I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Je dois dire que je ne m'attendais pas a passer une matinée aussi pourris, alors que je venais de passer la nuit avec Malcolm je devais aller au comissariat le lendemain. J'ai très peu dormit je suis shooté au café et encore je pense qu'une bonne dose de cocaine me ferait le plus grand bien même si j'ai jamais a cette saloperie, je suis arrivé au bureau alors pour essayer de me mettre a la tache. Je salua le gardien, discutant avec un des collegues. Je trouva alors Alfie dans le couloir mon enquêteur qui me donna le dossier d'enquête sur un des hommes que je poursuit en justice bref journée au bureau des plus calmes, habillé d'un costard italien style Ragtime. Je me sentais bien dans un costard a 2000£, bon après tout y avais de quoi non ? Alors que j'étais a mon bureau. Ma gentille assistante vient me voir pour me rappeller mes rendez vous... Soudain un nom me fit comme l'effet de papier de verre sur ma peau... Austin Jenkins. Un jeune homme qui grimpait dans le relation publique, mais le probleme c'est que j'ai un procés en cours avec l'un de ses clients... Il devait arriver tôt je me suis demander ce qu'il me voulait encore gueuler... je me leva alors pour aller me faire un Café croisant Lockheart, nous discutions d'un des dossier important. J'avais eu du mal aujourd'hui je suis revenu du commisariat après le braquage qu'il y a eu avec Malcolm... C'était un veritable bordel, car les deux ravisseurs m'ont demandé d'être leur avocat comme quoi tout ceci ne m'aida pas au moins. Mon assistante vient a me chercher « Monsieur McAllister ? Votre rendez vous vas arriver. » Eh merde c'est le debut de la guerre j'alla dans mon bureau me posant sur mon fauteuil, je pris un dossier l'air de rien me demandant bien ce qu'il allait me demander, bizarrement ce fut l'attente la plus longue de ma vie n'empêche. Je repensais a cette affaire... Un certain Johnson, William ? Je sais plus... Mon client le poursuivait pour diffamation pour des commentaires diffamatoire à la télé londonniene. Je soupirais je me suis bien dit que cela me sortirais par les trous de nez. Je vis le jeune homme arriver : « Tien Monsieur Jenkins quel bonne surprise... » Lui dis-je d'un sourire, faux cul oui c'est ça, mais faut toujours sourire dans ce metier et être un autre c'est plus facile. Peut être que c'est pour ça que j'aime bien ce métier, jouer un rôle... Le metier parfait pour un faussaire non ? Je me leva alors lui serrer la main posant mon dossier sur le bureau : « Vous venez encore pour votre Client je pari... » Bizarrement je pensais vraiment à l'étriper c'était un peu trop le bordel finalement.
Après un rapide coup d’œil à ma montre, je me mis en chasse d’un taxi. J’étais déjà en retard et connaissant le trafic de la ville, j’allais mettre une bonne demi-heure à arriver au cabinet de ce cher Lewis. Il me tapait déjà sur les nerfs avec ses grands airs et ses sourires hypocrites mais je n’avais malheureusement pas le choix. Je n’étais qu’un jeunot et pourtant j’avais déjà appris à prendre mes responsabilités, mon père n’avait peut-être pas eu tort en m’envoyant ici après tout, j’étais excellent dans mon job et je n’avais pas encore fait de bourde susceptible de me faire virer, c’était bon signe. Tout en montant dans l’ascenseur je repassais dans ma tête les stupidités qui étaient reprochées à mon client. Il s’agissait d’un chanteur connu qu’une jeune fan accusait d’avoir abusé d’elle bien qu’elle ne l’ait même jamais rencontré, c’était vraiment inutile au possible. Je soupirais tout en buvant une gorgée du café que je venais d’acheter à la sauvette dans la rue, c’était au moins une chose positive, j’avais mon taux de caféine dans le sang qui atteignait des sommets et me permettait d’être au taquet pour sortir les arguments que j’avais préparé. Je n’étais pas avocat mais mon rôle était de calmer le jeu, de trouver un arrangement quel qu’il soit. Je ne pouvais pas me permettre de perdre ce client c’était un des plus important qui pourrait me faire bien vite grimper en haut de l’échelle des préférés de mon patron qui me gardait à l’œil tant que ma période d’essai n’était pas terminée. J’informais rapidement l’assistante de mon futur interlocuteur que j’étais sur les lieux avant d’attendre que monsieur daigne bien m’accueillir. Je pris une bonne respiration et suivit la jolie blonde qui m’amena à la porte que je connaissais déjà par cœur. Bonne surprise ? Epargnez moi les civilités nous savons tous les deux que nous nous portons beaucoup mieux lorsque nous n’avons pas à nous voir. Je lui fis un léger sourire tout en me servant un verre de ce fameux scotch qui me faisait de l’œil dans un coin de son bureau. Je lui servis le même verre avant de le lui tendre et de m’asseoir face à lui. Ecoutez Maître Mcallister, je sais que vous êtes un homme occupé et moi aussi d’ailleurs alors j’aimerais que nous fassions ça rapidement, dîtes moi votre prix pour abandonner les charges contre mon client, je paierai. Je bus une gorgée de mon breuvage avant de reprendre mon discours. Je sais que vous devez déjà avoir pas mal de choses mais qu’est ce qui pourrait aider à ce que vous convainquiez votre cliente de retirer sa plainte ? Une nouvelle voiture ? Des filles ? Dîtes moi tout. Un clin d’œil s’accompagna d’un sourire plein de confiance. Je ne voulais pas qu’il pense que je bluffais mais en réalité je n’avais aucune conviction sur la réussite de ma manœuvre, j’espérais simplement que j’avais quelque chose qu’il voulait et que je puisse partir d’ici le plus vite possible.
I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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Je dois dire que mes pensées était un peu trop brouillon depuis mon arrivé ce matin, entre Eira qui me faisait voir un véritable enfer, cette tentatrice aux hanches delicieusement proéminantes... Je dois dire que de la voir se pincer les lèvres quand elle était songeuse me rappeller de bon souvenir, ses petites framboises qui s'entrechoquent donne une veritable sensation de les devorer. Cela dit toutes ces niaiseries se sont envoler à la vue de Mr Jenkins, ce salaud dirais-je... Ce mec m'étais insupportable, pour la bonne raison qu'il croit qu'on peut tout acheter avec l'argent... Cela dit c'est mon metier, dédommagement et autre problemes. Cela dit quand je l'accueillis dans mon bureau il prena vite ses aises comme si cela n'était pas suffisant de le voir il faut qu'il boive mon proque scotch : « Bonne surprise ? Epargnez moi les civilités nous savons tous les deux que nous nous portons beaucoup mieux lorsque nous n’avons pas à nous voir. » Je me suis mis a sourire, il ne faisait pas dans la dentelles, j'aimais bien ce coté chez lui. Alors qu'il alla se servir et me servir un verre je lui dit : « Je dois dire que vous êtes pour moi l'un des quatre cavalier de l'apocalypse, je ne sais pas pour vous... Mais a chaque fois que vous franchissez le seuil de cette porte, Il y a comme une odeur de souffre... » Le prendrais-je pour le diable ? Surement... Je n'avais pas ce genre de personne ces portes paroles en culotte courte qui petait plus haut que leur cul. Je pris le verre gentillement tendu pour le poser sur mon bureau je m'asseya alors sur le coin de mon bureau tandis que lui pris place sur le fauteuil en face de moi : « Ecoutez Maître Mcallister, je sais que vous êtes un homme occupé et moi aussi d’ailleurs alors j’aimerais que nous fassions ça rapidement, dîtes moi votre prix pour abandonner les charges contre mon client, je paierai. Je sais que vous devez déjà avoir pas mal de choses mais qu’est ce qui pourrait aider à ce que vous convainquiez votre cliente de retirer sa plainte ? Une nouvelle voiture ? Des filles ? Dîtes moi tout. » Je soupirai, je pris un instant ma concentration et je lui dis me levant pour aller m'asseoir sur mon fauteuil : « Mr Jenkins... Pensez vous sincerement qu'une voiture serait le prix pour la diffamation et les propos tenu par votre client dans son emission ? Biensur je crois pas que se soit ça... Faire ettoufer cette affaire, je suis bien d'accord qu'on peut eviter d'aller jusqu'au procès... Mais hélas, j'ai dans ce dossier, d'autres plaintes et autres deposition tenu par des gens qui ont travailler pour votre Client... Biensur ca peut être qu'une histoire de papier... Ma cliente ne demande ni voitures ni femmes d'ailleurs. Les propos de l'orientation sexuelle de ma cliente est infondé... Cela dit elle demande 3 Millions pour dommage et interet. Je trouve cela favorable pour votre Client... Cela dit si votre client refuse. On sera bon pour que je le revois au Tribunal. » J'ouvris alors le dossier que m'a ramener Alfie quand je suis arriver ce matin : « Corruption... Fraude... Je pense qu'on peut faire remonter ses choses Mr Jenkins se serait dommage... Vous ne croyez pas ? »
Tout en le laissant m’énumérer mes nombreuses qualités, je m’endormais presque. Il n’était pas vraiment facile en affaire d’habitude mais de là ç me considérer comme le diable, il allait peut être un peu loin. Après tout comme chacun j’avais mes bons côtés, je pouvais être très généreux lorsqu’il était utile de l’être. Je sais que je ne suis jamais porteur de bonnes nouvelles mais dans tous les cas je suis un homme direct et franc, n’est-ce pas une qualité dont vous manquez cruellement dans votre métier ? Je lui fis un léger sourire en prenant une nouvelle gorgée de ce breuvage que je trouvais de plus en plus à mon goût. Boire donnait une contenance mais aussi encore plus de confiance, non pas que j’en manquais naturellement, mais face à un avocat des plus expérimenté, il fallait bien jouer au même petit jeu stérile de l’autruche. Lorsqu’il m’énuméra les nombreux griefs que l’on reprochait à mon client, je fis mine de ne pas m’y intéresser, c’est vrai qu’avec tous les témoignages qu’il avait et les preuves accablantes qui étaient rangés bien soigneusement dans son dossier, il était cuit. Maître, je sais que votre cliente a toutes les chances de gagner, votre cas est solide et je n’ai aucun doute sur le fait que vous vous feriez un plaisir d’enjoliver les choses une fois devant le juge, mais je pensais à un arrangement qui vous profiterez à vous, non à votre cliente… je me levais pour me diriger vers la fenêtre la plus proche qui donnait sur tout Londres. Je gardais mon regard fixé sur l’horizon tandis que je reprenais mon discours, toujours mon verre à la main, et mon esprit diabolique en action. Dîtes moi, votre cliente est surement trop influençable pour avoir été assez idiote pour se mettre en relation avec mon client… vous pourriez surement la convaincre de tout abandonner. Je sais que ce n’est pas dans les habitudes des avocats mais on commence à se connaître vous et moi, vous pourriez considérer ça comme une faveur ? Je ferai ce que vous voudrez mais j’ai vraiment besoin d’impressionner mon patron, je sais que vous avez été à ma place jadis… vous savez ce que c’est de devoir faire sa place dans un milieu de requins. Je me tournais enfin vers lui espérant avoir réussi à le convaincre un minimum, après tout il pouvait me demander ce qu’il voulait je l’aurais surement fait, je ne voulais plus décevoir mes parents, décevoir mon boss et me décevoir moi-même. Pour l’instant je n’avais pas l’expérience nécessaire pour que mon client s’en sorte sans encombre, je devais jouer avec ce qu’il me restait : mon ingéniosité. Je ne vous demande même pas ça comme une faveur pour mon client mais comme une faveur personnelle. Dis-je tout en m’approchant de lui et soutenant son regard, comme si j’étais son égal alors qu’il avait quelques années de plus que moi.
I was left to my own devices Many days fell away with nothing to show And the walls kept tumbling down In the city that we love Great clouds roll over the hills Bringing darkness from above But if you close your eyes, Does it almost feel like Nothing changed at all? And if you close your eyes, Does it almost feel like You've been here before? How am I gonna be an optimist about this?
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« Je sais que je ne suis jamais porteur de bonnes nouvelles mais dans tous les cas je suis un homme direct et franc, n’est-ce pas une qualité dont vous manquez cruellement dans votre métier ? » Tentait-il serieusement de m'enerver ou de me blesser ? Pensait il sincerement que les avocats n'était pas des gens franc et direct ? Il ne connaissait pas assez bien avocat pour tenir de tel propos, je savais ce que je voulais et je n'allais pas me laisser bercer par les mots de ce Minet qui pourrait sortit tout droit d'un film porno d'un realisateur russio americain... Cela dit je ne pouvais m'empecher de croire que le jeune homme avait de tenir, il avait de bon propos. Il était tout jeune dans le metier et bizarrement il se debrouiller plutôt pas. Beaucoup aurait déjà fait dans leurs froque... Bon ca coute cher pour nettoyer cette moquette mais je dois dire que ce n'était qu'un avantage. Je lui avoua alors : « Je pense Mr Jenkins, que vous ne connaissez pas assez bien mon metier, pour pouvoir tenir des propos aussi absurde... Sachez qu'un Avocat est un excellent menteur, mais aussi quelqu'un qui s'est être franc. Qui n'a pas besoin d'un subterfuge comme offrir un verre de scotch pour amadouer quelqu'un... Je dois dire que même si j'apprecie qu'on me tienne tête comme ça... Je serais facilement apte a faire de vous un jouet... Se serait dommage d'en arriver là n'est ce pas ? » j'y allais fort, mais cette tête de mule commencais a me sortir par les trous de nez : « Maître, je sais que votre cliente a toutes les chances de gagner, votre cas est solide et je n’ai aucun doute sur le fait que vous vous feriez un plaisir d’enjoliver les choses une fois devant le juge, mais je pensais à un arrangement qui vous profiterez à vous, non à votre cliente… » J'hallucinais tentait-il serieusement de me soudoyer ? Je pourrais en perdre mon droit a exercer se metier... Et bizarrement je n'étais pas du genre a transgraisser les règles, Si je perd ce boulot je suis fichu.. Je devrais me barrer de Londres tout quitter pour aller sur une île que j'irais acheter avec l'argent que j'ai planquer dans divers endroit de Londres... « Dîtes moi, votre cliente est surement trop influençable pour avoir été assez idiote pour se mettre en relation avec mon client… vous pourriez surement la convaincre de tout abandonner. Je sais que ce n’est pas dans les habitudes des avocats mais on commence à se connaître vous et moi, vous pourriez considérer ça comme une faveur ? Je ferai ce que vous voudrez mais j’ai vraiment besoin d’impressionner mon patron, je sais que vous avez été à ma place jadis… vous savez ce que c’est de devoir faire sa place dans un milieu de requins. » Oui je l'ai laissais faire son monologue... Une Faveur ? Pourquoi lui ferais-je une faveur ? Nous étions pas si intime... Je n'étais pas crédule, il voulais prendre du galon et c'était bien normal ce métier était aussi pire de ce qu'il disais... : « Mouais... » Relatai-je alors que je pris le verre sur le bureau pour boire gorgée, il vas me falloir plus qu'un verre pour que j'oublie ses inepties. : « Je ne vous demande même pas ça comme une faveur pour mon client mais comme une faveur personnelle. » Il s'était approcher de moi, je sentais que cela allait se terminer mal... Je posa mon verre croisant mes doigts le regardant un instant laissant un temps de pause avant de me redresser et de lui dire : « Si je comprend bien... Vous avez peur de vous faire mousser ? Eh bien... Je pense qu'il vas falloir qu'on ne stipule pas cette entretien... Vous allez dire a votre patron, que vous avez bien travailler que j'ai demander 10 Millions qu'on est descendu a 3. Et puis si vous pensiez réussir ainsi autant changer de metier mon cher Jenkins... » Je le regardais du coin de l'oeil... Allait il continuer a me tenter ? Je n'étais pas con non plus... J'étais professionnel... Après tout... « Sacher que ma Cliente est peut être influençable, mais de ce faire avoir ainsi... Tout ça parce qu'elle a aussi des rêves d'avenir de progresser dans son metier, votre Client n'a fait que lui donner tout les deshonneur possible pour foutre en l'air sa carrière, elle mérite justice. » Je le regardais me posant face a lui, lui disant d'une façon très calme : « Alors... On conclu cette accord ou on se revoi au tribunal ? »
(✰) message posté Mar 29 Avr 2014 - 0:25 par Invité
Il ne s’était pas laissé avoir aussi facilement que je le pensais, après tout il n’était peut-être pas si nul que ça comme avocat, il avait un bon bagage et je n’avais plus qu’à ramer encore plus pour arriver à mes fins. Qu’est ce qui pourrait bien le faire flancher ? Après tout je ne sais pas si j’étais capable de faire tout et n’importe quoi pour épargner quelques millions à un client que je ne portais pas dans mon cœur, le problème restant que si le client est heureux, le patron est heureux et moi j’obtiens une belle prime ou promotion au choix. Je n’essaye pas de vous tenir tête, j’essaie simplement de vous expliquer les raisons de ma visite, après tout je ne suis pas venu pour signer un stupide accord pour mon client, j’aimerais simplement qu’on se mette d’accord sur un compromis qui nous serait profitable à tous les deux, d’après les bruits qui cours vous n’êtes jamais le dernier pour un petit quatre à six avec des personnes peu fréquentables. J’avais un aplomb presque incroyable, même lorsque j’étais à terre j’arrivais à me relever car oui, je n’étais pas venu ici sans avoir faire mes petites recherches personnelles sur le bonhomme, il était loin d’être tout blanc et ses travers n’allaient certainement pas le servir. Je me fichais complètement qu’il préfère les filles, les mecs ou les chiens, d’ailleurs ça m’arrangeait qu’il ait un penchant pour les hommes, je pouvais en jouer depuis le début sans même qu’il ne se rende compte que j’étais au courant. Je lui lançais un regard à la fois suppliant et des plus mignon, je ne voulais pas rentrer bredouille, et même pour 3 millions mon boss n’accepterait certainement que j’ai été aussi mauvais en négociation, c’est tout de même le propre d’un attaché de presse que de sauver la mise de son client. Je ne comptais pas en arriver là mais après tout, il fallait ce qu’il fallait. Vous savez maître, j’ai toujours mis un point d’honneur à surveiller mes clients de très près, même lorsque j’étais encore étudiant j’avais pris l’habitude d’être curieux de tout, pour étendre le champ de mes possibilité. Tout cela pour dire que vous devez sans doute être au courant que l’un de mes quelques clients est en fait Mr. Newandyke, Malcolm de son prénom, il me semble que vous vous connaissez. Je lui fis un grand sourire plein d’innocence tout en me resservant un autre verre de scotch, j’allais pouvoir savourer ma victoire et je voulais le faire avec le meilleur des médicaments. Cette fois je le tenais, il devait commencer à comprendre où je voulais en venir et d’ailleurs c’était presque trop facile de faire tomber dans le panneau cet idiot. Au final l’âge ne fait pas tout, on peut très bien avoir le bras long avec encore très peu de poil sur le visage. Tout en prenant une profonde inspiration je pris un air interrogateur en me tournant à nouveau vers ce bon vieux Lewis. Donc comme je vous le disais je garde un œil sur mes clients pour éviter que de trop gros scoop sortent sans mon aval, et il se trouve qu’on m’a rapporté des cliché des plus intéressants digne des pornos les plus acrobatiques, je doute que vous ayez besoin de les voir mais au cas où je vous les emailerai dans la journée. Un sourire carnassier planté sur le visage, je revins m’asseoir face au bureau, là où je me trouvais en si mauvaise posture quelques minutes plus tôt avant de relever la tête vers lui. Je suis sûr que maintenant vous regrettez de ne pas avoir choisi l’option où je jouais le gentil garçon… sortant un papier de ma besace, je le posais sur son bureau. Au fait voilà l’accord que nous allons signer, il stipule que mon client sous couvert de bonne foi et de dommages d’un montant de 100 000 livres à votre cliente ne pourra être poursuivi à l’avenir pour ce dont il est accusé. Je vous laisse le parcourir tranquillement, nos avocats l’ont déjà fait, il ne reste plus qu’à signer. Jeu, set, et match comme on dit, il faut savoir être bon perdant parfois.
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(✰) message posté Mar 29 Avr 2014 - 0:57 par Invité
I'm not a Whore i'm a survivor !
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Ce gamin me faisait incroyablement chier, plus je l'ecoutais plus il me donnais envie de le virer encore plus vite. Il me parla alors des allusions sur mes activités extra professionnel, j'arqua un sourcil : « Oh vraiment ? » Disais-je me demandant vraiment où il a bien pu pecher ça. Je me leva alors pour fermer la porte histoire d'être plus tranquil et pouvoir dire des choses tranquillement sans avoir peur que l'on m'entendent. Et puis j'entendis le nom de Malcolm je me retourna : « Mr Newandyke ? Moi et Malcolm ? » je me suis mis a rire m'approchant de mon bureau... Il avait des photos ? Hum il ne les auras surement plus d'ici ce soir... Je vais m'en charger surement je ne vois pas pourquoi je me laisserai avoir... Je lui dit : « Eh bien je me demande si c'est bien professionnel de faire tomber votre client ainsi ? Malcolm est un très bon client... Et ce que je fais hors de mes heures de travailles ne vous regarde pas... Malcolm et moi sommes amis, rien de plus... Je suis bien curieux de voir les photos que vous avez de nous deux... Vous pensez sincerement me faire peur ainsi ? » Je pris mon verre buvant une gorgée voyant alors le dossier sur la table : « Au fait voilà l’accord que nous allons signer, il stipule que mon client sous couvert de bonne foi et de dommages d’un montant de 100 000 livres à votre cliente ne pourra être poursuivi à l’avenir pour ce dont il est accusé. Je vous laisse le parcourir tranquillement, nos avocats l’ont déjà fait, il ne reste plus qu’à signer » Je me suis mis a rire... ; « vous êtes vraiment pas croyable... C'est pour ça que je deteste autant les agents comme vous... Bon ecoutez moi... Quoi que vous fassiez... Je vous en pris faites vous plaisir... Vous pensez m'avoir à ce petit jeu... Sachez que nous jouons pas dans la même cours... Sachez que cela reste à trois millions... Et je me fou de votre situation avec votre boss... Sachez que si il y a de nouveau un probleme je préfére avoir a faire a quelqu'un qui sait utiliser les bons mots et non jouer au petit detective.... Vous dites que vous en savez sur Malcolm... C'est bien... Sachez que j'en sais aussi sur vous et aussi sur votre clients... Vous pensez que la presse sera friant de quel coté ? Le petit Realisateur qu'est Malcolm qui une carrière qui commence bien... ou votre clients qui est respecté de toute une ville et je pense tous ce que je sais pourrais … Le nuir et vous nuir et bien oui ce sera dommage de tomber pour Complicité de corruption... Sachez mon cher que dans le Code penal de notre cher pays... Vous en courez pour 5 ans ferme... Se serait dommage de perdre toute votre carrière vous ne trouvez pas ? » Il m'avais chercher il me trouvait... Il avait la preuve pour moi et Malcolm très bien... j'en avais plus... Ce n'est pas une tite liaison de deux hommes consentant qui vas faire fureur comparer a ce que j'ai sur son client... Jamais t'abaisser a l'adversaire... Sauf quand il est necessaire de passer par là. « Vous voulez jouer Mr Jenkins ? Tant mieu j'adore écraser des nuisibles tel que vous.... »
(✰) message posté Mar 29 Avr 2014 - 21:59 par Invité
Je n’avais pas besoin d’être Einstein pour voir que la révélation que je venais de lui faire l’avait complètement déstabilisé, et je trouvais ça de plus en plus marrant, on dirait presque un gosse qu’on venait de prendre en flagrant délit de vol de bonbon et qui essayait de se justifier vainement par une excuse à laquelle personne ne croyait. Non mais sérieusement, lui et Malcolm amis ? Oh ça oui ils l’étaient, et même bien plus d’après ce que j’avais vu, c’était presque insupportable à regarder pour des yeux innocents, quelle idée de s’adonner à des pratiques sexuelles aussi primaires à la vue de n’importe quel détective privé engagé par un attaché de presse soucieux de bien faire son job. En tout cas aujourd’hui cette histoire me servait bien et je m’en délectais au plus haut point. Ne vous inquiétez pas vous verrez ces preuves en temps voulu, de toute façon à la vue de votre tête, vous savez très bien ce qu’il y a sur ces photos, c’est presque inutile de les commenter, à moins que votre patron soit intéressé par vos activités extra professionnelles ? Je me demande si les gens du cabinet vous verrez de la même façon après ça. Bien sûr que je ne mettrais pas la carrière de Malcolm en danger, c’est un de mes meilleurs clients et il serait capable de me mettre un procès aux fesses alors que je passe mon temps à sauver les siennes cet ingrat. Je le regardais boire une gorgée du verre que je lui avais servi, après l’avoir presque refusé, il était évident que maintenant que je le mettais devant le fait accompli il allait avoir besoin de tout le courage nécessaire pour me répondre. Il ne semblait pas se démonter en surface mais je savais qu’au fond de lui il était impressionné que je puisse en arriver à des extrêmes pareils pour défendre mon client. Après tout, étant encore jeune j’avais tout à prouver et rien à perdre tant que je ne faisais rien de répréhensible. Ce qui est dommage pour vous c’est que malheureusement tout ce dont vous avez eu connaissance au cours de votre boulot est soumis à la déontologie et donc à la confidentialité, alors que moi non. L’avantage encore une fois d’être un simple « agent » comme vous dîtes, moins de responsabilité encourue lorsqu’on veut obtenir quelque chose par des moyens détournés. Alors écoutez-moi bien, si vous ne faîtes pas comme je viens de vous le dire, vous pouvez vous attendre à être celui qui se fera non seulement radier du barreau mais aussi à celui qui va se ruiner en frais procéduraux et en dommages et intérêts à verser à mon pauvre client bafoué. Sachez que j’ai fait mes devoirs moi aussi, et je connais ses droits. Je ne voulais même pas lui nuire d’ailleurs, j’étais admiratif de son travail, de tout ce qu’il avait pu accomplir au cours de sa vie, après tout il était avocat et avait une bonne place dans un bon cabinet de la City ce n’était pas donné à tout le monde, mais je n’étais pas là pour me faire des amis, j’étais là pour prouver ce que je valais à mes parents, à tout ceux qui m’avaient répété inlassablement que sans l’argent de ma famille je n’étais rien. Il était temps que les gens comprennent que je n’étais pas un gosse de riche pourri gâté et que je savais me mouiller pour les bonnes raisons parfois. Voyons, c’est inutile que l’on s’emporte de toute façon, je suis certains que votre cliente serait même heureuse avec 10 000 alors 100 000… mettez votre égo de côté et pensez à vos intérêts combinés à ceux de votre cliente, de mon client, tout le monde y gagne au final ! Je lui fis un léger sourire comme pour conclure ma diatribe qui maintenant commençait presque à m’ennuyer, je ne voulais pas baigner dans des histoires de chantage et compagnie, j’étais un connard certes, mais j’avais pour habitude de jouer les choses carte sur table, malheureusement mon métier ne le permettait pas tout le temps et c’était une honte d’ailleurs. J’avais hâte de pouvoir retourner aux USA et de ne plus être à la botte d’un patron tyrannique et de clients plus débiles les uns que les autres.
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(✰) message posté Mar 29 Avr 2014 - 22:28 par Invité
I'm not a Whore i'm a survivor !
feat Austin & Lewis
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« Ne vous inquiétez pas vous verrez ces preuves en temps voulu, de toute façon à la vue de votre tête, vous savez très bien ce qu’il y a sur ces photos, c’est presque inutile de les commenter, à moins que votre patron soit intéressé par vos activités extra professionnelles ? Je me demande si les gens du cabinet vous verrez de la même façon après ça. » Ce gamin était un crétin, il commençais vraiment a me taper sur le système bien que je ne le montrais pas... Il ne savais pas de quoi il parle, cela prouve que je ne pouvais pas lui faire confiance je lui dit alors : « Vous êtes trop jeune et trop mignon... Et surtout tellement naïf... Occuper vous de vos clients... Vous venez me voir depuis que vous commencez dans ce job et vous parlez d'un patron ? Mais gamin, c'est moi le patron ici ! Tu crois sait ce que diront mes collaborateur ? Ils sen foutrais... Car ils savent que si ils disent quelque chose je pourrais faire de leur vie un enfer. Allez y ! Mais je vous en pris ! Envoyez leur... Jouer les putes et ditent leurs a tous que quoi déjà ? Ah oui je couche avec Mr Newandyke ! » Je me suis mis a rire limite nerveusement. Et puis Austin parla... il parla encore et encore, mais bizarrement pour moi ce nétait que du vent après tout... Tous ce qu'il disait n'était que du vent. Il disait des choses qu'il ne connaissait pas, il ne connaissait pas mon job... Il croyait quoi lui... « Voyons, c’est inutile que l’on s’emporte de toute façon, je suis certains que votre cliente serait même heureuse avec 10 000 alors 100 000… mettez votre égo de côté et pensez à vos intérêts combinés à ceux de votre cliente, de mon client, tout le monde y gagne au final ! » Je me suis mis a rire : « Vous savez quoi ? Vous vous enfoncez... Vous allez sortir de mon bureau retourner travailler... Je vais apeller desuite l'avocat de votre client. Je ne vois pas pourquoi je m'embête a vous parler. Oh je vais joindre mon Client Mr Newandyke, je pense qu'il sera ravis de savoir qu'il a un agent qui est un très mauvais maitre chanteur... » J'alla vers la porte l'ouvrant : « Mr Jenkins je vous retiens pas... » J'en avais marre des petits jeunes qui prenait la grosse tête ainsi c'était ridiculement drôle mais terriblement agaçant. Je savais bien qu'il ne pourrait rien faire. Après tout je n'étais pas le plus bon des menteurs pour me laisser avoir par un petit maitre chanteur il ne me connaissait pas et encore heureux...
(✰) message posté Mar 29 Avr 2014 - 23:48 par Invité
Décidément il était d’un susceptible, je cherchais simplement à m’amuser il n’y avait pas d’enjeu pour moi mais apparemment il prenait ça très à cœur et ça me faisait doucement rire. Il pensait peut être que je n’avais rien dans la tête, que je n’étais qu’un avorton de plus qui se permettait de venir l’importuner dans sa grande tour d’ivoire. Mais non. Je n’étais plus un gamin, et ma visite était surtout un moyen de le prouver, de lui prouver que j’avais de l’herbe sous le pied et que j’étais prêt à utiliser toutes mes armes afin de l’emmerder au possible. De toute façon il ne semblait pas vouloir flancher alors à quoi bon perdre mon temps avec lui, il avait presque l’air pressé de me voir sortir. Vous êtes tellement ridicule quand vous jouez les tragédiennes, vous devriez considérer une carrière dans la comédie, vous avez raté votre vocation. Vous auriez fait la parfaite diva, qui fait un caca nerveux lorsque les choses ne vont pas dans son sens. Tout ce que je retiendrai de cette réplique c’est que je suis mignon, parce que ça au moins c’est vrai. Je lui fis un large sourire avant de me lever à mon tour, finissant mon verre d’une traite, je ne voulais pas gâcher l’occasion que j’avais de lui siffler un peu plus de ce whisky que j’allais devoir me procurer rapidement, j’en devenais presque dépendant. Je vous laisse donc appeler Malcolm, je suis certains qu’il sera très amusé de la situation, il aurait fait la même chose que moi à ma place. Par contre évitez de l’appeler votre client, dans ma tête ça sonne comme s’il vous payez pour vos frasques sur l’évier de la cuisine. J’éclatais de rire tout seul avant de récupérer mes dossiers et ma besace, il était temps que je retourne au bureau après tout, cette plainte n’avait pas la moindre chance d’aboutir puisque l’avocat de mon client était déjà en route pour rencontrer la jeune femme qui portait plainte et lui offrir un accord qu’elle ne pouvait refuser, d’ailleurs les plus plates excuses étaient de rigueur car oui client idiot, mais client sensé tout de même. Je vous dis à bientôt monsieur McAllister, j’avoue que j’ai trouvé cette réunion tout à fait passionnante, et si à l’occasion vous voulez boire une bière, ressasser le bon vieux temps où je vous ai cloué le bec de belle manière, n’hésitez pas je suis à votre disposition. Enfin après ma dernière réplique, je décidais de sortir, lançant au passage un clin d’œil à la jeune assistante qui se trouvait à son bureau, elle était mignonne mais pas mon genre. Pourtant je m’étais senti presque obligé de la draguer pour énerver encore plus Lewis. Oui oui, j’étais dans un bon jour.