A meeting like no other and a man dangerously endearing. feat Lexi

Daniel & Lexi

Aujourd'hui adosser sur mon siège, je pensais à l'avenir de mes deux entreprises, je mettais un point d'honneur à leur redonner la gloire qu'il mériter tout deux. Cela prenait beaucoup de mon temps surtout pour celui en Italie où il fallait que je donne beaucoup plus de mon temps. Elle avait coulé à cause de mon géniteur qui se fichait pas mal des biens de mon grand-père, aujourd'hui, je voulais prouver qu'elle était toujours aussi puissante qu'avant. Je devais absolument faire gaffe à chaque dépense et surtout trouver les meilleurs investisseurs pour ce projet. J'avais envoyé là-bas mon fidèle ami et bras droit Audric pour être mes yeux et mes oreilles durant les négociations. Je voulais être présent, mais avec le Nightjar j'avais d'autre chose à gérer, cela faisait surement beaucoup trop, mais j'aimais ça, cela m'éviter de penser. Je me levais de ma chaise et je me dirigeais vers un petit meuble ou se trouvais quelque bouteille d'alcool, je l'ouvris et je me servis une vodka sur glace pour changer un peu du Whisky. Quand ce fut fait, je me reposais sur mon fauteuil en regardent l'air vague le plafond, je bue quelque gorgée de mon verre que je déposais sur mon bureau, à cette instant je décidais de descendre rendre visite à mes clients. À peine descendu de mon bureau que je remarquais le visage d'une jeune femme qui ne semblait pas être à sa place ici. D'ailleurs, son air si fragile me fasciner déjà, avant de l'accoster, je décidais avant ça de l'observer. Elle semblait perdue et timide, sa robe ne devait pas être une grande marque et sa coiffure étais naturel ce qui laisser présager qu'elle avait peu d'argent. Après l'avoir bien observé, je décidais de me présenter à elle, il fallait absolument que je lui parle et qu'elle soit à moi pour ce soir avant qu'un autre ait eu l'idée de le faire. Je m'avançais donc vers elle délicatement et je me poser à ses côtés, je ne parlai pas tout de suite, je le regardais encore un peu avant et d'un seul coup, je lui dis.

"- Je peux vous offrir un verre ? Daniel Smith gérant de ce bar pour vous servir. Qu'est-ce qui vous ferez plaisir ? "

Pour commencer, je ne voyais pas d'autre solution d'approche à moins de lui faire peur. Je décidais de me commander un verre de vin rouge qui venait de mon propre vignoble, je venais de mettre les caisses il n'y a pas si longtemps que ça dans ma cave donc pour une première approche, je me disais que ça pouvait être bien. Je me fis servir un verre et j'en demander un deuxième pour la jeune femme.

"- Vous buvez du vin ? Je possède un vieux vignoble qui date de mon grand-père. Je l'ai repris dans un sale état et aujourd'hui, je l'ai remis à neuf. J'aimerais votre avis, je l'ai mis ce matin dans nos caves. Donc vous êtes l'une des premières clientes à y goûter."

Je pense que jouer la carte de la sécurité était la bonne solution, j'étais serte un expert en la matière, mais parfois, j'aimais retourner aux bonnes vieilles valeurs sur et elle ne semblait pas aussi farouche que toutes les femmes que je pouvais rencontrer et parfois, c'était bon de ne pas toujours avoir les choses trop facilement du moins pas comme je l'entendais. D'abord faisons connaissance après ça je saurais comment m'y prendre avec elle. Je lui tendis donc le verre de vin avant de porter le mien à mes lèvres pour le goûter bien que je le connaissais déjà bien. Je devais écouler le stock qui dormait dans ma cave personnelle déjà donc quelque soir, j'en buvais en délaissant malgré moi le Whisky. Tout en buvant, je regardais la jeune femme, cherchant à déceler quelque petite chose sur elle.

"- Vous aimez la musique ? "

Je me tournais pour lui montrer le groupe qui jouait derrière nous, un groupe de jazz. J'avais eu ce goût pour la musique et surtout pour le jazz très jeune, ma mère n'écouter que ça. Quand on écoute une musique assez souvent étant jeune, cela devient un son, une mélodie répétitive de notre enfance, quelque chose qui nous rend mélancoliques. Bien sûr moi je l'écoute et ça me serre le coeur, il me rappel combien je suis seul, mais je saurais dire pourquoi je ne peux en aucun cas m'en passer. J'ai besoin de ressentir cette douleur poignante dans ma poitrine, cette litanie qui me torture jour et nuit.

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Daniel & Lexi

Dans son regard, je pouvais lire de la pureté, une douceur que je voyais rarement dans les yeux d'une femme, c'est temps ci. Elle désirait énormément de chose en me voyant, il est vrai que j'attirais toute sorte de femme. Celle qui désirait de moi un mari ou celle qui désirait seulement mon corps pour la nuit. À vrai dire, je préférais celle qui me voulait pour la nuit, je ne suis pas un homme qui désire fonder une famille. Le jeu est mon cheval de bataille, c'est ce qui me permet de pas m'attacher à elle. Ce soir, je voulais tenter une petite expérience, quelque chose que je n'avais pas encore tenté. J'avais pris pour cible cette ravissante jeune femme, je l'avais choisie, car elle ne me connaissait pas et elle ne connaissait pas encore la réputation qu'on me donne ici. Je partais de zéro, je voulais qu'elle me découvre petit à petit sans qu'elle soit perturber par les ragots de bas étage qu'on pouvait dire à mon sujet. J'allais la séduire tout en douceur et à ma façon, j'allais la rendre accro au point qu'elle aura du mal à se défaire de moi. Je serais le poison qui s'infiltrera peu à peu dans son corps au point qu'elle en deviendra dépendante. Le jeu était risqué, je ne devais surtout pas croire un seul mot de ce que j'allais lui dire, sinon j'étais foutu. Je ne m'attache pas, il est vrai, mais je ressens tout de même certaine émotion, comme ce soir en la voyant. Elle me troublait, je devais bien l'avouer, un charme fou, doux et naturel qui la rendait plus innocente encore. Mon cœur battait fort à cet instant, mais je tenais encore bon. Quand je lui adressais enfin la parole, je lui proposais donc de lui offrir un verre ce qu'elle accepta chaleureusement, je lui tendis du vin qui venait de mon propre vignoble en Italie. Après ça, je pouvais sentir déjà son regard sur moi, je n'en étais qu'au présentation et je sentais la jeune femme fébrile. Je la sentais parfaite pour ce qu'il allait suivre. Je lui parlai de musique, du jazz pour être plus précis, elle m'expliqua qu'elle aimait aussi beaucoup ce qui était un plus à mes yeux. Une femme qui aime le jazz et une femme de goût, d'un coup, elle se mit à parler frénétiquement surement par le coup du stress, mais dans ses paroles, elle laissa échapper son prénom que je trouvais ravissant. C'est alors que je lui tendis la main avec un sourire charmeur.

"- Accepteriez-vous de venir danser avec moi mademoiselle Lexi ? Je connais la chanson suivante, elle est pour moi un doux souvenir et j'aimerais beaucoup danser dessus avec vous, si cela n'est pas trop vous demandez bien sûr."

La chanson suivante était Feeling Good de Nina Simone chanté par un chanteur que je venais de découvrir. Je la connaissais par ma mère qui l'écoutait toujours avec cet air triste et je ne comprenais pas étant enfant qu'on puisse écouter une chanson aussi joyeuse avec un tel air. Surement un désir qu'elle n'a jamais pu atteindre, le bonheur parfait. Aujourd'hui, je l'écoute avec le même air sombre, bien qu'elle m'emporte, je ne peux pas esquisser un seul sourire dessus, peut être par hommage à ma mère ou peut être pas souvenir que je ne sourirais pas non plus dessus quand j'étais enfant. En tout cas, je lui pris la main et je l'entraînai sur la piste de danse, nous étions peu, mais ce n'était pas un souci. Beaucoup de gens, c'était arrêter pour nous regarder, je voulais que ce soir la jolie Lexi se sente unique et admirer. Qu'on oublie qu'elle ne porte pas une robe de marque et que ses cheveux ne sont pas coiffer à la perfection car ce n'est pas ça l'important. Le plus important, c'était qu'elle dansait ce soir avec l'intouchable Daniel Smith et qu'il lui porte le plus grand intérêt. Je la regardais onduler au rythme de nos pas sans dire un seul mot, quand la musique se termina, je restais quelque minutes face à elle reprenant peu à peu mon sourire. Je la regardais, essayant de voir ce qu'elle pouvait penser de notre danse après ça, je la raccompagnais à nos places et je lui dis.

"- J'aime la danse autant que la musique. Mes ancêtres pensaient qu'un homme étant bon danseur est forcement un bon amant. J'y ai jamais cru personnellement, mais avec, c'est superstitions de famille, j'ai dû apprendre la danse parmi tout un tas d'autres choses. Bien évidemment, je n'ai appris que les danses dites sage, mais étant un homme curieux, je me suis empressé d'apprendre tout ce que je ne connaissais pas encore, comme le Tango par exemple. Avez-vous déjà dansé du Tango mademoiselle Lexi ? Je peux vous dire que c'est une danse d'esprit, toute ce passe dans la tête."

Je disais cela avec un sérieux légendaire, je cherchais à la déstabiliser. Je pris mon verre de vin que j'appréciais agréablement après c'est quelque pas de danse. Je la sentais quelque peu tendue et stresser ce qui bien sûr étais normal venant d'une jeune femme de sa classe ce tenant devant moi, mais je voulais qu'elle soit un peu plus détendue, car je ne voulais pas jouer les stars, ce serait bien mieux pour le reste. Ce soir, nous étions égaux.

"- Je vous sens fébrile ? N'ayez pas peur de moi mademoiselle Lexi, je ne désire pas vous faire de mal. Ce serait vraiment idiot étant donné mon statut dans cet établissement. N'ayez aucune crainte à me parler, car j'aime le son de votre voix, il est doux. Prenez-vous des courts de chant ? Je dis cela par ce que vous avez une bonne diction et je sais que cela aide quand on sais chanter."

Je connaissais tout ça par ce que j'avais dû aussi prendre des cours de chant pour ma diction, avec cela rajouter des cours de théâtre. Bien que ça m'ennuyât à l'époque, je ne regrette pas aujourd'hui de l'avoir fait, je ne serais pas devenu celui que je suis sans toutes ses obligations données par mon géniteur. Je regardais furtivement la salle, je remarquais quelque regard sur nous, quelques jeunes femmes ainsi qu'un groupe d'hommes. Je savais que vue ma réputation, je ne pouvais pas passer inaperçue, je savais aussi qu'ils devaient surement se demander pourquoi j'avais choisis cette jeune femme alors que je pouvais avoir toutes les femmes les plus connues d'Angleterre et d'ailleurs. Sauf que je me fichais pas mal ce qu'ils pouvaient bien penser de moi et de ce que je devrais faire ou pas, c'est bien pour ça que j'avais décidé de m'éloigner enfant de cette ordure.

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Daniel & Lexi

Je sentais que les choses évoluées petit à petit, doucement, mais surement. Je n'avais pas grand chose à faire finalement puisqu'elle semblait être en admiration devant moi. Je sais que je suis Daniel Smith, mais sait-elle qui je suis vraiment ? Je crois qu'il ne fallait pas qu'elle le saches, du moins pas pour le moment. Quand je la sentirais prête à savoir qui je suis et lui révéler ma passée, je le ferais, aujourd'hui, je désirais être cet homme beau et inconnu à ses yeux. Mon désir de l'avoir rien que pour moi ne faisais qu'accroitre mon désir d'anonymat, je ne saurais pas comment elle pourrait prendre les révélations des vilaines choses qu'on pouvais dire sur moi. Son regard fasciné me rendait bien plus narcissique et sur de moi, mais je restais humble, je voulais être tout simplement parfait et gentleman ce soir comme je savais si bien le faire. D'ailleurs, je lui avais proposé tout un tas de choses comme un verre de vin provenant de mon propre vignoble et ensuite de danser à mes côtés sur l'air de Feeling Good de Nina Simone. Elle était adorable de penser que mes histoires de famille pouvaient être fascinantes, je pouvais lui en raconter bien d'autres encore plus drôles encore. Elle me raconta une petite histoire qui me fit légèrement sourire, j'étais curieux d'en apprendre plus sur ce monde simple que je ne connaissais pas. J'avais connu que les mondes mondains où il fallait absolument bien se tenir et porter une tenue irréprochable, des gens ennuyeux qui ne se préoccupe que de savoir s'ils sont bien habiller ou pas, je les trouve bien plus satisfaits d'eux même que du reste. Après la mort de mes parents, j'ai voulu fuir à tout prix tout ça, voir ce monde qui n'était pas le mien, mais avec ma passée, il m'était impossible de côtoyer ce genre de personne sans risque. Autant en étant Smith que Delarco, les Smith avaient toujours snober la moyenne classe et les Delarco se servais d'eux pour s'en mettre bien plus dans les poches. Je devais bien avouer que j'avais abandonné l'idée d'être simple, et j'avais accepté l'idée que j'étais le fils d'un riche milliardaire qui avait plumé les pauvres pour le devenir. Bien qu'elle m'avouât être maladroite rien ce soir ne me prouvez cette maladresse et si jamais cela venait à arriver, j'en serais amusé. Durant notre danse, elle avait été une agréable cavalière, bien sûr, j'en avais eu tout un tas durant toutes ses années, du meilleur au pire et je ne classerais pas Lexi dans la catégorie du pire. Elle avait pour moi quelque talents caché qu'elle se refuser surement de voir, comme sa voix douce et mélodieuse à mes oreilles.

"- Je vous remercie mademoiselle Lexi, je n'ai aucun mérite vue que j'ai prie des cours, mais vous en revanche je dois bien avouer que bien que vous aillez pris aucun cour de danse vous êtes une agréable cavalière, je pense que je ne me priverais pas de vous demander de nouveau de danser à mes côtés."

Je le pensais vraiment, danser à ses côtés étais un enchantement, mais bien que je le désirais, je crois que je devais faire attention c'étais peut être ça la limite à ne pas franchir. Elle a un corps superbe et de le voir onduler au rythme de la musique avec sa robe noir fluide me rendais fou. Je n'y croyais pas, mais il est vrai quand chaque femme ce cache une chose qui peu faire basculer la balance, bien que j'eux détecté la limite je désirais fortement recommencer. J'étais plus fort que ça, je ne crois pas qu'une seule autre danse me ferait franchir la ligne. En tout cas pour savoir ce qu'elle ressentait, je lui demandais de ne pas avoir peur de moi, de bien au contraire me faire confiance, elle me répondit qu'elle n'avait pas peur de moi que je l'intriguer tout simplement. Elle continua en m'expliquant que mes yeux lui faisaient tourner la tête, à cette affirmation, je lui souris et je me rapprochais doucement d'elle tout en la fixant dans les yeux. Elle désirait me confier son point de vue et bien, il fallait que je face de même, en lui racontant le fond de ma pensée, je ne pouvais pas m'empêcher de mordiller légèrement ma lèvre inférieure.

"- Si on en est au confidence, je dois vous avouer que vos lèvres ne me laisse pas insensible."

Je lui souris et je fis exprès de ne pas répondre à ce qu'elle venait d'avouer ensuite, je préférais me garder ça pour la suite, je préférais me reculer pour prendre son verre et lui tendre, après ça, je l'aidais à boire en prenant soin de bien analyser le mouvement de ses lèvres. Je déposais ensuite le verre doucement sur le bar, je remarquais qu'une petite goûte de vin s'échapper du coin de sa lèvre alors je la récupérer délicatement du bout du doigt pour le lécher ensuite. Mon sourire s'élargit et je pris ensuite mon verre de vin pour boire à mon tour. Je regardais mon verre quelque second et je lui sortis d'un seul coup après avoir réfléchi.

"- Vous voulez que je vous dise ? Je crois que dans la vie parfois, il faut savoir prendre quelques risques. Ce soir, j'aimerais que vous fassiez quelque chose pour moi. Rien d'extraordinaire, je vous rassure, je voudrais que vous fermiez les yeux et que vous vous laissiez faire. Vous pouvez faire ça pour moi ?"

Bien sûr, ma demande été étonnante, on ne se connaissait pas et elle n'avait aucune raison de me faire confiance. Je voulais voir si elle me faisait confiance malgré tout, ce que je pouvais lui inspirer, elle n'avait donc pas peur de moi alors serait-elle prête à jouer quelque peu avec moi ? Je la regardais du coin de l'œil tout en tenant mon verre dans ma main, j'étais prêt à accepter à ce qu'elle refuse ma demande, après tout, on ne se connaissait pas, mais je voulais tellement jouer que j'étais prêt à tenté le tout pour le tout.

"- Je peux t'assurer que je ne ferais rien de déplacer, tu as ma parole de gentlemen."

Je ne savais pas si ça compter pour elle, mais pour moi, c'était réel. J'étais souvent une ordure, mais je ne faisais jamais ce qu'une femme ne désirait pas que je fasse. Elle m'intriguer, son côté naturel et pas du tout coincé me prouver que je ne me faisais pas d'idée à son sujet. J'étais sûr qu'avec elle, ce serait le paradis, s'il existe...

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Plus ça allait et plus je sentais qu'il suffisait d'un claquement de doigts pour la mettre à mes pieds. Mon physique l'envoûter et je n'allais pas nier que son joli minois de ne me laissais pas de marbre, elle était différente des jeunes femmes que j'abordais naturellement. Son côté nature la rendait encore plus attirante, sa façon de parler sans cesse pour cacher son stress. Je ne laissais rien paraître, mais j'étais conquis, la belle demoiselle me faisait de l'effet. Nos contacts devinrent plus proches quand elle annonça sa passion pour mes yeux, des mots qui on eut pour effet une libération comme un feu vert pour me dire que je pouvais aller plus loin. Je lui tendis juste son verre pour la faire, boire et lui annoncer que ses lèvres m'envoûter, je devais bien avouer que si je n'étais pas aussi gentleman, j'aurais déjà goutté au doux nectar de ses lèvres. Je voulais comme une douce torture faire durer ce moment, je sentais qu'elle désirait impatiemment le moment ou nous embrasserions, mais je comptais pas lui donner ce privilège tout de suite. Avant ça, je désirais jouer un petit peu, c'est pour cela que je lui annonçais que je désirais qu'elle ferme les yeux. En guise de réponse, la jolie Lexi continuait de parler frénétiquement en m'expliquant que son ex ami lui faisait un petit jeu, une chose que je ne connaissais pas, mais que j'avais entendu parler vaguement, mais c'était le genre de chose que je ne pouvais pas connaitre. Elle me fit la simulation et je restais de marbre, mais je lui souris la trouvant tout de même amusante, tout en continuant de la regarder, elle se calmait peu à peu et elle se rapprochait de nouveau pour me caresser la joue, à ce toucher, je devenais, d'un seul coup, plus sérieux et c'est là qu'elle m'annonça qu'elle se laisserais faire par ce qu'elle avait confiance en moi, si c'est ça qui me rendrais heureux. Heureux ? Rien que de la voir ça me rendait déjà heureux, du moins autant que je pouvais l'être. Car le bonheur était un mot bien inconnu depuis trop longtemps. Ce qui me surprenait, c'était la capacité des femmes à faire confiance aux hommes aussi rapidement. En tout cas quand elle ferma les yeux, à ce moment-là, je souris comme jamais je n'avais souri, car je savais à cet instant qu'elle ne pouvait pas me voir, quand elle se mordit la lèvre, je déposais mon pouce pour les lui toucher et j'en profitais pour me rapprocher d'elle et déposer une main sur son dos, après ça, je me rapprochais de son oreille et je lui soufflais.

"- Sais-tu que l'on pouvais hypnotiser quelqu'un avec le tic tac d'une montre ?"

Je la laissais aussi proche de moi et de ma main libre je récupérais ma montre à gousset dans ma poche et je la lui mis à l'oreille. Son souffle caressait mon cou ce qui me fit légèrement sourire, je pouvais sentir son cœur battre sur ma poitrine. Je ne saurais dire si quelqu'un nous observais mais je m'en fichais car à cette instant le monde autour n'existais plus. Quand je la sentis prête, je commençais mon récit.

"- Entends-tu ce son ? Je voudrais que tu fasses quelque chose pour moi, j'aimerais que tous les jours à 12h00, tu penses à moi, que tu penses que je suis là prêt de toi et que je te touche délicatement la peau comme je suis en train de le faire. Peu, tu faire ça pour moi ?"

C'est là que de la main qui était sur son dos, je la plaçais sur son bras pour le lui caresser doucement en partant vers le bas et en remontant sur son cou, quand ce fut fait, j'y déposais mes lèvres pour le lui embrasser doucement en remontant petit à petit sur sa mâchoire, ma main qui était sur son coup, je la remontais pour la mettre sur sa nuque et m'aider à accéder au creux de son cou. Je remontais à son oreille et je lui susurrais.

"- Tu vas vite apprendre que j'ai un don, le don d'envouter les jeunes femmes."

Je me retirais peu à peu et après ça, je lui enlevais la montre à gousset que je rangeais dans ma poche, je la regardais, là presque offerte à moi. Je lui caressais le visage et je lui dis d'ouvrir enfin les yeux.

"- Qu'as tu ressentis ?"

Je la regardais avec un air sérieux, je cherchais à analyser si mon petit tour lui avait fait de l'effet. J'avais appris ça il y a peu de temps avec une femme qui pratiquer l'hypnose, je lui avais demandé de le pratiquer sur moi pour me faire avouer certaine chose de ma passée que je voulais absolument me rappeler. Depuis je lui ai demandé de m'expliquer comment le pratiquer si besoin étais, aujourd'hui, j'avais besoin que Lexi soit folle de moi.

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Daniel & Lexi

Proche d'elle, je pouvais sentir chacun de ses mouvements aussi léger soit-il, je pouvais sentir son souffle sur ma peau et son cœur battre. C'était une chose que j'aimais ressentir chez mes partenaires, ma mère me disait enfant que je pouvais déceler rien qu'avec le battement de cœur d'une personne si elle était sincère ou pas. Bien sûr, je n'avais pas réussi à adopter ce don aussi facilement et je me suis souvent fait avoir, aujourd'hui, c'est le contraire, c'est moi qui berne. Même rien que dans le regard, je peux savoir si la personne en face de moi cherche à me rouler, avant de bosser dans les affaires, je me suis entraîné en faisant quelque magouille ici est là. Oui des affaires peu légales, mais il est vrai qu'avec de l'argent, on peut tout acheter, ainsi que le silence. Enfin bref, j'étais ici à jouer au jeu de l'hypnotisme avec la jolie Lexi, un jeu que je n'avais pas encore pratiqué avec aucune de mes conquêtes. Chaque mouvement que je pratiquais étais calculer, je lui expliquais que je voulais qu'a présent, tous les jours à midi, elle se mette à penser à moi et aux caresses que je lui faisais à cet instant. Je faisais ça, car au moins j'étais sûr qu'au moins à une heure de la journée, je serais dans sa tête. Je remarquais que mon petit tour avait marché parfaitement et que je n'avais pas besoin d'aller plus loin, je me stoppais net et je lui demandais ce qu'elle avait ressenti. Elle m'expliquait des choses que je comprenais à peine, mais cela me fit sourire, ensuite elle me confirma ce que j'attendais. Elle était accro, mon petit tour avait fonctionné bien que j'imaginais que ce n'était pas que ça qui l'avait rendu ainsi.

"- Normal ? Je pense que rien n'est normal dans ce qui se passe."

Je restais à la regarder droit dans les yeux, il est vrai qu'avec moi rien n'étais normal. Je n'avais jamais désiré la normalité, je ne l'avais jamais eu. Depuis ma naissance, je n'avais jamais vécu une vie ordinaire, après la mort de mes parents, j'avais tenté d'avoir cette vie que je n'avais jamais eue, mais apparemment cela ne fonctionnait pas, j'étais sortis avec Athénais et j'avais décidé d'arrêter les jeux dangereux et les magouilles. Bien vite tout mes travers son revenue et j'ai décidé de laisser tomber, ce goût du jeu et du risque étais bien trop fort. Je me rappellais encore de son regard froid et de ce qu'elle ma dit ce jour là : " un jour, il faudra bien que tu te fasses soigner Daniel ! Tu empoisonnes ton esprit et celui des autres. " Cette phrase ne m'a pas marqué au début, mais c'est en reprenant l'affaire familiale que j'ai comprise qu'elle n'avait pas totalement tort, je devais bien évidemment me ranger et être plus carré si je voulais que mes investisseurs aient une bonne image de moi, mais de couper court à ma vie de débauche n'étais pas aussi simple que je le penser, mais j'ai fini par réussir. J'ai pu le supporter, mais ce que je ne supporter pas, c'était d'arrêter de côtoyer les femmes comme je le voulais et jouer sans modération. Comme ce soir, l'avantage avec tout le boulot que j'avais à faire, je n'avais pas beaucoup de temps pour m'amuser, l'attente était encore plus dure, mais c'était ça justement qui devenais bon. Ce soir, je profitais encore plus, alors qu'avant je n'avais qu'a demander si elle voulait passer la nuit à mes côtés et c'était bon. En tout cas, la jeune femme se rapprocha de moi petit à petit pour me prendre la main et ensuite la remonter pour atteindre ma joue après ça elle se pencha vers mon oreille, elle baisa mon cou et elle me murmura ce que j'attendais, je souris et je lui caressai la joue en glissant une mèche de cheveux derrière son oreille.

"- Si je te veux ? Une question bien inutile. Si je ne me retenais pas..."

Je me retenais pour ne pas l'embrasser, pour la mettre sur le bar et commencer tout un tas de jeu coquin avec elle, mais ce soir, je ne voulais pas. Pas aussi vite, je voulais tenir la tension qui se crée peu à peu entre nous. Je mettais de la distance pour la mettre à bout bien que je désirais autant qu'elle la touché et aller plus loin. Une main se mit à se crisper soudainement et je mordis ma lèvre inférieure, la tension augmenter petit à petit. Je déposais ma main sur sa joue pour la remonter dans ses cheveux, j'entrelacais mes doigts dans sa chevelure et je serai. Je la tenais entre mes doigts, de mon autre main, je lui caressais doucement les lèvres en me rapprochant doucement. Je déposais un baiser sur son front et je me détachais d'un seul coup pour l'entraîner dans mon bureau, on traversait une foule de gens et de loin, je fis signe à l'un de mes barmans de ne pas me déranger ce qu'il comprit tout de suite d'un seul regard. Je lui fis monter des escaliers tout en lui prenant délicatement la main, je ne la regardais pas durant le trajet. Je voulais garder cette tension qui régner depuis tout à l'heure, à l'étage ont parcouru un étroit couloir pour arriver devant une porte la seul porte au fond. Je lui lâchais doucement la main pour ouvrir la porte que j'avais fermée à clef, quand ce fut enfin ouvert, je lui repris la main et je l'entraînai à l'intérieur en la faisant entrer la première.

"- Disons que par luxe ou bêtise je ne saurais dire, je me suis créé deux bureaux. L'un où j'invite tous mes investisseurs et l'autre que je considère un peu comme ma garçonnière. J'ai bien évidemment mon manoir pour ça, mais j'aime avoir un lieu ou être tranquille. Ce soir, j'ai envie d'être tranquille, tu as le privilège d'y entrer."

Je lui présentais un petit canapé en cuir noir et ensuite, je me tourner vers une bibliothèque, j'ouvris les portes en verre et je basculais un livre en arrière. Là derrière les livres apparus une porte cacher, derrière cette porte se trouver tout un nécessaire pour faire des cocktails. Je lui montrais mon trésor avec un léger sourire et je lui dis.

"- Que désire-tu ? Il y a tout ce que tu rêves dans ce meuble. Pour ma part, je prendrais un Whisky."

Je me tournais quelque minutes pour nous servir nos verres quand elle fit son choix et après ça, je la rejoignis sur ce canapé en cuir. Je lui tendis son verre et je trinquai avec le siens dans un sourire puis je portai mon verre à mes lèvres.

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