"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici What if i could break the third laws /w Julian 2979874845 What if i could break the third laws /w Julian 1973890357
-45%
Le deal à ne pas rater :
Harman Kardon Citation One MK3 – Enceinte intelligente ...
99 € 179 €
Voir le deal


What if i could break the third laws /w Julian

 :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 27 Déc 2014 - 21:30 par Invité

What if
i could break the third laws




« Je… N’hésite pas ! Si jamais tu as besoin de rêve… Je serais ravi de pouvoir y contribuer… Tu es ici chez toi… La prochaine fois… Je t’emmènerai avec moi chasser les fantômes, je suis sûr que ça te pourrait te plaire »
Depuis ce jour, où j’ai retrouvé Julian. Nous nous sommes revu, de plus en plus même. Il avait trouvé refuge chez moi, j’avais même aménagé une pièce pour une chambre d’ami pour qu’il puisse se poser tranquillement. Je voulais l’aider, il avait une place importante dans ma vie est j’étais comme heureux de l’avoir prêt de moi. Quatre ans ont passé depuis ce jour, il venait de fêter ses 20 ans. Il devenait un vrai homme et beau par-dessus le marché. Mais j’évitais de trop penser à ça, Elle m’avait prévenu des trois lois et j’ai peur d’enfreindre la troisième avec Julian. J’ai essayé de tout faire pour ne pas penser à ça, j’ai même été en couple pendant six mois, mais je n’aimais pas cette fille. Même si on pouvait croire le contraire, ça m’a juste permis de me changer les idées et de penser à autre chose. J’ai poussé Julian à poursuivre ses études depuis qu’on s’était revu. Julian s’était mis a l’écriture et je l’avais encouragé à continuer. Je trouver ses récits magnifiquement bien écrit. C’est alors qu’il suivit deux semestres en France. Je lui ai toujours dit qu’il était la bienvenue pendant les vacances et Julian passa souvent chez moi quand il revenait au pays. J’attendais toujours sa venue, je gardais toujours une réserve d’alcool pour lui. Même si je travaillais souvent. Le travail me permettait de pas perdre la face, ça faisait quatre ans que j’étais ambulancier et j’aimais vraiment ce travail, même si je commençais a vraiment détester la race humaine. Mon horloge elle se tient bien… J’ai déraillé quelques mois, mais j’ai Alfonse un Horloger qui me retape quand j’en ai besoin. Le principe est que je puisse me remonter et le coucou avait toujours ce son clair qui me fascinait depuis ma naissance. C’était un soir d’été la fin du semestre approché a grand pas, les partiels était finit. Au travail c’était plus tranquille. J’étais chez moi a profiter de ma soirée, après un bon bain bien chaud, j’ai décidé de préparer le repas. J’étais au fourneau habiller d’un t-shirt et d’un jogging. Je préparais ce que je savais faire de bien. Des lazagnes bolognaise. Je dois dire que j’étais plutôt doué dessus et puis j’avais mon ingrédient secret ! Il était 19 heures et je profitais pour mettre un peu de musique et me resservir un whisky à nouveau. J’avais hâte de revoir cette tête d’oiseau, Après un appel reçu par ma soi-disant petite amie j’entendis des pas s’approcher de la porte d’entrée.



(c) AMIANTE

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 28 Déc 2014 - 16:45 par Invité
 Catchin’ fire - "You went straight for the knife, and I prepared to die. Your blade it shines -Looked me straight in the eye, you turned the gas on high held the flame alight, you wonder why I'm scared of fire."  Je déambulais dans les rues de Londres, des étoiles plein les yeux. Cela faisait quelques mois que je n’avais pas ressentis autant de plaisirs à sillonner les rues de mon enfance ; les remparts se dressaient fièrement à mon passage, comme pour acclamer ma démarche impérieuse.  Je fis quelques enjambées en direction de la boulangerie avant de bifurquer vers le magasin d’alcool. Ewan préférait certainement la compagnie d’un grand cru plutôt que les délices sucrés d’une pâtisserie ! Le vent glacial léchait mon visage souriant avant de s’engouffrer dans ma chevelure de bronze. Plus je m’avançais dans ma course claudicante, plus j’avais l’impression de m’enfoncer dans les abîmes de mon âme. Cette amitié peu orthodoxe devenait de plus en plus pesante sur ma poitrine. J’avais l’impression qu’on m’arrachait des fragments de mes sentiments – et pourtant j’étais incapable d’abandonner la quiétude qu’Ewan m’offrait. A la manière des muses et des créatures imaginaires, il m’insufflait la vie et l’inspiration pour écrire. Je serrais mon parchemin dans les mains avant de demander une bouteille de vin. Ma bourse n’était pas très garnie, mais je réussissais à joindre les deux bouts à force d’acharnements et de stages rémunérés. Je gratifiai la caissière d’un sourire aimable avant raser le sol avec élégance. J’étais content de le retrouver après tout ce temps. La France m’avait changé, j’avais appris à apprécier les vices de la débauche et à me forger une personnalité plus … poignante. Je pénétrai dans la grande cour avant de monter les marches. Je sonnai une seule fois, avant de tambouriner la porte comme si ma vie en dépendait. Mon entrain était palpable, et je ne faisais même pas l’effort de m’en cacher.

« Ouvre moi ! » Scandai-je comme un gosse, avant de reprendre mon sérieux. Je me redressai avec nonchalance afin de me donner un peu de contenance.  Le son des pas s’approchait lentement de la porte. Mon cœur s’exaltait avide de sensations fortes et de retrouvailles exotiques, mais il me semblait que l’arrivée d’Ewan durait une éternité. Je fronçai les soucils en cognant à nouveau.« Mais grouilles ! Pas la peine de te pouponner, ce n’est que moi ! » Soupirai-je exaspéré par l’attente.

Mes doigts se crispèrent nerveusement autour de la bouteille de vin. Ewan apparu enfin devant moi, je fis la moue en le bousculant vers l’entrée.

« Tu as gâché tout mon plaisir ! » Râlai-je en scrutant les lieux. « Ta conne de copine n’est pas là ? » Lançai-je en me laissant tomber sur le fauteuil. Je lui adressai un sourire lumineux en posant mes affaires sur la table basse. L'odeur de la nourriture narguait mes narines. « Tu as fais à manger !»M'emerveillai-je. « Dans ce cas, viens dans mes bras ! » Raillai-je en le prenant par surprise.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 30 Déc 2014 - 2:43 par Invité

What if
i could break the third laws




J’ai profité que la lazagne cuise pour pouvoir me changer, enfilant un jean et une chemise en flanelle rouge. J’allais m’asseoir sur mon fauteuil en train d’attendre Julian, alors que je surfais sur internet, passant a travers les réseaux sociaux. Je discutais avec un ami qui vivait à Glasgow. C’est alors que je sentis les engrenages se resserrer et le coucou prêt à sortir. Il signifiait 19 heures, Le son du coucou fut bref et concis. Je me levai alors que j’entendis tambouriner à la porte : « Ouvre-moi ! » J’allais vers la cheminé alors que je saisissais la clef pour remonter l’horloge alors que je me dirigeai tranquillement vers la porte, je rangeai la clef dans ma poche et une fois devant la porte je pouvais l’entendre beugler : « Mais grouilles ! Pas la peine de te pouponner, ce n’est que moi ! » Je me suis mis a rire. J’ouvris la porte fit une mine surprise en disant : « Oh ! Mais j’attendais Liza minelli… Tant pis ! » disais-je en refermant la porte avant de la rouvrir pour le laisser rentrer. Les engrenages de mon horloge grincèrent quand j’aperçu le jeune homme, il avait fier allure il avait pas mal changé depuis qu’il était en études en France. Il avait pris les mauvaises habitudes… Et encore j’étais gentil.

« Tu as gâché tout mon plaisir ! » Je me suis mis à sourire : « Oh ce n’était pas mon attention… » Disais-je en refermant la porte, je la fermai a clef sachant que je n’attendais plus de visite. Sauf que lui ne pensais pas ça « Ta conne de copine n’est pas là ? » Je me retournai alors qu’il était de nouveau sur son endroit le fauteuil. Je soupirai un instant avant de lui : « Dis donc sac a merde ! Avant de dire ça tu peux au moins dire bonjour non ! » Grognais-je sentant mon cœur se chauffer par la colère, mais cela dit je me calme par un rire. J’avais trouvé les bon moyens pour pouvoir eviter de briser l’horloge. Cela dit je continuai : « Non elle n’est pas là. Et je ne pense pas qu’elle reviendra de sitôt » disais-je en riant alors que je prenais les pâtisseries et la bouteille de vin. Je les posai sur le bar alors que j’allais vérifier les Lazagnes : « Tu as fait à manger !» Je me suis mis à sourire : « Oui, je n’avais pas trop le temps de faire un truc soigné donc j’ai fait des lazagnes. » Souriais-je avant de retourner dans le salon et qui s’esclaffa : « Dans ce cas, viens dans mes bras ! » Julian s’est levé et sauta dans mes bras. Je l’acceptais avec joie faisant attention qu’il ne m’écrase pas ni moi ni l’horloge je ne voulais pas lui faire mal avec les aiguilles, mais par une maladresse, je trébuchai l’emportant avec moi, je tombai sur les fesses et Julian avait atterrit sur moi à cheval. Son visage a quelques centimètre du mien, je me suis mis à rougir et mon horloge commençait a faire des cliquetis un peu plus fort ressemblant à une mini averse. Je tombai nez à nez avec son regard, j’étais comme figer. Je lui avouai : « Tu ne devrais pas sauter sur les gens comme ça… » Disais-je en finissant par un léger rire. J’essayais de penser à autre chose, mon cœur me faisait légèrement mal et mes pensées me réchauffaient encore plus.




(c) AMIANTE

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Jeu 1 Jan 2015 - 20:40 par Invité
Catchin’ fire - "You went straight for the knife, and I prepared to die. Your blade it shines -Looked me straight in the eye, you turned the gas on high held the flame alight, you wonder why I'm scared of fire." Il m’accueilli en raillant ; prétendant attendre une certaine Liza Minelli – Je ne savais pas ce qui était le pire ; qu’il soit aussi obsédé par la gente féminine ou que je ne connaisse même pas cette personne qui de toute évidence semblait être une célébrité ou une icône dans un domaine quel conque. De toute façon Ewan avait toujours eu des gouts bizarres. Prenant sa copine par exemple ; je la détestais réellement. Bon, il fallait aussi avouer que mon aversion n’était pas tout à fait légitime dans la mesure où mon antipathie se mélangeait à un soupçon de jalousie. Je fis quelques enjambées en direction du canapé. Mes pensées se mélangeaient dans ma tête. J’étais un peu nerveux après des moins d’absence – certes nous n’avions jamais rompu contact, mais notre complicité pouvait perdre ses éclats flamboyants à cause de la distance. La France était un beau pays, mais il était aussi trop loin pour que je me permette des visites plus fréquentes. J’haussais les épaules d’un air déconfit.« N’importe quoi ! » Me moquai-je en lui jetant un coup d’œil. Je remarquai ses habits et sa chemise rouge . « La flanelle est de nouveau à la mode à Londres? » Sifflai-je, hilare. J’adorais le taquiner.

Il avait préparé des lazagnes ; c’était parfait. Sa cuisine me manquait. Ses assaisonnements space, et ses blagues décalées aussi. A vrai dire l’ambiance loufoque de son appartement, et sa façon étrange de me regarder comme si j’étais une personne importante, me hantaient constamment lorsque je n’étais pas là. Je me levais brusquement afin de le prendre dans mes bras. Bien sûr, la maladresse de Monsieur, nous fit basculer et je me retrouvais les quatre fers en l’air – au-dessus de lui. Je fis la moue en posant ma main sur mon genou douloureux. Mon visage était à quelques centimètres du sien. Je ris à sa remarque d’un air évasif avant de me redresser en vitesse. Il ne s’agissait absolument pas de dévoiler mes secrets. Je fis quelques pas vers la cuisine, avant de rebrousser chemin. Je saisis la télécommande de la télé d’un geste frénétique.

« Tu as le câble, j’espère. Ils vont parler de mon école sur TF1… » Râlai-je en roulant des yeux. « Je suis content que ta conne de copine ne vienne pas du tout. » Répétai-je en accentuant le conne bien comme il faut.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Ven 2 Jan 2015 - 11:24 par Invité

What if
i could break the third laws




Le simple faite que le jeune homme ai l'air si aigri en arrivant aurait pu me donner de l'urticaire, j'appreciais beaucoup Julian mais moins depuis un certain temps enfaite depuis qu'il a commencé ses études en France. La France avait se coter sale gueule ou bien grande gueule qui avait tendance a mexasperer. J'avais rencontrer un homme qui m'avait heberger quand j'avais voyagé jusqu'en Espagne, il avait l'air depressif et se noyer dans un alcool bizarre de sa region. Je ne comprenais as tellement a l'époque pourquoi les gens comme cela perdait toute raison d'affirmer ce qu'ils étaient ou bien de se dissimuler sous une bouteille adjacente. " N'importe quoi" Me repondit il d'un affront plutot infernal, Liza minelli s'il ne le connaissait pas je lui peterait volontier la gueule meme si cela se voyait sur son visage quand je lui ai dit je ne fairait pas la remarque. Ce serait surement deloyal dans un sens. Mais bon ne pas savoir c'est qui c'est un comble. "La Flanelle est de nouveau à la mode à Londres?" se moquat t'il je tira legerement sur les flan de ma chemise, prenant l'air fier et bien garnit : " Si ca te plait pas et bah tant pis! " Lui riais-je legerement avant de lui tiré la langue d'une façon majestueuse un peu comme un enfant.

Quad il me sauta sur les bras ce fut comme un vieu gag a la Benny Hill, je trebucha me retrouvant coxys contre le sol, je pouvais sentir la douleur frapper toute la colonne et cela resonna comme un vieu zylophone rouillé. Je me suis mit a grimacer remarquant un peu trop tard le rapprochement fulgurant de julian dans mon espace vitale. Je lui retorqua une simple remarque de bonne manière, mais cela me faisait plaisir l'angoument qu'il a prit a me sauter dans les bras. Je me redressa après pour finir par me lever, tirant un peu sur ma chemise pour la remettre correctement elle cacha mon horloge ce qui n'était pas un mal. Vu le froid qu'il faisait depuis quelques jours je ne voudrais pas attraper un Rhume d'Horloge. Je me suis dirigé vers la cuisine pour finir de préparer le repas il restait encore une dizaine de minutes pour les lazagnes soivent enfin prete. C'est alors qu'il me demanda: " Tu as le cable, j'espère. Ils vont parler de mon école sur TF1..." J'arquais un soucil intrigué par cette nouvelle : " Hum oui je l'ai toujours, pourquoi ton école passe à la Télévision?" Lui demandais je, j'étais interessé par ce qu'il faisait mˆeme si l'écriture n'était vraiment pas mon fort, j'avais plus le don d'imaginer qu'autre chose. Je verrais ien Julian journalise, il avait la carrure pour ant qu'il ne faisait pas Monsieur Météo ca m'arrange. " Je suis bien content que ta conne de copine ne soit pas là." Je me suis mis a soupiré alors que j'étais entrain de laver une salade iceberge pour la preparer avec les lazagnes. Je repensais a la façon dont je l'ai laissé partir. Elle disait que je n'avais pas de coeur, je trouvais cela plutot ironique quand on y pense. Je ne voulait pas la blesser, mais elle était parti dans un délire alors que moi j'était encore au stade où je ne peut pas aimer si facilement : " Hum... Sans doute" disais-je encore plonger dans mes pensées, elle avait penser des choses bizarre et finalement mon coeur mécanique l'effrayer, la colère m'a prit mais j'éviter d'exploser au grand jour, j'ai déjà crever un oeil je ne savais pas ce que pouvais faire mon horloge par un excès de colère, je reviens dans le salon accompagné du saladier que je posa sur la table à manger. Je regarda l'écran de télévision en lui disant: " Je sais bien que tu ne l'aimes pas, mais si on peut eviter de parler de ça s'il te plait." je sentais déjà l'horloge grincer rien qu'à l'idée de repenser à elle. Je decida alors de changer de sujet: " Bon dit moi et toi? Tu t'es toujours pas trouver quelqu'un dans ta sublime école en France? Une petite française je sais pas... Enfin dans mes souvenirs les française on généralement un faible pour les Anglais."



(c) AMIANTE

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mer 7 Jan 2015 - 12:46 par Invité
Catchin’ fire - "You went straight for the knife, and I prepared to die. Your blade it shines -Looked me straight in the eye, you turned the gas on high held the flame alight, you wonder why I'm scared of fire." Je n’étais pas aigri. Je bataillais contre une force invisible afin de lutter contre mes sentiments inavoués. Je ne voulais pas laisser transparaitre mes faiblesses avec facilité et risquer de tout perdre par la suite. Ewan comptait beaucoup plus que cela à mes yeux. Ewan n’était pas qu’un simple ami, je ne faisais que me leurrer la plus part du temps. Je roulai des yeux vers la pièce ordonnée, ignorant ses commentaires, et son esquive à ma remarque. Je me moquais peut-être trop souvent de lui dernièrement, mais ce n’était qu’un masque pour éviter de penser – qu’au fond, il était beau. Je déglutis avec difficulté afin de sortir de ma torpeur. Ma main se posa sur mon visage et je caressai ma barbe naissante d’un geste frénétique et névrosé avant de me redresser avec nonchalance. La désinvolture, encore et toujours ! « Je n’ai jamais dis que ça me plaisait pas … » Rétorquai-je . « J’ai demandé si c’était à la mode ici – nuance ! » Sifflai-je, en levant les yeux au ciel.

Je me redressai brusquement avant de le fier d’un air incrédule, mélange entre la gêne et l’amusement. Le jeune homme mit de l’ordre dans sa chemise d’un geste noble et je déviais la conversation vers mon école et la chaine de télévision nationale.« On passe à la télé parce qu’on est les plus beaux. » Blaguai-je en lui faisant un clin d’oeil. « C’est reportage sur les erasmus et les échanges inter-Europe. » Lui expliquai-je vaguement, en prenant la télécommande. Je le laissai retourner à ses occupations culinaires, et sa salade bizarre. Je savais qu’il n’aimait pas trop aborder le sujet, mais je ressentais un besoin irrépressible de rabaisser sa copine à tout bout de champ. C’était viscéral ! Tout chez elle était une invitation à la colère, de sa façon de se tenir, jusqu’à sa manière de respirer. En réalité, le simple fait qu’elle respire m’exaspérait. Je pris une grande inspiration en baissant les yeux, préférant taire toute mes réflexions. « Okay. » Couinai-je. « Je n’en parlerais pas, mais tu sais ce que j’en pense. » Fis-je remarquer tout de même. Je grinçai des dents en m’enfonçant sur le dossier de mon siège, puis d’un geste noble je joignis les deux mains sur mes cuisses. « Je ne suis pas anglais. Je suis écossais – et un peu libanais. » Fis-je remarquer. « Toutes les filles de la planète ont un faible pour moi. » Me moquai-je. « Mais non, il n’y a personne. Ce n’est pas mon truc. Je préfère me concentrer sur mes études. » Je marquai un silence. « Je crois que je veux écrire pour de vrai … »

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Sam 24 Jan 2015 - 22:47 par Invité

What if
i could break the third laws





L’air dédaigneux de Jules pouvais m’insupportais surement son coté francais qui m’horripile. Cela dit, ca lui donnait un coté nettement plus sur de lui comparé il y a des années quand je l’ai retrouvé couvert d’hématome et intimidé par ce qui me sert de cœur : « Je n’ai jamais dis que ça me plaisait pas … » J’avais bien remarqué que cela ne lui plaisait pas le connaissant il aurait déjà vidé la moitié de met placard pour les donner au secours catholique s’il aurait trouver cela moche. « J’ai demandé si c’était à la mode ici – nuance ! » Je me suis mis a rire amusé en retorquant par la suite : « Tu crois sincerement que je me soucis d’une quelconque mode surtout à Londres ? Je suis Ambulancier pas une célébrité locale. » disais-je en riant.

Alors que je finissais le repas dans la cuisine, je lui demanda pourquoi son école passait à la télé. Me dirigeant a nouveau vers le salon accompagné d’une salade verte : « On passe à la télé parce qu’on est les plus beaux. » Je me suis mis a rire : « Et modeste en plus ! » disais-je d’un air amusé alors que je posa le saladier sur la table : « C’est reportage sur les erasmus et les échanges inter-Europe. » Alors qu’il fit une reflexion sur mon ex, je soupira l’espace d’un instant je ne voulais pas en parler. Je savais que je ne l’aimais pas, mais j’avais besoin de contact. Je n’arrivais plus a reflechir ses derniers temps, malgré que je me concentre sur mon travail, mon horloge fait des siennes. Je la remonte j’essaye de la réparer du mieu que je peux mais je sais que quelques chose ne tourne pas rond en ce moment. Malgré mes insomnies répététive et ses sortes de rêves bizarre que je fais. Je n’arrive plus à être moi-même sauf quand Julian est là ce qui me change : « Okay. » Je savais bien que Julian voulait me balancer ce qu’il pensait de cette relation « Je n’en parlerais pas, mais tu sais ce que j’en pense. » Oh ca je le savais, je soupirais avant de changer de sujet et lui demander comment ce porter les amours finalement il me reponda : « Je ne suis pas anglais. Je suis écossais – et un peu libanais. » Comment ça j’aimais le taquiner sur un truc aussi facile que ses origines, la fierté des écossais le truc qui peut facilement nous mettre en colère : « Toutes les filles de la planète ont un faible pour moi. Mais non, il n’y a personne. Ce n’est pas mon truc. Je préfère me concentrer sur mes études. » Je le regardais en silence alors que mes mains se tena sur le dossier de la chaise et puis il m’avoua : « Je crois que je veux écrire pour de vrai … » j’eu un grand sourire en lui avouant d’un ton enthousiaste : « Mais c’est formidable ça ! Je suis sur que tu seras un merveilleux écrivain. » disais d’un sourire en ne faisant pas attention a ce qu’il venait de dire avant. J’avais une bonne mémoire selective, je savais bien que cela me déplairait… Cela dit la sonnerie du four retenti : « Le repas est prêt ! » disais-je d’un rire…. J’alla a la cuisine chercher le plat et en revenant le posa sur la table. Les couverts était déjà posé sur la table plus qu’à ce mettre à table : « Tu viens bourreau des cœurs ? » Disais-je alors que le reportage commençait sur son école.




(c) AMIANTE

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 27 Jan 2015 - 0:09 par Invité
Catchin’ fire - "You went straight for the knife, and I prepared to die. Your blade it shines -Looked me straight in the eye, you turned the gas on high held the flame alight, you wonder why I'm scared of fire." Il faisait tout à coup froid dans la pièce. Je me refrognai dans ma veste avant de me redresser avec nonchalance. Mon séjour en France ne m’avait pas réellement changé, j’apprenais à m’épanouir dans un environnement nouveau et à exploiter tous les vices cachés de ma personnalité. Je me découvrais téméraire, pédant, ou fourbe – et c’était toute ces parties obscures qui animaient ma soif de littérature ou mon penchant pour la philosophie nihiliste. Les convictions étaient une prison pour l’esprit, sensé voguer librement. Le monde n’était pas aussi mystérieux qu’on le dépeignait dans les livres, ce n’était qu’un enchainement hasardeux de circonstances. C’était d’ailleurs le hasard qui m’avait poussé dans les bras d’Ewan. Je l’observais avec un sourire au coin. Je ne voulais pas le prendre de haut, ou dénigrer ses choix vestimentaires – mais mon sens critique dépassait trop souvent ma pensée. Il rit légèrement en répliquant, et je le suivis dans son hilarité sans un mot. Le timbre spécial de sa voix raisonna dans mes oreilles comme un enchantent et je me surpris à fantasmer à nouveau sur cet ami qui me considérait certainement comme un simple frère.

Il revint vers le salon avec une salade verte ; je le regardais au coin sans m’exprimer sur sa relation ou le fait que sa petite amie soit une vraie garce. Je ne l’aimais pas – ses grands airs d’impératrice ou sa façon de se lover contre Ewan comme un koala perché à son arbre m’insupportait à un point ! J’essayais de me convaincre que cela n’avait rien à voir avec les résidus de mes sentiments pour lui, mais je savais que je me fourvoyais. Il marqua un silence, snobant presque ma confession sur les relations amoureuses. « Je ne sais pas si j’y arriverais mais je veux me donner une chance … Peut-être me découvrirais-je un talent inné, et peut-être que ma belle gueule pourrait m’aider à faire chavirer les lecteurs tout sexe confondus. » Raillai-je. Ce n’était pas la première fois que je faisais allusion à mes préférences sexuelles mitigées. J’étais parfois hétéro, parfois bi, parfois je ne m’intéressais à rien. Le four sonna, et je me tournais presque instinctivement vers la cuisine. Ewan m’invita à la suivre pour manger, et je m’exécutai en souriant avec politesse. Je m’assis lentement devant la télé. Le reportage venait de commencer, et j’aperçu quelques visages familiers s’exprimer sur l’intégration des étudiants étrangers dans une ambiance française très différente de leurs origines. Je donnai du coude avant de rire ; « J’ai couché avec cette fille. » Lançai-je en désignant une jeune blonde. « Tu sais les délires sur les françaises au pieu… C’est du pipo ! » Boudai-je en prenant ma fourchette. Je saisi mon verre vide et lui sourit dans l’espoir qu’il me serve de son meilleur bourbon.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Dim 5 Avr 2015 - 5:38 par Invité
PS: SOULMATE !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! T_T
Je suis désolé de l'attente...
JE TE FAIS PLEINS DE CALINS <3


What if
i could break the third laws





Pour moi cette soirée semblait être bien partie, cela faisait longtemps que je n’avais pas Julian et je dois bien avouer que de voir sa petite tronche m’avait manqué. Il faisait partie de ma vie et dire qu’il avait son fauteuil et ses habitudes, je me souviens d’une discussions que j’ai eu avec Stew mon collègue qui croit que Julian et moi serait… oui non rien que de l’imaginer me donne déjà de l’urticaire, alors que je m’occupe de la fin du repas, voilà qu’il me parle qu’il veut devenir. Un écrivain, je trouvais l’idée formidable, il avait une plume en or enfin j’ai toujours voulu voir ses écrits, mais il semblait pas avoir confiance en lui pour me montrer ses écrits… C’est alors que je lui exprime mon « Je ne sais pas si j’y arriverais mais je veux me donner une chance … Peut-être me découvrirais-je un talent inné, et peut-être que ma belle gueule pourrait m’aider à faire chavirer les lecteurs tout sexe confondus. » Je me suis mis a rire, mais cela me fit questionner sur son orientation sexuelle, bien que la questions c’est déjà posé entre nous. Je tentais de l’oublier au son du four et je lui avoua : « Tu ferais chavirer la plus prude des nones j’en suis persuadé… » disais-je en riant legerement alors que je sortis le plat de lazagne pour l’avancer sur la table et puis je l’invita à s’asseoir alors qu’il observa la télé, on pouvait entendre une fille être interviewer alors qu’il m’avoua « J’ai couché avec cette fille. » Je toussa sur son commentaire, alors que je sortais les couverts pour servir les lazagnes, je commence a servir alors que son commentaire suivit, bien que je faisais en sorte de montrer que je l’ecoutais posant mon regard par moment sur lui. « Tu sais les délires sur les françaises au pieu… C’est du pipo ! » J’arqua un sourcil, je ne voyais pas de quoi il parlait, je n’étais pas un grand connaisseur des legendes urbaines au niveau du sexe avec les française n’ayant jamais eu ce malheur finalement je lui avoua : « En tout cas, tu baisses dans mon estime… Elle a une sale gueule… Mais de quel délire tu parles ? » Disais-je alors que je posa l’assiette fumante devant le nez de Julian et je me servis la mienne alors que je m’asseyais enfin pour lui dire : « Allez mange ! Avant que ce soit froid… » disais-je d’un leger rire avant de nous servir un scotch. Je posais mon regard sur Julian n’étant plus trop intrigué par la télévision : « Eh sinon a part que tu couches avec des laiderons… dit moi que tu as trouvé une fille ou… un mec potable a te mettre sous la dent… Parce que bon… » J’aimais remué le couteau dans la plaie, surtout le voir raler, ca avait un coter comique et surtout adorable.




(c) AMIANTE

[/quote]
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Ven 10 Avr 2015 - 23:48 par Invité
Catchin’ fire - "You went straight for the knife, and I prepared to die. Your blade it shines -Looked me straight in the eye, you turned the gas on high held the flame alight, you wonder why I'm scared of fire." Je marquai une longue pause en le regardant. Je me perdais facilement dans le regard abyssal d’Ewan, je ne savais pas l’expliquer mais il avait une emprise presque magique sur moi. Mon cœur était suspendu aux fluctuations de sa voix mélodieuse et entrainante. Il aurait pu dire n’importe quoi, déguiser n’importe quel mensonge sous son grain de velours. Je me mordis la lèvre inférieure. C’était malsain de songer à lui autrement que comme un ami. Nous avions pratiquement grandis ensemble, évoluant chacun de son côté, mais ce lien immuable que je sentais germer au creux de ma poitrine n’était pas ordinaire. Je l’adorais de manière fulgurante. Je croisai les bras sur mon torse afin de cacher mes divagations. Que penserait-il si je lui avouais mes incertitudes concernant notre relation ? Sans doute me quitterait-il. Il valait mieux avoir un compagnon plutôt qu’une déchirure dans sa vanité. Je secouais la tête en me concentrant sur notre conversation. « Je ne suis pas intéressé par les nones … » Répondis-je à sa blague. Mon ton était calme et posé. « Je pense que la personne qui m’intéresse vraiment ne partage pas mon engouement, c’est sûrement pour cette raison que la séduction n’est qu’un stupide jeu à mes yeux. » J’étais tout à coup arrogant. Je me redressai lentement avant de pencher la tête vers lui. Je m’attablai à sa suite, les yeux toujours rivés sur la télévision tandis qu’il critiquait le choix de mes partenaires sexuelles. J’espérais que son changement d’humeur était lié d’une quel conque façon à une sorte de jalousie ou de possessivité qu’il nourrissait à mon égard, mais ce n’était qu’une utopie. Une sorte de grand délire de mon esprit. Les odeurs alléchantes des lasagnes narguaient mes narines tandis que je me rapprochais de mon couvert. Je ne commentai pas ses critiques, préférant rester digne face à ses attaques. Elle n’était pas laide, sa beauté était atypique voilà tout ! Je pris une bouchée avant de me servir un verre d’alcool. Je préférais me griser d’ivresse plutôt que de remplir mon estomac. J’étais absorbé par les gestes mécaniques de ma mâchoire lorsque sa question me tira de ma torpeur – Ewan n’était donc pas intéressé par mes coucheries mais il s’interrogeait sur mes relations amoureuses ? Je ne savais pas comment le prendre. « Je ne sais pas. » Soufflai-je tout en restant évasif. Je n’avais pas rencontré de personne qui puisse me faire languir d’amour, mais je n’étais pas spécialement à la recherche de ce genre de sensations. . « Peut-être que bon ... Je n’ai pas les mêmes gouts distingués que monsieur. Je te rappelle que ta petite amie actuelle est un phénomène de foire à elle toute seule. » Finis-je pas siffler en éloignant mon assiette. Plus faim d’un coup, voilà !


Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
() message posté par Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
London Calling. :: It's over :: Corbeille :: Anciens RP
Aller à la page : 1, 2  Suivant
» she's my sister. break her heart, i'll break your face.
» LIBRE || Have a break, have a cigarett
» -- hearts don't break around here --
» ≡ need the sun to break /clark.
» Break the rules - Primrose

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-