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| ( ✰) message posté Mer 20 Mai 2015 - 23:18 par Destiny Tynged I'm so sorry... Jo A. Beauchamp & Aaron Chancellor Vous (Aaron) décidez de partir un peu plus tôt de chez vous ce jour-là afin de pouvoir passer au Starbucks qui, comme tous les matins, sera bondé. Comme vous l'aviez prédit, il y a foule, mais vous tenez à goûter à cette nouvelle recette dont tout le monde parle. C'est gagné, mais maintenant vous êtes en retard. Tout en profitant du délicieux breuvage, vous commencez à courir dans les rues londoniennes afin de garder votre job. Mais en oubliant de regarder à droite avant de traverser vous manquez de vous prendre un vélo au moins aussi pressé que vous. Par chance, vous retenez la jeune demoiselle (Jo) qui, dans l'action, renverse son café sur votre pantalon. La journée ne débutait déjà pas du bon pieds, mais l'odeur du café ne fait qu'attiser votre mauvaise humeur. Le vélo s'éloigne sans manquer de vous insulter tous les deux, mais la jeune femme n'entend pas, trop occupée à chercher un moyen pour réparer ses bêtises. Il n'y a pas d'ordre défini dans ce RP. Ce RP est issu du système "Le RP est aveugle" |
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| ( ✰) message posté Jeu 21 Mai 2015 - 21:05 par Invité I'm sorry & Jo A. Beauchamp & Aaron Chancellor Joséphine était en pleines révisions pour le baccalauréat français qu’elle allait passer ici, à Londres. Reprendre les cours dans un nouveau lycée, dans une nouvelle ville, dans un nouveau pays n’était jamais facile. Mais arriver à un mois et demi d’une telle échéance, il fallait croire que Joséphine était un brin suicidaire. Néanmoins, contrairement à beaucoup de personnes, elle le faisait en sachant qu’elle en était capable : elle avait de super notes dans les ¾ des matières qu’elle étudiait au lycée et ne doutait pas de pouvoir s’en sortir. Mais ici, à Londres, elle était totalement perdue. Pendant les cours, ça allait encore, après tout, elle était dans un lycée français, donc, ça allait. Ce qui lui posait le plus de problèmes, c’étaient les cours d’anglais, dirigés par des anglais, même si leur façon de faire, totalement différente de celle des professeurs qu’elle avait eus en France, l’aidait un peu à se poser et à se faire aux accents. Néanmoins, ce n’était pas la peine de lui demander de prendre la parole devant une classe entière en anglais, pas un mot ne sortait et le problème était le même dans ses cours d’espagnol. Aussi, souvent, ses professeurs de langue lui demandaient de venir avant le début des cours, ou de rester après quand elle ne devait pas s’occuper de Lucia, la fille de Maja Alvarez. C’était, d’ailleurs, ce qui était prévu ce matin-là, et la jeune fille devait se précipiter pour arriver à l’heure, elle qui s’était levée en retard ce matin. Elle avait donc sauté dans un pantalon 7/8 bleu ciel et dans une blouse blanche avant de mettre au pied des converses blanches et bleues. Elle avait, ensuite, attrapé son sac de cours et s’était jetée dans la bouche de métro pour traverser tout Londres d’ouest en est. C’était bien un truc auquel elle n’avait pas fait attention, la localisation de son école par rapport à son studio, et elle s’en voulait quelque peu. Mais bon. Au moins habitait-elle dans un chouette quartier. N’ayant pas eu le temps de prendre son petit déjeuner avant de partir, elle pénétra dans le Starbucks le plus proche de sa bouche de métro et, plus ou moins patiemment, fit la queue pour commander son café habituel : un mocha blanc. Clairement, depuis qu’elle habitait à Londres, le Starbucks était devenu sa crèmerie. L’avantage, c’était qu’elle pouvait y trouver la même chose que dans les établissements parisiens, ce qui l’avait grandement aidée, passé le premier choc du : « Merde ! Dans les Starbucks aussi, ils parlent anglais ! » Parce que oui, naïvement, elle s’était presque attendue à ce que ce soit un autre monde où les serveurs auraient parlé en français. Mais non. Après une queue interminable, Joséphine était ressortie de la boutique, son café à emporter dans la main et suivit le mouvement d’un homme qui commençait à traverser. Elle ne se rendit compte que trop tard qu’il pilait net et se fit arrêter par l’homme, non sans renverser son café sur le pantalon de son sauveur. « Merde, merde, merde, merde… » marmonna-t-elle en français, bien sûr, tout en laissant tomber le restant de son gobelet par terre dans son empressement à chercher un mouchoir dans son sac pour essuyer le pantalon de l’homme. « I… I am… sorry » s’excusa-t-elle avec son accent français à couper au couteau. La journée commençait mal mais, sur ce coup, elle ne pensait pas le moins du monde à son cher mocha blanc sans lequel elle ne pouvait commencer la journée qu’elle venait de perdre en partie sur le pantalon d’Aaron, et en partie sur le trottoir londonien… |
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