"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici Cheers my Darling! - Elijah & Athénaïs 2979874845 Cheers my Darling! - Elijah & Athénaïs 1973890357
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Cheers my Darling! - Elijah & Athénaïs

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() message posté Dim 11 Jan 2015 - 18:10 par Invité
Cheers my Darling!

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J’avais rendez-vous avec Athénaïs ce soir-là, il faut dire qu’on ne s’était plus vu depuis quelques semaines. C’était en partie ma faute, la boîte pour laquelle je travaille n’avait cessé de me bombarder de dossier. J’avais ironiquement appelé le mois de Janvier « le mois de la Traduction », avec mon diplôme d’interprète je ne faisais que très rarement des traductions écrites et tant mieux car j’ai horreur de ça. Malheureusement pour moi, ce début de mois de Janvier en avait été riche. Ils avaient même eu le culot de me refiler la traduction d’un roman français. Non mais ! Vraiment est-ce que j’ai une tête à faire de la traduction littéraire ? Ils ont un tas d’employés spécialisés dans le domaine et ils décident quand même de me confier un tel projet, moi j’appelle ça de la stupidité, à l’état brute. Evidemment ils ont toujours de bonnes explications, ou devrais-je dire de bonnes excuses. Apparemment il n’y avait aucune mission d’interprétariat pour l’instant. J’avais envie de leur dire « Oui ben ça vous voyez, ce n’est pas mon problème ! Et ce n’est surement pas une raison pour me forcer à me transformer en JK Rowling ! » Non mais pour qui ils se prennent, j’étais un peu contrarié, il faut l’avouer.

J’avais réservé une table au Nightjar, l’un de mes bars préférés. On y vient assez régulièrement avec Athénaïs et Killian, même si on a d’autres endroits auxquels on aime se rendre aussi. J’étais assis depuis 5 minutes, je n’avais pas encore commandé et j’attendais patiemment que ma meilleure amie arrive. Elle n’était pas en retard, c’est juste que mon fichu caractère me poussait toujours à arriver un peu à l’avance. Déformation professionnelle, lorsqu’on travaille avec des gros bonnets on essaye toujours d’être ponctuel. Sauf que moi, j’avais tendance à en faire une véritable parano. Parfois j’arrivais avec 30 minutes d’avance, heureusement que la ville de Londres est clairsemée de Starbucks, pour tuer le temps il n’y a rien de tel. J’étais mécontent de faire de la traduction, mais je dois avouer que ça avait tout de même quelques avantages, je n’étais pas obligé de me balader en costume. J’avais troqué mon deux pièces contre une tenue plus décontractée. J’étais impatient de papoter avec Athénaïs, ce qui me plaisait chez elle, c’était qu’on pouvait parler de tout et puis même si certain étaient agacés par ses airs de princesse, moi je la trouvais plutôt cool.

En attendant son arrivée, j’ai sorti mon téléphone portable de ma poche. J’avais reçu 3 nouveaux messages, 2 de mon employeur qui me communiquait les horaires d’une réunion prévue pour demain et 1 message de Killian qui me demandait pour la énième fois quand j’aurais un peu de temps pour qu’on puisse se voir. Je me sentais coupable, mais je n’avais pas trop le choix, si je ne rendais pas la traduction de ce fichu roman à temps, ils auraient été capable de me passer un savon. Il fallait que je mordre sur ma chique, les temps seraient surement bien meilleurs rapidement. J’ai levé les yeux de mon téléphone pour jeter un coup d’œil à la porte d’entrée mais toujours aucune trace d’Athé’. Le bar, par contre, s’était rempli à une vitesse impressionnante, les serveurs tentaient tant bien que mal de circuler à travers les tables. Je me suis surpris à me demander quel genre de chiffre d’affaire un établissement comme celui-ci doit faire par mois, selon moi les propriétaires ne devaient surement avoir aucun problème financier. Quand je pense que certaines personnes ont du mal à se payer un taxi, j’ai vraiment l’impression que ce monde est injuste. Mais bon, moi je ne peux rien y changer, j’ai de l’argent certes, mais je ne suis pas un membre de la famille royal non plus. En parlant de ça, j’aimerais tellement rencontrer sa majesté, peut-être un jour qui sait. J’avais eu la, chance quelques mois auparavant, d’apercevoir Kate et William. C’était un très beau couple et ils avaient tous les deux l’air très gentil. Certains me considèrent comme un royaliste, peut-être bien que je le suis. Après tout, il n’y a rien de mal à apprécier la famille royale, ils sont toujours moins corrompus que ces fichus politiciens, enfin d’après moi.

J’ai pris la peine de répondre à mes messages, avant de replacer mon portable dans ma poche. Elle aurait dû arriver d’un instant à l’autre à présent. J’étais impatient de voir son sourire et de la serrer dans mes bras. Elle avait probablement tout un tas de choses à me raconter, je me demande d’ailleurs comment se passait sa relation avec Julian. D’après les dernières nouvelles, il semblerait que l’humeur ne soit pas toujours au beau fixe, surtout à cause de Killian. C’est dans ces moments-là que je me dis que j’ai de la chance d’être encore et toujours célibataire…
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 15:03 par Invité
    “In three words I can sum up everything I've learned about life: it goes on.”
    Robert Frost


    Il était temps de se resociabiliser. Un soupir s’échappa de ses lèvres pendant qu’elle observait son reflet dans un miroir. Aucun de ses sourires n’étaient convaincants, ils paraissaient fatigués, à la limite du faux et pourtant, elle se devait bien d’en réussir au moins un si elle ne voulait pas alarmer Ilijah. Lassée, elle se laissa tomber sur le lit. Elle ne se rappelait pas que paraître de bonne humeur était aussi épuisant, tout semblait si facile avant. Non, non et non ! Elle se releva brusquement, pleine d’entrain. Il était hors de question qu’elle se laisse encore aller, elle s’était laissée du temps pour se remettre de son deuil ou quelque chose qui y ressemblait plus ou moins, c’était fini maintenant, elle se devait de reprendre le poil de la bête. Et comme pour la soutenir, Sparkle émit un gémissement avant de s’allonger à ses pieds. Ces derniers temps, bien qu’elle déprimait, le jeune labrador chocolat lui avait permis de penser à autre chose, il était si mignon et en même temps, de ne pas se sentir trop seule lorsqu’Austin ou Rosa n’étaient pas là. Donc au final, sa compagnie depuis le soir du bal se résumait à Austin, Rosa et Sparkle, bien assez pour qu’elle n’ai pas eu envie de se tailler les veines. Elle n’était pas encore assez désespérée pour arriver à de telles extrémités, enfin… Elle resserra son gilet de mailles par réflexe. Elle ne pouvait pas le refermer, ça paraîtrait louche dans un bar chauffé et en même temps, ne pas le mettre serait une erreur. Doucement, elle retira le tissu et analysa la chose, juste au dessus de sa poitrine, du côté gauche. Les plaies s’étaient ré-ouvertes, sans doute pendant la nuit. Rosa avait raison, ces griffures faisaient peurs et si elle n’arrêtait pas de se mutiler dans son sommeil, elle risquerait d’en garder des cicatrices. Cachant à nouveau ses blessures, elle attrapa Sparkle pour lui faire un bisou sur la truffe. Elle ne voulait pas le laisser seul à cause de son âge alors elle le confia à la voisine qui avait un jack russel, lui aussi se devait d’être sociable.

    Avant de partir, elle laissa un mot pour Austin histoire qu’il ne cherche pas son corps en bas de l’immeuble ou qu’il appelle la police. Elle avait conscience qu’elle représentait une source de tourments pour lui alors si elle le pouvait, elle préférait lui éviter une crise cardiaque. Le soir du bal, il l’avait sauvée d’une crise d’angoisse en l’amenant chez lui et depuis, elle n’avait pas quitté son domicile. Leur relation avait toujours été étrange, très compliquée allant de l’entente parfaite jusqu’à la dispute la plus chaotique. Elle l’avait toujours considéré comme un personnage arrogant et narcissique, gentil lorsqu’il le voulait mais incroyablement narcissique. Le voir prendre soin d’elle lui permettait de découvrir une nouvelle facette de lui très agréable. Elle lui était reconnaissante, elle n’oublierait jamais.

    Son manteau par dessus le gilet, elle s’engouffra à l’arrière de la voiture où son chauffeur personnel lui adressa un sourire franc avant de lui souhaiter les meilleurs voeux pour cette année. Sa bienveillance la toucha, elle se surprit à lui rendre son sourire d’un naturel qu’elle ne se croyait plus capable de montrer. La vie ne s’arrêtait pas à lui ou à leur rupture, bien au contraire. Le chemin lui parut étrangement rapide, parler de tout et de rien faisait du bien.

    Arrivée devant l’endroit de rendez-vous, elle entra à l’intérieur, entourée d’un groupe d’hommes la surpassant en taille. Elle fut entraînée malgré elle au coeur de la salle, lorsqu’elle pu enfin sortir du flux, elle repéra un visage familier. Ses lèvres se détendirent. A pas de loup, elle s’approcha par derrière et au moment où il s’apprêtait à se tourner, elle recouvrit ses yeux de ses mains. Le voisin d’à côté comprit le manège et demanda à sa place d’une voix grave “Qui c’est ?” Sa petite farce l’amusait. Près de lui, son coeur semblait à nouveau battre normalement comme entouré d’une aura protectrice. Malicieusement, elle se pencha et déposa un baiser sur sa joue.
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() message posté Mer 14 Jan 2015 - 21:47 par Invité
J’ai rougit. Probablement parce que la moitié du restaurant avaient les yeux braqués sur nous. Il faut dire qu’Athénaïs prend toujours le temps de soigner ses entrées. Je me sentais un peu comme un futur jeune marié qui viendrait de poser le genou par terre pour demander sa copine en mariage, j’avais presque l’impression que les gens du bar allaient se mettre à applaudir en scandant « Kiss, kiss, kiss ». Il faut dire que ma meilleure amie, j’avais oublié de vous la présenter, est extrêmement belle et élégante. Elle a ce petit côté naturel et loufoque qui tempère sa moitié aristocratique. Parfois en la regardant j’ai l’impression de voir Lady Diana, probablement parce que j’adore la royauté, mais aussi et particulièrement parce que, comme elle, c’était une femme forte, belle et charismatique. La seule chose que j’espérais était qu’elles n’auraient pas la même fin. Je plaisante bien sûr, enfin je veux dire je souffrirais beaucoup si elle venait à mourir. Mais, heureusement, elle était là devant moi. Quel plaisir de la voir, je n’ai pas pu résister, et oubliant la foule qui avait les yeux rivés sur nous, je la pris dans mes bras. Elle m’avait tellement manqué. Petit à petit les gens retournèrent à leurs occupations, certainement déçu que je ne m’étais pas mis à genoux, pour du vrai, mais surtout pour la demander en mariage. Parfois j’avais du mal à comprendre le caractère des gens de Londres, à croire qu’ils avaient tous l’impression de vivre à Los Angeles. Mon père est américain et autant vous dire que l’Amérique et l’Angleterre, c’est un peu comme le jour et la nuit, mais qui se tiendrait la main. Les américains aiment les anglais pour leur côté un peu posh et coincé, et les anglais aiment les américains pour leur côté bon enfant et fêtard. Ce qui était assez fascinant c’est lorsqu’on réunissait vraiment les deux. Mais je m’égare, je ne pense pas que vous ayez réellement envie d’écouter toutes mes théories sur le comportement des londoniens. Je suis vraiment stupide parfois, je ne suis même pas scientifique et pourtant j’élabore des théories. C’est l’université, ça vous marque à jamais. Je me souviens bien que lorsque je suivais mes études, mes professeurs me répétaient toujours, « le but ce n’est pas de tout apprendre par cœur ». Ce qu’ils voulaient c’était faire naître en nous de l’intérêt pour certaines matières, qui nous poussent à faire des recherches personnelles pour approfondir nos connaissances. Une fois qu’on intègre ce concept, on voit les choses d’une tout autre manière. C’est peut-être pour ça que je n’avais jamais eu de problème à l’école, il faut dire aussi que j’avais un net avantage, mon père était d’origine italienne et ma mère d’origine française. Je parlais ces trois langues à la maison depuis que j’étais haut comme trois pommes, mes parents sont même incapables de se rappeler dans quelle langue j’ai parlé en premier. Il y a des moments où je me dis que cette vie ça me manque, et en général tout de suite après, je suis extrêmement content que ce soit du passé. J’ai relâché mon étreinte pour l’inviter à s’asseoir.

« Comment tu vas ? Tu es absolument magnifique ! Qu’est-ce que tu veux boire ? »

Je fis signe au serveur de venir à notre table. Il avait surement été témoin de la scène de toute à l’heure car en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, il était là planté comme un piquet à côté de nous. D’un accent très faux et fort, il venait probablement du Pays de Galle, il nous demandé ce que nous avions l’intention de boire. Voyant qu’Athé était encore occupée à s’installer j’ai pris les devants.

« Je vais prendre une bière et elle va… »

Je lançai un regard en biais à mon interlocuteur pour lui dire qu’elle était prête à passer commande. Visiblement le jeune était terrorisé de poser son regard sur Athé, à croire qu’il allait fondre comme neige au soleil juste en la regardant. J’étais amusé par la situation. Il faut avouer que ce n’est pas une fille comme les autres et la moindre des choses à dire c’est qu’elle attire le regard. Mais j’avais l’immense chance d’être son ami, c’était un peu comme si j’étais passé à l’ennemi. Tous les hommes qui m’entouraient auraient vendu leur âme pour sortir avec elle et moi j’étais tellement rebelle que ça ne m’était jamais passé par la tête. C’était surement pour ça qu’on s’entendait si bien et que lorsqu’elle était avec moi, elle se mettait à briller, ce qui faisait baver les ¾ des hommes présents dans la salle. Si seulement je pouvais avoir le même pouvoir sur eux, ma vie aurait sans aucun doute été bien différente. Je t’aime Athénaïs, si tu n’existais pas il faudrait t’inventer.
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() message posté Mer 28 Jan 2015 - 3:01 par Invité
    Même si l’année 2014 avait mal fini, il ne lui en restait pas moins des souvenirs inoubliables. Elle n’avait jamais pensé rencontrer Julian à nouveau et se sentir submergée par autant d’émotions, ils avaient passé quelques mois de bonheur autant en France qu’à Londres, des moments qu’elle ne parvenait pas à haïr. Plusieurs années auparavant, ils s’étaient quittés sans s’être demandé si un avenir commun aurait pu être possible, aujourd’hui, ils savaient qu’en dépit de leurs sentiments, leur relation ne pouvait pas marcher. Elle en gardait une profonde tristesse et un incroyable manque, un vide qu’il avait déjà créé la première fois, et qui s’était agrandi. Lorsqu’elle repensait à lui, c’était comme si elle était en train d’agoniser, à bout de souffle. Parfois, une envie irrépressible de lui parler la prenait tant elle se sentait mal sans lui mais lorsque cela arrivait, elle rassemblait toute sa volonté pour se rappeler toutes les raisons pour lesquelles elle ne devait pas le faire. Ce qui était horrible restait les questions sans réponses. L’avait-il vraiment aimé ? Comment allait-il ? La vie lui était-elle plus agréable maintenant qu’il avait repris sa liberté ? Pensait-il des fois à elle ? Même si un jour, il lui apportait des réponses, elle était sûre que ça n’allait en rien l’aider. Ça en deviendrait même plus dur. Il y avait aussi Killian, un autre Fitzgerald mais il n’avait jamais brisé son coeur à l’inverse de son cousin. Grâce à un miraculeux hasard, ils s’étaient retrouvés au Winter Festival parmi une foule incroyable et depuis, leur amitié n’avait cessé de grandir et de progresser. Il était si gentil, si attentionné, tellement présent, un modèle de l’homme parfait, elle n’avait pas encore su lui trouver un défaut. Ces retrouvailles avait enchaîné sur une nouvelle rencontre, l’une des plus marquantes de cette année, Elijah, un autre modèle de l’homme parfait. Entre eux, le courant était très vite passé. Chaque moment passé en sa compagnie continuait de la surprendre sur sa personne, et pourtant, il fallait s’y attendre de la part du meilleur ami de Killian, enfin qui était aussi le sien à présent. A trois, ils ne faisaient que s’amuser, impossible de rester en place sans rire, elle ne pouvait comptabiliser toutes les fois où elle avait été prise de crampe tellement elle avait ri. Et lorsqu’ils n’étaient qu’eux deux, elle pouvait tout lui confier, il l’écoutait et la conseillait, vice versa. Elle ne cessait de lui dire que s’il n’avait pas été son meilleur ami, elle aurait voulu qu’il soit son mari, d’ailleurs dès qu’une amie se plaignait de ne pas avoir de copain, c’était immédiatement à lui qu’elle pensait bien qu’elle restait muette. Elijah était effectivement irréprochable, remplissant toutes les qualités du compagnon idéal mais ses amies étaient loin de le mériter, il devait avoir la meilleure ! Elle ignorait de quoi elle serait capable si un jour on lui brisait le coeur.

    Lorsqu’il l’enlaça, un grand sourire se dessina sur son visage, elle lui rendit son étreinte avec encore plus de force. ”Tu m’as tellement manqué Elijah !” s’écria-t-elle en prenant la voix d’un bébé. ”Tu ne veux pas vivre chez moi histoire que je sois collée à toi comme un koala ?” Elle rit avant de s’asseoir, il la trouvait magnifique. Oh, il était si adorable, comment avait-elle fait pour ne pas vouloir le voir avant ? Sa tristesse l’avait définitivement éloignée du droit chemin, c’est-à-dire son meilleur ami ! Même habillée d’un bout de chiffon, il était capable de lui dire qu’elle était belle. ”Je vais toujours bien quand je te vois.” dit-elle, sincère. Sa douleur semblait s’envoler, même si ce n’était que pour un soir, c’était un soulagement de ne plus avoir ce poids sur le coeur. ”Et tu es toujours aussi beau. Et toi, comment ça va ? Ça fait tellement longtemps, je suis sûre que tu as plein de choses à me raconter !” Lorsqu’un serveur arriva, il commanda une bière. Elle lui lança un regard légèrement surpris, sans le quitter du regard, elle dit : ”Surprenez-moi, quelque chose de fort. Apportez le en deux fois, merci.” Elle avait besoin d’un remontant puissant, ça ne lui ressemblait pas mais pour une fois, elle voulait changer les règles et évidemment, Elijah allait l’accompagner. D’ailleurs, elle se justifia auprès de lui. ”Nous allons fêter nos retrouvailles dignement, cette soirée va être mémorable.” Le voir était une délivrance, elle était si reconnaissante à la vie de l'avoir mis sur son chemin.
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