la Creamy Deluxe est vraiment la meilleures des sauces de chez Macdonald's.

Nous vous demandons un minimum de 500 mots pour votre histoire. Vous pouvez la présenter de la forme que vous le désirez (extrait de journal intime, RP, rendez-vous chez un psychologue, interview, ect...).
« C'est une fille ! » Ainsi fut la première phrase à mon égard quand je suis venu au monde. Un papa et une maman comblés d'avoir eu son premier enfant. Un enfant prématuré, mais à la grâce de Dieu,  ce n'était pas grave.
Mon nom, Brooke, rend hommage à ma cousine que je n'ai pu connaître qui est morte un jour après ma naissance. Donc la jolie, l'émotion était mitigé à ma venue on va dire. Mes années de nourrissons étaient parfaite : avec une mère qui gérait une école maternelle je fus mise vite sur pied et les punitions à cause de mes bêtises étaient juste. Ma propreté à mes 4 ans était un jeu d'enfant. J'avais eu une grande complicité avec ma mère, je la voyais à chaque récrée, elle me donnait un goûter, toujours à me consoler, c'était l'attrape-bobo de mon enfance. Bref, la maman parfaite que tout le monde rêve d'avoir. Tu me diras : ta vie elle est parfaite dis-moi ! Bah non enfaîte. Pas si parfaite que ça si on en vient au père. Un père peu présent, soi-disant « travaillant » alors qu'il passa ses journées à traîné avec ses potes, les soirées couilles à volonté et les boîtes de nuits à la même occasion. A ce moment là, je pense que mon père était partie dans une sorte de crise de la cinquantaine ce qui montra un tempérament de gamin vis à vis de sa famille, travail etc. Ce qui força ma mère à le quitter définitivement. Et c'est à ce moment là que, même si ils étaient encore ensemble, il avait eu affaires à plusieurs plans durant ces soirées-là. A toute manière, maman s'en doutait un peu. Les années passèrent et me voici en primaire. Quel changement ! Les légos étaient remplacés par des livres et les poupées par des cahiers & crayons. En primaire, on recevait l'aide de nos parents pour les devoirs, moi pas. Depuis qu'elle avait divorcé ma mère c'est laissé prendre par le démon de la tristesse ce qui se montrait par rapport à l'apparence vestimentaire : une jeune femme prenant soin de son apparence maintenant une femme prenant un simple joggings un tee-shirt, veste et chaussure simple. Et pleins d'autre choses. Donc j'ai eu une maturité, un sens de l'organisation et une autonomie super jeune. Voilà comment se passa ma « belle » époque en école primaire, avec des loups touchent-touchent, des secrets entre copines, des bisous sur la joues avec les garçons. Dites-vous bien que ce bouleversement familiale alors que j'étais si petite, je la comprenais assez bien et ça ne m'empêcha pas à me faire des tas de copines. Mais au collège je commençais à me faire plus transparente, discrète et mystérieuse suite à une prise de poids énorme que j'ai pu avoir à cause de ma situation familiale qui dégénéré : je manquais à mon père. Ma mère pas d'accord c'est battu pour en aller devant un juge spécial. Et j'ai du la suivre durant ce parcourt car le noyau de cette embrouille c'était moi. Ma mère avait du fermer son école à cause d'un effectif dissous de mois en mois. Ne pouvant plus me nourrir, m'habiller enfin vous m'avez compris. Elle m'a donc mis au foyer où j'ai pu rencontrer mon premier amour, mon seul & unique. Qui a pu me donner un brin d'eau vif dans ma petite vie toute fanée. Ma première fois avec lui. Puis une soirée aussi avec lui. Une soirée que je hais depuis longtemps. Il était un peu saoul, je vous jure que je l'ai retenue. Mais il a préféré partir et pourtant il m'avait promit que demain il allait venir me chercher à ma chambre du foyer pour qu'on aille ensemble au lycée. J'ai attendue : 10 mins, 30 mins, 1 heure. Je décide de l’appeler. Pas de réponse, mais un appel, l'appel qui va me mettre dans une espèce de dépression un appel m'annonçant sa mort. J'ai repris mes anciennes habitudes : manger, manger, pleurer, pleurer, manger tout en pleurant. Et ça pendant de nombreuses années. Puis j'ai grandit, j'ai apprit avec le temps d'accepter sa mort & la vie de merde que j'ai pu avoir enfin, mon début de vie. C'est sa la différence. 23 ans, un bon moment déjà que j'ai quitté le foyer. Mais là j'ai envie de changer d'air, du renouveau. Alors, c'est partit pour une nouvelle vie à Londres.