"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici When left to fate feat Athénaïs 2979874845 When left to fate feat Athénaïs 1973890357
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When left to fate feat Athénaïs

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() message posté Dim 22 Fév 2015 - 15:45 par Invité

   
When left to fate
Daniel & Athénaïs

Cela faisait quelque temps depuis nos retrouvailles, j'avais fait fort en lui montrant que je pouvais être un garçon respectueux. J'avais dans l'idée de l'inviter au manoir pour avancer un peu plus loin dans notre relation. Je ne sais pas du tout où ça peut me mener mais je suivais mon instinct. Ces temps-ci à chaque fois que je cherchais à l'inviter je recevais une invite pour une soirée. Étant devenu célèbre en étant mannequin je me faisais inviter un peu partout dans des soirées, je devais souvent arriver accompagner alors je m'arranger toujours pour trouver la mannequin en vogue du moment pour aller dans ces soirées avec elle. On se faisait prendre en photo par la presse et ça faisait le tour de la ville. Je ne sais pas si Athénaïs tombait sur ce genre de presse et si elle y portait une grande attention. En tout cas avec ses filles c'était juste pour l'image et le sexe rien de plus. Ça les arrange de venir à cette soirée accompagner du mec le plus en vue du moment et moi ça m'arranger de trainer avec un canon lors d'une soirée et d'avoir une folle nuit d'amour. Je devais bien avouer que je pensais à Athénaïs et que je voulais la revoir et savoir une fois pour toute ce que je désirais d'elle. Donc je lui envoyai un SMS qu'elle s'empressa de répondre et le rendez-vous fut enfin pris. Le jour prévu je ne dérogeai pas à mes rituels, footing matinal et muscu. Après ça je filai faire quelque achat pour lui préparer un bon repas, une chose dont je pouvais être fière c'était ma cuisine, avec ma folie d'apprendre j'avais appris à faire de la bonne nourriture et je la faisais rarement partager. Pour cette fois-ci j'avais décidé de faire un porc au miel avec du riz au sésame. Une recette que j'avais apprise en Chine, lors d'un de mes nombreux voyages.  J'avais décidé de le préparer devant elle et mais vue à l'heure où je l'avais invité ce n'étais pas encore l'heure de manger. J'avais faits livrer de quoi prendre le thé, des muffins et des cupcakes fait dans la meilleure boulangerie. Je ne savais pas pourquoi je faisais tout cela, peut être par ce que ja la connaissait et que je voulais parfaire mon image de bad boy sans coeur. Je lui avais brisé le coeur et je voulais lui montrer que je pouvais être un peu plus attentionné en ce qui la concernait. En l'attendant j'allumai ma chaine, je pris un verre de Whisky et je sortis un dossier qu'ont m'avaient faits parvenir avec quelque contrat, sauf que j'avais décidé d'arrêter d'être mannequin pensant que ce n'était finalement plus pour moi, d'ailleurs il n'avait jamais été le miens. J'avais faits ça pour la notoriété bien que ma famille était déjà célèbre, j'avais décidé de me mettre plus dans le monde des affaires et reprendre le contrat que traiter mes grands-parents qui avais valu leur fortune. Contrat minier et gros entreprise d'import export avant de m'y lancer sérieusement je voulais demander conseil à mon avocate et surtout l'avis d'Athénaïs. Je voulais lui annoncer que je j'étais enfin officiellement gérant du NightJar. Ici ma famille avait été réputer pour les conneries de mon père en tant qu'avocat est l'exploitation de sa famille pour avoir une meilleure image devant la presse. Sauf que n'acceptant pas ce qu'il faisait de nous j'avais fini par le dénoncer à la presse de ses agissements avec la mafia et de la manière dont il nous traitait. Ce qui à précipiter sa chute, la famille Delarco fut trainée dans la boue, ce qui a fait me trainer moi-même avec lui car la presse s'est amusée petit à petit à dévoiler mes agissements, femmes, alcool et parfois je l'avoue drogue. J'ai dû payer la presse pour les faire taire et j'ai changé de nom de famille pour être plus tranquille. Bien évidemment la famille Smith était tout aussi connue mais pour des raisons plus valorisantes ce qui m'a permis d'être plus facilement accepté par la suite. Je n'avais jamais dit mon passé à Athénaïs et que je faisais partie de la famille Delarco qui avait précipité ou faille précipiter la chute de plusieurs familles riche et célèbre. Je ne lui avais rien dis par ce que je pensais pas que c'était important. Si je lui en parlais j'espérais qu'après ça elle ne pourrait plus douter de moi, j'aurais été totalement sincère. Après peu importe notre relation elle saura tout de moi et je sais que c'est la seule à qui je pouvais révéler ce genre de chose bien que je n'aime pas en parler. Après avoir jeté les contrats dans la poubelle je me dirigeai vers le canapé où je bue une gorgée de mon Whisky en écoutant la musique. Je jetai doucement ma tête en arrière pour la poser contre le canapé, je regardais le plafond l'air vague. Je mis une main derrière ma tête quant à l'autre elle tenait mon verre de Whisky. Mes sourcils se froncèrent légèrement à l'écoute de la musique, puis j'entendis la sonnette de la porte retentir. Je relevai la tête et je me levai de mon canapé, je déposai mon verre de Whisky et je me dirigeai vers la porte d'entrée pour ouvrir à la personne qui devait être surement Athénaïs, ce qui ce confirma vue l'heure. C'était bien elle toujours aussi splendide, je lui souris et je lui fis signe d'entrer en lui prenant la main. J'enlevai son manteau que je déposai sur le porte manteau juste à côté bien ranger dans une armoire et je la dirigeai vers le salon. Je lui fis signe de s'assoir et je lui dis.

"- Malgré les changements te souviens-tu de cet endroit? J'ai congédié mes domestiques et j'ai faits refaire les lieux, juste un petit rafraîchissement. J'ai juste gardé mon bras droit et mon ami Audric si tu te souviens de lui, il s'occupe des lieux en mon absence. Aujourd'hui d'ailleurs il est absent, je lui ai donné une semaine de repos. "

Je sortis de mon portefeuille une photo d'Audric, pourquoi je l'avais je m'en souvenais plus... Oh si, mon père l'avait renvoyé peu avant sa mort et j'avais faits toutes les recherches possibles pour le retrouver. C'est la seule personne en qui je pouvais avoir confiance et en qui je pouvais donner ma vie sans réfléchir une seconde et je voulais que ce soit lui qui s'occupe des lieux alors que j'étais encore trop inconscient pour savoir tenir un manoir. Il c'était charger de rendre sa beauté d'antan à ses lieux et de veiller sur moi. Il me récupérait parfois dans des endroits glauques sans me poser une seule question mais il était là si j'avais besoin de râler. C'est lui qui m'avait acheté Mist pensant que la tendresse d'un chat m'adoucirait, ce n'est pas faux car j'aimais ce chat. D'ailleurs il vint se frotter aux jambes de la joie blonde, je lui frottai le haut du crâne et je dis à Athénaïs.

"- Voilà Mist, c'est Audric qui l'a adopté, pensant que ça adoucirait mon caractère. Qu'en penses-tu?"

Je me mis à rire, je ne savais pas si ça avait adouci mon caractère en tout cas j'aimais sa compagnie. Je m'étais trouvé une passion pour les animaux bien plus que pour les humains. Je comptais d'ailleurs m'acheter bientôt un cheval, ma nouvelle lubie du moment. Je crois que n'importe qui se dirait mais quand est ce que tu arrêteras Smith? Bien je leur répondrais quand j'aurais enfin comblé ce vide inconnu, ce jour-là j'arrêterais surement mes lubies. Pour le moment c'est pas gagné.

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() message posté Jeu 12 Mar 2015 - 2:33 par Invité
    Le chauffeur l’a déposa à l’adresse indiquée, son regard bleu parcourut l’immense manoir qui se dressait du haut de ses murs imposants. Elle reconnaissait les lieux qui lui avaient toujours semblé impénétrable, tout comme leur maître. Daniel avait le don de dominer le commun des mortels, et de signifier très clairement que rien ni personne ne pouvait le changer si l’envie ne lui venait pas, chose qui était loin d’arriver jusqu’à récemment, lors de leurs retrouvailles où il lui avait montré une partie de lui qui l’avait sensiblement touchée. Pénétrer à l’intérieur comportait certains risques, cette fois-ci, ils seraient seuls sans aucun regard sur eux pour les intimer à garder une distance correct et pire encore, elle n’oubliait pas le charme dont il pouvait faire preuve lorsqu’il désirait arriver à ses fins. Il avait été honnête dès le départ, il la voulait et son farouchement ne la laissait pas insensible. Il était vrai qu’elle avait attendu un pas de sa part, mais quelques temps étaient passés sans qu’il ne la contacte, l’inquiétude s’était immiscée dans ses songes comme un serpent venant empoisonner sa victime dans le sommeil. Le moment qu’ils avaient partagé était lourd en significations à ses yeux, Daniel avait dévoilé une facette de sa personnalité qu’il lui avait si rarement fait part et peut-être naïvement, elle avait cru qu’il commençait enfin à s’ouvrir. L’attente s’était fait ressentir bien qu’elle s’était forcée à ne pas douter de lui, elle le lui avait promis. Elle devait être patiente, chose qu’elle savait si bien en temps normal et qui semblait être impossible lorsqu’il s’agissait de lui. Bien sûr, elle s’était occupée, notamment à son retour dans le monde mondain. Tout un chacun la croyait sur parole lorsqu’elle disait s’occuper d’affaires importantes concernant Paris mais elle-même désireuse de refaire son apparition, avait particulièrement soigné ses récentes apparitions en public.

    La veille avait définitivement marqué sa réapparition dans l’univers doré et raffiné qui était le sien. Pour les vingt-quatre ans de leur princesse, une somptueuse réception avait été organisée dans le château principal de la famille à Paris, ou plutôt dans les alentours. Les grands noms s’étaient précipités à la soirée, tant pour la notoriété d’y avoir été invité, tant que pour assister à un anniversaire royal. Chaque année, ses parents aidés par les meilleurs professionnels dans leur domaine, se surpassaient encore et encore. Plus elle grandissait et plus ce qu’ils lui réservaient devenait plus brillant et spectaculaire. Arthémis et Charles Hermès-Deschanel connaissaient leur fille sur le bout des doigts, il n’était pas plus aisé pour eux que d’organiser une soirée entièrement basée sur ses goûts. Les médias étaient inclus dans la liste des invités, il était évident que la princesse se devait de partager cet événement avec toute la population et pour qu’elle puisse profiter de son anniversaire, la réception avait commencé à minuit pile, au moment où elle avait fait son apparition dans la plus splendide des robes, cousue main dans les moindres ourlets, sous des centaines de regards émerveillés et souriants. Elle s’était sentie si vivante, si lumineuse ! Les vingt-quatre heures qui suivirent, sans un brin de sommeil, s’étaient déroulées dans la plus parfaite des atmosphères, elle était capable de se souvenir des plus petits détails. Son monde lui avait manqué. Sans aucun doute, elle était née pour être princesse.

    Bien qu’il soit désormais le dix-neuf février, le lendemain des festivités, son épanouissement ne faisait aucun doute. En soufflant ses bougies, elle s’était jurée que chaque jour à venir ne ressemblerait à aucun autre, il était hors de question de se morfondre davantage, elle désirait que cette année soit inoubliable et quelque chose lui disait qu’elle n’était pas prête à oublier ce qu’elle allait vivre aujourd’hui. En franchissant le pas de la porte, elle se sentit soudainement revigorée, prête à affronter le loup. Daniel était toujours aussi séduisant, son sourire, envoûtant, avait-elle réellement conscience qu’elle était face à un prédateur redoutable ? Elle le savait et c’était totalement excitant. ”Comment pourrais-je oublier ? Je suis venue ici plus de fois que toutes ces autres femmes.” dit-elle en levant un sourcil pour le narguer. ”Cela veut donc dire que nous sommes seuls, sans personne pour nous surveiller… Hum… Je pourrais te tuer si l’envie me vient.” Elle le taquinait, mais était loin contre un combat avec lui, elle était presque sûre de comment les choses allaient finir. ”Je me souviens de lui, il a toujours veillé sur toi.” Le regard adoucit, elle regarda la photo qu’il lui montrait. Aussi longtemps qu’il était à ses côtés, Daniel était entre de bonnes mains, cet homme lui était dévoué corps et âme. Une boule de poils vint alors se frotter à ses jambes, elle qui adorait les animaux laissa échapper un gémissement d'attendrissement.
    "Elle est tellement adorable." s'émerveilla la jeune femme en tendant sa main à la principale intéressée afin d'obtenir son autorisation pour la caresser. "Je suis jalouse, ce sera la seule qui aura fait tomber les murs de Daniel Smith." puis poursuivit. "Je te présenterai mon labrador, Sparkle, tu l'adoreras !" Elle ne s'était jamais doutée de son amour pour les animaux, la surprise ne lui faisait pas plus plaisir, elle se sentait proche de lui.
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() message posté Ven 13 Mar 2015 - 11:04 par Invité

   
When left to fate
Daniel & Athénaïs

Les semaines avaient passé depuis la fois où je l'avais revu dans ce magasin spécialiser dans le mariage. J'avais eu pas mal de sollicitation dont je ne pouvais pas refuser l'invitation, d'ailleurs de prendre de la distance en ne la revoyant pas tout de suite m'a permis d'essayer d'analyser mes sentiments. J'avais eu connaissance de son anniversaire préférant rester en retrait mais je n'avais pas oublié, celui que j'oublie c'est les miens, je n'y porte aucune importance. Quand je lui ai ouvert la porte sa beauté éclaira soudainement mon manoir au ton si sombre, elle se souvenait de cet endroit, comment l'oublier? Ce manoir dont tout le monde se demande si la réputation qu'on lui donne est juste une pure invention donnée par les médias ou l'oeuvre d'un fou. Ce manoir impénétrable ou tous ceux qui ont pu y pénétrer y son marquer à jamais. Cet endroit était chargé de douleur et de blessure dont je ne pourrais surement jamais oublier, un manoir qui mon longtemps tenu prisonnier mais qu'aujourd'hui j'ai du mal à quitter. C'était bizarre car je tente toujours de le fuir en partant à droite et à gauche mais je reviens toujours ici ne désirant jamais passer à autre chose en le vendant. Je pense que c'est dans la douleur que je recherche l'énergie nécessaire pour avancer dans la vie et cet endroit m'y aide beaucoup. Athénaïs entra comme je lui ai demandé et ce posai sur le canapé, sa réplique sur le fait qu'elle était venu ici plus souvent que d'autres femme me fit sourire, les autres femmes comme elle disait passaient des moments de folie en ma compagnie ici seulement, après ça il y a deux cas de figure sois si je suis assez lucide je leur demande de s'en aller et si je suis trop bourré pour me souvenir de quoi que ce sois-je dors avec maïs je les renvoie très tôt le matin. Je désirais que la chaleur de leur corps ce bref instant de folie, je ne voulais rien de plus de leurs pars, ne désirant rien donner de moi. Ma réputation n'était plus à faire, mais jusqu'à aujourd'hui j'avais réussi à tenir caché mon secret et je tenais bien à ce que personne ne le découvre sans mon consentement. Elle continua sa phrase en rétorquant que nous étions seuls, oui, qu'elle pouvait me tuer si l'envie lui prenait, de nouveau oui. Je m'avança vers elle et je lui pris délicatement la main que je déposai sur mon cou, après ça je me rapprochai de son oreille et je lui dis.

" - Je suis persuadé que tu ne pourrais pas. N'est ce pas? Tu es bien trop pur et c'est ce que j'aime en toi. "

Pas que je voulais la voir essayer de me tuer, mais dans son regard je pouvais tout lire sauf de l'animosité ce qui me plut. Son côté doux, pur presque sans tache reflétait ce que je n'étais pas, elle me rappelait la vie que je n'avais jamais pu avoir, elle est la blanche colombe, je suis le crapaud voit le dragon, sans pitié, sans foie ni loi. La mort j'en avais pas peur, pour une seule raison, ma vie s'est éteinte le 9 février 1989. Je relâchai sa main en la faisant descendre tout doucement avec un petit sourire, et on continua sur le fait qu'elle se rappelait d'Audric. Inoubliable cet homme-là c'est pour ça que j'ai fais appel à lui quand tout allait mal, il n'y avait que lui qui savait où toucher pour me faire mal et il n'y appuierait jamais c'est le fait qu'il sache où toucher pour me faire réagir et quoi dire en cas critique qui fait que je suis retourné le chercher il y a bien longtemps. C'est pour ça que veiller sur moi est un petit mot comparer et ce qu'il a fait, sans vraiment le savoir.

"- C'est un grand homme, je l'admire, d'ailleurs me l'entendre dire ça me fait bizarre, moi qui ne suis pas le genre à envier les autres. Audric a tout perdu à cause de mon père, tout père et mère, argent, toit. Il la héberge en tant que larbin, il lui faisait faire toutes les tâches ingrates dans ce manoir et quand il nous a surpris en train de parler, il l'a fichu à la porte sans argent. J'ai faits en sorte qu'il reçoive de l'argent pour se loger et après ça je n'ai plus eu de nouvelle. Je pensais que si je venais le chercher lui disant que j'avais besoin de son retour au manoir, il me refuserait son aide, après ce qu'a faits mon père mais non, il est revenu vivre ici sans poser de questions et il m'a aidé. Peut-être complote-t-il un assassinat dans mon dos? Qui sait? Je vaux des millions ! Héhé"

Je plaisantais bien sur, car je savais très bien qui ne ferais jamais une chose pareil, il a toujours été franc et honnête envers moi, il m'a toujours dit que revenir ici étais source de douleur pour lui. En tout cas c'était la première fois que je parlais d'Audric et de ma vie à quelqu'un, je changeai vite de sujet quand mon chat Mist se frotta aux jambes d'Athénaïs. Elle me sortit une phrase qui me fils sortir un large sourire, Mist toucher mon coeur? Je dois bien avouer que oui, sa jalousie me fit mordiller ma lèvre inférieure, j'aimais qu'elle puisse ressentir ça, c'était fou à dire mais j'aimais le fait qu'elle me désir et que puisse avoir ce désir de pénétrer dans mon coeur geler. Elle me parla de son labrador, j'étais plus que ravis de faire sa connaissance car justement je comptais m'acheter un chien. Je caressai doucement le haut du crâne du petit chat.

"- Je dois bien avouer que oui, j'ai lutté le plus possible mais je n'ai pas réussi. Audric était fier de lui car on avait parié sur le fait que je ne resterais pas insensible, bien sûr j'avais parié que ça me serait égal. J'ai perdu ! Je crois que le fais que ce chat soit tout simplement muet me plaît. Je fis un regard en coin à Athénaïs et je me mis à rire. Je plaisante ! Je ne saurais dire ce qui me plaît en Mist et je serais ravi que tu me présentes ton labrador."

Les animaux était innocent, il ressentait mes sentiments mais il ne pouvait en aucun cas juger et je pense que c'était ça que j'aimais. Le jugement des autres m'était égal mais on ne peut pas partager son secret à n'importe qui, les animaux peu importe lequel restera neutre devant ta vie. J'avais eu un chien dans le temps, bien évidemment il n'avait pas fait long feu, mon père l'a abattu car il disait qu'il aboyait trop. Mist avait une vie de rêve ici, un manoir immense ou vaquer à sa guise, des canapés et des lits à revendre pour se reposer, et un terrain à en perdre la tête pour gambader que demander de mieux. Je me levai du canapé et je demandai à la jolie blonde.

"- Tu as envie de boire quelque chose? Thé? Café? Jus de fruit? Il y a tout ce que tu désir. Même alcool si tu en as envie? J'étais au Whisky mais je pense passer au café à présent. "

Bien que le Whisky, ne me face plus le même effet qu'avant je voulais être totalement lucide aujourd'hui, je voulais savourer cette journée et mesurer mes gestes et mes mots. Bien qu'Athénaïs est venue aujourd'hui et qu'elle me face un peu plus confiance qu'avant je tenais tout de même à ne pas gâcher ça, autant qu'elle continue à me faire confiance. Je comptais pas gâcher cette chance, elle ne se représenterait surement jamais.

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() message posté Ven 10 Avr 2015 - 12:33 par Invité
    Cet anniversaire comportait la partie officielle, celle qui avait pour but de montrer au monde que la princesse gagnait en beauté et maturité, mais aussi le côté plus personnel, elle songeait comme toutes les années à organiser une semaine de fêtes avec ses amis. Cependant, elle savait que ses faits et gestes étaient minutieusement surveillés et reportés au public, plus il y avait de monde et plus vite la presse serait au courant. Elle avait songé à un séjour de ski à Courchevel, séjourner dans un chalet, se réchauffer auprès d’un feu de cheminé alors que la neige tombe dehors, profiter des sauna… Une ambiance plus intime que la réception de ses parents. La station était aussi connue pour ses boîtes de nuit ultra branchées, de quoi la détourner du droit chemin. Cette dernière option était sûrement à éliminer, le risque trop grand. Passer quelques temps dans un chalet lui convenait, mais elle ignorait encore avec qui et quand y aller. Ce qui était certain c’était qu’elle ne devait pas traîner, après tout, c’était encore pour célébrer son anniversaire, il lui semblait logique de ne pas tarder.

    Installée sur le canapé, elle reprenait peu à peu connaissance des lieux, quelques petites choses avaient changé mais l’atmosphère restait la même. On ne pouvait s’y sentir à l’aise si Daniel ne le désirait pas, elle ne s’était jamais sentie menacée ou oppressée. A ses yeux, c’était l’endroit où jadis, ils avaient pu consumer leur désir à l'abri des regards. Elle savait ces murs chargés d’histoire, elle ne s’était jamais aventurée à lui demander la raison de son attachement pour eux de peur qu’il se referme encore plus. Sa nature prévenante plaisait, elle ne posait pas de question sur des sujets qui semblaient délicats, elle voulait juste que sa compagnie soit agréable.

    Sa main se laissa guider jusqu’au contact de son cou, il avait raison, combien même il pouvait la mettre hors d’elle, la blesser, elle ne se résoudrait jamais à vivre dans un monde où il ne serait pas. Bien que ce qu’ils avaient vécu ressemblait plus à un chemin tortueux qu’autre chose, elle ne le regrettait plus. Leur histoire leur appartenait et elle se refusait de penser aux conséquences comme elle pouvait le faire auparavant. Elle ne pouvait décidément pas avoir peur d’éprouver des sentiments à chaque nouvelles retrouvailles ou rencontres. Julian avait laissé son coeur meurtri partir à la dérive et pourtant, elle se sentait plus prête que jamais à s’ouvrir à nouveau au monde. Et lorsqu’il la regardait de ses yeux bleus profonds, ses mots lui revenaient en mémoire, il ne la décevrait pas. Il était assez intelligent pour savoir quel comportement adopter, s’il voyait des femmes, il était préférable qu’elle n’en sache rien, ils n’étaient pas ensemble certes mais… c’était juste préférable. ”Pure hein ?” répéta-t-elle en souriant. ”Dans certains moments, ce mot ne fait plus parti de mon vocabulaire.” Elle était persuadée qu’il comprendrait le sous-entendu.

    La photo qu’il lui présentait semblait signifier énormément pour lui, son fidèle serviteur avait sans aucun doute une place à part dans son coeur. Jusqu’à présent, il ne l’avait jamais dit, elle l’avait remarqué seulement par sa manière de lui parler, il le respectait mais aujourd’hui, il se confiait, il admirait cet homme. Elle devait avouer que l’entendre dire ceci la surprenait tout autant qu’à lui, les sentiments n’étaient pas une chose dont Daniel parlait en général. Attendrie, elle l’observa pendant qu’il lui contait son histoire. Il était soudainement si différent de l’homme arrogant qu’il aimait laisser apparaître. ”Vous veillez chacun sur l’autre.” dit-elle avant de poursuivre. ”Je suis contente qu’il soit près de toi, tu es entre de bonnes mains. Tu sais t’occuper de toi mais je continue à croire qu’il est le seul point raisonnable dans ta vie.” Daniel faisait parti de son monde, les regards qu’on leur portait étaient remplis de jugements, elle savait mieux que quiconque qu’on ne survivait pas longtemps si une personne de confiance ne vous épaulez pas.

    Elle lui lança un regard accusateur tout en riant à sa plaisanterie. ”Les animaux sont tellement adorables, c’est impossible de leur résister, si tu l’avais fait, je me serai inquiétée ! Fais attention à ce que tu dis, j’ai aussi des griffes ! Oui la prochaine fois, tu le rencontreras, j’aurai le temps de lui apprendre à attaquer.” Sa voix angélique était accentuée par une pointe de sarcasme, qu’ils se taquinent de cette manière lui faisait du bien. Son appréhension de tout à l’heure avait bel et bien disparu. Elle se pencha vers Mist et lui chuchota à l’oreille. ”Dis-moi tous tes secrets, comment as-tu fait fondre ce beau brun ténébreux ?” Cette prouesse l’impressionnait presque. ”Sparkle grandit beaucoup trop vite, j’aurai aimé qu’il reste un chiot toute sa vie.” se confia-t-elle en faisant la moue. ”Je me demande si ces deux-là s’entendraient.”

    Lorsqu’il lui proposa à boire, elle ne pu s’empêcher de le taquiner une fois de plus. ”Une autre chose que Daniel Smith aime, le whisky. Je crois qu’après deux verres je suis dans un autre monde, pour toi c’est comme de l’eau.” dit-elle, amusée. ”Et si nous faisions des cocktails ? La dernière fois que je suis venue, tu avais tout ce qu’il fallait.” Elle se leva à son tour avant de le précéder dans la grande cuisine. ”Tu vas être propriétaire d’un bar, il faut que tu ai la main.” Elle lui murmura à l’oreille. ”Montre-moi ce que tu as.” Elle s’adossa à la table de préparation, le dévorant du regard.

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() message posté Lun 13 Avr 2015 - 13:36 par Invité

   
When left to fate
Daniel & Athénaïs

Ma vie devenait assez routinière depuis que je ne voyager plus, cela avait le don de me rendre dingue. Je l'ai bien cherché en achetant ce bar faut dire, je voulais me poser et faire enfin quelque chose de concret dans ma vie. C'était plutôt réussis bien que je voulais aller plus loin, ce bar était qu'un amusement, je voulais reprendre l'affaire familiale des Smith et des Delarco. Je ne savais pas jusqu'ou j'étais prêt à aller, mais je sentais que je voulais atteindre des sommets. Ma réputation n'était plus à faire, j'étais connu de par le monde, c'était mon souhait et maintenant, je voulais me servir de cette notoriété pour bâtir mon empire. Le monde des affaires me ressemblait bien plus et avec l'éducation que j'avais eue, je n'avais aucun mal à rentrer dedans. Durant ma période de modèle photo, j'avais pris connaissance du testament de mon grand-père que mon père, c'était bien garder de me dire avant sa mort, il me léguer tout, ce qui concerner ce manoir que mon père, c'était approprier et une énorme somme d'argent et ses entreprises qui concerner le tabac, le vin et le whisky. En apprenant que j'en étais le gérant sans même le savoir mon sang n'avais fait qu'un tour, c'est à ce moment précis que j'ai décidé de changer de voie. Ce qui me gênait c'étais que l'entreprise porter le nom de Delarco et mon père avais trainer ce nom dans la boue. Les entreprises avaient chuté de plusieurs millions à cause de ça, et vue que personne ne se charger de le remettre à flot, il finissait par couler petit à petit. Je désirais au début laisser tomber pour le simple désir d'avoir la paix, mais aujourd'hui, je compte bien remonter la pente quoi que ça m'en coûte et redorer le blason des Delarco, pour ne plus avoir honte de qui je suis réellement, je me sens plus un Delarco qu'un Smith, j'avais changé de nom à l'époque pour vivre une vie plus tranquille, mais aujourd'hui, je le regrette un peu. Bien que je haïsse mon père le siens étais un honnête homme et comptais bien à ce que les gens s'en souviennent. Quant à l'affaire des Smith, je voulais la reprendre elle aussi, c'était différent mais bien plus florissant niveau rentrer d'argent, je savais que ce serait du boulot à en perdre la tête, mais c'était mon but, par contre ce n'est pas aussi simple que pour les Delarco, je n'en étais pas le légataire, je connaissais l'entreprise par les médias, mais je ne savais pas qui allais reprendre l'affaire ou si quelqu'un l'avait déjà repris depuis la mort de mon grand-père. Bien que je n'aie eu aucun vrai lien avec eux, je désirais tout de mêmes touchers la pars qui me revenais, simplement pour le fait d'avoir laissé ma mère aux mains de se tortionnaire sans faire quoi que ce soit. J'avais eu connaissance il y a peu de temps que ma mère avait une sœur, donc forcement des potentiels héritiers. J'étais prêt à faire un partenariat s'il fallait en venir à là, j'allais envoyer Audric se charger d'en apprendre un peu plus sur les Smith avant d'entreprendre quoi que sois, tachons de savoir à qui nous avons à faire avant de faire quoi que ce soit, c'était ma devise. J'avais bien plus d'ambitions qu'à l'époque où je connaissais Athénais ou ce qui m'intéressait étais simplement de me rebeller contre ma passée. Aujourd'hui bien que je continue ma vie de débauche, je voulais le faire avec des projets en tête et là seule personne avec qui je voulais partager ça, c'était avec Athénais. Elle seule pouvais juger du changement, bon, il n'était pas si spectaculaire, car j'étais toujours autant séducteur et aimant les défis en tous genre, risquant ma vie à tous moment, mais au moins j'avais des projets. Audric me répéter que si je devais aller dans cette voie, je devais être prudent d'être pas trop gourmand au risque de devenir comme mon père. Que je sois comme mon père, je crois que c'était ça la plus grosse crainte d'Audric, c'était la seule chose avec lequel on avais un différent. Avait-il peur que je finisse par le chasser moi aussi ? Que je brise cette confiance installée entre nous pour le simple désir de pouvoir en oubliant tout ce qu'il a fait pour moi ? Je pense que j'étais capable de faire là part des choses. Me laisserais-je devenir le monstre qu'était mon père ? Je verrais bien quel homme je suis réellement après ça.

Qu'Athènais soit là en face de moi dans ce manoir me rappelais des choses, de bon moment de folie et aussi de reproche. Ma mentalité était peut-être plus responsable avec e temps, mais je ne désirais toujours pas de contrainte, sauf celle que je m'imposer. Je me demandais si elle me reprochait toujours, c'est choses des passées, si j'étais toujours un salaud pour elle, je pense que sa vision à dû changé positivement pour qu'elle accepte mon invitation. C'était plutôt une bonne chose qu'elle me fasse un peu plus confiance, bien que je ne voulusse pas lui donner une mauvaise image de moi, je ne voulais pas non plus lui faire croire que j'avais totalement changé. C'était plutôt une bonne chose qu'elle me fasse un peu plus confiance, bien que je ne voulusse pas lui donner une mauvaise image de moi, je ne voulais pas non plus lui faire croire que j'avais totalement changé. Je ne savais pas si j'étais capable de changer pour une femme, du moins j'avais essayé seulement avec elle. J'aimais mon indépendance, me dire que je peux partir du jour au lendemain sans penser qu'une femme m'attend à la maison. Du moins, je ne veux pas qu'on attende quelque chose de moi, je ne suis pas capable d'assumer ça. La torture était qu'elle était toujours aussi ravissante voir bien plus belle avec les années, son corps, c'était développer et bien qu'elle portât toujours des tenues splendides, elle était devenue à ce jour une femme. Je luttais pour ne pas l'embrasser, je crois que je le ferais très bientôt, qu'est-ce qui m'empêcherais de le faire ? Elle ? Qu'elle le face ! Pour le moment, je me rassasiais en la regardant, son corps toujours aussi désirable, il me suffisait de fermer les yeux pour me rappeler de chaque courbe de son corps que j'avais longuement parcouru à l'époque. Chaque grain de sa peau était une gourmandise et d'une douceur incomparable. Étant un connaisseur, je pouvais bien évidemment comparer. Sa bouche pulpeuse et gourmande me rendait fou, surtout quand j'apercevais sa langue y passer délicatement. J'y goûterais bien...

Je lui fis mon petit speech sur le fait que j'étais certain qu'elle ne voudrait jamais le tuer, d'ailleurs ça eut un effet mouche, car dans son regard, je pue lire " je vivrais jamais sans toi." je dessinais un léger sourire du coin des lèvres et dans ma tête je commençais à me dire que finalement je pourrais pas imaginer ma vie sans elle non plus, je ne saurais dire ce que ça représenter, en tout cas je savais qu'elle était importante pour moi. Je lui expliquais que je la trouvais bien trop pure comparer à moi, mais elle parut interloquer, et à sa phrase, j'élargis mon sourire et je me mordis la lèvre inférieure. Oh ça, je n'en doutais pas, j'avais pu en avoir l'aperçue mainte et mainte fois. D'ailleurs, j'aurais aimé un nouvel aperçu aujourd'hui, mais ça, je lui laissais le choix d'en décider, c'était la première fois que je ne voulais pas forcer une femme, bien que je tente tout pour la faire pencher du bon côté de la balance.

"- Je suis heureux de l'apprendre petite colombe."

Bien que je susse de quoi elle était capable, je ne pourrais jamais la voir comme une de, c'est femme avec qui je couchais sans sentiment. Elle était plus délicate et plus respectueuse envers elle-même et c'est ce que j'aimais, elle ne se laisserait pas acheter pour passer une nuit avec moi. Déjà par ce que mon argent était le cadet de ses soucis et aussi par ce qu'elle ne se laisserait jamais acheter pour faire ce genre de chose. J'aimais bien sur avoir le pouvoir, je tenté tout un tas de choses pour faire craquer les femmes, le nombre de femmes que j'ai fait craquer alors qu'elles avaient promis de se fiancer avec leur conjoint. J'avais qu'à leur promettre mont et merveilleuse chose que leur futur ne pouvait pas leur offrir et elle craquait. Pathétique, mais c'était si bon et si excitant ! Je jouais rien de plus, je jouais avec leur moral, savoir si elle avait autant de principe qu'elle disait avoir. Jusqu'à aujourd'hui, je n'en ai pas croisé beaucoup qui me disaient non pour un autre mec, voir pas, car je réussis toujours à les faire craquer pour une raison ou une autre. Oui, je peux l'admettre, c'était un avantage d'avoir de l'argent, mais parfois, je n'ai besoin que de ma tchatche pour les avoirs dans mon lit. Toute les femmes rêve d'être traité comme une princesse, chose qu'avec Athénaïs, je n'avais pas à faire, car elle en était déjà une, avec elle, c'était un autre schéma, je devais plutôt la considérer comme une femme comme les autres tout en lui montrant qu'elle avait un grand intérêt pour moi. Lui faire découvrir des endroits qu'elle ne pouvait jamais imaginer voir un jour, des choses qui n'étaient pas de son milieu, qui ne sont pas du mien à proprement parlé, car finalement, je n'ai plus de milieux. C'est ce qui me motiver avec ma jolie blonde, c'était que je n'avais pas à la mettre au rang qu'elle occuper déjà.

Audric, un homme juste et loyal, je lui faisais confiance et c'était une bonne chose de pouvoir vivre avec lui bien que je le laissasse souvent seul. Je crois que ça l'arranger, il s'occupait du manoir en mon absence et il essayait de le rendre agréable, il essayait tant bien que mal d'apprivoiser cet endroit qui avait été autrefois sa torture. J'avais décidé de changer quelque truc, mais je voulais garder l'esprit du manoir et de mes ancêtres en leur mémoire, il y avait tant de souvenirs, des photos que j'avais cachées, des pièces de collection comme des anciennes armes exposées au mur, ou bien des tableaux qui valent beaucoup d'argent. C'était un musée, je devais bien l'avoué, mais c'était ce que j'aimais cet esprit ancien, on dirait parfois un château et je devais bien l'avouer, je faisais tout pour. Quand je montrais la photo d'Audric à Athénaïs, elle avait l'air de se souvenir de lui, faut dire que je ne le laissais jamais en arrière quand j'invitais du monde, ce qui étais rare mais quand j'invitais quelqu'un, je leur présentais systématiquement Audric. En tant qu'ami et pas en tant qu'autre chose, employer par exemple, ce qu'il n'était pas. D'ailleurs, il était pour moi comme un frère et aujourd'hui que j'étais plus grand je voulais lui donner un rôle bien plus intéressant dans ma vie. Le manoir, je pouvais le gérer autrement, je voulais qu'Audric puisse faire ce qu'il désire et s'en aller à sa guise bien que je ne lui aie jamais refusé des vacances. Il se prenait un peu trop comme mon majordome ce qui me dérangeait. Disons que je l'ai un peu formé de cette façon depuis des années en le laissais gérer cet endroit en lui disant quoi faire. Je peux être froid, je l'admets et je n'étais pas toujours tendre avec lui, mais j'espérais qu'il comprenait que je tenais tout de même à son amitié. Les paroles d'Athénaïs raisonnés dans ma tête, oui, il était le seul point raisonnable dans ma vie, tout le reste était mauvais pour moi et pourtant, je ne lâchais rien. Je regardais la jolie colombe d'un air un peu plus sérieux, j'avalai ma salive, je me mordis le coin de ma lèvre et je lui dis. Je pouvais pas lui en vouloir, il me faisait confiance mais il redoutait que ça arrive un jour. Je regardais la jolie colombe d'un air un peu plus sérieux, j'avalai ma salive, je me mordis le coin de ma lèvre et je lui dis.

"- Je crois en effet qu'il est la seul chose raisonnable dans ma vie ainsi que toi, ma colombe."

Ce petit surnom lui allait à merveille, c'était mon côté taquin et joueur de l'affubler d'un petit surnom comme si nous étions en couple. Je savais que ça ne la dérangerait pas au contraire, quoi que... Je n'en étais pas certain, bien que j'eusse appris à lire dans le regard des gens, parfois le regard peut être trompeur et peut être que je lisais certaine chose qui n'étais que le contraire, mais je pense assez connaitre Athénais pour ne pas me tromper. Quand la conversation allait dans un sens qui je savais pouvais dériver dans une conversation que je ne voulais pas aborder, je trouvais toujours une parade pour quelle dérive ailleurs. J'étais le pro pour dévier les conversations qui me déranger, c'est pour cela que j'arrivais toujours à passer entre les mailles du filet en ce qui concerner ma vie. Tout le monde se demandait qu'elle fût la passée de ce fougueux et séducteur Daniel, certaine l'avais plus au moins appris dans les journaux, mais personne ne se rappelait que ça me concernait vue que j'avais fait le choix de changer de nom pour ne pas qu'on me lie à cette affaire. Je ne voulais pas voir de la pitié dans leur regard, non tout sauf de la pitié, je voulais de l'admiration ou bien de la jalousie, mais rien de plus. Je reconnaissais ma passée, je ne voulais pas le nier, mais c'était seulement pour ne pas voir de la pitié que j'avais changée de nom ou pour pas qu'on me rattache à cette ordure. Je voulais aller au sommet et je ne voulais pas qu'on me lie à lui, par ce qu'on imagine que je deviens aussi puissant par les mêmes magouilles, ce qui n'est pas du tout mon cas.

Mist étais aussi un point positif si je puis dire dans ma vie, bien que je m'occupe assez peu de lui il vient toujours au moment qu'il faut. Je n'étais pas un sentimental, ou peut être un peu seulement, juste pour les animaux. Je m'étais pris de passion pour eux, j'avais eu dans l'idée d'avoir un cheval et un chien. J'étais impulsif comme garçon, quand je me mettais dans une voie, je m'y mettais totalement. Bien évidemment c'étais pour combler encore une fois se troue qui me fais défaut dans ma vie, j'ai beau cherché je ne sais pas comment le combler. D'ailleurs, je baissai les yeux vers Mist, il était comme moi finalement, peu farouche et séducteur avec ça. Il bougeait sa queue de droite à gauche en se frottent sans modération contre Athénais. Il avait dû craquer lui aussi, comme ne pas craquer devant ce joli minois.

"- Je dois bien avouer alors que je suis plus normal que je le pensais alors, et tu peux sortir tes griffes autant que tu veux, j'adore les chatons arranger c'est tellement... Je m'approchais d'elle avec un léger sourire sadique sur mon visage et je lui murmurai.Sexy. Je retournai à ma place et je continuais en lui disant. Les animaux m'adorent, je ne sais pas pourquoi je les fais craquer, ça doit être ma bouille d'enfant de cœur qui fait ça ! Je lui fis une moue pour illustrer mes paroles, après ça, je me mis à rire. T'en penses quoi ?"

Elle lui demandait soudainement comme il avait pu me faire craquer, je lui souris, comment ? Je ne saurais vraiment l'expliquer, peut être par ce qu'il... Non, je ne sais pas. Mist n'avait pas vraiment le caractère d'un chat faut dire, il n'avait pas peur des autres animaux, il est toujours prêt pour la bataille, il me ressemblait en tout point. Je pense que c'était peut-être l'une des choses que j'aimais chez lui, il était prêt à courser un chien qui faisait trois fois sa taille. Il revenait parfois amocher, mais il revenait fière de lui et ça, je ne pouvais pas nier, c'était une fierté. Alors à sa question si Mist et Sparkles s'entendraient ma réponse me vint rapidement.

"- Tu es adorable, pour Mist et Sparkles je suis certain que ça collerais car Mist à le caractère d'un chien. Tu verras ça, là, il est son beau devant toi, il est aussi séducteur que moi."

D'ailleurs, elle s'empressait de me le rappeler, me disant que pour le Whisky étais comme de l'eau, en tout cas, elle n'avait pas tort, c'était devenu mon péché mignon depuis que j'avais pris mon indépendance, c'était la première chose que j'avais bue pour le fêter. D'ailleurs, elle s'empressait de me le rappeler, me disant que pour le Whisky étais comme de l'eau, en tout cas, elle n'avait pas tort, c'était devenue mon pêcher mignon depuis que j'avais pris mon indépendance, c'était la première chose que j'avais bue pour le fêter. Depuis je ne bois que ça de temps en temps chez moi, après j'innove quand je vais dans des bars pour découvrir, mais c'est assez rare. Elle me proposait de faire des cocktails, c'est vrai qu'elle n'avait pas tort, j'avais toujours tout l'attirail pour que personne ne s'en serve, sauf quand je donnais de rares soirées. Sinon, c'était pour les femmes qui venaient passer du bon temps ici, au moins j'avais toujours ce qu'elles désiraient.

"- Bonne idée ma belle, allons voir mon bar à cocktail."

Je me dirigeais vers un grand meuble en bois et quand je l'ouvris, il était disposait tout un tas d'alcool en tous genre. Au centre du meuble, un plateau qui se baissait avec des verres pour différent cocktail au fond et le nécessaire pour le faire. D'ailleurs, je le baissais et je me tournais vers Athénais en lui disant.

"- Une envie ? Ou tu te laisses guider ?"

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