me, i fall in love with you every single day (lizzian).

La veille avait été bien crevante pour moi, j'avais passé la journée à préparer cette saint valentin, la première que je pourrais passer en la compagnie de la femme dont j'étais pourtant amoureux depuix dix ans maintenant. Si j'ai été amoureux de mon ex, oui sans doute..Mais la seule fois ou je me suis senti complet c'est quand Lizzie était à mes côtés que j'avais vraiment envie de sourire, et de bâtir ma vie avec quelqu'un. Si je devais fonder une famille avec quelqu'un, ça serait avec elle. J'aimais tout chez elle.. Sa façon de rire, son petit caractère, sa détermination, pour le bonheur que je ressentais chaque fois qu'elle me serrait dans ses bras. Et avec elle j'avais accepté son fils, c'est un petit gars bien. Je ne voulais pas être un de ces beaux pères qui le laissait sur le côté ou le faisait sentir qu'il préfererai son absence, ce n'était pas mon cas. Il faisait partie d'elle et j'avais accepté les 2 dans ma vie. Bon..La saint valentin était un peu une exception, c'était quand même mieux et plus romantique d'être rien que tous les deux, c'est la fête de l'amour après tout. Et vu la facilité avec la quelle elle me faisait craquer avec ses beaux grands yeux entre le vert et le gris.. Je ne promettais pas de garder mes mains dans ses poches, et l'absence d'enfant dans la maison était alors plus que souhaitable!  Quoi qu'il en soit j'étais passé chez le coiffeur pour dompter un peu mes cheveux qui commençaient à prendre de la longueur avant d'aller m'acheter de nouveaux vêtements, je voulais être beau pour elle. La charmer. Ne jamais rien prendre pour acquis est une règle de base et je ne voulais pas qu'elle me file entre les doigts, maintenant que je la retrouvais enfin la perdre serait juste affreux. J'étais déjà si malheureux dans l'attente, triste de devoir me cacher alors avoir pu enfin officialiser ce nous était une des meilleures choses qui ai pu m'arriver de toute ma vie. J'étais persuadé qu'elle et moi pourrions faire de belles choses dans le futur.  Une fois mes achats personnels faits, c'était pour ma belle chère et tendre que j'avais du me mettre en quête du cadeau parfait, même si beaucoup trouvaient cette fête commerciale je comptais bien en profiter pour la gâter un peu bien que toute autre occasion serait bonne pour le faire, une promesse que je m'étais faite à moi même, je comptais faire d'elle une femme comblée et heureuse, qui ne manque de rien. Je voulais l'emmener en vacances avec son fils, lui offrir de belles sorties au restaurant, l'emmener danser, lui faire des petits déjeuners au lit. Quand on grandit dans une famille de 10, avec donc 8 enfants, on se rend compte de l'importance de la famille. Et maintenant que je volais de mes propres ailes et ce depuis déjà quelques années et n'ayant que Lizzie dans ma vie, elle était ma famille à moi et je veillais sur elle. J'avais d'ailleurs bien hâte de la présenter à toute ma famille dès que possible, choses qu'ils ne cessaient de me demander aussi en me posant 1001 questions au téléphone. Quoi qu'il en soit une fois son..ou ses, cadeaux achetés je m'étais dépêché de rentrer chez moi et me mettre en tenue, être pompier impliquait d'être de garde certains soirs et j'avais préféré prendre celui ci que risquer d'être appelé le lendemain alors que j'étais chez Lizzie. Ce qui signifia pour moi une longue, très longue nuit à la caserne et sur des interventions diverses et variées du chat coincé sur le toit d'une maison à l'incendie d'une maison en centre ville. En rentrant chez moi alors que les premières lueurs du jour commençaient déjà à illuminer la route, j'étais tombé de sommeil à peine sorti de ma douche, étalé sur mon lit telle une étoile de mer. Mon réveil m'avait tiré des doux rêves dans lesquels j'étais plongé après bien plus que 8h de sommeil bien mérités, sautant immédiatement sur mon téléphone pour souhaiter à cette femme merveilleuse une bonne saint valentin. Finalement, ça serait donc chez elle que nous passerions cette soirée. J'hésitais encore, chez elle ou chez moi et elle avait mis fin à cette hésitation, il ne me restais plus qu'à se préparer. Je passais un pantalon noir et une chemise bleue couleur jean pour mettre en valeur mes yeux clairs. Un peu de parfum, du déodorant pour sentir bon et je partais de mon chez moi pour rejoindre le logement de ma petite amie.  En ce moment même je me sentais comme un ado qui attendait son rendez vous pour le bal de fin d'année. Comme prévu dans nos messages j'avais cherché des fondants au chocolat, de la mousse, et différents muffins en formes de coeur à l'occasion de la saint valentin. J'empochais au passage une bouteille d'un cocktail sans alcool à base de fruits qui accompagnerais très bien ce dessert.Et c'est finalement bien chargé que je frappais à sa porte en me mordillant la lèvre, retenant presque ma réspiration quand enfin la porte s'ouvrait. Je restais subjugué, d'abord par sa robe qui la mettait superbement en valeur, puis par ses cheveux. Tiens donc, j'étais presque sur d'avoir laissé une blonde il y a quelques jours à peine! Je l'attrapais dans mes bras pour ne pas attendre plus longtemps, entourant sa taille en l'embrassant tendrement « Wow, ça c'est une sacrée surprise! Tu es magnifique Lizzie..Ta robe, tes cheveux..Wow! Quand je te vois comme ça je me dis que je suis le plus chanceux des hommes. Encore une fois, bonne Saint Valentin. » Lui souhaitais-je avec un sourire collé aux lèvres malgré moi, c'était ça le fabuleux effet qu'elle avait sur moi. Ce bonheur, évident et puissant.

Je revivais depuis que nous étions ensembles, que ce soit de manière officielle ou non. Je n'avais pas pu hésiter lorsqu'enfin je l'avais retrouvée, je ne pouvais pas la laisser partir une fois de plus alors que cette absence m'avait déjà bien trop fait souffrir. Combien de fois est ce que j'avais amèrement regretté de l'avoir laissé partir il y a déjà des années de ça? Alors chaque étreinte, chaque baiser, chaque sourire de sa part ne faisait que confirmer ce que je pensais, j'avais fais le meilleur choix de toute ma vie. Renoncer à une femme qui ne me rendait pas vraiment heureux malgré l'engagement que représentait nos fiançailles pour me consacrer essentiellement à cette femme que j'aimais de tout mon coeur et que je comptais bien garder à mes côtés. Si je devais me marier avec quelqu'un, ça ne pouvait être que cette belle blonde qui habitait chacune de mes pensées à chaque instant. Enfin..Elle n'était plus vraiment blonde maintenant mais ça ne changeait rien. Tout pourrait lui aller, sans doute même du bleu.  J'avais accroché ma veste sur le porte manteau avant de retrouver avec plaisir le contact chaud de ses lèvres pour un long baiser des plus fougueux, mes mains venant serrer ses hanches pour la garder tout contre mon torse, déposant mes lèvres sur les siennes une nouvelle fois avant de faire de même sur son front, sa joue, son menton, son cou puis son épaule, respirant la douce odeur de son parfum que je reconnaitrais entre milles, remontant mes mains le long de ses bras fins, sur sa peau tellement douce à la quelle j'étais accro. J'avouais volontiers être dépendant de cette jeune femme, avoir besoin et envie de la voir au quotidien. Et si je ne pouvais pas la tenir dans mes bras, pas un jour ne passait sans que je l'ai au moins au téléphone. Mais généralement et parfois entre deux interventions au boulot je ne résistais pas à l'envie de venir de la voir au travail directement à son studio de photographe le temps d'un bisou, ou pour la chercher et aller déjeuner ou dîner. « Je sais oui, juste toi et moi ce soir. Je compte bien en profiter et te faire vivre une magnifique saint valentin.. Dont on se souviendras longtemps, toi et moi.. La toute première fois qu'on a passé ce jour tous les deux. La première fois d'une longue série d'années. J'en suis persuadé. » Et qui sait, peut être bien qu'un jour on pourrait raconter notre belle histoire d'amour un peu compliqué à notre..ou nos enfants. Je voulais fonder une famille avec elle, si entre nous ça durait comme je l'imaginais. De son côté elle n'osait peut être pas se projeter trop loin dans le futur mais moi j'avais une immense confiance, je croyais au destin qui nous avait réuni, et je croyais aussi à l'âme soeur, chacun avait quelque part quelqu'un fait pour lui il suffisait de trouver cette personne, faire en sorte de l'avoir rien qu'à soi et faire de son mieux pour que ça dure longtemps. Je ne laisserais jamais partir Lizzie. Je ne pouvais pas. Une femme comme ça on ne doit pas la laisser filer, on doit se battre pour elle s'il le faut. Je la suivais dans le salon, ouvrant le sachet que je portais pour sortir le cocktail aux fruits sans alcool, les fondants au chocolat, la mousse au chocolat, la sauce au chocolat aussi biensur puis des muffins en forme de coeur de différents parfums, déposant le tout sur la table avant de m'installer à ses côtés, glissant sa main sur sa jambe, de son genoux jusqu'a ses cuisses. Pourquoi ne pas profiter un peu? L'avantage des robes c'est que ses jolies jambes étaient libre et disponibles à ma vue. Qu'elle était belle, ma Lizzie. Du haut de son crâne jusqu'aux bouts de ses orteils je ne trouvais rien à critiquer chez elle.  Je pouffais de rire en l'entendant et l'attirait dans mes bras en lui montrant tout ce que j'avais acheté d'un petit signe de la main. « Oh mais oui ta mémoire est très bonne! Je pense avoir dévalisé le magasin de bonnes choses à manger avec une bonne sauce au chocolat!  Multi usages, bien évidemment. A manger sur les desserts ou sur la personne qu'on aime pourquoi pas.  »  Un sourire en coin des plus charmeurs étira mes lèvres fines, ben quoi, je pouvais bien tenter après tout! Les femmes fantasment sur les pompiers d'habitude non? Alors un pompier au chocolat, on peux toujours tenter.

Je déposais mes lèvres sur son front, puis sur le bout de son nez avant de me redresser pour nous verser à chacun un verre du cocktail dans la cuisine, décorant le verre d'un petit quartier de citron avant de lui ramener avec un grand sourire, l'entourant d'un bras de façon à garder une main libre pour mon verre. « Alors..On va trinquer à notre amour dont on peux enfin profiter pleinement depuis quelques temps, et à notre sobriété qui nous a aussi permis de nous rencontrer il y a plusieurs années. On peux être fiers de nous, franchement! Moi en tout cas, je le suis. Je t'aime.» Je ramenais le verre à ma bouche pour en boire une gorgée, me passer d'alcool ne me posait plus de problèmes désormais, c'était juste gênant parfois de devoir expliquer notre refus quand à des fêtes, des mariages ou autre nous refusions ne serait-ce qu'un verre. Je ne voulais pas risquer de retomber dans ces conneries.. Avoir à me battre à nouveau pour arrêter. La stabilité dans ma vie, j'y tenais! « Hier j'ai été faire du shopping..Et me couper un peu les cheveux pour dompter tout ça! Ensuite..J'ai été acheter ton cadeau biensur! Puis j'ai bossé toute la nuit du coup je suis rentré tard et j'ai dormi pas mal de temps aujourd'hui avant de mettre un peu d'ordre chez moi, me préparer, me faire beau pour toi, aller acheter tout ça, j'ai essayé de faire au mieux! Mais toi, tu surpasses tout. Je n'arrives pas à te lacher des yeux tellement tu es belle..  » Je me penchais pour embrasser ses lèvres avec tendresse entre deux gorgées de ma boisson que je reposais sur la table, prenant sa main dans la mienne. « Et toi, à part cette belle coiffure, comment s'est passé ta journée? Longue sans moi sans doute, non?» Je souriais, amusé, biensur que je plaisantais elle savait parfaitement que je n'étais pas ce genre de gars à l'égo exagéré.

J'aimais cette femme plus que tout en ce monde, et comme je n'avais jamais aimé auparavant. Et je regrettais tellement de ne pas avoir su voir tout de suite que sans elle je n'étais rien. Je regrettais toutes ces années perdues que nous aurions pu passer ensembles. Puisque chaque jour ou j'ai été loin d'elle, elle est resté d'une certaine façon à mes côtés. Dans mon coeur, et dans mon esprit elle était la en tout cas. Tout avait été bien compliqué dans un premier temps, je n'avais pas envie de faire de mal à mon ex en passant pour le pire des salauds, je n'étais pas quelqu'un qui jouait avec les sentiments et c'est bien pour cela que j'ai fini par lui dire au revoir en lui expliquant les choses, pour être honnête. Et enfin j'avais pu commencer cette année 2015 avec le véritable amour de ma vie dans mes bras. Le véritable amour..L'âme soeur que chacun cherche, je pouvais maintenant dire haut et fort que je l'avais trouvé. Et je comptais bien la garder! Si elle peinait à se projeter dans le futur, moi je le faisais sans soucis, et je lui montrerais. Nous avions tout le temps pour cela désormais. J'aimais passer du temps avec elle, bien que ça ne me semble jamais assez, et j'avais envie de m'intégrer dans cette petite famille sans pour autant brusquer les choses. Je voulais montrer à son fils que je serais la pour lui, dès qu'il en aurait besoin. Je venais d'une famille unie, et avait envie de vivre ça à mon tour. Et Lizzie le méritait également, sa vie n'avait pas été des plus simples et tout le monde mérite de vivre l'amour, le vrai. Elle passait en premier pour moi désormais et il n'y a rien que je ne ferais pas pour cette merveilleuse femme. Etre à ses côtés pour cette saint valentin, je ne pouvais demander mieux. Je me sentais tellement à ma place ici que ça semblait irréel. Avec ma chérie dans les bras, calée contre mon torse, j'avais l'impression de vivre ici quasiment. C'était naturel entre nous. Une évidence comme je le disais souvent. Nos lèvres se cherchaient de temps en temps, je pense que je lui avais manqué autant qu'elle m'avait manqué au long de cette journée et maintenant nous avions bien besoin de nous retrouver, et cette tendresse faisait partie des retrouvailles. Etre pudique n'était pas tellement dans ma nature et si j'avais envie de profiter de ses lèvres encore et encore, je le ferais! Un sourire au coin des lèvres, il passa le bout de ses doigts dans ses cheveux maintenant bruns. Hm.. Ca lui ferait surement bizarre un moment, il adorait ses cheveux blonds habituellement et s'y était habitué, bien qu'elle soit tout aussi belle et attirante ainsi, en brune. Comme si il pouvait lui résister de toute façon. Chassant sa chevelure dans son dos, il se pencha pour déposer une dizaine de petits bisous le long de son cou, humant l'odeur de son parfum avant de soupirer de bonheur. « T'en fais pas pour ça, on testera! On a le temps de toute façon non? Tu ne comptes pas me chasser tout de suite quand même? Je compte bien dormir ici, avec la plus belle femme de ce monde entre mes bras, et me réveiller en me disant que je suis sacrément chanceux! Et la prochaine fois, je te kidnappe toi! » On devrait bien trouver une occasion de toute façon, quand son fils dormait chez un copain. Ou alors je pourrais lui préparer la chambre d'amis, qu'il découvre mon chez moi, c'était important!

Je soupirais de bonheur en sirotant mon verre bien frais, quelle connerie d'avoir un jour touché à l'alcool pour se sauver d'une situation délicate, de la tristesse. Plutot que de faire son deuil il avait préféré noyer tout ça dans l'alcool, et bon sang que ça pouvait être lâche je ne m'en étais pas rendu compte avant de savoir arrêter. Encore aujourd'hui je me rappelais sans soucis la première fois que j'avais vu Lizzie à une réunion. Elle avait l'air perdue, et je ne l'avais pas laché des yeux de la soirée. Nous avions parlé et j'avais été son parrain pendant un moment avant de la perdre de vue, c'était délicat et je n'avais pas su me lancer à l'époque. Et pourtant chaque fois que je la voyais, je me sentais comme la toute première fois. Des papillons dans le ventre, la gorge nouée, le coeur battant la chammade. Si la vie nous avait fait nous retrouver, c'était bien un signe non? Nous étions faits l'un pour l'autre, sans aucun doute possible à mes yeux en tout cas et j'éspérais bien que nos amis respectifs le verraient également. « Irrésistible hm? C'est bon à savoir mon amour ! J'ai fais de mon mieux, j'avais envie de te plaire. Ce jour est important pour moi. » Et j'éspérais vraiment lui faire passer une belle soirée dont on se rapellerait quand dans quelques années nous pourrions repenser à notre toute première saint valentin, quand enfin notre couple avait pu en être un de manière officielle sans plus avoir à se cacher. Je ne souhaitais ça à personne, ce n'était pas agréable. Mais maintenant plus rien ne nous empêchait d'être heureux et ensembles, rien ni personne. En l'entendant je levais doucement les yeux au ciel, glissant mes mains sur sa taille que je caressais délicatement. « Un petit peu c'est tout? Je vais être très déçu alors! La journée est passée bien trop doucement à mon gout, j'avais hâte d'être la. Tu hantes mes pensées. Tu as pas honte? Tu m'as ensorcellé et quand je m'en vais.. mon coeur reste avec toi. » Lui murmurais-je tendrement à l'oreille, déposant mes lèvres sur sa tempe avant de me reculer pour la regarder manger, prenant la moitié qu'elle me tendait pour croquer dedans. Gourmand comme j'étais, dur de résister à du chocolat de toute façon. « C'est une TUERIE! Y'en a qui sont au chocolat, avec ganache au chocolat, et framboises. Je suis sur que tu vas adorer, princesse.» Mais visiblement elle préférait mes lèvres en gourmandise à la place du muffin qu'elle délaissa en venant sur mes genoux. Je ne me privais pas pour doucement glisser mes mains à plat sur ses genoux puis le long de ses cuisses quasiment découvertes de toute façon, avant de redescendre vers ses genoux, adorant le contact de sa peau. Ca faisait un bien fou de pouvoir toucher sa peau, s'abandonner à de douces caresses et à de longs baisers. Qu'elle prétende encore que je ne lui ai pas manqué, je ne la croirais pas. Et je n'avais aucune envie d'arrêter d'ailleurs. La laissant reprendre son souffle, j'embrassais ses joues, son menton, sa machoire, son cou, son épaule, relevant mes yeux dans les siens en attrapant son visage entre mes mains. « Tu me rends fou, Lizzie Spencer..Je t'aime, bon sang que je t'aime.» Lui murmurais-je avant de longuement embrasser ses lèvres à mon tour, laissant mes mains retomber sur le bas de son dos pour la garder contre mon torse. « Tu es sure qu'on s'est vu récemment? J'ai l'impression que ça fait tellement longtemps que mes lèvres et mes mains ne t'ont plus touché, il faut aranger ça! »