Another one bites the dust- Alfie

Ce n'étais pas le premier ni le dernier dont j'allais m'occuper ça c'était bien clair que non. J'étais plutôt content des efforts que je fournissais. J'avais l'impression de mener une double vie, celle d'Alfie l'infirmier ayant tout de même son Doctorat et puis il y a le Alfie scénariste qui bossera un jour sur une grosse production tel Doctor Who ou bien encore réalisé un chef d'oeuvre du cinéma. Mais pour ça fallais que je garde tout de même espoir. Mais cela dit en ce moment ce n'était pas trop ça, Une fille m'évite et un homme continue de me regarder de travers. Je ne savais plus quoi penser d'Isaac ou bien même d'Athénaïs. Cela dit cela ne m'a pas empéché de finir ma nuit dans les bras d'un homme pour ne pas changer de mes bonnes vieille habitude que j'ai prise en Nouvelle Zelande. Je suis du genre a proclamer les secondes chance et encore changer du tout au tout était une chose si facile pour moi. Cela dit par aujourd'hui, j'avais un nouveau patient. Un jeune homme qui aurait des contusions sur le corps et une jambe dans un piteux état quand son medecin m'en a parlé j'avais une mauvaise impression que se soit le petit ami d'Athénaïs, mais vu qu'elle était en France avec lui je n'avais pas de soucis a me faire la dessus. Alors j'ai pris mon courage. Habillé d'un jeans, d'une chemise blanche et d'une veste en cuir beige. J'ai redressé mes cheveux alors que je me regardais dans le miroir d'un retroviseur d'une voiture garer juste en face de la maison. Je n'aimais pas ses maisons de banlieue londonienne. A part sortir tout droit des jupes de Julie Andrews sans son parapluie a tête de perruche. Je dois dire que je trouvais cela plutôt pitoresque. Je ne regrette pas mon petit appartement duplex sur Camden. J'aimais beaucoup trop les briques rouges et l'aspect ouvrir des maison de Camden. Je me suis approché de la porte pour sonner a la porte, je portait avec moi une valise plutôt petite. C'était ma valise du travail j'avais tous ce qu'il me fallais bien que j'avais encore du materiel mais vu que je devais aller voir Eugénia en fin d'après midi fallais bien que je m'avance.
C'est alors que la porte s'ouvrit. Je vis un homme aussi intimidant que le plus limpide des majordomes ! « Bonjour, Je suis Alfie Archibald, c'est le Docteur Andrews qui m'envoie ». « Bonjour, mr Archibald, entrez. Il est dans le salon … ne faite pas attention à sa mauvaise humeur. Vous vous y ferez.» Je me suis mis a sourire sur le coup… Mauvaise humeur ? Cela me rapellait quelqu'un. Eugénia était aussi tenace dans le genre je vais te pourrir la vie jusqu'à ce que t'ailles en enfer.. C'est au moment où je couchais avec demi-frère que finalement les tensions ce sont calmé. Que devrais-je faire pour lui alors. Je me posais la question. C'est alors que je suis entrée suivant le majordome laissant la valise dans le couloir. C'est alors que je suis arrivé dans le salon. Le jeune homme semblait plutôt séduisant, mes sa mine déconfite d'enfant gaté me titilla legerement les nerfs me faisant penser que je ressemblait a sa quand je vivais en Australie je me resignait que non.

« C'est ça qu'on m'envoie, un espèce d'infirmier ringard, on m'aura tout fait, merci Wally vous pouvez disposez.» Sur le coup j'aurais eu un flingue il aurait prit une balle et je serais reparti comme si de rien n'était. Cela dit je l'ai pris avec un sourire jaune. Le majordome m'abandonna lachement face à Tristan je ne pouvais m'empecher de sourire en ajoutant : «  Ringard ? A ce point ? Je suis désolé de pas convenir a vos fantasmes... » Je m'approcha alors de lui attendant alors qu'il m'invita a m'asseoir je n'étais pas mal élevé… Cela dit je lui demanda : « Je peut comprendre votre rétissence a vous laissez manipuler pour la réeducation, mais si vous voulez recuperez votre mobilité a 100 % faudra surement faire des sacrifices moral... » Au moins j'étais cash. Mais cela dit il faut dire ce qu'y est. Je dois dire que j'en ai vu passé des Infirmieres… Ma mère les apellerait les grosse Bertha… Hideuses sans savoir vivre et au langage grossier… BREF des Honey booboo en surpuissance. « Avez-vous vu un kiné depuis que vous avez vu votre medecin ? » lui demandais-je savoir.
 

(c) AMIANTE

Tristan faisait parti de ses patient qui ne voyait pas l'importance des dégats, je peut vous dire qu'ils sont nombreux. Cela dit je me souviens encore des radios de Tristan... Sa jambe, elle était limite en miette. On ma vaguement raconter ce qui sait passer enfin ce qui était noter sur le dossier c'était simplement "Fracture et contusions après altercation avec trois individus"... bizarrement je savais que ca devait être bien plus grave au fond. Et voyant le caractère du jeune homme je me demandais réellement ce qui c'était passer:

« Ne restez pas debout, installez vous si ça vous chante. Si ça peut vous rassurez ce n'est pas de la manipulation dont je suis réticent bien au contraire.» Bien au contraire ? Ce petit gars me plaisait déjà. les allusions peu orthodoxe me faisait doucement sourire avant que je prenne place sur un fauteuil l'idée de pouvoir effreindre l'ethique me faisait froid dans le dos mais cela pouvait être tout aussi excitant: « Vous êtes bien le premier a qui la manipulation lui plait... Je dois dire que ca me plait.» Lui avouais-je, Alors que je lui demanda s'il a pris ses rendez vous chez le kiné et puis tout le blabla medicale. Mais cela dit je pouvais apercevoir que non. Les soins prodiguer à Tristan sembler desordonné ce n'était pas un acte professionnel. Cela me paraissait encore plus bizarre, les bandages qui recouvrait sa jambe semblait vieu et mal fagotté. son Atelle semblait mal mise. je me demandais comment pouvait il se sentir a l'aise la dessus:

« Non pas vraiment … je ne suis pas un patient très dévoué à vrai dire. Je ne suis pas allé voir mon médecin après ma sortie de l’hôpital, on m'a simplement dit que je devrais faire de la kiné pour ma jambe et ils m'ont donné un papier expliquant exactement ce que j'ai eu. Je peux vous le donner si vous y tenez.» Je me suis mis a sourire, ce gars ne semblez pas le mec qui faisait ce qu'on lui disait mais cela dit. Du faite qui ne prenez pas conscience de ça pourrait nuir a sa santé ! Je repliqua alors: « Eh bien ce n'est pas ce qui est très judicieux de ta part. Je n'ai pas besoin de ça, si mes souvenir sont bon... Tu as plusieurs fracture, Une au peronné et l'autre situé au tibias. Plusieurs contusios sur les jumeaux et un leger dechirement du tendon rotulien. Les risques que vous pouvez avoir. C'est d'avoir des soucis d'équilibre et une malformation de la rotule..» Je partais dans mon delire medicale mais cela dit je ne prenais rarement mes notes avec moi. Ca fait novice je trouve, cela dit il était temps de poser l'ambiance: « Je pense qu'il serait bon de se tutoyer si on se voit régulierement quand dit tu? »

 

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J’essayais tant bien que mal, de me souvenir de ce qu’on m’avait parlé, je connaissais le diagnostic et pourtant en ayant vu les radios et l’irm de Tristan, je l’avais fait moi-même. Ça doit être ça quand on est médecin surement. Et dire que je devais travailler au GOS. Je ne fais pas assez d’heure de travail avec la BBC à coté c’est un peu navrant. Cela dit à chaque symptôme que je prononçais je remarquais que Tristan se refermait peu à peu et la mauvaise humeur revenait. Sur le coups je m’en voulait mais cela dit j’espère que la tension disparaisse. Je n’étais pas tellement être en froid avec mes patients. Zut ce n’était pas tellement ce que je voulais :
« Merci je sais déjà ça, pas besoin de me le rappeler. C'est pour ça que vous êtes là.» Je me suis mis à sourire cela dit c’était à contre cœur je savais bien que cela n’apporterais rien de bon. Je le trouvais mignon, il était un peu soupe au lait mais cela lui passera. Je l’aurais rencontré dans d’autre circonstance, j’aurais surement bien aimé passait une soirée plus que tranquille et mouvementé à ses côtés. Cela dit je lui proposai qu’on se tutoie pour une fois ce ne serait pas de refus. Et puis je le sentais ouvert.
« Si ça te chante. Mais qu'on soit clair, je ne parlerais pas de comment c'est arrivé. Fais juste que tu as a faire et tout ira bien.» J’hochais la tête en rétorquant : « Savoir ce qui s’est passé ne me regarde pas… » Je posa la mallette devant moi en l’ouvrant, je sortis une fiole de solution hydro alcoolique en passant sur mes mains et je me rapprocha de lui : « On vas commencer alors. » Je me suis assis a coter de lui sur le canapé et je lui demandai constatent l’apparence de son atèle : « Il faudrait que tu retires l’atèle et aussi ton pantalon. Avant de commencer la rééducation. Je vais devoir te masser la jambe. » Je ne voulais pas lui dire pourquoi. Enfin pour lui se serait du blabla médicale, je faisais cela dans le simple but d’échauffer les muscles et les ligaments de sa jambes, car si je commençais à manipuler sa jambe cela risquerait d’être terrible, je ne pense pas qu’un claquage serait très recommander pour ce genre de chose. Je sortis de la mallette un petit pot. Un baume du tigre, utile pour les massages. Il en exister de plusieurs sorte, la rouge à un effet chauffant, la blanche un effet de froid et il y a la transparent c’est celle qui est normal. J’en avais des trois sortes, mais pour le cas de Tristan, la rouge sera suffisant.


 

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L’idée de le voir en Boxer n’était pas la pire des horreurs que j’aurais pu imaginer, le simple fait de lui avoir demandé me laissa pantois sur l’espace d’un instant, mais je me devais de rester Stoïque, surtout par déontologie. Mais de ce que je venais d’entendre de la part de Tristan cela me révéla que se sera plus dur que je ne l’aurais pas pensé. Je devais moins faire confiance à mon instinct, depuis quelques semaines il me trahit. Je repense a Athé et bizarrement j’avais envie de vomir, mais il coupa mes pensées par d’autres beaucoup plus impur. « T'es un rapide dis-donc. Je te laisserais bien mon numéro.» J’arquai un sourcil laissant place à un sourire alors que j’ai sortis le baume. Je lui avouai alors : « Je ne fais jamais les choses à moitié. » Lui avouais d’un air taquin. Mon dieu mais qu’est ce qui me prenait, Alfie reprend toi ! «Et puis j'ai déjà ton numéro...» Alors qu’il essaya tant bien que mal de retirer son atèle. Je me demandais bien comment il y arriver à le faire tous les jours. Il semblait l’avoir depuis plusieurs jours et pourtant dans ses gestes cela semblait novice. Quand il réussit, ce fut une première pour lui j’avais l’impression. Il déboutonna son jeans tandis que moi j’attendais patiemment. Il y allait limite avec grâce. Un peu comme un oiseau qui partirait pour la première fois faire le tour de l’Andalousie. Je pouvais fois son boxer plutôt sobre, au moins il avait du goût c’était plaisant. Oui j’ai déjà vu des caleçons bizarre chez mes patients, des cœurs ‘Le dernier que j’avais de propre’ mais oui on y croit tous ou bien une marque de bière… bref du beauf attitude comme on ne fait jamais. Le truc qui me répugne généralement. Sa peau blanchâtre semblait parfaite. Je commençais a comprendre certaine chose… Mais j’avais peur de me tromper et puis ça me regardais pas finalement. Je pouvais bien remarquer l’hématome violacé sur son genou, il devait avoir mal, cela me rappelle les genoux d’un autre patient d’un confrère. C’était plutôt impressionnant, mais je pouvais remarquer les couleurs différentes qu’effleurait son hématome. Cela signifiait une guérison c’était une bonne chose. « Tu veux que j'enlève le haut aussi?» je relevai la tête un instant, surpris de sa question mais je ne pouvais m’empêcher de sourire : « Eh bien… » Dit pas de connerie Alfie, tu ne vas pas en profiter et la déontologie hein ! TU L’OUBLIES JE TROUVE ! « Même si ça ne sert trop a rien pour la manipulation… » Alfie fait pas ça ! « Si ça peut te mettre à ton aise tu peux l’enlever… » J’ouvris le baume alors que je me rapprochai de Tristan, passant du baume sur mes mains pour les réchauffer un peu. Je glissai ma main avec délicatesse sous la jambe de Tristan, l’amenant alors que mes cuisses commençant à maintenir une certain pression sur différente parti du Quadriceps ainsi que des jumeaux. Remontant par moment à la rotule. Y allant doucement : « N’hésite pas à me le dire si je te fais mal. »


 

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Je ne sais pas ce que je devais penser de tout ça, il avait ce sourire narquois quand il a enlevé son pantalon, je dois dire qu’il savait y faire pour faire ça avec grâce. Malgré sa patte folle, Il était plutôt sexy ça je ne pouvais pas lui dire non. J’avais peur de ce qui allait se passer, mais la tentation me fit frémir, un frisson me parcourant l’échine quand il me demanda s’il pouvait retirer sa chemise. Je lui avouais que s’il retirait sa chemise, je ne dirais rien après tout c’était mon patient et s’il veut se mettre à l’aise et bien soit ! Quand il retira j’évitais de perdre mon regard sur le corps du jeune homme, mais le voir juste habiller d’un boxer pouvait  faire son effet, alors que je prenais délicatement sa jambe commençant alors à la masser en lui disant qu’il pourrait me prévenir si je lui fais mal enfin plus qu’il ne subit déjà : « Qu'est-ce que ça changera que je le dise ou pas j'aurais toujours mal. » Eh bien il n’avait pas tellement tort, mais j’étais là pour l’aider à aller mieux et à calmer ses douleurs persistantes. Et Tristan ajouta alors : « Te gêne pas de toute manière j'ai eu pire. » Je le regardais du coin de l’œil alors que je manipuler sa jambe. J’appuyais sur certain point de sa jambes et certain point devait lui faire ressentir un calme, la douleur devait s’atténuer. Je connaissais l’anatomie du corps. Je savais comment faire pleurer ou même rire,  les terminaisons  nerveuses étaient quelques choses qui me fascinaient en médecine. Au bout de quelques secondes, Tristan devait déjà ressentir quelque chose, la douleur devait s’atténuer. Personnellement je sentais mes mains en feu à cause du baume, mais il n’y avait pas que mes mains, je regardais la peau de Tristan évitant de trop buger sur le reste du corps de Tristan. Il jouait avec moi et bizarrement j’appréciais cela je lui demandai : « Alors y a-t-il un mieux ? » Disais-je en souriant. Alors que mes mains remontèrent doucement sur la cuisse du jeune homme. Mes doigts voulaient aller plus haut mais je me retenait tant bien que mal, mais mes pensées eux divergèrent sur une tout autre façon de faire, ce qui me donna chaud tout a coup. Je devais garder mon calme. Je sentais que Tristan comprenait et j’avais peur qu’il en joue. Je n’ai pas envie de perdre mon droit d’exercer parce que je me suis fait avoir par mes envies bestial. « j’ai eu pas mal de patient masculin, mais tu es bien le premier avec une peau comme ça… » Disais-je en pensant a voix haute c’est sûr que les vieux croûtons ce n ‘est pas ce qui est le plus sexy… Ou les jambes limites atrophier. Bref je profiter de cette vision.


 

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