"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 2979874845 On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1973890357
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On cherche l'amour dans le fond des bouteilles.

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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:27 par Invité

Paxim Aden Mills-Hamilton

London calling to the faraway towns
NOMS : Mills-Hamilton, histoire de bien rappeler à tout le monde que j’ai eu deux parents aussi idiot l’un que l’autre et qu’aucun n’a été foutu de remplir son rôle correctement. PRÉNOMS : Paxim et Aden, on pourrait presque dire que c’est original et ça me plaît de pas avoir le même prénom que la moitié des mecs de Londres ; quand on dit Paxim, on sait que c’est de moi dont on parle. GE : vingt-deux ans, majeur sur tout le globe ; bonjour le sexe et l’alcool. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un 15 mai à cambridge. NATIONALITÉ : anglais. STATUT CIVIL : écrire ici. MÉTIER  : il travaille dans un petit garage en banlieu de londres, il répère des fuites et des carreaux sous le regard des dealers et de son patron qui se drogue. la belle ambiance. TRAITS DE CARACTÈRE : violent + vulgaire + capricieux + jaloux + possessif + franc + lache + sensible + colérique + extraverti + enfantin + joueur + immature GROUPE : On my bicycle.



My style, my life, my name

il n’est pas mieux que ses parents, et il trouve ça drôlement ironique ; ses parents étaient deux ados de même pas dix sept ans qui n’ont jamais réussi à assumer leur rôle de parents, même pas bon à passer sur mtv. alors si la misère et la connerie sont héréditaires, paxim n’y a pas échappé. + il a eu une soeur jumelle qu’il considère comme une partie de lui ; s’il se contente très bien de la vie qu’il mène c’est parce qu’il n’a jamais été seul et qu’il sait qu’il ne le sera jamais. il est né avec quelqu’un d’autre ; jezabel, qu’il considère comme une extension de son âme et de son corps. il a toujours eu des gestes un peu déplacés envers elle, y compris en public. qu’on qualifie leur relation d'incestueuse le fait vraiment rire et l’oblige à en rajouter. en réalité, c’est juste qu’elle est tout ce qu’il a, la seule personne avec qui il se sent en harmonie et réellement lui-même et il ne compte pas se retenir de le montrer sous prétexte que ça choque la morale des autres. + il a eu deux familles, celle qui l’a mise et une vraie famille ; à quinze ans il a été envoyé en famille d’accueil avec sa soeur jumelle. les Spiegelman, (ou un truc du genre, c’est un peu compliqué comme nom à retenir quand on est dyslexique). il n’aime pas vraiment y penser, il les considérait vraiment comme les parents qu’il aurait aimé avoir jusqu’au jour de ses dix huit ans où Jezabel et lui se sont enfuit de la maison. + il a eu un frère aussi, asher ; il a été fourni dans le pack nouvelle-famille-trop-parfaite-trop-géniale édition limité Spiegelman. une sorte de frère/ami/colloc, il n’a jamais vraiment réussi à définir ce qu’ils ont été. un trio, ça c’est sur, et ça l’a toujours amusé parce qu’en plus de devoir essuyer les soupçons d’inceste avec sa soeur, il devait accepter celles qui incluaient ce nouveau frère. il ne pense pas que ça ait joué sur la suite des évènement, mais quand il y pense, ça le fait bien marrer. ils ont fini par coucher ensemble, probablement l’une des plus grosses erreurs de sa vie, mais il en garde un très bon souvenir et son côté égoïste l’empêche de regretter ce qui c’est passé. + il ne cherche pas à mettre de mot sur sa sexualité, il aime autant les hommes que les femmes ; un jour complètement saoul et stone, il a dit préférer coucher avec les hommes parce que la seule femme qui pourrait le satisfaire sexuellement serait sa soeur. personne n’a jamais su s’il avait dit ça pour rire ou s’il était vraiment sérieux. + il est illettré, et l’assume difficilement ; il a toujours eu des grosses difficultés à l’école, ses professeurs accusaient le climat très malsain de sa famille, puis lorsqu’il a été placé en famille d’accueil, à quinze ans, on l’a diagnostiqué comme étant dyslexique. trop tard. il n’a aucun diplôme et met plus d’une heure à déchiffrer trois lignes. c’est quelque chose qui le complexe énormément et dont il ne parle jamais. + il travaille dans un garage dans la banlieue de londres ; depuis quelques temps il gagne sa vie en réparant des voitures et ce n’est pas quelques choses qui lui déplaît ; il est bien plus doué des mains que du cerveau, puis y a toujours une jolie fille impressionné par ses talents de mécanicien et qui seraient prêtes à tout pour ne pas payer un plein tarif. le seul soucis peut-être, c’est que le garage est aussi le lieu de rendez-vous des trafiquants du coin, et il n’est pas rare que paxim leur rend quelques petits services. + c’est un touche à tout, autant au niveau corporels que chimique ; il sait que physiquement, avec ses tatouages, ses clopes dans une main et sa bière dans l’autre, ce n’est pas quelqu’un qui inspire la confiance mais il s’en moque, il ne va pas enjoliver son image pour faire plaisir à d’autres. alors il se donne à coeur joie dans l’alcool, les clopes, l’herbe, et parfois la drogue. un cocktail qui l'amène souvent à faire toutes sortes de conneries, y compris se marquer la peau au fer rouge. + ce n’est pas une belle personne et il le sait ; il est toxique pour qui compte pour lui. jaloux, possessif, étouffant, capricieux .. il est du genre à penser que ce qu’il a lui appartient totalement. il n’est pas très expressif sur ce point-là, c’est quelque chose de très intérieur, qu’il garde pour lui, mais vous pouvez être certain qu’il connaît les moindres faits et gestes des personnes qu’il aime. + il renvoie une mauvaise image et il s’en amuse ; on le qualifie souvent de voyou, branleur, connard, fils de pute et autres insultes vulgaire concernant son amour envahissant pour sa soeur. à vrai dire, ça l’amuse, il en joue et en rajoute. quand on laisse sous-entendre qu’il couche avec sa soeur ? il affirme que y a que comme ça qu’il est certain d’être de se faire sucer avec qualité et attention. quand on dit que sa mère n’était qu’une pute ? il rit et dit que c’est sûrement pour ça qu’il préfère les filles des rues aux escortes de luxes.
PSEUDO : spf. PRÉNOM : camille. GE : dix huit ans. PERSONNAGE : scénario de jezabel I love you  AVATAR : ash stymest. CRÉDITS : pigfarts is real. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : par le biais d’un top site. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: nop.



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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:27 par Invité
At the beginning



“Nous avions inventé la lumière pour nier l'obscurité. Nous avons mis les étoiles dans le ciel, nous avons planté les réverbères tous les deux mètres dans les rues. Et des lampes dans nos maisons. Éteignez les étoiles et contemplez le ciel. Que voyez-vous? Rien. Vous êtes en face de l'infini que votre esprit limité ne peut pas concevoir et vous ne voyez plus rien. Et cela vous angoisse. C'est angoissant d'être en face de l'infini. Rassurez vous; vos yeux s'arrêteront toujours sur les étoiles qui obscures leur vision et n'iront pas plus loin. Aussi ignorez le vide qu'elles dissimulent. Éteignez la lumière et ouvrez grand les yeux. Vous ne voyez rien. Que l'obscurité que vous la percevez plutôt que vous ne la voyez. L'obscurité n'est pas hors de vous, l'obscurité est en vous.”  - Pille.

Il y a son corps entre mes mains, il y a ses lèvres contre ma peau et il y a nos souffles saccadaient au rythme de nos mouvements. Il y a ses dents dans ma peau et mes doigts dans ses cheveux. Il y a la chaleur de nos deux corps dans les draps sales de sa chambre. Il fait noir dehors, la lune n'éclaire rien du tout, on est bien trop pauvre pour qu'elle s'intéresse à nous. On a juste le droit à la lumière orange d'un lampadaire fatigué. Il clignote, ou c'est moi, qui, le corps surpris par le plaisir, oublie de connecter ma vue à la réalité et non à mes émotions. À vrai dire je m'en contre fous, tout ce qui m'importe à l'instant c'est la sensation de son corps avec le mien et ce plaisir qui prend possession de tout mon être et m'oblige à m'abandonner complètement ; relâcher tout contrôle et exploser.
Putain que c'est bon !
À cet instant mes pensées vont à tous ces conservateurs, aux timides et à la morale qui se refusent à goûter aux plaisirs de la chaire sous des prétextes abstraits.
On se fout de la morale quand on jouit.  

« C'est qui, Ash ?
- Euh, quoi ?
- Ash. Tu m'appelais Ash.
- T'as pris quoi toi ? Je connais pas de Ash !
- Tu l'as fait. Quatre fois. »

J'ai lâche un rire. Le genre nerveux, le genre tu m'emmerdes, le genre t'es plus doué pour me sucer que pour tenir la conversation. Et ça le vexe : il remet son caleçon et son visage se ferme. J'ai presque envie de lui dire que j'étais persuadé qu'il s'appelait Ash, mais je sais que c'est pas le cas, je me souviens pas de son prénom, mais ce n'est pas Ash. Il me fait de la peine mais je m'en fous : je me rhabille, lui, il s'enroule dans les couvertures encore chaudes de nos ébats.
Pauvre con.
Je resterai pas ce soir. J'aurais pu, mais je n'en ai pas envie ; si je couche qu'avec des inconnus c'est bien évidement pour éviter les disputes de couple.

Je sors de son immeuble, une grande tour où l'on ne voit que la misère et la cruauté de Londres. Loin des beaux quartiers, la capitale fait pitiée. J'allume un petit cylindre remplie d'herbe illégale que je porte à ma bouche et que j'inspire en fermant les yeux. Je ne veux pas faire parti de ce monde, je ne veux pas être eux, je ne veux pas être comme tous ces minables là, entassés dans des immeubles à essayer de construire une vie qui ne tiendra pas la route tout simplement parce que c'est écrit, c'est en nous, c'est dans nos gènes. Je n'ai jamais cherché à y échapper, et je ris de ceux qui se brûlent en essayant.
On crèvera jeune et cette certitude m'empêche de vouloir m'en sortir, au contraire, je m'enfonce dans des vices et des travers tellement clichés et digne de mon statut social que parfois j'en ris. Le pauvre Paxim qui crèvera dans un caniveau. Tant pis, au moins j'aurais ris une bonne partie de ma vie. Cette vision des choses m'oblige presque à profiter et chercher le plaisir là où il peut y en avoir ; dans les bars, sur les trottoirs, chez les putes, les narines dans la coke.. Je crèverai jeune ; d'une overdose ou d'une mst, je laisse les paries se jouer.
Je termine mon joint dans les rues froides et sombres de Londres, là où personne ne dort jamais vraiment, les lumières sont allumées dans tous les immeubles ; il y a ceux qui vont se coucher, ceux qui partent travailler, les insomniaques dérangeaient par leurs démons, ceux qui profite de la nuit pour se noyer dans de drôle de substances, puis les amoureux qui cherchent du réconfort dans un corps abîmés qui ne leur appartiendra jamais vraiment. Je ne sais pas de quelle catégorie je fais parti ; les abîmés, les écorchés, les égorgés, les cinglés ? Un peu de tout je pense. Mais je ne m'en plaints pas, y a toujours un peu d'espoir pour qui sait regarder.

La lumière de chez moi est éteinte, je le vois de la rue. J'imagine ma soeur se battre contre des vieux fantômes quand je ne suis pas à ses côtés. Je la laisse faire, elle est forte, elle peut le faire et je sais qu'elle y arrivera : je vois en elle tout ce que je ne suis pas. Elle, elle s'en sortira si elle se bat assez fort, si elle se bat pour elle et pas pour nous.
Notre appartement n'a rien de chaleureux ni d'accueillant, mais c'est chez nous, et bizarrement, je l'ai toujours trouvé très à notre image. De la vaisselle sale dans l'évier, quelques bouteilles de bières sur le sol et un cendrier plein.. la peinture est écaillé sur la plupart des murs et les meubles ne sont que de la récup’. Rien de neuf, rien de luxueux, juste ce qu'il faut et c'est très bien comme ça. On s'est toujours contenté que de nous-même de toute façon.
Je vérifie la présence de Jezabel en entrouvrant la porte de sa chambre ; personne ne partage son lit, elle dort paisiblement, la couverture qu'elle a rejeté dans son sommeil laisse voir son corps vêtu seulement d'un t-shirt (le mien ?). Je laisse la porte entrouverte pour ne pas faire de bruit, et je repars sur la pointe des pieds en direction de la douche.
Mon corps est encore sale des caresse du jeune homme en manque d'amour que j'aimerais oublié. Se sera le cas demain ; déjà la forme de son visage s'efface de ma mémoire et s'en va dans le siphon de la douche en même temps que l'eau qui glisse sur ma peau. L'eau n'est pas très chaude mais je serre les dents ; au moins elle n'est pas gêné et le froid m'empêche de penser à des souvenirs que j'essaye d'enfouir et qui ne veulent pas partir malgré les coups de hache que je leur porte par moyen détourné ; la coke et l'alcool ne font que cacher les problèmes, jamais ils ne les résous, et pourtant je continue d'essayer.
L'eau devient de plus en plus froide et c'est lorsque je sens un goût de rouille dans ma bouche pour mettre mordu la langue que je décide de sortir.
Je ne sais pas qu'elle heure il est, mais le poids sur mes épaules me donnent la sensation de ne pas avoir dormi depuis des semaines et pourtant mes paupières refusent de se fermer et mes mains qui tremblent me laissent deviner que la nuit va être encore longue et ça se confirme rapidement. Sur la table, qui nous sert autant à manger qu'à poser nos pieds et à aligner des lignes de coke, quelques papiers sont étalés. Des vieux trucs qui datent de notre vie lointaine à Oxford, je devine une facture, des dessins de Jez, peut-être quelques photos que je me refuse à regarder, le visage de Jules et Curtis se sont effacés de ma mémoire et c’est très bien comme ça. Ma soeur aurait-elle eu l'envie soudaine d'ouvrir la boîte de Pandore en mon absence ? Je ne savais même pas qu’on avait gardé ce genre de souvenir, surtout dans un carton. Pire qu’une bombe nucléaire, chaque petit objet semble raviver une vif douleur dans l’organe le plus sensible de mon corps. Je ne supporte mal la douleur, je sens déjà la nausée me nouer l’estomac alors que je cherche je ne sais pas trop quoi dans cette montagne de souvenir. Je finis par remarquer une écriture que je ne connais que trop bien sur une feuille de papier que mes mains ont trop serrées. Une des lettre qu’Ash m’a envoyé à l’époque où j’essayais de garder contact. Mon coeur se met à battre à un rythme irrégulier, je met ça sur le compte de la fatigue : Ash ne me manque pas, le semblant de chose que l'on a eu non plus. Mon mensonge apparaît de façon tellement naturel que ce soir, j'ai envie d'y croire. Je laisse les papiers où ils sont, je n'ai pas la force de nier le morceau de vie que les jumeaux Mills-Hamilton se donnent tant de mal à fuir. Pas ce soir.  
Et puis merde.
Je pars chercher une bière dans notre frigo vide que j'ouvre avec les dents. Le matin arrive dans quelques heures, je ne dormirais probablement pas ce soir alors autant utiliser ce temps pour quelque chose d'inutile : une faiblesse que je ne me réserve que rarement. Mes doigts attrapent timidement la lettre d'Asher. Elle semble vieille et pourtant je l'ai reçu il y a moins de cinq ans. C'est dingue cette sensation d'avoir déjà vécu l'éternité.
J'ai presque envie de pleurer quand je me souviens de mon incapacité à déchiffrer ce moyen de communication si compliqué qu'est l'écriture. Je reconnais mon prénom dans ce fouillis de mot, mais j'ai l'impression que ce bout de papier ce fout de moi ; les lettres se mélangent devant mes yeux, je les vois danser et j'ai beau me concentrer rien, rien n'a de sens.  
J'en conclu que ça ne devait pas être important -pourtant, cette lettre je l'ai gardé. Alors je réessaye, encore et encore.
Le noir de la nuit laisse place à quelques touches de lumière quand je suis au compte de deux phrases déchiffrés : des reproches. Un tas de reproche qui me donnent envie de vomir.
Je ne comprend pas pourquoi j'ai gardé cette lettre qui me retourne l'estomac et me rappel qu'en plus de fuir tout ce qui a ne serait-ce qu'un minimum d'importance de moi, je n'ai pas les compétences nécessaires pour les garder.
Je déchire la lettre dans un excès de rage mais je ne laisse pas les larmes franchir la barrière de mes paupières. Je ne suis pas aussi faible que je prend plaisir à le laisser paraître.
J'ai faim, j'ai froid, je suis fatigué et j'ai envie de vomir.
Un état permanent qui me collera jusqu'à ma mort et donc je ne m'habitue pourtant pas.
Il fera jour dans quelques minutes et je prend la décision de tenter de me reposer un peu, de fermer les paupières.

Mon lit ne me suffira pas ce soir alors je pars me glisser dans celui de ma soeur. Ma main se pose sur son ventre nu et mon autre bras derrière son dos pendant que j'enfouis ma tête dans son cou et que mes jambes se mêlent aux siennes. Je tente quelques baisers pour voir si elle est réveillée : aucune réaction, elle dort profondément et ça me sert le coeur. Il y a tellement de chose que j'aimerais lui dire à l'instant et que je garderai pour moi. Je sais que c'est l'effet de l'alcool, de la drogue et de souvenir douloureux ; un cocktail bien trop dangereux pour moi. Cette envie ne reviendra pas, ou que du moins, je n'aurais jamais le courage nécessaire de le dire une autre fois. Mais je crois qu'elle sait tout ce que j'ai sur le coeur. Mes doigts caressent sa peau par de petites cercles comme dans l'idée d'essayer de l'apaiser alors qu’à l’instant, c’est moi qui vais mal. Je reporte mon mal être sur les autres pour me convaincre que je ne suis pas ces personnes qui se détestent au point de ne pas pouvoir fixer leur propre reflet dans le miroir. Je sais que je suis loin d'être le petit frère le plus génial de la planète ; je vois bien ses joues un peu creuse, je vois bien ces cernes au creux de ses yeux, puis je le connais son sourire fatigué. Elle ne me berne pas, mais je respecte son désire de garder tout ça pour elle. Je reste là à disposition si elle a besoin, comme ce soir. Mes baisers sur son cou ne s'arrêtent pas et je l'enlace un peu plus contre moi. J'aimerais lui dire qu'elle est belle, qu'elle est quelqu'un de bien aussi et que moi je l'aime bien plus que tous ces connards à qui elle a donné un bout d'elle ; je l'aime plus qu'Asher, je l'aime bien plus que Jules, et bien plus que tous les autres. J'aimerais lui dire qu'elle porte mal son prénom, qu'elle est une reine à mes yeux, mais pas celle d’Israël, et que surtout, elle n'aura pas la même fin tragique. Jezabel, ma soeur, c'est la princesse des rêves interdits ; plus cendrillon que belle au bois dormant, elle se tue à la tache dans une vie de misère qu'elle ne mérite pas. Elle aurait dû naître dans une autre famille que la notre, peut-être même avoir un autre frère que moi. Je sais que mon attitude de frère protecteur de ce soir n'efface en rien toutes les difficultés que je lui cause au quotidien, mais j'ai envie qu'elle ai quelqu'un qui l'aime pour une fois, et même si c'est moi, même si ce n'est que son frère, pour des gens comme nous, c'est déjà beaucoup.
Mes mains continuent leurs caresses pendant que mes baisers contre sa peau se font plus rares ; je m'endors contre son corps, dans la chaleur de ses draps.
On se fout de la morale quand on aime.
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Alycia Hemsworth
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:32 par Alycia Hemsworth
Question de "sécurité" pour les fiches On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 3783328667. Mais ils peuvent (où un membre du staff), te les envoyer On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1973890357.

Bienvenue On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1922099377, bon courage pour ta fiche I love you.

En attendant d'être validé tu peux venir papoter sur la cb cb ou faire un tour sur le flood pour faire plus ample connaissance avec nous On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 2336905461.
Et si tu as besoin, n'hésite surtout pas On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1973890357.
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:42 par Invité
c'est quand même vraiment pas pratique pour les scénarios, surtout quand on veut être certain de vouloir le jouer, ou d'avoir bien cerné le personnage avant de s'inscrire et d'écrire sa fiche, fin bref On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1765539251 On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 2903089185

merci :chou:
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:46 par Invité
Bienvenue ! On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 3309736386
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:50 par Invité
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1973890357

Paxim A. Mills-Hamilton a écrit:
c'est quand même vraiment pas pratique pour les scénarios, surtout quand on veut être certain de vouloir le jouer, ou d'avoir bien cerné le personnage avant de s'inscrire et d'écrire sa fiche, fin bref  On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1765539251 On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 2903089185

merci :chou:

Certes et nous en sommes bien conscientes, mais c'est encore moins drôle de retrouver les fiches de nos membres plagiées à droite et à gauche, alors qu'il est assez simple de la fournir par MP à la personne qui prends un scénario.
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 21:55 par Invité
Bienvenue ! On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 1922099377 On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 208687334 On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 2406027045
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 22:07 par Invité
bienvenue à toi et bon courage ^^
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 22:07 par Invité
Bienvenue ici =)
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() message posté Jeu 5 Mar 2015 - 22:18 par Invité
Bienvenuue On cherche l'amour dans le fond des bouteilles. 208687334
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