(✰) message posté Jeu 16 Juil 2015 - 17:46 par Invité
Jonas Douglas
FT. JULIAN MORRIS
+ Jonas a 31 ans. Originaire d'Angleterre, il y a grandit et vécut toute sa vie en y connaissant ces plus beaux et mauvais jours. Londres est sa maison, sa patrie et pour rien au monde Jonas renierait celle-ci. + Il est issu d'une famille nombreuse. Ses parents ont divorcés lorsqu'il était adolescent et cela a déclenché une peur de l'engagement chez lui. D'ailleurs, il ne veut pas divorcer et se retrouver dans la catégorie des divorcés. Lorsqu'il a fait sa demande à Aida, il était convaincu qu'elle était la bonne. + Son métier est au choix, mais je veux un truc qui n'est pas vraiment très stable. Aida est celle qui provient aux besoins des deux depuis pratiquement toujours et c'est un sujet tabou entre eux. Comme celui des enfants. + Jonas vit sa vie au jour le jour. Il déteste prévoir des trucs à l'avance et ce n'est pas du tout son point fort. Ne lui demandez pas de réserver une journée, il ne le fera pas. Il oubliera. + Il y a deux ans, sa femme a été dans un terrible accident de F1 qui a abouti à un coma de 7 mois pour Aida. Jonas a été terrifié à l'idée de perdre définitivement sa femme parce qu'il l'aimait, mais au bout de quelques temps il a recommencé à vivre sa vie. D'ailleurs, Jonas a été surpris de savoir que Aida s'était réveillée. + Pendant les 7 mois, je le vois bien être allé chercher du réconfort chez une autre personne (homme ou femme -->), cessant de voir cette personne lorsqu'elle s'est réveillé. Jonas cache cette information à Aida malgré les nombreux mois où leur relation était très tendu.
✽✽ Mise à part cela, l'histoire est assez libre d'être conçue par votre imagination. Il en est de même pour le caractère de Jonas. Si jamais vous vous inquiétez que le caractère ne me plaise pas, sachez que je n'hésiterai pas à vous le faire savoir.
wildworld/av.
AIDA B. DOUGLAS
femme, moon of my life, my sun and stars + Aida est sa femme, celle qu'il a épousé lorsqu'il avait 25 ans et elle 21. Ils se sont mariés très jeune, mais ils étaient convaincus d'être avec leurs âmes sœurs. Leur relation remonte en 2013 lorsque la famille De Palmas a décidés de s'installer définitivement à Londres après avoir parcouru un peu le monde et que les cours ont débutés. Avant la rentrée scolaire, ils n'ont jamais été en contact. Aida a renversé son yogourt sur la nouvelle veste en cuir de Jonas, elle s'est excusée et elle a continuée son chemin suivant la foule. Jonas l'a suivi du regard, elle s'est retournée et un sourire timide. Il n'était pas en colère malgré la destruction de son nouveau joujou. Puis, plus rien. En même temps, ils n'étaient pas aux mêmes niveaux scolaires et ils ne fréquentaient pas le même établissement scolaire. Jusqu'à ce que l'école organise une fête ridicule : une danse. À laquelle Jonas assistait en tant que chaperon pour son frère du même âge qu'Aida. Elle était là, dans une robe hideuse, mais belle à l'époque. Le seul problème est que lorsque Jonas a pris le courage de s'approcher, Aida était accompagnée alors il est resté là planté, surpris pour finalement tourner les talons et disparaître. Avec le temps, ils sont devenus des souvenirs. Jonas a rencontré une fille, Aida un garçon. Seulement, elle n'était pas Aida et il n'était pas Jonas. Puis, Jonas est parti de Londres. Jusqu'en 2006 dans un bar près de l'université de Londres. Ils ne se sont pas reconnus, les deux ayant vieillis. Il a 22 ans et elle 18, enfin légal à boire de l'alcool dans les bars. Ils ont passés la soirée à boire ensemble, discuter, jouer au billard, aux fléchettes pour finalement terminer la soirée chez Jonas. Le lendemain, Aida a disparue en ne laissant rien chez lui. Elle était presqu'une illusion. Jusqu'à ce qu'une sonnerie retentisse chez lui, la sonnerie de son téléphone portable. Deux heures plus tard, ils se revoient et à la lumière du jour, Jonas reconnaît Aida. Il lui dit qu'ils se connaissent et lui remémore le souvenir du premier jour d'école de la jeune femme à Londres. Une connexion se passe dans le cerveau d'Aida. Les deux entament une conversation, commencent à sortir ensemble entre amis jusqu'à ce qu'ils décident de former un couple. Ils étaient des meilleurs amis, des amants et certains qu'ils avaient leurs âmes sœurs devant eux. Jonas a proposé Aida en mariage le 11 juin 2009 après près de trois ans de relation et un an de vie commune. Au mois d'août, ils partaient en voyage de noces. Ils étaient heureux, vraiment. Pendant 4 ans, ils ont été heureux consacrant leurs vies aux courses d'Aida et aux arts de Jonas sans que le métier de celui-ci pose problème. En 2013 le 23 mai, Aida a été dans un accident sur le circuit du Grand Prix de Monaco. Puis, s'ensuit un coma de sept mois avant qu'elle se réveille au mois le 19 décembre 2013. À son réveil, elle se rappelait de Jonas, mais elle semblait simplement voir les côtés qu'elle n'aurait jamais vu auparavant. La réhabilitation d'Aida a été difficile pour eux et surtout leur couple. Ils sont toujours mariés aujourd'hui parce qu'après la tentative de suicide de la jeune femme, Jonas lui a fait comprendre qu'il n'allait nulle part.
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(✰) message posté Jeu 16 Juil 2015 - 17:47 par Invité
les quelques précisions
LONDON CALLING TO THE FARAWAY TOWNS
Salutations à toi, jeune padawan. Si tu lis ce qui va suivre, c'est que tu as réussi à passer le premier post et je t'en félicite. Maintenant, avant que tu te précipites sur le bouton « s'enregistrer » afin de prendre mon scénario, tu dois prendre connaissance de quelques petites précisions.
L'AVATAR est à 95% négociable comme j'imagine très bien -le parfait- Julian Morris dans le rôle du mari d'Aida. Et il convient bien à l'image que je me fais de celui-ci, mais comme il sera votre personnage s'il ne vous plaît pas, je suis ouverte aux propositions. Si vous n'avez pas la moindre idée, je peux vous proposer Shiloh Fernandez qui convient également au rôle.
LE PSEUDO n'est absolument pas négociable et ce n'est pas parce que j'essaie d'être chiante, au contraire. Il ne l'est pas en raison que j'aime beaucoup le prénom Jonas et que celui-ci revient fréquemment dans la fiche de présentation d'Aida. Son nom de famille n'est pas négociable parce que si vous le modifiez, je devrais modifier le mien etc.
L'HISTOIRE & LE LIEN Je laisse beaucoup de liberté par rapport à l'histoire du personnage et tout ce que je demande de vous est de respecter les points mentionnés dans le premier post. En dehors, Jonas est votre personnage et il vous appartient à 90% alors il faut le modeler à votre vision. Si vous vous inquiétez que cela ne me plaise pas, contactez-moi et je vous dirais ce que j'en pense. Concernant le lien, il n'est pas négociable et vous devez savoir que ce n'est pas tout rose entre le couple Jonas/Aida. Il y a des hauts et souvent des bas. Je n'ai rien de planifié, je préfère voir avec le/la joueur/joueuse.
Jonas apparaît ici:
i can't drown my demons they know how to swim. MONACO, ✱ YEARS 2013-2014.
Elle est prête, c’est son moment de gloire. Elle peut le sentir aux bouts de ses doigts, dans toutes les fibres de son corps. Cette course lui appartient. Elle le sait. Les gens autour d’elle le savent. Pour la dernière fois, elle regarde son reflet dans le miroir en soupirant bruyamment. Il est temps d’y aller. Il faut qu’elle y aille. Inspiration. Expiration. Les bruits autour d’elle commencent à faiblir à mesure qu’elle se dirige vers la sortie. Les voix de son entourage sonnent comme un bourdonnement agaçant, mais elle n’y prêtre pas attention. Puis, Aida est ramenée à la réalité. « Merde, ma chérie. » Elle croise le regard de sa mère, lui offre un sourire et s’accroche un moment à la main de sa mère. Retour en enfance comme lorsqu’elle était effrayée. Elle est effrayée. Pas confidente comme les autres automobilistes. La peur est le premier sentiment qu’Aida ressent en ce moment. « J’ai peur, maman. » Murmure-t-elle en se tournant vers elle, léger sourire honteux sur les lèvres. « Il n’y pas de honte à avoir, Aida. C’est normal. Tu vas réussir parce que c’est ce que tu aimes. » Elle hoche la tête, les doigts de sa mère caressant ses joues. « Je t’aime, Aida. Tu peux le faire. » Ses lèvres s’étirent en un sourire et elle embrasse sa mère sur les joues, la remerciant dans un murmure. Puis, elle continue d’avancer. Jusqu’à ce que son regard croise celui de Jonas. Son sourire s’agrandit. « Je t’aime. On se revoit à la fin, championne. » Un rire. Un rire nerveux, mais un rire qui permet de détendre le rythme cardiaque d’Aida. Elle embrasse Jonas. « Je t’aime. » Souffle-t-elle en lui caressant les cheveux. Il est temps. Elle colle à nouveau ses lèvres sur celles de son mari puis se dirige vers la voiture de F1. Les cris retentissent autour d’elle tandis qu’elle s’approche de ce bolide qu’elle adore tellement. Comme une sorte de rituel, son équipe et elle se rapprochent pour se mettre en cercle et ils disent une prière. Une habitude. Une sorte de rituel auquel Aida croît dur comme fer. « Tu vas réussir. » Elle lui offre un sourire en mettant son casque sur sa tête. Maintenant, tout son visage est dissimulé à l’exception de ses yeux. Ses yeux qui brillent de centaine d’étoiles. « On va réussir. » Elle lève son poing dans les airs et attend que celui de Matthew fasse de même. Il est temps. Aida embarque dans l’habitacle et attache la ceinture de sécurité. « Allons-y les garçons, cette course nous appartient. » Elle offre un dernier sourire à son équipe avant de mettre en marche le moteur. Elle peut le faire, elle le sait. Elle va réussir. La course lui appartient. Rapidement, elle regarde autour d’elle puis se concentre. Elle le doit. Il le faut. Le départ est annoncé. La sensation qu’elle ressent est exaltante. Elle adore. Puis, c’est la noirceur. Le vide. La peur s’affiche dans ses yeux tandis qu’elle perd le contrôle de la voiture et qui fait des tonneaux. Plusieurs. Trop. Elle sent son cœur battre à 100 km/h. Il bat trop rapidement. Elle a mal à la tête. Tout ce qu’elle ressent est une douleur et la peur. La dernière question qu'elle se pose est la suivante : Est-ce qu'elle a été trop prétentieuse de dire que la course lui appartenait ? Puis, le noir s'affiche. Éphémère.
Jour 151. Année 2014.
Tu es toujours dans le coma. Marrant ? Après 151 jours que tu sois encore dans le coma. Cela fera bientôt sept mois. Après 151 jours, je ne sais plus quoi écrire dans les lettres. Je tourne en rond depuis ce temps et je ne sais plus quoi écrire dans ces lettres. D’ailleurs, tu savais que c’était le docteur qui m’a conseillé d’écrire cela ? Tu sais aussi ce qu’il m’a conseillé ? De tourner la page. Ce qu’il ne sait pas, c’est que la page est à moitié tournée. Le seul problème est qu’à chaque fois que je pense à toi, elle revient au même. J’ai essayé de passer à autre chose, Aida, je t’assure. Après tout ce temps, quelles sont les chances que tu reviennes de ce coma ? Ton docteur dit quelles sont minimes. Très minimes. Heureusement, ton cerveau est toujours en activité. C’est ce qui me permet de garder espoir. Espoir que tu reviennes. Différente, mais vivante. Respirant le même air que moi. Que tout le monde. Pas qu’une machine respire à ta place. Absurde. Mais malgré cet espoir, j’essaie de continuer mon chemin. De vivre une vie normale. Sans ma femme. J’ai presque réussi, mais comme je t’ai dis plus haut, je garde espoir qu’un jour tu reviennes. Que tu me reviennes. Parce que malgré tout ce temps, je t’aime. Je le sais. Mais quelque part, une petite voix me dit que je dois me bouger. Changer d’air. Dans cette lettre, je vais y aller pour des confessions Aida… J’ai rencontré une autre femme. Elle travaille dans une galerie d’arts. Tu l’aimerais, j’en suis sûr. Je l’aime bien. Elle n’est pas comme les autres, elle ne me perçoit pas comme un raté. J’apprécie les moments que nous passons ensemble. Je l’apprécie. Elle est magnifique. Presqu’à ton niveau. Je vais être honnête avec toi, elle me plaît beaucoup. Le temps me semble différent depuis que je l’ai rencontré. Elle est une bouffée d’air frais et j’adore cela. Je suis heureux. Mais je me sens mal d’être heureux de vivre ma vie alors que ma femme est dans le coma. Après tout, je t’ai promis jusqu’à ce que la mort nous sépare. Tu es toujours vivante excepté que tu dors depuis pratiquement sept mois. Cela fait toujours de moi ton mari. Alors, si un jour tu lis cette lettre, je te demande de me pardonner et d’être heureux pour moi. Je sais que je peux l’être avec cette femme. Je t’aimerais pour toujours, tu le sais et tout le monde le sait, mais pardonne-moi d’être celui qui quitte sa femme dans le coma pour être heureux. Tu resteras toujours à mes yeux la femme de ma vie. J’ai toujours espoir que tu te réveilles, mais cet espoir diminue à tous les jours. Ton mari, Jonas.
« Je vais bien. » Dos à Jonas, elle contemple la vue que lui offre sa chambre à l’hôpital, assise dans un fauteuil roulant. Malgré qu’il soit dos à elle, Jonas peut ressentir toutes les vibrations de colère dans la voix d’Aida. « Si tu le dis. » Murmure-t-il en déposant son manteau sur le dossier de la chaise la plus proche de lui. Du regard, Aida suit les mouvements de son mari à travers la fenêtre devant elle. Fenêtre beaucoup trop propre pour elle. « Tout roule comme sur des roulettes. » C'est le cas de le dire. Elle est sur des roulettes. Assise sur un fauteuil qui lui donne l'impression d'être une prisonnière. Elle se sent emprisonnée à être assise sur ce fauteuil, dans cette chambre sans avoir la possibilité d'aller plus loin qu'au bout du couloir lorsqu'elle s'aventure plus loin que sa chambre. Une situation fâcheuse. Jonas laisse échapper un long soupir. Trop long. « Qu'est-ce que tu as fait aujourd'hui ? » Aida a un rire sarcastique. « Est-ce que tu es sérieux ? » Sa voix est froide et elle est comme une douche froide pour Jonas. Aida pivote la tête le plus loin possible afin d'avoir une vue sur son mari. D'ailleurs, est-ce qu'elle peut réellement l'appeler son mari ? Pas assez de souvenirs pour qu'elle le considère comme l'homme qu'elle a épousée. Puis, elle essaie de comprendre ce qui l'a poussé à épouser cet homme. Elle ne comprend pas. « C'est une simple question pour débuter une conversation entre un mari et sa femme. » À nouveau, un rire sarcastique. « Vraiment ? Tu te considères comme un mari, en ce moment ? C'est une blague. Tu t'accroches à quelque chose, Jonas, à laquelle tu ne devrais plus. » À nouveau, tout ce qu'elle entend dans la pièce est le long soupir que Jonas laisse échapper. « Vraiment ? Encore ça ? Tu n'en as pas marre après deux mois ? » Elle secoue la tête. Non. Elle est incapable de passer outre le fait que c'est son mari. Certes, elle se rappelle d'être tombé amoureuse de lui, mais depuis l'accident, depuis son réveil elle a l'impression de ne voir que les côtés qu'elle n'aurait jamais aperçu auparavant. À son tour, elle soupire en fermant les yeux. Elle en a marre. Elle n'a pas l'énergie suffisante pour démarrer une dispute. De toute manière, elle n'en a pas envie. Elle veut juste qu'on l'a laisse tranquille. « Est-ce que tu peux t'en aller ? Je n'ai pas envie de t'avoir ici avec moi. Je ne peux pas alors pars, s'il-te-plaît. » Sa voix est moins froide, mais suppliante. Elle le supplie de partir, de quitter sa chambre pour qu'elle puisse avoir la paix. « Aida... » En deux enjambés, il est derrière elle et dépose une main sur son épaule. Aida sursaute au contact et essaie de s'en dégager. Elle ne veut pas. « Ne fais pas ça. Va-t'en, Jonas. » Les deux soupirent. Aida ne veut pas de Jonas dans sa chambre, elle n'a pas la force nécessaire pour l'affronter. Elle ne veut pas voir son regard désolé déposer sur elle. Elle ne peut pas. C'est trop difficile. La main de Jonas glisse le long de son épaule pour finalement retourner dans le vide, le long du corps de Jonas. Puis, il tourne les talons, prend son manteau et se dirige vers la porte. « Je... À demain. » Un simple mmh se fait entendre après la voix de Jonas. Ils patientent tous les deux dans l'espoir qu'un des trucs prennent la parole, mais rien ne se passe alors il quitte la chambre. Il part. Aida entend la porte se refermer et elle laisse échapper un soupir de soulagement. « Je vais bien. » Murmure-t-elle en écrasant la feuille de papier dans ses mains tandis que son autre main essuie les larmes aux coins de ses yeux. Elle va bien. Tout va bien. Elle se ment à elle-même, mais elle s'en fout. À ses yeux, c'est mieux que d'affronter la réalité.
L'ACTIVITÉ ET LA PRÉSENCE La partie épineuse (), mais ne vous inquiétez pas, je ne semble pas si chiante que cela. Comme vous vous en doutiez, j'aimerais une personne active qui prend le scénario pour le jouer et non pas pour le bloquer inutilement sans faire avancer le lien. J'ai conscience que nous ayons tous une vie à l'extérieur du monde RPG, mais le mieux serait au moins une réponse par semaines. Je n'aime pas attendre 1 à 2 mois pour une réponse, c'est inutile et cela ne fait avancer absolument rien. Bien sûr, je ne suis pas la personne la plus active du forum, mais j'essaie de répondre le plus vite possible. Les seuls fois où cela n'est pas le cas, c'est lorsque je suis en période d'examens ce qui arrivera deux fois pour les deux prochaines années. Vous devez savoir que je ne suis pas le genre de personne à faire 1000 mots dans un rp n'en étant pas capable et n'aimant pas cela étant donné que dans ma vision cela s'éternise et pour être honnête je perds espoir à la dixième ligne.
Eh voilà, tu as réussi à traverser toutes mes exigences et je t'en félicite. Pour la peine, je te donne 15% de mon amour éternel et mon respect. Si tu veux le 85% restant, il te faudra prendre ce scénario afin que je puisse t'aimer pour la vie. LET ME LOVE YOU.