Edgar Hamilton - En littérature, le plus sûr moyen d'avoir raison, c'est d'être mort.

Calme. Edgar ne se sent que très rarement agressé par l'environnement et les gens qui l'entourent, aucune raison d'être stressé ou paniqué donc. Il prend les choses comme elle viennent et s'en sort toujours globalement bien quand ces choses lui veulent du mal. Une personne jalouse, énervée, vexée, peu importe, il fait preuve de sérénité et d'un détachement le plus total. Lunatique. Les relations sociales et lui, ce n'est pas une grande histoire d'amour. Tout en restant à distance, Edgar peut apprécier une personne dans un premier temps pour lui trouver tous les défauts du monde dans un second temps. Oui, son côté lunatique ne se révèle que quand il se permet de juger autrui, jamais dans d'autres circonstances. Profiteur. Ou opportuniste, c'est au choix. Certains détestent ces gens là, Edgar en fait partie. Dès qu'une situation, ou une personne, peut lui être bénéfique, le brun plonge la tête la première et les yeux fermés: son intérêt avant tout. Solitaire. Mieux vaut être seul qu'accompagné. Mauvaise ou bonne, le jeune homme préfère la solitude. Les collègues, les amis, les petites amies, les "relations éphémères" comme il les appelle; tout ça ne lui a jamais réussi. Mais il essaye de faire des efforts! Des fois... Fier. Jamais vous ne verrez Edgar cracher sur ses principes, ses valeurs, sa façon d'être. Son identité, il y tient et l'affirme dès qu'il en a l'occasion. S'il dérange, il va voir ailleurs, s'il plait, tant mieux, mais ne cherche pas la reconnaissance pour autant. Il veut juste qu'on le laisse tranquille, sans essayer de le modeler, le brimer. Littéraire. Le brun est un amoureux des lettres, des mots qu'elles forment, des phrases qu'ils créent et des œuvres qui en découlent. Vous cherchez Edgar? Faites un tour dans les bibliothèques et librairies, pas dans les bars ou devant un match de foot. Silencieux. Il arrive qu'Edgar ait des rendez-vous, rien de sentimental, juste des entrevues, des cafés, déjeuners, ce genre de chose. Quand ça arrive, Edgar fait rarement la conversation. En soirée, quand il est convié et qu'il décide d'y prendre part, le londonien est plus observateur qu'orateur, ou moulin à paroles. Le silence est plus reposant, intellectuellement parlant, que le débit de conneries de certain(e)s. Vierge. Et oui! Qu'elles soient éphémères ou plus longues, ses relations ont toujours été platoniques. Souvent cause de vexation, voire de ruptures, cette distance charnelle est un choix plus qu'une contrainte. Edgar n'a jamais compris ce qu'il pourrait retirer d'un tel acte. Ca ne reste que purement technique pour lui. Certaines n'ont pas apprécié cette affront, d'autres ont trouvé ça inimaginable venant d'un homme. Pudeur. Sujet découlant du précédent. La pudeur ne fait pas partie des attributs d'Edgar. Il accepte son corps qu'il soit habillé comme nu. Les moeurs font qu'il est plus souvent habillé, mais dans la sphère privée, il ne va pas spécialement chercher à se cacher derrière ce genre d'artifices. Drogues. L'inspiration ne frappe pas tout le temps à la porte d'Edgar et ce dernier est des fois obligé d'aller la chercher. L'alcool n'ayant comme effet qu'une sale gueule de bois, l'écrivain s'est tournée vers les plantes médicinales depuis quelques temps. Efficacité prouvée avec son dernier livre qui s'est vendu comme des cigarettes de contrebande.