| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 14:23 par Invité |
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Gabrielle Rowena i’m only afraid of what i want » Date d'inscription : 18/05/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : alycia & jamie
| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 15:49 par Gabrielle Rowena - Citation :
- Olivia Newton-John
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| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 17:46 par Invité « Je me doute que ça ne me regarde pas, mais vous avez des rêves, des envies pour votre futur? Je veux juste m'assurer que l'on s'occupe de vous comme il faut vous savez. C'est le rôle d'un tuteur et je prend ce rôle très à cœur. Vous êtes à vrai dire ma première stagiaire alors c'est important, autant pour vous que pour moi.» |
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Alycia Hemsworth growing strong » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 18:52 par Alycia Hemsworth |
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| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 19:10 par Invité |
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Alycia Hemsworth growing strong » Date d'inscription : 15/02/2014
» Pseudo : margaux ; stardust
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 19:11 par Alycia Hemsworth - Citation :
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- Code:
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[quote="Lizzie R. B. Spencer"] |
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| ( ✰) message posté Sam 7 Mar 2015 - 19:56 par Invité - Spoiler:
Pour ce qui est de la scénographie, nous avons opté pour la simplicité, le but étant entre autre de représenter un intérieur commun qui contraste avec l’absurdité de la situation, à savoir, l’attachement (physique) des deux protagonistes. Nous avons donc choisi une couleur neutre, le blanc, pour habiller les murs. La nappe est également blanche, longue elle recouvre toute la table et dissimule le lien qui unit l’Homme à la Femme. Nous aimons à penser que cette scène puisse être jouée, rejouée, encore et encore comme les scènes de « En attendant Godot » et « Fin de Partie » de Becket. La temporalité semble absente, l’horloge présente mets en exergue ce non encrage dans une temporalité précise. En effet, il arrive, qu’en fonction de la vivacité des propos et des échanges verbaux, l’horloge se mette à accélérer tout d’un coup. Pour les costumes de deux protagonistes, nous avons choisi de faire porter aux personnages, des vêtements noirs qui mettent en exergue, dans la première partie de la scène, cette idée que le couple est en deuil, que l’amour qui unissait ces deux êtres, est à présent mort. Puis passé cette partie, dès que l’Homme tente de reprendre le pouvoir et de ramener sa Femme à lui, ce dernier enfile une veste rouge qui dénote avec l’ensemble noir que porte sa Femme. Il y a dès lors quelque chose de très ardent, de viril, l’image même du toréador, qui cherche à attirer la Femme vers lui, par le biais de cette corde qui les lient l’un à l’autre. À partir du moment où la Femme lance le « Je te quitte » la scène change, le rythme aussi. La Femme quitte la table et nous découvrons qu’elle est attachée à l’Homme. La confrontation de par l’opposition, se fait de plus en plus virulente. L’Homme cherche à la ramener la Femme vers lui et cette dernière cherche à fuir. La corde, au même titre que les répliques, instaure un jeu rythmique qui ne peut être improvisé. Il y a dès lors un véritable travail chorégraphique réalisé en amont. Un travail nécessaire pour nous éviter de tomber dans la répétition, une répétition susceptible de casser le rythme.
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