Another one bites the dust- Alfie

L’idée d’enfreindre les règles. Pouvait me couter mon droit d’exercer, je ne l’ai jamais fait et pourtant desfois l’idée me tente. Mais le karma était avec moi, les hommes que j’avais était généralement des vieux libidineux donc forcement ce n’est pas ce qui m’excitait. Cela dit Batholomew était peut être le seul, même si ce n’est que le frère de ma patiente… Cela dit Tristan était pas comme tout ses hommes.
« C'est un peu moins douloureux et agréable en fin de compte. Tu n'es peut-être pas si nul que ça en fait.»
J’eu un sourire sur le coup, je dois bien avouer que j’étais plutôt doué, j’ai eu pas mal d’expérience que ce soit dans la branche personnelle ou Professionnel. Je lui avoua en lui répondant : « Content que ça te plaise alors » Disais-je amusé. Je remontais mes mains doucement le long de sa cuisse, me mordant la lèvre essayant alors de pensée a autre chose que de voulais découvrir se qui se cachait sous ce dernier bout de tissu. Je lui avouais alors qu’il avait une belle peau, ce qui était plutôt rare de nos jours, des hommes qui se prennent soin d’eux à ce point. Et bizarrement sa réponse ne me surprenait pas :

« Je m'entretiens au mieux pour que garder ma clientèle.» Clientèle ? Je connaissais peu de métier qui se chargeait autant du confort de leurs clientèles, par Escort ou Strip teaser… Ou bien encore Mannequin, Mais bizarrement vu son regard qui porta sur moi et sur ce côté assez sexuel qu’avais la situation je pouvais rayer Mannequin de ma liste, mais ce qui me paraissait bizarre c’est l’environnement. La maison, le majordome bref cela ressemblerait plus à fils à papa. « Ta clientèle ? Eh bien… Quel attention pour eux » disais-je en riant légèrement alors que je continuais m’attachant plus au genou et au ligament et la cuisse… Quand il me demanda :

« Ça te plaît?» Je remontai mon regard vers lui, un air amusé et puis je lui avouai : « Comme la plupart de tes clients je suppose… » Lui avouais-je sans trop enfreindre l’éthique. Même si l’idée me traverse l’esprit, mais mes mains ne firent qu’à leurs tête et puis elles remontèrent lentement le long de sa cuisse alors que je pouvais sentir le lycra que composait le boxer du jeune homme ce qui me provoqua un frisson et un chaleur plutôt agréable je me rapprocha de lui pour masser son quadriceps en dessous de sa cuisse, une chaleur agréable. Je lui avouai alors : « Sinon… Oui la vision est plaisante… » Disais-je remontant mon regard dans le sien. Je jouais un jeu dangereux, mais la tentation était forte, voir un peu trop faut bien l’avouer. Son corps était plutôt magnifique et donner envie d’y gouter. Je tentai de me concentrer tout simplement

 

(c) AMIANTE

C’est à ce moment que je me demandais pourquoi fallait que ça tourne comme ça, au départ finalement cela ne me dérangerait pas, être charmé et charmé était cela dit tout un art que j’apprenais à contrôler au fil des années. Depuis que ma salope d’ex-femme m’avait trompé avec ce chirurgien qui semblait avoir les chevilles aussi grosses que ses couilles. J’ai compris vite que finalement le mariage n’était qu’une supercherie… Mais je ne me plaignais pas, je voulais faire plaisir et les deux autres, alors que je continuais de masser sa cuisse déglutissant dans l’option de glisser malencontreusement sur ses parties intimes. « Et comment un aussi beau garçon est-il devenu Kiné?» Je relevai la tête arquant un sourcil, sa question me faisait légèrement rougir par le compliment que je pouvais comprendre à sa question… Cela dit si je lui racontais tout j’en aurais pour quelques jours « Eh bien quand tu as une sainte horreur des chirurgiens… Travailler dans un hôpital ça devient hors de question. » Jolie résumé au moins je pourrais continuer sans pour autant être attirer par le physique du jeune homme, il était vraiment beau et j’avais du mal a vraiment me concentrer. C’est ce qui était dur avec mon métier, de pouvoir rester concentrer et de ne pas avoir les yeux qui quitte la zone de travail pour monter mes yeux vers son corps c’était vraiment trop tentant car il était vraiment très attirant mais soudain sa réaction me surprenais : « Et au fait autant que tu sache … je ne tiens pas en place.» Je fus surpris de le voir s’approcher et de sentir ses lèvres sur les miennes, mes mains quitta son corps pour le receptionner par maladresse me faisant tomber en arriere sur le canapé. Je tenta de me retenir avec mes coudes sentant l’appuie-tête sur divan derrière ma nuque. J’ai prolongé le baiser, ne réagissant plus au attaque cerebrale de la déontologie, mais qu’importe je tentais de rompre le baiser mais au bout de quelques seconde je quitta ses lèvres tentant de reprendre mon souffle pour laisser sortir un : « Je vois ça… C’est bien dommage vu ton état… » Disais-je d’un sourire sur les lèvres alors que mes mains trouvèrent leurs place sur le torse de Tristan se glissant sur ses hanches…. Il était chaud et me rechauffa presque instantanement, sentir sa peau me colla de leger frissons… Mais que m’arrivait-il je n’étais pas de ce genre là, mais j’ai comme qui dirait confiance envers lui, sa confiance en lui est elle qu’il me laisse bercer dans cette illusion de plaisir et d’excitation qui reigne dans la pièce… « Ce n’est pas mon genre d’être ainsi avec mes patients… » disais-je d’un sourire avant de l’embrasser à nouveau alors qu’une de mes mains remonta le long de sa nuque. Mais bon dieu que m’arrivait il !

 

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« Et bien ça nous fait un point commun.» Point commun… Bizarrement ce mot sonnait bizarrement à mes oreilles, c’est un peu le genre de chose qui donne du sens quand on parle d’un type de relation, mais je dois bien avouer que Tristan était un homme plaisant, malgré son physique avantageux, son caractère était particulier. Fort on pouvait remarquer cette carapace forger par un sarcasme et une désinvolture sans nom, mais on remarquait vite son intelligence de par sa façon de charmer, je pouvais le ressentir à son regard… Il me faisait penser à un personnage d’une de mes fictions… Ce genre de caractéristique fait fantasmer bon nombre de personne. Je pouvais sentir ses baisers sur mes lèvres, que je m’amusai à répondre d’un geste passionné mes mains parcouru son corps alors que je lui avouai que ce n’était pas mon habitude de faire cela avec mes patients. « Oui, mais je suis un client très particulier et les miens de clients l'ont tout de suite remarqués.» Client, je n’étais pas du genre à appeler mes patients des Clients ça faisait beaucoup trop dans le genre de la prostitution. Cela dit j’eu un sourire, en repensant à ses dires. Effectivement c’était le patient particulier unique dans son genre. Comme je le pensais avant, j’avais des patients plus ou moins banal, des personnes handicapées je pensais à Eugenia principalement et puis les vieux grabataires souvent d’Arthrose. D’un sourire je le poussa légèrement l’allongeant sur le dos je ne devais pas le blesser d’avantage, déjà que j’enfreins l’éthique je m’en voudrais de ne pas améliorer son cas. Je me mis à cheval sur lui, j’avais cette poussée d’adrénaline qui me faisait comme perdre les pédales et me fit perdre toute inhibition. Je posai mes mains sur son torse plongeant mes regards dans le sien. Je m’approchai de lui l’embrassant à nouveau. Sentant alors les boutons de ma chemise s’enlever, guider par ma main elle se retira dans une histoire fantasmagorique qui rejoindra les affaires de Tristan sur le sol. Ma main glissa sur le torse imberbe du jeune homme, sa peau c’était bien la peau la plus douce qu’il m’est donné de toucher chez un homme. J’aimais beaucoup. Il semblerait de ce qui se passe actuellement me plaisait cela c’est vrai, mes baisers glissèrent le long de sa mâchoire, sa peau avait un goût sucré et quelques chose d’enivrant surement une eau de Cologne bon marché qui me semblait inconnue, je descendis légèrement sentant un courant d’air se glisser sur mon dos nu qui me donna un frisson. Je frotta mon bassin au sien sentant les courbes de ses hanches entre mes cuisses ce qui me laissa énormément songeur. Les minutes suivirent, le caleçon du jeune infirme était déjà descendu à ses chevilles et je m’étais occupé de lui comme je le faisais si bien. Après tout j’étais bien là pour m’occuper de Tristan non ? J’étais payé pour cela même si cela ne faisait pas parti de mes services. Je remontai vers ses lèvres pour l’embrasser à nouveau sentant son entre jambes se frotter à mon jeans…

 

(c) AMIANTE