| ( ✰) message posté Dim 25 Jan 2015 - 19:13 par Invité
Blake Y. Powell London calling to the faraway towns NOM(S) : Powell PRÉNOM(S) : Blake, Yuri ÂGE : 25 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 15 Janvier 1990, à Londres en Angleterre. NATIONALITÉ : Anglais et Néerlandais. STATUT CIVIL : Célibataire. MÉTIER : Bras droit de son père dans une entreprise de finances. TRAITS DE CARACTÈRE :impulsif, rêveur, distant, cherche merde, renfermé, torturé, asocial, manipulateur, lunatique, drôle(parfois ew) fragile psychologiquement, violent. GROUPE : Blake cabs
| My style, my life, my name
Blake a des relations plutôt compliquées en ce qui concerne sa famille, car, effectivement, entre l’amour et la haine, il n’y a qu’un pas à franchir. Haïssant sa mère, adulant son père, sa petite sœur, elle, c’est alors retrouvée au milieu des deux, il l’aime, il la haït, il la protège, il la harcèle, il se rapproche, puis il s’éloigne, et il a beau en souffrir, et la faire souffrir au passage, pour lui, tout est de la faute de sa « petite conne de frangine. » Et si ses relations avec sa famille sont compliquées, celles avec les autres le sont encore plus, plutôt élitiste, il a tendance à s’entourer des personnes par profit, et à n’entretenir des vrais relations qu’avec certaines personnes triées sur le volet. En soit, il est officiellement hétérosexuel et officieusement bisexuelle (et si son père venait à l'apprendre, il regretterai rapidement ces attirances), il croit en les tensions sexuels et au fait de les assouvir, même si il préfère rester seul que de devoir supporter une personne. Pour lui, être en couple, c’est encore pire qu’adopter un chien, en plus de devoir s’en occuper, ça parle et ça fait des thèses sur l’amour. Il n'est pas religieux, la seule chose en à la quelle il croit, c'est en l'argent et au pouvoir. Il adore la bouffe chinoise, tout le monde s’en fout, mais il aime bien le rappeler. La chose qu’il déteste le plus est la drogue, toutes sortes, que ce soit dure ou douce, les fêtes, raves, ou soirées en tout genre. Les drugs addicts sont rayés de sa liste de fréquentations. Tout autant que les Abberline. Sinon, il boit, parfois et il devient alors tout de suite beaucoup plus agréable. Il est fan de cinéma et de séries, quand il est seul, c’est qui l’empêche de devenir cinglé, il a même une carte d’abandonnement au cinéma du coin, et s’il n’avait pas suivi les traces de son père, il aurait aimé travailler dans ce secteur. Il est manipulateur, souvent grâce à son physique, mais aussi grâce à son sens de l’humour qui peut parfois paraître plutôt étrange… Même souvent. En fait, à bien y penser, non, son sens de l’humour n’est pas un atout de drague… Bien qu’il croit que si. « Tais-toi et sois beau. » Pas vrai ? En plus d’aller fréquemment à la salle de gym et de faire du footing (il faut bien entretenir ce corps d’apollon), il va régulièrement voir une psychologue, et ça, personne ne le sait, et personne ne doit le savoir, surtout pas son père. Son père à une énorme influence sur sa vie. Il peut devenir violent pour un rien,il peut péter un câble, puis revenir à la normal en quelques minutes. Il était mauvais à l’école, ce qui fait qu’après ses dix-huit ans, il est tout de suite devenu le bras droit de l’entreprise de son père, ainsi, depuis, il vit en colocation, car, bien qu’étant asocial, il ne supporte pas d’être seul trop longtemps. Il n’est ni empathique, ni altruiste, ne vous attendez pas à qu’il vous offre des fleurs, et même un pissenlit (se baisser et risquer de se froisser un muscle pour faire plaisir à quelqu’un ? JAMAIS), par contre, quand il vous fait un cadeau, il risque d’être inoubliable.
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PSEUDO : écrire ici. PRÉNOM : Léa (la blg) ÂGE : 16 ans. PERSONNAGE : scénario. AVATAR : Sam Way. CRÉDITS : écrire ici. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : J'ai tapé "rpg sur forum", puis j'ai cherché les meilleurs, et je suis tombée sur lui. CE COMPTE EST-IL UN DOUBLE-COMPTE?: Nope. At the beginning
Ses bras posés avec nonchalance sur les accoudoirs du fauteuil, le regard fixe, et son costume bleu marine d’une impeccabilité déconcertante. Son impassibilité, ses cheveux bruns légèrement en batailles et ce tic agacé qu’il fait, yeux plissés, main passée sur son visage, ses dents mordant sa lèvre inférieur.
« Blake, qu’est-ce qu’il se passe ? » « Rien. » Un temps. Le bruit régulier de l’horloge lui tambourine le crâne, tandis qu’il passe une nouvelle fois sa main sur son visage, ses yeux fixant avec un vague intérêt les papiers présent sur le bureau. « Ca fait six ans qu’on se voit maintenant… » « … tellement d’argent jeté par les fenêtres… » Coupe-t-il avec un rictus amer aux bords des lèvres. « .. Et après toutes ces années, je pense te connaître… Même très bien, d’ailleurs, donc dis-moi ce qu’il se…. » « ...Vous êtes une psychologue, vous ne me connaissez pas, vous croyez juste me connaître… Disséquer le cerveau d’une personne ne veut pas dire qu’on la connait. » Toujours sur la défensif. C’est son moyen de la faire languir, et de se cacher, aussi, mais partiellement, le temps d’un instant. Elle le sait, lui aussi.
Son corps penché en avant, ses coudes sur le bureau en chêne, et ses cheveux blonds flottant sur sa poitrine, la femme, elle, a le regard tout aussi fixe que son jeune interlocuteur tandis qu’elle attend avec impatience le moment fatidique ou son client bien énigmatique finira par craquer. Ou, dans un dernier instant d’hésitation et d’agacement, il laissera échapper un soupire, et se repositionnera dans son fauteuil, prêt à laisser tomber les armes. Un léger bruit, un soupire, le cuir d’un fauteuil qui bouge. Il relève le regard vers la blonde, elle esquisse un léger sourire. Léger comme tout, elle ne voudrait pas le faire fuir. Tellement difficile à capturer… Et encore plus à garder.
« J’ai revu ma sœur aujourd’hui… » Il s’arrête, elle attend. Tellement difficile… « … Je l’ai aperçu, plutôt, je marchais dans Londres, seul, comme d’habitude, l’entreprise se portait bien, mon père n’avait plus besoin de moi pour quelques heures, donc je suis sortis, et la, entre Chinatown et Picadilly Circus, je l’ai vu. Et c’est tout. Non, je ne suis pas allé lui parler, je ne l’ai même pas approché… Je suis juste resté bloqué en plein milieu de la rue, pendant une minute, puis je suis allé chercher mon déjeuner. De toute façon, qu’aurai-je pu faire d’autre ? Aller lui parler ? Cette petite conne ne comprend rien, ça aurait été totalement inutile… Je la voyais rire avec un homme, comme elle riait avec l’autre toxico… Ça m’a écœuré toute cette faiblesse, toute cette niaiserie qu’elle dégageait… Elle va encore se faire avoir, puis elle va pleurer, et elle va recommencer, comme toujours, elle ne change jamais. Rien ne change… Mais cette fois si, je ne serai pas là pour qu’ils s’éloignent d’elle, elle va devoir se débrouiller seule, sans moi… Elle gâche vraiment tout… Elle pourrait être au-dessus de tout, elle est née avec ce truc qui fait que tout le monde l’aime, tout le monde l’adule, mais elle en fait de la merde, et elle devient vulnérable… Et conne. Ils l’ont toujours tous aimés, elle s’est jamais rendue compte de la chance qu’elle avait, j’ai même essayé de la protéger de sa stupidité, mais certaines personnes sont faites pour être détruites, j’pense… Elle et sa perfection… Combien de fois j’ai entendu ma génitrice dire ça… Quelle femme ignoble… Encore une complètement conne… La seule chose qu’elle m’a apporté, c’est de ne pas s’occuper de moi, et d’être parti quand j’étais adolescent, j’suis pas devenu comme Angèle, comme ça… Père peut être fier de moi, j’ai pas sombré… Je ne suis pas devenu un de ces êtres tellement accro aux autres qu'ils en viennent à en souffrir... Enfin, je cr...»
Un bip sonore perturbe sa tirade, alors que la psychologue se relève avec une pointe d’agacement. Le brun sort alors son téléphone, et, tout aussi vite qu’il avait commencé à parler, il se relève, et enfile sa veste.
« Mon colocataire, je dois y aller. » « Blake ! Avant de partir… » Il se retourne, lasse, alors que sa main est déjà sur la poignée de porte. « … joyeux anniversaire. Vingt-quatre ans, ça se fête, non ? » « Non, mais merci, à la semaine prochaine. »
Et il sort, parce qu’il n’a plus rien à faire ici… Car, après tout, n’en avait-il pas déjà trop dit ?
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