"Fermeture" de London Calling
Après cinq années sur la toile, London Calling ferme ses portes. Toutes les infos par ici (hazel) + behind this hazel eyes  2979874845 (hazel) + behind this hazel eyes  1973890357
Le Deal du moment : -40%
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + ...
Voir le deal
29.99 €


(hazel) + behind this hazel eyes

Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 10:29 par Invité

Hazel Bluenn Rosenbach

London calling to the faraway towns
NOM(S) : Rosenbach, patronyme légué par son père à sa naissance. PRÉNOM(S) : Hazel qui signifie littéralement 'noisette', c'est la classe non ? Puis Bluenn, prénom choisi par sa mère pour être plus originale que les autres. ÂGE : vingt-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Un dix-neuf octobre 1989, dans la City : Londres. NATIONALITÉ : Britannique. STATUT CIVIL : Célibataire, et risque de le rester un peu à cause des deux loustiques qui l'entourent. MÉTIER  : batteuse dans le groupe de rock Gaslight. TRAITS DE CARACTÈRE : impulsive, douce, franche, loyale, fidèle, lunatique, passionnée, créative, ouverte d'esprit, jalouse, peu sûre d'elle. GROUPE : The Tube.



My style, my life, my name

Loyale et fidèle, c'est du genre à la vie, à la mort. Surtout avec Johnny et Cash, c'est quelque chose de dingue, comme si nous n'étions qu'une seule âme dans trois personnes. Bien sûr, j'ai d'autres amis, mais bon, ils comptent pas autant que les deux autres loustiques. Bavarde, j'adore discuter, que ce soit pour parler de choses sérieuses, militer, pour raconter des salades ou bien pour raconter des conneries plus grosses que moi. Têtue, obsédée, quand j'ai quelque chose dans la tête, je ne l'ai pas ailleurs. Je campe sur mes positions jusqu'à ce que la personne en face de moi, s'épuise. Cela déclenche parfois des quiproquos, ou des violentes disputes, mais qu'importe.

Elle est batteuse dans un groupe de rock nommé Gaslight avec ses ombres, Cash & Johnny (+) Elle déteste le café, ou même le thé, il n'a rien d'autre de meilleur qu'un bon chocolat chaud. (+) Elle a un tatouage au creux de son poignet gauche et une tache de naissance sur la fesse droite. (+) Elle n'a plus confiance en la gente masculine. (+) Elle peut se gaver de nourriture mauvaise pour la santé, elle ne prends pas un gramme. (+) Elle joue les dures parfois, pour ne pas montrer ses faiblesses. (+) Elle a la phobie de la solitude. Si vous la laisser seule quelque part, qu'il fait nuit, elle va se faire un film d'horreur en trente secondes.

 
My style, my life, my name
PSEUDO : Laura. PRENOM : Laura. ÂGE : vingt-deux ans. PERSONNAGE : futur scénario pas encore posté de Johnny & Cash.  AVATAR : Zoé Kravitz. CREDITS : ©ilovezoekravitz tumblr. COMMENT ES-TU TOMBÉ(E) SUR LC ? : Grace à Bazzart.


 

 
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 10:31 par Invité
At the beginning


Des cris d’enfants s’élevaient dans la cour de récréation. J’adorais ces cris, ceux de la liberté. Je les préférais vraiment au silence pesant de la salle de classe. Je repérais le petit garçon qui n’avait cessé de me faire des crasses depuis notre rencontre. Johnny, c’est comme ça qu’il s’appelle. Mais à coté de lui, se trouvait une sacrée flaque d’eau. Quel petit imprudent ! Je prenais le premier vélo qui passait avant de l’enfourcher et de me mettre à pédaler furieusement. J’allais être trempée aussi, mais quelle importance ? Je traversais la flaque d’eau en arrosant Johnny au passage. Un cri indigné s’éleva de sa gorge, mais j’étais déjà loin de le sourire aux lèvres. Vous vous en doutez, cela ne s’est pas arrêté là. Non, Johnny a riposté, un véritable jeu de ping pong jusqu’à ce que la directrice de l’école en ai assez. Je me rappelle encore être assise devant son bureau avec le petit morveux à coté de moi. Nous n’étions pas seuls, nos parents respectifs étaient présent, la mine déconfite. Ils avait échangés des paroles avec la directrice, et qu’est-ce que nous avions ris. Encore très jeune, nous avions contracté un gigantesque fou rire. C’était ainsi que notre amitié était née. Heureusement pour nos parents, nous n’avions plus été convoqués par la directrice. Malheureusement pour eux, Joe et moi, étions devenu inséparables. « Non, non, appuie sur ce bouton Haz’ ! » , s’écria Johnny alors que nous jouions à Final Fantasy VII. Il était littéralement vautré sur le canapé du salon, essayant de m’ôter la manette des mains, et moi, j’étais concentrée sur mon jeu, tentant de l’esquiver par la même occasion. « Arrête Joe ! Tu vas me faire perdre. », râlais-je, en le repoussant d’une main. Mais cela ne m’empêcha pas de perdre, je fis la moue, mauvaise perdante. Nous avions sept et huit ans, et c’était sans doute la dernière soirée où nous allions jouer seuls à ce jeu. Parce que le lendemain, un petit garçon allait faire son apparition dans le salon des Rosenbach.

« Hey ! Cash, c’est ça ? », lançais-je au garçon qui se tenait devant moi. Je le jaugeais, ignorant ses sourcils froncés et son regard mauvais. Il en fallait plus pour m’impressionner. « Tu veux quoi ? », me demande t-il. Décidemment, il a l’air revêche le petit nouveau. « Moi c’est Hazel. Johnny m’a parlé du nouveau qui a débarqué dans sa classe, je voulais voir à quoi tu ressemblais. On dit que tu t’es fait virer de ton ancienne école pour avoir agressé un élève, c’est vrai ? C’est pour ça que t’es amoché comme ça ? », continuais-je, presque sans-gêne face à ce garçonnet à peine plus jeune que moi. Sa réaction fut presque immédiate, après m’avoir marmonné un ‘ça ne te regardes pas’, il tira sur ses manches visiblement mal à l’aise face à mes questions. Il semblait vouloir me repousser à tous prix, mais je ne comprenais pas pourquoi. Je décidais de le provoquer un peu plus, après tout, je n’avais cessé de provoquer Johnny et nous étions devenus les meilleurs amis du monde. « T’as l’air ennuyeux à mourir. », déclarais-je, le faisant gronder. « Ce soir Joe et moi on se retrouve chez moi pour quelques parties de Final Fantasy VII, et tu viens aussi.  » , finis-je avant que nos chemins ne se séparent pour la journée. Il fit semblant de ne pas être intéressé, mais peu m’importait, il viendrait qu’il le veuille ou non. J’eus raison de batailler de la sorte, parce qu’il s’est finalement joint au trio, pour l’éternité.



« Jake, j’ai besoin de te parler », chuchotais-je, au jeune homme qui me faisait face. Il me considéra pendant quelques secondes avant de me suivre à l’écart. Cet homme là, je l’aimais. Du haut des mes seize ans, j’étais persuadé qu’il était l’homme de ma vie. Je lui avais tout donné, ma confiance, mon cœur et mon corps.   « Qu’est-ce que tu veux Hazel ? Je bosse là. », me dit-il en plantant ses yeux dans les miens avec un mine revêche. Il ne ressemblait pas à celui qu’il était, enjôleur et souriant, pendant ces derniers mois. « C’est important, Jake. Je … je suis enceinte. », lâchais-je, précipitamment. Son visage se décomposa lentement, me toisant avec fureur. J’avais honte, mais là, je me ratatinais sur place. J’avais l’impression d’être un élément indésirable dans sa vie, alors qu’il m’avait répété encore et encore, qu’il m’aimait. Je me rendais compte à présent que tout cela n’avait été qu’un jeu pour lui. Je baissais les yeux sur le sol. « Que veux-tu que cela me fasse, Hazel ? Débrouilles-toi, seule. Nous ne sommes pas mariés et qui me dit que tu n’as pas été voir ailleurs ? », me questionna t-il. Les larmes me vinrent aux yeux. J’étais dévastée, et alors que son regard me foudroyait, je trouvais le courage de le gifler avant de fuir en courant. Je courus aussi vite que je le pouvais, avant de m’arrêter une fois loin. J’appuyais mon dos sur le mur, me laissant glisser jusqu’au  sol, la respiration sifflante et les larmes aux yeux. Comment avais t-il pu faire ça ? J’étais tellement effondrée, qu’est ce que j’allais faire à seize ans avec un gamin ? Je pouvais le faire adopter ? Non, non, ce serait trop dur de le porter pendant neuf mois, et ensuite le laisser à des inconnus, et savoir qu’il y a mon bébé quelque part dans le Royaume Uni. Il ne restait plus qu’une solution : l’avortement. Je tentais de me dire qu’il n’était pas encore un petit être. Juste une molécule qui ne sentirait rien. Ce ne serait pas un meurtre. C’était la seule solution. Je ne pouvais pas avoir un enfant à seize ans. Je me relevais donc avec difficulté avant de reprendre ma route pour rejoindre Johnny et Cash. Je ne pouvais pas leur cacher une telle chose, ils avaient le droit de savoir.

« Papa, Maman, je suis enceinte. », chuchotais-je, en baissant les yeux sur mes mains. Johnny et Cash avait fini par me faire entendre raison, me convaincre que je ne prenais pas la bonne décision en voulant avorter, que je commettais un meurtre sur un être innocent. J’avais commencer à mettre des vêtements un peu plus ample pour couvrir le petit ventre qui commençait à se former. Alors j’entendis plus que je ne vis la réaction de mes parents. Un grognement étouffé de la part de mon père. « De Johnny ou de Cash ? », m’interrogea ma mère, et se fut à mon tour de m’étouffer d’indignement. Comment pouvaient-ils penser cela ? Johnny et Cash étaient comme mes frères, ils faisaient partis de moi, mais pas comme ça. Je relevais le regard vers eux, en fronçant les sourcils. « Aucun des deux ! », m’écriais-je, les larmes aux yeux. Foutues hormones ! « C’est tout ce qui vous importe ? », continuais-je sur le même ton. Ma mère secoua la tête et soupira, peut être par soulagement, je n’en sais trop rien, mais leur attitude me brisa le cœur. « Tu as seize ans, que vas-tu faire d’un bébé ? », lâcha t-elle, en me fusillant du regard, je ne pouvais pas lui répondre que Johnny et Cash serait là pour m’aider, elle se mettrait à hurler. « Je ne l’abandonnerais pas, c’est mon bébé. », rétorquais-je, hargneusement. « Ca suffit, j’appelle Cole, il va nous arranger ça. », déclara mon père en se saisissant du téléphone. Je bondis de mon siège pour le lui arracher des mains. Je soulevais alors le tee shirt que je portais, exposant la petite protubérance de mon ventre sous leurs yeux dégoutés. Je savais que je ne pouvais plus avorter, j’avais dépasser les douze semaines de grossesse. L’argent ne servirait à rien. « Cole ne fera rien à mon bébé ! », hurlais-je avant de jeter le téléphone à terre. Je tournais les talons avant de m’enfuir en courant.


Je rentrais lentement dans la demeure familiale. Mes parents n’étaient pas présent. Sans doute à un énième gala de charité. J’étais fourbue. J’avais croisé, Jake qui pensait que j’avais fait quelque chose contre lui. Je n’avais rien compris, mais cela ne l’avait pas empêcher de me rouer de coups, et me faire tomber à terre. Je montais à l’étage pour prendre une douche. En me déshabillant, j’observais les bleus qui s’étalaient sur ma peau ainsi que sur mon ventre rebondi. Cinq mois de grossesse. J’entrais dans la cabine de douche. Quelques minutes plus tard, la douleur irradiait mon bas ventre, et je hurlais une nouvelle fois. J’étais dans la douche, j’eus juste le temps de saisir ma serviette de bain que je m’écroulais par terre. Mes jambes ne me soutenait plus à cause de la douleur. Je sentais le sang couler le long de mes cuisses, et mes larmes redoublèrent. J’enroulais tant bien que mal mon corps dans la serviette. Il y avait trop de sang, Mini Haz’ était entrain de souffrir, il était entrain de mourir. Et je ne pouvais rien faire. Jake m’avait trouvé, et m’avait frappé, même lorsque j’étais à terre. Ce lâche, il m’avait frappé au niveau du ventre. Tellement violemment que Mini Haz’ ne l’avait pas supporté. Je rampais alors jusqu’à la commode de la salle de bain pour me saisir de mon portable. Je composais le numéro de Johnny. « Johnny ? Cash est avec toi ? Non ... Ca va pas, venez … vite. », soufflais-je d’une voix tremblante. Ils arriveraient surement trop tard. Je sentais des contractions, comme lorsque j’avais mes règles, en dix fois plus douloureux. Je ne savais pas vraiment quoi faire, je pressentais le pire. C’était à ça que cela ressemblait la douleur à l’accouchement ? Une petite voix dans mon cerveau me chuchota que si Mini Haz’ ne sortait pas de là-dedans, j’y laisserais ma peau aussi. Alors, j’attendis, faisant face à la douleur, gisant sur le carrelage froid de la salle de bain, les jambes pliées comme si j'étais en salle d'acouchement. Je ne regardais pas mes jambes, je préférais fixer le plafond, trop apeurée, je ne voulais pas voir le cadavre de mon bébé. Même s’il ne devait pas être bien gros, ni même ressembler à un bébé. « Haz’ ! C’est quoi ce bordel ? », hurla Cash en se précipitant à ma rencontre, mes larmes avaient séchées sur mes joues, mais des sanglots étaient toujours coincés dans ma gorge. « L’hôpital, il faut que j’aille à l’hopital. », chuchotais-je. Les pas de Johnny se rapprochèrent, et un sanglot déchiré s’éleva de sa gorge. Il le voyait Mini Haz’ gisant lui aussi sur le sol, ensanglanté. Ce fut au tour de Cash de faire la macabre découverte. « Ca va aller Haz’. Ca va aller. » , me souffla, Johnny avant de caresser ma joue, dégainant son portable, appelant les urgences. Mes larmes recommencèrent à couler, je ne voulais pas parler, mais mes larmes le faisait pour moi. Les secours ne tardèrent pas à arriver, nous découvrant tous les trois dans cette salle de bain. Si je n’avais pas eu Johnny et Cash, je serais morte de chagrin.


Ce soir était l’anniversaire de la mort de Mini-Haz’. D’accord, il n’était jamais né, il n’avait jamais eu le droit d’inspirer de l’air dans ses poumons. Mais, je l’aimais déjà à l’époque, et même après neuf ans, je pensais toujours à lui. Imaginant parfois ce que la vie aurait été avec lui dans les parages. J’avais fait mon deuil, mais il restait toujours dans mon cœur. « Et ... Un, deux, trois et quatre ! », hurlais-je, malgré le tumulte du public. J’adorais dire cette phrase à chaque morceau. Les gars démarrèrent instantanément, la musique se déversa sur la foule. Malgré mes boules Quies, pour éviter de me bousiller les tympans à chaque concert, je sentais les vibrations et j’entendais les cris de la foules. C’en était grisant. Comment croire que de simples gamins avaient réussi à réaliser leur rêve ? Nous nous étions battu comme des lions. On a eu des écarts, mais nous avons tenu bon. C’est avec un sourire clairement affiché sur mon visage, que je donnais tout ce que j’avais dans le bide, frappant le tom alto et le tom basse, puis le charleston avec mes baguettes. J’adorais sentir cette énergie se répandre dans mes veines. Je me rappelais encore de l’arrivée de Kaiser dans le Band. Ce fut légèrement chaotique, surtout après les crasses qu’on s’était fait avec son band. Bref, après tout ce temps, il était intégré. Cela faisait bizarre de se dire cela, mais peu importait. Noa entama son riff, avec sa mine toute concentrée qui me faisait toujours autant rire. J’avais trouvé ma place, et le band était ma seconde famille. Le concert se termina, et nous descendions de scène. Quelques fans, nous attendait comme d’habitude, mais cela faisait toujours autant plaisir. Je me dirigeais vers eux, le sourire aux lèvres. « Hazel, une photo ! », et je me penchais pour quelques selfies. Et alors, que j’allais signer un énième autographe… Mon pire cauchemar se retrouva en face de moi. « C’est à quel nom ? », demandais-je, le nez baisser sur le papier. « Jake. », entendis-je, il ne me fallu pas trois cent ans pour reconnaitre cette voix. Je relevais la tête brusquement, fronçant les sourcils, et plantant mon regard dans le sien. Qu’est-ce qu’il foutait là, bordel ! Il n’avait pas le droit, pas le jour de l’anniversaire de Mini-Haz’. « On pourrait discuter, pour rattraper le temps. Non ?  », sourit-il, et j’eus une folle envie de lui mettre ma main dans la figure. Mais je serrais les dents pour me contrôler. « Rattraper quoi ? Tu m’as larguée quand j’ai eu besoin de toi. On a rien à se dire. Point barre. Dégage de là avant que Johnny ou Cash te reconnaisse. », lâchais-je, hargneusement, avant de tourner les talons et de repartir dans la loge. Je refermais la porte derrière moi, chamboulée. Je m’affalais sur le fauteuil. « C’était dément ce soir ! », s’écria Cash, le sourire jusqu’aux oreilles. « T’es vite partie, Haz’ qu’est ce qui s’est passé ? », continua t-il en s’asseyant sur l’accoudoir de mon fauteuil. Je haussais les épaules, pour lui signifier que je ne voulais pas en parler. Mais Johnny interpréta ma réaction autrement. « C’est l’anniversaire de Mini Haz’. » , lâcha t-il avant que Noa et Kaiser ne revient. Cash m’adressa un sourire compatissant et m’entoura d’un bras protecteur. « C’est ça ?  ». Je hochais la tête, et appuya ma tête sur son épaule. Johnny déposa un baiser sur mon front, et je lui souris. Je n’avais pas envie de leur dire, ce n’était pas nécessaire.

Revenir en haut Aller en bas
Margot Bernstein-Woolf
Margot Bernstein-Woolf
MEMBRE
she's the wildest thing you'll ever meet
» Date d'inscription : 15/02/2014
» Messages : 10019
» Pseudo : violent delights. (morgane)
» Avatar : alicia vikander
» Âge : vingt-huit ans
» Schizophrénie : none.
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 10:33 par Margot Bernstein-Woolf
Le pseudo (hazel) + behind this hazel eyes  1922099377
Je sens que le trio Johnny/Cash/Hazel va nous en faire voir de toutes les couleurs (hazel) + behind this hazel eyes  3112672494
bienvenue parmi nous &bonne chance pour ta fiche (hazel) + behind this hazel eyes  3304863388
heureuse que tu nous rejoignes (hazel) + behind this hazel eyes  902495459
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 10:33 par Invité
Quelle jolie jeune fille (hazel) + behind this hazel eyes  3112672494
Bienvenue I love you
Revenir en haut Aller en bas
growing strong
Alycia Hemsworth
Alycia Hemsworth
growing strong
(hazel) + behind this hazel eyes  Tumblr_inline_ojuj3bc03m1tw2m0e_250
» Date d'inscription : 15/02/2014
» Messages : 62617
» Pseudo : margaux ; stardust
» Avatar : zoey deutch
» Âge : 28yo
» Schizophrénie : jamie & gabrielle
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 10:37 par Alycia Hemsworth
Oh la fameuse Hazel de la fiche de Cash, ça prend tout son sens maintenant  :hinhin: 

Bienvenue chez nous (hazel) + behind this hazel eyes  3304863388 :yayay:
Si tu as besoin, surtout n'hésite pas (hazel) + behind this hazel eyes  2723850382 Bon courage pour ta fiche (hazel) + behind this hazel eyes  1973890357
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 10:40 par Invité
bienvenuuue (hazel) + behind this hazel eyes  1922099377
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 11:10 par Invité
ZOE FDKGHDFGKLDHFGLD. (hazel) + behind this hazel eyes  878725457 Dans Divergent elle est juste subliiime. (hazel) + behind this hazel eyes  1922099377
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. I love you
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 11:21 par Invité
Welcome parmi les fous de LC I love you (hazel) + behind this hazel eyes  83559717 (hazel) + behind this hazel eyes  705448254
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 11:25 par Invité
Bienvenue parmi nous (hazel) + behind this hazel eyes  1922099377
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
() message posté Mar 15 Avr 2014 - 11:44 par Invité
Olala tous ces petits messages me font trop plaisir I love you (hazel) + behind this hazel eyes  3674345785
Merci beaucoup à vous tous I love you
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
() message posté par Contenu sponsorisé
Revenir en haut Aller en bas
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
London Calling. :: It's over :: Corbeille :: Anciennes fiches
Aller à la page : 1, 2, 3, 4, 5  Suivant
» (hazel) + behind these hazel eyes
» Eyes to Eyes | Adam
» Please come and rescue me - Noa & Hazel
» Hazel | I'm waiting for you
» i've got my heart set on anywhere but here /hazel.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-