(✰) message posté Dim 22 Fév 2015 - 19:57 par Invité
Love is dangerous for my heart…
Delilah & Ewan
Nous nous aimons comme deux allumettes vivantes. Nous ne parlons pas, nous nous enflammons. Ne parlons plus de baisers mais d' "incendie", mon corps est devenu un tremblement de terre d'un mètre soixante-six et demi. Mon cœur s'échappe de son enveloppe-prison. Il s'envole par les artères, s'installant sous mon crâne pour devenir cerveau. Dans chaque muscle, jusqu'au bout des doigts, le cœur! Soleil féroce, partout. Maladie rose à reflets rouges. ✻✻✻ Cette nuit semblait si belle en tout point de vue, alors que je sortais de l’université pour rejoindre la city et récupéré Delilah à son travail, je profitais de mon éternel avance pour flâner et marcher le long du trottoir, observant le monde autour de moi. Vivre, l’humain était fascinant en tout point c’était bien vrai. Je pouvais les voir c’est enfants sortir de l’ecole, ses mandiants cherchant quelques pièces au près des smicars. C’est jeunes femmes qui lèche les vitrines pensant alors trouver un homme riche pour leur acheter toute ses chose qui sont sans valeurs sentimental. Je marchais tranquillement alors que je plongea mes mains dans mon manteau noir. Je pouvais sentir se froid me glacer le sang. Je fus pire qu’un enfant a souffler dans le vide et en voir cette fumée blanche sortir de ma gorge. Je passe alors devant une boutique fantaisiste, je regarde la vitrine par curiosité. Je me demande ce que je pourrait trouver de bien interessant, c’est alors que je trouvais un truc plutôt pas banal, j’aimais les babioles. C’était ce genre de petite chose qui peut contenir tellement de chose. Je collectionne des choses qui n’ont pas de sens pour certain tel que les coucou-suisse mais ça c’était la lubi de mon père que j’ai reprit sans trop le vouloir, je vis alors ce petit ourson en bois. Je suis rentré dans la boutique sans trop savoir pourquoi j’y allais mais finalement je lui demanda se petit ourson qui tena a peine dans ma main. Je tendis un billet de 10£. Et je repartir. J’observa la petite sculpture qui tena entierement dans le creux de ma main. Je l’offrirais à Delilah je suis sur que cela lui faira plaisir. Je m’approche alors de la librairie j’attendis a l’exterieur sortant pour téléphone pour apeller Julian en attendant que Delilah sorte, mais il ne me repondait pas. Depuis quelques jours Julian est plongé dans son roman. Je n’arrive même plus à le joindre. Je ne comprend plus rien à ce phénomène, j’envoi un message à Robin savoir s’il vas bien sachant qu’il travaillait se soir. J’attendis alors en jouant à Temple run, ce jeu me rendait dingue mais je me demandais si je pourrais autant d’Endurance à sa place. Rien qu’à l’idée j’eu un rire et puis l’heure sonna. Les cloches de Bigben retenti à mes oreilles et la librairie s’eteignèrent tel les bougies d’un gâteau d’anniversaire. Et je la vis sortir j’eu un sourire alors qu’elle fermit la porte je l’attire vers moi glissant ma main sur ses reins : « Bonsoir Belladona… Votre prince est venu vous chercher ! » Disais-je d’un sourire avant de déposer mes lèvres sur les siennes. Je glisse alors mon bras sous le sien en lui demandant : « Ta journée s’est bien passé ? » la voir chaque jours emplisser mon cœur de joie. Je n’avais pas connu cela depuis bien longtemps moi qui vit tel martyre d’une pièce de Shakespeare. Cela dit je sentais mon cœur faire des siennes je savais qu’il me fairait défault j’ai peur chaque jours que je passe à ses cotés d’en payer le prix fort. Il fallait que je lui en parle, je lui doit bien ça. Déjà qu’elle semblait curieuse de mes cicatrices la dernière fois… Je lui ai demander de calmer sa curiosité que je lui raconterai tout en temps voulu. « Dit moi… j’espère que tu n’es pas trop fatiguer… Le ciel est clair et j’avais pensé a un petit tour sur le London’s eye… Qu’en dit tu ? »
Je m'affairais dans la librairie comme un petit lutin du Père Noël à la veille de la célèbre fête du 25 décembre. Ce n'était pas seulement parce que je prenais mon travail à cœur, mais aussi, parce que je voulais me changer les idées. Rien n'était réglé avec mon meilleur ami et à vrai dire, je ne l'avais pas vu ni croisé depuis un bail dans notre bloc appartement. Il était sacrément doué pour m'éviter et ça faisait mal.... Et puis, il y avait l'histoire avec Theodore et je ne savais pas trop quoi en penser. Lui parler, le revoir, ça m'avait fait très bizarre. Et encore plus, sa réaction. Mais bon, travailler me faisait oublier tout ça. Alice, une jeune femme avec qui je travaillais ce soir-là s'approcha de moi avec un petit sourire en coin et surtout, amusé. « J'ai vu ton amoureux dehors.... Vous faites quelque chose de particulier ce soir? » demanda-t-elle, curieuse... presque autant que moi. Mon cœur s'emballa automatiquement. Ewan... mon bel aventurier! J'avais bien hâte de le voir à la fin de mon quart de travail... Sûrement restait-il dehors pour ne pas me déranger? Mais Alice avait fait tout le travail pour lui. J'avais donc très hâte de sortir et de le retrouver. « Je ne sais pas.... Il ne me dit jamais vraiment à l'avance ce que nous allons faire.... Et j'avoue que c'est vraiment ce qui me plaît chez lui.... Qu'on parte à l'aventure! » lui révélais-je, des étoiles dans les yeux. Je n'avais jamais pensé que tomber amoureuse me rendrait aussi gnangnan, mais j'aimais bien cela. J'étais sur un petit nuage et je n'étais pas prête à redescendre sur Terre. Alice eut un petit rire et elle repartit entre les rayons. Je consultai ma montre. Il restait quelques petites minutes avant la fermeture. Je me dis alors que ça allait passer vite, mais bien au contraire. Puisque les gens choisirent ce moment pour ne pas venir dans la librairie ce qui rendit les dernières minutes plus longues qu'elles ne l'étaient en réalité.
Je fus donc plus qu'heureuse que le cadran sonne la fin de la journée. J'allai donc me changer pour mettre quelque chose de plus mignon. Et puis, je ne voulais pas sentir le vieux bouquin et la poussière pour mon bel Ewan. Ce fut donc avec un immense sourire que je sortis à l'extérieur. Dès que je le vis, mon cœur s'emballa un peu plus encore. Ce qu'il était beau mon aventurier! Le jeune homme m'attira alors vers lui, posant ses mains dans le creux de mes reins tout sourire avant que je n'aies pu lui dire quoi que ce soit. « Bonsoir mon bel aventurier!!! » lui dis-je en retour, répondant ensuite à son baiser. Ewan me demanda alors si ma journée s'était bien passée. « Oui oui... Et la tienne? » lui demandais-je, omettant le fait que j'étais toujours tracassée par un tas de trucs dont il était de toute façon déjà au courant. « Dis moi… j’espère que tu n’es pas trop fatiguée… Le ciel est clair et j’avais pensé à un petit tour sur le London’s eye… Qu’en dis-tu ? » me demanda-t-il alors. Mes yeux s'agrandirent alors. « Cela me va parfaitement! Et non, je ne suis absolument pas fatiguée! » lui dis-je. Et c'était vrai! Habituellement, après une journée comme celle-là, j'avais de l'énergie à revendre! Et c'était terriblement beau dehors. Je pris donc la main d'Ewan et commençai à marcher. J'étais bien avec lui.
Je levai alors les yeux, faisant attention tout de même à ne pas maladroitement tomber. Il ne faisait pas trop froid cette nuit et le ciel était sans nuage. On voyait la lune bien haute et c'était un spectacle agréable. « Je t'aime... » lui soufflais-je en appuyant ma tête contre son épaule. Cela ne faisait pas tellement longtemps que je le lui disais, mais mes paroles étaient sincères. Je l'aimais et à chaque fois, ça me donnait des papillons dans le ventre.
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(✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 1:42 par Invité
Love is dangerous for my heart…
Delilah & Ewan
Nous nous aimons comme deux allumettes vivantes. Nous ne parlons pas, nous nous enflammons. Ne parlons plus de baisers mais d' "incendie", mon corps est devenu un tremblement de terre d'un mètre soixante-six et demi. Mon cœur s'échappe de son enveloppe-prison. Il s'envole par les artères, s'installant sous mon crâne pour devenir cerveau. Dans chaque muscle, jusqu'au bout des doigts, le cœur! Soleil féroce, partout. Maladie rose à reflets rouges. ✻✻✻ J’étais dans l’idée d’aller chercher Delilah pour lui faire une surprise, bien sur ce n’était pas la première fois que je venais la cherchais, il m’arrivait souvent quand je n’avais pas tant de travail que ça à faire pour pouvoir sortir de chez moi et aller la récupérer, même que ce soit de la ramener chez elle. Juste un petit moment avec elle avec nos emplois du temps de ministre c’est toujours cela de prit. Mais ce soir c’était nos deux mois et je voulais un petit peu marquer le coup, alors que je suis arrivé légèrement en avance j’attendais devant la vitrine de sa librairie prêt à tout pour l’attendre, entre envoyer un message a Julian qui ne réponde pas et Robin qui faisait No-signal. Eira qui semblait prêt à tout pour pourrir son ex fiancé enfin bref la vie est glorieuse pour tout le monde, je ne me faisais pas tant de soucis personnellement… Mais toutes mes pensées fut chamboulé à la vue de la belle : « Bonsoir mon bel aventurier!!! » Mon bel aventurier, j’aimais ce surnom. J’avais l’impression d’être son Indiana Jones. J’eu un sourire avant de l’embrasser et de lui demander si cela a été sa journée. « Oui oui... Et la tienne? » J’hochais la tête en lui disant simplement : « Ca allait pour une journée de boulot » disais-je d’un sourire avant de lui proposer mon idée, qui constitait avec ce faire une petite virée dans le London Eye pour observer la vue de Londres. « Dis moi… j’espère que tu n’es pas trop fatiguée… Le ciel est clair et j’avais pensé à un petit tour sur le London’s eye… Qu’en dis-tu ? » Je savais qu’au fond de moi elle allait adoré, la connaissant… Je savais bien qu’on parte à l’aventure comme ça, c’est bien comme cela que j’ai reussit a la connaitre d’avantage. Je repense à notre viré à la patinoire de Trafalgar. « Cela me va parfaitement! Et non, je ne suis absolument pas fatiguée! » J’eu un sourire en lui avouant : « Tant mieu » Lui disais-je alors que nous marchions tranquillement sentant sa main se glisser dans la mienne. Et soudain je l’entendais me dire « Je t'aime... » je me suis mis legerement a rougir sentant mon cœur faire des bons dans ma poitrine. Je lui avoua a mon tour : « Je t’aime aussi Delilah… » Lui avouais-je avant de poser mes levres sur sa tête et puis nous marchions prenant les grands axe, longeant les rives de la Tamise. « Tu sais, c’est Robin qui m’a sorti cela tout à l’heure… Oh ca fait deux mois que vous êtes ensemble avec Delilah… Cey trop cute ! » Disais-je en imitant la voix insurpportabe de Robin quand il prend son air niaiseux. Je me suis mis a rire avant de pouvoir continuer : « Je me suis dit que c’était l’occasion de fêter ça avec cette petite virée… Pour une fois qu’on peut passer du temps hors de nos appartement… » Disais-je d’un leger sourire, alors qu’on pouvais voir la grande roue au loin, nous nous approchions un peu plus. Une fois arrivé la bas. Je paya les entré et nous voila seuls dans la cabine qui monta : « Tu sais je t’ai dit que je t’expiquerai pour les cicatrices… Je suis comme qui dirait Malade… Enfin malade. J’ai une malformation cardiaque… Quand je suis né dans le village de ma famille il n’y avais pas d’hopital enfin il se trouver sur la grande île. Et d’après mes parents, je suis né avec le cœur gelé… C’est pas banal j’y compte bien. Enfin cela dit la pédiatre qui s’occupait de moi était connu pour être folle enfin surtout elle était du genre Outsiders… Le moyen qu’elle avais trouver pour redemarrer mon cœur c’était d’utiliser une petite horloge à coucou qu’elle greffa sur mon cœur… Les années ont passé, mes parents ont eu la peur au ventre que le bricolage ne tienne pas… Finalement le seul chirurgien capable de s’occuper de moi habitait à Edimbourg, c’est ainsi qu’à mes 8 ans. J’ai quitté l’île de Skye pour rejoindre la capitale. On a retiré mon cœur… Et placé un pacemaker, j’étais le seul enfant a possedé ce genre d’artillerie à l’époque… C’est ainsi… Depuis j’ai toujours un pacemaker, mon cœur est trop fragile pour marcher de lui-même… Robin n’est pas un simple Ami ou frère… C’est aussi celui qui me sauve la vie… » Disais-je n’osant pas regarder Delilah dans les yeux, preferant me perdre le regard dans la vu de Londres. La navette monta haut dans ciel et voila qu’elle atteint son apogé. Je sortis de ma poche la petite statuette et je posa mon regard sur Delilah, lui tendant l’objet : « C’est ainsi dire m’excuser de ne pas t’en avoir parler avant… »
(✰) message posté Dim 8 Mar 2015 - 15:31 par Invité
La soirée n'était pas trop froide. En fait, nous étions parfaitement bien, là à marcher tous les deux mains dans la main. La nuit, Londres était une ville complètement différente, mais tout autant magnifique. Elle était animée, éclairée. On ne pouvait pas s'ennuyer ici. Ma tête se tourna alors vers Ewan. Ce qu'il était beau à la lumière des lampadaires... Ce fut à ce moment qu'il me révéla que ça faisait deux mois que nous étions ensembles. Deux mois! Ce que le temps passait vite quand même! Je n'avais pas du tout réalisé. Je lui souris alors. « Ahhh Robin..... » soupirais-je, sourire amusé sur les lèvres. Je n'étais pas une grande romantique. Je ne l'avais jamais été. Mais je m'améliorais avec le temps, surtout avec mon bel aventurier. Ils étaient tous les deux mignons d'avoir remarqué la date. Surtout Robin. Quant à Ewan, mon bel amoureux, il était bien plus romantique que moi. Je me souvenais parfaitement de notre première sortie. Il m'avait emmené patiner et j'avais particulièrement aimé. Rien qu'à y penser, mon cœur battait plus vite. « C'est une excellente idée! » lui répondis-je. J'aimais bien passer du temps seul avec lui dans nos appartements respectifs. En fait, plutôt le sien. Parce que j'évitais le plus possible qu'Ewan vienne me rejoindre dans le bloc où je résidais. Pas à cause de mon colocataire, Robin, mais plutôt à cause de Galahad.... Il était mon voisin de pallier. Je ne savais pas ce que ce dernier ferait si jamais il croisait mon amoureux. Je préférais ne pas y penser. Mon bel aventurier avait été compréhensif sur ce point et je l'en remerciais. Je ne pouvais plus supporter tout ce drama inutile. C'en était plus que ridicule à la fin! Alors sortir, de temps en temps, ça faisait également du bien. Je serrai un peu plus la main d'Ewan dans la mienne pour y trouver un peu de réconfort.
Nos pas finirent par nous emmener au London Eye. Ewan paya notre entrée et voilà que nous étions à l'intérieur de la cabine. J'aurais pensé qu'il y aurait plus de personne présente, mais ce ne fut pas le cas. Tant mieux.... Surtout qu'Ewan choisit ce moment précis pour m'expliquer la présence des cicatrices qu'il y avait sur sa poitrine. Je l'écoutai alors avec attention, le regard sérieux. J'étais collée à lui. Je ne le regardais pas, lui non plus. Mais mes oreilles ne voulaient pas qu'il cesse de parler. Sa voix me fascinait, ses propos me rendaient triste. Je ne savais pas pourquoi. Lorsqu'il eut cessé de parler, je me serrai un peu plus contre lui. Je ne lui en voulais absolument pas de ne pas m'en avoir parlé avant. Ce n'était pas nécessairement quelque chose qu'on disait à tout vent.
La navette était désormais haute dans le ciel et la vue sur Londres était tout simplement splendide. Avant que je ne puisse lui répondre, le jeune homme sortie de sa poche une petite statuette. Cette dernière représentait un petit ourson en bois. Je le pris délicatement entre mes doigts. Il tenait à peine dans le creux de ma main, minuscule qu'il était. Je posai le regard sur Ewan. Il me regardait désormais lui aussi. « Je ne t'en veux pas.... rassures-toi! Et merci! Il est trop adorable! » commençais-je par lui dire. J'adorais son présent. Mais je ne le prenais pas comme un cadeau d'excuse. « Mais je suis heureuse que tu m'en parles à présent.... » ajoutais-je. Mais désormais quelques questions me passaient par la tête et j'avais soudainement peur de voir Ewan avoir un problème au cœur. « Y a -t-il des choses que tu n'as pas le droit de faire ou que c'est moins conseillé de faire? » lui demandais-je en me serrant encore plus contre lui.
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(✰) message posté Dim 5 Avr 2015 - 4:59 par Invité
Love is dangerous for my heart…
Delilah & Ewan
Nous nous aimons comme deux allumettes vivantes. Nous ne parlons pas, nous nous enflammons. Ne parlons plus de baisers mais d' "incendie", mon corps est devenu un tremblement de terre d'un mètre soixante-six et demi. Mon cœur s'échappe de son enveloppe-prison. Il s'envole par les artères, s'installant sous mon crâne pour devenir cerveau. Dans chaque muscle, jusqu'au bout des doigts, le cœur! Soleil féroce, partout. Maladie rose à reflets rouges. ✻✻✻ Je dois bien avouer que plus la nacelle montait, plus je redoutais cette instant. Forcement je devais y passer, je ne pouvais pas lui cacher cela éternellement moi qui ne suit pas si humain que ça, avec ce cœur d’artifice. Je tente alors de lui expliquer, je m’étonnais encore d’avoir autant de souffle pour déblatérer autant de chose. Je lui raconte alors le jour de ma naissance, chose qui n’est pas si facile quand on y pense. J’aurais jamais acceptait cela, ce n’était pas si normal ; bien que la normalité ne fait plus partie de ma vie depuis longtemps. Au nombre de chose que j’ai vu, et que j’aurais aimé lui faire voir. Alors que je tenais cette petite statuette en bois que je lui glissai dans le creux de sa main. Mon regard se pose enfin sur elle, mes joues rougis légèrement alors qu’elle m’avoua :« Je ne t'en veux pas.... rassures-toi! Et merci! Il est trop adorable! » J’eu un leger sourire alors qu’elle accepta mon cadeau, bien que pour moi c’était un cadeau je garde alors sa main dans la sienne jouant a caresser l’intérieur de sa paume un peu par nerveuse je dois bien avouer car je savais que la conversation n’était pas finit, je la connaissais que trop bien sa curiosité qui me faisait chavirer mais je devais le supporter et lui nourrir sa curiosité car finalement je voulais qu’une chose qu’elle sache tout sur moi, je ne voulais pas être simplement son bel aventurier… Je voulais qu’elle soit la bonne… « Mais je suis heureuse que tu m'en parles à présent.... » C’est en voyant son regard que je vis les questions defiler devant ses yeux je lui avoua : « Je sens que tu as des questions » disais-je d’un leger sourire ironique alors que j’étais tenté de sauter de la nacelle mais elle commencait a peine sa descente : « Y a -t-il des choses que tu n'as pas le droit de faire ou que c'est moins conseillé de faire? » Je me suis mis a sourire : « Je te montrerais le dossier… Mais en résumé, je dois éviter tout excitant, Café, Thé et chocolat et d’autre… Mais le principale et que je fasse attention… Bien qu’il m’est arrivé avant que même une surchage… d’amour ai pu me rendre fébrile… » La pire erreur a dire, j’essayais alors de me rattraper et j’ajouta : « Mais maintenant c’est différent, j’ai moins de contrainte depuis un an, regarde… » L’exemple qui tue je remonte sa main le long de mon torse pour la poser prêt de mon cœur, il était calme et montrais quelque signe d’augnementation cardiaque du à ce que je ressentais pour elle : « On est seuls dans un espace clot, sans sortit possible… Ce que j’éprouve pour toi… Aurait pu me rendre malade à l’époque, mais maintenant je suis plus fort… Je pourrais t’aimer bien plus que je n’aurais aucun probleme… Ce qui signifie bien que tu n’es pas quelqu’un d’ordinaire… surtout pour moi Delilah. »
(✰) message posté Mar 14 Avr 2015 - 1:51 par Invité
Je tenais son cadeau entre mes doigts. Je n'avais pas réalisé à quel point je le serrais fort. L'ourson était si beau si rassurant. D'une certaine façon, je m'y raccrochais pour ne pas sombrer dans le doute et les dilemmes. Je revins à la réalité lorsque le jeune homme me demanda si j'avais des questions par rapport à la condition de son cœur. Oui, j'en avais des tas, mais je n'osais pas le les lui poser. Une d'entre elles franchi tout de même le seuil de mes lèvres sans que je ne puisse la retenir. Y avait-il des choses qu'il ne pouvait pas faire? Après tout, c'était fort possible, non? Je n'étais pas médecin, je n'avais aucune connaissance dans ce domaine, alors il fallait qu'il m'éclaire de lui-même. Parce que je ne désirais pas faire un faux pas avec lui et risquer sa vie. Elle m'était trop précieuse. J'aimais Ewan plus que tout et je ne désirais en aucun cas le perdre. Une nouvelle question m'effleura alors l'esprit, mais je ne la formulai pas tout de suite à haute voix. Mettait-il sa vie en danger parfois lorsqu'il était avec moi? Le jeune homme m'avait répondu qu'auparavant même une surcharge d'amour pouvait mettre sa vie en danger. Il m'avait assuré cependant que ce n'était plus une contrainte depuis un an. Ewan approcha alors ma main de son cœur pour que j'en ressente les battements. Je lui fis un petit sourire, légèrement rassurée. Ces derniers étaient normaux. « J'ai eu peur pendant quelques instants que je pouvais te faire avoir une crise cardiaque! » lui dis-je, me forçant à rire un peu. Je n'avais pas réalisé à quel point j'étais tendue. Chaque fibre de mon corps finit par se détendre petit à petit tandis que l'homme de ma vie continuait de parler, tentant de me rassurer du mieux qu'il le pouvait.
S'en suivit une véritable déclaration d'amour. Sans le vouloir, quelques larmes coulèrent le long de mes joues. Mais elles n'étaient pas issus de la tristesse, mais bien de la joie. J'avais eu l'impression durant un moment qu'il ne ressentait pas tout à fait la même chose que je ressentais pour lui. Parce qu'en ce moment-même, mon cœur battait la chamade dans ma poitrine. Il le faisait à chaque fois que j'étais en sa présence. L'entendre me dire tout ça eut l'effet de me faire sourire encore un peu plus. « Tu vas me faire pleurer avec tes belles paroles, mon bel aventurier! » lui dis-je, souriant malgré les fontaines qui sortaient de mes yeux. Mon maquillage était en train de couler, ça en était certain. Je vais faire peine à voir. Je ne savais pas pourquoi j'étais si sensible d'un seul coup. Peut-être parce que je n'avais pas nécessairement réalisé avant jusqu'à quel point j'étais amoureuse du jeune homme. « Tu n'es pas quelqu'un d'ordinaire pour moi non plus mon bel aventurier.... Je t'aime... » lui dis-je, me serrant un peu plus contre lui. Je tenais toujours son cadeau entre mes doigts. Il faudrait bien que je lui trouve quelque chose de spécial pour le remercier. « C'est vraiment beau Londres comme ça avec toutes les lumières... Je ne pouvais pas rêver de plus romantique! » ajoutais-je avant de l'embrasser une nouvelle fois. Je vins ensuite nicher mon nez dans son cou, histoire de me sentir en sécurité, encore plus que je ne l'étais déjà.