"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici I die eveytime i walk away- Nate & Sam  2979874845 I die eveytime i walk away- Nate & Sam  1973890357
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I die eveytime i walk away- Nate & Sam

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
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() message posté Dim 28 Déc 2014 - 1:23 par Invité
La nuit est tombée depuis longtemps et le jour sera bientôt levé. Je ne suis pas rentré de la nuit. J'ai traîné dans les bars encore une fois. James était avec moi et nous avons passé notre temps à boire et à danser avec des parfaits inconnus. Faire la fête est le moyen pour moi d'oublier. Oublier que je suis seul, oublier que j'ai mal et que je souffre. Oublier pourquoi j'ai commencé à boire et tout le reste. Le fait de ne plus avoir de job me permet de profiter un peu plus chaque jour de mon temps libre. Je le passe à boire la plupart du temps. J'arrive encore à me retenir en journée, mais plus le soir. C'est devenu automatique, presque comme les sachets de poudre de James. Enfin, pas à ce point là, ce n'est que la deuxième fois que je lui en achète à vrai dire. On s'éclipse un moment dehors pour procéder à notre échange, l'argent contre la drogue. Je ne pensais pas être observé. Je ne pense à rien d'autre quand je suis soûl que d'oublier. J'ai besoin de tout ça pour survivre.
On retourne un moment dans le bar et je ressors largement éméché. J'appelle un taxi, du moins je crois que c'est un taxi que j'ai appelé. Je n'ai pas réellement vu le numéro sur mon portable tant mon esprit est altéré par l'alcool. J'attends un moment et le taxi arrive enfin. Je m'y glisse à l'intérieur mais je n'ai pas envie de rentrer maintenant. Il est trop tôt. J'indique au chauffeur une adresse, mais je ne me suis pas rendu compte que ce n'était pas la mienne. Lorsque j'arrive devant chez Nate je paie le chauffeur et monte les escaliers. Je n'ai plus besoin du code à présent, je suis déjà venu plusieurs fois chez lui. Je frappe à la porte avec insistance. Je suis plutôt euphorique, complètement HS surtout. Je ne me rends toujours pas compte qu'on m'a suivi jusqu'ici. La porte s'ouvre et j'entre en trombe, ou plutôt à moitié affalé à sol sur lequel je me laisse tomber. De bas je vois la tête de Nate, évidement il est à l'envers pour moi et ça me fait rire.

« Je n'avais jamais remarqué à quel point t'es sexy vu d'en bas.»

Je ris sans me rendre compte que je suis presque grotesque et surtout très stupide. Je ne sais même plus pourquoi je suis venu le voir. Je me rends compte que je ne suis pas vraiment chez moi et une fois encore je ris.

« Je crois que je me suis trompé de maison.»

Je me retourne et marche jusque son canapé. Il va encore me faire la morale ou pas, maintenant que je sais qu'il me comprend peut-être qu'il me dira rien, enfin pour le moment il ne risque pas de voir le sachet dans la poche arrière de mon de jean, non cette fois je l'ai bien caché et je ne l'ai même pas entamer. Il va peut-être boire avec moi et c'est eut-être pour ça que j'ai pensé à venir chez lui, pour être moins seul.
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Anonymous
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() message posté Mar 30 Déc 2014 - 23:26 par Invité
Une soirée banale, une énième ronde, une autre nuit sans sommeil. Contrairement à ses collègues, Sam aimait les gardes qu’on lui donnait, et n’hésitait pas à en demander d’autres. Le terrain était son allié, et l’aidait à oublier ses tourmentes quotidienne. Elle aimait rouler dans ces rues, surveiller, épier. La plupart du temps, elle ne trouvait rien, mais ce n’était pas un problème. Tout était mieux que le silence une fois qu’elle retrouvait son lit. Tout était mieux que la solitude, et les pensées qui envahissaient son esprit. Dans son véhicule de fonction camouflé en véhicule de civil, elle ne pensait à rien, elle faisait le vide. Elle observait, cherchait, et le temps passait. Shoreditch était un quartier où il n’était pas rare de trouver des bagarres le soir, et Sam espérait pouvoir rendre sa garde un peu plus intéressante. Elle passe devant un bar bondé, mais ne voit rien qui l’oblige à s’arrêter. Il n’y avait ni prises de bec, ni comportement indécents. Elle s’apprêtait à tourner sur le prochain carrefour lorsqu’elle remarqua deux types, un peu éloignés de l’entrée du bar, occupés à un échange en toute discrétion. Doucement, elle gara sa voiture sur le bas côté et plissa les yeux pour en voir un peu plus sur le trafic. Il pouvait demander une cigarette, ou simplement recompter les sous après leur soirée bien arrosée. Mais en regardant bien, Sam vit l’un des type donner de l’argent à l’autre. Finalement, après avoir recompté, l’autre tendit discrètement un sachet à son interlocuteur. Sam était depuis suffisamment longtemps dans la police pour savoir qu’il ne s’agissait pas de levure à gâteaux. Sa soirée devenait intéressantes. Les deux types retournèrent dans le bar, et elle s’installa un peu plus confortablement pour attendre. Elle mangea son sandwich sans quitter le bar des yeux, et finalement, quelques temps plus tard, un des gars ressortit bien éméché. C’était celui qui avait reçu la drogue. Elle hésita un instant, ne voyant pas l’autre sortir lui aussi. Fallait-il suivre l’un ou l’autre ? Le dealeur pouvait déjà être loin. Et elle pouvait encore empêcher l’autre de prendre le contenu du sachet. Alors elle se redressa en le voyant prendre un taxi, et commença à le suivre, sans trop le coller. Vu son état, il ne devait pas vraiment faire attention à quelle voiture lui collait au train. Le taxi s’arrêta devant un immeuble, et Sam quitta rapidement son véhicule pour ne pas le perdre. Elle prit sa plaque, son flingue, et le suivit dans l’immeuble, gardant une certaine distance cependant. Il monte quelques étages, et lorsqu’il arriva devant une porte, elle resta cachée dans la cage d’escaliers. Il rentra dans un appartement, et elle sortit de sa cachette pour se placer devant la porte qu’il avait emprunté. Ni une ni deux, elle frappa trois coups dans la porte, pointant son flingue devant elle. « Police, ouvrez ! » Sa voix se faisait forte, et n’amenait à aucune hésitation. Il ferait mieux d’ouvrir, rien ne servait de défoncer la porte, même si la soirée n’en deviendrait que plus intéressante.
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Nathanael E. Keynes
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() message posté Jeu 1 Jan 2015 - 20:42 par Nathanael E. Keynes
I die everytime I walk away

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Lundi 15.12.2014 • East London • Shoreditch • Home
La vie suit son cours, j'enchaîne les journées au journal, commence déjà à avoir tendance à faire des horaires de malade alors que je viens d'être embauché, et que je suis clairement pas censé être le type indispensable de la boîte, mais enfin... Kaspar est rentré, on reprend les répét, on jouera même ce week-end pour un orphelinat près de chez moi, et je suis le week-end au bar. Je m'inscrirais presque dans une sorte de routine ennuyeuse à mourir, mais au fond, j'ai bien assez à faire, tout le temps, pour être loin de l'ennui profond. Et puis Noël approche, et cette période me fait toujours un certain effet, même si je suis toujours pas un grand fan des soirées en famille. Drôle de paradoxe, quand on y pense, mais c'est comme ça.

La semaine vient juste de commencer, et je suis rentré tard, mais plutôt satisfait de ma journée. On s'est un peu pris le bec avec Boss, comme d'hab, mais ça, ça changera pas de sitôt. Ce soir, j'ai pas trop envie de passer une heure en cuisine, si bien que j'ai commandé une pizza et ouvert une bière, un peu tout seul comme un con dans mon salon. Définitivement, je préférais quand Kaspar était là. Mon appart me semble vide, à présent, et si j'apprécie la nouvelle disposition des pièces depuis qu'on a cassé la cloison qui constituait ma chambre pour l'éloigner du mur mitoyen de celui d'Adri - ce qui au passage me permet de profiter d'une plus grand fenêtre, tout bénef - je peux pas m'empêcher de me dire qu'il y manque, clairement, quelque chose. Une présence, indubitablement. Quand je rentrais du bar, ça me choquait pas tant, il était tard et soit je rentrais pas tout seul, ce qui agrémentais sympathiquement ma nuit dirons-nous, soit je ne passais ma porte que pour m'effondrer dans mon lit. A présent que j'ai un boulot plus conventionnel et que la majorité de mes soirées, je les passe seul ici, ça me frappe et... ça me plaît pas beaucoup.

D'autant moins que je ramène plus personne, à part Stan, parfois, mais c'est encore autre chose, ce n'est plus la même démarche. Ca nous arrive encore de dormir ensemble, et j'avoue que je songe fortement à lui envoyer un message, lui demander s'il veut passer regarder un film ou je ne sais trop quoi, histoire de nous tenir mutuellement compagnie quand des coups insistants sont frappés à ma porte. Mon téléphone regagne la table basse et je vais ouvrir, surpris de voir le visage de l'ancien stripteaser dans le judas.

« C'est drôle ça Hotstuff, j'allais justement t'a... »

J'ai à peine ouvert la porte qu'il entre en trombe, à moitié à terre une seconde, complètement étalé au sol l'instant d'après. Et il éclate de rire en me voyant d'en bas.

« ... -ppeler.
- Je n'avais jamais remarqué à quel point t'es sexy vu d'en bas.
- Ca, c'est parce que tu m'as jamais laissé l'occasion de te le montrer... La soirée a été bien arrosée, non ? »


Nouvel éclat de rire de sa part, sans que je sache trop ce qui motive son hilarité, et je me démerde pour passer au-dessus de lui et fermer la porte.

« Je crois que je me suis trompé de maison.
- Sans blague... T'avais tant envie que ça de me voir ? »


Il s'est relevé comme il a pu, rampé plus ou moins jusqu'à mon canapé.

« De voir mon canapé, surtout... »

Blague de merde. J'aurais bien proposé de lui ouvrir une bière à lui aussi, ou qu'il prenne une part de pizza - j'ignore s'il aime le fromage, par contre, et vaudrait mieux parce qu'elle en est bourrée - histoire d'éponger ce qu'il a déjà ingurgité, mais on a à nouveau tambouriné à la porte, et j'ai froncé les sourcils.

« Police, ouvrez ! »

Ok, ça, ça n'annonce rien de bon. Pas avec un Stan en état second dans mon salon. Et je me demande s'il est juste saoûl, ou également défoncé, cette fois.

« OK. T'as pris quoi cette fois ? »

Je sais pas si je veux une réponse à cette question. Par contre...

« Rassure-moi... T'as pas ramené de cette saloperie encore chez moi ? »

Je crois que j'ai pas besoin de réponse réelle à cette question. Et je me rapproche de lui, visiblement en colère, mais parlant à voix très basse - et sans doute que ça donne un peu plus de poids à mes propos.

« Y a une flic sur le palier. T'as de la drogue sur toi. Tu crois qu'il se passe quoi quand j'ouvre cette putain de porte ? »

Bon... En même temps, sans injonction écrite d'un juge et sans mon accord, elle rentrera pas dans mon appartement - à moins de vouloir être elle-même hors-la-loi - mais ça, il n'est pas obligé de le savoir.

« Tu vas me faire le plaisir de jeter cette merde tout de suite, avant que je lui ouvre pour pas qu'elle me défonce ma porte. »

Et je plaisante manifestement pas une seconde. Pas avec ça, clairement. Quant à la fliquette, si elle décide d'enfoncer ma porte, je suis clairement pas d'humeur à laisser courir, et elle peut bel et bien compter sur moi pour porter plainte pour entrée par effraction, violation de domicile et détérioration de bien privé.
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() message posté Dim 4 Jan 2015 - 11:57 par Invité
Je suis toujours à terre le regardant tête en bas, c'est fou ce qu'il est sexy dans toute les positions. Je sais que cette réflexion peut paraître étrange mais, ne faite pas attention. Je suis bourré ne l'oubliez pas. J'ai ris une fois de plus à sa remarque et me suis dirigé en rampant vers son canapé que je commence à bien connaître. Je dois avoir l'air fin comme ça, quelle belle image de moi je lui donne. Je lui souris encore lorsqu'il me dit que j'avais visiblement envie de voir son canapé plus que lui. Je m'étale comme une crêpe et lui dit avec un énorme sourire:

« Oui trop, il me manquait tellement ce canapé.»


Heureusement que je n'ai pas vraiment conscience de la stupidité de mes mots. Je rigolerais moins demain matin. Et puis on frappe à la porte, il semblerait que les flics soient venus jusqu'ici. Pourquoi ça c'est un mystère. Je ne me rappelle pas d'avoir pris quelque chose et j'ai oublié que je venais d'acheter de la drogue à James. Je fronce les sourcils réellement surpris oubliant que le sachet est dans ma poche arrière. Il a l'air fâché, très très en colère même et je ne sais pas pourquoi mais, je continue de sourire comme un con, comme si tout ça n'avait pas d'importance et ça n'en a pas pour moi pour l'instant.

« Je n'ai rien pris du tout. Je tu jure. C'est peut-être une erreur, je ne sais pas, va lui ouvrir au lieu de m'accuser directement.»


Si je me met à m’énerver aussi ça va devenir dangereux. Je reste assis dans son canapé avec un air déterminé et puis sans savoir pourquoi je me lève et me dirige difficilement vers la porte sur laquelle je m'appuie puis je regarde Nate avec un air de défi :

« Tu n'a qu'à voir, qu'elle rentre, si elle veut. Je n'ai rien à cacher. »


En fait si , j'ai des tas de choses à cacher mais, je n'en ai pas le souvenir parce que j'ai trop bu pour que tout ça soit clair et j'ouvre la port et tombe nez à nez avec une flic que je connais déjà. L'officier Oswald-Bower, elle ne m'avait pas manquée. C'est elle qui s'est occuper de mon cas au moment de mon agression, du moins elle était venue me poser des questions mais, je n'ai pas été très coopératif et je n'ai même pas porté plainte. Je lui souris me tenant à l’entrebâillement de la porte.

« Bonsoir capitaine Oswald, vous êtes en beauté ce soir.»


Je souris toujours comme un idiot et je n'ai pas conscience de ce qui se passe réellement l'esprit embué par l'alcool. Je suis juste entrain de me vendre au loup sans m'en rendre compte.
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() message posté Lun 9 Fév 2015 - 19:54 par Invité
Elle réglait des milliers de cas comme celui-ci. En étant dans la police, les affaires s’enchainaient et se ressemblaient souvent. Il ne s’agissait pas tous les jours de tueurs en série ou de prise d’otages. Non, la plupart du temps, Sam interrogeait des gosses qui fumaient de mauvaises choses, ou des femmes qui se plaignait d’un vol alors qu’elles ne se souvenaient plus où elles avaient laissé leur téléphone. Elle était habituée aux mensonges, aux manigances, aux sourires qui tentaient de l’amadouer. Mais en prenant ce job, elle avait appris à laisser sa sensibilité au vestiaire pour ne pas se faire avaler. Chose assez étonnant vu sa petite taille. Difficile d’en imposer quand on dépassait de peu le mètre cinquante. Elle s’était pourtant fait une place dans la police, et un petit nom parmi la petite délinquance du quartier. Ce soir encore, il ne s’agissait pas d’une grosse enquête, mais elle faisait son travail. Elle avait vu quelque chose, elle avait suivi quelqu’un, et maintenant il fallait agir. La brune avait attendu un petit moment dans le couloir pour être sûre qu’il s’agissait bien du bon appartement. C’était de la routine, mais Sam était une femme assez méticuleuse. Elle ne voulait pas avoir à rédiger un rapport sur ses propres compétences à la fin de la journée. Après quelques minutes, elle finit par tambouriner à la porte, une arme à la main. Elle doutait de son utilité, mais il était plus simple de parler sérieusement. C’était étonnant comme la vision d’un revolver pouvait calmer les ardeurs des coupables. L’appartement semblait être animé, et des voix lui parvenaient de derrière la porte. Deux personnes, peut-être trois. Non, deux. C’était surtout deux personnes qui n’ouvraient pas la porte. Le sang montait aux tempes de Sam alors qu’elle tambourinait une seconde fois. À peine eut-elle achever ses coups que la porte s’ouvrit enfin sur un visage qui lui sembla familier. À la vue de sa silhouette, il était clair que c’était l’homme qu’elle avait suivi jusqu’ici, mais il y avait plus. Elle avait du mal à remettre un nom sur ce visage mais il était clair qu’elle le connaissait. Peut-être qu’elle l’avait déjà arrêté. Possible et probable. « Bonsoir capitaine Oswald, vous êtes en beauté ce soir.» Désarçonnée, elle cligne plusieurs fois des yeux et finit par ignorer l’homme au sourire imbécile pour se focaliser sur ce qui se passait derrière lui. Un autre homme était dans la pièce, et Sam contourna son suspect pour pénétrer dans les lieux. Arrivée au milieu de la pièce, elle rangea son revolver qui était visiblement inutile dans cette situation, et elle présenta sa plaque au plus sobre des deux. « Agent Oswald-Bower, police nationale. C’est votre ami ? » Elle pointe du doigt l’homme qui était visiblement bien imbibé d’alcool et hausse un sourcil. Elle fait quelques pas pour le rejoindre et croise les bras. « Déclinez-moi votre identité et videz vos poches, un peu plus rapidement que pour ouvrir la porte, si possible. » Elle rangeait sa plaque et croisait les bras, espérant une réaction un peu plus vive de la part du suspect. La nuit était déjà suffisamment longue comme ça.
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Nathanael E. Keynes
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() message posté Mar 10 Fév 2015 - 8:31 par Nathanael E. Keynes
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En d'autres circonstances, qu'on me trouve sexy dans toutes les positions aurait plutôt eu tendance à me plaire. Là... Je suis pas assez serein, clairement. Je le vois se traîner jusqu'à mon canapé, et répondre naturellement à mes conneries, mais je vois surtout son état. Et après la dernière fois, je peux pas m'empêcher de me demander ce qu'il a pris. De l'alcool, ça c'est sûr, mais encore ?

« Oui trop, il me manquait tellement ce canapé. »

Les conneries aussi, visiblement, et ma tension monte d'un cran quand une femme flic tambourine à ma porte. Enervé, je pose des question à Stan, mais le peu de réponse qu'il me donne est loin de me calmer.

« Je n'ai rien pris du tout. Je tu jure. C'est peut-être une erreur, je ne sais pas, va lui ouvrir au lieu de m'accuser directement.
- Oh oui, bonne idée, comme ça elle nous fouille et trouve quoi sur toi ? Le genre de saloperie de la dernière fois ? »


Une erreur, oui bien sûr, on y croit trop. Je tourne tout ça dans ma tête, en me demandant comment je peux nous en sortir parce que je suis persuadé malgré ses dires qu'il est pas clean du tout, mais il a déjà filé vers la porte, avec une nouvelle énergie contrastant avec son état loqueteux de son arrivée.

« Tu n'as qu'à voir, qu'elle rentre, si elle veut. Je n'ai rien à cacher.
- Mais quel con ! »


Il a ouvert en grand, et j'ai fait quelques pas derrière lui. Trop tard pour refermer la porte. Et il me fait quoi là ?

« Bonsoir capitaine Oswald, vous êtes en beauté ce soir. »

Je rêve ou il fait du gringue à cette flic, là ? Et d'où il la connaît ? J'ai pas le temps de chercher à comprendre qu'elle entre, flingue en main. T'es sérieuse, là ? Les bras croisés, quelques pas dans l'entrée, l'air visiblement mécontent - et pour cause - je la vois pénétrer chez moi.

« Bien que ce grand crétin vous ait ouvert la porte, c'est mon domicile, et je ne vous ai pas donné l'autorisation d'entrer...
- Agent Oswald-Bower, police nationale. C’est votre ami ?
- ...Capitaine Oswald-Bower. Et je ne crois pas que l'on pourra qualifier Tristan d'ami. Je vais vous prier gentiment de sortir tous les deux. Si je ne m'abuse, vous n'avez aucun droit de perquisitionner ici sans mon accord, n'est-ce pas ? »


Je sais même pas pourquoi je me bats avec elle, en fait, parce que c'est pas chez moi qu'il y a réellement quoi que ce soit à cacher. D'ailleurs, elle a l'air de le savoir, parce qu'elle est revenue vers Stan.

« Déclinez-moi votre identité et videz vos poches, un peu plus rapidement que pour ouvrir la porte, si possible.
- Paraît que t'as rien à cacher, Mate. Je t'en prie... »


J'ai montré l'exemple en retournant moi-même mes poches - pas forcément bien larges de toute façon, jean slim oblige. Un soupir las, une main sur le visage.

« Vous savez quoi ? Il a l'air de vous apprécier, vous devriez l'emmener, je suis sûr que vous aurez plein de choses à vous raconter... Je vous dirai bien qu'il y a rien à cacher ici non plus, mais vous allez pas me croire sur parole, n'est-ce pas ? Sauf que j'ai aucune envie de vous laisser retourner mon appartement, et je vous ai toujours pas donné l'autorisation d'entrer, en fait, donc il vous faudrait sans doute une injonction d'un juge pour fouiller ici. Vous allez trouver ça suspect si je vous laisse pas faire, mais là franchement, je suis pas d'humeur. »

Et si Stan se décide pas de lui-même à vider ses poches, je vais m'en occuper. D'ailleurs, je m'approche déjà de lui prêt à retourner chacune des poches de sa veste et son jean. Je me fais aucune illusion quant au fait que la miss là trouvera quelque chose d'intéressant. Et dès que le sachet est découvert que ce soit par lui ou par moi, je le remets à la flic, et récupère une carte de visite à mon nom - tout fraîchement faîte suite à mon embauche - et la lui laisse aussi au passage.

« Ca vous servira sans doute par la suite. Maintenant quoi, je suppose qu'on vous suit bien sagement au post tous les deux ? »

Je me suis finalement tourné vers Stan.

« Regarde bien ma gueule, Hotstuff, parce que je crois bien qu'on est pas près de se revoir. »

A vrai dire, je sais déjà que je fais mine de l'abandonner à son sort, mais que si je dois être entendu seul avec la flic, ça sera un autre ton. Je sais aussi que quoi qu'il arrive, je vais suivre de loin ce qu'il se passe ensuite. Pour une fois, les relations de mes parents vont servir à quelque chose, et je compte bien prendre contact avec sa famille, et puis faire appel à Nik. Il m'en voudra sans doute, mais j'espère qu'un jour il se rendra compte que c'est pour son bien. En attendant, ce soir, j'ai le mauvais rôle, mais s'il faut en passer par là pour qu'il aille mieux, je suis prêt à payer ce prix-là, et c'est ce que je suis en train de faire. Et on verra bien ce que ça donnera à l'avenir...
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() message posté Ven 13 Fév 2015 - 12:14 par Invité
L'agent Oswald, je ne l'avais pas oublié. Elle était venue après mon agression, sans doute que c'était la procédure, mais elle ne semble pas se souvenir de moi. Je n'ai pas oublié, comment aurais-je pu oublier. Et Nate qui ne me croit pas du tout. Vive la confiance, seulement il a sans doute raison et j'ai levé les yeux au ciel mais j'ai ouvert la porte pour la laisser entrer. Nate me traite de crétin, voilà qui est de mieux en mieux.

« Et oh, je suis là hein, je vous entends tous les deux. Et capitaine Oswald vous avez une courte mémoire, je suis Tristan Newmann, vous vous souvenez?»


Non visiblement elle ne se souvenait pas et j'aurais pu tout aussi bien dire que je m'appelais Pierre, Paul ou Jacques ça n'aurait rien changé. Nate est de plus en plus frustré et je le vois s'exécuter aux ordres de Mme Oswald. Et voilà qu'il vient vers moi pour me vider les poches. J'hallucine. Je lui demande d'arrêter parce que je sais ce qu'il y a dans ma poche, je lui ai menti, mais il ne veut pas m'écouter et je suppose qu'il a toutes ses raisons. Je change de couleur quand il sort le sachet et me mord la lèvre. Merde et merde et merde. Dans quel pétrin je me suis encore fourré? Je vois bien qu'il est en colère et il faut absolument que je fasse quelque chose pour le sortir de là, sans aggraver mon cas, mais je crois bien que je suis fini et qu'il est très remonté contre moi. D'ailleurs c'est sa dernière remarque qui me fait le plus mal au cœur. Je me rends bien compte que j'ai été trop loin et qu'il va vraiment falloir que je fasse quelque chose pour ces addictions. Je me tourne à nouveau vers la policière et lui dit :

« Ok, ok ça c'est à moi, je reconnais. Mais ce n'est pas à lui, alors je vous suis et vous le laissez tranquille?»


Je me sens vraiment crétin et je ne sais pas comment je vais pouvoir réparer tout ça. J'ai tout intérêt à sauver ce qui peut être sauver de notre amitié. Je n'ai pas envie de le perdre comme ami mais je crois que c'est déjà trop tard. Je n'avais pas envisager de me faire attraper un jour, j'aurais du y penser avant mais je n'ai pensé qu'à moi comme toujours. J'espère juste que si elle m'arrête ,et elle va m’arrêter j'en ai la conviction, la presse ne le saura jamais, parce qu'alors là je serais dans la merde encore plus total et si mon père est au courant de ça je vais me faire massacrer.
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