"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 2979874845 victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 1973890357
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victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures.

Anonymous
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:08 par Invité

Victoria Eden Lancaster

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Lancaster, un nom dont elle n'arrive pas à se défaire pour son plus grand malheur. PRÉNOM(S) : Victoria, Eden, derrière eux aucune histoire magique ou qui mériterait d'être racontée. ÂGE : 34 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Un quinze septembre pluvieux à New York. NATIONALITÉ : Américaine, avec l'accent et tout. STATUT CIVIL : Mariée, enfin c'est compliqué. MÉTIER : Journaliste de formation, mais à défaut elle est assistante de direction pour le moment. TRAITS DE CARACTÈRE : Pétillante, fleur bleue, douce, discrète, humble, cultivée, rêveuse, philanthrope, diplomate, secrète, optimiste, taquine, retenue, trop gentille. GROUPE : Double-Decker.



My style, my life, my name

elle sait parler le langage des signes, qu'elle a appris avec sa cousine malentendante # elle est sujette aux cauchemars, et passe de nombreuses nuits sans pouvoir dormir correctement # c'est une accro aux sacs à main, elle en possède une petite collection à laquelle elle tient comme à la prunelle de ses yeux # elle raffole de tout ce qui est à base de chocolat, surtout la glace Ben & Jerry's aux brownies # elle cuisine très bien, et elle adore le faire, pourtant elle ne mange que très peu, pas qu'elle soit anorexique pour autant, mais elle a une relation relativement conflictuelle avec la nourriture depuis gamine # elle ne jure jamais, et sort souvent des insultes ridicules qui lui font perdre toute crédibilité lors d'une dispute # en parlant de disputes, elle ne se met jamais en colère, pas que rien ne parvienne à l'énerver, mais parce qu'elle sait qu'elle est risible lorsqu'elle crie, alors autant éviter de se ridiculiser autant que possible # lorsqu'elle est stressée, elle a la fâcheuse tendance à mâchouiller tout et n'importe quoi, du stylo, à ses lèvres # elle adore la plage, mais paradoxalement elle déteste le sable # elle ne sait pas mentir, lorsqu'elle tente de le faire, soit elle vire au rouge écrevisse, soit ses yeux hurlent à l'imposture # elle ne parle pas de ses parents, jamais, elle reste profondément marquée par ce qui leur est arrivé et partager leur histoire, son histoire, reviendrait à se dévoiler beaucoup plus que ce qu'elle pourrait le supporter # c'est une très mauvaise malade, elle passe son temps à soupirer et à geindre et refuse de prendre n'importe quel médicament # elle aime le vin blanc, elle adore le vin blanc même ! Mais elle ne tient pas l'alcool, et ivre elle a tendance à se laisser un peu trop aller # elle s'émerveille d'un rien, s'amuse de petites choses que la plupart des adultes ne remarquent même plus # elle rêve secrètement de devenir une écrivaine publiée, elle écrit d'ailleurs son premier roman en ce moment # elle a son permis de conduire depuis ses seize ans, mais au bout du douzième accident, sans gravité, en moins de deux ans, elle a décidé d'arrêter les frais, depuis c'est une adepte des transports en commun
PSEUDO : Bismuth. PRÉNOM : Laura. ÂGE : 25 ans. PERSONNAGE : Scénario de James T. Westlake.  AVATAR : Natalie Portman. CRÉDITS : Kiri et tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : J'me suis encoublée dans mes lacets ?



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Anonymous
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:09 par Invité
At the beginning

Elle ne parle plus. Depuis deux mois, Victoria ne parle plus. Sa tante ne sait plus quoi faire, quoi dire. Même aux nombreux rendez-vous chez sa psychologue, Vic ne desserre jamais les dents. Les seules conversations qu'elle entretient sont avec sa cousine, Amelia, et pourtant jamais un mot ne franchit la barrière de ses lèvres. Et pour cause, Amelia est malentendante, et toutes les deux communiquent en langage des signes. Et même si sa tante le connaît aussi, impossible pourtant pour elle de réussir à faire parler Victoria avec elle de cette manière. Elle en devient lentement folle, commence à craindre le pire pour sa nièce. Elle n'a que dix ans, et devrait être dehors en train de jouer, pas là, enfermée à tenter de faire le deuil de ses parents. « Victoria, chérie, il faut que tu manges un peu quand même. » Elle a l'impression de prendre des pincettes avec la gamine à chaque fois qu'elle lui parle. Même pour des choses aussi futiles que celle-là. Elle n'attend rien de Vicky, elle sait qu'elle ne daignera même pas lever les yeux, qu'elle ne mangera pas plus de trois fourchetées de son assiette. Et pourtant, ses grands yeux bruns se plantent soudainement dans ceux bleus de sa tante. Elle paraît froide, son regard ne ressemble pas à celui d'une enfant de dix ans. « J'ai pas envie de manger ! J'ai pas envie que tu joues à ma maman de substitution ! J'ai pas envie non plus de vivre ici ! Sa voix se fait de plus en plus forte à mesure que les mots sortent. Et son poing finit par s'écraser violemment sur la table, accompagné d'une douleur aigüe qui se propage dans son bras, mais qu'elle ignore. Ils ont tué mes parents, tante Alice ! Ils sont morts ! Je les hais, je les hais tellement. Ce que je veux, c'est qu'ils meurent eux aussi. Je veux les tuer et qu'ils souffrent comme moi ! » Alice reste figée, choquée par les paroles d'une enfant habituellement si douce. Les premières qu'elle a prononcées depuis le soir où la police l'a retrouvée, cachée derrière le canapé du salon, recouverte du sang de ses parents. On les lui a enlevés une nuit pour leur voler quelques centaines de dollars et une poignée de bijoux. Et elle était là, innocente et silencieuse un instant et le suivant tout a été bafoué. Elle a regardé sans bouger son père se débattre, puis sa mère tenter de l'aider, pour qu'au final l'un comme l'autre finissent sur le sol, baignant dans leur propre sang. Et pendant tout ce temps, elle est restée cachée, sans un mot, sans un cri, sans émettre un seul son jusqu'à aujourd'hui. Elle est révoltée, contre eux, contre elle, contre ces voleurs, contre le monde. Elle a mal, tellement mal qu'elle n'arrive pas à le gérer, ne sait pas comment réagir. Et elle finit par éclater en sanglots face à son assiette. On lui a dit que ça finirait par passer, que la douleur s'estomperait avec le temps. Mais elle n'y croit pas, elle n'y croit plus. On lui a volé son innocence, et elle ne sait plus comment être cette petite fille qu'elle a été. Pourtant, plus tard, elle apprendra que la colère fait partie du processus du deuil, et qu'elle finira par retrouver qui elle était avant.


Elle l'observe, à peine discrètement. Il lui parle et elle boit ses paroles, ponctuant ses phrases d'hochements de la tête, ou de 'mh' approbateurs. Elle a l'impression d'être une adolescente à nouveau. Elle est envoutée par le son de sa voix, la forme que prennent ses lèvres lorsqu'il sourit, et par ses petites rides d'expression qui se dessinent lorsqu'il réfléchit. Et puis il a cet accent qui la fait chavirer, et cette classe toute londonienne. Il est son prince charmant, c'est ce qu'elle se répète alors qu'il lui raconte comment il en est venu à venir étudier à New York. « Et toi, Victoria, pourquoi tu as choisi journalisme ? » Elle est surprise par sa question, bien trop occupée à l'écouter, elle en oublie qu'elle existe elle aussi. Elle semble gênée, cherche ses mots tout en se mordant la lèvre, les yeux baissés, ses cheveux venant cacher les rougeurs qui ont envahi son visage. « Et bien, on m'a souvent dit que j'étais un peu trop curieuse. Je suppose que c'est pas tout faux. Et c'est au tour de son rire à elle, de lui faire chavirer le cœur. Et j'aime écrire et faire partager mon savoir avec les autres. Alors c'était soit ça, soit institutrice. Et comme les enfants ne semblent pas m'apprécier plus que ça, j'ai opté pour le journalisme. » Elle rigole à nouveau, se souvenant par la même occasion de la réaction du bébé d'Amelia lorsqu'elle l'a pris pour la première fois dans les bras, et la deuxième, et toutes les suivantes; inlassablement le petit Eliott se met à pleurer dès qu'il se trouve à proximité de sa marraine... Un comble pour la belle qui rêve au mariage et à la ribambelle de gamins qui va avec depuis sa plus tendre enfance ! Mais elle espère toujours que lorsqu'ils seront les siens, ils seront moins réfractaires à sa présence ! Et tout au fond d'elle, elle en est certaine, ses enfants, ceux qu'elle aura avec William, l'aimeront. Oui, elle ne le connaît qu'à peine depuis quelques semaines, mais s'imagine déjà vivant avec lui, en famille. « Parle-moi de toi maintenant. Il me semble que tu en sais bien plus sur moi, que moi sur toi. » Il ne s’imagine sûrement pas ce qu’il lui demande, et il reste un peu perplexe face à son visage qui s’est décomposé soudainement. Elle joue avec la paille de son verre, fuyant son regard, cherchant à savoir quoi lui dire pour ne pas trop en révéler. Elle sait au fond d’elle, qu’elle a envie de tout lui dire, qu’elle lui fait confiance. Mais c’est un sujet tellement sensible, que même pour lui elle n’arrivera pas à en parler, pas tout de suite. « Et bien à vrai dire, il n’y a pas grand-chose à dire, tu sais. J’ai grandi à New York, je n’ai même jamais quitté cette ville. Je n’ai jamais rien fait d’extraordinaire. Elle tourne autour du pot, ne ment pas tout à fait, mais frôle le mensonge de si près, qu’elle en devient toute rouge. Elle tente de se reprendre en se raclant la gorge, mais elle voit dans son regard qu’il n’achète pas ce qu’elle lui dit. J’ai grandi chez ma tante, avec son mari et ma cousine. Mes parents ont eu… ont eu un accident. » Voilà, elle lui en a dit bien plus qu’à quiconque en si peu de temps, certes ce n’est pas toute l’histoire, mais il s’en contentera pour ce soir. Son malaise est palpable et c’est sûrement ce qui le pousse à ne pas poser plus de questions à ce sujet, préférant en changer pour un plus léger, afin de ne pas gâcher cette soirée.


Victoria se tient dans son salon, à Londres, muette, tétanisée. Ce salon qu'elle a passé des heures à décorer alors que son mari était au travail. Elle a accepté de suivre William sur l'ancien continent parce qu'il le voulait, parce qu'il avait une opportunité professionnelle et qu'il rentrait chez lui, enfin. Pour lui elle a tout sacrifié, tout abandonné, et se retrouve sans rien si ce n'est tous ces meubles qu'elle a choisis avec attention. Et comme si ça ne suffisait pas, comme si elle n'avait pas assez donné pour lui, il arrive encore à lui faire subir ses humeurs à présent. Lui qui était un homme doux et attentionné lors de leur mariage, les mois et les années passant n'ont fait que révéler chaque jour un peu plus son véritable visage. Et tout s'est passé de manière si progressive, que Vicky ne s'en est même pas rendue compte. Ou peut être a-t-elle toujours préféré fermer les yeux, garder son petit bonheur intact, même si cela n'était plus qu'une illusion désormais. « Alors tu l'as baisé hein ?! » Son haleine n'empeste même pas l'alcool, pour pardonner son comportement. Non, il est sobre, comme toujours. Et comme à chaque fois, Vic ne comprend pas d'où ses reproches lui viennent. Oui elle a trouvé un travail, enfin, dans une maison d'édition, mais ça ne veut pas dire qu'elle couche avec son patron pour autant ! Elle en vient à regretter de lui avoir dit la vérité, elle aurait mieux fait de présenter James comme un vieil aristocrate d'un autre siècle. « Mais non je t'assure Will ! » Pourquoi tente-t-elle de se justifier, alors qu'elle sait très bien que quoi qu'elle dise, il restera persuadée de sa trahison. Et pourtant elle l'implore du regard, tente de se rapprocher de lui, de caresser sa main pour le calmer, mais il se dérobe juste sous ses doigts. « Espèce de traînée Il hurle, et elle se fait plus petite, recule d'un pas par réflexe. Sale pute ! » Et il ponctue sa phrase d'une gifle s'écrasant lourdement sur sa joue. Et dans son esprit le souvenir de toutes les autres baffes lui reviennent, une à une, elles défilent, les prétextes bidons aussi. Etre rentrée en retard. Avoir brûlé le repas. Ne pas avoir répondu au téléphone. Ne pas réussir à tomber enceinte. Et ainsi du suite. Elle pense que comme chaque fois il s'arrêtera là, mais la fureur dans ses yeux lui fait vite comprendre le contraire. Victoria a peur, elle en oublie la brûlure sur sa joue, cette douleur qui irradie sa peau et l'humilie tellement. Avant qu'elle puisse tenter quoi que ce soit, une nouvelle main vient heurter sa pommette, puis une autre et encore une autre. Sa main gauche, grande et puissante, l'empêche de fuir, alors que la droite continue de s'abattre inlassablement sur elle. Et doucement le plat de sa main laisse place à un poing. Elle ne sent plus la douleur de chaque coup tant elle souffre globalement. Elle se sent tellement minable, indigne de tout et n'a de cesse de se demander ce qu'elle a bien pu faire pour mériter ça. Lorsqu'il en a fini, il la lâche enfin. Elle s'effondre lamentablement au sol tandis qu'il la toise. « T'as eu que ce que tu méritais, sale garce. » Il est méprisant, loin de tout ce qu'elle aurait pu imaginer venant de lui. Victoria pleure sur le sol, alors qu'elle entend la porte de leur chambre se refermer et l'eau de la douche se mettre à couler. Il continue à vivre comme si battre sa femme était normal. Comme si ce qu'il venait de faire n'avait rien d'horrible. Vic est terrorisée, elle souffre autant physiquement que moralement. Elle est anéantie, un sentiment qu'elle n'a plus connu depuis la mort de ses parents. Elle a envie de courir jusque chez sa tante, retrouver la chaleur de son foyer, le réconfort du creux de ses bras. Mais elle est loin, loin de New York, loin de tout ce qu'elle connaît. Pourtant elle prend sa veste, couvre son visage sous son capuchon et disparaît dans le froid humide de la nuit. Sans réfléchir, sans y penser, sans rien avoir prémédité, elle se retrouve devant la porte de James. L'homme même responsable du dernier coup de folie de son mari. Pourtant elle ne culpabilise pas, elle n'aurait pas de place pour ce sentiment, pas maintenant. Elle veut juste se sentir en sécurité, et elle ignore pourquoi, parce qu'elle ne s'est jamais autorisé à le faire, James semble lui inspirer ce sentiment.


L'appartement est vide. Désespéramment vide. Désespéramment, vraiment ? Non, Victoria se réapproprie les lieux doucement, après avoir vécu chez James le temps de se remettre. Et maintenant qu'elle est à nouveau seule, parfois elle sursaute en croyant voir son ombre s'approcher, pour ensuite se rendre compte qu'elle n'a fait que l'imaginer. Il est parti depuis quelque temps à présent, Vic ne sait même pas pourquoi, ni où, ou s'il reviendra même un jour. Enfin si, elle connaît la cause, mais pas exactement, et à vrai dire elle ne pose pas de questions se contentant d'apprécier sa liberté retrouvée. Ou peut être au fond a-t-elle peur d'apprendre la vérité. Mais après tout seul compte le fait qu'elle a l'impression de revivre, et l'éternelle optimiste qu'elle est, sait qu'un jour elle ne craindra plus son retour. Tout ça, elle le doit à James, son patron, son ami, son protecteur, son... non, rien de plus. Et pourtant elle est fébrile en sélectionnant son nom dans son répertoire. La sonnerie retentit à plusieurs reprises, et alors qu'elle est sur le point de raccrocher sa voix se fait enfin entendre. « James ! Elle paraît enthousiaste, mais le petit temps de pause qui s'éternise prouve qu'elle ne sait pas quoi lui dire en réalité. Et lui dire la vérité semblerait tellement ridicule, qu'elle n'ose s'aventurer là. Je... Son intonation se fait hésitante. Elle quoi ? Elle avait juste envie d'entendre le son de sa voix ? Elle avait juste envie de parler de tout et de rien avec lui, parce que sa présence à ses côtés lui manque ? Elle n'a pas le temps de réfléchir à la suite qu'elle entend une voix de femme, sa voix. Victoria se fige, quelle petite idiote ! Pourquoi elle l'a appelé ? Pourquoi elle a eu cette soudaine envie, ce besoin pressant de lui parler ? Elle se répète depuis qu'elle a appris qu'il était en couple qu'elle doit arrêter de penser à lui sans cesse. Et pourtant, elle ne peut se défaire de cette image de chevalier en armure qui la sauve de son mari violent. C'est gravé dans son esprit, et elle sait pertinemment que ça ne veut rien dire, que ça ne voudra jamais rien dire. Ça aurait pu, sûrement, si elle n'avait pas été mariée, s'il ne s'était pas trouvé une petite amie entre temps. Vous parlez de mauvais timing ? Victoria vous dira que c'est la destinée, et qu'il suffit qu'elle se fasse une raison. Je suis désolée, tu n'es pas seul. Je n'aurai pu dû t'appeler, excuse-moi. Elle est pressée, parle bien plus rapidement qu'à son habitude. Bonne soirée. » Elle termine abruptement la conversation en raccrochant, ne laissant sûrement à James pas le temps de réaliser ce qu'il vient de se passer. Et elle jette son portable sur la table basse et le fixe de longues secondes en silence, comme s'il s'agissait d'une créature étrange qui risquait de l'attaquer à tout moment. Vicky finit enfin par se lever, se dirigeant vers la cuisine, elle se dit qu'en préparant quelque chose à manger, elle oubliera ce fiasco. Et peut être que demain, James aussi aura oublié ce qu'il vient de se passer... L'espoir fait vivre comme on dit !

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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:12 par Invité
Bienvenue I love you
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:20 par Invité
Nataliiiiiiiiiie *-*

Bienvenue ici :D
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:27 par Invité
Merci vous deux I love you
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Alycia Hemsworth
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victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. Tumblr_inline_ojuj3bc03m1tw2m0e_250
» Date d'inscription : 15/02/2014
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» Avatar : zoey deutch
» Âge : 28yo
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:38 par Alycia Hemsworth
Bienvenue victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 1922099377
Si tu as besoin, n'hésite surtout pas victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 1973890357

En attendant d'être validée tu peux déjà aller faire un tour sur le flood ou venir papoter sur la cb victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 2336905461
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:38 par Invité
Natalie victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 1942225346 super choix. victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 2941632856
Bienvenue sur le forum. I love you
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:43 par Invité
Merci vous êtes des p'tits choux victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 1973890357
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:54 par Invité
bienvenue parmi nous et quel bon choix pour Natalie victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 1973890357
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() message posté Mar 4 Nov 2014 - 19:59 par Invité
Merci victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 83559717 Oh God Devon victoria † Your heart won't heal right if you keep tearing out the sutures. 878725457
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