"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Dans la ménagerie infâme de nos vices 2979874845 Dans la ménagerie infâme de nos vices 1973890357
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Dans la ménagerie infâme de nos vices

Anonymous
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 11:46 par Invité

Bellonna  Arasse

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Arasse dérape sur le palais. Dur nom qui somnole entre les dents nacrées. La femme le prononce simplement, des flammes en ses billes luisant la malice adorée. Arasse c'est le nom de son père condamné à la folie sacrée de sa mère.  PRÉNOM(S) : Bellonna, guerrière, vainqueur. D'espoir eu tombeau des jolies jeunes filles mouchetées de gris. ÂGE : 23 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Vingt-trois belles années enténébrées des grâces de Lucifer posé à son berceau antique, elle a ravagé de ses pleurs déjà un 22 avril le silence pâle d'une chambre décorée de lilas, soin et prestance d'un enfant attendu, désiré, choyé... par le père uniquement.. NATIONALITÉ : Naquit la fleur des pleurs sur ses pétales des nuances de Londres fumé à l'ambiance malhonnête, des fragrances chantées d'une mer méditerranée, là à l'Italie sournoise d'un tréfonds radical. STATUT CIVIL : Libertine, le surnom de sa coiffe malhabile. Elle goûte aux funèbres précipices masculins, elle boit le calice des chemins, ces beautés rares courbées de leur beauté diaphane, féminin. Elle contemple les figurines mouvante pécheresse souriante, charognard. MÉTIER  : Chômage ayant arrêté les études avant l'heure. Rentière, l'héritage d'un oncle défunt. TRAITS DE CARACTÈRE : Têtue - Observatrice - Perspicace - Provocante - Légèrement hystérique - Battante - Dynamique - Moqueuse - Téméraire - Réfléchie GROUPE : Walk on a Line.



My style, my life, my name

▲ Des cigarettes à ses phalanges d'artiste, blanches comme les vices de ses entrailles, elle laisse vagabonder l'emprunte d'une embrume à ses lèvres finement peinturée. Quelques fois la tête relevée aux cieux azurés. ▲ Fervente admiratrice de la science, de la psychologie. Jamais la religion ne vient entacher la royale endiablée. Les carnets à son sac dédalesque, elle griffonne furie dithyrambique des carnets de rouille qu'elle amasse nonne à des espaces clôturés. ▲ Jamais de non pour le shopping, l'affront d'une journée passée à observer les étoffes sacrées de hauts couturiers. Perséphone en son jardin de soie, elle effleure les monarques galants d'une foule déstructurée. ▲ L'horreur des images sous ses yeux alanguis, des films de terreur qu'elle apprécie. ▲ Le rock seul défi apprécié dans la nébuleuse de ses pensées, les mélodies s’enchaînent, endiable l’amazone passionnée ; les vêtements se retirent et le partenaire maitrisé. Toujours du rock dans ses oreilles lors de l’ineffable action adorée. ▲ Horreur sordide que les hôpitaux ces cloisons vêtues de blancs et ces barreaux vêtus de rouille, ces gardiens affamés de cruauté et ces patients navrés de bleus. Elle y rejoint pourtant la mamma écrouée depuis quelques années, vingt ans depuis la crise étanchée. ▲ Un thé matinal devant une fenêtre grinçante, le café d’à côté pourtant, a sa préférence. Ce sont les figures pâles des endormis qu’elle scrute discrètement chat mesquin avalant sa première fumée d’une toxine stridente. ▲ Des rubans qu’elle collectionne depuis sa tendre enfance d’une histoire narrée sortie de la gorge ailée de sa mère décoiffée ; elle ne songe plus aux souvenirs brûlés, elle enferme des lettres cachetées dans des boites dégosillées. ▲ Elle boit sûrement sans modération lorsqu’elle se faufile dans les boites assourdies de gémissement, le bruit l’aide à décliner certains démons moqueurs qui assombrissent l’esprit de la lionne fatiguée. Etrangement, les tympans explosés elle trouve refuge dans les bruissements exécrables et s’assoupi sur une table renversée la démoniaque chimère. ▲ Des sudoku pour sa matière grise rugissante, elle nourrit le gouffre abondant d’informations et de détails, s’amusant des chiffres toujours avec un marqueur fuchsia.
PSEUDO : Vagabonde. PRÉNOM : Plof. ÂGE : 21 ans. PERSONNAGE : inventé.  AVATAR : Jessika Sikosek CRÉDITS : Sugar Slaughter COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Dans mes favoris, bazzart etc. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Pas du tout.



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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 11:47 par Invité
At the beginning

La muse argentine coiffée d’une tresse d’amazone sur son dos reposant des mèches folles de guerrière dynamique anesthésiée pas les paroles lourdes, arides d’un professeur haï s’en va au combat ; des cigarettes dans la poche de son jean effilé, un briquet de fer rouillé par les pluies intempestives succombant aux zéphyrs vengeurs (il semblerait que ce vent suive la dryade épouvantée par le crachin narquois, les cymbales d’Andalousie flotte des regains de poème appris sur les genoux cagneux de sa grand-mère, des yeux luisant d’apprentissage tandis qu’elle énonçait fièrement les failles de ces cultures rugissantes), des lunettes opaques sur son nez aquilin, le sourire drapé sur les crocs de la Eve tentatrice. Un entretient avec un fou ou un vampire serait-ce la même chose ? Elle ne sait que trop les dérives funèbres de la psychologie humaine, les vices suintant des pores de porcs ; elle ne sait que trop les jugements, les préjugés, les moqueries dont fusent les murs bohèmes, plâtrés, usé de l’infrastructure de son établissement. Toujours elle garde le rictus édenté, la provocation au bout de la fumée de sa clope au bec, toujours elle garde ses agates intelligentes scrutant le manant et le charlatan, les professeurs diaphanes dans leurs tenus de roi, des remarques torpilles dont elle a le secret religieux ; la féminité s’engouffre dans l’antre putrescente du bâtiment de métallique, un goût de fer, désagréable, sur ses lippes. « Vous devez être bien traité ici non ? ». Première question celle de la menace amusée, les piques de bois qu’elle tire à l’effroyable, téméraire princesse, combattante je m’en foutiste. L’homme est charismatique il faut l’avouer, ses prunelles se parent d’une envie cachée, non pas qu’elle ait honte de sa vie sexuelle abusée, c’est épanouie, utilisant ses charmes cartésiens sur les miséreuses charognes qu’elle observe. « Vous avez dû faire pas mal de bêtises pour être enfermé ici. Il y a plus ragoûtant comme lieu de repos. Une retraite anticipée ? Vous me semblez en fin de vie. » Elle aime les opalescents territoires, les mots hargnes qui éclatent dans la pièce étouffée d’une barrière de ferraille, la tige de charbon qu’elle donne plaintive d’une grimace enjouée ; elle ne cherche pas la confrontation, les secrets éperdus de convoitise. Lui c’est quand même le monstre qui a tué des centaines de milliers, des fidèles étêté et des connards charriés ; lui c’est le semblant de monarque, sanglant aussi dans l’ombre d’une cage atrophié, lui c’est l’ambition, la fascination. « Alors… c’est pour quand votre fuite ? » Sérieusement c’est dit, sérieusement c’est exclamé comme un défi de le voir un jour à l’hospice du soleil geignant, c’est de l’imaginer sûr empereur dans les rues d’un Londres simagrée paradant dans la foule détestée. Le contact tiède à sa paume elle lance un regard médusé. « Huit ans ? Bientôt dix puis trente… vous avez oublié le corps d’une femme ou… d’un homme ?  Ca va vous faire bizarre quand vous vous retrouverez libérer de vos chaînes. ». Un haussement d’épaule affectueusement contrôlée alors qu’elle tourne le dos au monstre conséquent, entend cette dernière accroche tendancieuse, un brin sexuel dans le grave de sa voix marmoréenne.

La fin des études, c'est la jacasserie épuisante qui, glorieuse, a stoppé les études de la naufragée. Des corps qui se balancent à longueur de journées, des rires, des avachis s'en était trop pour Bellonna déjà remontée par quelques sordides affronts. Mais surtout c'était de son directeur, l'autre bigarré dans son cocon de bureau. Direction Londres là bas la liberté. Là bas la fuite aux brumes égarées, loin de la mère ayant tué le père dans une crise de paranoïa mortelle. Elle avait treize ans quand cela s'est passé, treize année et le couteau affûté dans sa paume gracile tandis qu'elle fuyait vers les policiers. Puis les sirènes coulant de rouge et de bleu, les menottes passées vers les poignets de l'apeurée. Deux faces au visage de la malade. Et la peur encore de devenir comme elle.
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:10 par Invité
Bellona a écrit:
« Huit ans ? Bientôt dix puis trente… vous avez oublié le corps d’une femme ou… d’un homme ? Ca va vous faire bizarre quand vous vous retrouverez libérer de vos chaînes. »

GAMINE FOURBE Dans la ménagerie infâme de nos vices 274562590
Et sinon, on parle du cercueil de verre, ça te tente ? Dans la ménagerie infâme de nos vices 2637431331
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:13 par Invité
Bienvenuuuue Dans la ménagerie infâme de nos vices 1922099377 Qu'elle est belle Dans la ménagerie infâme de nos vices 208687334
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Alycia Hemsworth
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:14 par Alycia Hemsworth
Merci de mettre le nom de ta célébrité en sous-titres s'il te plaît Dans la ménagerie infâme de nos vices 208687334.
Bienvenue Dans la ménagerie infâme de nos vices 1922099377, bon courage pour ta fiche I love you.

En attendant d'être validée tu peux venir papoter sur la cb cb ou faire un tour sur le flood pour faire plus ample connaissance avec nous Dans la ménagerie infâme de nos vices 2336905461.
Et si tu as besoin, n'hésite surtout pas Dans la ménagerie infâme de nos vices 1973890357.
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:16 par Invité
Bienvenue à toi Dans la ménagerie infâme de nos vices 208687334
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:27 par Invité
Qu'elle est belle. Dans la ménagerie infâme de nos vices 1922099377
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. Dans la ménagerie infâme de nos vices 208687334
Si tu as la moindre question n'hésite pas. Dans la ménagerie infâme de nos vices 1973890357
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:34 par Invité
bienvenue parmi nous Dans la ménagerie infâme de nos vices 1922099377 Dans la ménagerie infâme de nos vices 1973890357
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 12:41 par Invité
bienvenue miss, bon courage pour ta fiche
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() message posté Ven 24 Avr 2015 - 13:18 par Invité
Bienvenue ! Dans la ménagerie infâme de nos vices 3309736386
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