez confiance pour se garder tout seul, ignorant lui-même les racontars sur sa famille dans le quartier. Après tout, la plupart du temps, il était souvent chez une petite voisine qui habitait proche de chez lui. Etant issu du même quartier et monde, il avait été si simple pour les deux de s'entendre. Les enfants peuvent très bien devenir très proches non ? La magie de l'enfance sans aucun doute. Mais aujourd'hui, la petite Hannah devait sans aucun doute être avec ses parents. Peut-être ou peut-être pas. Lysander soupira alors. Aucune idée ne lui venait. C'était presque désespérant. Pourtant, la veille au soir, il avait surpris une conversation entre ses parents qui l'avait touché. C'était indéniable. Il devait aider ses parents. Mais comment récolter de l'argent vite ? C'était pas une question facile pour un petit garçon de son âge qui pensait presque encore que dans la vie sourire était plus important que de travailler. Il se redressa alors et shoota dans le premier caillou à sa proximité. Foutu cervelle. N'y avait-il donc rien qu'il ne puisse faire pour aider ses parents ? C'était quand même un monde. Et puis il faisait tellement chaud. Si chaud qu'il rêvait presque d'être un chien pour pouvoir passer la tête par la fenêtre d'une voiture et sentir le vent dans ses cheveux blond, ce que sa mère lui interdisait à chaque voyage en automobile. C'était forcé qu'avec une température comme ça, il ne puisse pas réfléchir correctement. Boire ne lui serait d'ailleurs pas une si mauvaise idée. Ni une ni deux, le petit blondinet se dirigea de suite vers ce qui était le coeur de la maison, la cuisine. Connaissant les lieux depuis toujours, le petit savait exactement où les choses étaient. D'ailleurs, il eut aucune peine à se hisser sur un petit tabouret et à ouvrir un des placards pour prendre un verre. Il se dirigea ensuite vers le frigo pour prendre la brique de lait et en versa dans son verre. Parfait. Le lait était définitivement sa boisson préférée d'ailleurs. Tout à coup, comme une illumination, il eut une idée. La fameuse idée comme on dit. Il but alors d'une traître sa boisson lactée et s'y mit de suite. Grâce à cette idée, il allait forcement se faire de l'argent. Après tout, tout le monde était comme lui non ? Tout le monde buvait quand il faisait trop chaud non ? Et rien de mieux qu'une bonne limonade fraîche pour se désaltérer. Y mettant toute sa petite hargne de petit garçon, le blondinet tenta de se rappeler tous les ingrédients que sa mère lui avait montré la première fois qu'ils en avaient fait ensemble. Du citron, de l'eau et du sucre. Ce n'était pas sorcier tout ça. Essayant de reproduire tous les gestes que sa génitrice avait fait pour faire cette si bonne limonade qu'il avait l'habitude de siroter avec ses parents, il versa le tout ensuite dans une grande carafe. Ça devrait faire l'affaire tout ça. Tout à coup, il eut une autre idée. Mais oui ! Il se rappelait très bien de son petit bureau en plein air que son père lui avait construit au début de l'été. Il suffisait de le ramener devant et il ferait un parfait établi pour sa vente de limonade. Il aurait juste à mettre un petit auvent dessus pour se protéger du soleil et mettre la carafe de limonade dans un gros bac avec pleins de glaçons. Il se félicita presque. Avec tout ça, il aura surement assez de livres pour aider ses parents. Et comme ça, il ne les entendrait plus se disputer à voix basse le soir lorsqu'ils le pensent couché. Oui, tout ça, serait fini. S'armant de courage et de ses petits bras, il hissa bien vite le petit établi improvisé sur le devant et ramena la carafe dans un grand seau rempli de glace. Parfait. Tout se déroula à merveille. Sauf... Il se rua encore une fois dans la maison. Il prit une grande feuille blanche qui était normalement destiné à ses dessins et prit un feutre. De sa petite écriture maladroite et naissante, le petit blond s'appliqua du mieux qu'il put avant d'accrocher la petite pancarte devant son établi. Il fallait bien annoncer un prix non ? Non content de lui-même, le petit garçon se mit à son poste et attendit le premier client qui voudrait bien lui prendre un verre de sa limonade. Les minutes s'étirèrent bien vite et aucune personne ne vint pointer le bout de son nez. La détermination qui l'avait ébranlé il y a quelques temps maintenant commençait à s'effriter petit à petit. Mais où était-il donc tous passé ? S'asseyant alors dans l'herbe, il soupira doucement c'est à ce moment là qu'il entendit une voix qu'il connaissait si bien. « Je voudrais bien une limonade moi. » Se redressant alors, tout sourire, il reconnut le doux visage de son amie et voisine. « Hannah ! » La petite fille sourit alors et posa quelques pièces sur le comptoir. « Allons-y pour une limonade alors. » s'enthousiasma alors le petit garçon pour la première fois depuis une demi-heure maintenant. « Tu comptes faire ça toute la journée ? » demanda la petite brunette. « Il faut que je ramène assez de livres pour mes parents. » s'expliqua-t-il alors tout en posant devant la fillette de huit ans le verre au liquide jaune. D'ailleurs, cette dernière resta silencieuse quelques secondes avant de dire. « Tu ne veux pas aller jouer avec moi alors ? Comme hier ? » proposa alors la dite Hannah. Le petit garçon parut hésiter. Après tout, avec la brune, il s'amusait toujours. Mais d'un autre, il voulait réellement faire ça. Il ne savait pas. « Tu veux pas m'aider ? Tu pourras aussi en donner aux tiens tu sais. » Il est vrai que toutes les familles dans ce quartier était des familles aux revenus modestes, aucun n'avait le luxe de pourvoir dépenser n'importe quoi, juste par envie. Le visage de la petite s'illumina. « Je croyais que tu me le demanderais jamais ! » Ils rirent. S'armant tous les deux, ils passèrent le reste de l'après midi à tenter de faire vendre leur petite limonade. Le soir venu, chacun revint alors avec cinq livres en poche, ayant divisé la recette en deux. Quand le petit Lysander donna son petit pécule à ses parents, ces derniers rirent mais il vit dans leurs yeux quelque chose de nouveau. De la fierté.
All the whole world loves a good looser Quel imbécile il faisait franchement. Il était réellement pas possible. C'était pas croyable. Même venant de sa part. Pourtant, de toutes ses forces, il allait de plus en plus vite. Mais cela ne le rattraperait pas. Il le savait. Il était réellement stupide. Mais malheureusement, ce n'était pas en se le répétant des millions de fois que cela allait arranger son affaire. Malheureusement non. Il courrait, il courrait. Sa cravate d'ailleurs en était presque à lui fouetter le visage malgré ses tentatives pour la remettre à sa place lors de sa course. C'était sûr qu'il allait faire bonne impression tiens ! La meilleure impression de l'année. Effectivement. Pourquoi son réveil n'avait-il pas sonné d'ailleurs ? Et puis que dirait-il en arrivant ? Inventerait-il quelque chose ou valait-il mieux dire la vérité ? Il ne savait pas. Il ne savait plus du moins. Certains s'en sortaient avec des excuses montées de toutes pièces. Mais lui ? Qu'adviendrait-il de lui ? Et dire que c'était sa première potentielle embauche. Il était réellement minable à cet instant précis. Réellement minable. Néanmoins, il fallait qu'il y arrive. Après tout, c'était la moindre des politesses non ? L'homme avec qui il avait rendez-vous penserez sans doute à la vue de son absence qu'il était comme ces autres jeunes qui se foutent de son avenir. Non. Il n'était pas comme ça. Loin de là. Son avenir, il y pensait tous les jours sans relâche, depuis qu'il était petit. Pourtant, la vie avait décidé de lui jouer un sacré tour ce matin. Alors qu'il allait enfin entrer dans la vraie vie, un travail étant la porte, il était en retard. C'était un comble lui qui avait toujours été réglé comme une montre italienne de contre-façon faite en chine. C'était réellement invraisemblable. Alors, il courrait. Encore et toujours. Les rues de la ville semblait réellement dénuée de tout à cette heure-ci. Quelle heure était-il d'ailleurs ? Ah oui. Huit heures et demi. Les gens étaient sans aucun doute partis travailler ou venaient seulement de se réveiller. Il croisait de temps en temps des lycéens qui étaient autant en retard que lui. Pourtant ces derniers semblaient autant pressés qu'une tortue. Certains d'ailleurs riaient de voir Lysander courir comme un dératé. Il allait raté le bus. C'était bien sa veine tiens. Dévalant encore des escaliers, c'est à ce moment-là qu'il vit au loin l'autobus. Ni une ni deux, il s'élança à sa poursuite. C'est bizarre comme dans ces moments-là, on se sent pousser des ailes. Il leva les mains en l'air comme si le chauffeur complètement blasé de toute son existence daignerait s'arrêter. Ce ne fut pas le cas évidemment, ce dernier devait sans aucun doute tenir à ses horaires. Pourtant, ce n'était pas l'avis d'un autre passager qui s'activa à appuyer sur le bouton pour ouvrir les portes du bus et guetta l'arrivée du blond. Sautant à pied joint dedans, Lysander remercia vivement son sauveur. Son regard balaya l'habitacle et remarqua bien vite que même à cette heure-ci le bus était déjà bondé. C'était pas croyable. Le jour où il pourrait enfin se mettre à son aise dans un bus, il faudra réellement appeler Interpol. Non, il détestait les bus, à cause de l'odeur, des aigris, des alcooliques, des gamines qui se croient toutes permises. Oui, il détestait réellement le bus. La marche était selon lui le meilleur moyen de transport. Mais à vrai dire il n'avait plus réellement le choix. Soupirant doucement, il regarda sa montre. Il était réellement en retard. Néanmoins par chance, le voyage se termina assez vite. Peut-être parce qu'il était trop plongé dans ses pensées ? Peut-être. Dans tous les cas, son arrêt s'arrêta bien vite et ne demandant pas son reste, Lysander s'extirpa de l'autobus. Un regard à droite puis à gauche, il traversa bien vite pour enfin faire face à un bâtiment qui aurait pu si la ponctualité avait été de mise aujourd'hui son lieu de travail. Ce dernier surplombait réellement les autres immeubles alentours. Etant d'architecture moderne, le jeune homme imaginait assez bien le genre de personnes qui devaient séjourner dans cet hôtel : Probablement des hommes d'affaires, quelques couples fortunés ou encore des personnes célibataires en quête de plaisir et de divertissement sans réellement compter le nombre de billets laissés dans cette affaire. Oui il imaginait bien tout ça. Pourtant, il ne ferait pas partie de la fête. Pour sûr. Prenant son courage à deux mains, resserrant sur lui sa veste, dédiée aux grandes occasions d'ailleurs, il emprunta le tourniquet pour entrer dans l'hôtel. Le dedans reflétait extrêmement bien le dehors. Même ton, mais avec une certaine subtilité de luxe en plus sans aucun doute. Mais Lysander ne s'attarda pas réellement sur ce genre de détails. Il devait absolument le trouver. Regardant à droite et à gauche, il tenta de discerner qui était qui. Il devinait aisément qui étaient les employés ici du fait de leur uniforme. Mais, aucune trace du gérant. Réellement. Passant une main dans ses cheveux, il soupira. C'était foutu d'avance de toute façon. Il trouverait bien autre chose pour payer son loyer. Sans doute. Ou peut-être devrait-il retourner chez ses parents. Il tourna alors les talons, résigné. Mais c'était sans compter sur une voix qui l'interpella. « Jeune homme ! Vous venez pour l'entretien d'embauche ? » Il retourna. « Vous êtes en retard. » commenta le gérant. Néanmoins dans sa voix aucune gêne ou irritation se faisait sentir. C'était juste une parole après tout. « Je.. Oui. Pardonnez-moi ce retard, mon réveil n'a pas sonné et j'ai failli louper mon bus.. » Il allait ajouter quelque chose quand il préféra se taire, se rendant compte de l'absurdité de sa réponse. Pourtant, l'homme en face de lui lui décocha un léger sourire. « Ah les réveils... ! Qu'on les entende ou non, ils nous apportent que de la mauvaise humeur. Mais ne vous inquiétez pas jeune homme. J'en ai connu d'autres, vous savez. Mais ne parlons plus de cela voulez-vous. Néanmoins, j'ai bien peur que vous n'arriviez trop tard, jeune homme » Lysander acquiesça doucement, l'air grave. Foutu pour foutu. Un autre chanceux avait hérité de la place de bagagiste. C'était la vie comme on dit si bien. « Très bien, je vous remercie de m'avoir en quelques sortes reçu. » Il s'apprêta alors à repartir quand on l'interrompit. « Pourquoi vouliez-vous ce travail, jeune homme ? » Il regarda alors son interlocuteur un peu décontenancé. « Et bien... A vrai dire, je pense que je suis comme tout le monde. Je cherche comment pouvoir subvenir à mes besoins sans avoir l'aide de qui que cela soit. Certes, je n'ai aucune qualification, aucune expérience. Ce métier de bagagiste n'est pas le métier dont, je rêve je vous l'accorde. Mais je pense qu'il n'y a pas de sots métier. » finit-il par dire. « Et que voulez-vous être ? » Du tac au tac, la réponse ne se fit pas attendre. « Ecrivain monsieur. » A vrai dire, il fut assez surpris quand il vit le gérant réfléchir un instant et lui demander de le suivre par un geste. Sans un mot de plus alors, les deux hommes se dirigèrent vers les couloirs du rez-de-chaussés où les premières chambres d'hôtel s'entassaient. Ainsi, le plus âgé des deux s'arrêta et ouvrit une porte. Lysander se rendit bien compte qu'il lui désignait une chambre. Néanmoins cette dernière était bien plus petite et plus rudimentaire. Néanmoins, elle ne tranchait pas avec les autres que le blond imaginait assez bien à vrai dire. « Qu'en pensez-vous ? » La question était aussi surprenante que le bonhomme à vrai dire. Ce gérant était bien pas comme les autres. Un sourire sur le visage, il paraissait bien tranquille, alors que Lysander aurait juré qu'il l'aurait bien vite foutu à la porte après son immense retard. « Je ne comprends pas. » « Que pensez-vous d'élire cette chambre domicile lorsque vous aurez vos gardes ici à l'hôtel ? Veilleur de nuit serait un travail parfait pour vous non ? L'écriture est dit-on assez délicieuse la nuit. » commenta-t-il alors presque penseur. Le blond n'en revenait. Pourtant, il avait eu raison sur un point. Le gérant de l'hôtel était un sacré personnage.
If you're going to hell, I will burn with you. Du monde. Encore du monde et rien que du monde. Encore et toujours. Presque déprimant à vrai dire pour un jeune homme tel que Lysander. Ne disons pas qu'il est associable et solitaire mais disons que certaines fois, il aime se retrouver seul. Pourtant ce soir, il en avait été décidé autrement. Effectivement son patron, un certain George Caswell lui avait confié une autre tâche que son travail habituel, c'est à dire veilleur de nuit. Travaillant pour lui depuis maintenant quatre ans, il ne pouvait décemment pas lui refuser. Après tout, cela ne devait pas être si terrible que cela que d'être le témoin d'une fête d'anniversaire d'une gamine pourrie gâtée par ses parents. Non loin de là. A vrai dire, la gamine en question fêtait ses vingt-trois ans et avait réussi à soudoyer ses parents pour faire privatiser tout l'hôtel pour elle et ses amis. Quoi de mieux que de se tirer une balle pour le pauvre Lysander. Néanmoins, il avait accepté et endossé un costume, pour ne pas jurer avec le décor lui avait dit son hôte. Après tout, il n'aurait juste à rester derrière son comptoir, conseiller quelques invités perdus, donner des clefs et s'ennuyer tout le reste de la soirée. C'était parfait non ? Soupirant doucement une énième fois, le jeune homme tourna encore une fois son stylo dans la main. Il ne pouvait décemment pas écrire avec tout ce bruit. Il releva la tête et remarqua que les invités s'étaient mis à danser pour quelques uns, d'autres semblaient faire pot aux roses. Contrairement à ce qu'il aurait pensé, beaucoup de personnes ici semblaient plus avoir l'âge des parents de la jeune femme de vingt-trois ans que de cette dernière. C'était à peine croyable. Il avait presque l'impression d'être revenu cent ans en arrière, pensant bien évidemment aux soirées mondaines. C'était à la fois très surprenant et intriguant pour le jeune écrivain qu'il était. Le thème de la soirée "Dernière valse de Sisi à Vienne" était sans aucun doute le dernier caprice de la chère petite héroïne de ce soir. Non, du tout, Lysander ne stéréotypait pas les personnes ayant un sacré compte en banque. Et ce n'est pas qu'il ne les aimait pas. Non, bien évidemment que non. Mais disons simplement qu'il se base un peu trop sur les séries télévisées. Sans aucun doute. A vrai dire, il ne sait même pas pourquoi il était habillé ainsi. Réellement. Il était presque mal à l'aise dans son costume. Il aurait bien aimé revêtir son bon vieux jean. Mais impossible lui avait dit son supérieur. D'ailleurs, il voyait bien ce dernier se faufiler entre les clients, tout sourire. A vrai dire, il était bien le seul homme que Lysander ne comprenait pas. Il était bien trop attentionné et bien veillant pour être réel. Réellement. L'embauche de Lysander en était une preuve tangible. D'ailleurs, il n'était pas rare de le voir le soir rester un peu avec le blond pour simplement discuter. Généralement la discussion tournait sur le futur et premier roman du jeune homme. Le gérant essayait de donner des idées à l'écrivain amateur que Lysander était, disons un peu déguisées mais que l'on reconnaissait toujours. Oui, ils avaient longtemps parler certains soirs. Nous ne pouvons pas dire que le jeune homme est ami avec son supérieur, cela serait déjà déplacé et inapproprié. Disons simplement qu'ils s'apprécient mutuellement. Néanmoins, Lysander le soupçonne néanmoins de faire tout pour ne pas rentrer chez lui. L'anneau à son annulaire droit est la preuve existante de cette femme. Pourtant il sent toujours une extrême difficulté à quitter son hôtel tous les jours. Lysander en est sûr. C'est ainsi que ce soir, il ne voulut pas le décevoir. Cet homme lui avait offert un travail, il ne pouvait décemment pas refuser. Et pis après tout, ce n'était pas si terrible à part les quelques gloussements de filles par-ci par-là. Il n'aperçut que peu de fois l'invitée d'honneur de la soirée. Elle devait sans aucun doute être entourée de mille attention. Lysander se demandait réellement si dans les familles qui en avaient les moyens, les anniversaires se passaient toujours en grosse pompes ainsi. C'était réellement une question tiens. Plongé littéralement dans ses pensées, le pauvre jeune homme ne vit pas une petite silhouette se faufiler entre les invités pour se mettre devant le comptoir, une flamme de détermination dans les yeux. « Il faut que vous m'aidiez. » Elle faillit presque le faire sursauter. Il se tourna vers elle et reconnut bien vite la petite invitée d'honneur de la soirée. Y avait-il de la panique dans ses yeux ? Pas réellement, juste de la hargne sans doute et de la douceur, quoi que bien cachée pour le moment cette dernière. « Dites-moi ce que je peux faire pour vous mademoiselle. » Elle sembla quelques peu hésiter avant de reprendre. « C'est plutôt un service que je vous demande en fait. » En voyant sans doute les yeux interrogateurs du jeune homme, elle s'empressa d'ajouter. « Je vous payerais pour ça. Enfin en plus du moins. » réfléchit-elle alors presque toute seule. Néanmoins, en entendant cela, il n'en faut pas plus pour le jeune homme. Après tout, cela ne devait pas être si terrible. Juste nettoyer quelques part ? Transporter des affaires ? ou encore accompagner une amie déjà bien arrosée ? Oui cela devait sans aucun doute être ça. « Dites-moi ce que vous voulez que je fasse ? Vous voulez appelez un voiturier ? » Ce n'était qu'une simple hypothèse d'ailleurs. « Non, non. Rien de tout ça. Venez. » Sans crier gare, la jeune femme prit la main du jeune homme et l'entraîna vers la salle principale. Lysander était réellement perdu, enfin dans un certain sens du moins. Que voulez donc cette petite brune ? La suivant, il fut presque invisible aux autres invités. La jeune femme ne s'arrêta alors que quelques secondes suivantes. Sa main resta toujours dans celle du jeune homme, ce qui le surprit ou du moins l'intrigua quelques peu. « Papa. Maman. Je vous présente mon fiancé... » elle sembla presque chercher son prénom. Le jeune homme s'empressa alors de dire presque machinalement un « Lysander. » A vrai dire, plus surpris que lui, il n'y avait pas. Dans quoi s'était-il fourré ? Pourquoi la jeune femme voulait-elle que lui joue son fiancé ? Pourquoi voulait-elle d'ailleurs un fiancé factice ? C'était complètement invraisemblable à vrai dire. Complètement. Lysander avait presque l'impression que le monde devenait fou. Littéralement, il chercha presque de l'aide autour de lui, du moins discrètement. Eleonor semblait presque le supplier des yeux pour ne pas faire tout capoter quand le père de la jeune fille tendit alors sa main vers lui. La brune vint presque lui mettre un coup dans les côtes pour le faire réagir. « Enchanté jeune homme. Je suis heureux de voir que ma fille a enfin trouvé chaussure à son pied. » Lysander lui serra alors la main. « Moi de même, monsieur. Moi de même. Votre fille est réellement ... Surprenante. » Ça, il ne pouvait le nier évidemment. « Eleonor ne nous a jamais parlé de vous. Mais, je vois qu'elle sait prendre son temps. » A vrai dire, il ne sut pas réellement comment interpréter cette phrase. Réellement. Cette situation était définitivement bien trop gênante pour lui à vrai dire. Réellement trop gênante. Néanmoins, il vit que la jeune fille vint bien vite à son secours. « Maman... ! » Se tournant alors vers Lysander, serrant un peu plus sa petite main dans la sienne. « Mon coeur, cela ne te dérange pas d'aller nous chercher une flute de champagne ? » Etait-ce un moyen de lui dire discrètement qu'il avait rempli sa mission ou.. ? Néanmoins, le petit surnom affectif employé et l'expression des yeux de la jeune femme ne disait réellement rien qui vaille. Doucement l'étau se refermait sur Lysander. Alors, il acquiesça doucement. « Je reviens tout de suite. » Et il se dirigea vers le buffet. Plus à mesure il s'éloignait du petit groupe, plus il se sentait respirer. Néanmoins, il sentait que cela ne se terminerait pas comme ça. C'était un pressentiment qu'il n'aimait pas du tout à vrai dire. Vraiment pas. Pourtant, il ne bronchait pas. Après tout, cet argent il en avait besoin. Mais d'un autre côté, cette machination ne pourrait décidément pas toute la vie. Du moins il l'espérait. Lysander soupira. Dans quel pétrin s'était-il encore mis hein ?
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:29 par Invité
Bienvenue
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:30 par Invité
oh comme il a changé ! OO bienvenue
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:34 par Invité
ce prénom. bienvenue parmi nous.
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:38 par Invité
Sage, merci à toi (Holland quoi. )
Silas, t'as vu ça ? Il est comme le bon vin, plus t'attends, plus il est meilleur. En tout cas merci de ton bienvenue.
Ivana, je ne connais pas ton avatar mais il est très joli. Merci de ton accueil et ravie que mon choix de prénom te plaise.
Alycia Hemsworth
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:45 par Alycia Hemsworth
Bienvenue , bon courage pour ta fiche . Il faudrait mettre ton choix d'avatar sous ton titre s'il te plaît .
En attendant d'être validé tu peux venir papoter sur la cb ou faire un tour dans les jeux & le flood pour faire plus ample connaissance avec nous . Et si tu as besoin, n'hésite surtout pas .
Jake O. Cavendish
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:46 par Jake O. Cavendish
william bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:48 par Invité
bienvenue parmi nous
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(✰) message posté Mer 12 Aoû 2015 - 17:59 par Invité
Dylan, l'objet du délit est réparé héhé. Merci de ton accueil et pas de soucis, je n'hésiterais pas! :chou:
Jake, merci de ton accueil et oui c'est William, c'est bien lui.
Accueil 
Il est comme le bon vin, plus t'attends, plus il est meilleur. 
En tout cas merci de ton bienvenue. 
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Merci de ton accueil et pas de soucis, je n'hésiterais pas! :chou: 
