(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 1:47 par Invité
Franklin Antwan Delaney
London calling to the faraway towns
NOM(S) : Delaney. PRÉNOM(S) : Franklin, petite ville du Tennessee ou sa famille maternelle est née. Ses parents ont voulu qu'il garde un héritage de ses origines américaines. Antwan, dérivé d'Antoine, prénom que son père appréciait. Ils ont voulu y ajouter une touche d'originalité. ÂGE : vingt-trois ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 20 avril 1991, Londres. NATIONALITÉ : anglaise, américaine et française. STATUT CIVIL : célibataire. MÉTIER : étudiant et il travaille dans un studio de musique. TRAITS DE CARACTÈRE : coeur sur la main ✗ généreux ✗ terre-à-terre ✗ loyal ✗ impulsif ✗ créatif ✗ calme ✗ conservateur ✗ indépendant ✗ perfectionniste ✗ fidel ✗ empathique ✗ obstiné ✗ têtu ✗ rancunierGROUPE : on my bicycle.
My style, my life, my name
à l'âge de dix ans, il s'est cassé le bras en grimpant dans un arbre suite à un défi lancé par son meilleur ami. ✗ Il a appris la guitare par ses propres moyens et depuis qu'il travaille au studio, il a appris la batterie... enfin, il apprend la batterie. ✗ Sa pire manie est de se ronger les ongles. Il le fait surtout lorsqu'il est stressé ou nerveux. ✗ Après avoir vu sa grand-mère maternelle mourir à l'hôpital, il déteste depuis les hopitaux. ✗ À l'âge de seize ans, il a voulu avoir une tarentule comme animal de compagnie, juste pour jouer sur les nerfs de son père qui déteste tout ce qui est arachnidé. ✗ Sa plus grande peur est de mourir seul. Il apprécie pourtant la solitude plus qu'il n'aime la compagnie. ✗ À l'âge de huit ans, il rêvait de devenir astronaute. ✗ Il n'a jamais attrapé la varicelle. ✗ Il n'apprécie pas vraiment les fêtes surprises depuis son quinzième anniversaire. Ses parents avaient organisés une fête, mais elle s'est terminée sur une note amère lorsqu'il a vu la fille pour qui il avait des sentiments embrasser son meilleur ami. ✗ Il est végétarien. ✗ Il n'est pas fan du transport en commun et est à la limite claustrophobe. ✗ Il a, jusqu'à ce jour, donné près de milles dollars à des oeuvres de charité, argent que ses parents avaient placées pour ses études. ✗ Il est très impliqué dans diverses causes humanitaires qui touchent les droits de la personne. ✗ Il souhaite voyager aux États-Unis, puisqu'il n'a jamais encore eu l'occasion d'y aller. ✗ Ne souhaite pas quitter l'Angleterre. Malgré la pluie, c'est sa terre natale et jamais il ne la quiterait. ✗ Il ne consomme ni drogue, ni alcool.
PSEUDO : vulture. PRÉNOM : marie-pier. ÂGE : vingt et un ans. PERSONNAGE : inventé. AVATAR : toby regbo. CRÉDITS : .sparkle @ bazzart & LostInTheSun @ livejournal. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : sur bazzart.
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 1:47 par Invité
At the beginning
« Papa, maman, je veux étudier en médecine. » Un large sourire s’afficha sur le visage de son paternel. Son fils suivrait peut-être ses traces et deviendrait peut-être lui aussi cardiologue. Cette simple pensée fit sourire le père de famille. « Enfin une bonne nouvelle. » Lâcha-t-il. Un sourire forcé s’afficha sur le visage du jeune homme. « Je suis tellement fière de toi. » C’est avec étonnement qu’il accepta le compliment de sa mère. S’ils s’intéressaient peu à lui, cette nouvelle sembla être l’évènement qui changerait les choses. Depuis toujours, ses parents n’avaient accordé d’importance qu’à se qui pouvait leur donner du prestige. Ils voulaient que leur nom, Delaney, soit connu et pas seulement à Londres. L’Angleterre ne suffisait même plus, ils voulaient être invité à des soirées mondaines partout autour du globe. « Et tu veux faire quoi, plus précisément? » Demanda son père, impatient d’entendre ce que son fils avait à dire. « Je voudrais aider les plus démunis. Peut-être travailler avec une organisation comme médecins sans frontière, un truc du genre. » Le sourire des deux parents se fana. Leurs espoirs étaient réduits à néant. Décidément, leur fils ne ferait jamais ce qu’ils souhaitaient. « Tu veux vivre avec les pauvres? » Questionna sa mère. Elle était de ces femmes qui ne veulent en aucun cas être vues avec des gens de classe inférieure, comme elle le disait. Et c’est précisément cette attitude qui dégoutait et révoltait Franklin. Il n’était pas comme eux. Il voulait vivre une vie normale. Il ne voulait pas de toute la richesse que sa famille possédait. S’il avait pu, s’il avait eu le courage, il aurait sans doute quitter le domicile familiale à seize ans tellement il en avait marre de cette atmosphère qui régnait dans la maison. Entre ses parents et lui, c’était constamment la guerre. Pour tout et pour rien, ils se prenaient la tête. Lorsque l’opportunité de travailler pour une organisation à but non lucratif affiliée à médecins sans frontière se présenta, il n’hésita pas. Il avait déjà amassé de l’argent, parce qu’il refusait de vivre grâce à l’aide de papa et maman, et planifia lui-même tout son voyage. Enfin, il n’avait pas vraiment le choix puisque ses parents ne voulaient en aucun cas l’aider.
« Frankie, t’es certain que c’est ce que tu veux? » Winona poussa un soupire et regarda la valise de Franklin déjà fermée posée juste à côté de la porte. « Oui. » La réponse était simple, mais dans sa tête, tout était clair. « Mais tu vas peut-être mourir?! » Il roula les yeux. Ce qu’elle pouvait être dramatique. « Winnie, je ne vais pas à la guerre… » Après un court moment de silence, il reprit. « Enfin, c’est une autre sorte de guerre. Ne t’en fais pas pour moi. Je vais être avec une équipe d’experts. Ils ne me laisseront pas mourir. » Sans attendre une seconde de plus, il s’empara de la poignée de sa valise. « C’est ici qu’on se quitte. » Déclara-t-il avant de s’avancer pour l’embrasser. « Non. » Elle se recula avant de le regarder une dernière fois. « Si tu pars, pars maintenant et ne reviens jamais. » Il resta muet et immobile pendant un instant, ne comprenant pas vraiment ce qui se passait. Elle le quittait? « Winnie… » Il savait que ces adieux étaient pour le mieux, mais jamais il n’aurait pensé qu’ils se terminent ainsi. « Crois-moi, Frankie, c’est mieux ainsi. Tu vas faire ta vie, sauver le monde, et je vais faire la mienne de mon côté. Si nous sommes faits pour être ensemble, on se reverra un jour. » Et c’est ainsi qu’il franchit le pas de la porte.
Cinq heures plus tard, il était coincé entre le mur de l’appareil et un homme assez bien bâti. Direction : l’Afrique. Il appuya sa tête contre l’appui-tête et regarda le ciel. Il n’avait jamais pris l’avion avant ce jour. Il était à la fois énervé, comme un gamin le matin de Noël, et anxieux. Tous les scénarios catastrophes traversèrent sa tête en quelques secondes. Il me ressaisit rapidement par contre et se concentra sur des pensées plus heureuses. Le jeune adulte ferma les yeux et le premier visage qui lui vint en tête fut celui de Skyler. En toute logique, il aurait sans doute du penser à sa petite-amie … enfin, il ne savait plus réellement ce qu’ils étaient. Il se disait qu’ils avaient tous les deux parler sur le coup de la colère, du moins c’est ce qu’il croyait. Il aurait préféré que leurs dernières paroles soient un peu moins tristes parce qu’il tenait réellement à Winona. Bref, il se concentra sur le premier visage qui me vint à l’esprit. Skyler. Elle souriait et il pouvait presque entendre son rire résonner dans ses oreilles. Une vague de culpabilité l’envahi alors. Il savait qu’elle avait besoin d’aide, même si elle n’en voulait pas, et lui, au lieu de rester à ses côtés, il partait.
Les sanglots qu’il entendit dans le combiné lui brisèrent le cœur. Sans hésitation, Franklin, alors âgé de vingt ans à l’époque, s’empara de sa veste en cuir, coinçant son portable entre son épaule et son oreille tandis qu’il enfilait son blouson. « J’arrive dans cinq minutes. » Déclara-t-il avant de mettre fin à la conversation. Comme prévu, cinq minutes plus tard, Franklin cognait à la porte de chez sa meilleure amie. « Franklin? » C’est la mère de Skyler, visiblement surprise, qui répondit. « Je viens voir Sky. » Évidemment. « Elle est dans sa chambre, je crois. » Sans perdre une seconde, lorsque la dame l’invita à entrer, le jeune homme s’engouffra dans la maison et monta rapidement à l’étage. Sans prendre la peine de cogner, il entra dans la chambre de la jeune femme pour la voir assise sur son lit, visiblement en peine. Jamais il ne l’avait vu ainsi. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il était assis sur le lit aux côtés de Sky et, sans dire un mot, il la prit dans ses bras. Il savait que parfois, les mots étaient inutiles. Et puis, sans savoir ce qui clochait, il ne pouvait pas vraiment trouver les bons mots. « Je suis enceinte. » Balbutia-t-elle finalement après un moment. S’il n’était pas celui qui portait un enfant, cette nouvelle fut tout de même un choc. Franklin resta figé pendant un court instant avant que la voix de la jeune femme ne s’élève de nouveau. « Brett m’a quitté. » S’il n’avait jamais pu le sentir, Franklin détestait définitivement Brett maintenant. Il ne fallait pas être surdoué pour comprendre qu’un plus un égale deux et que le jeune homme était parti en apprenant qu’il allait être père. Soudainement, une vague de colère déferla en lui et l’envie de quitter la chambre pour aller trouver celui qui avait blessé sa meilleure amie se faisait de plus en plus présente. Il ne fallait pas. Cette petite voix de la sagesse lui répétait qu’il fallait rester avec Skyler. Elle avait besoin de lui maintenant plus que jamais. La correction qu’il réservait à Brett pourrait attendre.
La voix annonçant qu’ils étaient arrivés à destination fit sortir Franklin de ses pensées. Et voilà que c’était parti pour un an de folie. Pas le genre de folie que l’on vit quand on va à Vegas, plutôt le genre de folie qui peut survenir dans un hôpital lorsqu’il y a une épidémie. Le choc culturel que le jeune anglais vécu fut assez grand. Les premières semaines ont été difficiles. Le manque de sommeil et le stress l’ont rapidement gagné. Ce n’est qu’après quater mois par contre qu’il a commencé à s’ennuyer de sa terre natale, de Londres. C’est également à peu près au même moment qu’il réalisa à quel point il était chanceux. Enfin, il l’avait réalisé dès son arrivée en sol africain, mais disons que de côtoyer des gens beaucoup moins fortunés et de vivre comme eux vivent, ç’a remis beaucoup de choses en perspective pour lui. Ce voyage lui fut d’autant plus bénéfique puisqu’il découvrit une autre facette de lui. Il savait qu’il aimait prendre soin des autres, mais pas à ce niveau. Même s’il était épuisé, s’il manquait cruellement de sommeil, il mettait ses problèmes de côté, se disant que le peuple auquel il venait en aide avait grandement besoin de lui, plus que lui n’avait besoin de sommeil. Étrangement, malgré toutes les difficultés qu’il a pu rencontrer au cours de ce voyage d’aide humanitaire, il eut de la difficulté à dire au revoir aux familles auxquelles il était venu en aide. Il s’était attaché à eux. Un jeune garçon lui a même donné un bracelet qu’il a confectionné, en souvenir de ce voyage et comme cadeau de remerciement. C’est visiblement ému que Franklin pris place dans l’avion qui le ramènerait à Londres.
Une vague de nostalgie l’envahi tandis que l’avion amorçait sa descente. Il retrouvait enfin sa terre natale. Il ne s’étonna pas de ne pas voir ses parents l’attendre à son arrivés. En fait, c’était typique d’eux. Et puis, comme sa mère l’avait déjà dit, elle ne supporterait pas d’être en contact avec son fils après qu’il ait fréquenté la communauté noire. Était-elle raciste? il n’y a aucun doute là-dessus. Enfin, après avoir récupéré sa valise, il sorti de l’aéroport et se rendit chez lui, dans le petit appartement qu’il avait commencé à loué un an avant de partir en voyage. Sur le chemin qui le mènerait chez lui, il envoya un texto à Skyler lui indiquant qu’il était revenu de voyage. Il lui dit qu’il allait bien, mais qu’il était crevé alors les retrouvailles devraient attendre. Une fois dans son petit appartement, il prit une douche, qu’il apprécia grandement, avant de se littéralement se jeter sur son lit et dormir pendant les quatorze heures qui suivirent.
« Hey! » Charles s’exclama lorsque Franklin franchi les portes du studio. Après une accolade, les deux discutèrent tant du voyage que Franklin avait fait que des nouveaux groupes qui faisaient parti du label. Parce que oui, le jeune anglais a d’autre passions que d’aider les gens. C’est également un grand passionné de musique. Outre les voyages humanitaires, il travaille dans le studio d’enregistrement d’un ami. Il aide à la production d’albums. « Alors, on a quatre nouveaux artistes, c’est ça? » Demanda-t-il légèrement incrédule. Il y avait du potentiel, mais jamais il ne l’aurait cru si on lui avait dit qu’en un an, Charles signerait quatre nouveaux groupes. « Oui, exactement. » Après une mise à jour sur tout ce qui s’était passé au studio pendant la dernière année, les deux amis se mirent au boulot.
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 1:48 par Invité
Bienvenue parmi nous
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 1:58 par Invité
merci
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 1:59 par Invité
Bienvenue ma petite Tortue Bon Courage pour la suite o/
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 2:00 par Invité
bienvenue parmi nouuuus
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 2:02 par Invité
Ewan R.I. MacKinnon a écrit:
Bienvenue ma petite Tortue Bon Courage pour la suite o/
haha merci
Sam P. Oswald-Bower a écrit:
bienvenue parmi nouuuus
Clarke merci
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 2:13 par Invité
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
Excellent choix d'avatar au passage
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 2:19 par Invité
Merci
Je te retourne la pareille :hihi:
bon, j'suis toujours pas certaine de garder Toby, j'hésite tellement entre lui et Torrance, je verrai au fil de l'écriture de cette fiche.
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(✰) message posté Sam 25 Oct 2014 - 4:06 par Invité
Bienvenue parmi nous Toby puis même si tu switch Torrance Ahhh le dilemme